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jeudi, 15 décembre 2022

Vendredi 16 décembre, à Tréguier (22), présentation du livre "Callac, la mère des batailles" organisée par le Cercle Trégor & Goëlo

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17:55 Publié dans Callac 22, Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 14 décembre 2022

France-Maroc, combien d’interpellations ?

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François Bousquet*

Ce soir, on ne va pas seulement commenter le résultat du match, mais le nombre de voitures brûlées et de vitrines fracassées

Vivement mercredi soir, France-Maroc. Je suis im-pa-tient d’être devant ma télé. Ça va être la grande fête du football et du vivre ensemble, Noël avant Noël. Nul doute que l’amitié franco-marocaine en sortira revivifiée, le dialogue interreligieux grandi et la concorde entre les peuples consolidée. Rien que du bonheur en perspective. Journée portes ouvertes dans les commissariats et ville ouverte pour la population. La foule en liesse descendra dans la rue, les supporters marocains en tête. Tout à leur joie, ils ne vont pas allumer des bougies ni brûler des cierges, mais des poubelles et des voitures. Pas illuminer les vitrines, mais les casser. Pas chanter « la Marseillaise », mais la siffler. Pas lancer des pétards, mais des mortiers. Pas faire rôtir des dindes, mais des poulets. La magie des fêtes, quoi ! Homo festivus dans sa version islamicus. Beaucoup moins drôle que le personnage de Philippe Muray.

Je ne me hasarderai pas à livrer un pronostic. L’équipe du Maroc est un bloc ultra-défensif aux contre-attaques létales avec des arrières supersoniques. Pour une fois, les Lions de l’Atlas n’ont pas volé leur surnom ! Mais c’est en dehors du terrain qu’il prend tout son sens : descendus de leur montagne, les lions deviennent belliqueux. Indifféremment franco-marocains, belgo-marocains, hollando-marocains, ils ont pourtant grandi ici. Que leur équipe perde ou gagne ne change rien. C’est le drame de certains binationaux : une partie d’eux fait le bien (au pays d’origine) et l’autre le mal (au pays d’accueil). Quelques mauvais esprits aimeraient bien qu’ils se cassent, mais eux ne veulent que casser. Casser ou se casser, tel serait alors le dilemme de la binationalité ! Malheureusement pour nous, il n’est pas que pronominal. La préfecture de police de Paris a prévu de mobiliser, ce soir, plusieurs milliers de policiers et gendarmes, n’en déplaise à Gérald Darmanin, qui nous explique qu’il n’y a eu, pour ainsi dire, aucun incident, samedi dernier, sur les Champs-Élysées, ce qui n’a pas empêché la police de procéder à une centaine d’interpellations (170 en France), une « majorité de Français », selon Darmanin. Au Stade de France, c’étaient des Anglais. Sur les Champs-Élysées, des Français. Pardi !

Le foot est grand et Mahomet est son prophète

« Désormais, les frontières de l’État passent à l’intérieur des villes », disait le maire de Philadelphie, il y a un demi-siècle, après plusieurs nuits d’émeute raciale dans sa ville. La France a découvert cette nouvelle géographie de la violence en 1979, à Vaulx-en-Velin. Depuis, les émeutes sont devenues endémiques. Le moindre match de football suffit à en déclencher une. Tapez « mortier », euphémisme journalistique pour « émeute », sur votre moteur de recherche. Si vous ne tombez pas sur une promo de Brico Dépôt, c’est une attaque contre un commissariat. La PQR est remplie de ces petites annonces. Comme après le match Espagne-Maroc. 13 policiers blessés à Lille. Un drapeau marocain accroché sur la façade d’une mairie, partout des heurts, parfois des coups de feu comme à Nice. Les mêmes scènes en Espagne, Pays-Bas, Italie, Belgique, avec, clou du spectacle, Bruxelles, capitale de toutes nos démissions, littéralement mise à sac au soir du match Belgique-Maroc. L’intifada à domicile, en somme. Ce sont les joueurs marocains eux-mêmes qui ont montré la voie, celle d’un djihad du ballon rond. Quand ils n’appellent pas à se convertir à l’islam, ils s’affichent sur Instagram avec l’épée à deux pointes de Mahomet. Dans ces conditions, le vivre ensemble ressemble à une déclaration de guerre. Et les supporters sont au diapason des joueurs. L’un d’eux a répondu à un journaliste de BFM TV qui n’en menait pas large sur les Champs-Élysées : « Ici, y a qu’des africains et des musulmans, on est tous ensemble. Nous, on a un truc, c’est Allah, c’est Allah, il a tout fait ! » Au journaliste qui lui demandait quelle équipe il aimerait affronter en demi-finale, le moudjahidin ceint du drapeau marocain a dégoupillé : « La France. Combattre la France ! » Dont acte.

(*) François Bousquet est le rédacteur en chef de la revue Eléments

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mardi, 13 décembre 2022

François Asselineau : L‘ échec du « nouvel ordre mondial »

Pour ce nouveau numéro du Samedi Politique, et après un record d’audience pour son passage le 10 septembre dernier (émission disponible ICI), François Asselineau dresse un constat accablant des temps actuels.

Du côté de la politique nationale, le président de l’UPR revient sur le futur texte de loi Immigration et cloue au pilori les prétendues positions de fermeté du gouvernement. (à suivre sur UPR-TV) Il étrille également ce paradoxe du pouvoir politique qui se targue de vouloir enrayer l’immigration clandestine en donnant libre cours aux financements divers et variés aux associations immigrationnistes telles que SOS Méditerranée, propriétaire du Ocean Viking.

L’actualité française est en outre marquée par la crise énergétique engendrée par le sabotage au long cours de l’industrie du nucléaire et aggravée par les sanctions contre la Russie décidées par Ursula von der Leyen. Un domaine dans lequel l’UE et la France en particulier ont agi contre leurs intérêts, mais pour le plus grand bien des États-Unis qui vendent désormais à vil prix pétrole et gaz obtenus par la polluante fracturation hydraulique.

Le voyage officiel d’Emmanuel Macron a d’ailleurs démontré une nouvelle fois la relation de vassal à l’égard d’un Oncle Sam qui mène encore son ordre mondial, comme le théâtre ukrainien et l’omniprésence de l’OTAN en témoignent.

François Asselineau évoquera également les imbrications du scandale de FTX et Sam Bankman Fried, tranquillement installé aux Bahamas avec le parti démocrate américain et le gouvernement ukrainien de Volodymyr Zelensky.

Un numéro du Samedi Politique foisonnant !  

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Une première

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C'est dans le Times. Pour la première fois, un officier supérieur britannique reconnaît que l'armée britannique participe aux combats, en tant que telle, en Ukraine. Il s'agit du lieutenant-colonel Robert Magowan, chef d'état-major adjoint de la Défense : "Des Royal Marines ont été déployés dans des opérations secrètes à haut risque". Robert Magowan était encore en avril dernier le commandant général des Royal Marines…

L'OTAN fait donc la guerre en Ukraine, et pas seulement en envoyant des armes. On le savait déjà (il y a notamment des milliers de soldats polonais), mais aucune autorité ne l'avait encore reconnu.

Source : Yves Daoudal

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Ils sont cui cui

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Jean-Baptiste Noé : Le déclin de ce monde

Issu des recherches et des colloques de la Revue Conflits, voici un ouvrage qui souhaite présenter les affrontements et les guerres d’aujourd'hui, dans la diversité de leur nature et de leurs déroulements.

À l’heure de la guerre en Ukraine, la plupart des ouvrages se focalisent soit sur les conflits interétatiques, soit sur les conflits asymétriques, or, il existe beaucoup d'autres conflits : guerre économique (rivalités pour l’approvisionnement en minerais rares, cobalt, nickel, lithium), terrorisme, guerre du droit, guerre du soft power (entre pôles de l’islam sunnite et chiite), disputes autour des grandes routes maritimes de la mondialisation, guerre de l’espace et des armes de rupture (missiles hypersoniques), câblages sous-marins, etc.
C'est la marque de la revue Conflits de les étudier et de les analyser.
Il s’agit ici de comprendre les rivalités actuelles, mais aussi de tenter une prospective sur les cinq années à venir : quels sont les conflits qui vont s’aggraver et quels sont ceux qui risquent de se déclencher ?
Le livre est composé de 40 cartes et graphiques.

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17:00 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Comment l’Allemagne et les écologistes ont poignardé la filière nucléaire française

Pénurie énergétique : Qui sont les responsables ?

CNews : Face à Rioufol : Fabien Bouglé

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13:56 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 11 décembre 2022

Dans son Journal de Bord de cette semaine, Jean-Marie Le Pen évoque le Cahier d'Histoire du nationalisme consacré aux 50 ans du Front national

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Poutine a déjà gagné son pari

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Il y a belle lurette que l’on prend avec des pincettes ce que narrent les médias du mainstream concernant l’Ukraine totalement phagocytés, pour ne pas dire obsédés, par une ligne d’attaque définie depuis Washington. Et que l’on peut résumer ainsi : l’Occident c’est le Bien et la Russie, le mal absolu.  L’Europe s’est laissée entraîner dans cette galère. On n’a cessé de le dénoncer. Ô stupeur, le directeur de la publication de VSD, Georges Ghosn met les pieds dans le plat et dénonce cette supercherie et démontre que Poutine a, bien au contraire, déjà gagné. Sans aller jusque-là, nous dirons qu’il n’a pas perdu tant l’issue de ce conflit demeure pour le moins flou.

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Source : VSD, décembre 2022

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Zelensky, « homme de l’année » pour le Time : qui est-il vraiment ?

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Nicolas Gauthier Boulevard Voltaire cliquez ici

C’est devenu un rituel depuis 1927, quand l’aviateur Charles Lindbergh est tenu pour « homme de l’année » par le prestigieux hebdomadaire américain. Une distinction dont seront ensuite gratifiées des personnalités aussi diverses que (liste non exhaustive) : Pierre Laval (1931), Adolf Hitler (1938), Joseph Staline (1939), Winston Churchill (1949), Charles de Gaulle (1958), l’ayatollah Rouollah Khomeini (1979), le pape Jean-Paul II (1994), Vladimir Poutine (2007) ou Elon Musk (2021).

À l’occasion du millésime 2022, le moins qu’on puisse prétendre est qu’Edward Felsenthal, rédacteur en chef du Time, ne lésine pas dans le lyrisme, justifiant ainsi ce choix éditorial : « Pour avoir prouvé que le courage peut être aussi contagieux que la peur, pour avoir incité les gens et les nations à s’unir pour défendre la liberté, pour avoir rappelé au monde la fragilité de la démocratie et de la paix, Volodymyr Zelensky et l’esprit de l’Ukraine sont la personnalité de l’année 2022. » Tout dans la nuance, en quelque sorte.

Il est vrai qu’en plein conflit fratricide entre Russie et Ukraine, l’heure serait plutôt au manichéisme ; même si, de fait, ce premier pays demeure l’agresseur alors que le second est l’agressé. De là à légitimer la furie guerrière d’une Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, ou le patriotisme à la Paul Déroulède d’une Sandrine Rousseau, défilant dans les rues parisiennes, enveloppée d’un drapeau ukrainien alors que le nôtre ne lui inspire finalement que répulsion, un minimum de sang-froid ne serait sûrement pas de trop.

Car au-delà de la rhétorique de l’agresseur et de l’agressé, il faut bien admettre que chacun a ses raisons, bonnes ou mauvaises, mais toutes plus ou moins légitimes.

Moscou ne voulait pas d’une Ukraine de plus en plus inféodée à l’Europe et à l’OTAN ; c’est-à-dire aux USA. Kiev, au moins dans sa partie occidentale, s’est toujours méfiée de la tutelle du Kremlin ; la grande famine orchestrée par Joseph Staline entre 1932 et 1933 a évidemment laissé des souvenirs.

Mais que la rédaction du Time fasse sienne une vision eschatologique qui opposerait « la démocratie et la paix » à la barbarie cosaque, voilà qui paraît à la fois bien léger et passablement irresponsable, même si cette sémantique est aujourd’hui reprise par la grande majorité du monde politico-médiatique. Avec quelques exceptions, toutefois. Ségolène Royal et Marine Le Pen, par exemple, qui appellent à négocier au plus vite et, dans une très très moindre mesure, Emmanuel Macron ; reconnaissons-lui au moins ça.

Pour le reste, une question se pose : qui est vraiment Volodymyr Zelensky ? Un chevalier blanc ayant défié une corruption endémique ? Un héraut devenu héros ? Comme toujours, la vérité se trouve à mi-chemin. Résumons.

Volodymyr Zelensky, c’est une sorte de Cyril Hanouna qui aurait réussi. Il se fait connaître à la télévision, non pour une émission de débats, mais par une série, Serviteur du peuple, dans laquelle il incarne le rôle d’un professeur intègre, Vasyl Holoborodko, parvenant à se faire élire président de la République contre des élites corrompues. La troisième saison est diffusée en 2019, juste avant l’élection présidentielle le voyant parvenir aux plus hautes fonctions de l’État ukrainien, battant largement le président sortant, Petro Porochenko, affairiste pro-européen.

Mais derrière le conte de fées, il y a la réalité. Serviteur du peuple est diffusée par la chaîne 1+1, propriété d’un des plus grands oligarques du pays : le multimilliardaire Ihor Kolomoïsky, personnage plus que trouble. Tout comme paraît tout aussi trouble le train de vie de Volodymyr, épinglé dans le scandale des Pandora Papers l’ayant obligé à s’expliquer sur l’acquisition de trois propriétés en plein cœur de Londres et d’une multitude de sociétés offshore. D’où l’interrogation, en 2020, d’Atlantic Council, centre d’analyse américain : « Volodymyr Zelensky, serviteur du peuple ou serviteur des oligarques ? »

Dans sa politique étrangère, notons que l’homme sait demeurer prudent. À la fois pour et contre le puissant voisin russe, entendant se rapprocher de l’Europe et de l’OTAN, mais pas trop. Bref, un ludion. Mais qui se révèlera lors des premiers jours du conflit. Alors que les USA lui proposent de l’exfiltrer en lieu sûr, il aura ces mots : « Le combat est ici, à Kiev. J’ai besoin de munitions, pas d’un chauffeur. » Quoi qu’on puisse penser de ce jeune président, que l’anecdote ait été mise en scène ou pas, voilà qui ne manquait pas d’une certaine classe.

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Surpopulation mondiale : ces lanceurs d’alerte qu’il faudra bien finir par entendre…

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La chronique de Philippe Randa

Elle avait forcément le visage de l’innocence. Sa naissance était pourtant effrayante. Symboliquement, bien sûr, car la petite fille de 2,5 kilos Danica May Camacho, née un dimanche d’octobre 2011 deux minutes avant minuit au Jose Fabella Memorial Hospital, un hôpital public de la capitale philippine, a fait à juste titre la joie de ses parents. N’a-t-on pas coutume d’assurer qu’une naissance est le plus beau des événements ?

Celle de Danica fut malheureusement la plus dramatique des annonces car elle a été désignée alors 7 milliardième habitante sur Terre : ses contemporains ont alors probablement accueilli cette nouvelle, annoncée par tous les médias, avec une parfaite indifférence… ou avec un sourire béat ! dans un cas comme dans l’autre, leur inconscience est effrayante !

D’autant que les Nations-Unies ont félicité les parents de la petite Danica, lui ont offert un « petit gâteau pour l’occasion », donné une bourse pour ses études et à ses parents un pécule pour ouvrir un magasin. On est heureux pour eux et leur existence future…

Pour celle de l’Humanité, en revanche, on ne peut guère féliciter les Nations-Unis de fêter ainsi une telle tragédie.

La surpopulation mondiale n’est pas un problème parmi d’autres – un « défi » comme disent la plupart des observateurs avec une lâche pudeur –, mais le drame mondial par excellence. Tous les autres « défis » – pandémies, guerres, pollutions,… – n’étant que les avatars de cette surpopulation apocalyptique.

Le simple bon sens permet de comprendre que sans les « excès de population », les maux – spécifiques ou communs, les uns étant souvent la conséquence des autres – qui frappent tous les pays du monde, qu’ils soient riches ou pauvres, n’existeraient pas, seraient de nature moins dramatiques ou bien même si certains existeraient tout de même sans cela, l’ampleur de leurs conséquences seraient sans commune mesure.

« Une mise en accusation de l’insouciance humaine commence à poindre. Ainsi en est-il de la conscience du double danger sur le plan mondial et sur celui des progénitures de la fécondité humaine inconsidérée, malgré le chant des sirènes économiques ou politiques acharnées à maintenir des expédients. S’y ajoutent des fruits de notre inconséquence : souci négligé de l’état de notre sol jusqu’à des effondrements du fond marin dits tsunamis, maîtrise hypothétique des effets de l’arme atomique contre un État prêt au terrorisme et inconsé­quence actuelle en présence des pandémies » : ces lignes sont de Francis Verdavoine-Bourget et extraites de son ouvrage : Surpeuplement, un drame planétaire !(1)

« Arrêtez le monde, je veux descendre », écrivait(2) avec humour de l’homme moderne Louis Pauwels, ancien co-fondateur (avec Jacques Bergier) de la revue Planète, puis fondateur du Figaro Magazine.

Ce n’est certes pas l’envie qui manque à beaucoup, conscients d’un inéluctable déraillement du train cosmopolite, mais il ne semble pas que soient annoncées pour cela de prochaines stations, fussent-elles en rase campagne. Reste alors le dilemme de sauter de celui-ci en marche… ou de braquer le conducteur. Si quelqu’un a le mode d’emploi, qu’il soit assez avisé pour l’adresser aux Nations-Unis !

*
*.  *

Les lignes qui précèdent

Elle sont extraites d’une chronique (« Descendre du monde moderne ») que j’avais écrite en 2011 et qui avait été assez largement diffusée sur internet.

Et depuis lors, quoi de nouveau ? 4 enfants de plus… par seconde ! comme l’indique le sous-titre du livre de Jean-Michel Hermans auquel n’aura forcément pas « échappé » l’« heureux » événement de la naissance de la petite Danica. Et pour cause ! Il réside régulièrement dans les Philippines où il possède une maison et même quelques arpents de rizières qui sont sa seconde patrie. Là-bas, il est confronté en permanence à la surpopulation. On construit aujourd’hui les maisons dans les rizières car il n’y a plus de place disponible pour de nouvelles maisons. Beau­coup des cousines de son épouse ont six ou huit enfants – une de ses tantes a… onze enfants ! – « C’est terrible car il n’y a pas de travail pour tout le monde et c’est la misère pour beaucoup… », constate-t-il.

La misère, oui… Une inévitable misère liée au surpeuplement qui ne date pas d’aujourd’hui : l’économiste Thomas Robert Malthus s’en alarmait déjà au xviiie siècle et insistait sur une nécessaire régulation des naissances ; ses livres connurent à l’époque de beaux succès de vente… en vain, hélas !(3)

Cette terrible menace n’a pas non plus échappé au romancier Dan Brown (auteur, entre autres, du livre à succès Da Vinci code) ; en 2013, il a publié Inferno (adapté ensuite au cinéma en 2016) dans lequel son héros tente d’empêcher un scientifique de déclencher une épidémie mortelle… pour répondre à la menace démographique dans laquelle il voit la fin de l’Humanité. Sans dévoiler la fin de ce thriller palpitant, que l’on sache seulement que les sentiments des personnages de Dan Brown évoluent au cours du récit et que les dernières pages laissent clairement percevoir leur malaise face à la véritable bombe à retardement que représente la surpopulation mondiale que leur « ennemi » tente de désamorcer de façon extrêmement… radicale !

Soyons donc reconnaissant – après Thomas Robert Malthus, Louis Pauwels, Francis Verdavoine-Bourget, Dan Brown et tant et tant d’autres tout de même et bien heureusement – à Jean-Michel Hermans de sonner lui aussi le tocsin avec ses propres expériences, ses propres réflexions, ses propres recherches…

Son livre est un cri d’alarme – aussi instructif qu’impitoyable – de plus, mais pas un cri inutile… « Le désespoir en politique est une sottise absolue », disait Charles Maurras… Le désespoir en l’Homme l’est tout autant. La preuve par de tels auteurs, du passé ou d’aujourd’hui, qui sont, et c’est tout à leur honneur, autant de courageux lanceurs d’alerte qui finiront bien un jour par se faire entendre… forcément !

*
*.  *

Les lignes qui précèdent (bis)…

Elles sont celles de la préface que m’avait demandée Jean-Michel Hermans pour la parution de son livre Surpopulation : l’alerte mondiale aux éditions Dualpha en… 2019 ! (4)

Et depuis lors, quoi de nouveau ? (bis)

« Seulement 12 ans après avoir passé la barre des sept milliards d’humains, la planète compte huit milliards d’habitants depuis la mi-novembre, selon les estimations des Nations unies, qui s’appuient sur ses meilleures projections démographiques » (https://www.nationalgeographic.fr, 2022).

Notes

(1) Éditions Dualpha, 654 pages, 2e édition réactualisée.

(2) Dans un article du Figaro à propos du livre Les Experts ou l’Art de se tromper de Jules Verne à Bill Gates de François-Bernard Huyghe (Plon).

(3) Jean-Michel Hermans a publié avec son frère Jean-Claude Réchauffement climatique : ces milliards d’hommes en trop ! aux éditions de l’Æncre, préfacé par Brigitte Bardot (Livre disponible sur www.francephi.com). Il a été décidé avec l’éditeur de rajouter le texte de Thomas Malthus Essai sur le principe de la population de Thomas Malthus (publié… en 1798), car il a été le premier à préconiser une régulation des naissances, à l’époque pour lutter contre la pauvreté. Le texte de Malthus est un plaidoyer contre la misère et pour la charité chrétienne.

(4) Livre toujours sur www.francephi.com : https://francephi.com/livre/surpopulation-lalerte-mondiale.

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samedi, 10 décembre 2022

Geoffroy Lejeune  a fait un rêve… et ça devrait vous plaire !

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Geoffroy Lejeune Valeurs actuelles cliquez ici

« J’ai fait un rêve, comme dit l’autre. La nuit dernière, encore agacé par la dernière polémique née au sein de Science Po, notre prétendue « école de formation des élites de la Nation », mon inconscient m’a trahi et inspiré quelques pensées. Comprenez-le: des étudiants ont reproché à leur professeur de danse d’avoir voulu continuer à appeler un homme un homme et une femme une femme, au lieu de les désigner par les termes « leader » et « follower », ainsi que lui demandait l’administration de l’établissement. Certains élèves se sont élevés contre cette pratique rétrograde, humiliante et sexiste, ont cafté auprès des autorités compétentes, non sans avoir pleurniché sur les réseaux sociaux en se souvenant tout à coup que, quand même, cette prof avait l’air sacrément homophobe, lesbophobe, transphobe, queerphobe, quand on y pense.

J’ai rêvé, donc, qu’on me donnait une journée, rien qu’une journée, les rênes de l’école de la rue Saint-Guillaume. Mon souvenir est brumeux mais j’étais plus ou moins chargé de reprendre en main la pédagogie et de remettre à leur place les hommes soja qui croient y refaire le monde. Bienvenue dans mon rêve.

Arrivée sur zone à 5 h 45. Convocation des élèves à 6 heures. Filtrage à l’entrée, ne sont pas acceptés les chèches palestiniens ni les ponchos bariolés achetés au Pérou lors du dernier voyage éco-responsable à la découverte de peuples inconnus. Églantine, 20 ans, qui veut devenir chercheuse en sociologie pour analyser les comportements dominants chouine un peu. Enzo, son camarade qui porte une jolie tresse violette derrière l’oreille, ose même dire que c’est du « post fascisme ». T’es pas prêt, chaton.

Dans la cour, lever des couleurs. Marseillaise. J’ai fait venir d’Aubagne les légionnaires du 1er Régiment Étranger de Cavalerie pour donner le ton. Un adjudant-chef polonais est chargé de surveiller ceux qui ne chantent pas. Lorsqu’il s’approche d’eux, plissant l’œil et faisant gonfler une cicatrice menaçante sur l’arcade, tous retrouvent la mémoire et du souffle. Jules, 21 ans, responsable du comité Justice pour Adama dans le 7ème arrondissement, objecteur de conscience, a les larmes aux yeux. Comme c’est beau, le patriotisme. Ou est-ce de la peur ?

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16:49 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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Stupéfiante offensive sur les plats pays

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

En septembre dernier, une patrouille de la police belge interpellait quatre individus louches qui rôdaient autour du domicile privé du ministre fédéral belge de la Justice, Vincent Van Quickenborne. Leur intention visait à l’enlever ou à ravir l’un de ses proches. Courant octobre, la princesse héritière des Pays-Bas, Catharina-Amalia d’Orange-Nassau, se voit contrainte de délaisser son appartement d’étudiante à Amsterdam et de retourner vivre au palais royal parental bien mieux protégé. Quant au Premier ministre néerlandais Mark Rutte, il ne se déplace plus seul en vélo. Ces trois exemples montrent que la Belgique et les Pays-Bas entrent dans une « guerre moléculaire » larvée due à la montée en puissance sur notre continent des organisations de la drogue.

Utilisant pleinement les méfaits de la mondialisation marchande et le transport maritime par porte-conteneur, des groupes criminels belges et néerlandais tels la Mocro Maffia coopèrent avec les bandes organisées d’Amérique latine. Premiers ports d’Europe par le tonnage embarqué ou débarqué, Anvers et Rotterdam constituent les portes d’entrée idéales pour le trafic de drogue en Europe où, à la différence de l’Amérique du Nord au marché saturé, existe une forte demande pour cause de déchéance spirituelle totale. Le port français du Havre en Normandie bénéficie lui aussi de cette activité illégale fort lucrative, mais dans des proportions moindres. La zone portuaire d’Anvers s’étend sur 500 km², soit environ cinq fois la surface de Paris. Les rues de ce vaste complexe ne sont pas répertoriées, ni cartographiées, ni indiquées par satellite. Selon les dockers et des délinquants repentis, il est assez facile de livrer une grosse cargaison de drogue sans se faire remarquer.

Des reportages récents témoignent de l’inquiétante situation des ports de la Mer du Nord. Les trafiquants incitent les dockers à travailler pour eux, en les menaçant parfois. Les pressions sont terribles, d’autant que les organisations criminelles n’hésitent pas à tuer. Elles ont déjà assassiné en juillet 2021 le journaliste Peter Rudolf de Vries qui enquêtait sur leurs trafics. Auparavant, le 26 juin 2018, un attentat à la voiture bélier était commis contre le siège du journal De Telegraaf. Outre les journalistes trop curieux, ces nouvelles mafias transnationales visent d’autres groupes concurrents. Fusillades en pleine rue, jets de grenade, explosions à la bombe, exécutions sommaires rythment le quotidien de la cité flamande en proie à une insécurité grandissante.

Si les Pays-Bas et la Belgique ne sont pas encore des États en déshérence bien qu’il faille soupçonner l’insistance des nouvelles mafias auprès des principales formations politiciennes, ces deux pays entrent dans une phase chronique de violences publiques croissantes qui s’apparente à la situation chaotique de la Colombie dans les années 1980 – 1990 quand le gouvernement de Bogota affrontait le célèbre et redoutable cartel de Medellin de Pablo Escobar.

En dépit des saisies record de cargaisons illicites et le démantèlement répété des réseaux, police et justice, victimes des coupes budgétaires décidées au nom de l’ultra-libéralisme maastrichtien, n’endiguent plus le phénomène. Le déploiement de l’armée dans l’aire portuaire serait une possibilité que les autorités belges refusent pour l’heure d’envisager par crainte de favoriser encore plus le vote « populiste »… Le bourgmestre d’Anvers, le national-centriste indépendantiste Bart De Wever, chef de la NVA (Nouvelle Alliance flamande), critique la faible réactivité des gouvernement régional et fédéral qui lui sont hostiles. La hausse de la délinquance en Flandre, y compris à la campagne où se multiplient les points de deal, profiterait en priorité d’après les sondages au Vlaams Belang.

Par pruderie droit-de-l’hommiste, les reportages ne mentionnent pas la conjonction de deux phénomènes qui bouleversent en profondeur la physionomie générale de la Flandre belge et des Pays-Bas. Ces deux plats pays paient aujourd’hui cinquante ans d’immigration extra-européenne voulue et encouragée. Les dirigeants des bandes mafieuses ont des origines allogènes. Vit en Belgique et aux Pays-Bas une importante diaspora marocaine dont les meneurs proviennent de la région septentrionale du Rif, historiquement rétive à Rabat. Le dimanche 27 novembre 2022, les Bruxellois ont peut-être compris qu’un grand remplacement démographique s’effectuait avec les émeutes provoquées par des Marocains heureux de célébrer la victoire au Qatar dans le cadre de la Coupe du monde de balle au pied de leur équipe sur la Belgique (2 – 0).

Divisée en plusieurs clans, plus ou moins puissants et souvent rivaux, la Mocro Maffia ne forme toutefois pas un ensemble cohérent puisque les conflits tribaux de là-bas se cumulent aux contentieux « commerciaux » d’ici et maintenant. Divers accords se nouent au Surinam, l’ancienne Guyane néerlandaise, ainsi qu’avec des États africains en déclin en passe de devenir des narco-États.

Le second facteur concerne bien sûr la légalisation de la toxicomanie aux Pays-Bas à partir de 1976. La liberté laxiste de fumer un pétard sans se préoccuper d’ailleurs du bilan carbone émis à cette occasion n’entraîne pas la fin des réseaux, mais au contraire les renforce. Quant à la demande, loin de diminuer, elle augmente dans toutes les classes d’âge. Le 10 août 2022, une trentaine de sénateurs PS publiait dans Le Monde une tribune libre en faveur de la dépénalisation du cannabis en avançant des motifs les plus grotesques les uns que les autres. Honte à ces parlementaires fourriers de la décadence ! Parmi les signataires pour qui il serait plus grave de ne pas porter de masque que de fumer un joint, il y a l’actuelle vice-présidente du Sénat et élue de l’Oise, Laurence Rossignol, déplorable ministresse de la Famille de 2016 à 2017 sous Flamby, qui soutient par ailleurs la pénalisation de pauvres clients de braves prostituées alors qu’ils ne font que satisfaire un impératif naturel légitime, ce qui n’est pas le cas pour la drogue ! Dans Causeur de novembre 2022, le libertarien français Laurent Obertone prône lui aussi la légalisation de la fumette dans une perspective néo-darwiniste sociale assez aberrante.

Il importe non seulement de briser les réseaux de trafic de drogue en s’attaquant aux producteurs, aux distributeurs, aux transporteurs et aux guetteurs. Il faut aussi se montrer impitoyable envers les consommateurs. Plutôt que de les envoyer en prison, les plus aisés verraient leur fiscalité augmentée de 200 %. En cas d’insolvabilité, ils effectueraient pour une durée renouvelable de six à dix-huit mois une cure de désintoxication virile dans des chantiers du peuple en plein air.

Oui, il est probable que ces propos soient considérés dans quelques années comme « toxicophobes » et punissables par une future loi liberticide. Longtemps, la toxicophobie a signifié la crainte de l’empoisonnement. De nos jours, les milieux crasseux, jamais en retard dans l’abjection catagogique, parlent de « discriminations toxicophobes », à savoir un sentiment négatif que ressent une personne vis à vis la toxicomanie et les drogués. Cette détestation engendrerait chez les toxicomanes un sentiment d’humiliation incroyablement tenace. Pauvres choux ! Ainsi le voisinage devrait-il accepter de bon gré l’ouverture de dix salles de shoot dans sa rue près de l’école maternelle. La vieille dame devrait pour sa part donner sur le champ son sac et sa maigre pension au premier junkie venu. Les fumeurs de crack du cloaque parisien de Stalingrad devraient incarner la forme idéale de l’humanité. Pas sûr que ce discours satisfasse des riverains, découragés, fatigués et excédés…

L’ombre pesante de la « narco-guerre » plane sur toute l’Europe occidentale. Le recours aux drogues contribue à l’ethnocide en cours des Albo-Européens. La réponse, draconienne, doit être militaire et implacable. On n’est plus au temps des expériences élitistes relatées par Charles Baudelaire, Gérard de Nerval, Alexandre Dumas, Théophile Gautier ou Eugène Delacroix ou même par Ernst Jünger dans Approches, drogues et ivresse (1970). La massification des drogues et leur démocratisation posent un évident problème social et sanitaire, psychologique et philosophique, économique, politique et géostratégique. L’indispensable salut public exigera par conséquent une ambitieuse politique de la « Grande Santé » physique et mentale résumé par cet adage fondamental, esthétique, altier, hygiénique et intemporel d’« un esprit sain dans un corps sain ».   

 « Vigie d’un monde en ébullition », n°54, mise en ligne le 6 décembre 2022 sur Radio Méridien Zéro.

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Journal du chaos

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vendredi, 09 décembre 2022

Krach et cygnes noirs en 2023, selon Deutsche Bank, Saxo Bank et Nouriel Roubini

ROUSSET M 1.JPGMarc Rousset

Les cygnes noirs sont multiples et de nombreux clignotants sont au rouge. Nous en énoncerons quelques-uns, tant la liste est longue et inépuisable. Nos craintes de krach et d’effondrement de l’économie française sont confirmées par la Deutsche Bank, Saxo Bank et surtout par l’économiste américain Nouriel Roubini, célèbre pour avoir annoncé, en 2008, la crise des « subprimes ».

Le clignotant le plus connu est celui de l’inversion de la courbe des taux d’intérêt aux États-Unis lorsque les taux à long terme deviennent moins élevés que les taux à court terme. Cette situation exceptionnelle et illogique se produit le plus souvent quelques mois avant une récession économique. C’est le cas actuellement aux États-Unis ; suite aux augmentations nombreuses du taux d’intérêt à court terme par la Fed, ce dernier est supérieur au rendement actuel des obligations à 10 ans du Trésor américain, soit 3,58 %.

En Europe l’euro est au bord du précipice, suite à la divergence entre la politique monétaire de la Fed et celle de la Fed, ce qui contribue à la fuite des capitaux vers les États-Unis ; mais le phénomène le plus dramatique est l’effondrement de la balance commerciale européenne, en raison de l’augmentation en valeur des importations d’énergie et suite à l’effondrement des exportations industrielles, plus particulièrement allemandes. Ces dernières s’effondrent, suite à l’arrêt de très nombreuses usines qui ne sont plus compétitives, les prix de l’énergie s’envolant. La balance commerciale de la zone euro est passée brusquement en un an d’un excédent mensuel de 20 milliards d’euros à un déficit mensuel de 50 milliards d’euros ; le seul déficit commercial annuel français en 2022 devrait atteindre le chiffre monstrueux de 150 milliards d’euros !

La France, voit la perspective de sa dette, selon la notation par Standard & Poor’s, passer de stable à négative, suite aux 600 milliards d’euros supplémentaires de dettes Covid, au ralentissement de l’économie, et à la dégradation des finances publiques qui correspond à des aides versées aux entreprises, aux ménages pour compenser l’inflation et la hausse dramatique des prix de l’énergie. La croissance de la France en 2023 serait de seulement 0,2 %. La dette publique représenterait 112 % du PIB en 2025.

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jeudi, 08 décembre 2022

Le Bistro Libertés de cette semaine avec Olivier Delamarche

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L'album d'Ignace présenté dans l'émission cliquez ici

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Le nouveau Cahier d'Histoire du nationalisme consacré au Front national

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Avoir eu

tellement raison

L'introduction de Guirec Sèvres

La sortie de vingt-quatrième titre de la collection "Les Cahiers d'histoire du nationalisme" correspond au cinquantième anniversaire de la création du Front national au cours de l'automne 1972. Bien sûr, nous ne pouvions pas laisser passer cet événement sans l'aborder et surtout, sans essayer de rappeler certains épisodes qui ont marqué l'existence du FN et qui sont aujourd'hui souvent oubliés, voire ignorés.

Ce Cahier n'a donc pas la prétention de commenter toutes les étapes de l'édification et du développement de ce parti qui, depuis sa percée historique de 1984, occupe, il faut bien le dire, une place centrale (ce qui est plutôt cocasse pour un parti qualifier "d'extrémiste") dans la vie politique française. Il entend seulement rappeler les faits tels qu'ils se sont passés entre 1972 et 2017, année de la transformation du Front national en Rassemblement national.

Au-delà de la chronologie (non exhaustive), quelques évènements marquant, ou quelques orientations idéologiques ou politiques adoptées par le FN au cours de ces 50 années, sont abordés par les contributeurs qui y ont pris part ou s'y sont particulièrement intéressés. Qu'il s'agisse de la campagne présidentielle de 1974 ou des suivantes, du concept des Fêtes des Bleu Blanc Rouge, du lancement de National hebdo, du rôle des élus FN à partir de 1986 à l'Assemblée nationale ou dans les Conseil régionaux, du "coup de tonnerre" du 21 avril 2002 avec la qualification de Jean-Marie Le Pen au second tour de la Présidentielle... Nous ne pouvions pas non plus passer sous silence les différentes crises (qui ont bien souvent engendré des scissions) qui ont jalonné, du Parti des forces nouvelles, en 1973, jusqu'à celle des Patriotes de Florian Philippot en 2017, l'histoire du Front. Nous avons aussi recueilli, en fin d'ouvrage, quelques témoignages représentatifs.

En lisant ce livre, vous trouverez aussi un certain nombre d'articles ou d'encadrés consacrés à des cadres ou à des militants nationaux, hélas, décédés. Cette liste est sans doute loin d'être complète et nous regrettons sincèrement les oublis. Cependant, à travers elle, nous avons voulu rendre un hommage fraternel à toutes celles et tous ceux qui se sont battus pour la plus belle et la plus noble des causes, celle de notre Patrie, et qui ne sont plus là aujourd'hui.

L'évocation de tous ces faits, parfois tragiques, de toutes ces campagnes, souvent prometteuses, de tous ces militants disparus nous renforce dans notre conviction que le combat national et identitaire est le seul capable de provoquer un véritable élan salvateur dans notre pays et dans toute l'Europe.

Souvent, on entend dire ici ou là que "tout est foutu, qu'il n'y a plus rien à faire..." À ces éternels défaitistes, nous répondons par deux chiffres évocateurs : en 1974, Jean-Marie Le Pen fait 0,74 % lors de la Présidentielle, en 2022 la candidate nationale, sa fille Marine, fait près de 42 %... 42 % des Français qui, malgré le rouleau compresseur de la pensée dominante, n'hésitent plus à transgresser, car il s'agit bien d'une transgression et c'est cela qui est important...

"Ce qui ne se fait pas avec le temps ne résiste pas à l'épreuve du temps" dit-on souvent. En près de 50 ans, avec à sa tête Jean-Marie Le Pen et de nombreux cadres de qualité, le Front national s'est imposé comme étant une force nationaliste, voire identitaire, incontournable sur l'échiquier politique de notre pays. Pourquoi une telle longévité une telle réussite ? Tout simplement peut-être parce que le Front a eu, bien trop souvent et envers et contre tous, raison.

Cela valait bien l'édition de ce Cahier.

En vente dans les bonnes librairies.

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10:51 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le nouveau numéro (n°76) de Réfléchir et Agir est paru

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EFFONDREMENT ÉCONOMIQUE : NOUS Y SOMMES BIENTÔT

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Un communiqué de Thomas Joly, président du Parti de la France :

Le groupe Cofigeo (William Saurin, Garbit, Raynal et Roquelaure et Zapetti) va stopper 80 % de sa production à partir du 1er janvier 2023 en raison du coût délirant (et artificiel) de l’énergie en France. Ce n’est sûrement que le début d’une longue série, que ce soit dans le domaine agro-alimentaire ou ailleurs.

Il ne fallait pas être grand clerc pour deviner que l’obstination de l’Union Européenne à aligner le prix de vente de l’électricité sur le marché sur le coût marginal de production des centrales thermiques allait aboutir à l’effondrement de la production.

En effet, aucune entreprise ne peut produire à perte. Donc elles vont stopper – provisoirement ou définitivement pour les moins solides – leurs activités.

L’engrenage est inéluctable et va entraîner un effondrement économique aux conséquences probablement dramatiques pour les Français.

Les rayons vides, les queues devant tous les magasins et les tickets de rationnement risquent de devenir notre quotidien dans les mois à venir. Et je vous laisse imaginer le comportement de la population immigrée dans ce contexte de pénurie générale…

10:34 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 07 décembre 2022

La digue mondialiste vient de céder.

Le front mondialiste de censure de l’information vient de voler en éclats. Leur fin approche.

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11:20 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

On est passé d’une immigration de travail à une immigration fondée sur des droits

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« La France a toujours été une terre d’immmigration » a déclaré Emmanuel Macron. La notion d’immigration est relativement récente argumente la démographe Michèle Tribalat qui retrace ici l’évolution du phénomène migratoire depuis 1850.

Lire la suite ICI

Source : Figaro 7/12/2022

02:55 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 06 décembre 2022

SORTIE PROCHAINE DU LIVRE "CALLAC LA MÈRE DES BATAILLES" DE BERNARD GERMAIN

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Au moment où la France entière va être confrontée à la “transition démographique” voulue par Emmanuel Macron, le petit village breton de Callac (22) a été choisi pour être le “laboratoire” de cette opération.

Mais les habitants sont opposés à ce grand remplacement que l’on veut leur imposer…

Ce livre, écrit par l’un des acteurs de la résistance locale, permettra au lecteur de prendre conscience du rôle de chacun (d’un côté, les élus, les médias, l’État, la gauche et les antifas, de l’autre, les habitants de la commune et de ses environs, opposés au grand remplacement).

L’affaire de Callac n’est pas terminée, mais ce livre constitue déjà une arme pour tous ceux qui n’entendent pas laisser s’installer la transition démographique, c’est à dire le grand remplacement, dans leur localité et auront à cœur de mener le combat, afin de sauver notre culture, notre identité et notre civilisation.

Lire ce livre est donc une nécessité pour se préparer aux inévitables conflits qui naîtront à travers tout le pays.

Callac, la mère des batailles, Bernard Germain, 186 p., décembre 2022, 22,00 € (+ 6,00 € de port)

Préface de Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque

Sortie le 15 décembre.

Pour le commander cliquez ici

11:16 Publié dans Callac 22, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Projection du film "Vaincre ou Mourir" en avant-première à Guingamp... et dans toute la France

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Vaincre ou Mourir
L'épopée vendéenne d'Athanase de Charette

pour Dieu et pour le Roy...

Un film réalisé par Le Puy du Fou
Projection en avant-première
à Guingamp

Cinéma Les Korrigans (6 Rue Saint-Nicolas),
le jeudi 8 décembre à 20 H

En savoir plus cliquez là

Chansons pour Charette cliquez ici

11:11 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 05 décembre 2022

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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23:43 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un autre Callac : SAINT BRÉVIN LES PINS !

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SAINT BRÉVIN LES PINS

EN LOIRE-ATLANTIQUE

23:40 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Et si l’on faisait comme dit Elon Musk ?

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La chronique de Philippe Randa

N’ayant aucune culture d’entreprise pour m’être exploité moi-même ma vie durant – jusqu’à présent et ne voyant guère de risques que cela change – il y a des fléaux auxquels j’ai donc échappé. L’un est particulièrement ravageur aux États-Unis d’Amérique et pas que ! hélas !

Voici quelques années, lors d’un déjeuner avec Jean-Paul Brunet dont j’ai publié deux livres (1), celui-ci me racontait comment, après la IIe Guerre mondiale, fasciné par le cinéma américain, il avait décidé d’aller vivre outre-Atlantique où des décennies durant, il mena une brillante carrière d’universitaire et de lexicographe.

Il m’expliqua alors comment fonctionnait formidablement l’enseignement supérieur aux USA et, de façon très similaire, au Canada : les différences et résultats en fin de cursus avec la France se passent de commentaires… Bien évidemment, je n’avais aucune raison de douter de ce qu’il m’apprenait… quand il ne me confirmait pas tout simplement ce dont je pouvais me douter.

En désespoir de cause (franchouillarde), je tentais tout de même de réfréner son enthousiasme (yankeenophile) sur son tableau si idyllique de l’enseignement en Amérique du Nord :

– Il n’y a vraiment aucun problème là-bas, alors ?

Sa réponse fusa :

– Si ! La réunionite ! Pour un oui ou pour un non, il faut – et il n’est même pas envisageable d’y échapper – se réunir pour discuter, discuter, discuter : sur tout, sur rien et surtout pour rien !

Philippe Joutier, autre auteur que j’ai eu le plaisir de publier, a témoigné, lui, sur ce fléau de ce côté-ci de l’Atlantique : ancien Inspecteur, puis Directeur départemental au Ministère de la Jeunesse et des Sports, il a rapporté dans son désopilant (ou tragique, c’est selon les points de vue) livre Les Extrafrançais (2), ces innombrables réunions où les participants, s’ils ne sont pas discrètement assoupis, font semblant d’écouter les intervenants pontifier tant et plus en faisant généralement assaut de lieux communs.

Et tout le monde de se quitter (enfin, c’est pas trop tôt !) sur ce prometteur échange pour l’avenir :

– On fait comme on a dit ?

– On fait comme on a dit !

On ne peut donc qu’apprécier la récente initiative d’Elon Musk de « torpiller la “réunionite” dans les boîtes » selon le titre du magazine Challenges ; elle ne peut qu’interpeller après les conclusions d’une étude réalisée par la société Otta.ai (spécialiste des outils de collaboration) : « … un tiers des réunions seraient inutiles et elles feraient perdre des millions d’euros aux entreprises. […] supprimer cette réunionite permettrait d’économiser 2 millions d’euros par an pour les entreprises de moins de 100 employés, 10 millions à celles de moins de 500 employés et 100 millions à celle de 5 000 et plus ! »

De même, rapporte encore le magazine, « une entreprise technologique asiatique a ainsi observé, l’an dernier, la façon de travailler de 10 000 de ses employés entre avril 2019 et août 2020. Elle a découvert qu’ils travaillaient 30 % de temps en plus quand ils étaient à leur domicile, en télétravail. Mais que cet effort supplémentaire ne servait à rien, car leur productivité baissait de… 20 %. En fait, tout leur temps de travail supplémentaire était absorbé par des réunions. »

Ainsi, le milliardaire américain qui vient de défrayer le monde médiatique en rachetant Twitter, entend promouvoir la productivité avec six principes que ses employés sont priés d’appliquer à l’avenir :

1) Évitez les grandes réunions, elles découragent le débat ;

2) Quittez les réunions ou vous n’apporterez rien. Ce n’est pas impoli de partir ;

3) Oubliez la chaîne hiérarchique pour communiquer avec vos collègues ;

4) Soyez clair plutôt qu’intelligent. Pas de jargon ;

5) Renoncez aux réunions régulières. Envoyez plutôt des SMS ou des emails ;

6) Soyez pratiques, ne suivez pas la règle, mais les objectifs de la société.

Des principes qu’il serait, à n’en pas douter, fort judicieux d’appliquer de ce côté-ci de l’Atlantique !

Notes

(1) Alan Ladd, héros fragile, Éditions Dualpha, collection « Patrimoine du Spectacle », préface de Jean Tulard, membre de l’Institut, 2009 cliquez ici

Dictionnaire des Forces Spéciales. Dictionary of Special Forces (français-anglais/anglais-français), Éditions Dualpha, collection « Patrimoine des Lettres », 2016. cliquez ici

(2) Les Extrafrançais, Éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire » , 2015. 

23:30 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Destruction de la santé publique : Dupont-Aignan envoie du bois sur Borne & Macron

"Décidément, vous oserez tout… C’est à cela que l’on vous reconnaît, la Macronie.

Avec ce 7ᵉ 49.3, vous n’avez plus aucune décence. Vous abusez de votre pouvoir… ".

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Source : Debout La France

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Eponna reçoit Lorrain de Saint-Affrique

Enregistré le 6 novembre 2022

14:03 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 04 décembre 2022

Le Palais des Sports était plein à craquer ce dimanche après-midi pour le meeting de Reconquête !

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19:05 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |