jeudi, 22 mars 2012
PAS D’AMALGAME QU’ILS DISENT…
Le bloc note de Jean-Claude Rolinat
Les représentants des communautés religieuses sont émouvants. Les yeux dans les yeux, presque la main dans la main, ils appellent toujours à plus de tolérance et de paix. C’est leur rôle, leur mission, ils ont étudié et sont payés pour ça. Un rabbin, un homme d’église, un imam sous le beau ciel de notre belle République ne sont pas là pour attiser la haine, non ? Manquerait plus que ça ! Et surtout, surtout, pas d’amalgame !
Le fait que l’assassin de trois militaires et le tueur de trois enfants de confession juive, Mohamed Merah, ne soit ni sikh, ni hindou, ni catholique, ni réformé, ni copte, ni orthodoxe, ni shintoïste, ni zoroastrien n’est que le fait, sans doute, d’un mauvais hasard. Imaginons que le criminel se soit appelé Dupont-Lajoie et qu’il soit un consommateur de porc de première et, en plus, circonstance aggravante, qu’il ait une fois dans sa vie, voté pour un parti de la Droite Nationale, quel jet d’injures, quel tombereau d’invectives, quelle marée d’indignation déferleraient sur notre paysage médiatique. Nous aurions droit à la mise en lumière de l’éternelle équation inventée par nos beaux esprits de gauche : Nazi=fascisme=Vichy=extrême droite=droite de conviction…
Patatras, le beau scénario qui nous aurait valu un Carpentras bis s’est effondré à l’instant même où était révélée l’identité du terroriste djihadiste. Français de papier qui a froidement abattu des hommes parce qu’ils portaient un uniforme honni et tué d’innocents enfants d’une confession détestée en raison d’ évènements complètement extérieurs au périmètre français, voilà de quoi faire réfléchir celles et ceux qui se réjouissaient des révolutions du « printemps » arabe. Lequel dessine les contours d’un hiver islamiste en Tunisie, Libye, Egypte en attendant, peut-être, le tour de la Syrie. Combien y-a-t-il d’autres bombes ambulantes de cette nature, chargées de haine jusqu’à la gueule? Gardons-nous, bien sûr, de généraliser. Si tous les musulmans, d’évidence, ne sont pas des terroristes en puissance,-combien de « chibanis » vivent tranquilles en nos murs et ne demandent qu’à partager notre soleil-, tous les terroristes islamistes sont des Mahométans. Et surtout, encore une fois, pas de confusion , disons « ethno-géographique » : tous les arabes ne sont pas musulmans et la première puissance musulmane au monde, c’est l’Indonésie.
En attendant, cette tragique actualité a fait passer à la trappe un autre atroce fait divers : une « chance pour la France », récidiviste, est très fortement soupçonné d’avoir tué une adolescente à Bouguenais, au sud-ouest de Nantes. Ainsi va ce pays qui fut, jadis et hier, un pays de cocagne…
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vendredi, 24 février 2012
Une lettre ouverte de Jean-Claude Rolinat à Yves Calvi, journaliste à France 5 :
Emission « C DANS L’AIR »
du mercredi soir 22 février relative
à la guerre d’Espagne
Monsieur Calvi,
Vous animez généralement des émissions d’une très bonne tenue portant sur l’actualité : les intervenants sont souvent des spécialistes reconnus ou talentueux. On ne se coupe pas la parole, on est loin des « basse-cours » de certaines émissions proposées par vos confrères. Sous la baguette…magique ( ?) d’Yves Calvi, ça fonctionne plutôt bien pour le plus grand confort d’écoute du téléspectateur. Après tout, « bon sang ne saurait mentir »…
Quelle ne fut pas ma surprise en regardant ce mercredi soir 22 courant une émission consacrée au juge B. Garzon et, partant de là, à la Guerre d’Espagne (1936-1939).
Tout de suite, j’eus une impression de malaise ; je n’avais pas en face de moi des spécialistes devisant techniquement de faits historiques discutables, mais des procureurs s’acharnant à salir unilatéralement quatre décennies de franquisme sans prendre la moindre hauteur. Une attitude qui permettrait de voir les choses avec beaucoup de nuances, tant l’histoire avec un grand « H » n’est jamais blanche ou noire, mais toujours grise, sujette au fil des ans et à la lumière de nouveaux témoignages identifiables, à une certaine révision. Il existe des historiens honnêtes et des perroquets indignes. On aurait cru entendre de la « propagandastaffel » contemporaine. Et ces gens-là peuvent avoir un gentil minois, ils n’en sont que plus dangereux. Rien n’est venu balancer, nuancer ce réquisitoire totalitaire, je n’hésite pas à utiliser le mot, à l’encontre du Franquisme. Et pourtant, pour faire la guerre, il faut être deux et si des crimes de guerre furent commis en Ibérie entre 36 et 39, le camp des « rouges » en a une très belle part. Ce n’est pas moi qui le dit, mais l’écrivain espagnol de renom Michel del Castillo qui fut contemporain de cette guerre et dont la maman était plutôt dans le camp de ceux que l’on nomme improprement « républicains ». On parle beaucoup du bombardement de Guernica où s’illustra d’une façon tragique la Luftwaffe, mais on ne parle jamais des massacres de Paracuellos commis par les bolchéviques. Page 255 de son ouvrage, « Le Temps de Franco », Fayard 2008, l’auteur précité écrit :-« …Un plan exécuté de sang-froid. On s’étonne en 2008, de ne trouver que de brèves allusions à cette « évacuation définitive » dans les biographies les plus épaisses, si riches en considérations psychologiques, par ailleurs, sur la personnalité du Caudillo. Comment expliquer cette pudeur ? Tout se passe comme si les victimes de ces purges sanglantes méritaient à peine une mention. » Tout cela pour vous dire que 10 500 personnes sont passées, si j’ose dire, par « pertes et profits ». Quand on évoque la Guerre d’Espagne, c’est très simpliste : d’un côté il y a les « bons », les républicains-démocrates qui assassinaient à tour de bras leurs adversaires politiques, allant jusqu’à exhumer les corps de religieux et de religieuses -, photos à votre disposition -, et les mauvais, forcément les défenseurs des classes aisées et des piliers d’église. Mais l’histoire espagnole de cette période est un peu plus compliquée, elle n’est pas si manichéenne. Si le soulèvement militaire du 18 juillet 1936 a eu lieu, c’est qu’il avait été précédé de nombreuses violences anticléricales, certes, mais pas seulement, de l’assassinat du leader de droite Calvo Sotelo et, dès les toutes premières heures du conflit, de l’exécution de José Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange. La République espagnole, « bourgeoise » et modérée dans un premier temps, bascula dans l’horreur du communisme, ce qui entraina bien évidemment l’intervention de l’armée, garante de l’ordre public et comptable de l’intégrité nationale. Si les nationalistes,- Phalange, Carlistes, militaires, Chrétiens engagés-, gagnèrent au bout de trois années de terribles combats, ils le durent à leur courage et, objectivement, à l’aide des forces de l’Axe. Mais, dans le camp « d’en face », Moscou déploya tout son arsenal pour sauver cette « République » à la sauce soviétique et mit à sa disposition ses « brigades internationales » qu’un certain Monsieur Jacques Chirac a voulu faire reconnaitre comme « anciens combattants », tout au moins pour ce qui était des ressortissants français. Cette terrible guerre civile, comme celle qui divisa au XIXe siècle les Etats-Unis a fait près de 600 000 morts ! Au lendemain de ce conflit, la répression a été impitoyable, je vous l’accorde. Mais pendant les 36 années de règne du général Franco l’Espagne s’est apaisée, elle s’est reconstruite dans l’ordre et la paix, s’est ouverte au progrès. Ses institutions politiques inspirées de la démocratie organique pouvaient passer pour un Etat totalitaire : rien n’était plus faux. L’Espagne franquiste était un Etat autoritaire mais en aucun cas de « type fasciste » : on ne régentait pas la vie d’un homme de zéro heure à 24 h, on ne le prenait pas en main du berceau au cercueil comme dans les tyrannies théocratiques ou communistes. Il pouvait y avoir quelques ressemblances à l’occasion des grands rassemblements de foules, place d’Orient, mais personne n’était contraint d’y assister. Le régime franquiste a été institué par référendum populaire et le « Caudillo » n’était que le fondé de pouvoir de la monarchie, règne monarchique seulement mis entre-parenthèses pendant les trois années de guerre civile. À la mort de Franco, justement pleuré par une immense partie du peuple, une page s’est tournée et la monarchie constitutionnelle s’est tranquillement mise en route sur les rails forgés par le généralissime. Qu’il y ait eu des massacres, des fusillades arbitraires, des disparitions, nul ne le nie. Mais toutes ces horreurs ont été le fait des DEUX CAMPS. Or, il semble bien que le juge Garzon, par préjugé idéologique, ne se soit occupé que des victimes des armées nationalistes.
La Grande Croix qui s’élève majestueusement au Val de Los Caïdos veut être justement le symbole, par-delà la mort de tant de valeureux combattants des deux camps enterrés là, d’un certain apaisement, d’une réconciliation, d’une Espagne enfin pacifiée, voulant tourner la page sans oublier ceux des siens qui sont restés dans cette terrible guerre contemporaine.
Eh bien, aimant tellement votre émission et appréciant votre talent d’animateur, ce rôle d’arbitre cultivant l’humour, je tenais à vous faire part de ma déception après cette lamentable prestation.
En espérant échapper dans l’avenir à ce type d’émission partisane, je vous prie de croire, Monsieur Yves Calvi, à l’assurance de mes sentiments les meilleurs.
Jean-Claude Rolinat
Ecrivain
Elu local en Ile-de-France
Membre du Bureau de la NDP
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vendredi, 25 novembre 2011
Le Cinéma, une arme idéologique toujours d’actualité...
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samedi, 05 novembre 2011
AVEC EUX, QUAND ON N’A PAS TOUT DONNE, ON N’A RIEN DONNE…
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Je viens d’entendre sur les ondes de RTL ce vendredi 4 novembre à 13h50 Monsieur Richard Prasquier, Président du CRIF, s’exprimer à propos de la rencontre, à New-York, entre Marine Le Pen et le délégué d’Israël à l’ONU, l’ambassadeur Ron Prosor. Pour le porte-parole du CRIF rien, rien ne saurait faire oublier le « détail », mot inapproprié prononcé jadis par Jean-Marie Le Pen et, dans la foulée, de s’étonner que le gouvernement d’Israël n’ait pas désavoué son représentant onusien (ce qu’il a fait depuis). Le verdict est sans appel, ça ne sert à rien. A vouloir courir après les dirigeants autoproclamés d’une communauté, on perd son temps.
Moi, je connais Israël, j’y suis allé deux fois. Cet Etat a toute sa légitimité dans ses frontières reconnues de 1967. Nier son existence comme le fait l’iranien Ahmadinedjad est totalement contre-productif et fait preuve d’une « imbécilité-crasse ». J’ai partagé pendant un mois dans les années soixante la vie d’un kibboutz. A cette époque l’Etat Hébreu défendait des frontières menacées, il était laïc, peuplé majoritairement de juifs ashkénazes et vivait dans une ambiance de mystique pionnière : c’était un pays de bâtisseurs. Aujourd’hui, c’est une sorte de théocratie sépharade expansionniste.
A la main tendue par l’Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas en Cisjordanie, il répond par l’extension de ses colonies à Jérusalem-Est et à Malé-Adoumim notamment. Au cours de mon second séjour en Terre Sainte, j’ai vu ce nouveau « mur de la honte » qui balafre le pays et qui ceinture en mille et un confettis la partie arabe de la Palestine. (Voyez le film « Le citronnier »). Si les terroristes de la bande du Hamas à Gaza jouent avec le feu en tirant des roquettes par-dessus la frontière, attirant ainsi des représailles aveugles contre leurs propres populations, - c’est le même scénario que dans la France occupée, le cycle « attentat-répression » -, l’enfermement des populations dans des enclaves quasi-hermétiques est scandaleux. La seule façon de faire reculer le terrorisme, c’est d’ouvrir des négociations. Même en Afrique du Sud, aux plus belles heures de l’apartheid, les « bantoustans », les « fameux » Etats « TBVC » (1) etc… n’étaient pas clos, je puis en témoigner ayant là aussi séjourné deux fois dans ce pays. L’Etat de Palestine, « mité », une sorte de peau de léopard trouée, est entré à l’UNESCO ? Tant mieux. Ce vote répond, 64 ans plus tard, à la décision majoritaire des membres de Nations Unies de l’époque de partager la Palestine en deux Etats : l’un juif, l’autre arabe.
L’une des deux entités existe. Mais pas l’autre ! Cherchez l’erreur…
(1) Transkeï, Bophuthatswana, Venda, Ciskeï, Lebowa, Gazankulu, Qwa-Qwa etc…
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lundi, 26 septembre 2011
Cinéma : Cette « Nouvelle guerre des boutons » m’a donné des ….boutons !
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lundi, 11 avril 2011
SURVIVRE OU PERIR : IL FAUT REFORMER LE CODE DE LA NATIONALITE !
Le Bloc-notes de
Jean-Claude Rolinat
Monsieur Claude Guéant, ministre de l’Intérieur et de la parole, s’agite beaucoup en ce moment : normal, son patron entend déjà les bulletins de votes hostiles « tomber le soir au fond des urnes »… Nos frontières abolies par l’inique traité de Schengen, dont on n’a pas demandé aux Français de le ratifier ou non,sont une invitation permanente à franchir des lignes virtuelles pour venir toucher le jackpot des prestations diverses et variées. Généralement accordées généreusement sans discernement au dernier des migrants entré. Avec le tsunami humain en provenance de Tunisie et de Libye qui s’annonce, puis dans un deuxième temps, celui venu des profondeurs de l’Afrique aux ventres si féconds, il y a du souci à se faire ! Sans compter que tous les collabos de France et de Navarre subventionnés par un Etat déliquescent qui s’accommode fort bien de cette véritable entreprise de subversion, sont à pied d’œuvre pour aider, renseigner, guider tous les laissés pour compte d’un continent incapable de s’assumer réellement dans l’ère postcoloniale. Derniers exemples : Libye, Côte d’Ivoire, Soudan, Zimbabwe, etc. Chers « Marcels » franchouillards, fini la petite auto, le petit loto, le petit boulot, le petit caboulot, les gros câlins et les bons dodos... C’est l’heure de se mobiliser dans notre « Camp des Saints », faute de quoi le réveil sera dur ! Avec la droite molle aux affaires, c’est porte et tables ouvertes pour le tiers-monde. Avec la gauche, pire encore s’il est possible, c’est la régularisation juridique massive garantie et annoncée. Premier temps, le droit de vote et d’éligibilité accordé aux résidents étrangers hors Union européenne pour les élections locales. Deuxième étape, l’accès direct à la pleine citoyenneté. Troisième station du « chemin de Croix » des « de souche » si je puis dire, la soumission au plus grand nombre. C’est le scénario Sud-Africain de 1994 : plus jamais les Afrikaners qui ont fait la RSA, n’arriveront au pouvoir. N’imaginez pas que c’est du folklore exotique : la nature a horreur du vide et les chiffres galopent… Faute d’une imperméabilité de nos frontières et d’un redressement démographique réel, c’est ce qui nous pend au nez.
À Mayotte, 101ème « département » français, on vient accoucher massivement en provenance des autres iles de l’archipel desComores. Même scénario à Cayenne en Guyane où il s’agit simplement pour les Surinamiennes enceintes de franchir le fleuve Maroni. Les immigrées clandestines deviennent inexpulsables car mères d’un enfant réputé « français », le bébé ayant vu le jour en… France ! CQFD ! C’est la loi du sol qui s’applique par opposition à la loi du sang qui, elle, est en vigueur dans de nombreuses démocraties sans que nos bonnes âmes de gauche et d’ailleurs ne remuent les oreilles. Le jeune Baroin alors ministre des DOM-TOM du dernier gouvernement Chirac, avait soulevé le lièvre : la bête est vite repartie dans son terrier, les loges qui n’étaient pas celles des concierges veillaient au grain ! Il faut exiger de « notre » gouvernement une réforme du Code de la nationalité : être Français, cela s’hérite ou se mérite. Avant d’adhérer à une association, à un club, on en accepte les statuts et la direction décide souverainement si, oui ou non, elle doit accueillir le candidat. Une vache qui naîtrait par hasard dans une écurie n’en gagnerait pas pour autant le Grand prix de l’Arc de Triomphe, pas plus qu’un étalon naissant dans une étable ne donnerait du lait pour faire du fromage ! Quant à la bi-nationalité, c’est un scandale permanent. Deux exemples qui me sont proches. Une de mes lointaines petite-cousine née à Denver, Colorado, de parents français qui travaillaient là-bas, est aussi Américaine. Ma cousine germaine (qui n’est pas Teutonne…) est mariée depuis plus de quarante ans à un Italien et ils vivent dans la ville éternelle. Elle vote Berlusconi à Rome et Sarkozy au Consulat de France ! Idem pour beaucoup de Franco-Maghrébins. Monsieur Charles Aznavour, l’indéboulonnable et talentueux crooner français qui réside en Suisse est aussi… ambassadeur d’Arménie à Berne. Je ne dirai rien du soldat Gilad Shalit, recrue de Tsahal, prisonnier du Hezbollah ou du Hamas, je ne sais plus, qui nous est présenté quasi-quotidiennement comme « Franco-israélien ». Cherchez l’erreur… C’est à Monsieur Netanyahou de négocier sa libération, pas au Président français. Madame Eva Joly pourrait nous expliquer comment elle a pu être juge d’instruction de la République française alors qu’elle est native de Norvège dont elle a gardé l’accent tout en étant député européen alors que son pays natal, et c’est tant mieux pour lui, n’est même pas membre de l’Union européenne ?
Quant à moi, né à Paris, si j’avais émigré au Sénégal à l’âge de dix ans, à supposer que ce pays ait été indépendant à cette époque, aurais-je pu devenir ministre du gouvernement de Dakar ? Il y en a qui trouvent trop facilement leur miel dans la ruche française ! La confusion des genres, les nationalités bradées ou d’occasion - de celles qui font le larron -, les citoyennetés bidons, ça suffit ! Toutes ces assemblées composées d’étrangers, créées par lesocialistes parallèlement aux vrais conseils municipaux ou généraux, sont illégales. On est du pays de ses ancêtres héritier du sang qui coulait dans leurs veines. C’est le même, c’est le nôtre. Pas du pays où le hasard des voyages ou des migrations aurait pu nous faire naître. Si j’avais vu le jour au Chili, je n’en serais pas pour autant un compatriote des généraux O’Higgins ou Pinochet. Il y a urgence à réformer et modifier notre Code de la nationalité. Une VRAIE droite au pouvoir, un véritable gouvernement ayant le sens de ce qui est « national », prendraient immédiatement les mesures qui s’imposent. D’autant plus qu’une telle réforme ne coûterait rien, si ce n’est l’impression des nouveaux documents.
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jeudi, 24 mars 2011
19 SEPTEMBRE 1989 - 19 MARS 2011 : IL N’EST JAMAIS TROP TARD POUR BIEN FAIRE !
Le bloc note de Jean-Claude Rolinat
A propos de l’affaire libyenne, ma première réaction pourrait être, « mais que diable allons-nous faire dans cette galère », d’autant que Sarkozy avait léché, il y a peu, les babouches du Raïs de Tripoli en l’accueillant, lui et sa smala, avec tous les honneurs dus à un Prince des Mille et une nuit. Le Président a-t-il voulu redorer son blason à la veille d’élections cantonales qui semblaient, de toute façon, perdues d’avance ? Ou, comme ses prédécesseurs, en tant que « Chef des armées », a-t-il lui aussi voulu jouer au « petit soldat » ? Souvenons-nous, Giscard eut « son » Kolwezi, Mitterrand « sa » Guerre du golfe, Chirac « ses » ripostes à Sarajevo, en Serbie et en Côte d’Ivoire. Le Chef de l’Etat a mis toute son énergie pour emporter la décision d’une intervention dans le ciel libyen, tant aux Nations Unies qu’auprès des membres de la Ligue Arabe, même si ces derniers en véritables marchands de tapis, ont commencé à tiquer du keffieh dès les premières frappes.
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