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jeudi, 17 décembre 2020

Sortie du nouvel album de dessins d'Ignace... Un cadeau parfait pour Noël

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Tous les jours, dans différents médias non-conformistes, Ignace, dessinateur de talent croque avec à-propos et insolence l'actualité.

Dans ce nouvel album, vous retrouverez ses meilleurs dessins de l'année 2020. Un régal.

230 pages, env. 600 dessins, nov. 2020, 24€.

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12:55 Publié dans IGNACE, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LE CATALOGUE DE "SYNTHÈSE ÉDITIONS" HIVER 2020-2021 EST ACTUELLEMENT ENVOYÉ...

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12:54 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Covid-19 : l’étincelle avant le Grand Reset ? avec Pierre Hillard

"Le Covid-19 est l'élément déclencheur et voulu pour procéder à la bascule aboutissant à un nouveau monde d'essence totalitaire". Voilà comment le spécialiste de l'idéologie mondialiste, Pierre Hillard, voit les choses. Pour appuyer sa théorie, l'invité de "Politique & Eco" s'appuie sur des faits : la leçon de numérologie de Christine Lagarde, l'étrange Une du magazine The Economist de janvier 2019, les nanoparticules dans le vaccin de la fondation Bill Gates ou encore la prochaine réunion du Forum de Davos intitulée "Le temps de la grande remise à zéro". Pour Pierre Hillard, l'objectif final des mondialistes est l'avènement d'une gouvernance et d'une monnaie mondiale encadrant une humanité réduite, surveillée, tyrannisée et asservie au bon fonctionnement de la machine économique...

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Terminée la série “Mongeville” : trop blanc, trop bourgeois, trop vieux ?

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Daniel Boutonnet Boulevard Voltaire

Le sujet pourrait sembler secondaire mais il est ô combien significatif de la ligne générale destructrice insufflée par la présidente de France Télévisions.

Succinctement Mongeville est une série policière française apparue en 2013. Son personnage principal, Antoine Mongeville, est un juge à la retraite qui vient prêter son concours dans ses enquêtes à une jeune capitaine de . Le rôle d’Antoine Mongeville est excellement interprété par Francis Perrin, celui du capitaine Valentine Duteil par la non moins excellente Gaëlle Bona.

La complicité entre les deux personnages, voulue par les auteurs mais visiblement bien réelle entre les deux vedettes de la série, l’humour de bon goût toujours présent, sans doute aussi l’absence d’images disons gores ou de scènes ultra-violentes dans lesquelles se complaisent souvent d’autre séries et des scénarios plutôt bien ficelés, avec beaucoup de vedettes invitées, ont visiblement séduit les téléspectateurs, leur nombre dépassant les 5 millions en 2020, ce qui ravirait bien des chaînes.

Donc tout allait pour le mieux. C’était sans compter sur cet « ami » qui nous veut du bien : le sacro-saint progressisme. Car, pour le bien-pensant, Mongeville cumule toute les provocations !

Premier mauvais point : la diversité tant prônée par Delphine Ernotte est quasi absente du commissariat ; même l’acariâtre commissaire est blanc et, horreur, il porte costume et cravate au lieu de ressembler à un repris de justice.

Second -très- mauvais point, aucun épisode dénonçant le « suprémacisme blanc », le racisme de la police, pas de message politique sur la stigmatisation et l’oppression des minorités.

On est déjà clairement dans l’incorrect ! Maintenant, pire, les deux personnages vedettes.

La capitaine Duteil : elle est blanche, jolie, est célibataire mais n’est pas lesbienne et n’a pas d’amant issu de la diversité non plus. Une liaison sulfureuse avec le juge alors, avec scènes adéquates ? Même pas, c’est dire le côté ringard !

Reste le meilleur pour la fin : le juge lui-même. Là c’est un feu d’artifice : si sa passion est l’ornithologie, ce qui devrait satisfaire pourtant les écolos, il habite une belle et grande demeure bourgeoise à l’intérieur classique raffiné, s’exprime en homme cultivé dans un langage châtié, s’avère un gastronome averti et un cuisiner hors-pair, est amateur de grands vins et de cognac, mais aussi de musique classique et d’opéra (oui, d’opéra !!!), veste, cravate et élégance lui sont également familières et, comble de l’infamie, redoutable destructeur de planète, il conduit une belle berline Jaguar ! Et puis, 73 ans, vous imaginez ? Bref, en clair, un conservateur réactionnaire de la pire espèce.

Avouons qu’une telle série ne pouvait polluer plus longtemps une chaîne de France Télévisions. Ainsi en a donc a priori décidé brutalement la direction, apparemment sans la plus élémentaire courtoisie vis-à-vis des acteurs.

Source cliquez ici

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mercredi, 16 décembre 2020

9 QUESTIONS A CELUI QUI NOUS GOUVERNE - Père Viot

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Pourquoi le nucléaire est notre avenir

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Par Edouard Tétreau

Nous n’avons plus les moyens de nous payer ces jouets-là. » En apprenant la semaine dernière la décision du président de la République de construire le successeur du porte-avions nucléaire « Charles-de- Gaulle », je me suis rappelé cette phrase d’un mandarin de l’administration juridico-comptable du pays. Je rentrai d’un séjour à bord de ce porte-avions, en 2014, impressionné par l’autonomie et la puissance de ce bâtiment tirant derrière lui nos industries de pointe : nucléaire, aéronautique, chantiers navals, systèmes de télécommunications, de signalisation et de radars. Non, le porte-avions « Charles-de- Gaulle » n’est pas un « jouet » pour haut fonctionnaire cynique : sans lui et son successeur, notre dissuasion, notre capacité à nous déployer diplomatique- ment et militairement partout dans le monde, et la pérennité de nos industries les plus stratégiques, seraient en danger de mort.

Emmanuel Macron, contre les lobbies du désarmement industriel et militaire français, si présents à Moscou, Bruxelles, Londres, Washington, mais aussi dans la haute administration, les ONG et associations écologistes, a tranché. Il a décidé que la France, contrairement à l’Allemagne, ne sortirait ni de l’Histoire ni du nucléaire. L’Histoire, d’abord : dans le monde de plus en plus dangereux dans lequel nous vivons, obérer sa capacité de projection de forces est une folie. Le « Charles-de-Gaulle » a contribué à éradiquer l’Etat islamique après 2015 (raids sur Raqqa) ; il tient en respect la belligérance croissante du régime national-islamiste turc de M. Erdogan ; son successeur nous permettra de continuer de jouer un rôle en Méditerranée, dans le Moyen-Orient et en Asie-Pacifique, où nous détenons des intérêts stratégiques (Nouvelle-Calédonie, Polynésie et la moitié de notre domaine maritime).

Le nucléaire, ensuite. Sauf à vouloir imiter l’Allemagne dont les centrales à charbon contribuent à tuer chaque année plus de 23.000 personnes en Europe (rapport WWF 2016), nous ne pouvons pas nous passer du nucléaire, l’énergie décarbonée par excellence. Les énergies renouvelables ont de vraies limites, notamment du fait des problématiques de stockage. Il faut déployer 1.500 éoliennes de 3 mégawatts pour produire la même énergie qu’une centrale nucléaire de 1.500 mégawatts. Pour remplacer les cinquante-huit cen- trales nucléaires françaises, la France se transformerait en gigantesque parc d’éoliennes. Un massacre pour notre agriculture, nos paysages, notre environnement.

La construction du futur porte-avions pérennise enfin la filière nucléaire française, qui était en train de mourir sous nos yeux, avec des pertes de savoir-faire inexcusables. La création de cette mini-centrale nucléaire flottante doit enclencher une ambition bien plus vaste dans cette direction. Les industriels réclament ainsi la construction de six nouvelles centrales pour que la France puisse répondre à une demande de l’ordre de 600 terrawattheures en 2050, avec un mix énergétique incluant 50 % de renouvelables. Cet investisse- ment sur dix ans représenterait de l’ordre de 40 milliards d’euros, soit moins que le déficit budgétaire français en 2020 (attendu à 45 milliards d’euros).

L’investissement dans le nucléaire, garant de notre indépendance énergétique, notre compétitivité industrielle et notre souveraineté militaire, ne peut pas se limiter à un effort si modeste. A côté d’un programme de création de centrales nucléaires à forte puissance, toute la filière R&D mérite d’être soutenue, notamment pour déployer et ven- dre demain dans le monde entier les très prometteurs petits réacteurs modulables (SMR).

Les défis du siècle nous obligent à voir plus loin, à renouer avec le gaullisme industriel et le financement de grands programmes plus ambitieux dans les filières d’avenir : le nucléaire, le numérique, la santé, l’environnement. A l’heure où l’on tolère des tombereaux de déficits pour éviter l’engorgement d’hôpitaux publics si mal gérés, et où l’activité économique et culturelle du pays se joue tous les quinze jours au journal de 20 heures, le président a donné, au Creusot, un vrai signal d’espoir à nos concitoyens en traitant les questions de long terme : l’emploi, les technologies souveraines et la sécurité des Français.

(*)Edouard Tétreau est conseiller de dirigeants d’entreprise.

Source : Les Echos 16/12/2020

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mardi, 15 décembre 2020

La Bataille de Poitiers (732)

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23:18 Publié dans TV SYNTHESE, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Idéologie climatique et référendum fantôme.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Mitterrand avait, en 1984, inventé le référendum sur le référendum pour éviter de donner aux Français la parole sur la défense de l'enseignement libre.
 
Macron, lui, sort de son parapluie de vendeur de bretelles à la sauvette, le référendum fantôme pour élever l'idéologie climatique au rang de dogme constitutionnel, sachant parfaitement que la crise/prétexte du COVID, tout autant que les réticences du Sénat dont l'accord préalable pour toute consultation directe des électeurs est nécessaire, en empêcheront l'organisation d'ici la fin de son mandat. Peu lui importe puisqu'Il s'agit seulement de fournir un dérivatif commode aux cinglés verts et rouges de cette Convention citoyenne sur le climat mise en place par lui et à laquelle il avait imprudemment promis que ses conclusions seraient reprises "sans filtre" par l'Exécutif.
 
Au demeurant les Francais, accablés par les contraintes imposées par la dictature sanitaire,  confrontés à une crise économique et sociale qui s'annonce dévastatrice, angoissés par la montée de l'ensauvagement du pays et conscients, même s'ils la subissent passivement, de la submersion  migratoire, se foutent totalement d'être consultés. Ni sur ce sujet ni même sur un autre.
 
Ce qu'ils attendent c'est un État fort qui les gouverne, les protège et leur indique la voie nationale. 

13:21 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 14 décembre 2020

Mal traités, après Hold-up, le nouveau documentaire qui dénonce

Le doute n'est plus permis. Après Hold Up qui a fait beaucoup de bruit, qui a été critiqué et traité de complotiste, voici MAL TRAITÉS - Covid19, le documentaire choc sur comment les malades ont été privés de remèdes efficaces, réalisé par Alexandre Chavouet. Les révélations faites dans ce documentaire ne laisse aucun doute sur le rôle des MEDIAS à la solde des gouvernements et des mafieux pharmaceutiques.

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22:49 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Thomas Joly, président du Parti de la France, interrogé par Epona

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dimanche, 13 décembre 2020

Une théorie monétaire moderne qui nous conduit à la pire des catastrophes

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Marc Rousset

En France, la situation n’est pas brillante puisque le gouvernement drogue tout le monde avec de l’argent public emprunté au lieu d’entreprendre les nécessaires réformes structurelles. Les dépenses publiques vont représenter, en 2020, 63,6 % du PIB, contre 55,6 %, en 2019, chiffre le plus élevé de tout l’OCDE.

La Société générale continue sa descente aux enfers en fermant, prochainement, 600 agences bancaires lors de la fusion avec le réseau bancaire du Crédit du Nord. Une crise bancaire n’est pas à exclure en 2021, la France devant s’adresser à l’Allemagne pour permettre à la BCE d’émettre encore davantage d’euros afin de renflouer son système bancaire exsangue, suite aux trop faibles marges bancaires provoquées par la baisse des taux d’intérêt et à l’augmentation des créances douteuses.

La nécessaire réforme des retraites est reportée aux calendes grecques, tandis que les entreprises zombies et les faillites, malgré les bas taux d’intérêt, vont déferler sur la France en 2021. L’État a, en effet, garanti jusqu’à 300 milliards d’euros de prêts, contre 40 pour l’Allemagne et 60 pour le Royaume-Uni. Quant aux comptes publics, ils vont encore davantage se dégrader, avec une dette publique et un déficit qui seront bien supérieurs aux 122,4 % et 8,5 % du PIB annoncés par Bercy. L’Italie, elle, sera au minimum à 160 % du PIB.

Aux États-Unis, la forte augmentation des contaminations au Covid-19 va de pair avec la forte augmentation du chômage. En novembre, seulement 5,8 millions d’Américains étaient au chômage, mais 19 millions d’Américains ont épuisé leurs droits et vivent, désormais, grâce aux seules aides mises en place en mars 2020 par le gouvernement fédéral. Le ratio dette/PIB, qui était d’environ 40 % en 1970, pourrait être de 200 % en 2021.

La Fed a annoncé depuis longtemps qu’elle ne relèverait pas les taux courts tant que le chômage n’aurait pas baissé suffisamment, mais l’élément nouveau radical est la nomination prochaine par Biden, au Trésor, de Janet Yellen, ancienne présidente de la Fed, adepte de la théorie monétaire moderne, qui va ouvrir toutes grandes les vannes des dépenses publiques et de la fausse monnaie créée par la Fed. Les deux piliers de la théorie monétaire moderne (TMM) sont la fusion de fait entre le Trésor et la Fed, ainsi qu’une dette illimitée. Il se trouve que le Japon a effectivement une dette de 250 % du PIB, sans croissance depuis trente ans, mais sa dette est détenue par des Japonais alors que la dette des États-Unis est détenue par des investisseurs étrangers.

La dette des États-Unis se terminera par une perte de confiance, une hausse des taux et l’effondrement du dollar, de Wall Street et de l’économie américaine. Augmenter une dette pour investir avec des investissements productifs porteurs de croissance forte se justifie, mais dépenser à fonds perdus en distribuant de l’argent emprunté pour boucher les trous ne peut conduire qu’à de nouveaux impôts, à l’hyperinflation et au défaut de paiement. Les seuls exemples concrets de TMM sont le Venezuela, le Zimbabwe et l’Allemagne en 1923.

Quant à la BCE, elle pratique la TMM sans le dire, avec l’Allemagne et les pays du nord de l’Europe comme seul frein moral. Christine Lagarde a prolongé de neuf mois et augmenté de 500 milliards d’euros son « bazooka » PEEP (programme d’achat urgence pandémique) jusqu’en mars 2022, soit 3,3 milliards d’obligations par jour, soit 1.850 milliards d’euros, en plus des opérations de refinancement à plus long terme ciblées (TLTRO) et des vingt milliards mensuels du QE (Quantitative Easing). La BCE rachète actuellement les trois quarts des dettes émises par la zone euro, c’est-à-dire qu’elle pratique en fait la monétisation interdite par les traités et ses statuts. Ce sont cette potion magique et les taux d’intérêt ridicules et négatifs de -0,432 % pour la France, -0,635 % pour l’Allemagne et 0,4449 % pour l’Italie qui expliquent les bulles sur les marchés des actions.

En Allemagne, la question se pose déjà de mettre un frein sur les dépenses. Les débats vont faire rage en 2021 avec l’impossibilité de basculer dans l’austérité, jusqu’à l’hyperinflation ou à ce que tout explose en 2022, suite à la perte de confiance, comme aux États-Unis.

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Vade retro, Vaccinas !

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La chronique de Philippe Randa

La Grande-Bretagne est depuis le 2 décembre le premier pays au monde à autoriser l’utilisation du vaccin Pfizer et BioNTech, basé sur une technologie innovante dite à ARN messager… ce qui a déclenché la colère de l’ancien Vice-Président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, qui estime, lui, que la pandémie est terminée et qu’elle peut donc être facilement gérée par un service de santé national en bon état de fonctionnement : « Je n’ai jamais entendu un tel non sens à propos des vaccins. On ne vaccine pas les personnes qui ne sont pas considérés à risque. De même, vous n’envisagez pas non plus de vacciner des millions de personnes en bonne santé avec un vaccin qui n’a pas été soigneusement testé sur les humains. »

Sur le site Lockdown sceptics, il s’en prend tout particulièrement au SAGE (Scientific Advisor Group for Emergencies), l’agence scientifique qui conseille le gouvernement du Royaume Uni et a notamment incité au funeste confinement : « Le SAGE soutient que tout le monde était susceptible d’être infecté, alors que seulement 7 % de la population l’a été. C’est tout à fait incroyable ! Ils ont ignoré tout ce qui est connu dans le domaine de l’immunologie sur les virus respiratoires. De même, ils n’ont rien vu ou ont rejeté un travail d’excellente qualité de nombreux immunologistes cliniciens de renommée mondiale qui ont montré qu’il y a environ 30 % des gens qui, au départ, sont déjà immunisés » (Déclaration peu reprise, sinon par le National Herald of India).

Et d’ajouter : « Le SAGE a tort de manière évidente sur un point crucial en disant qu’il n’existe pas d’immunité de base, alors que cette immunité se situe autour de 30 % (et si vous incluez les jeunes enfants, cela monte à près de 40 % d’immunité – bien que nous devrions davantage parler de résistance que d’immunité). Et en prenant en considération la réalité de l’immunité collective, quand la susceptibilité d’être infecté par le virus tombe aussi bas, entre 28 % et 35 %, cette population ne peut plus être considérée comme l’agent d’une quelconque flambée épidémique et ainsi le virus décroît et disparaît. »

En France, un Français sur deux est opposé à la vaccination que nous a promis Emmanuel Macron pour la mi-décembre. Annoncée, certes, mais qu’on s’en réjouisse ou qu’on s’en inquiète, les annonces d’un gouvernement, c’est comme leurs promesses : elles n’engagent que ceux qui y croient…

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20:32 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Élection US : vers les tribunaux militaires ?

La Cour suprême pave la voie à la tenue de tribunaux militaires pour endiguer la corruption. L' analyse d'Alexis Cossette dans ce Webjournal.

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samedi, 12 décembre 2020

Le professeur Jean-Bernard Fourtillan, interpellé et placé en hôpital psychiatrique

Jean-Bernard Fourtillan, professeur émérite connu notamment pour son apparition récente dans le film Hold-up mais aussi pour ses travaux de recherche sur la maladie de Parkinson et d’Alzheimer, a été interné dans un hôpital psychiatrique.

La préfecture du Gard confirme une « mesure individuelle d’hospitalisation » visant Jean-Bernard Fourtillan. Et de préciser que cette décision relève « d’une prescription médicale ». Cette décision a été prise après que le médecin a été interpelé par les forces de l’ordre le 7 décembre « en vertu d’un mandat d’amener [émis par] un juge d’instruction parisien ».

L’arrestation du médecin a eu lieu dans le cadre d’une information judiciaire ouverte notamment pour « tromperie » par le parquet de Paris en septembre 2019, à la suite d’essais cliniques pratiqués sur 350 malades de Parkinson et Alzheimer. Ces faits avaient également valu à Jean-Bernard Fourtillan d’être poursuivi par l’Ordre des médecins pour «charlatanisme».

Il a été placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de Nîmes après son interpellation. Trois jours plus tard, un médecin a considéré que son état de santé nécessitait un placement dans un établissement psychiatrique et le préfet a suivi ces recommandations. Jean-Bernard Fourtillan est hospitalisé dans l’établissement du Mas Careiron, à Uzès.

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La révolte des pays d’Europe centrale*

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Par Zdzisław Krasnodębski **

En 2007, au moment de la crise financière, le feu de la critique a été clairement porté sur les pays du Sud européen. A refait alors surface la conviction de l’existence de profondes divergences entre, d’un côté, l’Europe du Nord, post-protestante et ascétique, et de l’autre, l’Europe du Sud, sybarite, dépensière, laxiste sur l’équilibre budgétaire et les lois.

Pourtant, on n’entendait personne en appeler à une exclusion de l’UE de l’Italie ou de l’Espagne, à les « réduire à la faim », à les « omettre », à leur « serrer la vis » (sauf dans le cas de la Grèce évidemment). C’était plutôt de l’Europe du Sud que nous parvenaient des voix sceptiques à l’encontre de l’UE, comme celle par exemple de Giorgio Agamben. Pointant les différences notoires de styles de vie et de valeurs, ce philosophe italien a remarqué que l’UE, dans sa forme actuelle, n’avait aucun sens et qu’on devrait bâtir une Union à part, réservée exclusivement aux pays du Sud, en référence à l’idée de l’Empire latin promue autrefois par Alexandre Kojève. Mais que serait l’UE sans l’Italie, l’Espagne ou la Grèce, destinations de vacances préférées des Européens du Nord, dont les vestiges du passé et les paysages n’arrêtent pas de nous émerveiller tous ?

L’Europe du Centre-Est ne peut pas compter sur autant d’empathie et de sympathie. Elle est différente, mais c’est traditionnellement perçue comme une tare, une imperfection dans l’implémentation du modèle en vigueur, établi jadis en « Europe de l’Ouest » et peaufiné depuis par Bruxelles. C’est une façon de pensée profondément ancrée dans les narrations de l’histoire européenne. L’européanité  des pays à l’est de l’Elbe était en effet présentée comme le résultat d’une transposition du parangon civilisationnel occidental, voire d’une colonisation. Tout ce qui poussait l’Europe centrale en avant ne pouvait être qu’importé d’Occident, et tout ce qui la ralentissait, c’étaient ses traditions endogènes. Les intellectuels des Lumières, les Kant, les Voltaire et les Diderot, étaient persuadés que seuls des despotes éclairés, d’une main de fer, pouvaient faire entrer ces nations sur le chemin du progrès.

Non-conformité. Cette mentalité, pas très raffinée, prospère aujourd’hui. Selon de nombreux politologues spécialisés dans l’UE, nous ne devrions pas notre démocratie et nos succès économiques à nous-mêmes, mais plutôt à la « socialisation » de la part de l’ Occident et aux fonds européens, chaque manifestation d’autonomie politique étant considérée, souvent avec dégoût, comme une indécence, une non-conformité à l’ « esprit du temps ». D’abord, le groupe de Viségrad a irrité l’UE par son refus d’accueillir des migrants. Désormais, la Pologne et la Hongrie l’irritent par son veto. Même la décision autonome de s’engager dans l’Initiative des Trois Mers soulève des inquiétudes à peine cachées : comment un tel projet, si précieux pour l’Europe, peut-il voir le jour et se développer sans contrôle ?

Les pays d’Europe du Centre-Est sont nés ou renés sur les décombres des empires ottoman, habsbourgeois, wilhelminien et russe. Rien d’étonnant donc qu’ils appréhendent l’idée de se retrouver à nouveau confrontés à un empire oppressif. La conscience y est toujours vivante qu’on ne peut pas être libre comme individu si la nation n’est pas libre et que la liberté politique est la condition de la liberté individuelle. L’idée de l’autodétermination, importée des États-Unis, quoiqu’implantée en Europe avec beaucoup d’erreurs et d’inconséquences, légitimait notre liberté. Même les Hongrois qui, à l’issue de la guerre 1914-1918, ont perdu d’importants territoires, ne la mettent pas en doute. Les empires, donc, c’était pour l’Europe de l’histoire ancienne. Or, après 1945, ces mêmes États ont été incorporés ou inféodés à l’empire soviétique connu pour sa brutalité. Et quand en 1989 ils sont revenus sur la scène internationale comme des nations libres, organisées dans des États souverains, cela semblait se passer contre la « logique de l’histoire » en vigueur en Europe – celle de la plus grande intégration. La réponse devait être l’idée d’une Union élargie, reposant sur le compromis, respectueuse de la diversité, rejetant les totalitarismes et les expériences sociétales à grande échelle, garantissant dans ses traités que face aux questions stratégiques, la volonté de chacun de ses membres sera respectée.

Rouleau compresseur. Or, aujourd’hui, cette vision semble de plus en plus s’éloigner. À l’inverse, se renforce la tendance de serrer la vis aux nations européennes les plus pauvres et les plus faibles. On nous convainc que nous avons besoin d’une Europe davantage unie, davantage consolidée, libérée du principe de l’unanimité, réalisant les mêmes « valeurs européennes » interprétées selon une logique bien propre et imposées à tous. Dans cette interprétation, le respect de la dignité humaine n’exclut ni l’avortement sans limites, ni l’euthanasie, ni la production d’enfants pour des couples de tous sexes, ni les réattributions de sexe sur demande ; la non-discrimination passe par la reconnaissance des mariages des personnes du même sexe et l’adoption d’enfants par de tels couples ; l’égalité homme-femme repose sur la négation de toute différence entre eux ; les droits de l’homme excluent de limiter efficacement les migrations de masse, etc. Et l’État de droit doit veiller au respect des « lois fondamentales » ainsi définies.

L’Union doit devenir un rouleau compresseur qui uniformisera les nations européennes selon un même modèle axiologique, considéré comme le seul valable. Nous, en Europe centrale, nous sommes pourtant allergiques aux doctrines qui seraient les seules valables. Nous avons déjà été victimes par le passé d’une expérience d’ingénierie sociale progressiste grandeur nature, qui devait mener à la création de l’homme nouveau, meilleur, libéré. Nous savons où ça mène...

Ce n’est pas un hasard si les deux pays qui s’opposent le plus vigoureusement à cette unification sont la Hongrie et la Pologne (tout comme ce n’est pas un hasard que le premier à quitter l’UE a été le Royaume-Uni – un pays conscient de ses traditions démocratiques). N’oublions pas que la résistance de ces deux nations très attachées à leur identité et à leur liberté a entraîné la chute du « bloc de l’Est ». C’est la révolte de ces périphéries de l’empire soviétique, vouées à l’échec, qui a largement contribué à son effondrement. Un avertissement ?

(*) le titre est de la rédaction

(**) Zdzisław Krasnodębski, sociologue polonais, philosophe social, professeur à l’université de Brême, député européen

Source : L'Opinion 11/12/2020

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La fin de la liberté scolaire

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Par Anne Isabeth

Avec cette loi contre le séparatisme islamiste – rebaptisée depuis « loi confortant les principes républicains » – le gouvernement s’at- taque à l’une des dernières libertés qu’il nous reste, et non des moindres, la liberté éducative.

Au menu : restreindre au maxi- mum les conditions permettant l’instruction en famille – qui devient instruction à « do- micile ». A l’origine, elle devait être réservée aux seuls enfants dont l’état de santé le justifiait. Mais le tollé suscité par cette dispo- sition, a fait reculer, un peu, l’Etat qui a élargi les conditions. Il n’est cependant pas revenu sur le fait qu’il faudra désormais demander son autorisation pour pratiquer l’instruction en famille, là où une simple déclaration suffisait. Comme régime de liberté, on a vu mieux. Sur quelle base l’Etat accordera ou non cette autorisation ? Un certificat d’aptitude parentale ? Un brevet de bonne conduite républicaine ? Mystère. Quant aux écoles hors contrat, le projet de loi prévoit que l’Education nationale puisse fermer des établissements sans que l’affaire soit passée devant un juge. Très pratique pour éliminer son principal concurrent. Pour résumer : l’Etat tape sur le hors-contrat et l’école à la maison dont les élèves sont inscrits, signalés et inspectés en prétendant ainsi mieux contrôler les élèves inscrits nulle part.

L’ennemi, c’est la famille

Cette loi fournit un alibi au gouvernement pour arracher les enfants à leur famille, dont l’Etat veut voler les prérogatives. Il suffit d’écou- ter Gérald Darmanin, affirmant de façon péremptoire auprès du Midi libre : « L’éducation n’appartient pas qu’aux cultes et aux parents, l’éducation appartient aussi à l’Etat. L’école doit élever des citoyens et ouvrir les enfants au monde. » L’Etat peut se charger de l’instruction. Pas de l’éducation qui revient aux familles. Et que certaines soient incapables de la donner ne signifie pas que toutes les familles de France doivent se voir supprimer cette prérogative.

En outre, il est pour le moins paradoxal que notre gouvernement tire ainsi à boulet rouge sur les écoles hors contrat et l’instruction en famille – qui donnent majoritairement de très bons résultats – alors que l’école de la République démontre depuis des années ses lacunes. Présent a évoqué cette étude dévoilant la baisse dramatique du niveau des petits écoliers de l’hexagone en mathématiques. Et s’il ne s’agissait que des maths ! Ne parlons pas du français, de la grammaire, de l’histoire... Bref de tout le socle de connaissances.

Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si la création d’écoles hors contrat explose et si le nombre d’enfant suivant l’instruction en famille ne cesse d’augmenter. Ils étaient entre 30 000 et 35 000 en 2017 et sont actuellement 50 000, soit 0,4 % des enfants en âge d’être scolarisés. Une goutte d’eau dans l’océan de l’Education nationale mais qui manifestement gêne. La logique est la même que pour l’instruction obligatoire à partir de trois ans : personne ne doit échapper à la surveillance et à la propagande étatique.

Comme le faisait remarquer Anne Coffinier, présidente de l’association Créer son école et fondatrice d’Educ France qui se bat contre cette loi, l’instruction en famille a été consacrée par Jules Ferry par la loi du 28 mars 1882. On ne peut pas le soupçonner de séparatisme. Et elle poursuit : « L’Histoire nous apprend aussi que c’est en revanche Hitler qui a retiré dès 1938 aux parents allemands ce droit fondamental. Peut-on imaginer pire parrainage ? »

 Source : Présent 12/12/2020

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Il y a 40 ans, le 12 décembre 1980, notre camarade Juan Ignacio Gonzalez, Chef du Front de la Jeunesse à Madrid, était assassiné

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Il y a 40 ans était assassiné à Madrid Juan Ignacio Gonzalez, responsable national espagnol du Front de la Jeunesse. Nous étions de la même génération, nous menions le même combat. Depuis, ce crime n'a jamais été élucidé. Les tueurs, s'ils sont encore de ce monde, sont toujours en liberté.

Depuis 40 ans, les camarades et amis espagnols de Juan Ignacio se battent sans relâche pour que la vérité finisse par éclater. Pour marquer ce triste anniversaire, ils ont demandé à tous les mouvements, associations et revues qui, à travers l'Europe, continuent le combat de publier aujourd'hui le communiqué ci-dessous. 

C'est donc bien volontiers que Synthèse nationale s'associe à cette initiative. Honneur à notre camarade.

Roland Hélie 

 

Communiqué des Amis de Juan Ignacio Gonzalez :

Dans la soirée du 12 décembre 1980, le jeune dirigeant politique madrilène, Juan Ignacio Gonzalez Ramírez, 28 ans, était assassiné, touché par trois coups de feu. Ceux-ci ont été tirés avec une précision de professionnels : le premier dans la poitrine, les deux suivants dans la tête.

Tous les journaux télévisés ont immédiatement tenté de minimiser cet acte criminel en le réduisant à un "un affrontement entre factions fascistes" ou à un sordide "règlement de compte". La police alla aussi dans ce sens en affirmant de manière sibylline qu'"aucune hypothèse n'est exclue".

De plus, le GRAPO (Grupo Revolucionario Antifascista Primero October), un groupe terroriste marxiste très actif en ces années-là, s'empressa de se disculper en publiant un communiqué affirmant qu'il n'était en rien responsable de ce crime. 

Alors, pourquoi un tel crime ? En effet, le « pourquoi ? » aurait dû être, dès le début, au centre de l'enquête mais il n'en fut rien. Force est de reconnaître que les bonnes questions pour identifier les tueurs n'ont jamais été posées. 

La vérité, c'est que Juan Ignacio González Ramírez a été assassiné parce qu'il était un phalangiste et l'un des dirigeants les plus actifs du Front de la Jeunesse, organisation nationaliste en pointe contre le nouveau régime.

S'il s'agissait d'un « litige entre fascistes », comme certains l'ont insinué, la police l'aurait découvert en 24 heures. Et on peut aisément imaginer les titres sarcastiques dans la presse du lendemain... Quant à l'extrême gauche, d'habitude si prompte à revendiquer ses crimes, elle fut vite mise hors de cause. 

Alors, qui aurait pu être si intéressé alors par la disparition physique du jeune leader ?

Remettons-nous dans le contexte trouble qui était celui de l'Espagne au moment de ce qui fut pompeusement appelé, à la fin des années 1970 et au début des années 1980, "la transition démocratique". Le nouveau régime avait besoin d'asseoir son autorité et la classe politique, déjà éclaboussée par de nombreux scandales, voulait museler ceux qui cherchaient à perpétuer l'idée phalangiste d'une Espagne "Une, Grande et Libre". Juan Ignacio était de ceux-ci... Il fallait donc le faire, définitivement, taire.

Quelques semaines plus tard, en février 1981, un simulacre de putsch se déroula aux Cortes, le Parlement espagnol. Un détachement de la Guardia Civil, mené par le colonel Tejero, pris d'assaut la Chambre des députés au milieu de la séance d'investiture. Ce "coup d'État" improvisé, voué dès le début à l'échec, tomba fort opportunément pour légitimer, suite au discours du roi, le nouveau système politique.

Depuis 1977, des officines politico-policières étaient chargées du sale travail pour asseoir la monarchie parlementaire en Espagne. Après l'assassinat de Juan Ignacio et le putsch avorté de Madrid, celle-ci pouvait être tranquille pour un moment...

En savoir plus, cliquez ici

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vendredi, 11 décembre 2020

Martine Wonner - "Je suis très inquiète pour la santé psychique de nos concitoyens !"

Martine Wonner, députée Libertés et Territoires du Bas-Rhin et médecin-psychiatre, était l'invitée d'André Bercoff pour réagir aux annonces de Jean Castex avant les fêtes de Noël.

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16:28 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Gestion des masques par Salomon : «Ça dit du système qu'il est pourri jusqu'à la moelle»

Le Monde s'est procuré des échanges de mails entre le directeur général de la santé Jérôme Salomon et Santé Publique France. Il demandait en 2019 de «modifier la rédaction» d'un rapport qui alertait sur la nécessité de faire des stocks de masques. Fabrice Di Vizio, avocat, donne son point de vue sur RT France.

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16:09 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 10 décembre 2020

Macron : la haine de la France à l’état « Brut »

03:23 L’image de la semaine

Aux États-Unis, une vidéo enregistrée par une caméra de vidéosurveillance d’un centre de dépouillement de l’état de Géorgie montre que de nombreux bulletins ont été comptabilisés sans que des observateurs républicains soient présents.

10:41 Macron : la haine de la France à l’état « Brut »

Emmanuel Macron a accordé un long entretien au média « Brut ». Il a multiplié les déclarations sidérantes marquant sa haine de l’identité française et sa soumission à l’islamisation de la France.

28:46 Revue de presse

Mobilisation antiraciste planétaire pour des propos mal interprétés, Laurent Ruquier qui rejoint le camp des vilains fachos… Retour sur l’actualité médiatique de la semaine.

44:17 Violences d’extrême gauche : un sentiment trompeur d’embrasement ?

De nouvelles violences ont émaillé la mobilisation de l’extrême gauche contre la loi Sécurité globale. Et les médias ont tout fait pour minorer ces violences.

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Hommage à Jacques Perret.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Le 10 décembre 1992 disparaissait un très grand écrivain Français.
 
Jacques Perret qui, toute sa vie, fut un grand combattant national, royaliste et bien sûr catholique, manqua de quelques voix le prix Goncourt 1947 pour "Le caporal épinglé" (adapté par la suite au cinéma par Jean Renoir avec Jean-Piere Cassel dans le rôle-titre) mais fut récompensé quatre ans plus tard  par l'Interallié pour "Bande à part", récit de son engagement dans les maquis de l'ORA, et reçut par deux fois le prix de l'Académie (1978 et 1984).
 
Persécuté par le régime gaulliste pour son engagement en faveur de l'Algérie française et des volontaires de l'OAS parmi lesquels  son fils sévèrement condamné, Jacques Perret fut déchu de ses droits civiques. Par la suite, beaucoup, parmi les nôtres, se souviennent de ses prises de position inlassables pour le respect de la France française. Beaucoup n'ont pas oublié non plus ses tribunes de défense des militants du GUD poursuivis en 1977 devant les tribunaux.
 
Il faut lire Jacques Perret. Si honneur et talent avaient eu encore un sens à la fin du vingtième siècle, il aurait bien évidemment été reçu à l'Académie française.
 
 Il faut se souvenir aussi de celui qui dans les années 1980 écrivait : "Le royaliste est un anarchiste éclairé comme le catholique est un homme libre. Il aspire à l’exercice d’une liberté chérie sous la protection de quelques vérités admises pour absolues".
 

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14:06 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le football, vecteur de bêtise

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Par Etienne Defay

Alors que le PSG jouait contre l’Istambul BB, le match a été arrêté puis reporté à mercredi prochain. La raison ? Les deux équipes sont sorties du terrain après que le quatrième arbitre de nationalité roumaine ait qualifié l’entraîneur adjoint d’Istamboul Pierre Webo « d’homme noir ». Un crime d’autant plus abject que Pierre Webo est effectivement noir. Une information crucialement banale qui l’aurait fait dire « Le barbu » ou « le roux » si Pierre Webo avait présenté cette particularité physique. Pas de quoi fouetter un chat ? Si car en roumain, le mot noir se dit « Negru ». Donc levée de bouclier et démonstration digne d’une tragédie grecque. Face à des Turcs, c’est toujours amusant. Les deux équipes sortent du terrain et le match est suspendu. En moins d’une heure, la quasi-totalité des titres de presse et des personnalités politiques ont salué le geste héroïque de ces joueurs. Et ce fut l’apothéose, les militants de Black Live Matters, les footballeurs, les journalistes, les racialistes, Erdogan, les indigénistes, la Ligue de Défense noire africaine, des députés de LREM et de la France insoumise, des supporters, des anonymes et des débiles ont communié ensemble contre le racisme.

Peu importe au fond que la réalité soit tout autre. Cela fait longtemps que le réel est devenu secondaire, seul compte le marketing de l’émotion, seule compte la condamnation instantanée. On attend au bas mot une lettre d’excuse de l’Académie des lettres roumaines priée de modifier son dictionnaire, on attend au minimum une adhésion pleine, en- tière et universelle à cette nouvelle version de la réalité. On ne sait toujours pas quel moment de cette folle soirée a été le plus incroyable. Le tweet d’Erdogan contre le racisme est en bonne position. Quand on sait qu’en Turquie le mot « arménien » est perçu comme une insulte totalement honteuse, voir le calife Erdogan s’ériger en garant des bonnes mœurs et de l’antiracisme alors que ses sbires azeris ravagent les territoires arméniens conquis, il y aurait de quoi sourire si la situation n’était pas dramatique. Dans la catégorie indécence, on a aussi la condamnation unanime de la presse qui oublie qu’elle a passé la journée à saluer la probable nomination d’un « général noir » au Pentagone. Prouvant ainsi qu’on peut désigner un homme par sa couleur de peau. Plus que son nom et ses compétences d’ailleurs. En fait, la couleur n’est grave que si vous le décidez (et que vous êtes noir) sinon ce n’est pas systémique donc cela n’existe pas ;
pour qu’un racisme existe, il faut qu’il soit enseigné en sociologie à Tolbiac. On n’accuse plus l’acte mais l’intentionnalité. Le délit est devenu aussi subjectif que la vérité et la frontière entre le légal, le moral et le pénal se brouille et se confond. L’émotivité et la bêtise ont donc gagné. Sur les ter- rains de foot, c’était acté, mais maintenant, cela dé- borde du terrain et contamine la société tout entière. A moins que ce ne soit cette dernière qui ait débordé sur les terrains.

Tandis que la planète pleure son émotion en dégueulant son ignorance, laissons-nous aller à un rire à la fois amusé et désespéré. Ce devait être une soirée foot, c’est devenu une réclame pour la bêtise. On savait qu’elle avait déjà envahi les terrains de football mais pas à ce point-là.

Source : Présent 10/12/2020

11:33 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La face cachée de l’industrie éolienne

À l’occasion de ce nouvel entretien vidéo, Les Eveilleurs ont souhaité se pencher sur la face cachée de l’industrie éolienne, dont la promotion est en réalité beaucoup plus dictée par des intérêts financiers que par des raisons écologiques.

C’est ce que démontre, chiffres à l’appui, Fabien Bouglé, Conseiller municipal de Versailles, Expert en marché de l’art international, engagé depuis de nombreuses années dans le combat anti-éolien en France, notamment en tant que porte-parole du réseau national ULYSSE qui réunit de nombreuses associations s’opposant en France à des projets de construction de centrales éoliennes.

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11:02 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 09 décembre 2020

Claude Meunier-Berthelot : "Blanquer est en train de faire totalement s'écrouler le système"

André Bercoff recevait Claude Meunier-Berthelot, Juriste de formation - diplômée de l’université Panthéon-Assas - Paris II. Claude MEUNIER-BERTHELOT a fait toute sa carrière dans l’Education Nationale.

Auteure de : "Blanquer le cynique" -Ed Les Trianons

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23:51 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Au nom de la sécurité nationale

La Chine impliquée à tous les niveaux de la fraude électorale. Trump en profite pour faire le ménage.

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17:18 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le laïcisme illusoire face à l'islam !

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Aucune société, si avancée soit-elle, ne peut se passer du sacré, explique l’écrivain et académicien Jean-Marie Rouart. Or, le déclin du christianisme dans la société française laisse un vide spirituel, que l’islam vient remplir. Alors que le projet de loi « confortant les principes républicains » est examiné aujourd’hui en Conseil des ministres, l’auteur juge que la laïcité sera impuissante à constituer, demain, l’âme de notre pays.

A lire ICI

11:56 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La vraie loi contre le séparatisme serait la loi "Immigration zéro".

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Présenté en Conseil des ministres ce mercredi 9 décembre, journée nationale de célébration de la laïcité, le projet de loi "confortant les principes républicains", anciennement intitulé fort piteusement "loi sur le séparatisme" pour ne pas stigmatiser l'islam — ce qui semblait encore trop agressif et devait donc être rebaptisé — est la énième tentative de régulation d'un culte venu d'ailleurs dont l'application relève tout autant de la politique que de la religion.
 
Comme toutes celles qui les ont précédées, les mesures contenues dans ce projet resteront bien sûr lettres mortes pour ce qui concerne leur supposé objet premier: la volonté de lutter pcontre les formes les plus radicales de la présence musulmane en France, telle que plus ou moins affichée par le gouvernement sous la pression émotive de l'opinion publique au lendemain de tueries djihadistes. Elle aura, en revanche trois effets pervers: l'institutionnalisation de l'islam sur notre territoire au sein de la République, sa banalisation, et un effet ricochet sur l'ensemble des Français.
 
Institutionnalisation puisque le but recherché depuis trente ans par tous les ministres de l'Intérieur — Joxe, Chevènement, Sarkozy et tous les autres — reste le même : créer les conditions de l'organisation d'un fumeux "islam des lumières" sans voir qu'il ne pourrait être autre chose que le paravent légal de l'islam des ténèbres.
 
Banalisation des règles, principes et coutumes inhérentes à une communauté dont les pratiques et les habitudes impactent déjà fortement le mode de vie des Français, banalisation opérée selon la technique du "prestidigitateur chinois" qui consiste à substituer un objet à un autre en habitant petit a petit l'oeil à sa disparition.
 
Effet ricochet enfin par l'application de plusieurs dispositions de la loi à l'ensemble des Français dans une méthode de généralisation punitive. Ainsi l'article 18 rendra quasiment impossible l'enseignement "à la maison" et l'article 20 permettra une lutte accrue contre les "contenus haineux sur internet" dont on devine l'usage qui en sera fait contre les libertés d'expression françaises.
 
Étant de ceux qui portent un regard dubitatif sur les vertus de la laïcité, nous respectons le droit de chacun à sa foi et ne doutons pas de l'existence d'une spiritualité musulmane telle qu'incarnée par exemple dans le soufisme. 
 
Une spiritualité qui selon nous a vocation à s'exercer seulement sur les terres où elle est née.
 
Contre le séparatisme, il existe donc bien des lois à promulguer. Elles sont au nombre de deux: loi "immigration zéro"; loi "remigration générale".
 

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11:03 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le professeur Christian Perronne, victime d’une cabale

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Franck Delétraz

Les médecins et autres spécialistes qui ont eu le courage de dénoncer la gestion en tous points calamiteuse de l’épidémie de Covid-19 par le gouvernement et son conseil dit « scientifique » vont- ils être sanctionnés, voire radiés, les uns après les au- tres, pour avoir osé aller contre l’establishment politico-médical ? C’est en tout cas ce que l’on peut craindre en découvrant que, après la convocation prochaine du Pr Raoult devant le conseil de l’Ordre, ou encore le rappel à l’ordre du Pr Fouché par sa hiérarchie, c’est au tour du Pr Perronne de faire l’objet d’une odieuse cabale.

Vendredi, ce spécialiste mondialement reconnu des maladies infectieuses et tropicales, auteur d’un livre dénonçant avec vigueur la gestion désastreuse de l’épidémie de Covid par l’Etat, dont notre consœur Danièle Masson avait longuement rendu compte dans Présent a en effet eu la « surprise » de recevoir du Pr Riou, doyen de la faculté de médecine de la Sorbonne, un message lui annonçant qu’une procédure de retrait de son agrément de formation dans le cadre du DES de maladies infectieuses et tropicales avait été engagée. La raison officielle du lancement de cette procédure ? Le Pr Perronne aurait tenu « des propos non confraternels envers un jeune médecin en formation qui pourraient être considérés comme une incitation à la haine et se sont traduits effectivement par des menaces de mort sur les réseaux sociaux » !

Si le courrier du Pr Riou ne précise pas le nom du « jeune médecin » concerné, celui-ci n’a cependant pas tardé à fuiter dans les médias. Or, il apparaît que la prétendue victime, le Dr Peiffer-Smadja, élève du Pr Yazdan Yazdanpanah qui est membre du conseil scientifique de l’Elysée, est non seulement un virulent opposant au professeur Raoult et à son traitement en phase précoce, mais a également vanté avec son maître les prétendus « mérites » du fameux Remdesivir, dont on connaît aujourd’hui la parfaite inutilité pour soigner les patients atteints du coronavirus et même la toxicité. Mieux : le Dr Peiffer-Smadja a continué à encourager le recrutement de patients dans l’étude de ce médicament, alors même que l’OMS avait déjà déclaré que le Remdesivir n’avait pas d’efficacité et était toxique !

D’autre part, et en y regardant de plus près, il semble que ce soit surtout ce Dr Peiffer-Smadja qui ait passé son temps, au cours des derniers mois, à dénigrer systématiquement et en des termes particulièrement virulents sur les réseaux sociaux les recherches du Pr Perronne. Un acharnement qui, semble-t-il, n’a eu guère d’effet sur les internautes si l’on en juge par le soutien considérable qu’ont apporté ceux-ci au Pr Perronne depuis l’annonce du lancement de la procédure risquant de lui retirer son agrément de formation.

 Source : Présent 9/12/2020

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mardi, 08 décembre 2020

Plus de deux millions de foyers bénéficiaires du RSA

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Arnaud Raffard de Brienne

Pour la première fois depuis la création du dispositif en juin 2009, il y a onze ans, le cap des deux millions de foyers bénéficiaires du Revenu de solidarité active (RSA) vient d’être allègrement franchi. Ce seul minimum social – il en existe une dizaine -, remplaçant du Revenu minimum d’insertion (RMI), assure, sous certaines conditions plutôt larges et souples, un revenu forfaitaire, une sorte de revenu universel avant l’heure, aujourd’hui financé par les départements pour un montant supérieur à douze milliards d’euros par an. Cette ponction devenue insupportable pour les départements, une loi en cours d’examen prévoit une renationalisation du RSA dont l’État assurera le financement. À noter, on se demande bien pourquoi, c’est déjà le cas pour nos chers départements et territoires d’Outre-mer comme la Guyane et la dispendieuse Mayotte depuis 2019, et pour  La Réunion depuis le début de cette année.

Le Premier ministre Jean Castex, en visite le 25 septembre dernier en Seine-Saint-Denis, l’un des départements les plus pauvres de France, là encore on se demande bien pourquoi, reconnaissait « les difficultés sociales exceptionnelles auxquelles est confronté ce département ». Il venait officiellement présenter, si possible sans rire, la mise en œuvre du plan « L’État plus fort en Seine-Saint-Denis ». De façon plus prosaïque, il s’agissait d’officialiser, sous les yeux énamourés de Stéphane Troussel, Président du conseil départemental de Seine-Saint-Denis, la prise en charge, à titre expérimental du financement du RSA par l’État, dès janvier 2022. Voici des années que diverses personnalités de ce département surendetté, aux sept villes parmi les vingt plus pauvres de France, multipliaient les appels au secours et suppliaient les politiques de leur venir en aide. C’est chose faite.

Une folle fuite en avant

En France cette année, avant un prévisible nouveau record en 2021, le RSA fait l’objet de 3 000 nouvelles demandes par jour. L’explosion du nombre de pauvres devrait encore s’aggraver en 2021 mais il s’agit bien entendu, selon les grands médias, d’imputer cette situation à la commode crise sanitaire en cours alors que l’ensemble des indicateurs confirment que nous ne sommes que face à l’aggravation, certes accélérée, d’une situation devenue intenable de longue date et renvoyant très directement à la folle politique ou plutôt absence de politique d’immigration.

Pendant ce temps, l’État continue à distribuer à tour de bras un argent dont il ne possède pas le premier centime. Sait-on, par exemple, que la prime d’activité bénéficie à 8,9 millions de personnes, soit une augmentation de 42,7% de bénéficiaires depuis 2018 ? Dernière trouvaille, la prime Covid annoncée par Emmanuel Macron le 14 octobre dernier dans le cadre et sans doute pour adoucir l’annonce du couvre-feu, de 150 euros pour les allocataires du RSA, 100 pour ceux de l’Aide personnalisée au logement (APL), agrémentée d’une prime de 100 euros par enfant à charge, ce qui dans certains territoires peut représenter un pactole. Cette démente fuite en avant ne présage évidemment rien de fameux pour les contribuables et épargnants…

Article paru dans le quotidien Présent cliquez ici

22:34 Publié dans Arnaud Raffard de Brienne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |