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mardi, 07 mars 2023

Saines paroles de Mgr Viganò, dénonçant les folies des mondialistes

La religion d’État : quelques observations sur le culte mondialiste,

par Mgr Carlo Maria Viganò

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Un climat délétère

Le billet de Patrick Parment 

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La grève organisée mardi 7/3 par l’ensemble des syndicats qui eux-mêmes ne représentent plus la classe ouvrière depuis belle lurette, est tout à la fois une journée de dupes et l’expression du ras-le-bol d’un peuple en fort désaccord avec ses élites. Passons sur le paradoxe qui veut que les syndicats ne sont puissants que dans la fonction publique, là où les employés sont le plus protégés, mais aussi les plus à même de bloquer  tout un pays (SNCF, administration, etc.) au même titre d’ailleurs que les employés de TotalEnergie, fort bien traités au demeurant. Il y a là quelque chose de suicidaire de  s’attaquer à l’un des rare fleuron qui marche encore dans ce pays dévasté industriellement par sa classe politique. Si TotalEnergie gagne de l’argent, l’Etat et donc les contribuables en sont les premiers bénéficiaires. On peut en dire autant des entreprises du CAC 40, car le problème n’est pas tant la hauteur de leurs bénéfices que la mauvaise répartition de ces bénéfices. De voir par exemple, le Pdg de Renault, empocher plus de dix millions d’euros de salaire est un authentique scandale. Et c’est là que peche la politique d’un Emmanuel Macron qui verse dans ce que le capitalisme a de plus odieux par les temps qui courent : de rendre plus riche les riches et d’appauvrir le reste de la population. J’exagère ? A peine !

Car cette journée de grève, particulièrement suivie n’a pas pour unique ressentiment la réforme des retraites, mais bien une manifestation de ras-le-bol de la politique du chef de l’Etat dont on ne sait où il veut en venir. La France est un bateau ivre qui navigue au gré du vent. D’autant que cette absence de vision – la France pour quoi faire ? – se double des incohérences des décisions bruxelloises aux mains d’une inique Commission dont les membres ne sont pas élus. L’Europe dans rivages, titrait déjà dans les années 1950 le grand économiste François Perroux.

Il serait malhonnête de tout mettre sur le dos de Macron tant celui-ci hérite des erreurs de ses prédécesseurs. Depuis Giscard, aucun président n’a fait valoir une vision de la France comme ce fut le cas sous De Gaulle et Georges Pompidou. Depuis Mitterrand et ses successeurs, la France n’a cessé de se désagréger faute d’ambition, de lucidité (voir le dossier nucléaire par exemple), et surtout de courage politique. D’ailleurs, tous n’ont en aucun cas fait de la politique mais se sont montrés gestionnaires de leurs propres intérêts et de ceux de leur parti respectif. Sauf Mitterrand, peut-être, qui a fait cocu les socialistes et flingué le PS.

Inutile de dire que la décision européenne de prendre le parti de l’Ukraine n’a en rien arrangé nos affaires. On a ainsi pu mesurer le degré d’aveuglement de toute la classe politique européenne et son degré de servitude à « l’ami américain ».

Michel Audiard disait qu’il ne fallait pas prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages. Et bien il ne faut pas prendre non plus les Français pour des canards boiteux claudiquant sans tête. Les Français ont bien compris dans quelle mélasse les avaient entraîné leurs (sous)hommes politiques et leurs partis divers et variés emmêlés dans leurs querelles internes. Du coup, plus personne se ne rend aux urnes.

Alors peut avoir lieu le bal des guignols à la Mélenchon, Faure, Ciotti, Roussel, Martinez, Berger et consorts, les Français ont bien conscience qu’on les mènent vers l’abîme. Tant qu’ils n’auront pas une raison d’exister, la rue sera leur terrain de jeu et quand les frigos seront vides, viendra le temps de la révolution.

 

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Ernesto Che Guevara, la fin du mythe…

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Ce mardi matin, dans l'émission "L'Heure des pros" (CNews), les intervenants se sont élevés à juste titre contre la présence d'un portrait du criminel Guevara dans un local de la CGT. Il nous a semblé utile de remettre en ligne cet article de Didier Lecerf, publié dans la revue Synthèse nationale (n°3, printemps 2007), sur ce monstrueux personnage...

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Didier Lecerf,

Depuis sa mort violente, en 1967,  il y a quarante ans, Ernesto Guevara incarne le romantisme révolutionnaire aux yeux d’un certain nombre de nos contemporains, jeunes et moins jeunes. Sa vie aventureuse et violente, sa fin tragique, sa figure, magnifiée et popularisée par la photographie, l’ont hissé au rang de mythe. Mais, aujourd’hui, ce mythe est battu en brèche : l’archange a du plomb dans l’aile, sa statue se fissure, elle vacille sur son socle… Exit la légende, place à l’histoire !

Une fin sordide

Il y a quarante ans, à l’automne 1967, en Bolivie, dans le canyon de Churo, un petit groupe de guérilleros communistes déguenillés, épuisés et malades, traqué depuis plusieurs jours par l’armée régulière, se retrouve encerclé par 300 rangers  « conseillés » par des bérets verts américains et des agents de la CIA.

Comble de l’ironie : c’est un des paysans du cru, que les insurgés marxistes espéraient gagner à leur cause, qui, les ayant aperçus, a indiqué leur position aux militaires…

Le 8 octobre, le chef de la bande, Ernesto Guevara de la Serna, dit le Che, alias « Fernando el Sacamuelas », coupé du reste de la troupe et blessé, est finalement capturé en compagnie de l’un de ses acolytes.

Transporté jusqu’à l’école de La Higuera, un village proche du lieu de son arrestation, il y est abattu le lendemain, 9 octobre, d’une rafale de pistolet mitrailleur, par le soldat Mario Teran, sur ordre du président René Barrientos, un général de l’armée de l’air, au pouvoir depuis deux ans.

Naissance d’un mythe

Pour Guevara, cette mort violente, à 39 ans, « dans des conditions sordides » (Jacobo Machover) (1) n’est pas une fin, mais plutôt un nouveau commencement. Elle débouche en effet sur – au sens premier du terme - l’apothéose du condottiere communiste, puisque le voici bientôt déifié par la génération encore fraîche des futurs ex-anciens soixante-huitards installés et repus.

Paradoxalement, et d’une façon assez comique, pour toute cette jeunesse gauchiste ou gauchisante, issue pour une bonne part des beaux quartiers, mais tombée très tôt dans la potion amère du matérialisme marxiste, fascinée par les bouchers rouges et grande pourfendeuse de la religion « opium du peuple », la mort du Che prend très vite la dimension d’une nouvelle Passion…

Pour toutes ces filles et tous ces fils à papa qui s’amusent alors à « faire la révolution » - avant de faire des affaires - avec d’autant plus d’entrain qu’ils ne courent finalement que bien peu de risques physiques ou matériels, Guevara (qui lui, au moins, a eu le courage de mettre sa peau au bout de ses idées), littéralement sanctifié par les souffrances endurées et le sang versé au nom de son idéal internationaliste, cesse en quelque sorte d’être un humain pour devenir un mythe.

Nimbé « d’un rayonnement presque christique » (Pierre Rigoulot) (2), par la grâce du martyre reçu, l’archange rouge quitte ainsi la terre des hommes pour rejoindre le panthéon révolutionnaire…

L’ancien compagnon de Castro passe alors du statut d’« homme le plus complet du siècle », (Jean-Paul Sartre), à celui d’ « être de lumière » (Ahmed Ben Bella), ou encore de  « nouveau Christ sur la croix » (Oliviero Toscani - photographe auteur, dans les années 1980-1990, des campagnes publicitaires provocatrices de la firme Benetton)…

Ainsi commence, à la fin des années 1960, la légende dorée de saint Ernesto de la revolución, Don Quichotte des temps modernes, figure emblématique du romantisme révolutionnaire, idole des ados en crise et des bobos anciens combattants du Quartier latin – lesquels ont, finalement, trouvé en lui le héros qu’ils méritent - .

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Lyon, vendredi 10 mars : une conférence du sénateur Stéphane Ravier à La Traboule

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Misogynie, faute morale

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Allez un peu de légèreté profonde dans ce monde de brutes. A l’heure du féminisme tous azimuts – y a de la femme partout et à tous les étages – être misogyne serait l’une des facettes du diable. Peut-on détester peinard les femmes ? A priori non, à l’heure du Mee#too. Mais être misogyne est-ce vraiment détester les femmes ? Bref, a contrario, la question de la femme pose celle de l’homme. Jean-Michel Delacomptée a sa petite idée qu’il nous confie dans Causeur de ce mois. Pertinent et drôle comme à l’habitude.

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Source : Causeur, mars 2023

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lundi, 06 mars 2023

Il ya a 70, crevait la pire ordure du XXe siècle : le communiste Staline

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Un communiqué d'Alexandre Simonot (Parti de la France) :
 
Il y a 70 ans, le 5 mars 1953, le dictateur Joseph Staline mourrait.
 
Le monde était ainsi débarrassé d’un des plus grands criminels de tous les temps et de toute l’histoire. Il est bien évidemment impossible de rendre un quelconque hommage à cet abominable tortionnaire dont le XXe siècle se serait bien passé. C’est aux dizaines de millions de morts du stalinisme qu’il nous faut rendre hommage. Ces femmes et ces hommes spoliés, déportés, torturés, massacrés, éliminés par la barbarie stalinienne.
 
Ces millions de morts dont on ne parle jamais, ces millions de morts volontairement oubliés, ces millions de morts qui n’intéressent personne !
 
Surnommé à tort « le petit père des peuples », appellation désignant traditionnellement les Tsars de l’Empire russe, le tyran Staline était en réalité le petit père des pires exactions et des pires ignominies. Pourquoi ce silence sur les millions de morts du communisme ? Pourquoi n’évoque-t-on jamais ces génocides orchestrés par Staline ? Pourquoi ce silence sur les atrocités des Goulags ?
 
A quand toute la vérité sur ces exterminations de masse ? A quand un grand procès du communisme ? Le respect des morts ne se partage pas et il serait temps d’effectuer, à l’égard des victimes du communisme, un véritable et légitime devoir de mémoire.

10:46 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une nouvelle revue non-conformiste : OMERTA

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dimanche, 05 mars 2023

Ignace compare :

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samedi, 04 mars 2023

François Asselineau - Ukraine, Otan, Afrique : la France en déclin

Cette semaine, Emmanuel Macron a misé sur l’Afrique. Après un discours à l’Élysée aux contours plus que flous, le président français s’est envolé mercredi au Gabon avant de poursuivre son voyage vers l’Angola, le Congo et la République Démocratique du Congo. Un épisode censé renouer avec le continent africain qui se solde par des résultats très mitigés, voire catastrophiques si l’on en croit le désaveu venu du Maroc pour témoigner des relations exécrables avec Paris.

À l’image de ses premières prestations en Afrique en 2017, Emmanuel Macron reviendra donc sans bénéfice, mais avec la démonstration que les pays amis qui étaient naguère amis de la France sont désormais des lieux où le président français est persona non grata.

Sur le reste de la scène internationale, le rayonnement français n’est pas vraiment au beau fixe. En Ukraine, malgré des tentatives fébriles de s’émanciper, Emmanuel Macron suit la ligne dictée par la Commission européenne d’Ursula von der Leyen, elle-même alignée sur la volonté de l’OTAN et de Washington. Les annonces en grande pompe d’envoi d’armes sur les théâtres de guerre ont beau s’enchaîner, la réalité prouve que l’Occident est déjà désarmé et ne peut apporter le soutien attendu par Zelensky et vendu par les va-t-en-guerre, ceux-là mêmes qui excitent également le terrain chinois.

François Asselineau, ancien candidat à la présidentielle et président de l’UPR, l’Union Populaire Républicaine, revient en détail sur l’effondrement de la France sur la scène diplomatique qui semble atteindre les tréfonds avec le candidat de l’oligarchie, Emmanuel Macron, devenu président.

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22:43 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

PARUTION DU NOUVEAU NUMÉRO (N°77) DE LA REVUE "RÉFLÉCHIR ET AGIR"

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16:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Découvrez comment mettre fin au chantage des Sleeping Giants... Connaissez-vous Les Corsaires de France ?

Le site Corsaires de France cliquez là

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Sabotage politique

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Jacques-Olivier Martin

La souveraineté et l’indépendance énergétique tiennent à peu de chose. Il aura suffi, il y a douze ans, d’un petit marchandage politique sur fond d’élection présidentielle pour briser quatre décennies d’une stratégie nucléaire qui ont permis à la France, pays sans gaz ni pétrole, de se doter d’une électricité abondante et décarbonnée. Quel gâchis ! En s’engageant à réduire la part du nucléaire de 75% à 50% de la production d’électricité d’ici à 2025, François Hollande, otage des Verts, a préféré la lutte des classes écolo au pragmatisme énergétique, quitte à sacrifier cette filière d’excellence. Quel avenir pour le nucléaire français, pour EDF, pour Areva, pour les réacteurs de nouvelle génération, pour les prix et les volumes d’électricité ? Autant de questions alors restées sans réponses. Et pour cause : « On s’est mis d’accord sur un marqueur politique, de manière à marquer les esprits. (...) Et après, vogue la galère!», a résumé Arnaud Montebourg, ministre de l’Économie du président socialiste, devant la commission d’enquête de l’Assemblée qui planche actuellement sur «les raisons de la perte de souveraineté et d’indépendance énergétique de la France ».

Et quelle galère, en effet! Pendant deux quinquennats, notre pays est resté prisonnier de cet accord idéologique «de coin de table». Avec les dégâts que l’on sait : la fermeture de Fessenheim, les atermoiements coupables sur l’avenir du parc nucléaire, et la chute d’EDF, privé d’une stratégie claire, de ses revenus, captés par l’État pour faire face à la flambée des prix de l’électricité, et aux prises avec des réacteurs vieillissants. Aujourd’hui, le chef de l’État n’a de cesse de vouloir s’ériger en chantre de la relance de l’atome civil et de l’indépendance électrique retrouvée. L’intention est louable, mais, soyons lucides : si la souveraineté énergétique peut se briser sur « un coin de table » politique, elle ne se reconstruit pas avec de belles promesses ou d’un coup de baguette magique. Pour l’heure, Emmanuel Macron, bien long à rompre avec la ligne Hollande, est aux yeux des Français le président qui a fermé deux réacteurs nucléaires remis à neuf!  

Source : Le Figaro 4/3/2023

13:28 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Bernard Germain remercie les patriotes qui lui ont apporté leurs soutiens

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Chers amis,

Le procès, que le journal Le Poher m’intente, devait avoir lieu ce vendredi 3 mars au tribunal judiciaire de Lorient cliquez ici. Il est reporté à une date ultérieure. Dès que nous la connaîtrons nous vous en informerons cliquez là.

N’ayant pas la possibilité de faire face aux frais de justice qui sont élevés, nous avons fait appel à la solidarité patriotique et nationale.

Les dons collectés, grâce à vos versements et au soutien que m'apporte Reconquête !, me permettent d’assumer les frais de la première instance.

Je remercie du fond du cœur tous ceux qui ont répondu à notre appel et me sont venus en aide.

La cagnotte restera en ligne pendant encore 6 jours.

Les nouveaux dons serviront à financer l’inévitable procès en Appel qui aura lieu à la suite.

Merci d’avance à ceux qui comprendront la situation et répondront à notre appel à la solidarité.

Avec tous mes remerciements

Bernard Germain

Pour ceux qui souhaitent faire

un don, c’est ici : cliquez là

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Journal du chaos

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Pour télécharger, cliquez ICI

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vendredi, 03 mars 2023

Ivan Rioufol reçoit Reynald Secher

Reynald Secher prendra la parole :

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 Prenez dès maintenant votre réservation cliquez là

 

Frédéric Roy - "La France se suicide !" Marché européen de l'énergie

La faillite des entreprises françaises, ces TPEs et PMEs qui sont au bord du gouffre. André Bercoff reçoit Nicolas Meilhan, membre des éconoclastes, conférencier, ingénieur sur les sujets de Transport et d’énergie et Frédéric Roy Artisan-boulanger Niçois.

Nicolas Meilhan : "Chaque jour, une quarantaine de boulangeries ferme en France ! Il faut qu'on sorte de ce marché européen de l'énergie avant qu'il ne soit trop tard !" 

"Si Elisabeth Borne ne comprend pas que l'ARENH n'est pas en train de nous protéger, mais nous tuer à petit feu, on est quand même sacrément mal barré vu que c'est elle qui décide : c'est une scientifique qui a troqué sa règle de calcul contre un plat de lentilles bio."

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Loïk Le Floch-Prigent : "On a confié le destin énergétique de la France à des ignorants"

Loïk Le Floch-Prigent, industriel, ancien PDG de Gaz de France et président de la branche industrie du mouvement patronal ETHIC, répond aux questions de Sonia Mabrouk.

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Arnaud Montebourg auditionné par la commission d'enquête souveraineté de l'Assemblée nationale

Créée à la demande du groupe Les Républicains, la commission d’enquête visant à établir « les raisons de la perte de souveraineté énergétique de la France » poursuit ses auditions. Après Luc Rémont , le Président-directeur général EDF, elle entend Arnaud Montebourg, ancien ministre du Redressement productif (2012-2014).

« On a perdu en 15 ans : Arcelor, Pechiney, Alstom, Technip, Lafarge, Alcatel, Essilor. »

Cette intervention nous explique absolument toutes les mauvaises décisions de ces dix dernières années. J'espère que ça va ouvrir les yeux de beaucoup de Français. Rien que la partie sur les véhicules électriques et thermiques en dit extrêmement long sur l'incompétence de nos politiques.

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Conjectures politiciennes

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

C’est une petite musique qui commence à circuler dans le tout-Paris médiatique et que le landernau politicard répète à l’envie afin de s’effrayer à bon compte. 2027 verrait l’élection de Marine Le Pen à la présidence de la République.

Les ultra-modernes augures expliquent cette prédiction par des analogies. Après deux mandats, Barack Obama qui, s’il avait pu se présenter encore, aurait effectué un troisième, puis un quatrième mandat, a laissé la place à Donald Trump. Ne pouvant plus se représenter, Emmanuel Macron passerait la main à la finaliste malheureuse de 2017 et de 2022. Cette hypothèse hardie se base sur une gauche, unie ou non, absente du second tour, des Républicains en coma dépassé et, surtout, une majorité présidentielle éclatée en plusieurs candidats (Édouard Philippe, François Bayrou, Bruno Le Maire, peut-être Gérald Darmanin et un représentant de l’aile progressiste de la Macronie). Elle parie enfin sur une exaspération populaire générale croissante à venir propice à la victoire du marinisme.

Mais le scénario envisagé ne s’arrête pas en 2027. Il intègre l’échéance présidentielle suivante avec une nouvelle candidature d’Emmanuel Macron, âgé de 55 ans. Il reviendrait à l’Élysée effectuer un nouveau décennat. Observons le tumulte permanent suscité par une opposition protéiforme qui a paralysé, parasité et éclipsé l’action de Trump et du Brésilien Jair Bolsonaro. Aujourd’hui, l’Italienne Giorgia Meloni montre toute la difficulté de diriger un pays occidental quand on ne provient pas entièrement des cénacles officiels. La médiacratie, l’opposition de gauche, la haute-administration et la magistrature l’encerclent et l’empêchent de conduire la politique pour laquelle elle a été élue. En quatre mois, la présidente de Frères d’Italie est revenue sur ses promesses électorales, applique une politique dans la stricte continuité de Mario Draghi et se doit de composer avec la Commission de Bruxelles qui sait que le rapport de force joue en sa faveur.

Malgré une éventuelle majorité absolue au Palais-Bourbon, Marine Le Pen à l’Élysée serait ligotée et surveillée par le Conseil constitutionnel, la Cour de Cassation, la Cour de justice de l’Union pseudo-européenne, la Cour européenne des droits de l’homme, le Conseil d’État, les réseaux d’influence qui noyautent la fonction publique, les syndicats, la médiacratie, l’ONU, l’OTAN, etc. Soit elle renoncerait à des pans entiers de son programme déjà bien léger, ce qui plongerait la France dans la déception, le marasme et la dépolitisation, soit son expérience présidentielle s’achèverait à la Mohamed Morsi, en référence au président islamiste égyptien renversé au bout d’un an en 2013, ce qui inciterait un prompt retour de son prédécesseur à la tête de l’État.

Une autre spéculation excite les commentateurs politiques, à savoir le risque de dissolution de l’Assemblée nationale. Emmanuel Macron s’irrite de ne plus disposer de majorité absolue. Il aurait la tentation de déclencher des législatives anticipées au premier prétexte trouvé. Or, les circonstances présentes ne se prêtent guère à cette manœuvre politicienne. À partir de septembre 2023 se déroulera dans l’Hexagone la Coupe du monde de rugby. Difficile d’être en campagne électorale à ce moment-là. En 2024, hormis les trois – quatre premiers mois de l’année, il y aura d’abord les élections européennes en mai ou en juin, sauf si elles sont couplées avec des législatives anticipées, puis ensuite les Jeux Olympiques. Leur fin constituerait une assez bonne fenêtre de tir à la condition que les JO soient un succès indéniable sur lequel le chef de l’État puisse s’appuyer. Il n’est pas certain que cette manifestation dispendieuse réussisse au regard de l’état des transports publics parisiens, de l’organisation de l’évènement et de la sécurité. Un effet sur-multiplié « Stade de France » avec ces méchants Anglais agresseurs d’honnêtes racailles du 9-3 est fort prévisible.

En cas de dissolution, l’Assemblée nationale conserverait peut-être une majorité relative ou bien, hypothèse plus improbable, consacrerait la victoire du RN. Dans cette perspective, Marine Le Pen a dès à présent annoncé qu’elle refuserait sa nomination à Matignon. À l’instar du Polonais Jaroslav Kaczyński, longtemps chef du groupe parlementaire majoritaire, elle resterait présidente de son groupe au Palais-Bourbon. Ce retrait tactique préserverait en partie ses chances de l’emporter en 2027. Cependant, tout gouvernement RN subirait les entraves énoncées précédemment et vivrait une cohabitation éprouvante avec un président prêt à tout pour le faire dérailler, quitte à redissoudre la chambre basse dès la carence d’une année révolue.

La funeste révision constitutionnelle de 2008 voulue par Nicolas Sarközy et adoptée de justesse par le Congrès à Versailles qui empêche tout troisième mandat présidentiel consécutif fige les initiatives de l’actuel locataire de l’Élysée. Sans cette contrainte stupide, preuve flagrante de l’américanolâtrie de l’ancien maire de Neuilly-sur-Seine, Emmanuel Macron pourrait démissionner, être réélu, dissoudre l’Assemblée de juin 2022 et, cette fois-ci, obtenir une majorité absolue. Toutefois, s’il démissionne au cours de son second mandat, pourrait-il immédiatement se représenter en considérant que l’intérim de la présidence de la République par le président du Sénat compte pour un mandat ? Les constitutionnalistes divergent sur la réponse apportée. Une minorité avance que sa candidature serait légitime et invoque un avis du Conseil d’État rendu le 25 octobre 2022. Saisi par le gouvernement à propos de la présidence de la Polynésie française et de la possibilité qu’un président puisse exercer un troisième mandat alors que la loi organique interdit plus de deux mandats consécutifs de cinq ans chacun, le juge administratif explique finalement que « la disposition s’entend comme limitant à deux mandats successifs de cinq ans complets l’exercice de la présidence de la Polynésie et qu’une personne ayant exercé deux mandats successifs, dont l’un est inférieur à cinq années, peut légalement briguer un troisième mandat ». La plupart des spécialistes s’accorde néanmoins qu’il appartiendrait au Conseil constitutionnel dont les membres ne sont pas impartiaux – on l’a vu avec l’approbation de l’horrible passeport sanitaire -, de valider ou non les parrainages.

Histoire de terrifier leurs quelques lecteurs bien-pensants à peu de frais, la grasse presse et les prescripteurs d’opinions convenus échafaudent volontiers de vaines supputations politiciennes. Il faut toutefois retenir que l’activité politico-électorale se joue pour l’instant dans un cadre règlementaire défavorable à l’Opposition nationale, populaire, sociale, identitaire et européenne. Il lui reviendra le moment venu de s’affranchir du carcan institutionnel en instaurant une situation exceptionnelle apte à remplacer réellement les fondements philosophiques du gouvernement.

Salutations flibustières !

 « Vigie d’un monde en ébullition », n°63, mise en ligne le 1er mars 2023 sur Radio Méridien Zéro.

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jeudi, 02 mars 2023

Satisfaction de la Coordination Partout Callac suite aux encouragements de Jean-Marie Le Pen

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Bernard Germain et Jean-Marie Le Pen

Un communiqué de la Coordination Partout Callac

Jean-Marie Le Pen fut le premier en France à tirer le signal d’alarme sur les dangers de l’immigration. Surtout si elle est complètement incontrôlée comme actuellement.

En réponse, il fût insulté et ostracisé par presque toute la classe politique. Gauche et droite réunie.

Pendant des dizaines d’années. Aujourd’hui encore.

Pourtant il avait raison comme le prouve ce que nous vivons actuellement dans notre pays, qui est au bord de l’abîme et en passe de disparaître si l’évolution actuelle continue encore quelques années sans aucune mesure sérieuse pour l’arrêter.

Des hommes politiques ont eu les mêmes opinions que lui.

Ainsi :

  • Georges Marchais (PCF) pendant la campagne présidentielle de 1980-1981 a déclaré : « il faut arrêter immédiatement toute immigration légale et illégale ». Il faut dire que le PCF régnait sur tous les quartiers populaires. Et dans la « ceinture rouge » (les départements autour de Paris) il était aux premières loges pour constater les effets dévastateurs du regroupement familial que Giscard d’Estaing venait de mettre en œuvre.
  • Michel Rocard (PS) a également déclarer : « La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde » Et à l’époque on était très loin de la situation actuelle. Que dirait-il s’il voyait la situation de notre pays ?
  • La Droite également, toutes tendances confondues, lors de la Convention de la droite a dit et voté une résolution se prononçant clairement pour l’arrêt de toute immigration. On trouvait même dans cette résolution que « l’islam est incompatible avec la République ».

Chirac élu en 1995 oublia tout cela et pratiqua une politique tournant radicalement le dos à ce qu’il avait voté en 1990 avec tous ses amis (Juppé, Sarkozy, Bayrou, … etc).

C’est à partir de ce moment qu’est apparue la « droite républicaine ».

Idem pour la gauche, qui oublia ce qu’avait dit Rocard. A l’inverse elle se mit à glorifier la « différence », les « chances pour la France » et le « vivre ensemble ». 

Seul Jean-Marie Le Pen et le Front national resta fidèle à ses convictions.

Quelques dizaines d’années plus tard, force est de constater que Jean-Marie Le Pen avait raison.

Et les Français l’ont bien compris.

En 1974, il obtenait 0 ,74 % des voix à l’élection présidentielle.

En 2022, Marine Le Pen… grâce à son nom, obtenait plus de 42 % des voix.

Aujourd’hui, Jean-Marie Le Pen, dans son Journal de bord hebdomadaire a commenté l’affaire de Callac ainsi que le site que nous avons lancé « Partout Callac » (www.partoutcallac.fr).

Non seulement il en a parlé, mais il soutient le combat que nous menons contre l’immigration folle que connaît notre pays.

Notre combat marche dans les pas qui étaient les siens. C’est avec fierté que nous entendons ses paroles sur notre combat.

Vous pourrez les entendre sur cette vidéo : cliquez ici.

23:26 Publié dans Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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ATTENTION : LE PROCÈS DE BERNARD GERMAIN PRÉVU VENDREDI 3 MARS À LORIENT EST REPORTÉ

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Vous êtes nombreux à nous avoir fait part de votre intention de vous rendre à Lorient vendredi matin pour venir soutenir notre camarade Bernard Germain, et Christine Tasin, directrice de Résistance républicaine, trainés devant le tribunal suite à un article dénonçant les fantasmes de la presse remplaciste à Callac.

L'avocat de nos amis, Maître Frédéric Pichon, nous fait savoir que le procès est reporté à une date indéterminée. Nous vous demandons par conséquent de ne pas vous déplacer devant le tribunal de Lorient vendredi matin. Cependant, il est nécessaire de rester mobilisés. Nous vous tiendrons informés sur ce site de la suite des événements...

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Samedi 4 mars, au Mans, rassemblement pour la défense de notre patrimoine

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10:01 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'intervention d'Alain Escada, président de Civitas, samedi 25 février à Saint-Brévin-les-Pins

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mercredi, 01 mars 2023

Yona Dureau : Trump/Biden : la plus grande fraude électorale ?

Les élections américaines de 2020 ont donné lieu à la plus grande fraude électorale de tous les temps. Factuellement, cette fraude retentissante, mais étouffée, résulte du long développement d'un processus complexe.

L'ouvrage de Yona Dureau, "Chine-États-Unis : Le réveil du Dragon et la revanche du Kraken", retrace l'historique et les conséquences de la théorie politique et idéologique dite de l'interdépendance qui a fondé les rapprochements successifs de la Chine et des États-Unis depuis 1960. Ces rapprochements successifs ont progressivement changé de nature avec le détournement de la puissance financière des USA et de la Chine au profit d'un petit groupe de politiciens.

Ces détournements ont ensuite requis des complicités internes à l'appareil de ces deux grands États et ont abouti à une corruption systémique, transformant ainsi les gouvernements de l'intérieur pour permettre un contrôle croissant de la Chine sur les États-Unis. La lutte pour le rétablissement d'élections honnêtes a donc pour enjeu l'avenir tout entier de la première puissance mondiale.

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Ingénierie sociale et communication politique : Conférence de Lucien Cerise près de Rouen

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Conférence de Lucien Cerise à proximité de Rouen le samedi 4 mars 2023 à 14 h 15 intitulée « Ingénierie sociale et communication politique » et sous-titrée « Comment communiquer (ingénieusement) en milieu ingénieré ».

Né en 1972, docteur en philosophie, ayant suivi une formation en sciences humaines et sociales (avec une spécialisation dans le langage et l’épistémologie), géopolitologue, essayiste, conférencier et auteur de près d’une dizaine d’ouvrages, dont les fameux Gouverner par le Chaos – Ingénierie sociale et mondialisation (initialement publié anonymement sur Internet, puis aux éditions Max Milo en 2010) et Neuro-Pirates – Réflexions sur l’ingénierie sociale (édité en 2016 par Kontre Kulture)

Lucien Cerise défend l’idée parfaitement « complotiste » que les gouvernements acquis au mondialisme cherchent à « pirater nos cerveaux », avec la complicité des médias de masse dans le but d’instaurer un « Nouvel Ordre mondial » tyrannique, totalitaire, ayant récemment pris la forme – depuis l’épisode « pandémique » du Covid-19 – d’une société de la surveillance à visage techno-sanitaire autant que pseudo-sécuritaire.

Il définit l’ingénierie sociale comme synonyme d’« infiltration des esprits, analyse de nos moindres faits et gestes, contrôle des comportements à distance, marketing de l’intime et autres réjouissances qui font de nous de bons consommateurs ».

Entrée : 10 euros - Apéro dînatoire : 10 euros (optionnel)

Réservations et renseignements : normandie@e-r.fr

Le lieu exact vous sera communiqué au plus tôt la veille, sinon au plus tard le jour même.

Présence d’un stand Kontre Kulture assurant la vente aussi bien de beaux livres classiques que d’affreux ouvrages subversifs !

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« Ce que j’ai reçu de la France »

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Un texte de Bruno Gollnisch publié sur le site de Renaissance catholique cliquez ici

Lorsque Jean-Pierre Maugendre m’a proposé de m’exprimer devant vous, honneur qui m’avait déjà été donné dans le passé, et auquel je suis très sensible, mais honneur redoutable, je suis resté quelques instants perplexe devant le thème qu’il avait choisi : décrire ce que j’avais reçu de la France.

Mettez-vous à ma place : Ce que moi j’ai reçu de la France ? Mais tant de choses ! Et par quel bout commencer ? Et me pardonnera-t-on le narcissisme que m’impose le sujet, consistant à parler de mon cas personnel, alors que chacun d’entre nous a son parcours qui lui est propre, et n’est pas moins riche ?

Héritier d’une incomparable civilisation

Par le seul fait de ma naissance, la France m’a fait héritier du legs d’une incomparable civilisation, fleuron de la civilisation occidentale. Ayant consacré une bonne partie de ma vie à l’étude et à l’enseignement des langues et  civilisations de l’Extrême-Orient, je n’en suis que plus à l’aise pour dire qu’elles comportent certes des œuvres admirables, autant de la matière que de l’esprit, réflexions philosophiques et spirituelles, art dans tous les domaines, porcelaines, architecture, temples, jardins, etc. mais que la nôtre les surpasse encore tant par son extraordinaire diversité selon les époques et les régions, que par sa profusion au profit du plus grand nombre et dans tous les domaines : Lettres, philosophie, sciences, médecine, droit, architecture, beaux-arts, musique, jardins, etc… Comme en témoigne le moindre de nos villages, dans ce qui est aujourd’hui en train de devenir le désert français, avec son église, ses calvaires, son château ou son manoir, son lavoir ou ses halles, ses fermes, ses demeures cossues ou modestes, mais toujours agencées, selon un miracle d’harmonie propre à chacune de nos régions.

J’y suis partout chez moi, puisque je suis français.

« France, mère des arts, des armes et des lois » disait déjà Joachim du Bellay, et de poursuivre : « tu m’as longtemps nourri du lait de ta mamelle ».

Une langue merveilleuse

Mais c’est aussi une langue admirable, par sa précision, sa concision, sa clarté, son héritage de littérature, de théâtre, de réflexion philosophique de toute nature, de poésie…  et surtout, ce qui est paradoxalement plus perceptible à l’oreille pour des étrangers qui ne la parlent pas que pour nous-mêmes, son extraordinaire mélodie.

Je ne partage pas, loin s’en faut, toutes les opinions de l’économiste et écrivain François Rachline, ni celles de l’Institut Montaigne devant lequel il s’exprimait lors d’un intéressant colloque sur le thème « Qu’est-ce qu’être français ? ». Mais comment ne pas être d’accord avec lui lorsqu’il s’exclame : «  Quel autre pays a pu inciter tant d’écrivains à adopter sa langue pour s’exprimer, du Cubain José Maria de Heredia au Tchèque Milan Kundera en passant par l’Américain Julien Green, l’Italien Gabriel d’Annunzio, l’Autrichien Rainer Maria Rilke, l’Irlandais Samuel Beckett, le Roumain Eugène Ionesco, l’Albanais Ismaïl Kadaré ou l’Égyptien Edmond Jabès ? »

Oui, c’est un héritage prodigieux, même s’il n’est pas très facile à appréhender, comme bien des générations qui ont transpiré sur les exercices de grammaire, les conjugaisons, les dictées, les rédactions, les dissertations, peuvent en témoigner. « Ce qui n’est pas clair n’est pas français », écrivit Rivarol… Je pense à ma classe de terminale au lycée Janson de Sailly, où se trouvait aussi Olivier Duhamel, déjà d’une gauche arrogante et bourgeoise. Notre professeur de philosophie M. Boulay prévenait que dans une copie l’expression « en général » qui ne serait pas suivie un peu plus loin de : « mais en particulier » ne serait dès lors qu’un alibi de l’approximation de la pensée, et serait frappée de 5 points de moins. Le sujet de notre première dissertation était : « Regret, remords, repentir » ; et débrouillez-vous avec ça. On apprenait à réfléchir au sens des mots ! Je ne sais lequel de ces trois termes occupe aujourd’hui la conscience de Duhamel…

Le sujet de la deuxième dissertation consistait à commenter le premier des aphorismes d’Hippocrate « ars longa, vita brevis », : « L’art est long ; la vie est brève ».  Je n’ai connu que plus tard le texte complet :

Ars longa,
Vita brevis
Occasio praeceps
Experimentum periculosum
Judicium difficile

Approximativement : L’art est long ; la vie est brève, l’occasion fugitive, l’expérimentation dangereuse, le jugement difficile. En somme : un résumé de la condition humaine.

Oui, la vie humaine est brève, et l’art, c’est-à-dire, comme l’exprime mieux le mot grec tekhné, non seulement le legs des artistes, mais tous les savoir-faire, tous les acquis de la science et des techniques, en un mot : la civilisation, sont le fruit, le prolongement continu, de plusieurs vies de travail. En France, c’est le fruit du labeur de près de deux milliards d’êtres humains qui, depuis l’aube des temps historiques, y ont vécu, travaillé, aimé, souffert, et parfois sont morts pour elle. « Les morts gouvernent les vivants » écrivait Auguste Comte. Et cet héritage nous est donné d’emblée. Voilà pourquoi le patriotisme bien compris est une forme de la piété filiale, comme se plaisait à le rappeler le regretté Jean Madiran.

L’esprit d’un peuple

Ce que j’ai reçu de la France aussi, c’est l’esprit véritable de son peuple. Je pense en particulier au petit peuple de Paris de mon enfance, qui a presque disparu, travailleur, enjoué souvent, râleur parfois, gouailleur, impertinent à l’égard des puissants, et fidèle en amitié. Voici ce que disait il y a 450 ans Montaigne du peuple de France : « C’est un bon peuple, guerrier et généreux, capable pourtant d’obéissance et discipline, et de servir à quelque bon usage, s’il y est bien guidé. » Bien guidé, c’est tout le problème…

De la France, en principe fille aînée de l’Église – mais qui donne beaucoup de soucis à sa mère – j’ai aussi reçu le don fragile et précieux de la foi, héritage de la cohorte de saints, de martyrs, de religieux et de religieuses, de missionnaires de toutes vocations ; et quand j’y songe, je repense surtout à mes aumôniers de lycée ou de scoutisme, et dans ma petite enfance, à mes deux bonnes grands-mères qui en furent les canaux, non exclusifs, mais privilégiés.

Plus particulièrement la France, dans mon cas personnel, m’a offert un enseignement de grande qualité, qui ne fut perturbé au niveau supérieur que par le désordre, produit par la violence haineuse des révolutionnaires gauchistes (ma première année de faculté, c’était à Nanterre en 1967-68 !). Études de sciences politiques, de langues étrangères, et de droit ; de ce droit qui est (ou plutôt qui était) en France admirable de logique et de clarté. Dans quel autre pays, muni du seul certificat national de fin d’enseignement secondaire pouvait-on s’orienter librement vers la formation de son choix presque sans autre formalité ? Et sans avoir à débourser de sommes considérables ?

Lorsque fut venu pour moi le temps de la servir sous ses drapeaux, la France a fait confiance au tout jeune homme que j’étais en en faisant un officier de marine qui eut la chance de connaître en un court laps de temps embarquements divers et missions passionnantes.

A l’issue, la France m’a offert un séjour d’études au Japon de 18 mois comme boursier du ministère des affaires étrangères. Elle m’a ensuite incorporé dans son corps enseignant, et confié la direction d’une faculté où l’on enseignait 25 langues et civilisations étrangères à plus de 2000 étudiants…

Elle a aussi fait de moi un avocat et plus tard un élu, même si ce fut au prix d’âpres combats contre la dictature de plus en plus prégnante, morale, physique, professionnelle, médiatique, de la pensée unique.

Autre chose : lorsque moi-même, puis ma pauvre épouse, fûmes atteints dans notre santé, la France nous a soignés presque gratuitement. Je le mentionne, car il n’y a pas beaucoup de pays où c’est le cas. Moi qui dans ma jeunesse, fort de ma bonne santé, pestais contre les abus de la sécurité sociale, lorsque parvenu à l’âge mûr et fatigué par une vie trop trépidante, je dus subir un quadruple pontage coronarien, suivi d’une hospitalisation de trois semaines, et d’une longue rééducation, je me souviens de ma stupéfaction, quand à la sortie de l’hôpital on me présenta la facture, assez considérable, tout en me précisant que la seule chose que j’avais à payer… c’était la location de la télévision.

Oh, bien sûr, rien de tout cela n’allait forcément de soi ; et ce que j’ai reçu comportait parfois une part d’épreuves, de persécutions, et parfois même de fiel et d’amertume. Et je me suis parfois identifié à du Bellay que j’ai cité à l’instant lorsqu’il dit encore à la France qu’il interpelle :

Je remplis de ton nom les antres et les bois (…)
Que ne me réponds-tu maintenant, ô cruelle ?
France, France, réponds à ma triste querelle !
Mais nul, sinon Écho, ne répond à ma voix.

France que mon cœur aimer doit

Car je ne me résous pas à faire miennes les fureurs destructrices de l’esprit révolutionnaire, non plus que les affreux symptômes de décadence maquillés en individualisme libéral et en avancées sociétales, comme ils disent…

Mais je ne demande pas le bénéfice d’inventaire. J’accepte tout, je ferai le tri plus tard. Je prends tout de cette France qui sut se faire aimer par des étrangers comme  ma pauvre Setsuko, qui connaissait les mérites de chacun de nos rois, ou comme Savorgnan de Brazza, venu d’Italie, enseigne de vaisseau à titre étranger, qui explore l’Afrique équatoriale et l’acquiert à la France, ou le lieutenant d’origine polonaise Guillaume Kostrowitky dit Guillaume Apollinaire, engagé volontaire, mort en 1918 des suites de ses blessures, dont la poésie m’évoque le souvenir de mon grand-père maternel, jeune héros de la Grande Guerre…

Si je mourais là-bas sur le front de l’armée
Tu pleurerais un jour, Ô Lou, ma bien-aimée
Et puis mon souvenir s’éteindrait comme meurt
Un obus éclatant sur le front de l’armée
Un bel obus semblable aux mimosas en fleurs

Car la France m’a donné de vives illustrations de l’Honneur, au singulier, toujours préférable au pluriel. Elle m’a appris que même les échecs pouvaient être glorieux : Jeanne brûlée vive à Rouen, Jean Le Bon à Poitiers, Camerone, Bazeilles, les Cadets de Saumur, Dien Bien Phu…

Et je fais miens en conclusion les vers de Charles d’Orléans, prisonnier 25 ans des Anglais après le désastre d’Azincourt, regardant au loin depuis Douvres les côtes de notre pays :

Si commençai de cœur à soupirer,
Combien certes que grand bien me faisoit
De voir France que mon cœur aimer doit.

France que mon cœur aimer doit … 

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Marylou Mary est décédée

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Marylou Mary, compagne de notre ami Bernard Bres - militant bien connu de la cause qui a collaboré à plusieurs numéros de la revue Synthèse nationale ainsi qu'à Rivarol - avait adhéré au début des années 1980 au Front national, puis avait suivi Bruno Mégret en 1999.

« Pied Noire » de naissance, elle était une active participante aux activités du Cercle algérianiste de Paris/Neuilly.

Elle nous a quittés courant février.

Que son compagnon, Bernard, trouve ici nos condoléances attristées.

Jean-Claude Rolinat

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Au-delà de la fatalité du mal, le vide de sens

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Bien que très différents, les drames vécus et causés par Pierre Palmade et l’assassinat de la professeur de Saint-Jean-de-Luz questionnent notre humanité, affirme l’historien et essayiste, Pierre Vermeren. Si, de tout temps et en tout lieu, le mal a existé, ni l’économie de marché ni l’État de droit n’offrent un idéal permettant de lutter contre les afflictions de l’âme.

Lire la suite ICI 

Source : Le Figaro 28/2/2023

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mardi, 28 février 2023

Face au terrorisme de gauche : la droite nationale unie a tenu bon

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