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lundi, 28 novembre 2022

Callac : la résistance face au diktat du maire immigrationniste s'intensifie sur le terrain

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Le tract RV distribué à Callac ces derniers jours.

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Toute la fin de semaine dernière, des milliers de tracts ont été distribués dans toute la commune et le canton de Callac par les militants du l'Association Les Amis de Callac et de ses environs animée par Catherine Blein et Danièle Le Men. Cette association, dont le porte parole est Bernard Germain qui s'apprête à sortir très bientôt un livre explosif intitulé "Callac, la mère des batailles" (édité par Synthèse nationale), milite sans relâche contre le projet de "grand remplacement," intitulé "Projet Horizon", imposé par le maire Jean-Yves Rolland et par une fondation parisienne, la fondation Merci, dirigée par une famille Cohen.

Le combat que mène nos amis de Callac est en effet exemplaire et déjà, dans plusieurs communes de France confrontée au même problème, des groupes de citoyens s'organisent pour s'y opposer et pour dénoncer les élus collabos qui se lancent dans de tels projets.

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dimanche, 27 novembre 2022

Pour vos cadeaux de Noël : du 2 au 4 décembre, la boutique éphémère des artisans enracinés à Paris

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17:32 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 10 décembre : conférence de Terre & peuple à Villeparisis (77) avec Lucien Cerise

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Samedi 3 décembre à Paris : 8e colloque annuel de Polémia

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Au programme : 

Jean-Yves Le Gallou, Président de Polémia, auteur de La Société de propagande ; Manuel de résistance au goulag mental : Face à la société de propagande, que faire ?

Damien Rieu, lanceur d'alerte >> Faire face au changement de peuple et à l’islamisation

Nicolas Faureagitateur idéologique et animateur du média Sunrise.En finir avec le fantasme égalitariste

Yann Vallerie, rédacteur en chef de Breizh-info, auteur de Sécession : Faire face par la sécession territoriale

Nicolas Demade, parent d’élève, militant identitaire : Faire face au Grand Endoctrinement scolaire

Jean-Eudes Gannat, militant identitaire et catholique, auteur de "Pourquoi l'Alvarium" : Faire face aux persécutions politiques

Thaïs d’Escuffon, militante et vidéaste identitaire : Comment garder espoir face à la répression ?

Jean-Luc Coronel de Boissezon, agrégé des facultés de droit, historien du droit et des institutions. : Faire face aux persécutions universitaires

Pierre Gentillet, avocat : Faire face à l'Etat de droit

Michel Geoffroy, essayiste, contributeur à la fondation PolémiaCourage, réalisme, espérance

Renaud Camus, écrivain, président du parti de l’In-nocence et le Conseil National de la Résistance Européenne (CNRE) : Faire face à la laideur. 

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Dimanche 4 décembre, au Palais des Sports de Paris : premier anniversaire de Reconquête !

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samedi, 26 novembre 2022

e-générosité pour ravis de la crèche !

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La chronique de Philippe Randa

Dans un passé de moins en moins récent, se montrer chaque dimanche à la messe était certes un acte de piété pour beaucoup, mais aussi une occasion de paraître pour certains.

Ainsi de certains fortunés qui, à la sortie de l’office, s’attardaient sur le parvis pour sortir leur bourse et lâcher quelques piécettes aux malheureux qui demandaient l’aumône. Il fallait que cela se voie, se sache, se dise… Une bonne action, surtout à moindres frais et à condition d’être publique, faisait son bourgeois aussi sûrement que son embonpoint.

À quoi cela sert-il d’être généreux si ça ne se voit pas, hein ?

Autres temps, autres mœurs, les progrès technologiques permettent désormais à la générosité des uns de faire le bonheur des autres sans même avoir à sortir de chez soi…

L’ONG GiveDirectly considère en effet que les pauvres sont les plus à même de dépenser les aides qu’ils reçoivent avec efficacité, c’est-à-dire selon leur bon vouloir et non de celui de leurs bienfaiteurs, si tant est que, comme les bourgeois d’antan, ceux-ci s’en soient toujours préoccupés plus que cela.

Concrètement, « (le) principe est simple : (GiveDirectly) identifie les villages ou les foyers les plus pauvres et leur verse directement de l’argent, souvent par un transfert sur mobile […] Et, si l’argent est transféré directement sur le compte du bénéficiaire, les risques de corruption ou de détournement diminuent considérablement » (Le Monde, 8 novembre 2017).

La philosophie de cette e-générosité est simple : la personne concernée (par le manque de moyens) serait la plus à même de savoir ce qui lui est le plus nécessaire… Ce que Abhijit Banerjee et Esther Duflo, les directeurs du J-PAL (l’Abdul Latif Jameel Poverty Action Lab) confirment dans leurs études : « C’est précisément parce que [les pauvres] ont si peu qu’on les voit prendre le temps de la réflexion avant de décider : ils doivent être des économistes talentueux juste pour survivre » (Économie utile pour des temps difficiles, Seuil, 2020).

« Trop souvent, on donne des aides, des moyens sans dire aux bénéficiaires comment les utiliser ou sans leur demander comment ils veulent les utiliser. Il y a quelque chose de profondément paternaliste à prendre ce genre de décisions à Genève, à Londres, à New York », explique ainsi avec un air de ravi de la crèche un dirigeant de GiveDirectly, à l’évidence tout à fait confiant dans l’usage qui sera forcément fait de l’argent ainsi distribué en toute béate confiance.

C’est beau de croire dans l’honnêteté, l’intelligence et la compétence des plus démunis et après d’une telle déclaration d’amour et d’espérance dans l’humanité, il serait parfaitement inapproprié d’en douter, même un tout petit peu…

Mais ayons tout de même une (mauvaise) pensée pour ces sympathiques clochards d’antan qui vous demandaient une p’tite pièce en déclarant (comme Gérard Jugnot dans le film Le Père Noël est une ordure) : « J’vais pas vous mentir, c’est pour aller m’payer une chopine »

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13:14 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les habitants des métropoles ont une vision Walt Disney de l’animalité

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Le philosophe Jean-Claude Michéa, qui compte des lecteurs fervents parmi la jeunesse, et dont la parole est exceptionnelle dans les médias, sort de sa retraite landaise pour critiquer la volonté de La France insoumise d’interdire la corrida. Habitant en terre taurine, il voit dans les traditions populaires le dernier rempart à l’uniformisation du monde portée par le capitalisme. Le penseur déplore que les mélenchonistes se soient ralliés à la stratégie définie par Terra Nova d’une alliance entre les classes moyennes des centres-villes et les minorités.

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Source : Le Figaro 26/11/2022

09:00 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Russie : Entretien avec Maria Zakharova

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La porte-parole de la diplomatie russe explique au Point la vision du Kremlin sur l’Occident, l’Europe et l’Ukraine. Et balance quelques vérités qui remettent les pendules à l’heure. Ici pas de langue de bois. Première femme à occuper ce poste au cœur du pouvoir et connue pour son franc-parler, elle expose la perception russe du monde. C’est du cash !

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Source : Le Point 24/11/2022

 

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Journal du chaos

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05:30 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 25 novembre 2022

L'avortement "constitutionnalisé" ...

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L'époque où le Front national et Jean-Marie Le Pen manifestaient contre l'avortement...

Pour information, si vous désirez consulter la liste des députés RN qui ont voté "pour" et ceux qui ont voté "contre" cliquez ici

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jeudi, 24 novembre 2022

Réflexions sur les larmes des sauriens de l’Ill

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Bernard Plouvier

S’il ne s’agissait de morts prématurées d’êtres humains, les larmes de crocodile versées par les si utiles Eurodéputés de Strasbourg sur le « terrorisme russe » feraient hurler de rire et pour diverses raisons.

Toute guerre est par définition une cause de terreur pour les civils qui sont pris entre deux feux. Il serait bon de méditer l’une des rares phrases intéressantes de Karl v. Clausewitz : « La guerre est un acte de violence ; il n’y a pas de limite à la manifestation de cette violence ».

Et ce ne sont pas les Yankees, les seuls belligérants qui aient osé utiliser l’extraordinaire puissance de désintégration d’atomes lourds dans une guerre, qui peuvent prétendre le contraire !  

Durant les années 1940-45, les bombardiers britanniques et nord-américains ont écrasé – par des « bombardements de zone », strictement dépourvus de toute précision – des cités industrielles, des quartiers d’habitation proches de gares, de ports ou de nœuds routiers, voire des villes totalement dépourvues du moindre objectif militaire ou industriel. Et l’on a glorifié les nobles aviateurs alliés et leurs grands stratèges aériens !

De nos jours, on parle de « terrorisme » quand des tirs remarquablement ciblés de missiles russes s’en prennent à des centrales de fourniture d’électricité !

De 1940 à 1945, 600 000 Allemands, 60 000 Français, et 61 000 Italiens sont morts victimes des « bombardements libérateurs » des forces aériennes alliées.

En 2022, les tirs de missiles russes tuent tantôt un, tantôt trois civils... et l’on attribue généreusement aux Russes deux malheureux paysans polonais tués par un missile ukrainien ! De fait, dans un pays dirigé par un clown professionnel, il est logique que les artificiers ukrainiens soient de facétieux tireurs, à moins qu’ils n’aient abusé – pour se réchauffer en période quasi-hivernale – d’alcool de grains. En réalité, la plupart des missiles russes détruisent leur cible sans tuer d’être humain.   

On sait depuis longtemps que la propagande de guerre pue le mensonge utilitaire et que tout paraît bon aux fanatiques pour diaboliser leur ennemi.

Ce que les opinions publiques commencent à réellement comprendre ces dernières années, c’est la stupidité, la corruption mentale voire matérielle et l’inutilité fondamentale des politiciens professionnels.

L’actualité des années 2015-2022 (terrorisme djihadiste, covidiomania, immigration-invasion & insécurité pour les autochtones d’Europe, entreprise de destruction de l’Union Européenne par les USA à l’occasion d’un conflit frontalier russo-ukrainien) démontre que nos « élus » ne sont que des pantins manipulés par les maîtres de l’économie et qu’il serait bon pour les Nations d’Europe de se révolter, non pour des raisons de taxes ou de vie chère, mais simplement pour rester des Européens maîtres de leur continent.

Nos slogans doivent être : US go Home, Back to Africa, Non à la Chine et à l’islam, l’Europe aux Européens. Il est urgent de remanier les Constitutions pour rendre sa Souveraineté à chacune des Nations autochtones d’Europe.  

23:34 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les Franco-ricains

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La chronique flibustiière de Georges Feltin-Tracol 

Il y a trente ans, au printemps 1992, s’ouvrait le parc d’attraction parrainé par la souris Mickey et l’avare Picsou : Euro Disney Resort. Pour la circonstance fut dévastée la plaine fertile de la Brie dans l’Est francilien avec un incroyable étalement urbain. La dénomination du complexe industriel de divertissement a varié au gré des années en fonction des stratégies publicitaires. Il s’appelle depuis 2009 Disneyland–Paris. Chaque année, des millions de touristes venus d’Europe, d’autres continents et, hélas !, de France le visitent.

Décidé par le socialiste atlantiste François Mitterrand et accepté par le très falot Jacques Chirac, ce projet fut porté par Charles de Chambrun. Proche des milieux étatsuniens, cet ancien secrétaire d’État du gouvernement de Georges Pompidou sous Charles De Gaulle militait au Front national qui, au moment de la signature de l’accord en 1985, s’affichait en nouvelle force reaganienne française. Le tournant anti-américain du FN ne viendra qu’avec la crise du Golfe à l’été 1990. Charles de Chambrun fut par ailleurs l’éphémère maire FN de Saint-Gilles-du-Gard entre 1989 et 1992. Une partie de sa propre majorité contesta sa gestion, ce qui entraîna sa chute.

L’inauguration de cette défiguration paysagère, mémorielle et économique se fait l’année du référendum perdu sur le traité de Maastricht, matrice du cosmopolitisme euratlantique. Contre cette verrue effroyable, seuls protestèrent une minorité de l’extrême gauche, le mouvement tiercériste de Jean-Gilles Malliarakis, Troisième Voie, et le GRECE. Disneyland–Paris détourne les mythes européens, pervertit nos légendes et viole l’imaginaire des générations. L’enlèvement culturel s’aggrave aujourd’hui avec la forte fréquentation autour des thématiques de la Guerre des Étoiles de George Lucas et de l’univers cinématographique Marvel. Quand on parle à un adolescent albo-européen du dieu Thor, il le présente sous les traits de l’acteur australien Chris Hemsworth et le voit aux côtés des Avengers…

Disneyland–Paris parachève le processus d’américanisation de la société française. Le Français moyen rêve d’Amérique. Son désir ne tend pas vers le Mexique, le Pérou, la Bolivie, l’Argentine ou le Costa Rica; il se focalise sur les États-Unis à travers le prisme new-yorkais, californien, texan et floridien sans oublier Memphis, Nashville et Las Vegas. En revanche, il ne se projette jamais dans les Appalaches ou dans les « Grandes Plaines ». Cette affliction civilisationnelle frappe tous les milieux et toutes les classes d’âge.

Le système médiatique d’occupation mentale imite tant par la forme que sur le fond ses collègues d’outre-Atlantique. La politique hexagonale reprend à son compte un vocabulaire directement venu de là-bas : les élections primaires, l’aspiration au bipartisme institutionnel, la tentation d’un régime présidentiel loufoque sous nos latitudes. En 2015, de retour à la tête de son parti, Nicolas Sarközy changea le nom de l’UMP (Union pour un mouvement populaire) qui devient Les Républicains. À la fin du mandat de François « Flamby » Hollande, Manuel Valls envisageait de modifier l’appellation du Parti socialiste en parti démocrate. Par son coup d’éclat électoral, Emmanuel Macron a balayé en 2017 ces tactiques politiciennes en attirant vers lui le centre-gauche et le centre-droit.

Le chanteur Johnny Hallyday a joué un immense rôle dans l’américanisation de la France. Vivant la moitié de l’année à Los Angeles, il a transmis à son public une perception fallacieuse de la réalité étatsunienne. Le cas de Jean-Philippe Smet est édifiant d’autant que ses admirateurs appartiennent à la « France périphérique ». Combien parmi ceux qui pleurèrent l’idole de leur jeunesse en 2017 participèrent-ils ensuite à l’occupation des ronds-points dans le cadre de la révolte tranquille des « Gilets jaunes » ? Ne furent-ils pas des « Gilets Johnny » ?

Enfants et adolescents portent des vêtements ou des cartables aux couleurs des États-Unis d’Amérique ou du Royaume Uni de Grande-Bretagne. Leurs parents décorent leurs habitations et leurs véhicules selon les clichés propagés par les séries télé anglo-saxonnes. Il ne viendrait à aucun Français d’arborer sur lui et chez lui les couleurs de l’Inde, de l’Iran, de la Russie, de la Chine ou de la Hongrie !

La « France périphérique » connaît enfin un puissant engouement pour la musique country. Malgré des origines européennes principalement celtiques, ce style musical s’est épanoui en Amérique du Nord. On recensait néanmoins en 2019 plus d’une cinquantaine de festivals dans l’Hexagone dont à Sainte-Agrève en Ardèche et à Craponne-sur-Arzon en Haute-Loire ! La fermeture des bistrots en zone rurale a déporté le lieu de sociabilité vers le club local de musique made in USA. Il existe ainsi une réelle symétrie comportementale entre la mode country en vogue chez les « petits Blancs » et le rap (ou, plus généralement, l’« inculture » hip hop) qui est apparu dans les banlieues de l’immigration et qui infuse maintenant dans les centres métropolitains où prolifèrent les « Bo-bo ».

L’acculturation américaine intergénérationnelle favorise des mutations socio-politiques inouïes. Les déracinés des banlieues mondialisées se lancent dans un « islamisme de synthèse » fort loin des principes traditionnels. Les gauchistes adoptent les canons du wokisme. Le centrisme se soumet au politiquement correct, cette réminiscence du puritanisme digne de Salem. Quant au courant identitaire, non exempt d’américanotropisme, il peut parfois se complaire dans le suprémacisme blanc qui se montre sur le terrain en auxiliaire zélé d’un contre-mondialisme fomenté par l’État profond yankee.  

En huit décennies, le « cancer américain », pour reprendre le titre du célèbre essai d’Arnaud Dandieu et de Robert Aron en 1931, a métastasé la France et l’Europe. L’Hexagone tricolore a viré en territoire franco-ricain. Marianne se grime en pin up décatie et peu attrayante. Presque tout un chacun veut contribuer à l’American Way of Life, cette pathétique illusion sociétale cauchemardesque qui rend l’américanologie, cette science lancée en 1991 par le philosophe conservateur traditionaliste étatsunien d’origine hongroise Thomas Molnar, plus que jamais nécessaire. Nos compatriotes ont l’esprit tourné vers l’Ouest. Pas étonnant dès lors que notre société ressemble de plus en plus à un asile d’aliénés...

Salutations flibustières !

« Vigie d’un monde en ébullition », n°52, mise en ligne le 22 novembre 2022 sur Radio Méridien Zéro.

23:25 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 23 novembre 2022

Covidisme et dérive totalitaire : des soignants suspendus convoqués par la police

Olivier Soulier, fondateur du Syndicat Liberté et Santé, est revenu pour nous sur l'affaire des soignants suspendus convoqués par la police. Il dénonce une dérive totalitaire du gouvernement.

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Le thème du prochain pèlerinage 2023 de Notre-Dame de Chrétienté

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L’avortement est un acte sanglant !

Dans cette vidéo, Grégor Puppinck, directeur de l'ECLJ, explique les raisons juridiques pour lesquelles l'avortement n'est pas un droit fondamental et pourquoi la constitutionnalisation d'un droit à l'avortement est contraire aux fondements des droits de l'homme.

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mardi, 22 novembre 2022

L’avenir de la France selon Emmanuel Macron

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Bernard Plouvier

On aime bien savoir notre Grand Timonier au loin – et de fait, il voyage énormément. Car l’on espère toujours que, loin de l’Élysée, il nuira moins au pays !

Erreur funeste : il cause et – voulant imiter de Gaulle, magicien du verbe souvent stupide – il lance des phrases destinées à passer à la postérité. Sa dernière sottise a été éructée à Bangkok et en anglais – histoire de montrer que la langue française est vouée à l’extinction sur la scène internationale.

Selon notre Génial Président-Dictateur Général – dont le visage démontre qu’il vieillit à vitesse accélérée ; au moins, ça nous évitera des présidences à répétition, façon Franklin Delano Roosevelt, le créateur de notre enfer d’économie globale et de mondialisation de l’american way of life -, les Français sont fiers, voire arrogants, mais doutent d’eux-mêmes.

N’importe quel observateur du « monde comme il va » depuis 4 ou 5 millénaires peut découvrir sans trop d’efforts que bien des peuples se sont montrés « fiers et arrogants » au cours de l’histoire. Depuis quelques décennies, il semble bien que les champions de l’arrogance soient les Yankees, les Juifs et les Chinois... bien plus que les Français, totalement déboussolés par une immigration-invasion pillarde, incendiaire, criminelle et gouvernés par une bande de politiciens souvent débauchés et plus souvent encore corrompus, soit matériellement – ce qui est justiciable -, soit mentalement – ce qui devrait les faire écarter de toute fonction.

De fait, notre merveilleux Élyséen est l’un de ces globalo-mondialistes qui dépriment tant les nationalistes d’Europe. Pas besoin de chercher très loin la tristesse, la déréliction des Français – ou des Anglais (on n’ose plus parler de « Britanniques », puisque Gallois, Écossais ou Orangistes de l’Ulster veulent faire sécession), des Belges, des Espagnols - : le vécu quotidien depuis les années 1976-80 parle de lui-même.

Non ! Les Français ne peuvent douter que, depuis Giscard, ils soient gouvernés par des traîtres à la Nation, qui de façon purement illégale – c’est-à-dire sans jamais avoir sollicité par referendum le Peuple Souverain – lui imposent une immigration massive d’Extra-Européens, qui ont transformé notre vie en cauchemar. Même pour un idiot sorti de feue l’ENA, devrait être évidente l’équation : immigration africaine et proche-orientale = criminalité + délinquance + incivilités permanentes. Avant de mourir, un Giscard l’avait déploré, de même qu’un Tapie après avoir été molesté et cambriolé.

Ce n’est que lorsqu’un riche politicien hyper-protégé est attaqué par une meute de nos merveilles immigrées qu’il daigne comprendre enfin la misère de la condition du Blanc en France, soit dans le pays qu’ils ont volontairement laissé envahir pour de basses raisons économiques.

La condition humaine fut toujours plus ou moins infernale. Mais celle du Français de souche européenne atteint un remarquable niveau d’horreur sous le règne de Macron-II. Et le pire réside dans le fait que ce prince, comme ses prédécesseurs, est un authentique élu du peuple ! Si la France devient la poubelle du Tiers-Monde, un pays d’insécurité majeure et de corruption, c’est uniquement par la faute d’un électorat aussi bête que celui d’Outre-Manche.

Le Français doit d’abord et avant tout douter de son jugement : mettre à la tête de l’État des guignols qui choisissent des ministres issus de l’immigration pour capter les votes extra-européens, ce n’est pas « se tirer une balle dans le pied », mais programmer la fin de la Nation française. Macron n’est rien par lui-même : il n’est que le symbole d’une Nation aveulie.  

18:26 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Cet autre « Pas d’amalgame ! » qui les gêne tant !

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La chronique de Philippe Randa

À défaut de gagner des élections, qu’elles soient politiques ou syndicales, syndicats, partis de gauche et associations diverses, variées et surtout politiquement très correctes n’aiment rien tant que battre le pavé parisien.

« Ça les occupe, c’est toujours ça ! », commentent certains en haussant les épaules… « Ah ! bon ! et alors ? », font écho d’autres, tout aussi blasés et les uns et les autres sont sans doute davantage préoccupés par leurs futurs réveillons de fin d’année : foie gras, crustacés et bûches glacées pour ceux de la France d’en haut… ou pâté Henaff, saucisses frites et glace à l’eau pour ceux de la France d’en bas, sommés de traverser la rue pour trouver du travail et de payer l’essence sans geindre.

Ainsi étaient-ils plus de 80 000 (pour les organisatrices, entre autres de NousToutes), moins de 18 000 (pour la police) – qui peut encore croire dans le sérieux de l’estimation des unes ou de l’autre avec un tel différentiel ? – à manifester, encore et toujours, à Paris et dans plusieurs villes de France, contre les violences sexistes.

Ces manifestants-et-tantes ou autres non-identifiés (sinon identifiables) se sont désolés des dysfonctionnements de la justice, ont stigmatisé sans distinction aucune les « mâles », se sont insurgés qu’on puisse ne serait-ce que vérifier la véracité des accusations portées par des victimes – forcément victimes – et des coupables – forcément coupables – et stigmatisant une « culture du viol » qu’il serait grand temps de stopper…

Serait-il risqué, comme un aveu inconscient de culpabilité, de demander que soit défini ce qu’est précisément cette « culture du viol » ? Peut-être celle décrite par le marquis de Sade dont les écrits romanesques et assurément sulfureux ont traversé les siècles et furent, effectivement, assez mis en avant par les militants de la gauche extrême, organisateurs de la chienlit de mai 1968… et assez nombreux – pour ceux que la mort n’avait pas fauchés à temps – à devoir répondre de harcèlements, agressions, viols, incestes et autres joyeusetés sexuelles dans lesquelles ils étaient passés maîtres… et pour lesquelles nombre d’entre eux ont été condamnés !

Parmi ces batteurs-et-batteuses de pavé, combien ont, par le passé ou encore aujourd’hui, rêvé pourtant d’un nouveau « mai 1968 » ? Poser la question est y répondre, n’est-ce pas : la plupart !

Quant à cette fameuse « culture du viol », qu’on me permette d’y apporter, sinon une définition, du moins un souvenir… C’était au tout début des campagnes de délation d’#metoo et autres balance-ton-porc (« et ta cochonne », nous rappelle le drame récent de la petite Lola, violée, torturée et tuée par une « chance pour la France » d’outre-méditerranée) …

J’interrogeais alors la fille d’une amie, jeune et jolie :

— Qu’est-ce que tu en penses ? Tu es souvent importunée, toi ?

— Oui, évidemment… Pas sur mon lieu de travail, ni parmi les gens que je fréquente ! Mais dans la rue, dans le métro, oui, tout le temps ! Tu devines par qui ! Pas des Norvégiens et pas non plus des Italiens… J’ai besoin de te faire un dessin ?

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18:23 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Re-parlons immigration

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Le billet de Patrick Parment

 Dans un éditorial des Echos, Jean-Marc Vittori n’a pas tout à fait tort quand il défend l’idée que sur le marché du travail on ne saurait aujourd’hui se passer de ces immigrés qui « font les sales boulots que les Français ne veulent pas faire ». Et d’avancer que la France compte 2,3 millions de chômeurs (au sens du Bureau international du travail), chiffre certainement sous-estimé, soit un peu plus de 7% de la population active. Et pourtant, nous dit le chroniqueur, sept entreprises sur dix ont du mal à recruter. Ce qui n’est pas nouveau.

Il est vrai que dans certains secteurs, les tensions sont fortes : bâtiment, soins aux personnes, transports, hôtellerie et restauration, agriculture. Et dans tous ces métiers, dès lors qu’ils sont peu qualifiés, on trouve en effet de nombreux étrangers pour occuper ces postes où beaucoup sont employés au noir. C’est un fait avéré. Mais notre homme en tire la conclusion que le phénomène migratoire n’est pas prêt de s’arrêter. Et ce d’autant que le patronat est demandeur de cette main d’œuvre bon marché. Dès les années soixante les constructeurs automobiles envoyaient des camions pour recruter des travailleurs marocains. Outre le fait d’avoir recours à cette main d’œuvre, le patronat en profitait pour faire pression sur les syndicats afin qu’il se montrent raisonnables en matière de revendication.

Fort de ce constat, le présent gouvernement, Darmanin en tête, propose de régulariser ces travailleurs immigrés. Si une telle mesure est pour le moins logique, il serait bon de ne pas confondre régularisation avec acquisition de la nationalité française, mais plus simplement de leur donner accès à tous les droits dont disposent les travailleurs français. Ce qui impliquerait aussi de la part des entreprises d’en finir avec le travail au noir ou au statut de (faux) travailleur indépendant. Les entreprises, grandes et petites, y sont-elles disposées, je n’en suis pas certain.

Enfin, il y a une zone d’ombres que n’abordent pas notre brave chroniqueur, c’est l’immense majorité des immigrés qui ne travaillent pas et qui vivent aux crochets de la société et donc du travail des Français, de ces Gaulois encore majoritaires dans ce pays.

C’est peu dire que le gouvernement se garde bien de nous fournir les chiffres mais on a tout lieu de penser qu’ils sont majoritaires. Combien cotise à la Sécurité sociale, combien bénéficie des allocations familiales et quelles est l’ampleur des arnaques dans ces domaines ? Quand on parle d’immigration, c’est surtout sur cet aspect du problème que se penche la droite nationale. Il y a des quartiers dans certaines villes où les habitants n’ont jamais parlé français et qui vivent des trafics en tout genre et de la drogue en particulier. On les qualifie généralement de « non droit ». Est-ce tolérable ?

Le vrai problème de l’immigration est là. Prenons un exemple récent. Les migrant débarqués de l’Ocean Viking, soit 234 pékins - de quinze nationalités différentes dont une majorité d’Erythréens -, viennent d’être remis en liberté, c’est-à-dire lâché dans la nature. De quoi vont-ils vivre à votre avis ? De rapine, de vols, que sais-je encore. Ont-ils le choix ?  Ils viennent tous d’une société où la violence est quotidienne. Autant dire que l’argutie psychiatrique n’est pas valable. Les pages de nos journaux regorgent des crimes et délits de ces immigrés si chers à notre gauche humaniste et criminelle. Le vrai problème est là : que fait-on de ces immigrés qui gangrènent et perturbent une société française déjà largement fracturée ?  A cette question, les macronistes, les gauchos-bobos de la France Insoumise, les Républicains, Renaissance ne répondent pas. Ils ont la trouille d’avouer que l’unique solution est de les renvoyer chez eux. Mais surtout d’en avoir la volonté politique et de s’en donner les moyens. En attendant les arnaques à la Sécu, aux allocs et autres ont encore de beaux jours devant elles. Alain de Benoist l’a bien résumé : « Il n’y a plus qu’une façon aujourd’hui d’aimer la France, c’est de la détester telle qu’elle est, et c’est de travailler à la changer. »

08:20 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 21 novembre 2022

Rome, samedi 26 novembre : le Centre d'étude Polaris, dirigé par Gabriele Adinolfi, présente au public romain l'Institut Iliade

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Un communiqué de Gabriele Adinolfi :

Italie : initiative métapolitique

Le Centro Studi Polaris, à la fois think tank et revue italiens que je dirige, organise ce samedi, 26 novembre, à Rome un colloque sur les thèmes: Défis et opportunités italiens et européens (au matin) et: La métapolitique de combat prend l’initiative (dans l'après-midi),

À cette occasion, Pierluigi Locchi, membre co-fondateur et responsable des relations internationales de l’Institut Iliade, et Nicola Torti, stagiaire de la promotion Léonard de Vinci, présenteront l'Institut Iliade, ses objectifs et les premières étapes qu’il a déjà franchies.

La réunion se déroulera plus précisément à Mentana, aux portes de la ville éternelle, exactement là où les forces françaises et italiennes s’affrontèrent en 1860, dans la tentative de Garibaldi de parachever l’unité de l’Italie – tentative qui ne réussira que dix ans plus tard. Tout un symbole, sans compter que cette réunion placée sous le signe de la fraternité des armes se déroulera dans la Aula magna de la Bibliothèque Charlemagne. (...)

Nous avons choisi une mairie avec une administration amie. Heureusement, nous en avons de plus en plus. Pour l'occasion, nous avons impliqué diverses réalités métapolitiques et éditoriales italiennes, toutes actives dans divers domaines politiques, sociaux, culturels et économiques, afin de tracer un chemin concret. Les conditions sont favorables et ce serait un crime de ne pas s'engager correctement.

23:47 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 26 novembre à Bignan (56) : Pierre Cassen donnera une conférence sur la résistance à Callac

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13:02 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 20 novembre 2022

Civitas organisait samedi à Rungis sa 4e Fête du Pays réel

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Belle réussite pour Civitas, samedi 19 novembre à Rungis. 

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Parmi les stands, celui de Synthèse nationale sur lequel de nombreux amis de notre revue sont passés nous voir ou pour acheter nos livres, comme ici Thomas Joly, président du Parti de la France, en compagnie de Roland Hélie.

22:15 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Hospitalisation, mortalité, vaccination : le ministère de la Santé refuse de donner les chiffres !

Les statistiques des personnes décédées ou hospitalisées depuis décembre 2020 selon leur statut vaccinal anti-Covid n’existent pas ! Telle est la réponse stupéfiante faite, il y a quelques jours, par le ministère de la Santé à Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale).

Directeur de l’équipe SCEPID (Système complexe et épidémiologie) et de l’IRSAN (Institut pour la valorisation des données de santé) Laurent Toubiana demandait depuis maintenant plus d’un an à avoir accès à ces chiffres dans le cadre de l’étude SurViVax menée dans le cadre du SCEPID. En effet, dès le début de la campagne vaccinale, en janvier 2021, des débats ont eu lieu autour de l’efficacité des nouveaux vaccins à ARNm. Des interrogations légitimes ont rapidement vu le jour dans la population, dans la mesure où le vaccin devait être administré à très grande échelle et sans recul sur d’éventuels effets indésirables.

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19:10 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Russie et l’Afrique

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Bernard Lugan

 Un dessin animé russe en langue française projeté dans les cinémas centrafricains met en scène un lion -sous-entendu l’Afrique -, attaqué par des hyènes - sous-entendu les pays occidentaux. Intervient alors l’ours russe qui aide le maître de la brousse à rétablir l’ordre des choses, c’est-à-dire le respect que l’on doit au lion. L’allégorie a bien été comprise par les spectateurs enthousiastes.

 Voilà comment, à travers le soutien sans états d’âme donné aux pouvoirs forts, les seuls respectables et respectés en Afrique, la Russie évince peu à peu les Occidentaux. D’autant plus facilement que les Africains en ont assez du diktat démocratico-moralisateur qui prétend leur faire changer de nature. Assez des folies de la « théorie du genre » et des délires pathologiques LGBT devenus les « valeurs » sociétales d’un Occident ayant perdu toute référence à l’Ordre naturel. Voilà pourquoi, comme l’a déclaré le général Muhoozi Kainerugaba, fils du président Museveni d’Ouganda « la majorité de l’humanité soutient l’action de la Russie en Ukraine. Poutine a absolument raison ». 

 D’autant plus que la politique russe n’a pas pour alibi le mirage du développement. Russes et Africains savent en effet très bien qu’il est impossible de « développer » selon les critères définis par l’Occident, un continent qui, d’ici à 2030, verra sa population passer de 1,2 milliard à 1,7 milliard, avec plus de 50 millions de naissances par an. Et que, pour gouverner ces masses humaines, les principes démocratiques occidentaux sont à la fois inopérants et crisogènes.

 En réalité, si Vladimir Poutine réussit en Afrique, c’est parce qu’il a très exactement pris le contre-pied du diktat démocratique que François Mitterrand imposa en 1990 au continent lors de la conférence de la Baule. Un diktat qui a provoqué un chaos sans fin parce que, comme les élections sont en Afrique autant de sondages ethniques grandeur nature, elles y débouchent donc automatiquement sur l’ethno-mathématique électorale. D’où la crise permanente. Les peuples les moins nombreux étant en effet écartés du pouvoir, soit ils ne se reconnaissent pas dans les Etats, soit ils se soulèvent contre eux. Tout au contraire, loin des nuées idéologiques, la politique africaine de la Russie est axée sur le réel, sur les forces armées qui constituent les cercles du vrai pouvoir. 

 Et pendant que l’OTAN avance ses pions contre la Russie en obtenant de nouvelles adhésions ou demandes d’adhésion en Europe du Nord, Moscou déplace les siens en Afrique, contre l’Occident, en signant des accords militaires avec la plupart des pays du continent.

 Quant à la France, elle s’est évincée toute seule du continent en raison de la nullité de ses dirigeants et de constantes et colossales erreurs politiques que je n’ai cessé de mettre en évidence dans les numéros successifs de l’Afrique Réelle. D’autant plus que, s’étant totalement  soumise à l’Otan, donc aux Etats-Unis, elle s’est montrée hostile aux intérêts russes, notamment en Libye, en Syrie, en Belarus et aujourd’hui en Ukraine. En Afrique, Moscou lui rend donc en quelque sorte « la monnaie de sa pièce ».  

Source : L’Afrique réelle

11:27 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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10:58 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

20 novembre 1936 : assassinat de Jose Antonio Primo de Rivera / 20 novembre 1975 : rappel à Dieu du général Franco

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10:51 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Malgré leurs cris, j’ai accusé les gauchos de Herrou de trahir les ouvriers

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Pierre Cassin, président de Riposte laïque

Face à face, devant le lycée Atlantique de Luçon, entre cinquante militants de Reconquête  et cinquante gauchistes immigrationnistes. Les patriotes étaient venus, derrière Éric Mauvoisin, protester contre l’invitation faite par le proviseur, M. Fabrice Boumendjel, d’inviter le délinquant Cédric Herrou, sans la moindre opposition, laver le cerveau de nos élèves sur le devoir d’accueil de l’autre, fût-il clandestin. Et naturellement, les gauchistes, qui n’avaient pas déclaré leur rassemblement, étaient venus contester ce rassemblement, comme d’habitude.

Je n’avais pas prévu d’intervenir, étant simplement venu soutenir mes amis vendéens, qui étaient venus nombreux, quelques jours auparavant, nous aider à Callac.

Mais Éric Mauvoisin m’ayant sollicité pour prendre la parole, j’ai donc improvisé une prise de parole de deux minutes, pour dire leur fait à ceux que j’ai qualifiés, malgré leurs huées, d’agents du patronat, de traîtres à la classe ouvrière et au salariat, et de collabos du Nouvel Ordre Mondial, en expliquant pourquoi.

Pour voir le film cliquez ici

10:47 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 19 novembre 2022

Du bon usage d’une « Tête-de-pont »

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Bernard Plouvier

Pas besoin de s’appeler Clausewitz ou von Manstein – entre autres exemples possibles – pour savoir que l’implantation d’unités militaires dans une petite zone ennemie située au-delà d’une mer ou d’un fleuve n’a d’intérêt que si l’on a les moyens de pousser du « million d’hommes », servis par d’énormes moyens d’action guerrière et une logistique puissante, au-delà de cette base de départ.

Ce n’est pas un hasard si l’Opération grotesque de Dieppe en août 1942 a été un fiasco intégral. On n’avait envoyé au massacre de petites unités que pour calmer l’irascible Joseph du Kremlin qui réclamait ce qu’on lui avait promis depuis plus d’un semestre : une action à l’Ouest de l’Europe pour soulager l’Armée Rouge.

Et Churchill, l’incarnation de l’égoïsme so british, envoya des Canadiens se faire hacher menu ou croupir en Stalag et Oflag... délicieux « Winnie » - on se demande ce que ce raciste forcené aurait pensé du trio d’Indo-Pakistanais qui est à la tête de la mairie de Londres, du Gouvernement de Sa Majesté Charles III et du Home Office !

En 1942, les Britanniques n’avaient pratiquement pas de réserves en hommes à faire tuer ni en matériel offensif. Il en allait tout autrement l’année 1943 où les débarquements (anglo)-US de Sicile et d’Italie furent le prélude à des campagnes où les Alliés alignaient 3 combattants contre un (du côté allemand, car les Italiens ne se battirent pas : ils attendaient – sauf exception patriote – les cigarettes et les dollars d’occupation des G.I.... ce fut l’illustration de l’immondice de Brecht : « D’abord la bouffe, et après la morale »), 4 chars contre un, 6 canons et mortiers contre un et 20 avions contre un.

Et l’on rejoua le scenario de façon plus convaincante encore en juin 1944, en ravageant toute la Basse-Normandie !

Une tête de pont russe à l’Ouest du Dniepr, à hauteur de Kherson – la ville proche de son embouchure -, n’avait de sens que si l’Armée poutinienne jouissait d’une masse de manœuvre importante et très solidement armée pour s’assurer le contrôle de la vaste zone située à l’Ouest du dernier coude du Dniepr. Du gel des positions durant trois mois dans une tête-de-pont difficile à ravitailler, on peut raisonnablement inférer que l’Armée russe ne dispose pas de cette puissance offensive ni de la dureté nécessaire pour gagner une guerre.

Poutine n’est pas « Staline » : ses généraux ne sont pas fusillés en cas d’échec ; les soldats qui reculent ne risquent pas de tomber sous les balles des sbires du NKVD-NKGB ; enfin, il n’a pas d’allié puissant capable de lui fournir en abondance des armes et des munitions. 

Qu’il ait cru être dans son « bon droit » pour défendre les Russes entre Dniepr et Don - effectivement les clowns judéo-ukrainiens manipulés par les merveilleux Démocrates de Washington et de New York poussaient un peu loin la plaisanterie depuis le putsch de 2014 -, témoigne simplement de la naïveté du dictateur charismatique du Kremlin.

Jamais dans toute l’histoire, la notion d’Équité n’a triomphé, sauf à être étayée par une puissance guerrière supérieure à celle de l’ennemi abusif et de ses alliés.

Il est évident que les Accords de Munich de fin septembre-début octobre 1938 étaient la pure expression du Droit des peuples à s’auto-administrer ou à rejoindre la mère-patrie – Sudètes, Polonais de Teschen, Magyars de Slovaquie, Slovaques et Ruthènes en avaient plus qu’assez de la dictature des haineux francs-maçons de Prague. Il est évident qu’imposer une Guerre pour empêcher les Allemands de reprendre le contrôle de Dantzig, alors peuplée à 97,6% d’Allemands, était une ignominie si l’on se réfère au Jus Gentes.

Mais les Allemands ayant finalement perdu la guerre, les Accords de 1938 qui ont évité une guerre aux Européens et la courte Campagne de Pologne furent considérés comme des « crimes » et les merveilleux historiens carriéristes n’en finissent pas de déblatérer des âneries sur le sujet et à mépriser allègrement les principes juridiques... et ils ont raison ! Car, toujours et partout, le Droit ne fut et reste que l’expression policée et formelle de la Force.

Tout le monde sait que les professionnels du prêchi-prêcha font depuis toujours parler la ou les divinité(s) en faveur des gros bataillons. Le nouveau personnel du bourrage de crânes étant composé d’employés du dieu-$, avatar de Mammon, les Russes sont devenus des suppôts de Satan et le demi-dément Biden est le nouveau Papa-Noël.

Si Poutine ne mobilise pas bientôt du million d’hommes décidés à se battre, voire à mourir pour la patrie, il finira comme Saddam Hussein et les Russes deviendront esclaves des merveilleux judéo-yankees. L’histoire, si elle ne se répète jamais à l’identique, bégaie en permanence.               

20:06 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vers la poliorcétique des cyborgs

Ces-guerres-qui-nous-attendent.jpgLa chronique flibustière

de Georges Feltin-Tracol

La 51e chronique hebdomadaire empiète joyeusement sur « Ça se défend ! », l’émission de votre Web-radio préférée consacrée aux questions militaires.

En janvier 2022 paraissait Ces guerres qui nous attendent 2030 – 2060 (éditions des Équateurs/PSL – Université Paris Sciences et Lettres, 224 p., 18 €). Réuni à l’initiative du ministère français des Armées, « le collectif Red Team est composé d’auteurs, de dessinateurs et de scénaristes libres et indépendants ». On y trouve François Schuiten, Jeanne Bregeon, Virginie Tournay, Laurent Genefort, Romain Lucazeau, Xavier Mauméjean et Xavier Dorison ainsi que des pseudonymes comme Colonel Hermès, Capitaine Numericus et DOA. En revanche, le Lieutenant Sturm, Wilsdorf et Alryck n’y figurent pas ! Le projet a agacé, sinon indigné, les écrivains français de science-fiction fortement épris de progressisme, d’inclusivité et d’égalitarisme.

Inspiré du complexe militaro-industrialo-médiatique qui regroupe outre-Atlantique les industries (numériques ou non), les militaires et le monde du divertissement, cet ensemble réfléchit aux guerres de demain et présente quatre hypothèses. Notons que le livre a été rédigé avant le début des hostilités en Ukraine. Il serait fastidieux de résumer chaque scénario. On insistera sur l’affirmation du combattant opérationnel cybernétique et le grand retour de la poliorcétique.

En science-fiction, le cyborg est un hybride entre l’organisme humain et la machine et/ou l’ordinateur. Les programmes militaires occidentaux ouvrent déjà la voie vers le transhumanisme avec les expériences d’exo-squelette de combat. Red Team imagine à assez brève échéance calendaire la finalité logique du passeport vaccinal et autre « visa numérique » : le puçage généralisé de la population. Cela va même encore plus loin avec NeTAM, soit Neuro Terre Air Mer, à savoir « un protocole d’interface neurale [… qui], selon l’auteur collectif, a pour but de pallier les défaillances humaines et d’améliorer les performances des sujets. [...] Le programme permet notamment l’échange de données homme/machine, la prise de contrôle d’équipements, l’amélioration des capacités du combattant en situation (perception, réception d’informations, gestion du stress, etc.), la collecte et l’archivage en temps réel par un double témoignage live et différé (objectif – subjectif) et l’exploitation de ces informations archivées en vue d’un usage ultérieur. De plus, le programme autorise l’accès à une banque de données sécurisée qui renseigne en flux continu sur le contexte de l’action en cours ». Il passe ensuite à un « programme ArmVie [qui] a pour vocation de recueillir l’ensemble des données d’implant des militaires connectés, en surveillant notamment leur sommeil, leurs habitudes alimentaires, leur activité physique, leur environnement quotidien, leurs interactions sociales, leur mobilité in et out de l’espace militaire, leurs réactions aux événements extérieurs, leur niveau de stress, etc. ». La surveillance actuelle des sportifs, en particulier des cyclistes, au nom de la lutte contre le dopage, en est une ébauche primaire et imparfaite.

La symbiose entre le combattant et l’intelligence artificielle devient une priorité aux yeux des contributeurs pour qui « les opérations spéciales, l’infiltration, les coups de main, le débarquement amphibie, visant à contourner les défenses adverses, redeviennent des enjeux fondamentaux ». Avec l’essor de l’IHM (interface homme machine), « l’homme sur le champ de bataille, du soldat jusqu’à l’officier, devient le centre d’un écosystème d’armement complexe. »

Dans le même temps, les conditions de la guerre évoluent sous l’impulsion des armements à très grande vitesse. Le missile hypervéloce, entre Mach 15 et Mach 16, soit près de 20 000 km/h, frappe n’importe où. Facile à tirer, ce missile se montre peu maniable et nécessite une infrastructure de maintenance, de ciblage et de protection que seuls des États performants peuvent se permettre d’avoir. Face à cette nouvelle menace se développe l’« hyperbouclier » (ou « bouclier défensif »). Conçu autour de systèmes physiques (matériels et humains), informatiques (cybernétique et communications) et logistiques (flux matériels) complexes, il emploie de nombreux drones antipersonnels et antichars qui saturent le champ de bataille. Sa principale faiblesse reste cependant une consommation élevée d’énergie, surtout s’il utilise le railgun, un canon capable de propulser très vite des projectiles inertes. Par exemple, « une barre de tungstène de 100 kg accélérée à Mach 12 peut détruire un char situé à 200 km ».

Ce nouveau cycle marque la fin d’une certaine forme de conflit d’autant que l’« hyperbouclier » se transforme bientôt en bastion de protection territoriale : l’« hyperforteresse ». « Arrivé à maturité, le concept de l’hyperforteresse cristallise la fin de la guerre de mouvement, paradigme dominant depuis les années 1940 (couple chasseurs/chars d’assaut). »

Défendant une zone de 150 km de rayon et se déployant autant sur terre, en mer, dans le milieu sous-marin que dans le champ aérien, le domaine spatial, l’univers informatique et la médiasphère, l’hyperforteresse utilise des essaims de drones que son « hyper IA » traite comme des entités uniques dotées de sous-systèmes de gestion. Son point névralgique demeure  « l’hypercloud [qui] désigne un ensemble de systèmes de collecte et de traitement des informations ». Or, son entretien nécessite un « haut niveau de maintenance » du fait du vieillissement rapide de ses structures. Sa pérennité exige une autonomie dans la production et la fabrication « sur place de pièces, via des mini-usines et des imprimantes 3D ». En outre, « une hyperforteresse est extrêmement dépendante des flux logistiques. Par ailleurs, afin de bénéficier d’une énergie abondante et disponible, chacune d’elles dispose d’une mini-centrale nucléaire ». Dans cette nouvelle ère de la guerre, « seuls les pays qui disposent d’une base industrielle souveraine complète ou quasi complète, jusqu’à l’accès à l’espace, lit-on, peuvent garantir à leurs populations une protection face aux risques géopolitiques et conservent une grande marge de manœuvre diplomatique » Il devient par conséquent fort probable que « dans la guerre de position, défaire l’hyperforteresse devient l’objectif principal pour vaincre ». C’est le grand retour de la poliorcétique, l’art militaire d’assiéger les villes.

Entre les hyperforteresses apparaît « le no man’s land […] une zone démilitarisée qui s’étend entre les bordures de deux hyperforteresses durant une guerre de position ». À l’intérieur de ces châteaux forts 4.0, dans un cadre douillet, les civils s’adonnent aux RZE (réseaux de services), c’est-à-dire des « réseaux communautaires qui se structurent autour de la profession, de la religion, de passions et convictions communes ou encore du quartier d’habitation ». La présence de ces communautés affectives dans le monde virtuel représente le transfert des déceptions de la réalité en enchantements dans les mirages dangereux d’une ambiance rêvée.

Red Team conçoit une guerre à haute technicité dans un cadre socio-psychologique qui rappelle plus le XVIIe siècle européen que l’époque médiévale. Le conflit en cours en Ukraine confirmera-t-il ou non ces spéculations ? Seul l’avenir nous le dira.    

 « Vigie d’un monde en ébullition », n°51, mise en ligne le 15 novembre 2022 sur Radio Méridien Zéro.

19:56 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Éolien : la violation du droit ordinaire

Anne Brassié reçoit Valérie Bernardeau, présidente de l'association SOS Danger Éolien, et Jean-Louis Remouit, administrateur de la Fédération de l'environnement durable, présidée par Jean-Louis Butré. Valérie Bernardeau nous alerte sur les dangers dument constatés des éoliennes sur la santé des Hommes et des bêtes. Jean-Louis Remouit nous propose un état des lieux du combat anti-éolien. On découvre avec étonnement que toutes les lois régissant cette activité sont des lois d'exception renforcées par le premier ministre, Elisabeth Borne. 

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11:52 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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08:47 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |