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mardi, 22 décembre 2020

Le monde à l'envers

Extraits de témoignages réels d'enfants qui souffrent à cause des mesures sanitaires. Contés par des adultes. Ce film est destiné à sensibiliser tout le monde, car il est urgent d'agir !

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Retour du projet de loi IVG au Sénat le 20 janvier : même en pleine crise sanitaire, rien n’arrête l’idéologie humanicide!

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Alors que la France fait face à l’une des pires crises sanitaires de son histoire, La Marche pour la Vie s’indigne du retour précipité du projet de loi visant à l’extension du délai d’avortement ainsi que la suppression de la clause de conscience du personnel soignant .

Confinement prolongé, hôpitaux engorgés, services de réanimation saturés, personnel médical sous pression, détresse sociale, effondrement économique… « Le pays souffre, et il y a bien plus urgent à faire que débattre de projets de loi idéologiques visant à adopter de nouvelles transgressions éthiques », déclare Nicolas Tardy-Joubert, le nouveau président de la Marche pour la Vie.

Les retours annoncés au Sénat des projets de loi bioéthique le 19 janvier et sur l’IVG le 20 janvier confortent l’urgence pour la Marche pour la Vie d’appeler à la mobilisation le 17 janvier.

Avec ces lois, l’accès à  l’avortement sera encore augmenté, y compris jusqu’à la veille de la naissance, alors que nous enregistrons déjà un triste record avec 232.000 avortements en 2019. La liberté de conscience spécifique est menacée, ce qui est une atteinte grave aux libertés fondamentales.

En France, l’insécurité règne sur la vie humaine naissante et sur la vie humaine vieillissante. Nous avons besoin de politiques de prévention de l’IVG, d’accueil et de protection de la vie.

Ensemble, nous sommes plus que jamais déterminés à défendre la vie des plus fragiles. Le défi est immense mais à nous de changer le cours des choses avec des hommes et des femmes politiques courageux.

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Les éoliennes transforment tous les paysages en sites industriels

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Propos recueillis par Eugénie Bastié

Le philosophe et académicien, Alain Finkielkraut, qui plaide pour une « écologie poétique », explique pourquoi il est fermement opposé à l’implantation d’éoliennes qui détruisent la beauté des paysages français.

Le Figaro. Tout en exprimant son attachement au nucléaire, Emmanuel Macron a réaffirmé son souhait de développer l’éolien en France pour augmenter nos capacités en énergies renouvelables. Que vous inspire ce choix du président de la République ?

Alain Finkielkraut. Dans Sérénité, un de ses textes les plus abordables, Heidegger distingue deux sortes de pensées : la pensée calculante et la pensée militante, et il redoute le jour où la première sera seule à s’exercer. Avec l’écologie officielle, qui prétend combattre les méfaits d’une technique déchaînée, ce jour est arrivé. On fait les comptes, on mesure les diverses pollutions avec une précision toujours plus fine, et l’on en conclut que les énergies renouvelables permettront de faire baisser les émissions de gaz à effet de serre. Il faut donc les développer pour lutter efficacement contre le changement climatique. La démonstration semble implacable. Elle oublie une chose : la laideur vrombissante de ces turbines géantes, de ces mastodontes effrayants qu’on appelle les éoliennes. C’est normal : la laideur échappe au calcul. Les poètes et les peintres nous ouvrent les yeux sur le monde. Mais il y a longtemps qu’ils n’ont plus voix au chapitre. L’écologie officielle se range sous la même bannière que son ennemi, le productivisme. Et, dans son noble souci de sauver la planète, elle participe sans état d’âme à la dévastation de la terre. Avec sa bénédiction, les aérogénérateurs accaparent la vue, écrasent ce qui les entoure. Comme l’a écrit Bérénice Levet dans une lettre au président de la République, « les plaines céréalières, les collines provençales, les rivages des océans, aucun arpent de terre ni de mer n’est à l’abri ». J’ai cosigné cette lettre avec Jean Clair, Patrice Gueniffey, Jean-Pierre Le Goff, Stéphane Bern, Benoît Duteurte, Yves Michaud, Pascal Vinardel, Parmi nous, aucun écologiste certifié.

Qu’est-ce qui vous gêne dans les éoliennes ? Que répondez-vous à ceux qui affirment que les trouver laides relève de la subjectivité ?

Tout est là, en effet. La moder- nité ne croit plus en la beauté. Elle a pris acte de la diversité des goûts et des cultures. Elle sait ou croit savoir que le beau n’est pas une propriété objective. Dire « c’est beau », pour elle, ne peut signifier que « j’aime ça ». « J’admire la Passion selon Saint Matthieu. Tu t’éclates en écoutant Sexion d’Assaut, chacun ses préférences ! » Rien n’est supérieur à rien. Parce que je mets au-dessus de tout Le Paysage idéal de Poussin, je hais de toutes mes forces le bouquet de fleurs que Jeff Koons a offert à la ville de Paris. Et parce que Vuillard m’est cher, je suis atterré par la bêtise du plug anal de Paul McCarthy ou la critique stéréotypée de la société de consommation qui émane des installations d’art contemporain. Mais on m’interdit désormais de voir ce que je vois parce que, affirme-t-on, il y a autant de réalités que de regards. Ainsi, l’enlaidissement de la terre et du monde croît à l’abri du relativisme professé par les démystificateurs, les malins, ceux qui ne s’en laissent pas accroire.

Vous plaidez pour une écologie poétique, qui prenne en compte la beauté. Mais n’est-ce pas superfétatoire au vu de l’urgence climatique ? Quand le bateau coule, a-t-on le temps de se soucier de la beauté du monde ?

Les éoliennes ne sont pas les moulins à vent de l’ère moderne. Elles transforment tous les paysages en sites industriels. La beauté du monde, c’est le bateau qui coule. Reste ce frêle espoir : comme l’extraction de matières premières nécessaires à la fabrication et au fonctionnement des éoliennes ou des voitures électriques - qui dépolluent le ciel de l’Europe - aggrave la pollution et augmente le nombre de maladies environnementales dans les pays où elle est pratiquée à grande échelle, peut-être la pensée calculante se saisira-t-elle du problème avant qu’il ne soit trop tard.

Source : Le Figaro 22/12/2020

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Projet de loi nº 3714 instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires !

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Regardez bien ce qui se profile sous nos yeux : un projet de loi déposé par le gouvernement qui pérennise l’état d’urgence  sanitaire et sera voté en procédure accélérée. 

Voici une partie du contenu, lisez bien l’alinéa 6. Il sera donc autorisé par la loi que le gouvernement puisse faire des personnes non vaccinées des citoyens de seconde zone. 

Art. L. 3131‑9. – Dans les circonscriptions territoriales où l’état d’urgence sanitaire est déclaré, les pouvoirs prévus à l’article L. 3131‑4 sont applicables de plein droit.

« Le Premier ministre peut également, par décret pris sur le rapport du ministre chargé de la santé, prendre aux seules fins de garantir la santé publique les mesures suivantes :

« 1° Réglementer ou interdire la circulation des personnes et des véhicules et réglementer l’accès aux moyens de transport et les conditions de leur usage ;

« 2° Interdire aux personnes de sortir de leur domicile, sous réserve des déplacements strictement indispensables aux besoins familiaux ou de santé ;

« 3° Ordonner la fermeture provisoire et réglementer l’ouverture, y compris les conditions d’accès et de présence, d’une ou plusieurs catégories d’établissements recevant du public ainsi que des lieux de réunion, en garantissant l’accès des personnes aux biens et services de première nécessité ;

« 4° Limiter ou interdire les rassemblements sur la voie publique ou dans un lieu ouvert au public ainsi que les réunions de toute nature, à l’exclusion de toute réglementation des conditions de présence ou d’accès aux locaux à usage d’habitation ; 

« 5° En tant que de besoin, prendre toute autre mesure limitant la liberté d’entreprendre.

« 6° Le Premier ministre peut, le cas échéant dans le cadre des mesures prévues aux 1° à 5°, subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transports ou à certains lieux, ainsi que l’exercice de certaines activités à la présentation des résultats d’un test de dépistage établissant que la personne n’est pas affectée ou contaminée, au suivi d’un traitement préventif, y compris à l’administration d’un vaccin, ou d’un traitement curatif. Le décret mentionné au deuxième alinéa du présent article précise l’étendue de cette obligation ainsi que ses modalités d’application s’agissant notamment des catégories de personnes concernées.

Source : assemblee-nationale.fr

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Vaste entreprise chinoise d’espionnage en France ?

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Entre la société chinoise Huawei et les États-Unis, une guerre fait rage. Depuis le 19 mai 2019 et suite à un décret du président Donald Trump, la Maison-Blanche a placé l’entreprise chinoise sur liste noire. Ainsi, aucune entreprise américaine n’a le droit de collaborer avec Huawei. Les sanctions américaines se sont multipliées, l’administration Trump les justifiant par les forts soupçons de collusion entre Huawei et le gouvernement et l’armée de Chine, les logiciels et le matériel de cette société pouvant être utilisés par Pékin à des fins de cyberespionnage ou de sabotage.

Certains ont (encore) estimé que Donald Trump nageait en plein délire.

Or, une note confidentielle du Secrétariat général de la Défense et de la Sécurité nationale [service du Premier ministre] s’inquiète de la hausse des mariages entre des militaires affectés en terre bretonne et de jeunes chinoises venues faire leurs études à de l’Université de Bretagne Occidentale ou à l’École nationale supérieure de techniques avancées [ENSTA]. En outre, quand, sur 30 doctorants d’un laboratoire de recherche d’une grande école d’ingénieurs bretonne, dix sont de Chine et tous issus de l’Institut de technologie de Harbin, administré par une agence gouvernementale qui conçoit et achète tous les systèmes d’armes de l’Armée populaire de libération, il y a de quoi se poser des questions.

La localité de Rosnay, dans l’Indre, accueille l’un des quatre Centres de transmissions [CTM] utilisés par la Marine nationale pour communiquer avec ses sous-marins. Et ses émetteurs à très basses fréquences, qui font partie des plus puissants au monde, semblent intéresser la Chine, comme l’avait souligné le député Sereine Mauborgne, lors d’une audition de l’amiral Bernard-Antoine Morio de l’Isle, alors commandant des Forces sous-marines et de la Force océanique stratégique. Certaines implantations à proximité du CTM peuvent être considérées localement comme troublantes, avec la présence d’une université chinoise dans la base militaire jouxtant l’aéroport de Châteauroux, qui devait alors être rejointe par un centre d’entraînement pour les Jeux olympiques. Et Mme Mauborgne avait également cité l’achats de terrains agricoles à proximité, voire en bordure du site de la Marine.

Alors que les autorités françaises l’ont subtilement écarté des réseaux 5G en décourageant les opérateurs télécoms à utiliser ses matériels, l’équipementier chinois Huaweï, accusé d’avoir des liens avec le renseignement chinois, nourrit de grandes ambitions en France. Le 17 décembre, et après avoir inauguré son 6e centre de recherche en octobre dernier, dans le 7e arrondissement de Paris, l’industriel a fait part de son intention d’implanter une usine dédiée aux solutions technologiques de réseaux mobiles à Brumath [Bas-Rhin]. Selon l’industriel chinois, Brumath a été retenu à la faveur de critères clés pour un tel projet industriel : l’emplacement, la superficie et l’extensibilité, le parc industriel et ses infrastructures, l’environnement alentour et la disponibilité foncière.

Sauf que Brumath fait partie de la Communauté d’agglomération de Haguenau, où le 2e Régiment de Hussards, spécialiste du renseignement d’origine humaine a ses quartiers, de même que le 54e Régiment de Transmissions, dont la mission est de collecter du renseignement d’origine électromagnétique et de mener des actions de guerre électronique, ainsi que le 28e Groupe géographique qui recueille et exploite l’information géographique. Et, à une quarantaine de kilomètres de là, à Mutzig, on trouve le 44e Régiment de Transmissions, également spécialiste de la guerre électronique et du renseignement électromagnétique, ainsi qu’un site de la DGSE. Et Brumath n’est qu’à une petite vingtaine de minutes de Strasbourg, où est installé le Commandement du renseignement de l’armée de Terre et le Centre de formation interarmées au renseignement de la Direction du renseignement militaire.

Il a donc fallu que Huawei choisisse l’un des secteurs qui concentre le plus d’unités militaires – qui plus est sensibles – au kilomètre-carré…

Source : Le Salon Beige

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IGNACE !

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Le numéro 86 de Terre & peuple magazine est paru

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Quand la gauche américaine devient folle

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C’est insensé mais cela fait des années que ça dure, la gauche française -  de l’extrême à la plus soft -  n’en finit pas de sucer le sang de ce qu’il y a de pire aux Etats-Unis, à savoir son humanisme de pacotille et son intellectualisme dévitalisé. Dernière facétie en date, la « cancel culture » - autrement dénommé « woke » - qui consiste essentiellement à culpabiliser l’Homme Blanc bénéficiaire de tous les privilèges. C’est aussi un processus de désintégration sociale mené par les minorités raciales – auxquelles collaborent les idiots utiles que sont les nombreuses personnalités blanches anti-Trump - et qui consiste à exclure de l’espace public toute personne jugée raciste, homophobe ou sexiste. Et cela en s’appuyant sur la puissance des réseaux sociaux. La gauche française, exsangue depuis belle lurette, tente d’importer ces modèles qui frisent souvent la délation et un anti-racisme qui masque mal un racisme virulent. Eugénie Bastié et Laure Mandeville, du Figaro, ont mené l’enquête.

A lire ICI

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lundi, 21 décembre 2020

Décés de Luc Sommeyre, animateur du site Minurne Résistance, est décédé

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Luc Sommeyre vient de nous quitter, délivré d’une longue période de maladie.

Ce fut un de ces camarades de route et de combat militant qui savait confondre fraternité et affection. Nous faisions partie de sa famille d’adoption, au point de nous considérer comme ses « frangins », pour reprendre une de ses expressions.

Quand on se retrouvait avec Luc autour d’une bonne bière, on savait se retrouver en totale confiance, même si parfois l’agacement de ses propos pouvait nous amener à relativiser quant à ses colères légitimes, face à la bêtise environnante et organisée.

Quelques semaines avant le carnage islamiste du Bataclan, il nous avait déjà donné rendez-vous le jour qui suivait les attentats, comme par intuition sur la date des événements. Mais surtout pour nous protéger des futures agressions terroristes, par un argumentaire pointu et rigoureux. Il organisait dans ce sens des conférences chez les particuliers de notre mouvance identitaire et nationaliste... Amicalement on s’amusait à le surnommer notre « RG de service »...

Il faut dire que si vous étiez amené à le croiser, il donnait facilement l’impression d’une doublure sortie d’un de ces films à la Audiard... « Vos papiers, police !... »

Luc tu nous auras quitté ce dimanche matin, avec encore un sacré pied de nez à l’ordre sanitaire établi. Ils ne pourront pas dire que tu es parti à cause de la « Covid-19 »...

Luc est sorti sans prévenir par une porte que nous n’avons pas encore bien ouverte, mais surtout en nous laissant la clef, pour continuer le chemin avec lui, quelque part...


Hugues Bouchu

Délégué des Amis Franciliens de Synthèse nationale 

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Dans ce monde où tout peut arriver....

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Un tripoteur à la Maison Blanche

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Georges Feltin-Tracol

Viré ! Donald Trump est viré ! Les grands électeurs ont voté. Le coup d’État électoral a bien eu lieu. Principale cible pendant tout son mandat du complexe politico-médiatique, de la nouvelle industrie numérique et des factions de l’État profond, en particulier la Stasi locale, à savoir le FBI, l’homme d’affaires new-yorkais quitte la Maison Blanche, victime de fraudes électorales massives, de la participation illégale dans les fiefs démocrates d’immigrés clandestins et des défunts, et d’un vote par correspondance largement trafiqué. Toutes ces conditions grossières prouvent que les États-Unis d’Amérique demeurent une ploutocratie bananière. Il faut voir et entendre depuis plus d’un mois le ravissement non dissimulé des éditorialistes radio, la jubilation non masquée des correspondants, la satisfaction non feinte des journalistes télé pour comprendre la gravité du moment. Joseph Biden devient à 78 ans le 46e président des États-Unis d’Amérique. Quant à sa colistière, Kamala Harris, elle entre déjà dans l’histoire comme première femme de couleur d’origine tamoule et jamaïcaine à devenir vice-présidente et donc à diriger les séances du Sénat fédéral.

Ce n’est malheureusement que le début de l’ascension de cette VRP du cosmopolitisme progressiste et libéral-sécuritaire. Président le plus âgé à entrer en fonction le 20 janvier prochain, Joe Biden ne fera certainement qu’un seul mandat d’autant qu’il accusera 82 ans dans quatre ans. Il est déjàprobable que dans cette perspective, Kamala Harris se présentera aux primaires démocrates de 2024 afin de faire des États-Unis le moteur de l’hyper-globalisation. Elle entend en effet imposer par la contrainte, légale ou implicite, des normes délirantes pour un « vivre ensemble » fallacieux, restreindre le port d’arme chez les honnêtes gens et limiter la liberté d’expression.

On peut même penser qu’elle occupera plus tôt que prévu le Bureau ovale et qu’elle y restera une décennie si elle succède à Biden au premier jour de la seconde moitié de son mandat. Le coronavirusle frapperait une fois son travail effectué : écarter définitivement Donald Trump et ses partisans des cercles du pouvoir visible. Les procureurs démocrates de l’État de New York trépignent déjà d’impatience à l’idée d’inculper un ancien chef d’État pour de troubles raisons fiscales. Deux autres paramètres peuvent par ailleurs jouer dans le départ anticipé de l’ineffable « Sleepy » Biden.

Il y a d’abord les nombreuses magouilles financières qui concernent le nouveau président US et surtout son fils, Hunter, en français « Chasseur », un prénom prédestiné. Grâce à la notoriété de son père, vice-président d’Obama pendant huit ans et sénateur du Delaware de 1973 à 2009, le fiston a sudénicher de juteuses affaires. Les pots de vin en Ukraine ne sont que la partie visible de scandales vite étouffés par des journalistes bienveillants. Le « Huntergate » se décline en divers volets aussi édifiants les uns que les autres. Outre une âpreté aux gains, le fiston, toxicomane, aurait entretenuune liaison avec sa belle-sœur, la veuve de son frère aîné, et aurait été très très très affectueux avec sa nièce à l’époque mineure… Les Biden semblent se comporter en parfaits sybarites. L’ancien vice-président de Barry – et non Barack ! – Obama présente, y compris en public, un comportement pervers à l’égard des jeunes filles. Bien des images officielles le montrent tripoter machinalement leur poitrine naissante. Le regard et le visage des adolescentes ne font aucun doute sur son attitude plus que déplacée. Le père Biden leur répète souvent une blague salace : « Pas de petit copain avant trente ans ! » Si on trouve ça drôle…

L’élection catastrophique de Biden sauve les milieux pédophiles liés à la voyoucratie démocrate et à la canaille néo-conservatrice. Les révélations autour des réseaux de Jeffrey Epstein montrent l’implication de la « Jet Set » et du « show biz » (voir les numéros 471 à 479 de l’excellente lettre confidentielle fondée par Emmanuel Ratier, Faits & Documents). Cette victoire frelatée signifie l’oubli prochain du « Pizzagate ». Non, contrairement à ce qu’affirme cette saloperie de Wikipédia, le « Pizzagate » n’est pas une invention de l’Alt Right et de QAnon. Cette sordide affaire n’éclaire que très partiellement les turpitudes courantes de l’hyper-classe globalitaire.

On peut raisonnablement penser que Biden le Tripoteur soit tenu par des affaires de mœurs jamais évoquées par des biographies complaisantes. Ancien procureur général de Californie (2011–2017) etsénatrice fédérale depuis 2017, Kamala Harris connaît sûrement les penchants réels de son colistier. Son maintien à la Maison Blanche dépendra de sa docilité à l’égard de ses financiers et de ses pourvoyeurs en Lolitas (souvent les mêmes !). Occupé à tripoter des fillettes comme Clinton s’offrait du bon temps avec de mignonnes stagiaires (Monica Lewinski n’étant qu’un exemple quelque peuentaché), le nouveau président ordonnera l’envoi de soldats étatsuniens et de leurs supplétifs otaniens mourir pour les intérêts de Wall Street et de la Silicon Valley, ce que refusait avec insistance Donald Trump malgré les pressions de certains de ses conseillers dont le criminel de guerre John Bolton. Les crises internationales s’aggraveront encore plus au nom de l’hégémonisme fétide des droits de l’homme (et des poux) tandis que disparaîtra la plus modeste esquisse d’« Europe – puissance » libre, indépendante et souveraine.

Par-delà une attitude privée abjecte, Joe Biden tentera, si l’hyper-classe s’accorde sur les objectifs à atteindre, de freiner l’ascension réelle des autres puissances, à moins que son élection ne soit vraiment contestée et que les tensions perceptibles dans une société étatsunienne éclatée ne dégénèrent enfin en véritable conflit armé intérieur. Plus que jamais, America delenda est !

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°195, mise en ligne sur TVLibertés, le 16 décembre 2020.

Publiée sur Europe maxima cliquez ici

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Dans quel état a-t-il mis la France !

À qui avons-nous confié les clés de l’Élysée ? Sommes-nous face à un homme équilibré ?
Est-ce du calcul ou de la perversion, quand il annonce une chose et fait l'inverse ?

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VIDÉO DE LOOPSIDER SUR MICHEL ZECLER : VÉRIFICATION DES FAITS

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Source OJIM cliquez ici
 
L'affaire Michel Zecler, puisque c'est ainsi qu'on l'appelle est emblématique des méthodes employées par la chaine "Loopsider" où écrit David Perrotin qui traite de sujets d'actualité selon des angles bien spécifiques. Perrotin a depuis été engagé par Médiapart.
 
L’affaire est montée en trois actes, trois vidéos « choc » afin de révéler ce que David Perrotin considère être des violences policières.
 
Le premier montage ne montre d’abord que de petits extraits de la vidéo d’intervention des policiers avec des assertions qui se révèlent toutes fausses : démonstration avec 4 mensonges et des témoignages comportant 4 affirmations sujettes à caution.
 
Pour mieux comprendre sur quoi portent ces mensonges, il convient de rappeler tout d’abord les faits attestés par la totalité des vidéos actuellement disponibles sur cet évènement mais aussi les quelques points sur lesquels les témoignages des policiers et de Michel Zecler sont concordants.

LES FAITS : UNE INTERPELLATION DANS LA RUE POUR NON PORT DU MASQUE QUI SE TRANSFORME EN RÉBELLION

Michel Zecler, producteur de rap déjà condamné à de la prison et amateur de paroles incitant au meurtre de policiers, est interpellé devant ses studios pour non port de masque. Alors qu’il tente de se soustraire à l’interpellation qui survient devant chez lui, il ouvre sa porte en entraînant dans les locaux le policier qui le ceinturait déjà. Deux autres policiers arrivent en renfort et tentent d’extraire Michel Zecler de l’entrée de ses studios. Celui-ci se rebelle et fait obstacle à son extraction. Pendant 1’30, Michel Zecler résiste à son extraction et passe un bras derrière la porte d’entrée pour empêcher les policiers de le maîtriser et de l’extraire. Pour essayer de parvenir à maîtriser le prévenu, un des policiers ferme la porte. Pendant de longues minutes, les policiers, porte fermée, tentent encore de maîtriser Michel Zecler, qui empêche les policiers de rouvrir la porte pour l’extraire. Des coups finissent par être portés par les policiers à Michel Zecler, qui s’accroche aux rambardes latérales, pour tenter de le faire lâcher prise et l’extraire.
 
À partir de ce moment, Michel Zecler, toujours en rébellion, parvient à ouvrir un moment une seconde porte, située face à la porte d’entrée, qui donne accès à une cave où se trouvent une dizaine de rappeurs. Ces derniers, appelés à la rescousse par Michel Zecler, remontent les escaliers et tentent de forcer la porte pour s’en prendre aux policiers. Les policiers pour leur part, ont appelé du renfort à la radio depuis plusieurs minutes. La dizaine de rappeurs du sous-sol finit par forcer la porte et, en surgissant agressivement au rez-de-chaussée, provoquent la fuite des policiers, 6 minutes après le début de la tentative d’interpellation. Dans la rue, les renforts de police sont arrivés et les policiers sont désormais au nombre d’une trentaine pour faire face à cette rébellion d’une douzaine d’individus. Ils tentent d’ouvrir la porte qui a été refermée par Michel Zecler et ses complices. Ce dernier, aidé par les rappeurs, fait obstacle à l’entrée des policiers. Finalement, un lacrymogène est jeté dans l’entrée pour obliger les prévenus à sortir : la porte s’ouvre et les policiers peuvent investir les lieux : Michel Zecler et l’ensemble des rappeurs qui lui ont prêté main forte sont extraits sans violence de la part des policiers. Dans la rue, Michel Zecler refuse de se mettre au sol, malgré les injonctions des policiers : des coups à main nue lui sont portés par un policier pour le faire obtempérer. La tension est fortement montée chez les policiers qui pouvaient suspecter la détention d’armes ou de produits illégaux dans ces locaux. De fait, de la drogue sera retrouvée le lendemain dans le bureau du producteur de rap, après la perquisition.

LES 4 MENSONGES FORMULÉS PAR DAVID PERROTIN DANS SES COMMENTAIRES

1er mensonge : « 20 minutes, 20 minutes d’un tabassage en règle d’une violence inouïe » affirme David Perrotin.
 
Dans sa deuxième vidéo, Loopsider finira par avouer que la bande originale ne dure que 13 minutes (qu’ils passeront en accéléré pour donner l’impression de gestes plus violents chez les policiers). Sur ces 13 minutes la durée totale des coups portés est de 18 secondes en réalité (13 secondes sur la version accélérée), et les policiers ne sont présents que pendant 6 minutes 30 au contact de la prétendue victime. Le compte est donc bien loin des « 20 minutes de tabassage » assénées par David Perrotin. Sur les photographies que Michel Zecler prend de lui-même après son interpellation, ce dernier ne présente pas l’apparence de quelqu’un ayant reçu des coups sur le visage, mais celle d’une personne blessée sur le cuir chevelu et qui s’est volontairement abstenue de se nettoyer le visage avant de se prendre en photo. La blessure au tendon d’Achille alléguée dans des vidéos ultérieures par David Perrotin a vraisemblablement été occasionnée lorsque l’intéressé tentait de bloquer avec son pied la porte menant au sous-sol, comme on le voit clairement dans la vidéo, et non par des coups.
 
2ème mensonge : « Roué de coups par des policiers simplement parce qu’il ne portait pas son masque ».

Dans la deuxième vidéo, il apparaît clairement que les policiers tentent tout d’abord d’interpeller sans faire usage de la force Michel Zecler qui refuse de ressortir de chez lui. Ce dernier n’est donc plus en situation d’infraction pour non port du masque mais en situation de rébellion. Les policiers attendront de longues minutes avant de porter les premiers coups, Michel Zecler s’étant en partie réfugié derrière sa porte pour empêcher son interpellation. Ils ne parviennent pas à maitriser Michel Zecler et les coups qu’ils finissent par porter le sont principalement sur les membres du suspect afin de l’empêcher de faire obstacle à son extraction.
 
3ème mensonge : « il [le producteur] ne sait pas que les trois policiers en question sont sortis de leur voiture pour le suivre jusque devant les locaux. »
 
Lorsque le producteur pénètre dans ses locaux il est aisé de voir qu’un policier tente déjà de le ceinturer et se fait entrainer à l’intérieur du local, par la différence de masse corporelle. Les policiers l’ont donc suivi jusque devant chez lui, et l’y ont interpellé, avant que le premier policier soit emporté à l’intérieur de ses locaux, comme l’ont affirmé les fonctionnaires de police dans leur procès-verbal.
 
4ème mensonge : « Sans dire un mot les policiers pénètrent de manière totalement illégale dans ses studios ».
 
L’entrée des policiers dans le local est légale. En effet le producteur est en infraction sur la voie publique (non-port de masque) et tente manifestement de se soustraire à l’interpellation qui a commencé dans l’espace public. Juridiquement, les policiers ont un droit de poursuite immédiat face à un individu pris en flagrant délit.

LES 4 AFFIRMATIONS SUJETTES À CAUTION DANS LES TÉMOIGNAGES

La 1ère affirmation : « Je ne sais pas vraiment s’ils sont policiers ». « Je ne savais pas ce qu’il se passait » déclare la supposée victime, Michel Zecler.
 
Trois policiers, dont deux en uniforme, descendent d’une voiture de police en plein 17ème arrondissement et tentent d’interpeller le producteur qui, selon David Perrotin, « comme il n’a pas de masque, (…) décide de rentrer dans son studio ». Il est donc conscient de son infraction mais aurait toujours un doute sur l’appartenance aux forces de l’ordre des personnes qui l’interpellent, dont deux policiers en uniforme ! Cette affirmation n’a aucune crédibilité, surtout venant de quelqu’un qui ayant déjà fait un an de prison, n’a pas affaire à la police pour la première fois de sa vie.
 
La 2ème affirmation : « Je ne veux pas sortir avec les policiers qui m’ont agressé »

Les trois policiers sont sortis sous la pression des rappeurs venus en renfort, car ils auraient eu « peur » selon ces derniers, mais ils reviendraient seuls pour interpeller à nouveau le producteur ? Du fait de la présence d’une vitre visible à côté de la porte d’entrée, la supposée victime ne peut que voir ce qui se passe au-dehors. Il y a alors près d’une trentaine de policiers dans la rue. L’affirmation de Michel Zecler selon laquelle il ne voudrait pas sortir dans ces circonstances est en contradiction totale avec une autre de ses déclarations dans laquelle il affirme qu’il avait ouvert la porte de la cave, pendant la tentative d’interpellation, pour demander à ses amis rappeurs d’appeler la police. Si telle avait été son intention, puisque la police est là, et en nombre, il n’aurait dû avoir alors aucune raison de ne pas se rendre.
 
La 3ème affirmation : « Je vais rester à terre et je ne vais pas me relever » « C’est mon dernier jour je ne sais pas pourquoi »
 
Le producteur sous-entend donc que sa vie a été mise en danger par les forces de l’ordre qui ont cherché tout au long de la vidéo intégrale à le maîtriser et à l’extraire de son local. Cette affirmation sera relayée par le témoignage d’un voisin du dessus, dans une vidéo mise en ligne ultérieurement par Loopsider, qui, au simple motif qu’il a filmé toute la scène et livré les images à Loopsider, est élevé au rang d’expert en risque létal pour les méthodes d’interpellation : « ils auraient pu le tuer ».
 
La 4ème affirmation : L’avocate du producteur affirme que son client « n’appelait pas de renfort mais appelait à l’aide … »
 
Un article de Valeurs Actuelles indique que maître Hafida El Ali, avocate choisie par Michel Zecler, a été visée par une procédure menée par le barreau de Nanterre alors qu’elle n’avait pas le droit de plaider, ce qui donne une idée du crédit qu’on peut apporter à son témoignage. Il n’est donc pas surprenant qu’on ait du mal à saisir la nuance entre « appeler à l’aide » et « appeler du renfort » que l’avocate tente d’établir, avec l’aide de David Perrotin.

LE POIDS DES MENSONGES ET LE CHOC DES IMAGES TRONQUÉES

Au bilan de l’examen détaillé de ces images, les accusations d’avoir voulu passer à tabac le repris de justice Michel Zecler par racisme ne semblent pas tenir, puisque les policiers ne cherchent pas à entraîner l’intéressé dans ses locaux, ils ne cherchent pas à fermer la porte, mais y sont contraints par Michel Zecler pour tenter de le maîtriser. Une fois la porte fermée, ils mettent un long moment avant de porter les premiers coups. Pour le « racisme », à moins qu’ils aient mis, pour se rendre compte que Michel Zecler était noir, autant de temps que ce dernier affirme en avoir mis pour s’apercevoir qu’il avait affaire à des policiers, l’accusation ne tient pas.
 
Le poids des mensonges et le choc des images tronquées ont toutefois créé une telle pression mediatico-politique que le procureur et l’IGPN ont réorienté leurs appréciations des faits et mis en examen des policiers pour faux en écriture, alors que le détail de l’ensemble des images mises en ligne sur cette affaire semble donner plus de crédit à leur déposition initiale qu’au témoignage, de toute évidence arrangé en fonction des images de videosurveillance qu’il possédait chez lui, de Michel Zecler. David Perrotin a accompli l’exploit de produire 100 % d’affirmations fausses dans sa première vidéo mise en ligne. Une vidéo qui a déclenché cette affaire médiatique et a conduit à la mise en garde à vue de quatre policiers et d’un autre côté au maintien en liberté de la totalité des prévenus que leur métier leur imposait de tenter d’interpeller.

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dimanche, 20 décembre 2020

Macron président : « Gamelin, sors de ce corps ! »

56887120_10218463944291227_3326376008096940032_n copie 2.jpgEntretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.

Propos recueillis par Guirec Sèvres

Les mois de Covid se suivent et se ressemblent. On sort à peine – et encore à moitié – d’un deuxième confinement et un troisième est déjà annoncé pour janvier prochain. Ça ne finira donc jamais ?

Alfred Capus, romancier et dramaturge français du XIXe et XXe siècle aujourd’hui un peu tombé dans l’oubli avait eu (entre beaucoup d’autres) ce mot d’esprit : « Il est arrivé… oui, mais dans quel état ! » ; on peut le paraphraser en affirmant : « Nous y arriverons… oui, mais dans quel état ! »

Grâce aux vaccins ? Ça y est, ils sont là ! Enfin !

Non pas « enfin ! », mais « déjà ? » et c’est bien là tout le souci que se font une majorité de nos concitoyens, confortés dans leur doute et leurs craintes légitimes par nombre de médecins qui les mettent en garde, sans que le gouvernement n’en tienne compte. Les études sur les vaccins présentent un risque évident simplement par le fait du peu de recul qu’on peut avoir sur eux… Aujourd’hui, plusieurs millions de personnes ont été infectés par la Covid 19 et ont développé une immunité. Cette immunité est sans doute de meilleur qualité qu’un vaccin quel qu’il soit, injecté dans la précipitation. Se faire vacciner, c’est calculer le rapport entre les bénéfices et les risques ; autant cela peut se concevoir – bien que cela reste risqué, c’est un choix à prendre qui divisent les médecins – dans un ciblage de personnes âgées ou en mauvaise santé, autant c’est carrément stupide que se fasse vacciner toute la population comme plusieurs gouvernements, dont le nôtre, le préconisent.

 Vous ferez-vous vacciner, vous et vos proches… ou pas question ?

Le journaliste Pascal Praud, sur Cnews, a très bien répondu à cette question en rappelant qu’on ne peut se fier, en l’occurrence, qu’à la confiance que l’on a en son médecin habituel… Et il a répondu que oui ! lui se fera vacciner quand il le pourra, n’étant pas prioritaire, car son médecin en qui il a toute confiance le lui conseille. Soit ! En ce qui me concerne, les deux médecins dont je suis proche sont méfiants et me déconseille même carrément vu mon âge et ma santé. L’un (médecin hospitalier actuellement en premier ligne contre le covid), favorable à la vaccination des personnes âgées ou à grande comorbidité, considère néanmoins que ces vaccins n’ayant pas été testés sur des personnes à risque ou de manière très limitée en nombre, ils présentent donc un risque non négligeable… et l’autre, qui n’est autre que mon ami et auteur Bernard Plouvier (ancien chef de service hospitalier, spécialisé en Médecine interne, puis pneumologue des hôpitaux, élu membre de l’Académie des Sciences de New York), je le cite, « qu’on ne sait rien de la protection à distance de la coronarovirose : est-elle immunisante (comme c’est le cas de presque tous les virus) ou la forte propension de ce virus à muter (comme les virus grippaux ou ceux du SIDA) rend-elle cette immunisation illusoire, car chaque souche mutante peut développer sa pathogénicité (son aptitude à rendre malade) ? Il faudra plusieurs années pour le savoir… » et il ajoute que « les génies professoraux qui osent se prononcer un an juste après le début de cette pandémie sont de purs fumistes ! »…

Et donc ?

Et donc, en ce qui me concerne, bien évidemment non ! Mais c’est un choix personnel et chacun doit être libre du sien.

La covid-19 a néanmoins, à ce jour, fait 5 fois plus de morts qu’une grippe…

Il n’en reste pas moins que sa mortalité apparente globale n’est que de 2,1% en 2020 (chiffres de mi-décembre du Resource center de la Johns Hopkins University de Baltimore)… Et puis, il y a effectivement des millions de gens infectés, OK ! Mais pourquoi ne prend-on jamais en considération que seulement 5 % d’entre eux en subissent des conséquences graves, en grande partie dues à l’âge ou à un état de santé physique particulièrement inquiétant (entre autres ceux frappés d’obésité) ? Une moitié des autres n’aura même pas conscience d’avoir été infectée et l’autre moitié n’en subira que des conséquences plus ou moins « légères », telles que des migraines, des douleurs corporelles, une perte provisoire du goût et de l’odorat durant quelques jours, etc. ; les symptômes et les conséquences sont certes diverses, désagréables, mais en rien alarmantes. On saura plus tard quel coefficient multiplicatif il faut appliquer au nombre de cas pour connaître l’expansion exacte de la pandémie, notamment combien de cas totalement inapparents et non dépistés pour un cas réellement dépisté… Toujours selon un autre avis médical, « on saura l’importance des séquelles respiratoires (fibroses pulmonaires et emphysème) grâce à un suivi à 5 ans… ». Alors, tout cela valait-il un gel des économies occidentales, un endettement pharaonique et l’instauration d’un totalitarisme mou ? Bof !

À moins qu’il s’agisse d’une formidable manipulation, tel qu’un film comme Hold-Up entend le démontrer…

Il est certain que la censure scandaleuse et les dénonciations exagérées à l’encontre de ce film regroupant nombre de témoignages et surtout d’interrogations lui a apporté une promotion assez exceptionnelle et sans doute convaincu beaucoup de gens que les thèses qu’il défend sont à prendre en considération. Les réactions de la plupart des gouvernements à la moindre remise en question de leur stratégie de lutte contre la pandémie montrent d’ailleurs beaucoup mieux que tout ce qu’on peut dire ou écrire qu’ils ne sont guère à l’aise avec leurs décisions. Pour ma part, je reste convaincu que nos gouvernants ont uniquement prouvé depuis le début leur parfaite incompétence à gérer la pandémie, commettant bourde sur bourde, appliquant des mesures tardives, décousues, contradictoires, inutiles et catastrophiques ou faisant des déclarations hallucinantes… ne serait-ce que celle du Premier ministre Jean Castex qui interdit aux stations de sport d’hiver tout comme aux bars et aux restaurants d’ouvrir, mais ose dans le même temps conseiller avec une gourmandise de « ravi de la crèche », à ses compatriotes de ne pas hésiter à tout de même aller « respirer le bon air de nos montagnes ! »… C’est quand même digne d’une pochade comique à la Max Pecas, le réalisateur de ces films inoubliables que sont Marche pas sur mes lacets !(1977), Mieux vaut être riche et bien portant que fauché et malfoutu (1980) ou encore On se calme et on boit frais à Saint-Tropez, son ultime chef-d’œuvre en 1987…

De plus en plus d’observateurs commencent à penser qu’en fait, Emmanuel Macron et ses ministres, ne maîtrisent plus rien…

Il serait temps ! L’histoire l’a amplement démontré : il n’y a pas que des intelligences supérieures à parvenir à se hisser aux postes les plus élevés, à accéder aux responsabilités les plus importantes… Qu’on se rappelle l’armée française de 1940 commandée par Maurice Gustave Gamelin, général de son état ! Sa nullité reste un cas d’école… Lisez ce qu’on dit de lui sur internet (Wikipedia) « une faible capacité à mener les hommes ainsi qu’à les organiser, et un manque de charisme général », « des conceptions obsolètes de l’emploi de l’aviation, des chars, des éléments motorisés, de l’artillerie, des fortifications… », « mauvaise organisation du plus haut niveau de l’armée, se caractérisant par une dilution des responsabilités sur un front crucial… », « commandement privilégiant les contacts avec les hommes politiques parisiens – depuis son quartier général de Vincennes – plutôt que la proximité du front », « vision du théâtre d’opérations qui lui fit regarder le secteur des Ardennes comme impénétrable (malgré les avertissements qu’il a reconnu avoir reçus de Belgique) », « (auquel on) ne cessa de signaler en vain l’insuffisance en hommes et en matériel sur ce front et sa perméabilité de fait… »… Remplacez tous les termes militaires par des termes médicaux et transposez-les à la lutte contre la Covid 19 en France… Quand est-ce que les Français vont enfin hurler à leur Président : « Gamelin, sors de ce corps ! »

19:50 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les dettes du gaspillage, de l’immigration et du Covid ne seront pas annulées

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Marc Rousset

La Bourse de Paris et Wall Street ont légèrement progressé cette semaine, suite à la politique accommodante de la Fed et dans l’attente d’un plan de soutien budgétaire aux Etats-Unis. La bulle continue avec Tesla, AIrbnb qui a doublé le jour même de son introduction en bourse, avec le Bitcoin qui s’envole à 20.000 dollars.

La Fed poursuivra ses achats d’actifs jusqu’à une reprise complète de l’activité avec un « QE » (Quantitative easing ) minimum de 120 milliards de dollars par mois. La masse monétaire M1 aux États-Unis qui était de 200 milliards de dollars en 1980, encore de 1.000 milliards de dollars en 2010, s’élève aujourd’hui à 7.000 milliards de dollars.

Les marchés spéculent aussi sur une issue positive concernant le plan de stimulus de l’activité aux États-Unis, en ignorant les statistiques sanitaires du Covid et en concentrant leur attention sur la vaccination progressive des populations. Les démocrates et les républicains pourraient trouver un consensus pour un plan supplémentaire immédiat de 750 milliards de dollars (bonus hebdomadaire de 300 dollars pour les chômeurs, aides pour les entreprises). La plupart des programmes d’aide du Care Act de 2.200 milliards de dollars, voté en mars 2020, prendront fin le 31 décembre 2020.

La situation de la France est catastrophique. Le système de retraite par répartition est menacé. Le comité de suivi des retraites doit bientôt rendre un avis pour sommer l’exécutif de réformer. Voilà trois ans déjà qu’il tire la sonnette d’alarme. Selon Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, le chômage sera de 11 % en France en 2021. Quant au gouvernement, avec un taux de croissance de 6 % en 2021 qui ne sera jamais atteint, il prévoit un déficit public de 8,5 % et un endettement catastrophique de 122,4 % fin 2021. La Cades (Caisse d’amortissement de la dette sociale) qui porte les déficits cumulés de la Sécurité sociale, vient de prendre 136 milliards de dette sociale. Selon Eric Woerth, président de la commission des Finances à l’Assemblée nationale, « quelqu’un va payer un jour ! »

La France est en train de basculer dans l’Europe du Sud. À fin 2020, la dette publique sera déjà de 2.700 milliards d’euros, soit 120 % du PIB. Les rêveurs de l’annulation de dette (Mélenchon, Montebourg) souhaitent effacer les 2.400 milliards d’euros de titres rachetés par la BCE à tous les Etats de la zone euro, soit 556 milliards de dette italienne et 596 milliards de dette française, soit une dette diminuée de 20 % seulement pour la France. Cette dernière n’est pas seule à la BCE et toutes les dettes rachetées aux autres pays devraient aussi être effacées. De plus, si l’on annule les titres détenus par la BCE, cela créera une perte dans ses comptes, qui devra être recapitalisée par tous les États. La BCE ne distribuerait plus aussi les 6,1 milliards d’euros de dividendes payés à la France en 2019. Et d’après Christine Lagarde, cet effacement serait illégal selon les traités. Les effaceurs de dettes sont des vendeurs de vent. Ils risquent seulement de faire monter les taux d’intérêt en effrayant les investisseurs.

Une autre alternative serait la dette perpétuelle des États jamais remboursée, les États ne payant que des taux d’intérêts, mais le jour où les taux remonteront, cela fera très mal aux budgets des États et la dette sera toujours là. La perpétuité véritable des dettes n’existe pas ; un jour ou l’autre, il faut les rembourser.

La troisième possibilité est celle de l’économiste communiste Thomas Piketty qui souhaite faire payer les riches pour rembourser la dette par des hausses d’impôt sur le revenu ou des nouveaux impôts sur la fortune afin de faire fuir les derniers riches qui n’ont pas encore quitté le territoire français. L’imbécillité de l’ISF : rapport annuel de 5 milliards d’euro pour le budget de l’État, coût annuel pour le PIB français, 50 milliards d’euros !

Le processus de destruction des monnaies continue et d’ici un an ou deux le problème des dettes de l’Europe du Sud, dont la France, fera exploser le Système en même temps que la zone euro. La solution retenue sera celle dont personne ne parle : la banqueroute ou, beaucoup plus probablement, la dévaluation des nouvelles monnaies nationales et l’hyperinflation.

Lire aussi Boulevard Voltaire cliquez là

12:07 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Arcadia, le nouvel album CD de Christoff BZH

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En octobre 2019, Christoff BZH se produisait lors du

Rendez-vous Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale

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Entretien avec Thibaud Gibelin : Pourquoi Viktor Orbán joue et gagne

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Propos recueillis par Lionel Baland

pour EuroLibertés cliquez ici

Thibaud Gibelin publie un ouvrage intitulé Pourquoi Viktor Orbán joue et gagne (Fauves éditions) cliquez là. Lionel Baland l’a interrogé pour Eurolibertés sur le succès rencontré par le Premier ministre hongrois Viktor Orbán

Viktor Orbán est un démocrate-chrétien qui adhérait autrefois aux idées libérales et qui est désormais un national-conservateur. Comment expliquez-vous cette évolution ? Quelles sont les parts d’opportunisme politique et de conviction réelle dans ce changement ?

Viktor Orbán n’est pas un idéologue. Les options doctrinales servent seulement de coordonnées sur l’échiquier politique. Par « idées libérales », il faut entendre qu’à la charnière des années 1980 et 1990 Viktor Orbán désire tourner le dos au modèle socialiste sclérosé et à la domination supranationale soviétique qui pèse sur la Hongrie depuis des décennies. Le système qui prévaut à l’ouest semble un contrepoids, un point de fuite pour refonder la Hongrie sur des bases saines.

La volonté de s’affranchir du XXe siècle est très vive chez les jeunes frondeurs à l’origine du Fidesz (le parti fondé en 1988 que préside Viktor Orbán NDLR).

Au point qu’ils siègent dans l’opposition, suite aux premières élections libres en 1990, face à la majorité conservatrice qu’a réunie le Forum démocrate hongrois (MDF) de Jozsef Antall. Mais il s’avère que la Hongrie passe d’une sujétion à une autre, du bloc de l’Est au monde unipolaire qu’entendent mener les États-Unis.

Le modèle libéral n’est pas une option mais une obligation, comme le démantèlement de la Yougoslavie l’illustre impitoyablement à la frontière même de la Hongrie. Les anciens relais de Moscou passent au service des intérêts occidentaux, sous l’étiquette de libéraux et de socialistes. On assiste donc à un repositionnement d’Orbán, et il entraîne le Fidesz dans sa trajectoire. S’il semble de plus en plus éloigné des idées libérales, c’est qu’elles suivent une évolution incompatible avec la sensibilité démocrate-chrétienne d’Orbán.

Le succès de Viktor Orbán a lieu au sein d’un pays, la Hongrie, qui a gardé un relativement bon souvenir du régime de l’amiral Horthy, régent du royaume de Hongrie de 1920 à 1944, et malgré de lourdes pertes en nombre de militaires sur le Front de l’Est, une conscience nette à l’endroit de la Seconde Guerre mondiale. Le succès de Viktor Orbán serait-il possible dans un pays au sombre passé comme celui de l’Allemagne ?

En 2014, une statue a été inaugurée à Budapest, représentant l’ange Gabriel comme allégorie du pays attaqué par un aigle portant la date 1944. Ce monument commémore l’invasion du pays par l’Allemagne en 1944, un an avant le déferlement de l’Armée rouge. Le narratif hongrois est limpide : les deux totalitarismes sont renvoyés dos à dos. Une « Maison de la Terreur » inaugurée sous le premier gouvernement Orbán affiche aux visiteurs nationaux et étrangers cette lecture de l’histoire. Autant dire que la repentance n’est pas à l’ordre du jour. La Hongrie se trouve dans le camp des vaincus dans tous les grands conflits du XXe siècle.

Cette période est pour elle, comme généralement pour l’Europe centrale, une éclipse singulièrement déprimante. Il me semble que la résurgence de l’Europe centrale – qui est le sous-titre de mon livre – tient à un grand détachement vis-à-vis du siècle de 1914 et à la capacité à puiser dans une histoire plus ancienne la force de s’affirmer aujourd’hui. On est loin, en effet, du cas allemand.

La Hongrie actuelle est un peu la France des années 1960. Mais n’est-ce pas une illusion ? Le pays n’est-il pas engagé dans la mondialisation, avec seulement quelques décennies de retard sur l’Europe occidentale ?

Je ne crois pas que le parallèle soit tenable. La Hongrie n’est pas une grande puissance et l’Union Européenne actuelle évoque bien davantage les agonies (et les engendrements) des années décisives que l’évolution muette et irrésistible de sociétés stables. Je ferai plutôt un parallèle franco-français, entre les années 1720 et 1780 d’une part, et les années 1950 à 2020 d’autre part. Une longue sclérose entraîne l’agonie en France d’un « Ancien Régime ». Mais la Hongrie actuelle échappe à nos déterminismes, comme celle de 1780 ignorait nos réalités prérévolutionnaires.

En revanche, depuis trente ans l’Europe centrale est arrimée à l’Europe occidentale. Dès 2010 la volonté d’un relèvement national ramène Viktor Orbán au pouvoir et la crise migratoire a permis à l’Europe centrale de prendre conscience d’elle-même. C’est la très légère et incertaine esquisse d’une alternative générale, mais c’est aussi la seule qu’ait présentée le Vieux continent depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.

Le fait que la Hongrie n’abrite pas de nombreux immigrés est-il dû à la politique de Viktor Orbán ou au manque d’attractivité de la Hongrie pour les migrants, attirés avant tout par les pays occidentaux au niveau de vie et aux allocations sociales plus élevés, et au fait que le pays dispose d’un prolétariat autochtone acceptant de travailler pour un salaire relativement bas ?

Les deux raisons sont valables et complémentaires. Les pays centre-européens n’ont pas connu l’aventure coloniale, et cette relation inversée qu’est l’immigration de peuplement en Europe leur est d’autant plus étrangère. La révolution industrielle précoce et les « Trente glorieuses » sont aussi des réalités économiques étrangères à l’est du monde germanique, ce qui rend moins concevable encore de généreuses politiques sociales.

Mais la démographie du Sud est telle que la pression migratoire s’exerce de façon croissante et systématique sur tous les pays du Nord. Quand on observe les conditions de vie des migrants en périphérie de nos métropoles ou sur l’île de Lesbos, comment imaginer que l’Europe centrale demeure longtemps exempte de colonisation sans volonté politique forte ?

Autrefois, le Jobbik, à l’époque parti nationaliste radical, avait le vent en poupe. Désormais, cette formation est affaiblie au niveau de ses résultats électoraux. Viktor Orbán n’a-t-il pas pris un tournant nationaliste afin de couper l’herbe sous les pieds du Jobbik et le réduire ?

En matière de stratégie politique, Viktor Orbán est redoutable : il ne fait de cadeau à aucun parti adverse. Il anticipe des objectifs écologiques pour ne pas abandonner ce terrain aux Verts. Concernant le Jobbik, qui était en pointe sur les questions identitaires, l’agenda international a offert au Fidesz de quoi surclasser son adversaire. Habilement mise en scène, la protection de la frontière et le refus des quotas de migrants ont démontré l’efficacité de Viktor Orbán en la matière. De plus, le Jobbik s’est lui-même tiré une balle dans le pied en cultivant une opposition de principe face à Viktor Orbán et en s’alliant aux partis de gauche.

Le Fidesz de Viktor Orbán est membre du PPE, le Parti populaire européen, avec d’autres partis démocrates-chrétiens et sociaux-chrétiens de pays de l’Union Européenne. Il est aussi proche du parti Droit et justice (PiS) qui dirige la Pologne ou du parti italien Frères d’Italie de Giorgia Meloni. Ces deux formations étant membre du Parti des conservateurs et réformistes européens, le Fidesz pourrait-il changer de parti et rejoindre ce dernier ?

Le Fidesz avait rejoint le PPE à l’invitation du Chancelier Helmut Kohl au début des années 1990. C’est la formation politique la plus puissante, en tout cas la plus présente en Europe. Viktor Orbán n’a aucun intérêt à la quitter. Certes, le Fidesz en est suspendu depuis 2019. Mais il s’avère impossible de l’exclure, de l’aveu même de Donald Tusk, président du PPE. Aussi Viktor Orbán manœuvre-t-il à l’intérieur de ce mouvement sans se priver de nouer des relations avec d’autres partis. Cette réalité nous ramène au début de l’entretien : c’est afin de mener une politique d’intérêt national que Viktor Orbán exploite l’affiliation partisane ou les références idéologiques.

 

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samedi, 19 décembre 2020

Journal du chaos

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Le nouveau numéro du Harfang, le magazine identitaire québécois est paru

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Merci Jean-Pierre Pernaut

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Par Périco Légasse

Après avoir salué trente-deux années durant ces fiertés nationales qui, sans avoir le prestige d’une toile de Gauguin ou d’un parfum de Guerlain, rappellent combien ce pays recèle de beautés intimes, de trésors cachés, de reliques enfouies, Jean-Pierre Pernaut annonce qu’il tirera sa révérence du 13 heures de TF1 le 18 décembre. Une page d’histoire de la télé se tourne, dont un chapitre écrit au vitriol lorsque son journal fut pris à partie – un peu comme on suggère aujourd’hui de déboulonner des statues – par ceux qui voient dans ce programme quotidien l’éloge d’une France qui aurait des choses à se reprocher.

Une France coupable de perpétuer des valeurs conformes à une certaine idée d’elle-même, assimilée, par ceux qui l’ignorent, voire la méprisent, à une résurgence inquiétante de son identité nationale. Appelés au secours pour renforcer l’anathème lancé par une intelligentsia s’étant à peu près trompée sur tout, Barrès, Péguy et Maurras se retrouvaient hissés à la production du journal télévisé de 13 heures de la première chaîne de télévision française.

Ces imbéciles heureux qui sont nés quelque part

De quoi s’agissait-il ? De démontrer l’indécence d’une émission qui s’obstine à parler des trains qui arrivent à l’heure, des imbéciles heureux qui sont nés quelque part et des villages de Mohicans ayant eu la mauvaise grâce d’échapper aux affres de la globalisation. Du Pardon du beurre à Spézet (Finistère), des pipiers de Saint-Claude (Jura), de la Foire de l’ail rose à Lautrec (Tarn), de la dentelle d’Alençon, de la corderie de Saint-Pantaléon-de-Larche (Corrèze), du coquelicot de Nemours, des fondeurs de cloches de Robécourt (Vosges), de l’andouillette de Clamecy (Nièvre), des castagnades (fêtes de la châtaigne) du Vivarais ou de la ganterie à Millau, etc., comme des fleurons d’une actualité louant une France que le modernisme idéologique veut réduire à l’anecdote folklorique.

Des paysages humains attestant d’une forme de civilisation française, mais surtout un patrimoine culturel et social témoignant du foisonnement des talents et des savoirs dont ce peuple a fait sa force et sa richesse jusqu’à ce que le libre-échange néolibéral ne l’éradique au nom du progrès financiarisé. Voilà ce que montre le 13 heures de Jean-Pierre Pernaut, depuis 1988, en ponctuant les malheurs de l’époque de quelques pétales de bonheur tricolore. Une France profonde, laborieuse, rurale, enracinée, cumulant tous les symboles qui inspirent de l’effroi aux détracteurs du film les Choristes comme aux idéologues du multiculturalisme, et pourtant une France populaire qui fait encore vibrer les cœurs et les esprits.

Le journal le plus regardé d’Europe

Records d’audience inégalés, toutes chaînes confondues, avec 40 % de parts de marché. En juin 2020, une enquête confirmait que, avec plus de 5 millions de téléspectateurs, ce JT est le plus regardé d’Europe. Des scores qui durent depuis vingt ans. Que les enseignes cocardières de la France éternelle puissent encore susciter, malgré les barricades émancipatrices de Mai 68 et l’euphorie sociétale issue du 10 mai 1981 (suite logique du processus), l’admiration du peuple donna vite de l’urticaire à l’intelligentsia libérale socialiste et à la gauche altermondaine.

Promouvoir chaque jour, entre autres joyaux de nos provinces, un savoir remontant à Napoléon III, un rituel maintenu par Vichy (donc forcément coupable) et toujours célébré sous de Gaulle, tout en faisant l’éloge de recettes inscrites à l’inventaire des monuments culinaires ou de traditions ancestrales encore vénérées devint insupportable à ceux qui pensaient le culte de « la France d’autrefois » enfin extirpé des consciences. Pétain, sors de ce porc ! Du pâté, faisons table rase ! Andouille de Vire, nous voilà ! Je fais à la France le don de ma choucroute ! Quand le poujadisme prend des accents patriotiques, il est temps de sonner l’alarme.

"France moisie"

Le concept de « France moisie » fut inventé par Philippe Solers à ce moment précis. En pensant peut-être à cette France qui porte en elle les stigmates de l’âme française et dont Jean-Pierre Pernaut nous confirme qu’elle est celle dont la pérennité est une insulte aux thèses expliquant que c’est le maître qui doit apprendre de l’élève, que la laïcité est un leurre colonialiste et que la plage est sous le pavé des 35 heures. Lisons plutôt : « Elle était là, elle est toujours là, on la sent, peu à peu, remonter en surface : la France moisie est de retour. Elle vient de loin, elle n’a rien compris, ni rien appris, son obstination résiste à toutes les leçons de l’histoire, elle est assise une fois pour toutes dans ses préjugés viscéraux. [...] Ce n’est pas sa souveraineté nationale que la France moisie a perdue, mais sa souveraineté spirituelle. Elle a baissé la tête, elle s’est renfrognée, elle se sent coupable et veut à peine en convenir, elle n’aime pas l’innocence, la gratuité, l’improvisation ou le don des langues. [...] La France moisie a toujours détesté, pêle-mêle, les Allemands, les Anglais, les juifs, les Arabes, les étrangers en général, l’art moderne, les intellectuels coupeurs de cheveux en quatre, les femmes trop indépendantes ou qui pensent, les ouvriers non encadrés, et, finalement, la liberté sous toutes ses formes. La France moisie, rappelez-vous, c’est la force tranquille des villages, la torpeur des provinces, la terre qui, elle, ne ment pas, le mariage conflictuel, mais nécessaire, du clocher et de l’école républicaine. C’est le national social ou le social national. » Oui, il a écrit ça, le génie chéri de la pensée germanopratine béhachélisée, dans les colonnes du Monde, le 28 janvier 1999. Elle est pas belle, la vie ?

La France du "non"

N’en doutons pas, l’idée a fait son chemin et ne se porte pas si mal. D’aucuns en ont fait bon usage pour expliquer les dérives populistes de notre société. Alors les traditions, le patrimoine, les artisans, le mérite, les spécialités, le terroir, tous ces symboles aux relents suspects n’ont qu’à bien se tenir, les chiens de garde du nirvana globalisé veillent à l’éradication de la « France moisie », surtout si elle vote « non » au référendum constitutionnel de 2005 ou fait griller la merguez sur les ronds-points.

Mais, heureusement, il y a JPP et son journal de 13 heures pour nous rappeler que, tant qu’il y aura des hommes et des femmes animés par la passion de préserver et de transmettre ce qui fait aussi la beauté de cette nation, la flamme de la résistance française ne s’éteindra pas. En janvier 2021, gageons que la présentatrice Marie-Sophie Lacarrau – actuellement sur France 2 – et son équipe continueront à brandir l’étendard de ces petites patries qui ne veulent pas mourir et à réjouir les amateurs de broderie et de céramique, de tissage et de reliure, de salaisons et de confiseries, de marchés paysans et de comices agricoles. « En Afrique, quand un vieillard meurt, c’est une bibliothèque qui brûle. » Cette phrase de l’écrivain malien Amadou Hampâté Bâ vaut pour l’humanité entière. Le journal de 13 heures de TF1 ne dit pas autre chose en consacrant toutes les gloires de la France.

Source : La Lettre de Marianne du 18/12/2020

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vendredi, 18 décembre 2020

Parution du nouveau numéro (n°31) de Livr'arbitres consacré à Pierre Gripari...

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12 euros, en vente dans

les librairies non-conformistes.

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MACRON MALADE DU COVID VA-T-IL SE SOIGNER ?

MNR.jpgUn communiqué du MNR :

Hier jeudi 17 décembre 2020, notre président a été testé positif au Covid-19, avec quelques symptômes.

Certes, à son âge (43 ans) il est peu probable que sa vie soit en danger. Néanmoins, il ressent de la fatigue, qui cesserait probablement s'il consentait à se faire appliquer le protocole Raoult : de nombreuses études ont montré que ce dernier est très efficace appliqué au début.

Malheureusement, notre président avait déclaré qu'il n'y ferait pas appel s'il était touché : il faudrait donc qu'il se déjuge, et qu'il désavoue tous ceux qui n'ont cessé d'empêcher l'utilisation de cette méthode. Cependant, s'il avait le courage de reconnaître ses torts à ce sujet, il tiendrait une occasion en or de sauver le pays, et peut-être le monde entier...

Nous attendons (sans nous faire d'illusions) avec intérêt l'attitude de Macron dans les jours qui viennent : la survie du pays peut en dépendre.

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Miracle de Noël ! M6 célèbre une famille française traditionnelle !

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Henri Dubost Riposte laïque

Je dois d’abord vous avouer un truc : j’ai définitivement jeté ma téloche aux orties lors de l’entre-deux tours de la présidentielle 2002 cliquez ici Pendant ces deux semaines infernales, impossible d’ouvrir le petit écran, comme on dit, sans tomber sur de longs comptes-rendus, images à l’appui, de manifs monstres qui dénonçaient le « risque fasciste » dans notre beau pays, ou sur des interviewes récurrentes de quidams plus ou moins connus (hommes politiques, syndicalistes, présidents d’associations locales de pêcheurs à la ligne, de donneurs de sang, etc.) qui vous adjuraient de voter Chirac pour faire barrage à la Bêêêête Immmmmonde. C’est à cette époque-là que j’ai vraiment compris le roman d’Orwell « 1984 », que je tenais jusque-là pour un livre de pure science-fiction.

Mais ce n’est pas du tout ce que je voulais vous raconter aujourd’hui

Ce dont je voulais vous parler, c’est de cet article de Gabrielle Cluzel, article sur lequel je suis tombé en feuilletant « Boulevard Voltaire » lundi 14 décembre dernier, et du miracle qui s’est produit le lendemain (sans rapport, j’imagine, avec ledit article, encore que l’archange Gabriel, très sollicité en cette période de l’Avent, ait pu jouer son petit rôle dans l’histoire, allez savoir) cliquez làQu’est-ce que j’y apprends ? Qu’il existe sur M6 une émission appelée « La France a un incroyable talent », au cours de laquelle des artistes amateurs se produisent devant un public et les caméras de la chaîne, un jury ad hoc étant chargé de trier le bon grain de l’ivraie. Bref, un « Radio crochet » de mon époque, l’image, les paillettes et la diversité en plus.

Qu’est-ce que j’y apprends d’autre ? Qu’une famille versaillaise, les Lefebvre, des Français de souche donc, ont réussi, grâce à une prestation vocale à la fois impeccable et on ne peut plus classique, à séduire un jury dont on imagine qu’il est plutôt acquis à tout ce qui ressemble de près ou de la loin à la diversité, au métissage, à la mouvance LGBT, voire LBM, et autres lieux de rendez-vous incontournables de l’idéologie mondialiste. Bref, les Lefebvre sont un peu les Le Quesnois de « La vie est un long fleuve tranquille » cliquez iciqui seraient confrontés non à de franchouillardes familles Groseille (le film date de 1988, une époque où la France était encore globalement française), mais au pittoresque univers coloré de nos banlieues « populaires », si vous voyez ce que je veux dire. Je cite Gabrielle Cluzel, témoin télévisuelle de la surprenante « conversion » du jury :

« Le jury a relevé la perfection de l’unisson des voix, comme si elle était le reflet de celui des cœurs. Il a reconnu être parti « moqueur », pour railler les « clichés de Versailles, des cathos, des grandes familles », et avoir trouvé leur prestation « magnifique » au point d’avoir envie de « faire partie de cette famille » ».

Et dans le même article, j’apprends enfin que la finale a lieu le lendemain, mardi, et que les téléspectateurs pourront voter. Alléchant, certes, mais pas de quoi me décider à racheter une télé. Surtout si c’est pour assister, comme c’était a priori probable, à la « bidenisation » du vote, les Lefevre-Le Quesnois se faisant finalement damer le pion, via des moyens crapoteux mais efficaces, par un quelconque groupe de rap, simiesque à souhait et donc tendance.

Lire aussi cliquez ici

J’en étais donc resté là lorsque, mercredi 16 décembre en fin d’après-midi, je reçois le mail enthousiaste d’un ami qui m’annonce… la victoire des Lefebvre-Le Quesnois ! Incroyable. N’ayant pas assisté à la finale, je lui laisse la parole :

« Me voilà, accroché devant M6 ce mardi soir, je n’y crois toujours pas moi-même !

Je constate que ce n’est pas un duel mais qu’il y a huit ou dix finalistes. Ça me semble mal embarqué pour notre chorale familiale qui paraît terriblement « has been » par rapport à tous ces groupes de jeunes blacks-blancs-beurs, acrobates de rues et gigoteurs urbains.  

Je constate également que les membres du jury se contentent effectivement d’un rôle d’influenceur critique, mais ne participent pas au vote final.

Je me tape (c’est vraiment la corvée) la prestation de tous les concurrents. On se demande vraiment ce que la famille Lefebvre fait dans cette galère.  

Les Lefebvre choisissent d’interpréter un chant de Noël, qui détonne complètement au milieu du slam et du rap des autres.

À la fin de l’émission, deux candidats sont sélectionnés : Les Lefebvre et un groupe de jeunes de la diversité, qui se trémoussent dans un style très « racaille attitude ».

Les Lefebvre sont filmés chez eux, tous réunis sagement dans leur salon au mobilier classique, très correctement habillés. Une vraie pub pour la famille traditionnelle, celle justement que la société libérale-libertaire et ses médias aux ordres vomissent.

Face à eux, des djeun’s filmés là où ils se sont réunis, look « racaille », borborygmes incompréhensibles. Ils s’exhibent, collés les uns aux autres, doigts croisés, un signe cabalistique dont on se souvient qu’il parle tout particulièrement au président Macron lorsqu’il enlace le torse nu et délicieusement musqué de ces zozos.

Et le résultat tombe comme un coup de tonnerre : le public donne la victoire aux cathos versaillais ! Les djeun’s, certains de leur victoire, sont KO debout. D’ailleurs ils ne féliciteront même pas les vainqueurs. Les jurés tentent de cacher leur déception et essayent de faire bonne figure. »

Attendez, les amis, ne partez pas ! Ce n’est pas fini…

Le lendemain, « La Dépêche », qui n’en rate décidément pas une, titre : « La France a un incroyable talent : les internautes enragent après la victoire de la famille catholique Lefebvre » et reproduit quelques tweets (orthographe garantie d’origine) censés justifier son titre (« LES internautes enragent » : bel exemple d’amalgame, non ?)  cliquez là« Vous allez me dire que y’a des millions de gens en France qui ont voté pour la famille Lefevre alors que tout les autres talents était 1000 fois meilleure que eux ? MAIS PTDRR GROSSE BLAGUE »

« Je vous juure je vais chialer mdrw la famille Lefèvre qui gagne… probablement les moins meritant de cette saison ».

« Il y a ceux qui se produisent dans la rue. Ceux qui travaillent durant des nuits et qui se blessent gravement. Ceux qui portent un message puissant qui transcende le monde. Et puis il y a ceux qui créent une chorale familiale dans leur salon de Versailles… et qui gagnent »

« Dans le genre l’année 2020 continue bien sur sa lancée : la famille Lefèvre qui gagne Incroyable Talent ET les 100 000 €…je suis à bout »

D’autres tweets tombent dans la cathophobie (nullement répréhensible sous nos climats) :

« Cette émission de base c’est fait pour des gens qui font des truc de ouf des truc qui te donne envie de payer pour le voir la t’a pas envie tu va a la messe le dimanche matin tu l’a gratuitement » cliquez ici

Rien que pour avoir le plaisir de lire ces tweets enragés, merci à vous, les Lefebvre !

Source cliquez ici

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Allô, professeur Ignace...

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10:06 Publié dans IGNACE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le goulag pour les covidosceptiques ?

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Par Camille Galic

Après la chasse aux climatosceptiques, la traque des covidosceptiques. Fermeture par Facebook, sous prétexte que leurs publications « ne respectent pas les standards de la communauté », de plusieurs groupes de soutien au professeur Didier Raoult, coupable de trop prôner l’hydroxychloroquine et de trop critiquer la gestion de l’épidémie par l’Etat-Macron. Déchaînement contre le Pr Christian Perronne (« Un guignol qui ne dit que des c... », cf. le docteur Mathias Wargon, époux de l’énarque Emmanuelle Wargon, elle-même fille du catastrophique ministre Lionel Stoléru, ancienne directrice de cabinet de Martin Hirsch et actuel ministre du Logement) depuis la publication de son réquisitoire publié par Albin Michel, Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ?, et ses mises en garde contre les vaccins basés, comme celui de Pfizer, sur la thérapie génique. Offensive contre le Pr Eric Caumes, infectiologue star, critique de son confrère Raoult mais lui aussi très inquiet par la diffusion massive de ces vaccins miracles, fabriqués à la va-vite. Enfin, internement psychiatrique à Uzès le 10 décembre du Pr Jean-Bernard Fourtillan, figure anti-vaccin sur les réseaux sociaux et intervenant du documentaire Hold-up où il incriminait l’antenne chinoise de l’Institut Pasteur dans la diffusion du  « virus de Wuhan ». Faut-il que le Pouvoir se sente morveux pour instaurer une telle répression au mépris des valeurs républicaines dont il se gargarise ! Quant aux Verts, champions de la lutte anti-OGM, comment expliquer leur passivité devant les vaccins OGM ?

 Source : Présent 15/12/2020

09:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 17 décembre 2020

Le discours le plus important de Trump du 2 décembre 2020

Le 2 décembre, le président Trump a prononcé un discours pendant 46 minutes, dans ce qu'il appelle "le discours le plus important qu'il ait jamais fait". Il a affirmé que les médias et même les juges savent qui a gagné l'élection mais refusent d'accepter les preuves. Il a déclaré "notre pays a besoin de quelqu'un" capable d’accepter la vérité.

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Source : NTD Français

18:25 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

DEFEND EUROPE mission Alpes : Relaxe générale pour Génération Identitaire !

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Communiqué de Génération identitaire :

Le 21 avril 2018, nous avions dressé un poste-frontière symbolique au Col de l’Échelle, haut-lieu de passage des migrants clandestins entre l’Italie et la France depuis quelques années. Deux ans et demi après notre action « Defend Europe » dans les Alpes, nous sommes donc enfin relaxés. La victoire en appel est aussi éclatante que les peines étaient sévères en première instance.

Rappelons que trois militants avaient été condamnés à 6 mois de prison ferme, des amendes et à la privation de leurs droits civiques et familiaux.

Comme si cela ne suffisait pas, notre association avait été sommée de payer une amende de 75 000 €, soit le maximum prévu par la loi.

En appel, c’est donc le droit qui a prévalu et non les accusations fantaisistes et l’animosité du procureur de la République. Nous ne sommes pas dupes de la méthode, il s’agissait de maintenir la pression le plus longtemps possible sur notre mouvement. Dans l’espoir que cela nous découragerait.

C’est tout l’inverse qui s’est produit. Aujourd’hui, les Français savent qu’avec un peu de volonté, il est possible d’arrêter l’immigration illégale. Le gouvernement sait qu’avec Génération Identitaire son laxisme ne passera plus inaperçu.

18:16 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Luc Montagnier au défi de la vérité

Luc Montagnier a choisi FranceSoir pour s'exprimer et relever "le défi de la vérité", c'est donc au micro de Richard Boutry qu'il revient sur la tourmente qui a agité le monde scientifique ces derniers mois.

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Source : franceSoir

17:45 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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13:01 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La France entre en dépression

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Par Anne Isabeth

Depuis le 17 mars dernier, la France re- tient son souffle. Une sorte de gigantesque apnée qui est en train de tuer la population à petit feu. Pendant ce temps-là, notre gouvernement s’improvise médecin et en a oublié de gouverner. A écouter les grands pontes du conseil scientifique il faudrait arrêter de vivre jusqu’à la disparition complète du virus. Sous peine d’en mourir. Sauf que les mesures censées épargner la santé des Français sont en train de les tuer beaucoup plus sûrement et de façon beaucoup plus systématique que ne le ferait le coronavirus. Financièrement, c’est évident, mais aussi psychologiquement.

Interrogé sur Europe 1 le 12 décembre, Serge Hefez, responsable du service psychiatrique de l’enfant et de l’adolescent à la Pitié-Salpêtrière, s’inquiétait de la santé mentale des Français : d’après lui, 20 % de la population est en train de basculer dans la psychiatrie. Les données publiées par Santé publique France ne disent pas autre chose : les troubles anxieux ont augmenté de 20 % de même que les idées suicidaires. « Et chaque fois que les pensées suicidaires augmentent, les passages à l’acte augmentent », prévient Serge Hefez. « On a une augmentation des demandes de gens qui n’avaient pas de recours au dispositif de santé mentale. On a des difficultés à y faire face depuis la fin de l’été. Dans les demandes, ça a été multiplié par quatre environ, avec des manifestations anxieuses, dépressives et des conduites addictives », s’alarme le professeur Pierre-Michel Llorca, chef de service de psychiatrie au CHU de Clermont-Ferrand.

La famille : lieu de refuge

Jérôme Salomon, directeur général de la santé, a lui-même reconnu que la santé mentale des Français s’était de nouveau dégradée entre fin septembre et début novembre. Les voyants sont au rouge. Que fait l’Etat ? Rien, hormis la mise en place d’un numéro vert et la promesse d’aides à la pelle. Aides qui souvent tardent à arriver – les témoignages sont légion – ou qui n’arrivent tout simplement pas parce que vous ne rentrez pas dans les cases. En attendant, la crise sanitaire accouche d’un peuple dépressif et, de fait, manipulable à souhait, que la perspective d’un nouveau confinement plongerait dans la terreur. Tout mais pas ça ! Rien de tel pour faire passer des lois liberticides.

Quel remède à cela ? La famille ! Le couple et la famille sont identifiés par les psychiatres comme un « lieu de refuge ». Les médias ont été plus prompts à relayer les violences intrafamiliales qu’à mettre en avant ses avantages. Pourtant, d’après Pierre-Michel Llorca : « Le couple, la famille, avec une organisation fonctionnelle, la capacité de s’épauler constitue un lieu de refuge. C’est un élément important. En termes de vulnérabilité, si vous êtes seul, vous êtes plus vulnérable que si vous êtes en couple, dans l’absolu, de matière épidémiologique. Les gens qui sont seuls ont plus de risques d’avoir des troubles psychologiques et psychiatriques. La qualité de notre support social est vraiment un élément essentiel pour la protection face aux aléas de la vie. » Cette même famille qui se trouve dans le viseur du gouvernement, que l’on cherche à détruire à travers des lois dites « sociétales » et dont on nie désormais la capacité à éduquer ses enfants. Bref, cette famille qui est le premier et le plus sûr rempart à la folie de notre temps.

Source : Présent 16/12

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