vendredi, 07 avril 2023
CALLAC : LA VÉRITÉ !
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jeudi, 06 avril 2023
CALLAC : après la diffusion ce soir d'un odieux "reportage" sur France 2, la réaction immédiate de Pierre Cassen
Pierre Cassen, président de Riposte laïque
J'ai regardé. C'est grandiose. Un mélange d'Agence Tass et de Goebbels, au service de l'invasion migratoire.
On a eu la parole 30 secondes, et le reste a été pour les 6 meneurs immigrationnistes de Callac, qui nous ont vendu leur discours pseudo humaniste, moralisateur, et leurs insultes habituels. Du compassionnel à deux balles.
Et bien sûr, du Saint-Brévin ensuite, avec l'incendie de la maison du maire, et le duo Elise Lucet-Morez qui pleurnichent que les autorités ne font rien contre les très méchants fascistes qui terrorisent les paisibles élus.
Et cela se termine par un reportage manipulateur au possible, comparant les migrants africains à des Panaméens risquant leur vie pour traverser la jungle avec femmes et enfants. L'apologie de l'immigration clandestine, avec le discours que sans les clandestins, appelés migrants tout au long du reportage, les économies ne peuvent survivre.
Bref, ceux qui s'opposent à l'arrivée des migrants sont des salauds dépourvus de toute humanité. Une propagande qui a duré au total plus d'une heure, à un moment de grande écoute.
On va s'occuper d'eux dès ce soir. Bernard fait un article que nous mettrons en ligne dans environ une heure, et je ferai ma vidéo demain sur le sujet.
Pour visionner ce monument de
propagande gouvernementale cliquez ici
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49-3 soutiens
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
À l’occasion de la calamiteuse réforme des retraites traitée dans l’excellente émission n° 25 de L’Écho des Canuts mise en ligne sur Radio Méridien Zéro le 11 février 2023, l’Hexagone retombe dans une série de secousses collectives, de transes politiciennes et de spasmes sociaux dont il a le secret. On assiste à une pitoyable tragicomédie au scénario bouffon dans lequel des lycéens, par ailleurs grévistes du vendredi pour le climat, brûlent volontiers palettes et poubelles sans se soucier du bilan carbone défavorable qu’ils provoquent.
Outre le report de 62 à 64 ans de l’âge du départ de la vie active, les protestations concernent l’usage de l’article 49 alinéa 3 de la Constitution. Cette crise adulescente qui s’apparente à une éruption urticante spontanée n’est pas nouvelle. La loi El Khomri sur le travail en 2016 avait déjà suscité un mécontentement semblable.
Les principaux contempteurs du 49-3 se trouvent dans les rangs de la gauche radicale. Ils rêvent du grand soir et ont la nostalgie du régime d’assemblée de la Convention nationale en 1793… Dans un pays où les six candidats de gauche (Jean-Luc Mélenchon, Yannick Jadot, Fabien Roussel, Anne Hidalgo, Philippe Poutou et Nathalie Arthaud) recueillent un total de 11 225 271 suffrages à l’élection présidentielle de l’an passé, il n’est pas illogique que deux à trois millions de Français affichent leur hostilité à cette loi. La forte contestation relevée dans la « France périphérique » montre aussi que cette stupide réforme cristallise une vive colère qui la transcende. Certains évoquent une continuité conflictuelle par-delà l’entracte covidesque – et peut-être à cause de lui – entre ces grandes mobilisations, les « Bonnets rouges » bretons de 2013 et les « Gilets jaunes » de 2018 – 2019.
Bien des critiques proclament que le 49-3 serait anti-démocratique. Opinion grotesque ! Cette disposition inscrite dès l’origine dans la Constitution appartient à ce que les constitutionnalistes qualifient de « parlementarisme rationalisé ». Ses autres outils sont le 44-3 (pour le vote bloqué) et le 47-1 (la procédure d’accélération des débats législatifs dans le cadre des projets de loi des finances). Avant la funeste révision de 2008, le gouvernement bénéficiait de l’article 48, lui assurant la seule maîtrise de l’ordre du jour au Parlement. Le 49-3 correspond à la procédure habituelle en régime parlementaire de la question de confiance. Le gouvernement pose sa responsabilité sur un texte précis pour obtenir de l’Assemblée nationale un vote qu’il juge indispensable pour la poursuite de sa politique. Dans l’esprit des rédacteurs de la Constitution de la Ve République, Michel Debré en particulier, le 49-3 est une façon inédite de renforcer la stabilité du gouvernement, de discipliner une majorité parfois réticente et d’arrêter les manœuvres dilatoires de l’opposition.
Suite à une délibération du Conseil des ministres, le Premier ministre engage son maintien à propos d’un texte législatif. L’opposition peut alors déposer une motion de censure. Si elle n’est pas déposée ou si elle n’obtient pas la majorité absolue des inscrits, le gouvernement estime mériter la confiance des élus; il reste en fonction et le texte est entériné. Si la motion de censure est adoptée, le texte est rejeté et le gouvernement renversé; le Premier ministre doit alors présenter sa démission et celle de son équipe ministérielle au président de la République qui peut alors dissoudre l’Assemblée nationale, mais cette option n’est pas obligatoire.
La philosophie du 49-3 est limpide. Elle applique l’adage « Qui n’est pas contre moi est pour moi ». En effet, en s’abstenant, le député approuve in fine le texte et donc l’action du gouvernement. Le 20 mars dernier, il a manqué neuf voix pour entraîner la chute du gouvernement Borne. Parmi ce déficit de neuf voix, signalons les députés LR et la députée non-inscrite de l’Hérault, Emmanuelle Ménard, chroniqueuse au mensuel Causeur, et représentant avec son mari, l’édile de Béziers, d’un macronisme d’extrême droite.
L’article 49-3 si décrié se coule dans le strict mécanisme parlementaire qui laisse à l’Assemblée nationale la liberté de censurer le gouvernement sans toutefois susciter des majorités négatives de circonstance ou des alliances contre-nature. Cette procédure institutionnelle se rapproche en partie de la motion de censure constructive prévue dans la Loi fondamentale allemande de 1949 qui contraint les éventuels censeurs à s’accorder autour d’une personnalité susceptible de remplacer le chancelier en fonction.
23:26 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Chute scandaleuse des effectifs dans le secteur automobile français !
Marc Rousset
Les effectifs en France de Stellantis sont passés respectivement de 126 000 employés en 2005 à 47 000 fin 2022 et ceux de Renault , pendant la même période ,sont passés de 70 000 à 38 160 ! Et ce n’est pas fini : la dégringolade va encore continuer de plus belle de 2022 à 2030 !
La tendance des effectifs dans l’hexagone est structurellement à la baisse tous azimuts dans le secteur automobile qui était, depuis 1920, le fleuron de l’industrie française ! Rien qu’en 2022, Renault a supprimé 3 450 postes ! Selon les derniers chiffres publiés en 2021 par le CCFA (Comité des constructeurs français), les effectifs de la filière auto tricolore liés à la production ont perdu globalement en 5 ans la bagatelle de 100 000 emplois, pour atteindre le chiffre en forte diminution de 431 000.
Luca de Meo, le directeur général de Renault, a déclaré, lors d’une conférence en mai 2022 sur l’avenir de l’automobile organisée par le « Financial Times », que la filière risquait de perdre 50 000 à 70 000 emplois supplémentaires, suite à la stupide et trop rapide transition énergétique, dans un secteur déjà en perdition. Le réchauffement climatique est provoqué par des phénomènes naturels incontrôlables (variation de l’activité solaire, lune, volcans, oscillations océaniques, déplacement astronomique de l’axe de rotation de la terre), très souvent réversibles, et n’est pas provoqué par le C02 humain, malgré les bobards de la bien-pensance, des fascistes verts, de Macron et du GIEC !
Quant à Claude Cham, président de la Fiev (Fédération des équipementiers), il redoute la suppression de 10 000 emplois supplémentaires en 2022-2023. Luc Chatel, le président de Plateforme automobile, estime de son côté, que la filière automobile pourrait perdre 32 000 emplois de plus entre 2022 et 2025.
Seul le cabinet Alix Partners est un petit peu moins pessimiste pour l’avenir puisqu’il prévoit une diminution des effectifs pour le secteur automobile de 40 000 personnes entre 2022 et 2030. Ce sont les entreprises dans les secteurs industriels traditionnels qui risquent de voir diminuer leurs effectifs et leur chiffre d’affaires, dans les dix ans qui viennent d’une façon drastique, parfois mortelle : – 60 % pour le décolletage, usinage et traitement des métaux, – 40 % pour les forges, – 20 % pur l’emboutissage, – 10% pour les tissus du textile.
L’actuelle production automobile française est en fait revenue 50 ans en arrière, au niveau de 1973 ! L’hexagone a fabriqué seulement 1,37 millions de véhicules en 2022, alors qu’elle s’élevait encore à 2,19 millions en 2019, 2,29 millions en 2010 et 3,66 millions à son maximum historique en 2004. Les Allemands sont plus patriotes, courageux, réalistes et intelligents ; ils défendent mieux leurs emplois et leur industrie nationale que les entreprises multinationales françaises et les hauts fonctionnaires français ; ces derniers commencent tout juste à se réveiller alors que la Maison brûle depuis longtemps! Ce n’est pas pour rien que les Allemands ont refusé la fin du moteur thermique en 2035 !
23:14 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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« Violences d’extrême-droite » une arnaque totale
Bernard Germain
Aurélien Tâché… vous connaissez ? Ce monsieur est député. Et c’est un homme de conviction. Sauf que ses convictions varient et tournent au gré des vents, comme les girouettes.
Ainsi, il a commencé sa « carrière » au PS, puis il est passé chez Macron à LREM, il a ensuite créé un micro parti qui n’a pas duré longtemps. À ce jour, il est à la NUPES chez les écologistes. On dirait qu’il a un peu de mal à savoir où il habite…
Ce monsieur est également connu pour certaines frasques dont il est visiblement un peu coutumier.
Ainsi, l'hebdomadaire Le Point, le 9 février 2022, rapporte que suite à une bagarre dans un bar à Niort, la police est appelée. Aurélien Tâché y aurait été victime de violence. Visiblement alcoolisé, il trouvera le moyen d’insulter les policiers, les traitant de « baqueux de merde ». Il échappe ce soir-là à la garde à vue sans doute du fait de son statut de parlementaire.
Il sera condamné par le tribunal de Niort à 5.000€ d’amende.
Le 6 décembre 2022, complètement saoul, Aurélien Tâché perturbe gravement la représentation d’un théâtre avant de s’en faire expulser.
Le directeur du théâtre tweetera : « Je suis le metteur en scène de « Lettres à Anne » qui se joue au théâtre Lepic actuellement.Ce soir, le député Aurélien Tâché, totalement saoule a profondément perturbé la représentation. Parlant fort, applaudissant de manière absurde, invectivant le comédien… jusqu’à ce que ce dernier s’interrompt et lui demande de sortir.Il a ensuite lamentablement menacé le régisseur de représailles. C’était absolument hallucinant et lamentable.
Pour qui vous prenez vous Aurélien Taché ?
Dans quel monde vivez vous ? ».
Donc un personnage de conviction au profil des plus sympathiques.
Récemment, le 3 avril 2023, ce monsieur vient encore de se faire remarquer, mais cette fois-ci dans la rubrique « initiative politique sulfureuse ». De quoi s’agit-il ?
Il a organisé à l’Assemblée nationale une réunion-débat dont le thème était : « la lutte contre le terrorisme d’extrême droite ».
Voyez-vous, c’est la mode par les temps qui courent. Tous les bien pensants s’en vont, répétant que les violences d’extrême-droite sont omniprésentes en France et que la France serait menacée de sombrer dans le fascisme.
La Une de Libération de ce jour 5 avril est d’ailleurs là pour le rappeler afin d’insister sur la chose et ce faisant tenter de convaincre les français que tout cela est bien réel.
« Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose » disait Beaumarchais.
Le plus extravagant dans cette réunion, hormis son thème, étant la présence d’un des invités d’Aurélien Tâché, le dénommé Raphaël Archenault dit « Raphaël Arnault ». Ce sinistre individu est le chef des antifas de Lyon dont le groupe s’appelle « La Jeune Garde », auteur d’une multitude de violences. Je rappelle que cet individu, sympathique comme une tarentule, a été candidat de la NUPES aux élections législatives de juin 2022 dans la seconde circonscription du Rhône.
Ceci permet de comprendre qu’il y a un lien entre antifas et extrême-gauche (NUPES) politique.
À la NUPES la partie « politique », donc noble, de l’action. Aux antifas la partie violence, donc la basse besogne. Mais c’est un seul et même combat. D’ailleurs la NUPES n’a jamais un mot de condamnation pour les actions violentes.
Toujours est-il que la présence de Raphaël Arnault dans cette réunion - débat était aussi grotesque que si, en son temps, une réunion – débat contre l’antisémitisme avait eu comme invité Adolf Hitler.
En effet ce triste sire, Raphaël Arnault, a à son palmarès, avec ses troupes, un nombre non négligeable d’exactions et violences en tous genres à l’encontre de quiconque ne partage pas les idées de ses nervis antifas.
On notera au passage que ces gens sont des militants extrêmement courageux. Ils chassent uniquement en meute. Généralement ils agressent leurs victimes à plus de 10 contre 1 comme récemment à Lyon où un étudiant a été rossé et humilié dans des conditions insupportables comme le montre une vidéo qu’on trouve aisément sur le net.
23:07 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Xavier Moreau, en direct de Mosou : "L'Occident n'est plus un modèle pour les Russes"
Xavier Moreau Historien et analyste politico-stratégique, directeur du site Stratpol. Auteur de “Livre noir de la gauche française” et " Ukraine, pourquoi la France s’est trompée "
Les grandes entreprises qui ont décidé de se retirer de la Russie ont vite été remplacées. L'ambition de #Poutine est d'utiliser les sanctions pour faire un saut qualitatif dans l'hyper industrialisation.
11:02 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 05 avril 2023
DIMANCHE 23 AVRIL, EN MAYENNE : ROLAND HÉLIE, DIRECTEUR DE SYNTHÈSE NATIONALE, INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS AVEC NOS CHÈRES PROVINCES
20:53 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Nos Chères Provinces, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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À L'INITIATIVE DE "RECONQUETE !", SE TENAIT AUJOURD'HUI À PARIS UN COLLOQUE SUR LA VIOLENCE DE GAUCHE ET D'EXTREME GAUCHE
Face aux violences inouïes qui prennent aujourd’hui la France en otage, Reconquête ! organisait ce mercredi 5 avril 2023 une convention sur le thème : « Mélenchon, black blocs, antifas : en finir avec les violences de l’extrême gauche ».
Cette convention était destinée à faire la lumière sur le chaos organisé par l’extrême gauche, soutenu par la NUPES et permis par Emmanuel Macron. De nombreux invités sont venus apporter leur analyse, leurs témoignages et leurs solutions, sur les sujets des antifas, des black blocs, sur leurs liaisons dangereuses avec la NUPES, l’histoire de ces mouvements, leurs modes d’action et leurs cibles privilégiées.
Sont notamment intervenus : Thibault de Montbrial, avocat et président Centre de Réflexion sur la Sécurité Intérieure (CRSI), Patrice Gueniffey, historien, auteur de La Politique de la Terreur (2000) et Olivier Vial, Président de L’Union Nationale Inter-universitaire (UNI). Des policiers et des victimes de cette violence viendront également témoigner, ainsi que deux anciens black blocs repentis.
20:08 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La face cachée d’Humza Yousaf, le nouveau Premier ministre musulman de l’Écosse.
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18:21 Publié dans En Europe et ailleurs..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Soutien du Parti de la France aux militants de Reconquête ! de l'Aisne
17:57 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Vous avez dit « terrorisme de l’extrême-gauche » ?
Michel Festivi
Notre fringuant ministre de l’intérieur, Monsieur Gérald Darmanin, vient récemment de défrayer la chronique dans un entretien au JDD en dénonçant le « terrorisme intellectuel d’’extrême-gauche », accusant aussi JL Mélenchon de vouloir faire la révolution. Sur Europe 1 il a même évoqué : « le rouleau compresseur d’une partie de l’extrême-gauche » qui fait preuve de « terreur intellectuelle », rajoutant : « l’extrême-gauche joue en rôle très dangereux aujourd’hui dans notre pays ».
Il attaque (enfin) la Nupes et son leader : « l’extrême-gauche essaie d’avoir par le désordre ce qu’elle n’a pas pu avoir dans les urnes… Monsieur Mélenchon est passé de pompier pyromane à pyromane tout court … Monsieur Mélenchon a un projet : c’est la Révolution. » (Cf le Figaro du 2 avril 2023).
Mr Darmanin a totalement raison dans son analyse, mais pourquoi alors, se tire-t-il en permanence une balle dans le pied, en réservant tous ses coups aux militants nationaux et aux mouvements qui refusent l’immigration sauvage et massive ? D’autre part, au sein même de l’exécutif, on ne semble pas apprécier ses propos, comme Clément Borne par exemple, le ministre des transports, qui a choisi lui de s’exprimer dans Libération, tout un symbole, et qui veut « continuer à travailler avec les forces politiques de gauche. » Fermez le ban !
Jean Sévillia, en réponse à Gérald Darmanin, apporte son expertise aux journalistes du Figaro le 4 avril sur cette notion du terrorisme intellectuel de l’extrême-gauche, lui qui a été l’auteur d’un livre remarqué en 2000 : « le terrorisme intellectuel. De 1945 à nos jours », chez Perrin.
Jean Sévillia fait remonter ce terrorisme intellectuel des gauches à l’après-guerre et explique que la gauche s’est alors « assimilée au camp du bien », « reléguant la droite au camp du mal ». Car dit-il, tout ce qui n’est pas de gauche est susceptible d’être fasciste, et De Gaulle lui-même a été accusé d’être fasciste.
Sa démonstration est juste, mais largement insuffisante et incomplète. Tout d’abord, il n’insiste pas assez sur le fait qu’une grande partie de la droite et du centre s’est ralliée à la gauche en faisant sienne sa doxa de « l’antifascisme ». En France par exemple le « pas d’ennemi à droite », n’a jamais pu s’imposer, le contraire toujours, sur ce même fondement. Or le socialisme nazi et fasciste sont morts en 1945, pas le communisme.
Mais qui plus est, ce terrorisme intellectuel des gauches, sous le couvert de « l’antifascisme », remonte à bien plus loin. On peut le dater très clairement du mois de novembre 1933, où les droites espagnoles, regroupées dans la CEDA, ayant très largement remportées les seules élections législatives non frauduleuses d’alors, ce sont vues refusées par le Président de la République Niceto Alcala Zamora qui était plutôt centriste, et les gauches vaincues emmenées par Manuel Azaña et Largo Caballero, la possibilité d’obtenir la direction du gouvernement et même le moindre ministre, et ce en contradiction totale avec la constitution de décembre 1931. Lorsqu’en désespoir de cause, en octobre 1934, José Maria Gil Roblès, le chef de la CEDA, réussit après moultes demandes pacifiques à décrocher trois sous-ministères, les gauches qui s’y étaient préparées, ont immédiatement enclenché la révolution armée dans tout le pays et singulièrement dans les Asturies pour liquider leurs opposants au nom justement de « l’antifascisme ». C’est ce que j’ai expliqué, documents à l’appui, dans mes trois livres publiés aux Editions Dualpha : Les trahisons des gauches espagnoles en 2021, l’Espagne ensanglantée en 2022, et Miguel Primo de Rivera, qui vient d’être publié.
D’ailleurs, dans les mois qui suivront, Staline décidera de changer radicalement de tactique, et ordonnera à tous les partis communistes, de pratiquer des politiques dites de « Front populaire », ce qui réussira en Espagne, puis en France. Il fallait « se cacher » derrière le vocable de « l’antifascisme » pour mieux tromper « les progressistes » ou les catholiques. En Espagne, trois as de la propagande communiste stalinienne, Willy Müzenberg, Otto Katz et Ilya Ehrenbourg réussiront, au-delà de toutes leurs espérances, à tromper les gogos des gauches dites modérées, pour faire croire aux démocraties occidentales que les communistes défendaient désormais la liberté et la république, et ce en plein procès de Moscou ! Cf, de l’auteur, L’Espagne ensanglantée pages 235 à 247. André Gide, grâce à un voyage dans la patrie des prolétaires, ouvrira les yeux et sera l’un des rares intellectuels de l’époque, avec George Orwell, à critiquer vertement l’URSS et les ignobles procès qui s’y déroulaient, contrairement par exemple à la Ligue des Droits de l’Homme qui restera muette, pour ne pas désespérer Billancourt.
En réalité, les Nupes et autres organisations d’extrêmes-gauches, ne font que reprendre les mêmes techniques de leurs prédécesseurs léninistes et staliniens. Toujours cette constance dans l’histoire, qu’il faut impérativement connaître pour comprendre le présent. Comme l’explicitera courageusement l’Historien gallois de gauche Burnett Bolloten dans son livre magistral, La guerre d’Espagne-Révolution et contre-révolution (1934-1939) publié par les éditions Agone en 2014 : « Lorsque j’ai commencé à écrire sur la guerre civile et la révolution en 1936, en tant que correspondant britannique de l’United Press, j’étais très influencé par la propagande du parti communiste, de même que beaucoup d’autres journalistes qui soutenaient la République, et qu’il me fallut plusieurs années pour m’affranchir des désinformations et des mensonges qui encombraient ma pensée. »
Pendant combien de temps encore, notre droite molle et nos centristes amorphes, se mettront enfin à ouvrir les yeux sur la réalité politique et historique que je viens de décrire pour changer leur logiciel et se débarrasser du politiquement et historiquement correct ? C’est toute la question.
17:50 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 04 avril 2023
Van der Leyen et l’UE veulent tuer la propriété privée au nom de l’écologie
Bernard Germain
Cela vous a sans doute échappé, mais l’Union Européenne vient de voter un texte qui pose la question de la disparition de la propriété privée.
Il s’agit d’une authentique révolution, motivée par un prétexte purement idéologique : la lutte pour le climat.
On notera juste au passage que cette théorie du réchauffement climatique est largement contestée. De multiples scientifiques remettent en cause cette théorie du GIEC, notamment parce que cet organisme a été pris la main dans le sac à plusieurs reprises à trafiquer les chiffres pour qu’ils disent ce que le GIEC prétend.
Sur ce thème, on peut lire par exemple le livre d’Alban d’Arguin « Réchauffement climatique. Enquête sur une manipulation mondiale. » (Pardes Editions).
On n’oubliera pas non plus d’avoir en mémoire que l’Europe ne représente que 9% des émissions mondiales de CO2. Quant à la France, c’est 0,9%.
Tandis que la Chine et les USA en produisent à eux deux près de 50 %.
Pourtant l’Europe agit comme si tout se jouait en Europe et impose une politique délirante à tout le continent.
Après cette brève introduction, revenons au texte voté le 14 mars 2023 au parlement européen.
Il s’agit d’une modification du texte « directive sur la performance énergétique des bâtiments ».
23:48 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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N’est pas Machiavel qui veut !
La chronique de Philippe Randa
Que Charles De Gaulle nomme à Matignon Georges Pompidou, personne n’y trouva à redire : fidèle du Général – le minimum gaullo-syndical – l’ancien directeur général de la banque Rotschild prouvera par la suite qu’il était capable de le remplacer à la tête de l’État, d’y tenir son rôle sans ridicule ni impopularité particulière avant que la maladie ne le fauche dans l’exercice de sa fonction.
Que Valérie Giscard d’Estaing, une fois élu, n’eût d’autres choix, à l’évidence, que de nommer Jacques Chirac à la tête du gouvernement, c’était à l’évidence le prix de sa trahison en bonne et due forme de Jacques Chaban-Delmas, candidat historique et naturel des Gaullistes, qui lui assura sa qualification au second tour de la Présidentielle. Matignon était en quelque sorte les « trente deniers » de récompense pour sa déloyauté qu’on découvrira par la suite congénitale.
Certes, deux ans plus tard, l’élu de Corrèze et pas encore de Paris, était remercié et remplacé par un Raymond Barre qui assura le « taf » (comme on ne parlait pas encore ainsi en cette époque-là), croyant (et pas que lui !) que son heure présidentielle arriverait ensuite avec un couronnement élyséen : ce ne fut pas le cas et c’est son « has-been » de prédécesseur – mais bête politique s’il en était – devenu Maire de Paris qui finalement arriva à ses fins, mais après avoir dû, à son tour, subir la trahison de son « ami de trente ans », Édouard Balladur, qu’il avait personnellement chargé d’assurer l’intérim à la tête d’un nouveau gouvernement de cohabitation avec François Mitterrand : Chirac ayant déjà joué dans le film, avait juré qu’on ne l’y reprendrait plus, mais cela aura bel et bien failli lui coûter sa présidentielle ambition.
Ces exemples de déloyauté plus ou moins payante ont probablement influencé plus que de raison les Président Sarkozy, Hollande et Macron dans le choix de leurs Premiers ministres respectifs : à une exception près (Manuel Valls qui ne tirera finalement aucun bénéfice de son passage à Matignon et sera même éliminé en 2011 à la primaire de la gauche), ils les auront choisis aussi insipides, incolores, inodores et sans saveurs que possible : François Fillon, Jean-Marc Ayrault, Bernard Cazeneuve, Edouard Philippe, Jean Castex et actuellement (mais pour combien de temps encore ?) Élisabeth Borne…
Certes, des sondages sont pour l’heure bienveillants envers Édouard Philippe, mais justement « pour l’heure » et « faute de mieux » (mais pour combien de temps, là encore ?).
L’obsession d’empêcher au sein de leur propre camp respectif la moindre rivalité potentielle qui compromettrait leur réélection aura ainsi obsédé les trois derniers présidents français au point qu’ils en aient oublié qu’ils se retrouvaient, de fait, en première ligne face à l’impopularité de leurs politiques, prenant nombre de coups écornant d’autant leur image présidentielle.
Ainsi, Nicolas Sarkozy sera battu en 2011 par le « capitaine de pédalo » (dixit Jean-Luc Mélenchon) François Hollande qui lui, n’osera même pas se représenter de peur d’un score par trop humiliant… et Emmanuel Macron – certes réélu en 2022 dans un ultime soubresaut d’un « front républicain » anti-Le Pen, mais dont l’avenir prouvera qu’il était déjà à l’agonie – perdra sa majorité parlementaire dans la foulée : une première sous la Ve République !
On prête souvent aux dirigeants politiques une intelligence quelque peu exagérée quand il ne s’agit bien souvent de leur part que de simples et dangereux calculs… bien mal calculés !
23:35 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Metz : un chanteur LGBT+ dans la basilique Saint-Pierre aux Nonnains
Le collectif Lorraine catholique alerte au sujet du concert du chanteur promoteur du lobby LGBT+ Bilal Hassani dans la basilique Saint-Pierre aux Nonnains, ce mercredi 5 avril en pleine Semaine sainte, et appelle à un chapelet de réparation sur les lieux. Ladite basilique, qui date en partie du IVe siècle et est désacralisée depuis 1556, et est devenue ces dernières années une salle de concerts et d’évènements culturels.
Mercredi 5 avril, en pleine Semaine sainte, la basilique Saint-Pierre-aux-Nonnains de Metz, la plus vieille église de France, sera hideusement profanée par un “spectacle” du chanteur transsexuel Bilal Hassani.
N’y avait-il pas d’autre endroit pour accueillir cette prestation ?
Les salles des spectacles sont-elles toutes occupées en ce mercredi saint ?
Non bien sûr, mais il s’agit comme d’habitude de fouler aux pieds la religion chrétienne et de souiller tout ce qui ne l’est encore par des obscénités comme ce “tube” de l'”artiste”(attention images choquantes) :ICI
Chrétiens fidèles, soyons nombreux à défendre l’honneur de Notre Seigneur Jésus-Christ en cette fin de Carême !
Il ne sera pas dit que nous aurons laissé Ses ennemis cracher sur Lui sans réagir.
Soyons très nombreux à venir prier le chapelet, à 19 h 45, ce mercredi 5 avril, devant notre basilique de Saint-Pierre-aux-Nonnains occupée.
Nous y implorerons le Ciel d’empêcher ce sacrilège, si telle est Sa volonté, et nous Lui demanderons pardon pour nos péchés et ceux des profanateurs.
Merci de faire circuler l’information.
En union de prières et de combat,
Lorraine catholique
DERNI7RE MINUTE (05 04 2023) :
la détermination des
catholiques lorrains a payé !
18:13 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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LUNDI 1er MAI, À SCRIGNAC (29) : 80e ANNIVERSAIRE DE L'ASSASSINAT DE L'ABBÉ PERROT
Voici l'article de Youenn Caouissen consacré à l'Abbé Perrot publié dans le n°55 de la revue Synthèse nationale (automne 2020, cliquez ici).
L’ABBÉ YANN-VARI PERROT :
POUR LA FOI ET LA BRETAGNE
Youenn Caouissin
N’en déplaise à certains, l’abbé Yann-Vari Perrot (1877-1943) fut la plus grande personnalité du « Mouvement breton » de la première moitié du XXe siècle, et de nos jours il le reste, étant donné la pénurie d’élites authentiquement bretonnes, dans tous les domaines…
L'abbé Perrot, fils d’une famille paysanne léonarde, très tôt orphelin, fut élevé par un oncle et une tante, avec leurs cinq enfants, dans l’amour de la foi et de la Bretagne, et bien évidemment, dans la langue bretonne. À l’âge de 12 ans, il entre à l’Institut des Frères des Écoles chrétiennes de Guingamp, où on lui fait comprendre qu’il ne doit plus parler breton, sinon c’est la punition. Il en est ainsi dans la plupart des écoles chrétiennes, et ce, malgré les recommandations des évêques de défendre et promouvoir la langue bretonne. Mais cette interdiction l’est plus encore dans les écoles de la République. Pour le petit léonard qui n’a jusque-là parlé que breton, c’est le choc. Très éveillé d’esprit, c’est de cette interdiction que va naître sa vocation de défendre sa langue maternelle dont il perçoit les immenses richesses. Après ses années de séminaire où sa personnalité « d’entraîneur d’hommes » est remarquée par ses supérieurs, il est ordonné en juillet 1903 en la cathédrale de Quimper. C’est aussi le temps des persécutions religieuses. Le gouvernement français aux mains des anticléricaux, des francs-maçons (dont les plus beaux spécimens sont Émile Combes ou Georges Clemenceau) rejoue la Révolution française en spoliant l’Église de ses biens, en chassant les congrégations religieuses de leurs couvents, de leurs monastères, en leur interdisant l’enseignement et toute action sociale. Parallèlement, le gouvernement mène une guerre acharnée contre la langue bretonne, aussi bien à l’école qu’à l’église. Il ne lui a pas échappé que combattre la foi et la langue en Bretagne participe d’un tout. Le jeune abbé Perrot, avec ses compatriotes qu’inquiètent ces persécutions, sont dès lors décidés à rendre « coup pour coup » à cette engeance jacobine, anti-bretonne, anti-chrétienne, qui entend détruire la Bretagne. Ce sont aussi les années qui voient, avec une nouvelle génération, naître le premier Parti nationaliste breton (PNB). Dès lors, le combat breton ne va plus se contenter d’être l’œuvre d’aimables cercles régionalistes de notables érudits, se consacrant exclusivement à l’Histoire, le culturel, l’archéologie. Désormais, il va investir le terrain politique est investi. L’abbé Perrot qui se défend de se mêler de politique, surtout en tant que prêtre, sait parfaitement que les combats pour la langue, la culture bretonne et la foi ne peuvent se soustraire à ce combat, car finalement tout est politique, car l’ennemi est politique et même idéologique.
Le Bleun-Brug, un Puy du Fou avant l’heure
En 1905, au château de Kerjean en Saint Vougay, dont il est recteur, l’abbé Perrot fonde la fête du Bleun-Brug (Fleur de Bruyère). Cet événement, pour lequel il reçoit les soutiens de l’Église, de tous les notables, dont la majorité appartient à la noblesse bretonne encore très influente, mêle, loin de tout folklore, le culturel et le spirituel. L’enjeu est d’importance, car par le festif intelligent, il s’agit de rendre aux Bretons leur fierté de… Bretons. Fierté de leur langue, de leurs traditions, de leurs costumes, de leur culture, de leur Histoire dont ils ignorent tout. Parmi les personnalités qui vont promouvoir et défendre l’œuvre naissante de l’abbé Perrot, le Comte Albert de Mun qui œuvre avec La Tour du Pin à l’application de lois sociales en conformité avec la Doctrine sociale de l’Église. Justement, le programme éminemment social catholique du Bleun-Brug le séduit au point d’en accepter la présidence d’honneur, et de le défendre jusque dans l’enceinte du Palais Bourbon. C’est ainsi que jusqu’en 1914, le Bleun-Brug va aller de succès en succès, et être un événement vraiment populaire.
Août 1914, c’est la guerre, la mobilisation générale. Un monde s’apprête à disparaître, mais personne ne le sait. Toute l’œuvre de reconquête de l’âme, de la culture bretonne qu’a suscité en 10 ans le Bleun-Brug est anéantie ; l’abbé Perrot est contraint de suspendre la publication de sa revue Feiz ha Breiz qui était « La Voix du Bleun-Brug et de la renaissance bretonne ».
L’abbé Perrot est mobilisé. La République, qui n’a de cesse de diffamer, de persécuter les prêtres, est bien aise de les mobiliser pour sa défense, et le clergé breton paiera un lourd tribut du sang dans cette boucherie européenne. Comme beaucoup de ses confrères, l’abbé Perrot remplira sans hésiter, en tant qu’infirmier-brancardier, ses devoirs et sera le compagnon d’infortune de ses compatriotes si nombreux à se faire tuer pour les « valeurs de la République ». Il va même se comporter en héros, n’hésitant pas, au risque de sa vie, à prendre la place d’un père de famille qui était envoyé en mission au cœur du front et avait toutes les chances d’y laisser sa peau. Pour ce sacrifice risqué, mais réussi, l’abbé Perrot sera cité à l’Ordre de la Nation et recevra la Croix de guerre du combattant et la Médaille militaire Interalliée de la Victoire. Plus tard, à ceux qui l’accuseront par son militantisme breton de nourrir et diffuser un « esprit antifrançais », il n’hésitera pas à mettre sous le nez de ses accusateurs ses états de service au front.
17:22 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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SAINT BRÉVIN-LES-PINS (44), SAMEDI 29 AVRIL : 4e MANIFESTATION CONTRE L'IMPLANTATION D'UN CADA (CENTRE POUR ÉMIGRÉS)
17:16 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Jean Lassalle : La France disparaît pour "les intérêts cachés d’une infime minorité"
Jean Lassalle : "Je persiste et signe, Macron n'a pas été vacciné"
L’ancien député n’est pas venu brasser de l’air, bien au contraire. Vous allez découvrir que sa voix grave porte des vérités que d’autres taisent. De la prétendue vaccination du président Macron à l’affaire du sang contaminé impliquant Fabius, les révélations chocs s’enchaînent par celui qui est issu d’une famille de bergers et qui voit ce peuple à qui l’on ment.
14:53 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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IGNACE, LE FAMEUX DESSINATEUR, SERA PRÉSENT LE DIMANCHE 23 AVRIL EN MAYENNE AU RENDEZ-VOUS AVEC NOS CHÈRES PROVINCES
11:45 Publié dans IGNACE, La vie de l'association Synthèse nationale, Nos Chères Provinces, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Face à l'immigration incontrôlée, l'Irlande aussi se réveille
Un communiqué du Parti de la France
Depuis plusieurs semaines, des Irlandais battent le pavé pour protester contre l’arrivée massive de migrants dans leur pays. Après les villages français de Callac, Bélâbre et Beyssenac, le vent de révolte contre la submersion migratoire gagne progressivement l’Irlande.
Dans un pays gouverné par une alternance de centristes, la question de l’immigration a souvent été reléguée aux débats secondaires. Mais la crise du logement associée à des rumeurs sur de supposés viols et agressions commis par des réfugiés semble changer la donne. Aujourd’hui, ce sont ainsi 56 % des Irlandais qui considèrent qu’il y a « trop de réfugiés » sur leur île.
11:25 Publié dans Communiqués de presse, En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Nicolas Dupont-Aignan : Macron, un dangereux déséquilibré à la tête de l’État ?
Le pays est à feu et à sang. Alors que la France était déjà affaiblie et que la population est étrillée par les crises économiques et énergétiques, Emmanuel Macron a fait le choix de passer en force avec la réforme des retraites. Une vexation de plus qui a mis le feu aux poudres. Après 10 manifestations nationales consécutives, les Français ont beau témoigner de leur opposition, mais aussi de leur désespoir, le président semble s’en désintéresser avec un certain mépris ou un mépris certain.
Des rassemblements virent à l’embrasement et les ordres donnés à la police paraissent de plus en plus souvent excessifs. De quoi jeter de l’huile sur le feu au point de faire penser que c’est le plan du pouvoir. Pousser aux violences pour réprimer toujours plus et s’imposer surtout ensuite comme le seul recours pour rétablir l’ordre.
Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France et député de l’Essonne, revient pour TVL sur cette période à hauts-risques où Emmanuel Macron va devoir faire le choix entre la rue, la destitution ou le compromis politique.
11:00 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Dresseur de tigre
Philippe Gélie
En 2018, lors de son premier voyage présidentiel en Chine, Emmanuel Macron avait, tout feu tout flamme, proposé de jouer les médiateurs entre Xi Jinping et... le dalaï-lama. Nul ne l’avait sollicité et l’on sait ce qu’il en est advenu : rien. Cinq ans plus tard, c’est un chef de l’État nettement plus émoussé qui se lance dans un exercice diplomatique de haute voltige : établir, avec le meilleur allié de Vladimir Poutine et pire ennemi de Joe Biden, des relations équilibrées permettant à l’Europe et à la France de tirer leur épingle du jeu. Un jeu international de plus en plus brutal, dans lequel le Vieux Continent cherche à exister entre le bras de fer sino-américain et l’alliance « sans limite » russo-chinoise, attisés par la guerre en Ukraine.
Il a fallu trente ans à nos dirigeants pour sortir doucement du rêve d’un alignement des puissances dans l’orbite libérale et capitaliste de l’astre américain. Les règles du commerce mondial allaient normaliser la Chine comme l’irruption du capitalisme allait démocratiser la Russie. Raté. Nous voilà avec deux mastodontes décidés à s’associer pour instaurer un nouvel ordre mondial débarrassé des diktats moraux et politiques des Occidentaux. Un ordre international « à bas coût », selon la formule du sinologue François Godement, dans lequel les gros dévorent les petits. Dans la posture du dresseur, il est douteux qu’Emmanuel Macron, même flanqué de la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, impressionne beaucoup le tigre.
Le Français court au-devant de désillusions avec son homologue chinois tout juste revenu de Moscou. Soucieux d’affichage dans la cour des grands, le président pourrait tirer gloriole d’un coup de fil de Xi à Zelensky, du refus réaffirmé de livrer des armes à Moscou ou d’un simple engagement en faveur de la paix en Ukraine. Pour le reste, ce sera un cocktail d’endiguement là où Pékin menace nos intérêts et de coopération là où elle reste possible. L’empereur rouge veut amadouer l’UE pour ne pas se priver de son marché au moment où il subit déjà des sanctions américaines. Mais il ne déviera pas de sa trajectoire, qui vise à asseoir la domination de son modèle autocratique à travers le monde. Les Européens espèrent tout au plus en freiner la course.
Source : Le Figaro 4/4/2023
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lundi, 03 avril 2023
DIMANCHE 23 AVRIL, EN MAYENNE : BERNARD GERMAIN, ÉCRIVAIN, INTERVIENDRA LORS DU GRAND RENDEZ-VOUS AVEC NOS CHÈRES PROVINCES...
11:03 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Nos Chères Provinces | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La parole est au Mouvement Chouan...
Le Mouvement Chouan, récemment créé dans l'Ouest de la France, a organisé il y a quelques jours une action devant le ministère de l'Economie. Action relatée par le Nouveau Présent cliquez ici
L'un des responsables de ce jeune mouvement explique le sens de son engagement.
10:47 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 02 avril 2023
"Sur les chemins noirs", un film à ne surtout pas manquer
Je suis allé voir ce dimanche après-midi Sur les chemins noirs, le film de Denis Imbert, inspiré du récit éponyme de Sylvain Tesson, (Gallimard, 2016). Un vrai moment de bonheur...
Leçon à la fois de courage, de volonté et d'humilité, ce film, à travers le défi que s'est imposé le personnage central, Pierre (admirablement interprété par Jean Dujardin), nous fait découvrir, ou redécouvrir, la France profonde que nous aimons tant et que nos contemporains ont parfois, hélas, tendance à oublier, si ce n'est à mépriser.
Bien sûr, ce film n'a aucune ambition idéologique. Cependant, il souligne le contraste entre la vie parisienne, artificielle, et l'enracinement, plein de bon sens. Il remet aussi en cause la soif de "progrès"... si chère aux progressistes. Voilà deux bonnes raisons pour les esprits non-conformistes que nous sommes de l'apprécier. Ce d'autant plus que les donneurs de leçons patentés de la pensée dominante ne sont pas avares de critiques mesquines à son encontre. Ajoutons à cela une impressionnante succession de paysages, aussi grandioses que merveilleux, qui va du Mercantour jusqu'à la pointe du Cotentin, et nous sommes comblés.
Depuis quelques années, je dois le dire, j'étais plutôt fâché avec le cinéma français, à la fois prétentieux et totalement soumis aux poncifs du politiquement correct. Mais, force est de reconnaître que, avec Vaincre ou mourir en janvier et Sur les chemins noirs aujourd'hui, les bonnes surprises sont toujours possibles. Allez donc voir ce film, vous ne le regretterez pas.
Roland Hélie
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Chartres 2023 : les inscriptions sont ouvertes
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22:21 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Macron et Mélenchon complices de la libanisation de la France
Bernard Germain
En 1943, sous l’occupation française, eut lieu un partage de la Syrie. Une grande partie resta la Syrie actuelle à majorité musulmane, l’autre partie devint le Liban à majorité chrétienne. Au fil des ans, le nombre de musulmans augmenta au Liban et les affrontements commencèrent à se développer. Dans les années 1970, le Liban bascula en devenant un pays à majorité musulmane.
À partir de ce moment, c’est une véritable guerre civile qui s’installa entre milices chrétiennes d’une part, et musulmanes et palestino-musulmanes d’autre part. S’en suivit une explosion de violences, un terrible appauvrissement et une tiers-mondisation du pays.
Aujourd’hui le Liban « n’existe plus ». Ravagé par les conflits inter ethniques, une inflation délirante, et une quasi absence de production. Ce pays qu’on appelait la « Suisse du Moyen-Orient », est devenu une sorte de chaos intégral dont la diaspora chrétienne a fui ce pays de venu cauchemardesque.
Cette triste évolution du Liban, amenant à sa destruction, devrait nous servir de leçon et nous devrions faire très attention à ne pas recréer dans notre pays les conditions ayant provoqué ce désastre.
Malheureusement, c’est exactement le contraire qui se déroule sous nos yeux.
Et nous sommes en passe d’aboutir à une « libanisation » de la France. C’est d’ailleurs ce que dénonce Eric Zemmour qui appelle tous les patriotes à se mobiliser pour empêcher cette évolution qui serait mortelle pour notre pays.
Dans le camps d’en face, un tandem infernal œuvre au contraire à la création de toutes les conditions qui aboutiront à cette destruction de notre pays. Ce tandem est constitué de deux personnes, en apparence opposées mais en fait entièrement complices : Macron et Mélenchon avec sa NUPES.
Le premier élément qui amena à terme à la destruction du Liban fut la transformation de sa population. La France est aujourd’hui menacée du même péril.
La France est un pays chrétien, de culture gréco-romaine.
Or, Macron, Mélenchon et l’Europe n’ont de cesse de favoriser une immigration qui à ce jour est totalement incontrôlée. Il se trouve que cette immigration, pour l’essentiel vient de pays africains qu’ils soient d’Afrique du Nord ou Sub-saharienne. Un nombre considérable de ces migrants sont musulmans et ont une culture fort différente de la nôtre.
Lorsque le nombre de migrants est faible, l’assimilation les transforment en français. Avec les millions de migrants de notre société actuelle cette assimilation n’est plus possible et comme cela s’est développé au fur et à mesure des années au Liban, on constate un développement séparé et des oppositions et conflits qui ne cessent de croître. Lorsqu’ils atteignent un certain niveau la coexistence des deux sociétés ne sera plus possible. La société musulmane s’imposera. Les «français» n’auront plus qu’un choix se soumettre ou partir. Sinon, ce sera la guerre civile. Comme ce fut le cas au Liban.
Macron est un mondialiste et un européiste. Sa volonté est de voir disparaître la France, son identité et sa culture. N’a-t-il pas dit « il n’y a pas de culture française » ? En fait ce qu’il veut, comme tous les mondialistes c’est que nous soyons de simples consommateurs pour lesquels leur situation géographique ne doit plus avoir de signification.
Mélenchon, à sa manière dit la même même chose et a le même objectif. Il affirme volontiers que nous sommes «citoyens du monde», donc sans pays, sans nation, et souhaite la « créolisation » de notre peuple. C’est à dire sa dissolution dans une espèce de «population mondiale».
C’est par là qu’a commencé la destruction du Liban. Nous en prenons dangereusement le chemin.
Ce qui explique l’importance primordiale du combat pour que la France reste la France et que chaque individu qui souhaite y venir affiche clairement sa volonté de faire partie du peuple français avec sa culture, ses us et coutumes et son identité.
Sinon, c’est qu’il s’agit d’une invasion et cela ne peut que finir très mal.
Le second élément qui fut constaté au Liban et que nous retrouvons en France est le développement de la violence dans toute la société. Ainsi, la violence d’extrême-gauche est omniprésente en France. Les médias bien pensants la cachent soigneusement mais quiconque veut bien voir la simple réalité ne peut que faire le constat de son existence. Par exemple, on ne compte plus les agressions contre les militants de « droite » et les patriotes, à l’occasion de réunions ou de conférences que les bien pensants veulent interdire. Les agresseurs justifiant leurs actions par le slogan «Pas de démocratie pour les ennemis de la démocratie». Ou encore les violences constatées dans les manifestations comme celles contre la réforme des retraites avec moult dégâts et agressions physiques.
Rien de cela n’est dénoncé dans les médias bien pensants, c’est même l’inverse.
Ils ne cessent de parler des «violences d’extrême-droite», alors qu’il n’y en a aucune, et du danger imminent de l’instauration du fascisme dans notre pays, délire qui est aussi un fantasme.
Enfin, on a pu les constater lors de manifestations interdites (Sainte-Solines) où des dizaines de gendarmes ont été blessés par des gauchistes à coups de cocktails Molotov, boules de pétanque, mortiers d’artifice… etc. Et les mêmes de se déclarer victimes de «violences policières».
Mélenchon approuve tout cela, lui qui a comme nouvel ami Andreas Malm, qui se déclare « Lénino-écologiste » prônant les actions violentes dans la lutte pour le climat.
Mais Macron ne s’inquiète pas du tout de cette situation, elle lui permet de faire peur aux gens les plus crédules qui lui demandent de «reprendre les choses en main» afin d’assurer l’ordre.
C’est bien pratique quand on a une bonne partie de la population opposée à sa politique.
La plupart de ces actions violentes sont le fait d’antifas qui ne sont en réalité que des milices au service de Macron. Largement soutenues par Mélenchon et tous les médias bien pensants qui font l’opinion. Ajoutons que tout est fait par Mélenchon et la NUPES pour créer une ambiance inquiétante à travers tout le pays. C’est à cela que sert la « bordelisation » de la vie parlementaire. Avec violences verbales et non-respect des règles les plus élémentaires du fonctionnement parlementaire.
La NUPES, aux yeux de ses soutiens, peut ainsi se prévaloir à bon compte d’être intraitable face aux ennemis politiques.
Quant à Macron il doit jubiler puisque cela lui offre la possibilité d’appeler tous les autres parlementaires à serrer les rangs contre ces furieux de la NUPES. Et gare aux députés qui ne sont pas solidaires face à l’ennemi.
Un petit jeu de duettistes dont seuls les naïfs peuvent être dupes de cette mauvaise blague.
Enfin, il est important de souligner le troisième élément qui a signé le désastre libanais : la destruction de l’appareil de production. Depuis qu’il était ministre de Hollande jusqu’à nos jours, soit une bonne dizaine d’années, Macron n’a eu de cesse de détruire notre appareil productif. Pour dire les choses simplement, il convenait de faire de la France un pays de services (Tourisme…) et dans le cadre de la mondialisation de l’économie, accepter d’être dépendant des autres pays dans de nombreux domaines.
On a vu le résultat de cette brillante politique à l’occasion de la crise du Covid. Un authentique naufrage pour le pays.
Ajoutons la soumission aux oukases de l’Allemagne et de l’Europe, comme par exemple sur le nucléaire ce qui se traduit par une crise terrible pour notre parc nucléaire qui se double d’une crise énergétique que les français payent chaque mois avec des factures d’électricité ahurissantes. Tout comme ils subissent la flambée des prix des carburants.
Enfin, Macron d’un côté jette l’argent par les fenêtres, pour l’écologie en Afrique du Sud, vis à vis des pays du Maghreb ou encore pour l’Ukraine.
De même qu’il impose au pays un coût pharaonique pour l’immigration. Des sommes colossales en dizaines et centaines de milliards d’€. En revanche, il engage une réforme des retraites pour un déficit à venir de 15 milliards d’€. Provoquant à cette occasion une crise majeure.
Macron est donc, avec sa politique économique, en train de détruire l’économie de notre pays et un appauvrissement considérable de la population.
Au final, nous voyons que tous les éléments, qui ont conduit le Liban à sa destruction, sont aujourd’hui réunis pour que notre pays suive le même chemin.
En affirmant cela, il ne s’agit pas d’effrayer inutilement les gens, mais de faire prendre conscience de la réalité de notre situation et de l’avenir de notre pays.
L’histoire du Liban nous annonce ce que sera notre destin si nous ne prenons pas conscience de la réalité. Il est grand temps de réagir, de nous mobiliser et de nous battre pour sauver notre société et notre pays. Dans seulement quelques années, il sera trop tard...
16:34 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Interventions lors du Ve congrès du Parti de la France, samedi 25 mars à Paris (première série) :
14:37 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Vendée : Alban d'Arguin et Eric Mauvoisin-Delavaud nous parlent des ravages de l'Eolien
12:58 Publié dans Combat anti-éoliennes | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 01 avril 2023
L'Histoire d'un village breton qui refuse la grand remplacement...
23:30 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Une biographie de Miguel Primo de Rivera, père de José Antonio, signée Michel Festivi
Un dictateur éclairé pour régénérer l’Espagne : 1923-1930
Le Régime politique de Miguel Primo de Rivera a duré du 15 septembre 1923 au 28 janvier 1930 ; il est singulièrement méconnu en France. Beaucoup d’historiens qui publient sur l’Histoire de l’Espagne ou sur la Guerre Civile espagnole, ne lui ont consacré que de trop brèves pages, parfois caricaturales. Et pourtant, ce fut une expérience politique des plus originales qui permit à l’Espagne de redresser la barre après des années de fiascos politiques, économiques, extérieurs et des désordres grandissants.
Non seulement Miguel Primo de Rivera rétablit l’ordre public, mais il réussit enfin la pacification du protectorat espagnol au Maroc, alors qu’il n’était pas partisan de conserver cette possession. Il impulsa d’importants travaux publics, de nombreuses réformes économiques, et tenta un changement institutionnel qui ne put néanmoins parvenir à son terme. Trop souvent négligé, voire brocardé, ce Régime ne fut ni un pronunciamiento de plus, ni un fascisme, ce que le livre démontre. Miguel Primo de Rivera accordera également la nationalité espagnole aux juifs sépharades, l’auteur revient sur cette séquence historique qui permettra durant la Seconde Guerre mondiale, le sauvetage de plusieurs milliers de juifs.
En matière sociale, et grâce à des hommes compétents, le Régime mit en place un corporatisme particulier qui se comprenait dans le cadre d’un catholicisme social, pour entreprendre la synthèse entre le capitalisme et le socialisme, et tenter d’éradiquer la pauvreté. D’ailleurs, le PSOE et son syndicat l’UGT collaborèrent à ces institutions corporatistes qui multiplièrent les avancées sociales en faveur des classes laborieuses.
Ce livre fait partie de la trilogie de l’auteur sur l’histoire contemporaine de l’Espagne, après les trahisons des gauches espagnoles soit l’histoire de la Seconde République, et les violences anarchistes et des milices révolutionnaires dans l’Espagne ensanglantée. Il n’hésite pas, à pourfendre les vérités imposées par la doxa des gauches et l’université française sur l’Espagne de ces années-là et revient aussi sur la révolution armée des Asturies, la pitoyable gouvernance de Manuel Azaña, la mainmise de Staline sur l’Espagne du Front populaire et les nombreuses contre-vérités que l’on peut malheureusement lire ou entendre à foison.
Miguel Primo de Rivera, un dictateur éclairé pour régénérer l'Espagne 1923 1930, Michel Festivi, préface d'Arnaud Imatz, Dualpha, 344 pages, 35,00 € cliquez ici
12:17 Publié dans Livres, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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