jeudi, 02 février 2023
Une source inépuisable d’érudition
de Georges Feltin-Tracol
Il faut parfois savoir prendre du recul par rapport aux cadences chaotiques de l’actualité et évoquer les outils avec lesquels il importe de comprendre le monde et son temps. En 2008, les éditions Vuibert réimprimaient pour la troisième fois un travail original d’Yves Tissier. Ce lexicographe et historien est l’auteur d’un fantastique Dictionnaire de l’Europe, sous-titré États d’hier et d’aujourd’hui de 1789 à nos jours (716 p., hélas indisponible sauf erreur peut-être chez les bouquinistes en ligne).
Cette gigantesque somme se révèle être pour les chercheurs, les curieux et les érudits une formidable source de renseignements aux confins de l’histoire, du droit, de la géographie et de la diplomatie. L’auteur explique volontiers que « l’étude historique de l’évolution territoriale des États, que l’on nommait autrefois géographie politique, permet d’éclairer les données géopolitiques du monde d’aujourd’hui (p. 3) ».
D’un maniement aisé, ce dictionnaire se divise en quatre parties de taille inégale. La première présente une « Chronologie territoriale de l’Europe (1789 à nos jours) ». La deuxième est la plus longue puisqu’elle étudie « les États existants », de l’Albanie au Vatican en n’oubliant pas Andorre, Monaco et même l’Ordre de Malte. La troisième partie aborde « les États disparus ». Il faut comprendre des « États [qui] ont eu une existence, brève ou longue, entre 1789 et 2008 (p. 551) ». On pense bien sûr à la Tchécoslovaquie, à l’URSS et à la Yougoslavie, mais aussi à la République rauracienne dans le Jura suisse à la fin du XVIIIe siècle ou à la Régence italienne du Quarnero à Fiume. La quatrième et dernière partie regroupe différentes annexes. Il faut en outre mentionner quarante-deux magnifiques cartes en couleurs.
Cartes et annexes offrent aux curieux francophones des informations complètes habituellement disponibles qu’en anglais, en allemand et en néerlandais. Plusieurs cartes représentent à la veille de la Révolution française la localisation exacte des États héréditaires, des États ecclésiastiques et autres villes libres du Saint-Empire romain germanique. Leur visualisation cartographique confirme le caractère mosaïque de l’ensemble avec des espaces politiques fragmentés, disséminés et enclavés. Les annexes évoquent « les pays réservés de Napoléon Ier » tels le margraviat de Bayreuth « avec son enclave de Caulsdorf en Thuringe » ou les présides de Toscane, « cinq places fortes napolitaines sur le littoral toscan (p. 598) »; le fonctionnement de la Confédération du Rhin (1806 - 1813), puis de la Confédération germanique (1815 – 1866) et de la Confédération de l’Allemagne du Nord (1867 – 1871). L’ouvrage comporte une analyse serrée de la notion de « frontières naturelles » à travers des cas de cours d’eau, de montagnes et de mers. D’autres annexes attirent une attention immédiate. « Étrangetés, particularismes et anecdotes en tout genre » rapporte le cas de l’enclave espagnole de Llivia dans le département français des Pyrénées-Orientales ou d’autres incongruités géopolitiques surgies de l’histoire. L’auteur décrit les nombreuses « républiques-sœurs » du Directoire à la fin de la Révolution. Se souvient-on encore de la République ligurienne à Gènes, de la République cisalpine à Bologne, de la République parthénopéenne à Naples ? Il y a un « répertoire de concordance des noms de lieux ». La ville ukrainienne de Lviv s’appelle au cours des âges Lemberg, Leopol, Lwow et Lvov.
La première annexe examine avec maints détails le fonctionnement complexe du Saint-Empire. À côté du Collège électoral de huit membres en 1777 se tiennent le Collège des princes détenteur de cent voix réparties entre le banc ecclésiastique, soit trente-trois voix viriles (individuelles) et deux voix curiales (collectives), et le banc laïque (soixante-et-une voix viriles et quatre voix curiales), et le Collège des villes libres (cinquante-et-une voix) se divisant en « banc rhénan (quatorze voix) » et en « banc souabe (trente-sept voix) ». À cet agencement institutionnel s’ajoutent les dix cercles créés par Charles Quint dont le Cercle de Bourgogne qui correspond à peu près aux pays thiois.
Ouvrage de référence, le Dictionnaire de l’Europe examine la cohérence territoriale des États et la pertinence du tracé de leurs frontières. Ainsi les frontières du Portugal n’ont-elles pas changé depuis son indépendance regagnée en 1640. Mais, en 1801, l’Espagne reçoit le district d’Olivence (Olivença en portugais et Olivenza en espagnol) en Estrémadure sur la rive gauche du Guadiana. Au Congrès de Vienne en 1814 – 1815, Madrid refuse avec vigueur toute rétrocession. Lisbonne continue à en revendiquer la souveraineté. Des responsables politiques portugais considèrent toujours qu’il s’agit de leur Gibraltar.
On pense que la délimitation du territoire français s’achève en 1860 avec l’annexion de la Savoie et de Nice, nonobstant la particularité de l’Alsace – Moselle entre 1871 et 1945. On oublie que le traité de Paris du 10 octobre 1946 oblige l’Italie à céder à la France « un fragment de territoire au col du Petit-Saint-Bernard, le plateau du Mont-Cenis, le village de Clavière, au-delà du col du Montgenèvre et Tende, La Brigue et les crêtes de Vésubie et de Tinée » entérinée, pour ces quatre derniers lieux, par un plébiscite du 12 octobre 1947. Et dire que la République française avait déclaré la guerre le 3 septembre 1939 pour le maintien de l’intégrité de la Pologne...
Il ne fait aucun doute que la lecture, parfois aléatoire, du Dictionnaire de l’Europe est un véritable régal.
Salutations flibustières !
« Vigie d’un monde en ébullition », n°59, mise en ligne le 31 janvier 2023 sur Radio Méridien Zéro.
23:45 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Et, n'oubliez pas, ce soir c'est la Chandeleur...
15:43 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Retraites : de quoi parle-t-on ?
L’urgence, pour Natacha Polony, c’est de rassembler la nation, de valoriser le travail et la production. En un mot de recréer de la richesse et de la mieux répartir. Trop de sujets sont, par ailleurs, laissés à l’écart par le gouvernement et nos politiques comme le libre-échange, la dérégulation ou encore la politique familiale. Mais à en croire Sandrine Rousseau, l’écolo foldingue, il faut revendiquer le droit à la paresse parce que c’est CO2 compatible !
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Arméniens, Assyro-Chaldéens, Vendéens, même combat ?
Michel Festivi
Il y a plus de vingt ans, le parlement français, au grand dam du Sultan Erdogan, avait reconnu le génocide arménien, et ce n’était que justice ! On ne peut que regretter que cette reconnaissance légitime, n’ait pas été suivie de faits concrets, loin s’en faut, dans la défense de l’Arménie en proie à la volonté Azérie de la détruire. Très peu de pays ont apporté leur aide à cette très ancienne enclave chrétienne (qui existe depuis l’an 311) dans le Caucase, enserrée dans un océan islamiste, qui n’a qu’une idée en tête la faire disparaître, sans que cela n’émeuve beaucoup nos européistes mondialisés. La papauté a été aussi d’une discrétion de violette au regard du calvaire d’Erevan, et de l’enclave du Haut-Karabakh, pourtant le Pape François n’hésite pas à élever la voix dans la défense des migrants illégaux.
L’on comprend mieux alors, que le minuscule état d’Israël n’ait pas d’autres options que celles qu’il adopte actuellement, pour survivre, lui aussi encerclé par des ennemis sunnites ou chiites qui veulent l’anéantir.
Le peuple arménien a subi l’un des pires cataclysmes de son histoire récente, par une volonté affirmée des Ottomans, de le réduire en poussière, parce que chrétien, et ce à l’égal de la Shoah.
Mais les arméniens ne furent pas les seuls à subir les foudres des volontés islamistes de faire disparaître des chrétiens partout où ils se trouvaient en Orient ou en Asie. Les Assyro-Chaldéens ont subi un sort identique.
Justement, le Sénat français doit prochainement débattre d’une proposition de loi déposée par Bruneau Retailleau et Valérie Boyer, proposition signée par 70 Sénateurs, pour la reconnaissance de ce génocide. Un homme est à la pointe de ce combat, c’est Joseph Yacoub, professeur honoraire de sciences politiques à l’Université Catholique de Lyon et auteur de nombreux ouvrages sur ce sujet.
Car sous l’Empire Ottoman, de 1915 à 1918, un autre génocide s’est produit, celui des Assyro-Chaldéens, et « plus de la moitié d’une population estimée à 500 000 personnes fut martyrisée ». Comme le relève Joseph Yacoub dans une tribune du FigaroVox du 24 janvier 2023, « ce fut une politique d’élimination concertée et planifiée, appuyée par une abondante documentation en plusieurs langues. »
Cette proposition de loi, proposition de résolution en vertu de l’article 34-1 de notre constitution, invite le gouvernement français à reconnaître officiellement cette extermination de plus de 250 000 personnes par le gouvernement Jeunes-Turcs de l’époque, comme génocide. Cette loi, si elle était votée, ferait également du 24 avril la date commune de la commémoration des génocides arméniens et assyro-chaldéens.
Gageons que les autorités turques devenues totalement islamisées, et tous les islamo-gauchistes de nos assemblées vont monter au créneau pour s’opposer à cette proposition.
Car Erdogan, qui a transformé unilatéralement la lumineuse Cathédrale Sainte Sophie en mosquée, avait déclaré : « nos mosquées sont nos casernes, les coupoles nos casques, les minarets nos baïonnettes et les croyants nos soldats », reprenant ainsi un poème turc.
Pourtant en 1934, Mustafa Kemal avait fait de Sainte Sophie « un musée offert à l’humanité ».
Selon Jacques Benoist-Méchin, le Père de la Turquie Moderne aurait déclaré : « Depuis plus de 500 ans, les règles et les théories d’un vieux Sheikh arabe, et les interprétations abusives de générations de prêtres crasseux et ignares ont fixé, en Turquie, tous les détails de la loi civile et criminelle. Elles ont réglé la forme de la constitution, les moindres faits et gestes de la vie de chaque citoyen, sa nourriture, ses heures de veille et de sommeil, la coupe de ses vêtements, ce qu’il apprend à l’école, ses coutumes, ses habitudes et jusqu’à ses pensées les plus intimes. L’islam, cette théologie absurde d’un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies. » In « Mustafa Kemal ou la mort d’un empire » de Jacques Benoist-Méchin.
Mais l’on sait qu’Erdogan a mis à bas toute la construction laïque de la Turquie, que Kemal Atatürk et ses successeurs avaient élaborée vaillamment depuis 1923, en interdisant le port du fez et du voile, en adoptant l’alphabet latin, en promouvant la scolarisation des femmes, et en reléguant hors de l’espace public les mollahs de toutes espèces, faisant de l’Armée turque la gardienne de cette laïcité.
Car ces génocides ont bien pour fondement des sourates du coran, qui très clairement, édictent l’anéantissement de tous ceux qui n’ont pas rejoint l’islam. « Lorsque les mois sacrés seront expirés, tuez tous les infidèles partout où vous les trouverez… » S 3, V 32. Ou encore : « Certes ceux qui ne croient pas à nos versets nous les brûlerons bientôt dans le feu. Chaque fois que leurs peaux auront été consumées, nous leur donneront d’autres peaux en échange afin qu’ils goûtent au châtiment. Allah est certes puissant et sage. » S4, V 55-56.
Claude Sicard un spécialiste des textes coraniques explique cette logique islamique : « Mahomet ayant révélé à ses disciples que les chrétiens sont totalement dans l’erreur : Jésus n’est pas le fils de Dieu, il n’est pas mort sur la Croix, et le concept de Trinité relève du polythéisme. Les chrétiens encore qualifiés de « gens du livre » seront admis dans la société… mais on les traitera en citoyen de second rang, et on leur appliquera une fiscalité spécifique particulièrement dissuasive. » in le FigaroVox du 21 janvier 2016. Sachant qu’aujourd’hui en Turquie, il ne reste qu’environ 1% de chrétiens, contre plus de 40% en 1914.
Mais alors, pourquoi en titre, évoquer le « génocide Vendéen » ? Parce que l’actualité se télescope. Dans son article du 30 janvier dernier sur le site Eurolibertés, Philippe Randa nous a magistralement rendu compte de la « folie » furieuse qui s’est emparée des médias de gauche et des pseudo intellectuels ou journalistes de gauche qui n’ont pas eu de mots assez ineptes à la suite de la sortie en salle du film « Vaincre ou Mourir », pour le dézinguer, film qui relate un épisode des guerres de Vendée et des exploits de l’un de ses chefs emblématiques, François-Athanase de Charette. Il faut absolument aller voir ce film produit par Le Puy du Fou. Philippe de Villiers vient d’ailleurs de demander officiellement au Président Macron de « reconnaître le génocide Vendéen ».
Or Soljenitsyne, qui était venu en Vendée il y a plusieurs années, avait fait une analyse des plus pertinente sur la ressemblance entre les révoltes paysannes vendéenne et les révoltes paysannes russes contre les bolchéviques : « Pour moi, la Vendée est un symbole important : c’est l’analogie exacte de nos deux grandes révoltes contre les révolutionnaires et contre les bolchéviks ». Et il a mis en parallèle, l’insurrection paysanne russe de la région de Tambov en 1920/1921 qui eut pour leader Alexandre Antonov, révolte qui fut matée dans le sang, comme en Vendée.
Dans son fameux discours des Lucs, Soljenitsyne approfondira cela : « De nombreux procédés cruels de la Révolution française ont été docilement réappliqués sur le corps de la Russie par les communistes léniniens et par les socialistes internationalistes ; seuls leur degré d’organisation et leur caractère systématique ont largement dépassé ceux des Jacobins. » On le sait, et les travaux de Stéphane Courtois l’ont largement démontré (Exemple : « Lénine l’inventeur du totalitarisme » publié en 2017), Vladimir Ilitch Oulianov avait les yeux de Chimène pour les plus mortifères des révolutionnaires français comme le sinistre Robespierre, et il s’est inspiré de la « terreur révolutionnaire » française pour asseoir son pouvoir totalitaire.
Car en matière de génocide, tout se tient. Raphaël Lemkin, professeur de droit américain d’origine juive polonaise a été le premier à définir juridiquement ce phénomène, en étudiant justement les exterminations des Arméniens, des Assyro-Chaldéens, les massacres d’Assyriens en 1933 en Irak, puis, les crimes contre l’humanité perpétrés par les nazis contre les juifs et les tziganes.
Gracchus Babeuf, qui fut un révolutionnaire patenté, écrira en 1794 en plein massacre vendéen, un ouvrage : « Du système de dépopulation ou la vie et les crimes de Carrier », il nomme l’ensemble de ces crimes, commis par Carrier à Nantes, sous les ordres du Comité de Salut Public, comme étant un populicide. Cela sera repris tout dernièrement en France par l’excellent ouvrage de Jacques Villemain, diplomate et juriste, ayant travaillé à la Cour internationale de Justice à La Haye « Vendée 1793-1794 : Crime de guerre ? Crime contre l’humanité ? Génocide ? Une étude juridique » Edition du Cerf, où il démontre que si les massacres vendéens avaient eu lieu « aujourd’hui », le droit pénal international les qualifierait de « génocide », n’en déplaise à l’université française qui une fois de plus s’est couchée devant les totalitarismes communistes ou islamistes, mais on n’y est habitué.
Sauf à relever ceux qui ont sauvé l’honneur de la pensée française, comme Reynal Secher, docteur d’Etat en Histoire et sa « La Vendée-Vengé, le génocide franco-français » publié en 1985, qui fut approuvé ardemment par notamment, Pierre Chaunu, Jean Tulard, Emmanuel Le Roy Ladurie, Stéphane Courtois, susnommé, qui avait relevé que Lénine a comparé « Les cosaques à la Vendée pendant la Révolution française et les a soumis avec plaisir à un programme que Gracchus Babeuf, l’inventeur du communisme moderne, a qualifié en 1795 de populicide ».
En 2012, Reynald Secher, après avoir retrouvé aux Archives nationales de nouveaux documents inédits, démontra, que ce génocide Vendéen avait été conçu, voté et mis en œuvre par le Comité de salut public (Vendée : « Du génocide au mémoricide » Editions du Cerf.)
Reynald Secher fut également soutenu directement ou indirectement par l’ancien rédacteur allemand de Die Zeit Michael Naumann, qui déclara le 28 janvier 2000 à Stockholm, lors d’un congrès officiel où il représentait son pays : « Le terme populicide a été inventé par Gracchus Babeuf en 1795 qui décrivait l’extermination de 117 000 fermiers de Vendée » ; par l’écrivain Michel Ragon, qui cite dans son livre : 1793 l’insurrection vendéenne et les malentendus de la liberté publié en 1992, l’envoyé du Comité de Salut Public le dénommé Francastel qui avait fait afficher à Angers la proclamation suivante : « La Vendée sera dépeuplée… Mes frères que la terreur ne cesse d’être à l’ordre du jour et tout ira bien, salut et fraternité », ou encore Carrier le massacreur de Nantes le 12 décembre 1793 : « il entre dans mes projets…d’en exterminer tous les habitants… ».
De nombreux députés ont également proposé au vote de l’Assemblée nationale, plusieurs propositions de lois pour faire reconnaître ce génocide vendéen. Il faut lire l’exposé des motifs de celle soumise le 16 janvier 2013, relative à la reconnaissance du génocide vendéen et signée par des hommes et des femmes aussi divers que Alain Marleix, aujourd’hui Président du Groupe Les Républicains, Marion Maréchal, Lionel Luca, Véronique Besse, Jacques Bompard, Yannik Moreau etc. Tout y est magistralement résumé, comme dans celle déposée en 2008 par de très nombreux députés dont Hervé de Charette, ou en 2018 par Mesdames les députés Emmanuelle Ménard et Marie-France Lorho.
Car quelque que soit l’idéologie, religieuse ou politique ou les deux, lorsque le totalitarisme affleure, le génocide n’est malheureusement jamais loin.
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Le livre de Guillaume Faye L'Archéofuturisme a été réédité par L'AEncre
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mercredi, 01 février 2023
Project Veritas – Un cadre Pfizer piégé révèle les manipulations sur le SARS-CoV-2
Source et suite : E&R
Un dirigeant de Pfizer : « Faire muter » le Covid-19 par « évolution dirigée » pour que la société continue à tirer profit des vaccins… « Covid-19 va être une vache à lait pour nous »… « Ce n’est pas ce que nous disons au public »… « Les gens n’aimeront pas ça »… « Ne le dites à personne. »
Jordon Trishton Walker, directeur de la recherche et du développement de Pfizer, opérations stratégiques, planificateur scientifique ARN messager : « L’une des choses que nous explorons est la suivante : pourquoi ne pas simplement le faire muter [le Covid-19] nous-mêmes afin de pouvoir créer – de manière préventive – de nouveaux vaccins, n’est-ce pas ? Donc, nous devons le faire. Mais si nous le faisons, il y a un risque, comme vous pouvez l’imaginer, que personne ne veuille qu’une entreprise pharmaceutique fasse muter ces putains de virus. »
Walker : « Ne le dis à personne. Promets que tu ne le diras à personne. La façon dont cela [l’expérience] fonctionnerait est que nous mettons le virus chez les singes, et nous les faisons successivement s’infecter les uns les autres, et nous...
16:42 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le samedi 15 avril, l'Institut Iliade organise son grand colloque annuel.
Un communiqué de l'Institut Iliade :
Le samedi 15 avril, l'Institut Iliade organise son grand colloque annuel. Le rendez-vous de tous ceux qui refusent de mettre un genou à terre.
Cette année, un thème aussi nouveau que capital : l'anthropologie.
Au cœur de la capitale, au plus près des lieux de pouvoirs, plus d'un millier de personnes se réuniront, entre moments de convivialité et ébullition intellectuelle autour du sujet majeur de ce début de siècle.
Tout au long de la journée, des intervenants, universitaires, acteurs et spécialistes de la question anthropologique (l'
Vous découvrirez bientôt les noms de ceux qui viendront apporter une vision différente et radicale dans le débat public.
Événement intellectuel et politique majeur pour tous les Européens qui ont choisi de le rester, ce Xe colloque de l'Institut Iliade est aussi un moment convivial, l'occasion de se revoir, de faire vivre un réseau et de tisser de nouveaux liens.
Le colloque de l’Institut Iliade est également l’occasion de découvrir les nombreux produits artisanaux, livres et œuvres d’arts proposés sur les stands. Pour demander un espace et exposer vos créations dans une salle deux fois plus grande que les années précédentes, vous pouvez écrire à contact@institut-iliade.com
10:19 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Atlantisme et trahison
Le 30 novembre 2022 une déclaration conjointe d’intention était signée à Washington entre M. Sébastien Lecornu, ministre des Armées de la République française et Lloyd Austin, Secrétaire à la Défense des Etats-Unis. Une lecture attentive des cinq feuillets de la déclaration permet de conclure à l’abandon de la souveraineté de notre nation par la signature du ministre des Armées, révélateur d’une indéniable servilité d’une France vassalisée et consentante, presque fière de l’être d’un maître aussi puissant, flattée d’en retenir l’attention. Une bonne analyse du contre-amiral Claude Gaucherand.
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09:43 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 31 janvier 2023
Vaincre ou mourir : le Puy du Fou et l’offensive des fous
La chronique de Philippe Randa
Jamais l’adage « Jupiter rend fous ceux qu’il veut perdre » ne semble avoir été aussi vrai qu’à l’occasion de la sortie en salle du film Vaincre ou mourir, retraçant l’engagement de François-Athanase de Charette de La Contrie contre les armées de la République ravageant sa terre natale, la Vendée, de 1793 à 1800…
De l’hebdomadaire Télérama qui titre « À fuir au galop ! » au quotidien Libération qui alerte sur « l’offensive conservatrice en cours », en passant par Le Monde n’y voyant qu’« une bouillie audiovisuelle qui égrène tous les poncifs les plus éculés du film historique, remuant son imagerie christique et viriliste à coups d’effets visuels d’un autre âge (qui) tente de réhabiliter le général Charette, figure de la résistance contre les Républicains et héros de l’extrême droite », toute l’intelligentsia médiatique autoproclamée bien-pensante est à la manœuvre pour dénoncer ce premier film produit par le Puy du Fou… avec tous les risques, bien évidemment, de déclencher un effet inverse à celui qu’elle escompte.
D’abord, cette intelligentsia participe par l’ampleur de cette campagne de dénigrements à informer nombre de spectateurs potentiels de l’existence de ce film, ce qui n’est pas rien, alors que l’offre de spectacles cinématographiques, via les multiples chaînes de télévision ou plates-formes de streaming, devient chaque jour quasi infinie…
Ensuite, en attirant sur Vaincre ou mourir l’attention d’un public sans opinion elle le pousse à découvrir par lui-même si « l’offensive conservatrice » est si dangereuse que cela et pourquoi ; nul doute que nombre de ces spectateurs-là seront quelque peu interpellés par l’évocation des massacres, crimes, viols et vols des « Bleus » sur une terre – la Vendée – qu’ils n’imaginaient pas avoir connu un passé si tragique. Et de s’interroger au passage sur la participation d’acteurs connus – Grégory Fitoussi, Francis Renaud, Damien Jouillerot, Gilles Cohen – voire renommés : Hugo Becker et Jean-Hugues Anglade ! Qu’ils aient accepté de figurer dans cette production rendra certainement sceptique plus d’un spectateur vis-à-vis de la dénonciation-diabolisation de ce film.
Enfin et surtout, comment pouvait-on mieux mobiliser cette terrible « France réactionnaire » – dont, en 2022, les quelque 2,34 millions de visiteurs du parc de Puy du Fou qui a ainsi battu son record historique de fréquentation – qu’en sonnant ainsi un tel tocsin de haine contre ce film… vérifiant cet autre adage devenu populaire et qu’on a prêté en leur temps aussi bien à l’acteur Pierre Fresnay qu’au journaliste Léon Zitrone : « Qu’on parle de moi en bien ou en mal, peu importe. L’essentiel, c’est qu’on parle de moi ! »
La haine est décidément une bien mauvaise conseillère.
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19:30 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Fabien Bouglé - L’anti-écologisme des éoliennes
Fabien Bouglé, conseiller municipal de Versailles, est depuis dix ans un lanceur d'alerte écologiste. Il est l'auteur de Éoliennes : la face noire de la transition écologique (Rocher 2019). Son dernier ouvrage : Nucléaire, les vérités cachées (2021).
En pleine crise énergétique, il s'entretient avec Gabrielle Cluzel pour dévoiler les dessous du fiasco énergétique français et du projet de loi du gouvernement sur les énergies renouvelables (loi ENR). Ce projet de loi prévoit de faciliter l'implantation massive d'éoliennes en mer et sur terre. Fabien Bouglé dénonce une « loi scélérate et totalitaire » qui va faire sauter tous les verrous écologiques et juridiques. Il analyse les votes au Parlement qui ont déjà eu lieu et, pour lui, il y a encore un espoir, car il n'y a pas d'unanimité : « les choses ne sont pas faites ».
Surtout, il entre dans le détail des aspects anti-écologiques des éoliennes et des responsabilités de la crise de l'électricité en France : les « saboteurs » de notre système énergétique, selon lui.
17:45 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
APRÈS CALLAC, SAINT BRÉVIN LES PINS !
13:15 Publié dans Callac 22, Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’Europe est-elle sortie de l’Historie ?
Dans cette pertinente chronique, Renaud Girard, éditorialiste au Figaro nous démontre, preuves à l’appui, ce que nous ne cessons de dénoncer, à savoir la sortie de l’Histoire de ce que l’on appelle l’Europe. Disparition toute géopolitique s’entend, puisque sur tous les terrains diplomatiques, ce sont bel et bien les Américains qui mènent la danse et parlent pour nous. Triste vassalité d’une Europe qui, si elle s’érigeait en puissance, serait l’une des premières au monde. Où nous mène cette « disparition » de l’Europe, telle est la question !
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Source : Le Figaro 31/1/2023
12:09 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'ÉTAT PROFOND CONTRE LE PEUPLE avec Alexis Cossette
Analyse du travail de sape de L'État profond sur les institutions démocratiques et retour sur Trump et le vaccin.
Source : Radio-Quebec
12:01 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vaincre ou mourir : trouver une séance près de chez vous
cliquez ICI
11:51 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ras le bol des "jamais contents" de service qui font la fine bouche à propos de "Vaincre ou mourir",
Amaury Soudarded De Perros
Ras le bol des "jamais contents" de service qui font la fine bouche à propos de "Vaincre ou mourir", film qu'ils n'ont d'ailleurs pas vu pour beaucoup.00:59 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Retraite à 62 ou 64 ans : … une monumentale manipulation de masse !
Bernard Germain
J’en ai déjà vu des manipulation politiques, mais celle-là dépasse tout ce qu’on peut imaginer !
Les français vont payer cher d’avoir écouté, en avril 2022, ceux qui leur ont fait voter Macron « pour empêcher que le fascisme n’arrive au pouvoir en France ».
En acceptant de suivre les consignes de vote des partis de gauche -en fait l’extrême gauche- puisque la gauche classique n’existe plus (pour mémoire Hidalgo (PS) … 1,74%), des syndicats et des associations « progressistes », sans oublier la droite « républicaine », les français ont accepté sans réfléchir de réélire un homme qui annonçait tranquillement qu’il allait détruire la France et de nombreuses « conquêtes sociales », dont les retraites.
Pourtant, les français avaient sous les yeux le bilan catastrophique de Macron pour son premier quinquennat (2017-2022). Cela aurait dû les alerter. Mais voilà, ils n’ont rien voulu voir ni entendre et ont accepté de se plier à ces directives qui amènent aujourd’hui à une monumentale manipulation.
Dans peu de temps, ils vont connaître le prix pour cette tragique absence de réflexion ! Et cette réforme des retraites n’est que le début de ce qu’ils vont subir.
Quelques éléments vont permettre de me faire comprendre.
Tout d’abord, Macron avait ouvertement dans son programme, annoncé la retraite à 65 ans.
Les syndicats, les partis de « gôche », les associations progressistes … etc, le savaient donc pertinemment.
Pourtant ils ont tous appelé à voter Macron. Pas un n’a manqué à l’appel.
Aujourd’hui Macron applique son programme. En quoi est-ce une surprise ?
Les syndicats, les partis de « gôche », les associations progressistes … etc sont confrontés aux conséquences de leur vote. Et ils s’indignent de cette réforme ?
00:54 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 30 janvier 2023
Reconquête pour l'union des patriotes dans l'Aisne
Romain Dumand
Délégué Départemental Reconquête Aisne
Laon, le 21 janvier 2023.
Merci à tous pour votre présence, merci d’avoir fait le déplacement et de nous soutenir. Notre Fédération est jeune. En effet, j’ai été nommé officiellement Délégué Départemental en septembre dernier. Tout était à faire. Il fallait constituer une équipe compétente, volontaire et représentative, c’est ce que nous avons fait. Je suis heureux de vous présenter Jessy Beaudon, Adjoint en charge de la trésorerie, Benoît Wiart, Responsable de la 1ʳᵉ circonscription, Jérôme Parsy, Responsable de la 2ᵉ circonscription, Patrice Wadbled, responsable de la 3ᵉ circonscription, et Jean-Paul Millet, responsable de la 4ᵉ circonscription.
Avec cette équipe dévouée, nous avons entrepris de créer et de structurer notre Fédération. Les réunions de bureau se sont succédé, avec des échanges toujours très constructifs dans les seuls intérêts de notre mouvement et de la France. Chacun a su trouver sa place et apporter sa personnalité. Je peux vous assurer que vous avez devant vous une équipe compétente, forte, soudée et qui ressent un réel plaisir à travailler ensemble, pour la France.
Notre 1er grand objectif était d’organiser une 1ʳᵉ grande réunion publique et nous l’avons fait, le 19 novembre lors du Beaujolais Nouveau avec la présence du courageux et talentueux Damien Rieu. Vous étiez alors plus de 80 adhérents et sympathisants présents.
Nous n’avons eu que des retours positifs, Damien Rieu a salué notre capacité d’organisation et nous avons reçu les félicitations du siège ! J’en profite pour remercier une nouvelle fois mon équipe pour son travail et son implication remarquable autour de cet évènement qui lançait définitivement la Reconquête dans l’Aisne.
Depuis, nous nous efforçons chaque jour de représenter notre Fédération de l’Aisne partout où nous le pouvons. Ainsi, une forte délégation était présente au Palais des sports en décembre pour fêter le 1er anniversaire de Reconquête. Nous étions déjà présents à Paris pour rendre hommage à Samuel Paty, ce professeur exécuté par un soldat de l’islam. Nous nous sommes également rendus dans le Var pour assister aux universités d’été et nous former politiquement. Ce mercredi, Benoît Wiart était présent dans la Marne pour soutenir la candidature de Marie Pace qui représentera Reconquête demain, lors des élections législatives partielles.
Chaque jour, nous travaillons à l’implantation locale de notre parti. Nous voulons être présents partout, car c’est très certainement de cette façon que nous scellerons les victoires à venir. Ainsi, nous voulons maintenant nous déployer à l’échelle des cantons, puis des communes.
C’est pourquoi nous recherchons des personnes volontaires pour prendre des responsabilités au niveau local et de cette manière augmenter notre capacité d’implantation et élargir considérablement notre niveau de visibilité.
Chaque personne peut nous aider, selon ses domaines de compétences. Nous aurons besoin de tout le monde.
Arriveront rapidement les élections sénatoriales, municipales, départementales, régionales et législatives et nous voulons être en mesure de présenter des candidats sur tout le territoire et imposer nos idées dans le débat politique lors de ces échéances futures.
Nous avons également décidé de nous investir dans le milieu associatif local afin de soutenir toute action qui nous semble juste et bonne pour le département de l’Aisne et ses habitants. Ce sera l’occasion aussi d’accroître notre réseau de connaissances.
En ce qui concerne les ré-adhésions, je suis heureux de vous annoncer que nous atteignons un taux de renouvellement extraordinaire de plus de 90 %. Nous sommes aujourd’hui plus de 100 000 adhérents à jour de cotisation. Oui, le 1er parti de France, c’est nous !
Cela confirme que la Reconquête est bien vivante et qu’elle a vocation à poursuivre son ascension. À tous ceux qui nous pensaient morts, prêts à nous enterrer, nous avons le regret de leur informer que nous venons seulement de naître !
Chaque jour, nous recevons des appels, des mails de soutien, des dons ou encore des propositions pour militer, coller des affiches ou encore distribuer des tracts.
Partout, nous progressons. En septembre dernier, Laurence Trochu, candidate aux élections législatives partielles à Versailles, progressait de 3 points en trois mois !
Il n’en sera pas autrement pour notre cher département de l’Aisne.
Nous nous implanterons, nous progresserons, nous nous imposerons et enfin, nous gagnerons.
Ce territoire, autrefois réputé pour la grandeur et la performance de son industrie, de son agriculture, ce véritable fleuron de la filature, accuse aujourd’hui un taux de chômage des plus élevés de France avec un score de 11,5 %, soit 3 points de plus que la moyenne nationale !
Il suffit de se déplacer à travers nos communes pour observer la misère et la détresse sociale se propager d’une manière fulgurante. Bien des personnes ne mangent plus à leur faim. Pensons à ces parents qui angoissent à l’idée de ne plus pouvoir subvenir convenablement aux besoins de leurs enfants.
Combien de nos aînés n’ont plus les moyens de se payer une mutuelle et refusent de se soigner ? Combien d’artisans et de commerçants mettent la clé sous la porte, étouffés par les charges ?
Combien d’honnêtes travailleurs peinent à faire le plein de leur voiture afin d’aller travailler ? Pendant ce temps, le département de l’Aisne brille par sa générosité envers les profiteurs, les fainéants et les mineurs isolés qui souvent ne sont ni mineurs, ni isolés.
Cette terre axonaise qui a offert à la France les illustres Jean de La Fontaine, Racine, Alexandre Dumas ou encore Ernest Lavisse se trouve sur le podium des départements où le taux d’illettrisme est le plus élevé avec ce score affligeant de 13% !
Ce département si riche en histoire, au patrimoine architectural hors du commun, semble en état d’abandon. Partout nos églises, nos calvaires, nos monuments tombent en ruine dans l’indifférence totale de nos dirigeants. La seule chose qu’ils paraissent vouloir construire et entretenir sont les éoliennes.
Ces monstres de béton qui brassent en réalité plus d’argent que de vent défigurent la beauté de nos paysages. Pensons aux propriétaires résidant à proximité de ces affreux engins.
17:58 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Hommage du Parti de la France samedi à Roger Holeindre
Samedi 28 janvier 2023, le Parti de la France a rendu son traditionnel hommage à son Président d'honneur, Roger Holeindre, disparu depuis désormais 3 ans.
À l'issue de la cérémonie au cimetière qui a réuni une centaine de personne, un dîner, présidé par Jean-Marie Le Pen, s'est tenu à Versailles et différentes personnalités de la droite nationale (Bruno Gollnisch, Thomas Joly, Didier Rochart, Lorrain de Saint-Affrique, Pierre-Nicolas Nups) ont évoqué le souvenir de Roger Holeindre.
Plus de photos cliquez là
16:10 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mourir pour Kiev et l’Amérique ? Vers la guerre totale et nucléaire
Marc Rousset
Le 14 janvier 2023 est une date qui représente un tournant dans la guerre en Ukraine, les forces Wagner s’étant emparée de la ville de Soledar, ce qui pourrait entraîner une vaste offensive vers l’Ouest. Depuis lors, les Russes ont enregistré victoire sur victoire tout au long de la ligne de front. La Russie s’attaque maintenant d’une façon concomitante à douze points sensibles dont Vougledar, ville de 15 000 habitants à proximité de Donetz ; Moscou cherche à disperser les forces ukrainiennes afin de créer les conditions d’une offensive décisive. Face à l’échec de plus en plus visible de l’OTAN, les Européens atlantistes se déchaînent et n’ont trouvé rien de mieux que de fournir des chars lourds et des avions américains F16 à l’Ukraine, la course aux armements prenant un rythme effréné !
Sur le terrain, la situation de l’armée ukrainienne est catastrophique. L’Ukraine a commencé la guerre en février 2022 avec une « ligne Maginot » locale, soit quatre lignes défensives construites depuis le coup d’État de Maïdan en 2014, dans le cadre de la guerre civile du Donbass avec ses 14 000 morts, et pour préparer la guerre programmée par l’Amérique avec la Russie. La première ligne Lysychansk, Zolote, Popasna a déjà été prise au cours de l’été 2022 par les Russes. Les combats actuels ont lieu sur la deuxième ligne défensive Marinka, Piski, Avdiivka, et sur la Troisième ligne Siversk, Bakhmut, Toretsk, New-York au nord de la deuxième ligne.
Bakhmut représente une position stratégique clé que l’artillerie russe a transformée en « hachoir à viande de Verdun », car les Ukrainiens sont obligés de sacrifier un nombre exorbitant d’hommes pour tenir le plus longtemps possible. La Russie contrôle désormais les hauteurs au nord et au sud de Bakhmut. L’artillerie russe bénéficie d’un avantage de puissance de feu d’environ 9 contre 1. Si les lignes 2 et 3, déjà très fortement éprouvées et saignées, tombent, ce sera le tour ensuite de la quatrième et dernière ligne défensive Kramatorsk, Slavyansk.
Les Russes ont déjà en fait détruit deux armées ukrainiennes ; ils sont en train de détruire la troisième armée otano-kievienne à Bakhmut et ils s’apprêtent à faire face à une quatrième armée otano-kievienne équipée cette fois-ci de blindés modernes et de chasseurs américains F16. Dans les premiers mois qui ont suivi le début du conflit en février 2022, les Russes ont détruit l’essentiel des armes lourdes de l’Ukraine et tué un très grand nombre de militaires professionnels. Puis ils ont fait face à une deuxième armée avec plus de mobilisés et moins de professionnels, équipée de matériel lourd soviétique provenant des stocks des anciens membres du Pacte de Varsovie (Pologne, Bulgarie, République tchèque) ; fin juin 2022, cette armée a été aussi pulvérisée. L’OTAN a alors commencé à constituer une troisième armée otano-kievienne, cette fois-ci avec du matériel occidental tel que le Caesar français et les obusiers américains M777. C’est cette troisième armée que la Russie est en train de finir de détruire à Bakhmut.
15:50 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 29 janvier 2023
La vraie fausse arrestation de Greta Thunberg et les médias de grand chemin
Depuis sa percée médiatique en 2018, Greta Thunberg s’est hissée en égérie de la lutte contre le réchauffement climatique. La jeune Suédoise, souvent considérée comme une marionnette d’intérêts qui la dépassent, s’est illustrée à de nombreuses reprises dont la plus récente remonte au 17 janvier 2023.
Source EuroLibertés cliquez là
En ce mardi 17 janvier, l’activiste de 20 ans prenait part à un sit-in à l’ouest de l’Allemagne pour s’opposer à l’extension d’une mine à ciel ouvert de charbon. Situé dans le village de Lützerath, le site a vu se constituer, depuis près de deux ans, une ZAD. Une équipe de Reuters couvre l’événement. Soudain, voilà Thunberg, prise par les pieds et les mains par deux policiers et conduite un peu plus loin avec, sur son visage, une expression à mi-chemin entre le sourire narquois et une profonde sérénité.
Quelques secondes plus tard, revoilà notre héroïne remise sur pied par ces mêmes policiers se prêtant volontiers à une séance de photo. Tout sourire, elle semble parfaitement au courant qu’elle ne risque rien en présence des caméras. Finalement, tout le petit groupe est arrêté en même temps, et elle sera remise en liberté suite à un contrôle d’identité ayant pris quelques heures. Néanmoins, les sourires et la « douceur » de la maréchaussée lors de la manœuvre ont très vite amené une question : est-ce que cette arrestation ne serait pas une mise en scène ?
Retour en arrière
Pour tenter de répondre à cette question, revenons quelques jours en arrière. Le samedi 14 janvier, la police allemande procède à une évacuation musclée de la ZAD qui, depuis deux ans, donne du fil à retordre aux autorités locales. Le collectif Lützerath vit ! évoque des blessures pour des dizaines de ses militants, dont une vingtaine a dû être hospitalisée. Côté police, ce sont près de soixante-dix blessés, et cent-cinquante zadistes sont poursuivis pour des motifs variés. Des chiffres éloquents sur la violence des affrontements dont Greta Thunberg s’est d’ailleurs fait le relais sur sa page Twitter en diffusant des vidéos de la charge des policiers.
Notons le contraste entre cette violence, abondamment dénoncée par les opposants à la mine de charbon, et l’interpellation complaisante de Greta Thunberg. Sa notoriété, couplée à la présence des caméras, sont deux éléments qui expliquent la douceur de cette arrestation où la police peut montrer qu’elle agit avec tact et délicatesse. C’est d’ailleurs ce qu’a expliqué la police locale, en précisant avoir laissé les journalistes faire leur travail en réponse aux critiques reçues auparavant. Cette potentielle mise en scène aurait donc pu être l’occasion pour la police allemande de redorer son blason.
Ajoutons qu’au moment où Greta est venue sur les lieux, la situation était pratiquement pacifiée. Le risque d’échauffourée était nettement moindre que celui du samedi 14 janvier, et il s’agissait d’une prise de risque minime.
Mise en scène ?
Dans leurs déclarations diverses, journalistes et policiers étaient tous formels, la présence de Greta Thunberg n’était pas connue à l’avance. C’est l’un des éléments principaux qui rendrait impossible la mise en scène.
Cependant, celle-ci est loin d’être improbable puisque, comme le note Le Monde, Greta Thunberg faisait partie des organisateurs de la manifestation du 14 janvier. Il était donc possible et même probable qu’une organisatrice vienne participer à un moment ou à un autre à la manifestation.
Retour sur les écrans
Mais quel aurait été l’intérêt, pour Greta, d’une telle mise en scène ? Tout d’abord, il s’agirait de remettre un coup de projecteur sur une jeune fille que les tribulations n’ont pas permis de rendre visible dans le paysage de manière solide. Depuis un an, le phénomène Greta semble s’essouffler et cette arrestation a remis la lumière sur cette jeune Suédoise qui ferait trembler les grands. Ces grands, elle devait d’ailleurs les côtoyer au prochain forum de Davos qui se tenait quelques jours après l’arrestation. En outre, elle se drape d’une image de dissidente et permet à son combat d’être rangé dans la liste des combats qui vous font connaître les cellules de garde à vue.
D’ailleurs, elle n’a pas manqué de noter dans un tweet suite à son interpellation que celle-ci marquait la « criminalisation » de la lutte contre le changement climatique. Très vite, médias et politiques ont loué le courage de cette petite, confrontée à la police pour ses idées.
Pour finir, reposons la question : cette arrestation était-elle une mise en scène ? Des démentis ont été faits, par la police et par la presse. Dans tous les cas, il s’agit d’une opération de com rondement menée par celle qui, en quelques années, est devenue le visage de l’écologie mondialiste. Bien joué.
Article paru sur le site de l’OJIM
NDLR SN : sur Cretta Turnberg cliquez ici
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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
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Dans Rivarol de cette semaine : un grand article sur le n°24 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré au 50e anniversaire de la création du Front national
Robert Spieler Rivarol cliquez ici
La sortie du vingt-quatrième titre de la collection "Les Cahiers d'histoire du nationalisme", édité par Synthèse nationale, correspond au cinquantième anniversaire de la création du Front national au cours de l'automne 1972. Le titre de l'ouvrage est:"Le Front national. Avoir eu tellement raison". Le livre propose une chronologie fort intéressante et dépeint aussi quelques événements marquants tels, entre autres, la campagne présidentielle de 1974, l' "invention" des Fêtes des Bleu Blanc Rouge par Michel Collinot, le lancement de National Hebdo, l'entrée de députés FN à l'Assemblée nationale, et le "coup de tonnerre" du 21 avril 2002 avec la qualification de Jean-Marie Le Pen au second tour de la Présidentielle, mais aussi les différentes crises qui ont jalonné, du Parti des Forces nouvelles, en 1973, jusqu'à celle des Patriotes de Florian Philippot en 2017, l'histoire du Front.
Les débuts de l'aventure du Front national
L'aventure du Front national débute les 10 et 11 juin 1972 quand se tient dans les salons du Grand Hôtel, à Paris, le deuxième congrès d'Ordre Nouveau. Les délégués décident à une large majorité la participation du mouvement aux élections législatives de 1973, au sein d'une structure élargie nommée "Front national". La présidence du FN est proposée à Jean-Marie Le Pen, ancien député de Paris (1956-1962), retiré de la vie politique au lendemain de la campagne présidentielle de Tixier-Vignancour. Le Pen était alors directeur d'une société d'éditions de disques historiques appréciés, allant des chants de l'armée israélienne à ceux de la Waffen-SS. Le 5 octobre 1972 est créé le "Front national pour l'unité française" dont Le Pen et élu président et François Brigneau vice-président. Dans son premier comité directeur, on trouve des nationalistes issus d'Ordre nouveau et du mensuel Militant de Pierre Bousquet, des nationaux, dont Jean-Marie Le Pen et Roger Holeindre, mais aussi des centristes antigaullistes issus du mouvement de Georges Bidault. Le 7 novembre 1972, le Palais de la Mutualité à Paris est bondé pour le premier meeting du Front national.
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Callac : Bernard Germain adresse une lettre-ouverte à M. Nicolas Heitz, Procureur de la République à Saint-Brieuc
Suite à l'agression dont a été victime samedi matin Danielle Le Men, présidente de l'Association des Amis de Callac et de ses environs cliquez ici, Bernard Germain, porte-parole du Comité d'organisation de la campagne contre le projet Horizon, vient d'adresser une lettre ouverte à M. Nicolas Heitz, Procureur de la République à Saint-Brieuc, Nous la publions donc ci-dessous.
Rappelons que la semaine dernière, suite aux élucubrations fantaisistes des élus immigrationnistes de Callac, plusieurs responsables de la résistance patriotique locale avaient été entendus par la gendarmerie.
Il est temps d'arrêter de confondre les agresseurs et les agressés...
S N
Lettre au procureur de Saint-Brieuc
Monsieur le Procureur,
J’ai eu, comme plusieurs autres personnes, à répondre devant les gendarmes que vous avez chargés de m’interroger, dans le cadre de 12 plaintes déposées contre l’association « Les amis de Callac et ses environs » dont je suis membre.
Comme vient de le reconnaître en public le maire de Callac, samedi 28 janvier, nous ne sommes en rien concernés par les accusations portées par ceux qui ont déposé ces 12 plaintes.
Alors pourquoi cet acharnement contre notre association les « amis de Callac et ses environs ».
Nos actions sont menées à visage découvert et « à la loyale ». Nos actions sont uniquement politiques et en aucune manière violentes.
Par contre, Monsieur le Procureur, étrangement, vous restez sans réaction contre les organisateurs de deux contre-manifestations tenues les 17 septembre et 5 novembre 2022.
Ces manifestations n’ont pas été déclarées. Ce qui est absolument illégal.
Elles ont, de plus, été l’occasion d’affrontements très violents de la part d’antifas, contre les gendarmes qui les ont empêchés d’accéder à la place de la mairie où se déroulaient nos deux rassemblements pacifiques contre le projet Horizon.
Samedi 28 Janvier 2023, à l’occasion des vœux du Maire, des antifas ont encore eu recours à la violence. Ils ont agressé Mme Le Men, Présidente de l’association, pour l’empêcher d’accéder à la salle des vœux dans l’enceinte de la mairie. Fort heureusement, elle n’est pas blessée.
Ils ont par ailleurs également agressé les gendarmes présents, blessant l’un deux et dégradant un véhicule de gendarmerie.
Deux interpellations ont eu lieu.
Qu’attendez-vous Monsieur le Procureur, pour déclencher une enquête sur ces trois évènements où la violence des antifas s’est donnée libre cours à chaque fois ?
Qu’attendez-vous Monsieur le Procureur pour enquêter et poursuivre les membres de l’équipe municipale de Callac qui ont soutenus (voire organisé) les deux contre-manifestations illégales et « chauffé » les antifas pour qu’ils attaquent nos rassemblements pacifiques et à cette occasion agresser les gendarmes qui leur barraient la route ?
Combien de faits condamnables de ce type va-t-il falloir pour qu’enfin vous réagissiez et surtout que vous poursuiviez les responsables de ces faits et exactions ?
Enfin, un article du journal « Le Télégramme de Brest » paru ce jour, dimanche 29 janvier, m’amène à rajouter un paragraphe à cette lettre.
Cet article affirme, concernant les deux personnes appréhendées par les gendarmes :
« Inconnus de la police et de la justice, les jeunes interpellés ont été placés en garde à vue pendant 24 heures et sont sortis ce dimanche 29 janvier. Ils ont été déférés à la permanence du parquet de Saint-Brieuc et ils seront jugés, le 9 mai, pour actes de vandalisme. « Le parquet requiert un placement sous contrôle judiciaire et une interdiction de paraître dans le département des Côtes-d’Armor », indique le procureur de la république de Saint-Brieuc. »
Si ce que rapporte cet article est vrai, ma stupeur est totale.
En effet, aucune charge ne semble être retenue par vous, à l’encontre de ces deux antifas, pour avoir agressé des gendarmes, dont l’un d’eux a même été blessé.
Seul l’acte de « vandalisme », sans doute s’agit-il de la dégradation du véhicule de gendarmerie, est retenu contre eux.
Ne pas retenir comme charge, les violences exercées à l’encontre des forces de l’ordre va envoyer un terrible message à la mouvance des antifas.
Ces derniers ne manqueront pas de l’interpréter de manière désastreuse ce qui les conduira certainement à en conclure que « casser du flic » n’est guère risqué.
Je ne peux, Monsieur le procureur, que vous exprimer ma totale désapprobation s’agissant de votre refus de poursuivre ces individus quant aux violences faites aux force de l’ordre.
Veuillez agréer, Monsieur le Procureur, l’expression de mes salutations distinguées. »
Le 29 Janvier 2023
Bernard GERMAIN
Porte parole du Comité d’Organisation
Pour comprendre l'affaire de Callac cliquez ici
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Samedi 4 février : Hommage parisien à Robert Brasillach
12:32 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Callac : les antifas agressent Danielle Le Men, Présidente des « Amis de Callac et ses environs »
Bernard Germain
Samedi matin, à Callac, avaient lieu les vœux du maire.
Entre 20 et 30 antifas avaient fait le déplacement venant des quatre coins de la Bretagne. La raison de leur présence ne fait aucun doute : agresser ceux qui ont fait échouer le projet Horizon.
C’est Danielle Le Men, Présidente de l’Association « Les amis de Callac et ses environ » qui a mené la bataille à Callac avec son association pour empêcher la venue de 70 familles immigrés, venant d’Afrique, dans le cadre du projet Horizon de la fondation Merci de Mme Cohen.
Ce matin, lorsque Danielle Le Men a voulu entrer dans la Mairie, 3 antifas lui ont barré la route, en lui refusant l’accès.
Ne se laissant nullement impressionner (alors qu’elle mesure 1m60 pour 43 kg) Danielle Le Men a voulu forcer ce barrage.
Une bousculade a eu lieu amenant à l’intervention d’un gendarme pour protéger Danielle Le Men.
Cela déclencha un affrontement entre les antifas et les gendarmes présents. Des renforts furent appelés.
Un affrontement eut lieu devant la mairie entre les gendarmes et les antifas, avec grenades lacrymogènes, échanges de coups, … etc.
Bilan :
- un gendarme blessé
- un véhicule de gendarmerie tagué et endommagé
- deux interpellations d’antifas
- une manifestation de 15 antifas devant la gendarmerie de Callac pour que leurs « camarades » soient libérés.
Danielle Le Men n’est pas blessée, ni aucun membre des Amis de Callac.
Le Maire s’est entretenu avec Danielle Le Men et lui a dit qu’il regrettait ces violences mais que lui-même subissait des menaces.
Danielle Le Men lui a répondu : « Vous savez très bien que nous ne sommes pour rien dans les menaces que vous dites avoir reçues. Nous menons nos actions à visage découvert ».
Réponse du maire : « Je sais que vous n’êtes pour rien dans ces menaces ! »
Fabuleuse réponse … !
Le maire reconnaît publiquement que « Je sais que vous n’êtes pour rien dans ces menaces».
C’est pourtant les « amis de Callac » (dont moi) qui sont convoqués à la gendarmerie pour répondre à 12 plaintes déposées contre nous par l’équipe municipale de Callac.
De ces évènements, il me semble utile de tirer quelques enseignements.
Une campagne nationale a lieu actuellement contre les « violences d’extrême droite ».
En vérité, est qualifiée de violence d’extrême droite, toute action, protestation ou remise en cause d’un projet des bien pensants, notamment contre l’arrivée massive d’immigrés dans notre pays et leur répartition dans les campagnes.
Les vraies violences, bien réelles celles-là, sont chaque fois l’œuvre des antifas. Elles ne sont jamais dénoncées par la presse bien pensante ni par les élus immigrationnistes.
Ces élus immigrationnistes sont les véritables responsables des violences et du climat délétère qui existe dans notre pays. Eux et eux seuls !
Ils n’acceptent pas de reconnaître que le peuple ne veut pas de leurs projets immigrationnistes.
Pour masquer ce refus de la population, ils inventent des soi-disant menaces, violences ou agressions imaginaires.
Ce qui provoque invariablement une considérable montée des tensions.
Par ailleurs, ils n’hésitent pas à exciter les antifas, comme ils l’ont fait à deux reprises les 17 septembre et 5 novembre 2022.
On retrouve partout ces comportements.
Il n’est pas possible qu’ils continuent à agir dans le dos des gens, en cachant leur projets et ensuite chercher à les imposer de force aux populations. Tout en accusant ceux qui les combattent, de violences afin de se poser en victimes alors qu’ils sont les responsables.
En agissant ainsi, ils ne peuvent que provoquer la colère de la population.
Et ce n’est pas en créant un climat délétère par leurs accusations mensongères qu’ils parviendront à leurs fins, … ni à échapper à la légitime colère de la population.
Pour comprendre l'affaire de Callac cliquez ici
03:33 Publié dans Bernard Germain, Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 28 janvier 2023
Premières nouvelles en provenance de La Flotte en Ré
Selon le quotidien régional Sud-Ouest (à 15 h 45 - cliquez ici) : "les catholiques sont venus en force".
300 personnes rassemblées au pied de la statue pour mettre à bas les prétentions de l'officine gauchiste "Libre pensée". Un succès...
17:44 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mort de Tyre Nichols aux USA : … va-t-on nous demander de mettre un genou à terre ?
Bernard Germain
Nous sommes à Memphis dans l’État du Tennessee aux USA.
Le 7 janvier 2023 au soir, un groupe de policiers rattrape un automobiliste qui vient de commettre une infraction routière.
La vidéo des caméras embarquées des policiers a été publiée sur internet. On y voit le conducteur arrêté, se faire passer à tabac par ces policiers. C’est ultra violent. Et cela dure un long moment.
Insupportable !
Il se trouve que le conducteur arrêté est noir.
Oh là là,… ça y est, ça recommence.
C’est une nouvelle affaire Georges Floyd, ce noir qui fut tué par un policier blanc en 2020.
Suite à la mort atroce par étouffement de Georges Floyd, le policier blanc fut condamné à 20 ans de prison.
Pour protester contre ce crime « raciste », tout ce que la terre comptait de bien pensants a été invité à mettre un genou à terre, à toute occasion, comme par exemple au début de chaque match de football.
Le système « blanc » a été qualifié de système pratiquant un « racisme systémique ».
D’innombrables manifestations, dont beaucoup furent ultra violentes, se sont déroulées aux USA à l’appel de Black Lives Matter.
Ainsi que dans de multiples pays.
En France, le Comité Traoré s’était déchaîné, essayant de faire le lien entre ce crime aux USA et la mort d’Adama Traoré, suite à son arrestation par les gendarmes.
Et toute la gauche, l’extrême gauche et les médias « progressistes » se sont engouffrés pour dénoncer le prétendu « racisme d’État » qui existerait aux USA et en France.
Pour les Wokistes, et tous ceux qui veulent détruire notre société « blanche », ce fut une aubaine.
Depuis près de 3 ans, le « racisme systémique » de notre société est inlassablement dénoncé et quiconque refusa de mettre un genoux à terre fut impitoyablement dénoncé comme un épouvantable raciste.
Donc avec ce nouveau meurtre « raciste » d’un noir,… nous allons revivre pendant des mois une campagne à l’égale de celle qui fut menée pour Georges Floyd.
Moi, je vous dis que ce ne sera pas le cas.
Les bien pensants et leur presse vendue au wokisme n’appelleront pas à mettre un genoux à terre.
Ils n’appelleront pas à de multiples manifestations.
Il n’y aura pas d’indignation mondiale contre ce « crime raciste ».
Vous savez pourquoi ?
Parce que les 5 policiers, responsables de ce crime immonde, sont… noirs !
Même le chef de la police de Memphis, Cerelyn Davis, est noire.
Et là c’est très ennuyeux pour les wokistes, les bien pensants et tous les organes de presse complices.
En effet, dans ces conditions, comment faire pour présenter cette affaire et en me temps développer leurs thèses accablantes pour la société « blanche » ?
La lecture des organes de presse concernés est sur ce plan, fort édifiante
Le Monde fait un article qui commence ainsi :
« Le 7 janvier 2023, Tyre Nichols, un Afro-Américain de 29 ans, est arrêté par cinq agents de police suite à une infraction au code de la route violemment battu. Il est décédé trois jours plus tard, à l’hôpital. »
Dans le corps de l’article, le lecteur est informé que :
« Le 20 janvier, les cinq policiers impliqués ont tous été renvoyés, avant d’être arrêté le 26 janvier. »
Mais le lecteur ne trouvera nulle trace que tous les policiers incriminés sont noirs !
France info publie sur son site un article ou l’on peut lire :
« Aux États-Unis, les images de l'arrestation de Tyre Nichols, 29 ans, ont été publiées vendredi 27 janvier par la police de Memphis, deux jours après l'incarcération des cinq policiers qui l'ont battu au sol. Elles montrent l'insoutenable brutalité de l'arrestation de l'Afro-Américain, mort trois jours après les faits du 7 janvier. »
Les lecteurs ne sauront pas non plus que les policiers étaient tous noirs.
Libération publie aussi un article qui commence ainsi :
« Insupportable de violence et d’inhumanité, la vidéo du passage à tabac du jeune Noir américain par cinq policiers de Memphis a été diffusée vendredi soir. »
Une seule fois dans l’article, Libération reconnaît la situation embarrassante qui résulte de ce meurtre.
« Ces cinq policiers sont noirs, comme leur victime. Cette apparente exception met en sourdine l’argument racial pour mettre en lumière une dérive policière américaine systémique »
Libération déclare ouvertement son embarras :
« Cette apparente exception met en sourdine l’argument racial... »
Zut alors,… Libération reconnaît que les bien pensants ne vont pas pouvoir nous resservir leurs thèses délirantes qui aboutissent toutes à la même conclusion… le responsable c’est l’homme blanc dont il faut détruire la société.
Effectivement, cela va être difficile dans ces conditions de faire mettre un genou à terre à la planète entière afin de demander pardon.
A noter qu’à ce jour, aucune réaction de SOS Racisme sur son site ou sur sa page Facebook … un silence pesant.
Ces faits permettent à toute personne, intellectuellement honnête, de constater que le meurtre Tyre Nichols n’est pas moins ni plus horrible que celui de Georges Floyd.
Il est simplement la preuve que la société américaine est devenue une société ultra violente, mais que ce n’est pas un problème de « racisme systémique ». Même si un racisme indéniable existe toujours aux USA, contrairement à la France et aux pays européens.
En menant constamment campagne en France, pour essayer de prouver que notre pays serait raciste, les wokistes et tous leurs complices essayent de détruire notre société.
Il est urgent de les combattre sans relâche et d’empêcher leurs thèses venimeuses de se répandre.
Cette affaire Tyre Nichols en est une nouvelle preuve.
Le wokisme est un cancer qu’il faut éradiquer !
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17:33 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
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05:48 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Callac nous concerne tous, l’exemple de la politique éducative du Gouvernement
Claude Meunier-Berthelot, enseignante, essayiste
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Callac, paisible commune bretonne, était au cœur d’un débat d’ampleur nationale ces derniers mois. Un projet d’accueil de migrants voulu par la Mairie et un fonds de dotation parisien a rencontré une farouche opposition populaire. Et si ce projet a heureusement était annulé suite à une belle mobilisation, les leçons de cette affaire restent de première importance. En voici un nouvel exemple avec une analyse de Claude Meunier-Berthelot.
Polémia
Que tous les Français prennent très au sérieux et à leur compte l’affaire de Callac, car nous sommes tous concernés par la programmation de la submersion migratoire dans nos campagnes : un cancer généralisé avant la « muerte » !
Le sujet n’est pas sorti subitement du chapeau de Macron, il s’agit d’un projet mûri et préparé de longue date et notamment en matière scolaire.
Le scénario s’est déroulé en trois temps :
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Fermeture des classes rurales
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Signature de « conventions ruralité »
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Constitution de « territoires éducatifs ruraux » (TER)
1 – Fermeture des classes rurales
Ces dernières décennies, les communes rurales avaient organisé des regroupements pédagogiques inter-communaux pour gérer leurs effectifs le plus rationnellement possible, regroupements consistant en ce que les élèves de tous les niveaux soient regroupés dans une même école ou bien par niveau sur différentes écoles de communes limitrophes, ce qui aboutissait dans tous les cas, à une moyenne de 23 élèves par classe.
A partir de 2014, sur décision préfectorale, une multitude de classes ont été fermées en milieu rural sous le prétexte que leur effectif était inférieur à 26 – au total, 808 fermetures à la rentrée 2019 – selon le principal syndicat du primaire, le SNUIpp-FSU – quand les postes supprimés ont été attribués aux REP* pour mettre en œuvre les dédoublements pour les élèves issus de l’immigration et aboutir à 12 élèves par classe !
2- Signature de « conventions ruralité »
De façon concomitante, ont été instaurées des « conventions ruralité », accords conclus entre l’Etat et les collectivités territoriales afin d’établir un schéma territorial pluri-annuel d’évolution de l’organisation scolaire en zone rurale dans le but, non seulement d’une restructuration de l’offre scolaire avec une mise en réseaux des établissements scolaires, mais également en vue d’une amélioration de l’offre scolaire et pour ce faire, les élus locaux ont dû accepter d’engager une démarche de travail avec l’Éducation nationale et entre eux.
Le 8/3/2018, le site du gouvernement titre « l’Education engagée en faveur d’une École rurale de qualité ».
Le 16/01/2019, invité de France-Info, JM. Blanquer déclare « développer une stratégie pour un rebond du monde rural, son but étant de LE RENDRE ATTRACTIF AFIN QUE DES FAMILLES S’Y INSTALLENT », mentionnant qu’un minimum de 2000 créations de postes par an serait nécessaire et 2300 postes créés dans cette optique dès la rentrée 2019.
Le 23/01/2019, sur LCI, au micro de JP Pernaud, avec son cynisme habituel, JM. Blanquer déclarait : « beaucoup de communes rurales craignent la suppression des classes…une crainte non fondée…ajoutant « si l’on se réfère à la nouvelle politique gouvernementale... » et …ce rebond passe par le développement des « conventions ruralité »
Un grand nombre d’écoles communales ont ainsi disparu au profit de réseaux, ce qui désespère non seulement les élus, mais aussi les populations rurales.
Cependant, le problème encore plus crucial est celui de savoir au profit de qui se fait cette « restructuration » et cette « amélioration de l’offre éducative » » (sic)
Sur le site du gouvernement du 8 mars 2018, le ministre mentionne le développement des classes bi-langues, l’enseignement du latin et du grec, l’implantation du dispositif « plus de maîtres que de classes » et cerise sur le gâteau, « la revitalisation de plus 2500 places à la rentrée 2018 des « internats d’excellence » en milieu rural.
Or, il faut savoir que tous ces dispositifs sont réservés uniquement aux élèves issus de l’immigration dans le cadre de la refondation de l’éducation prioritaire dans les REP et REP+ , refondation basée sur la recherche de l’excellence et qui a abouti à la création, par JM Blanquer, de « 200 cités de haute qualité éducative » bénéficiant à 1 million d’élèves issus de l’immigration, cités éducatives « sans mixité sociale » – entendez interdits à nos enfants- quand pour eux, l’École, basée sur des activités et non des cours, devient un simple lieu de vie, en conséquence de quoi, aucun de ces dispositifs ne se justifierait.
3 – Territoires éducatifs ruraux
Ces « conventions ruralité » ont abouti à la création de TER (territoires éducatifs ruraux) dont l’expérimentation a été lancée en janvier 2021 sur 23 territoires . A ce jour, ce dispositif concerne 88 collèges soit 26000 collégiens et 659 écoles, soit 20 000 élèves du primaire.
La réponse du ministre de l’Éducation nationale Pap N’Diaye à la question que lui posait un sénateur à ce sujet et publiée au JO du 24/11/2022 est éloquente :
« Ce dispositif entend renforcer l’accompagnement des élèves dans les TER, à l’instar des « cités éducatives » en zone urbaine…
« …Doté de plus de 100 millions d’euros pour prendre les mesures visant à augmenter le niveau général des élèves, encourager leur ambition et leur mobilité.
« … les projets portés par chacun des TER s’appuient en priorité sur des outils et dispositifs existants (ndlr. uniquement dans les REP et REP+) à savoir :
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Stages de réussite,
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École ouverte,
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Devoirs faits,
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Plan bibliothèque d’école,
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Cordées de la réussite
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Plan internats d’excellence.
Jamais aucun de ces dispositifs n’a été déployé dans l’École publique de nos enfants et ne le sera pas. Ces TER ne sont pas faits pour eux.
Dans le magazine du groupe « Caisse des dépôts », un éditorial du directeur général Eric Lombard, précise que « pour aider les élus des petites villes à accueillir de nouveaux arrivants et à revitaliser les petites communes, la caisse des dépôts participe activement au programme « petites villes de demain » lancé par le ministère de la cohésion des territoires en octobre 2020 »
La banque des territoires accompagne ainsi plus de 1600 communes rurales de moins de moins de 20 000 habitants
But : entre autres, rénover les écoles rurales !
La suppression des écoles communales a donc pour effet de pousser les populations autochtones vers les villes pour assurer la scolarisation de leurs enfants et les populations immigrées sont poussées à s’installer en milieu rural grâce, notamment, à ces dispositifs scolaires taillés sur mesure, « du cousu main » comme le disait à ce sujet Claude Allègre.
Voilà la politique du grand remplacement du ministre de l’Education en milieu rural : à la fois quantitatif et qualitatif : rien n’est trop beau pour les populations issues de l’immigration.
C’est le dispositif concocté par le gouvernement pour assurer la transition démographique de Monsieur Macron, c’est la politique qui avait été envisagée pour Callac, mais c’est aussi la politique voulue et préparée par le gouvernement sur tout le territoire français.
Callac s’est battu vaillamment avec l’aide d’associations valeureuses et a gagné.
Que cela soit, comme le souhaite et l’a écrit dans son livre Bernard Germain, « la mère des batailles » et que nous sachions, nous aussi, nous battre en connaissance de cause, car nous sommes tous concernés.
Notes :
* REP – Réseaux d’Education Prioritaire
Cf. ouvrages :
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« Callac, la mère des batailles » – 186 p. – Bernard Germain – Synthèse Edition
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« C’est l’identité française qu’on assassine » – Claude Meunier-Berthelot 148 p. Editions des trianons
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« Blanquer le cynique » 182 p. -y (p.152 à 165) – Claude Meunier-Berthelot – Editions des trianons.
En vente dans toutes les libraires et sur le site de la « Librairie française ».
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vendredi, 27 janvier 2023
Tous samedi à La Flotte en Ré pour sauver la statue de la Sainte Vierge
Depuis quelques semaines, la mobilisation s'amplifie pour mettre fin aux prétentions d'une officine trotskiste intitulée La Libre pensée qui ne supporte pas de voir une statue de la Sainte Vierge à l'entrée du village de La Flotte en Ré situé sur l'Ile éponyme (17).
Demain samedi une grande manifestation est organisée sur place par les forces nationales et catholiques pour défendre ce magnifique symbole de notre civilisation. Tous nos amis sont invités à y participer !
Pour signer la pétition cliquez ici
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