Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 11 avril 2011

SURVIVRE OU PERIR : IL FAUT REFORMER LE CODE DE LA NATIONALITE !

Jean-Claude Rolinat.jpgLe Bloc-notes de

Jean-Claude Rolinat

 

Monsieur Claude Guéant, ministre de l’Intérieur et de la parole, s’agite beaucoup en ce moment : normal, son patron entend déjà les bulletins de votes hostiles « tomber le soir au fond des urnes »… Nos frontières abolies par l’inique traité de Schengen, dont on n’a pas demandé aux Français de le ratifier ou non,sont une invitation permanente à franchir des lignes virtuelles pour venir toucher le jackpot des prestations diverses et variées. Généralement  accordées généreusement sans discernement au dernier des migrants entré. Avec le tsunami humain en provenance de Tunisie et de Libye qui s’annonce, puis dans un deuxième temps, celui venu des profondeurs de l’Afrique aux ventres si féconds, il y a du souci à se faire ! Sans compter que tous les collabos de France et de Navarre subventionnés par un Etat déliquescent qui s’accommode fort bien de cette véritable entreprise de subversion, sont à pied d’œuvre pour aider, renseigner, guider tous les laissés pour compte d’un continent incapable de s’assumer réellement dans l’ère postcoloniale. Derniers exemples : Libye, Côte d’Ivoire, Soudan, Zimbabwe, etc. Chers « Marcels » franchouillards, fini la petite auto, le petit loto, le petit boulot, le petit caboulot, les gros câlins et les bons dodos... C’est l’heure de se mobiliser dans notre « Camp des Saints », faute de quoi le réveil sera dur ! Avec la droite molle aux affaires, c’est porte et tables ouvertes pour le tiers-monde. Avec la gauche, pire encore s’il est possible, c’est la régularisation juridique massive garantie et annoncée. Premier temps, le droit de vote et d’éligibilité accordé aux résidents étrangers hors Union européenne pour les élections locales. Deuxième étape, l’accès direct à la pleine citoyenneté. Troisième station du « chemin de Croix » des « de souche » si je puis dire, la soumission au plus grand nombre. C’est le scénario Sud-Africain de 1994 : plus jamais les  Afrikaners qui ont fait la RSA, n’arriveront au pouvoir. N’imaginez pas que c’est du folklore exotique : la nature a horreur du vide et les chiffres galopent… Faute d’une imperméabilité de nos frontières et d’un redressement démographique réel, c’est ce qui nous pend au nez.


À Mayotte, 101ème « département » français, on vient accoucher massivement en provenance des autres iles de l’archipel desComores. Même scénario à Cayenne en Guyane où il s’agit simplement pour les Surinamiennes enceintes de franchir le fleuve Maroni. Les immigrées clandestines deviennent inexpulsables car mères d’un enfant réputé « français », le bébé ayant vu le jour en… France ! CQFD ! C’est la loi du sol qui s’applique par opposition à la loi du sang qui, elle, est en  vigueur dans de nombreuses démocraties sans que nos bonnes âmes de gauche et d’ailleurs ne remuent les oreilles. Le jeune Baroin alors ministre des DOM-TOM du dernier gouvernement Chirac, avait soulevé le lièvre : la bête est vite repartie dans son terrier, les loges qui n’étaient pas celles des concierges veillaient au grain ! Il faut exiger de « notre » gouvernement une réforme du Code de la nationalité : être Français, cela s’hérite ou se mérite. Avant d’adhérer à une association,  à un club, on en accepte les statuts et la direction décide souverainement si, oui ou non, elle doit accueillir le candidat. Une vache qui naîtrait par hasard dans une écurie n’en gagnerait pas pour autant le Grand prix de l’Arc de Triomphe, pas plus qu’un étalon naissant dans une étable ne donnerait du lait  pour faire du fromage ! Quant à la bi-nationalité, c’est un scandale permanent. Deux exemples qui me sont proches. Une de mes lointaines petite-cousine née à Denver, Colorado, de parents français qui travaillaient là-bas, est aussi Américaine. Ma cousine germaine (qui n’est pas Teutonne…) est mariée depuis plus de quarante ans à un Italien et ils vivent dans la ville éternelle. Elle vote Berlusconi à Rome et Sarkozy au Consulat de France ! Idem pour beaucoup de Franco-Maghrébins. Monsieur Charles Aznavour, l’indéboulonnable et talentueux crooner français qui réside en Suisse est aussi… ambassadeur d’Arménie à Berne. Je ne dirai rien du soldat Gilad Shalit, recrue de Tsahal, prisonnier du Hezbollah ou du Hamas, je ne sais plus, qui nous est présenté quasi-quotidiennement comme « Franco-israélien ». Cherchez l’erreur… C’est à Monsieur Netanyahou de négocier sa libération, pas au Président français. Madame Eva Joly pourrait nous expliquer comment elle a pu être juge d’instruction de la République  française alors qu’elle est native de Norvège dont elle a gardé l’accent tout en étant député européen alors que son pays natal, et c’est tant mieux pour lui, n’est même pas membre de l’Union européenne ?

 

Quant à moi, né à Paris, si j’avais émigré au Sénégal à l’âge de dix ans, à supposer que ce pays ait été indépendant à cette époque, aurais-je  pu devenir ministre du gouvernement de Dakar ? Il y en a qui trouvent trop facilement leur miel dans la ruche française ! La confusion des genres, les nationalités bradées ou d’occasion - de celles qui font le larron -, les citoyennetés bidons, ça suffit ! Toutes ces assemblées composées d’étrangers, créées par lesocialistes parallèlement aux vrais conseils municipaux ou généraux, sont illégales. On est du pays de ses ancêtres héritier du sang qui coulait dans leurs veines. C’est le même, c’est le nôtre. Pas du pays où le hasard des voyages ou des migrations aurait pu nous faire naître. Si j’avais vu le jour au Chili, je n’en serais pas pour autant un compatriote des généraux O’Higgins ou Pinochet. Il y a urgence à réformer et modifier notre Code de la nationalité. Une VRAIE droite au pouvoir, un véritable gouvernement ayant le sens de ce qui est « national », prendraient immédiatement les mesures qui s’imposent. D’autant plus qu’une telle réforme ne coûterait rien, si ce n’est l’impression des nouveaux documents.

14:10 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 24 mars 2011

19 SEPTEMBRE 1989 - 19 MARS 2011 : IL N’EST JAMAIS TROP TARD POUR BIEN FAIRE !

images.jpgLe bloc note de Jean-Claude Rolinat

A propos de l’affaire libyenne, ma première réaction pourrait être, « mais que diable allons-nous faire dans cette galère », d’autant que Sarkozy avait léché, il y a peu, les babouches du Raïs de Tripoli en l’accueillant, lui et sa smala, avec tous les honneurs dus à un Prince des Mille et une nuit. Le Président a-t-il voulu redorer son blason à la veille d’élections cantonales qui semblaient, de toute façon, perdues d’avance ? Ou, comme ses prédécesseurs, en tant que « Chef des armées », a-t-il lui aussi voulu jouer au  « petit soldat » ? Souvenons-nous, Giscard  eut « son » Kolwezi, Mitterrand « sa » Guerre du golfe, Chirac « ses » ripostes à Sarajevo, en Serbie et en Côte d’Ivoire. Le Chef de l’Etat a mis toute son énergie pour emporter  la décision d’une intervention dans le ciel libyen, tant aux Nations Unies qu’auprès des membres de la Ligue Arabe, même si ces derniers en véritables marchands de tapis, ont commencé à tiquer du keffieh dès les premières frappes.

En regardant la télé, je m’interrogeais sur le bien-fondé d’une opération aérienne aux suites hasardeuses. Puis, il m’est soudain revenu en mémoire, comme ça, les terribles  images du crash du DC-10 d’UTA dans le désert nigérien du Ténéré, qui assurait le 19 septembre 1989 la liaison Brazzaville-Paris. Un an avant, le 21 décembre 1988, le colonel Kadhafi avait fait exploser en vol un Boeing-747 de la PANAM  au-dessus de l’Ecosse (photo). A ces drames, se mêlaient des  souvenirs de reportages sur le Tchad, vaste pays sahélien victime des manigances du « fou » de Tripoli, actions subversives qui nous coûtèrent des hommes et du matériel. Depuis, le  « Guide de la Révolution » libyenne s’était  racheté une conduite à coups de millions de dollars de dédommagements et de renonciation à son programme nucléaire. En pensant à tout cela, dois-je l’avouer, les images de ses blindés réduits à l’état de merguez fumantes, m’ont fait du bien ! Oui, du bien, comme une sorte de  soulagement. Nos pilotes ont fait du bon boulot et, d’une certaine façon, ont vengé nos pauvres morts du Ténéré : 54 Français, passagers et membres d’équipage, ainsi que 120 autres victimes qui n’avaient rien demandé que de vivre et de retrouver les leurs. J’espère que les Mirages,  Rafales  et autres F-16 de la coalition ne rateront pas la carcasse du colonel ou, qu’à défaut, le peuple libyen en fera son affaire. Il est des moments où la raison  ou la simple analyse géopolitique s’effacent derrière les sentiments et la nécessité de punir, de châtier comme il se doit un crime imprescriptible. Et tant pis si l’omniprésent, l’insupportable, le prétentieux, l’imbuvable BHL a été l’élément déclencheur de cette opération militaire. 22 ans après le crime du Ténéré, la punition est certes bien tardive. Mais  la vengeance n’est-elle pas un plat qui se mange froid ? Avertissement sans frais aux Bachar Al Assad, Robert Mugabe et autre Kim-Jong-Il…

22:38 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |