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mercredi, 05 octobre 2022

JEAN-CLAUDE ROLINAT INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS BLEU-BLANC-ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE LE DIMANCHE 16 OCTOBRE À RUNGIS (94)

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François Braun, le Ministre « Zangra » des déserts médicaux

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La chronique de Philippe Randa

Braun. François Braun. Pour ceux qui l’ignoreraient, c’est le nouveau ministre de la Santé et de la Prévention. Un ministre qui entend faire bouger les choses : ambition que son prédécesseur Olivier Véran, devenu porte-parole du gouvernement, appréciera comme on s’en doute.

Les « choses », dans le domaine médical, c’est entre autres, le souci des déserts médicaux… Fort bien ! Il n’en serait effectivement que temps et même « grand temps », personne ne le contestera.

À défaut d’avoir déjà les solutions à cet épineux problème, le Ministre sait au moins où les trouver, comme il l’a confié au quotidien Ouest France : « (Elles) viendront des territoires. […] Le nouveau ministre de la Santé et de la Prévention, “médecin de terrain”, est persuadé que les territoires savent ce qu’il faut faire pour résoudre leurs problèmes en matière de santé. Il propose de les écouter et de les aider à mettre leurs solutions en œuvre. Et vite. »

« Médecin de terrain », « écouter », « aider », « vite » : qu’en termes de communication choisis ces choses sont dites pour ne contrarier personne et ne pas risquer d’être critiqué, même si des esprits chagrins peuvent traduire de si belles intentions en ces termes plus exacts : « On va voir ce qu’on va voir en laissant le temps au temps tout en se dépêchant de ne pas se précipiter » …

Et donc, pour mettre en œuvre son plan audacieux, rien de mieux qu’une première réunion du Conseil national de la refondation (CNR) sur le thème de la santé le lundi 3 octobre, au Mans (Sarthe)…

Pourquoi le choix de cette région ? Parce que, dixit le ministre, c’est « un territoire où les problèmes d’accès à la santé sont importants, mais où l’intelligence locale collective parvient à trouver des solutions. C’est ce qui m’intéresse, c’est d’aller voir comment ils font. »

On est évidemment tout aussi curieux que lui de connaître lesdites solutions, guère miraculeuses néanmoins, puisqu’en mars dernier, le même quotidien Ouest-France relayait une enquête de UFC Que choisir Sarthe nous apprenant que neuf médecins généralistes sur dix et autant de dentistes ne prenaient plus de nouveaux patients… et que 13 % de la population du département se trouvait sans médecin traitant, selon l’Association de citoyens contre les déserts médicaux (ACCDM).

N’empêche, François Braun est « très confiant », puisque « les représentants de nos “parties prenantes” nationales ont compris la démarche », qu’il y a « une vraie volonté de participer », et « des concitoyens qui veulent qu’on prenne en compte leurs problèmes », ainsi que « des professionnels de santé, des élus, qui ont leur rôle à jouer… »

François Braun est indiscutablement maître dans l’art de parler pour ne strictement rien dire !

Mais qu’on se rassure, si toutes les solutions n’existaient pas (encore ? déjà ? Ah bon ?) dans la Sarthe, « il y aura une partie nationale, avec interrogation des Français par voie numérique et discussion autour de questions transversales, qui va prendre un peu plus de temps»

Plus de temps est un peu contradictoire avec la volonté du Ministre d’aider les territoires « à mettre leurs solutions en œuvre. Et vite », mais bon, va pour la rapidité sans précipitation, pas trop vite le matin et doucement l’après-midi, donc !

En attendant, les Français pourront toujours se consoler en adaptant à son intention la chanson Zangra de Jacques Brel :

Je m’appelle Braun et je suis Ministre

Au gouvernement d’Élisabeth Borne

Et je veux être aussi un héros

En attendant ce jour je m’ennuie quelquefois

Alors je vais au Mans qui domine les déserts médicaux

D’où les solutions viendront qui me feront héros.

Je m’appelle Braun hier trop insignifiant ministre

Quand je quitterais le ministère on risque bien

Que les déserts médicaux soient toujours là,

Au Mans comme ailleurs

Et je ne serai pas héros…

20:24 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Représailles au sabotage des gazoducs par l’Amérique : les câbles sous-marins internet !

ROUSSET M 2.JPGMarc Rousset

Vladimir Poutine, lors de son discours au Kremlin, qui fera date, d’unification à la Fédération de Russie, du vendredi 30 septembre, a accusé l’Amérique d’avoir provoqué l’explosion des gazoducs : « La dictature des États-Unis repose sur la force brute, c’est la loi du plus fort ». Poutine a imputé ce sabotage aux États-Unis qui « font pression » sur les pays européens pour qu’ils coupent complètement leur approvisionnement en gaz russe « afin de s’emparer (eux-mêmes) du marché européen ».

Et Poutine accusateur encore plus direct et formel contre les États-Unis d’ajouter dans son discours afin d’ouvrir les yeux aux Européens lobotomisés, des traîtres que sont Macron, Scholz, von der Leyen : « Les sanctions ne suffisent pas aux Anglo-Saxons ; ils sont passés au sabotage incroyable, mais vrai : après avoir organisé des explosions sur les gazoducs internationaux Nord Stream, qui longent le fond de la mer Baltique, ils ont commencé à détruire les infrastructures énergétiques paneuropéennes. C’est clair pour tous ceux qui en bénéficient. C’est celui qui en profite qui l’a fait, bien sûr ». Le saboteur, c’est donc bien les États-Unis et personne d’autre ! À qui profite le crime ? Aux seuls États-Unis !

Le sabotage est énorme et n’a pu être réalisé que par une puissance étatique puisqu’il y a eu deux explosions de 500 kg et 700 kg de TNT (magnitudes 2,1 et 2,3 sur l’échelle de Richter) dans les eaux internationales à l’est de l’île danoise de Bornholm, selon l’institut norvégien de sismologie « Norsar ». Les fuites de gaz sont énormes avec des bouillonnements allant de 200 à 900 mètres de diamètre, jusqu’à ce que les deux gazoducs Nord Stream 1 et 2 se vident complètement en plusieurs jours. Il semble que les deux gazoducs soient inutilisables car l’eau est rentrée dans les gazoducs pour les remplir complètement avec des dommages irréparables.

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20:05 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Racaille Football Club, le nouveau visage de la France

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Equipe de France en 1939

 

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Equipe de France aujourdhui

François Bousquet*

Vue de l’étranger, la France se résume à une poignée de clichés touristiques. La tour Eiffel, le château de Versailles, le bicorne de Napoléon, le Moulin rouge, les sacs Louis Vuitton – et l’équipe nationale de football. Impossible d’y échapper. Plus d’un milliard de téléspectateurs lors de la finale de la Coupe du monde 2018 entre la France et la Croatie. Le football a tout d’une pandémie mondiale. C’est le retour du Circus Maximus projeté sur la scène du monde, tant on se croirait revenu à Rome et à ses jeux du cirque, lorsque les poètes Martial et Juvénal s’indignaient que tel conducteur de char gagne autant que cent juristes ou que tel gladiateur rafle en une heure quinze bourses d’or. Que ne diraient-ils aujourd’hui des kilotonnes d’or déversés sur les divas du ballon rond. Chez nous, les divas sont noires. Quand elles ne font pas du rap, elles tapent dans un ballon.

Qu’on le veuille ou non, le foot est la vitrine de la France à l’étranger. Or, la vitrine ressemble à la devanture d’une boutique afro dans le 18e arrondissement parisien ou à des revendeurs à la sauvette au métro Stalingrad. C’est la Françafrique transplantée en bord de Seine. C’est elle qui fournit les effectifs des équipes de foot professionnel. Black-black-black, comme s’en affligeait naguère un de nos meilleurs académiciens.

Minorité visible, majorité invisible

Le football est un miroir grossissant. Il dit avec vingt ou trente ans d’avance ce que sera la France de demain. Une société multiculturelle, exotique et violente placée sous le signe du croissant vert. Langue officielle : le verlan mélangé de mots arabes, les « wesh » et les « wallah » des caïds de barre d’immeuble. Le 56e pays de la Confédération africaine dont la capitale gastronomique sera le KFC du coin.

En 2011, Mediapart, officine de délation, selon la taxinomie consacrée, osa parler de « quotas discriminatoires officieux » au cœur de la Direction technique nationale du football français au prétexte que le sélectionneur national, le si mal nommé Laurent Blanc, s’était dit accablé par la surreprésentation de « grands noirs costauds qui sautent haut », de « rebeus techniques » et de binationaux ingrats qui s’empressent de rejoindre la sélection de leur pays d’origine. Si discriminations il y a, n’en déplaise à Edwy Plenel, c’est à l’encontre des joueurs blancs qu’elle s’exerce.

Le foot a longtemps été l’ascenseur social le plus rapide pour les enfants des classes populaires. Il y a un siècle ou deux, ils entraient au petit séminaire. C’est l’histoire de Julien Sorel. Mais il n’y a plus de séminaire. Le héros de Stendhal en est réduit à frapper à la porte des centres de formation, qui reste obstinément fermée. Zéro Blanc, sinon pour se faire découper les jambes. La composition ethnique monochrome desdits centres de formation ne laisse planer aucun doute sur le sujet.

En 2010, un doctorant s’était amusé à calculer la proportion de joueurs noirs parmi les effectifs des clubs professionnels français : ils constituaient environ 45 % de l’ensemble. Et 65 % en équipe de France A. En dix ans, la proportion s’est nettement accrue. Lors du dernier match de la France contre le Danemark, le 25 septembre dernier, le « onze » titulaire comportait plus de 70 % de joueurs de couleur ; et plus de 80 % à la fin du match. C’est la norme désormais. Les minorités visibles sont majoritaires, pendant que la majorité historique est invisibilisée.

Sociologie de la racaille

La vérité, c’est que le foot français est quasi intégralement grand-remplacé. Il préfigure notre destin démographique – et notre destin tout court. C’est le Racaille Football Club, titre d’un livre au vitriol de Daniel Riolo. Nous étions en 2013. Le souvenir de la grève des joueurs à la Coupe du monde 2010 en Afrique du Sud était encore dans toutes les têtes. Alors que Nelson Mandela et Frederik de Klerk venaient d’abolir l’apartheid, Franck Ribéry – Bilal, Yousouf, Mohammed, de son état civil islamique complet – se préparait à le restaurer dans le vestiaire de l’équipe de France en persécutant le si falot Yoann Gourcuff, un « jambon-beurre » breton sans saveur, j’en conviens, mais un « jambon-beurre » tout de même.

Ribéry n’a certes pas été le dernier Blanc sélectionné en équipe de France, mais il appartient indiscutablement à la famille des Homo racaillus. Il en a même inauguré le modèle halal : la charia de la caillera, entre une partie de jambes en l’air avec Zahia et un pèlerinage à La Mecque. Depuis, on n’a pas fait mieux. Il faut dire qu’on ne retrouvera pas de sitôt une pareille dentition chevaline, le Fernandel du Nord, l’humour en moins, la bêtise en plus, affligé d’une balafre de pirate qui fait de lui le clone déglingué de Tony Montana, dit Scarface, le balafré. Ribéry, c’est une réplique de Jacquouille la Fripouille acheté en soldes dans une braderie islamique du Pas-de-Calais. Joueur de l’équipe de France, mais supporter avec sa femme, Wahiba Ribéry, de l’équipe d’Algérie.

Qu’est-ce qu’une racaille ? Le dictionnaire souffre de graves imprécisions. Il s’en tient à une définition a minima qui en ignore la pluralité de sens. La racaille a remplacé la canaille. La canaille était indigène, la racaille est allogène. Une racaille digne de ce nom porte une capuche, même quand il fait 50°C, ou bien arbore une casquette Lacoste criarde mal vissée sur la tête. Aux pieds, des tennis de marque fluorescents ; un sac banane saugrenu accroché à l’épaule. Flanqué de son maillot du Racaille Football Club, il marche en roulant des épaules et en dodelinant la tête comme une poule d’eau. Quand il n’alpague pas des « meufs » dans le métro, il cherche des embrouilles. Pour lui, le monde se divise en « frérots » et en « blaireaux ». Le blaireau, c’est pourtant lui avec son QI de crevette.

Typologie de la racaille

Quatre affaires récentes viennent nous rappeler l’omniprésence footballistique d’Homo racaillus. Elles s’ajoutent à des dizaines d’autres : arbitres molestés dans les divisions inférieures, hidjabeuses vindicatives, douches prises en caleçon pour ne pas offenser la pudeur islamique, etc.

La première de ces quatre affaires, étonnamment sous-médiatisée, en France du moins, pas en Pologne, concerne les Bleuets, réservoir de la grande équipe de France. Le 25 septembre, à Limoges, les Bleuets – près de 90 % de joueurs issus de la « diversité » – perdaient lamentablement contre la Pologne après l’arrêt du match sur décision de l’arbitre suite à la quatrième exclusion d’un joueur français, qui, après avoir sauvagement cisaillé un joueur polonais, a cru devoir terminer le travail en apothéose en lui assénant un coup de boule. Les Bleuets, c’est l’entrée de gamme de la racaille et son armée de réserve.

La seconde affaire est aussi symptomatique. Elle met en scène des BBC – je laisse à chacun le soin d’aller voir la signification de l’acronyme sur Internet – et des « Wags », en bon français les épouses ou les petites amies de joueurs professionnels qui ont la fesse un peu légère. Je ne sais si les sept jeunes filles que Benjamin Mendy, champion du monde 2018 qui évolue à Manchester City, a – ou aurait – violées appartiennent à cette catégorie. Lui, c’est la racaille en mode serial violeur.

La troisième affaire est une variante françafricaine du crêpage de chignons. Le 4 novembre dernier, la joueuse du PSG, Kheira Hamraoui, internationale française, comme son nom ne l’indique pas, était victime d’une violente agression à coups de barre de fer par deux hommes cagoulés. La commanditaire présumée serait Aminata Diallo, l’une de ses coéquipières et rivales au PSG et en équipe de France, sur fond de jalousie et de diablerie anti-Blancs. L’agent de Diallo disant vouloir « découper » les « racailles de Babtous » que compte l’encadrement du PSG. Elle, c’est la racaille en souillon hargneuse.

Nos invasions barbares

La quatrième, c’est l’inénarrable feuilleton à rebondissements des frères Pogba, Paul le vaudou et Mathias le voyou, tous deux convertis à l’islam. Le second, aujourd’hui en détention provisoire, accuse le premier d’avoir payé un sorcier pour marabouter Kylian Mbappé. Un chantage fort peu fraternel à plusieurs millions d’euros. Eux, c’est le modèle familial de la racaille.

Les mauvaises langues feront valoir qu’on n’a dénombré dans ces affaires aucun mort, à la différence du drame survenu dans un stade indonésien. C’est vrai. Mais ce n’est pas moins vrai que c’est un autre drame qui se joue chez nous : celui des invasions barbares, prélude à la chute de l’empire européen d’Occident. Le foot en est l’avant-garde.

(*) François Bousquet est le rédacteur en chef de la revue Eléments.

Source : radio Courtoisie

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L’Occident fatigué

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Gaëtan de Capèle

C’est une lame de fond que personne n’avait vue venir. Longtemps obsédé par la lutte contre le chômage, ce cancer social qui détruit les individus, les familles, parfois des territoires entiers, l’Occident affronte désormais son double négatif : la remise en question du travail. En France, en Europe, aux États-Unis, les jeunes générations, mais aussi celles déjà installées dans la vie, refusent de faire de leur activité professionnelle le centre de leur existence. Au diable l’ambition, le besoin d’émancipation, la soif de reconnaissance, le désir d’enrichissement. Autrefois prioritaire, le travail devient un accessoire au service de préoccupations aux contours nouveaux : accomplissement personnel, préservation de la vie familiale, quête de sens, défense de l’environnement. Les offres d’emplois ne trouvent plus preneur, les démissions deviennent monnaie courante, les candidats dictent leurs exigences aux recruteurs, l’engagement au service de son entreprise se réduit au strict minimum (le fameux « quiet quitting »). Entre crise environnementale et crise sanitaire, on connaît les moteurs de cette révolution silencieuse. Pourquoi produire et consommer toujours davantage si la planète se consume ? Pourquoi retourner au bureau quand tout a à peu près fonctionné des mois durant en télé-travail ? Pourquoi se ruer sur le premier emploi quand, chez nous plus que partout ailleurs, l’intervention massive de l’État a démontré la possibilité de vivre de subsides publics en cas d’arrêt de l’activité ? La valeur travail, que Macron et la droite veulent réhabiliter, n’a plus la cote. Elle la retrouvera d’autant moins que gauche et syndicats réunis, qui la défendaient bec et ongles, y sont désormais quasiment tous foncièrement hostiles, lui préférant le droit à la paresse. Il faut tout le confort de notre société d’abondance et de notre modèle social sans équivalent pour s’autoriser cette prise de distance avec l’effort et les contraintes professionnelles. Mais la France et l’Occident ne sont pas seuls au monde. Ailleurs, d’autres n’ont pas ce luxe. Sans états d’âme, ils accélèrent et nous défient. Il faudra bien se réveiller avant qu’il soit trop tard.

Source : Figaro 4/10/2022

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mardi, 04 octobre 2022

XAVIER EMAN, JOURNALISTE ET ESSAYISTE, INTERVIENDRA DIMANCHE 16 OCTOBRE À RUNGIS LORS DU RENDEZ-VOUS BLEU-BLANC-ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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Revue de presse : Législative partielle dans les Yvelines : à Versailles, Reconquête monte en force

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Laurence Trochu, candidate de Reconquête !

Julie Ménard Le Parisien cliquez ici

Le parti d’Éric Zemmour a gagné trois points ce dimanche par rapport au premier tour de l’élection de juin sur l’ensemble de la circonscription. Il s’est même placé en deuxième position dans la cité royale, devant la Nupes, les LR et le RN.

La tendance se vérifie. Reconquête dispose bien d’un noyau dur à Versailles. À l’issue de ce premier tour de l’élection législative partielle sur la 2e circonscription des Yvelines, le parti d’extrême droite renforce ses acquis. Avec un score global de 11,07 %, la candidate Laurence Trochu se place en quatrième position du scrutin. Mais dans la cité royale, elle obtient 737 voix et se positionne comme principale opposante du ministre député sortant, Jean-Noël Barrot (MoDem), qui enregistre 1 371 bulletins en sa faveur.

« Ça montre que Reconquête est capable de mobiliser encore, commente Laurence Trochu. C’est la droite que veulent les Versaillais, c’est très clair. » Candidate sur la 1re circonscription en juin, elle a finalement repris la... 2e à la place de son homologue Céline Jullié « qui ne pouvait pas mener cette campagne au pied levé en septembre, pour des raisons familiales ».

Et malgré un taux d’abstention qui a atteint 73,33 % ce dimanche, les soutiens de son camp étaient bien présents aux urnes. « C’est l’électorat de Reconquête qui s’est le plus mobilisé, on a une base militante très solide à Versailles », analyse Laurence Trochu.

La Présidente du mouvement conservateur Sens Commun, conseillère départementale et conseillère municipale de Guyancourt, avait reçu le soutien de Marion Maréchal et d’Éric Zemmour, qui s’est déplacé dans un café versaillais la semaine dernière.

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lundi, 03 octobre 2022

Loïk Le Floch-Prigent : Nord Stream, nucléaire... le sabotage énergétique

Les Français auront-ils du chauffage cet hiver ou devront-ils tous céder à l’injonction de Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie, d’acheter des cols roulés ? Alors que la guerre en Ukraine a permis à Ursula von der Leyen de décréter des sanctions qui portent préjudice à nos pays européens, la disparition de notre souveraineté énergétique était programmée de longue date et entamée depuis longtemps à force de politique de sape de l’industrie. L’abandon de la maintenance des centrales nucléaires ajouté à l’obsession pour les éoliennes sans discernement, en passant par des approvisionnements étrangers incohérents, voilà désormais la France renvoyée à l’heure des délestages, des rationnements et des pénuries.

Ancien patron de Gaz de France, d’ELF Aquitaine et de la SNCF, Loïk Le Floch-Prigent (Auteur de "Il ne faut pas se tromper - Pour en finir avec les idées reçues sur l'énergie et l'industrie" chez Elytel disponible ici) est parmi les ingénieurs et experts qui connaissent le mieux le secteur énergétique. Il explique comment les grands patrons doivent réapprendre à défendre leurs entreprises avant d’obéir aux politiques incohérentes. Dans une émission abordable et didactique, autant que fournie et précise, il démonte les politiques qui ont contribué, étape après étape, à saborder notre indépendance énergétique. De la pression des prétendus écologiques pleins d’idéologie aux ingérences extérieures en passant par la méconnaissance économie et géopolitique, rien n’a de sens, ni de cohérence.

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Hommage à Paul Veyne

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On ne le répétera jamais assez, la lecture des Anciens demeure le socle d’une anthropologie sociale européenne. Le philosophe Jean-Michel Delacomptée rend ici hommage à Paul Veyne récemment décédé et qui fut pour les Romains ce que fut Jacqueline de Romilly pour les Grecs. Il nous démontre une fois de plus que les errements actuels, notamment au sujet de la remise en cause du patriarcat et de la montée du féminisme militant collé à toutes les sauces ne visent qu’à remettre en question les fondements même de notre culture. L’optimisme dans cette affaire est que ces stupides combats répondent de cet adage « les chiens aboient la caravane passe ».

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Source : Le Figaro 3/10/2022

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L'ÉCONOMISTE BERNARD MONOT INTERVIENDRA LE DIMANCHE 16 OCTOBRE LORS DU RENDEZ-VOUS BLEU-BLANC-ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE À RUNGIS

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dimanche, 02 octobre 2022

Jean-Dominique Michel : "Le naufrage de l’Occident : fraudes et corruption au temps du Covid"

Il était une fois un Occident marqué par le siècle des Lumières. Droits humains, libertés individuelles, débats ouverts et critiques, aspirations démocratiques ont peu à peu constitué un socle de valeurs communes. Même si ces valeurs n’étaient, de loin, pas pleinement réalisées ni respectées. Même si d’autres peuples, ainsi que la nature, étaient surexploités et endommagés. Même si elles servaient de prétexte à des conflits barbares. Mais ces valeurs scintillaient comme une lueur d’espoir pour l’humanité.

En quelques années, tout semble basculer brutalement. L’exposé de l’anthropologue Jean-Dominique Michel, « Le naufrage de l’Occident : fraudes et corruption au temps du Covid », énumère avec précision le laminage de deux siècles d’avancées humanistes.

La gestion politique et commerciale de la crise sanitaire se caractérise, dit-il, par le déni et l’occultation des faits ou opinions avancés par ceux qui questionnent cette gestion. Et aussi par le harcèlement, voire la persécution des voix dissidentes.

Des grands savants comme Montagnier ou Perronne ont été discrédités sans pouvoir répondre, ou menacés de sanctions. Des salles sont refusées ou retirées lorsque des personnalités affublées du label qui tue – « complotiste » – sont invitées à s’exprimer.

Des catégories comme les non-vaccinés, traités d’égoïstes ou irresponsables, sont privés de liberté ou d’emploi. La détresse des enfants condamnés au masque n’est pas prise en compte. Ceux qui ont des idées non conformes se taisent ou dépriment.

Jean-Dominique Michel décrit une inexorable dérive totalitaire. Pensée unique et sectaire, fabrication d’une fausse réalité inoculée par une propagande massive, colonisation progressive de tous les aspects de nos vies, colonisation des esprits amenés à défendre l’indéfendable.

On ose, secrètement, espérer qu’il exagère et que le cauchemar n’arrivera pas. Mais en tout cas, les avertissements de nombreux scientifiques comme lui pourront peut-être permettre aux citoyens de stopper la marche vers l’irréparable.

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Source : E&R

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AVEZ-VOUS PENSÉ À RÉSERVER VOTRE STAND AU RENDEZ-VOUS BLEU-BLANC-ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE DU DIMANCHE 16 OCTOBRE PROCHAIN ?

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Chaque année, lors des 13 précédentes Journées de Synthèse nationale, de nombreuses associations, maisons d'éditions, revues et publications non-conformistes, entreprises commerciales ou artisanales, des auteurs indépendants, des producteurs du terroir... réservent des stands pour faire connaître leurs activités et vendre leur produits. Chaque année, plus de 80% d'entre eux reviennent avec enthousiasme. Déjà, plus de 40 stands sont retenus pour le dimanche 16 octobre prochain.

Alors, vous aussi qui dirigez une structure susceptible d'intéresser le public présent, qu'attendez-vous pour la faire encore plus connaître ? Prenez contact avec le comité d'organisation synthesenationale2022@gmail.com. Un  dossier vous sera aussitôt adressé pour vous inscrire à ce nouveau Rendez-vous Bleu-Blanc-Rouge. Nous serons heureux de vous recevoir à cette grande manifestation nationale et identitaire.

Plus d'infos sur ce 14e RDV BBR cliquez là

13:12 Publié dans 14 - Les 14e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vouloir renverser Poutine : une logique particulièrement dangereuse

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Pierre Lellouche, ancien président de l’Assemblée parlementaire de l’Otan s’inquiète d’une « escalade imprécatoire » qui, selon lui, a transformé un conflit territorial et géopolitique en guerre de civilisation, ruinant tout espoir de négociation et de sortie de crise.

 Lire la suite ICI

Source, Le Figaro, 1er octobre 2022

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samedi, 01 octobre 2022

CALLAC : Bernard Germain, porte-parole de l'Association de défense de Callac et ses environs, reçu par Radio Courtoisie et par Jean-Marie Le Pen

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Bernard Germain vient de présenter à Jean-Marie Le Pen la situation que subissent les habitants de Callac et ses environs.

Mercredi dernier, Bernard Germain, prote-parole de l'Association de défense de Callac et ses environs, était invité sur les ondes de Radio Courtoisie cliquez ici pour expliquer les raisons de l'opposition d'un nombre grandissant d'habitants de la commune et de sa région au projet Horizon visant à installer à court terme 70 familles de migrants dans ce bourg breton.

Jeudi après-midi, avant de participer à une autre émission sur TV ADP, Bernard Germain a été reçu par le fondateur du Front national, Jean-Marie Le Pen, qui, depuis 50 ans, dénonce sans relâche l'immigration sauvage qui, peu à peu, change considérablement l'identité de notre pays. Il a pu ainsi exposer la situation catastrophique qui se profile à Callac au président Le Pen qui, en tant que Breton et Français, a été très intéressé.

L'Association entend donner une dimension nationale à ce qui se passe à Callac. Des nouvelles initiatives seront prises très prochainement.

12:12 Publié dans Callac 22, Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La fausse conscience de l’Occident

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Emmanuel Todd*

Si l'on me demandait quel concept caractérise le mieux l'Occident actuel, je répondrais sans hésiter : la «fausse conscience ». Nous ne savons plus ce que nous sommes, ce que sont les autres et ce qu'ils pensent de nous. Nous avons laissé détruire nos industries et nos classes ouvrières. Les inégalités s'envolent et notre niveau de vie baisse. Aux États-Unis, l'espérance de vie des pauvres diminue. La puissance du capital financier y a transformé le système politique en joujou des riches. Partout en Occident, la nouvelle stratification éducative a fabriqué des mondes séparés pour les éduqués supérieurs et les demi-citoyens de l'éducation secondaire. Si les transformations économiques et culturelles ont laissé subsister les institutions de la démocratie, elles en ont détruit les mœurs.

Les démocraties occidentales ont muté, elles sont devenues, sans s’en rendre compte, « autre chose ». Une nation occidentale sans « fausse conscience » se penserait oligarchie libérale plutôt que démocratie libérale. Mais nous croyons toujours être libéraux et démocratiques, et continuons d'affirmer notre supériorité et l’universalité de nos valeurs. Et c’est au nom de ces valeurs que nous affrontons la Russie pour aider l'Ukraine à préserver son indépendance et son territoire.

Ajoutant l'amnésie à la « fausse conscience », nous avons préféré les sanctions économiques à l'envoi de soldats, sans nous souvenir que cet instrument de guerre n’est pas de basse intensité. La sanction est un élément classique de la guerre totale. Nicholas Mulder, brillant chercheur néerlandais travaillant à l’université Cornell, aux États-Unis, nous rappelle, dans The Economic Weapon (Yale, 2022), que les sanctions de la Société des Nations s'inspiraient du blocus allié de 1914-1918, responsable de 300 000 morts dans les empires centraux et de 500 000 dans l'Empire ottoman. Les sanctions économiques contre le régime de Saddam Hussein, quant à elles, ont fait 300 000 morts.

Les sanctions ont pour objectif la déstabilisation de la société adverse et la destruction de son régime - en commençant par la mort de ses vieux et de ses enfants.

Nous avons voulu détruire l'économie russe et faire tomber Poutine. Dans ces conditions, n'était-ce pas forcer les Russes à répondre par une escalade économique en nous privant de gaz pour déstabiliser nos sociétés et nos régimes ? « Fausse conscience », encore et toujours. Et ce n’est pas tout. Par les sanctions, nous avons rendu nécessaire une guerre planétaire. Comme le note Mulder, les sanctions, pour bien étouffer l'ennemi, doivent faire disparaître les « neutres ». C'est cette logique qui conduit l'Occident à exiger de tous les peuples qu'ils participent aux sanctions contre la Russie. C’est un instrument inconscient de cette logique qu'Emmanuel Macron a sommé, aux Nations unies, les neutres de prendre parti. Notre vision exagérée de nous- mêmes est supposée légitimer cet ultimatum.

Mais acceptons un instant, comme une expérience spirituelle, l’existence de l’autre. Comment le « reste du monde » nous voit-il ? L’anthropologie nous dit qu'il est à 75 % porteur de valeurs familiales patrilinéaires et non individualistes, peu féministes et le plus souvent homophobes. Nos valeurs ultra-individualistes, féministes et LGBT ne lui plaisent pas.  Dans ce champ anthropologique, la Russie est d’ailleurs une bizarrerie, patrilinéaire et non individualiste, homophobe, mais avec un statut élevé des femmes.

Soyons moins techniques, plus historiques : le Royaume-Uni, la France, les Pays-Bas, la Belgique, l'Allemagne, le Japon furent les puissances coloniales féroces de ces pays neutres dont nous exigeons l'allégeance. Les États-Unis, longtemps « gendarmes » de l'Amérique latine, ont quant à eux sublimé par étapes l'ensemble des pouvoirs coloniaux dans une globalisation dominatrice, édictant règles et punitions, s'efforçant de tenir la planète par leurs instruments financiers et par l'Internet, sans oublier leur armée. Mais l'Inde veut-elle à nouveau se prosterner devant le roi d'Angleterre ? L'Afrique de l'Ouest veut-elle obéir au président français, l'Indonésie aux Pays- Bas, l'Amérique latine et les Arabes aux États-Unis, la Chine aux Européens et aux Japonais ? Le reste du monde se méfie de nous. Il n’adhère pas à nos valeurs anthropologiques et politiques. Il ne voit pas en nous des démocraties libérales mais des oligarchies qui méprisent leurs pauvres. Il sent surtout un tempérament colonial résurgent. La cruelle vérité est que le reste du monde ne nous aime pas. S'il est sommé de choisir entre l'Occident et les Russes, il risque de choisir les Russes.

(*) Emmanuel Todd est anthropologue, historien et essayiste à qui l’on doit quelques essais retentissants comme Après l’empire sur la décomposition du système américain (2002). Il a publié de nombreux ouvrages d’anthropologie sociale, la plupart de ses analyses portant sur la famille dans une approche holiste. Dans des ouvrages qui l’amènent à étendre son champ d’analyse, on dira qu’à défaut d’avoir toujours raison, il n’a pas toujours tort.

Source : Marianne 29/9/2022

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Journal du chaos

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vendredi, 30 septembre 2022

Ferhat Mehenni - Pour une Kabylie indépendante

Jusqu’au milieu du XIXème siècle, la Kabylie était indépendante dans l’Empire ottoman, les Turcs n’avaient jamais réussi à l’intégrer. Elle devient une région de l’Algérie colonisée par la France ensuite. Mais dès l’indépendance en 1962, une guerre de deux ans entre le pouvoir algérien et les indépendantistes kabyles éclate. Les revendications d’autonomie reprennent dès les années 80 et s'amplifient dans les années 2000. Depuis une décennie, c’est l’indépendance qu’exigent les opposants au pouvoir arabo-islamique d’Alger.

Richard Haddad reçoit le Président du gouvernement provisoire Kabyle en exil, Ferhat Mehenni, et son Porte-parole, Aksel Ameziane. Les deux personnalités expliqueront dans cette émission les différences fondamentales, culturelles, religieuses, politiques et historiques entre les Kabyles et les Arabes. Ils évoqueront la tolérance et l’ouverture de leur peuple épris de liberté. La laïcité et la liberté religieuse sont au cœur de leur projet qu’ils développeront afin d’éclairer les téléspectateurs sur ce qu’ils voudraient faire de cette région si proche de la France.

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Les 40 ans du pèlerinage de Chartres

 La joie passe par les pieds, la grâce passe par le cœur !

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RICHARD ROUDIER, PRÉSIDENT DE LA LIGUE DU MIDI, INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS BLEU-BLANC-ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE DIMANCHE 16 OCTOBRE

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Notre Pays retrouvera-t-il ses chansons ?

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François Floc'h

Le dimanche 16 octobre prochain se déroulera la 14e journée de Synthèse Nationale. N'en doutons pas, l'ambiance y sera joyeuse, appliquant la recommandation du bon maître François Rabelais : « Il vaut mieux évoquer le rire que les larmes parce que le rire est le propre de l'homme. Vivez joyeux !»

Espérons aussi que ce jour-là quelques gais lurons de Flandre ou d'ailleurs pousseront la chansonnette ! Pour les plus jeunes qui participeront à ces retrouvailles militantes, un rappel peut être bénéfique…

A tout précurseur il faut rendre honneur. Jean-Marie Le Pen est de ceux-là. En 1963, en créant la SERP – Société d'études et de relations publiques ! – il allait réaliser une œuvre salutaire : tirer de l'oubli et mettre en valeur le patrimoine sonore et surtout musical de nos soldats, des militants nationalistes, du petit peuple de nos provinces, mais aussi, sans sectarisme aucun, de nos adversaires comme la CGT ! Et combien d'autres archives sonores qui lui valurent, déjà, plusieurs procès…  Par les disques microsillon puis par les mini-cassettes, il allait ainsi promouvoir le riche répertoire du Chœur Montjoie Saint-Denis (ci-dessus) qui anima tant de nos réunions et banquets. On ne peut oublier les fameuses collections Chants d'Europe, Chants de France et Chants de tradition ?

Mais l'écrit garde toujours son importance. En 2017 aux Éditions Synthèse nationale comme il se doit, Thierry Bouzard, grand spécialiste des musiques militaires, publiait un gros "carnet de chants" (318 pages !) que tous les militants doivent posséder et utiliser sans modération : Les chansons de notre identité, 220 chansons pour aujourd’hui et pour demain. cliquez là

Plus récemment, deux amis bretons, Rémi Creissels et Charles Dor, ont eu une idée originale : créer une application informatique répertoriant tous les chants traditionnels.

C'est devenu Canto, un carnet de chants en ligne cliquez ici  

1 600 fiches de chants, podcasts, interviews, tutos… Quelle mine !

Interrogé sur Boulevard Voltaire, Charles Dor précise leurs objectifs : « Chez Canto, nous avons trois piliers auxquels nous tenons. Le premier, c’est de préserver le patrimoine. Le second pilier, c’est de faire vivre ce patrimoine, cela se fait par le biais de l’événementiel. Le troisième, c’est de transmettre, en priorité dans les écoles primaires et ensuite dans les établissements pour personnes âgées. Canto est devenu un projet culturel de sauvegarde du patrimoine local, traditionnel et populaire.»

Lire la suite

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Les distributeurs automatiques à l’assaut des campagnes !

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La chronique de Philippe Randa

Il est de bon ton de se désoler de la désertification des campagnes à tout niveau : écoles, transports, hôpitaux, etc. D’ailleurs, aucun candidat à une élection locale n’oublierait la sacro-sainte promesse électorale de stopper la fermeture des magasins en centre-ville et de tout faire – mais alors tout, hein ! et plus encore – pour réimplanter ces petits commerces d’antan qui faisaient la richesse et la beauté de nos rues… Ils étaient tellement indispensables, n’est-ce pas ! On se demande bien pourquoi ils disparaissent les uns après les autres…

Un jour, je demandais à un jeune, dynamique et sympathique maire, récemment élu à la tête d’une petite ville, s’il croyait possible cette réimplantation des commerces ; il me donna cette réponse aussi sincère que sibylline : « Non ! Mais il faut y croire ! »

Il y a quelques années, un reportage diffusé lors d’un Journal télévisé nous faisait découvrir un entrepreneur particulièrement optimiste dont l’activité était justement de « réimplanter » dans les villages qui en étaient démunis, un commerce qui allait faire office d’épicerie, boulangerie, point poste, bistrot, tabac et plus si affinités… Il trouvait ainsi le ou les gérants et les aidait dans leurs démarches et leur(s) installation(s) jusqu’au jour J, soit l’ouverture du commerce tant attendu par monsieur le Maire et ses administrés qui étaient tous conviés à célébrer comme il se devait l’événement avec vin d’honneur et ripailleries… Et tous étaient là ! Et tous félicitaient l’entrepreneur de « sauver » ainsi leur village et ses alentours grâce à cette si formidable initiative.

Et ?… Et ?… Et l’entrepreneur concluait, un peu dépité :

— L’enthousiasme le jour de l’ouverture était bien réel… Seulement, dès le lendemain, tous ces villageois prenaient leur voiture pour rouler 20 kilomètres et faire leurs courses à la grande surface la plus proche. La force de l’habitude !

Les petits commerces ainsi réimplantés vivotaient alors misérablement… ou disparaissaient plus sûrement encore.

Mais la nature a horreur du vide, même au fin fond des campagnes… et à Trifouillis-les-Oies ou à Pétaouchnock-sur-betteraves, on n’arrête pas plus le progrès qu’ailleurs…

Fini les petits commerçants ? À l’évidence !… Alors bienvenus aux distributeurs automatiques, aussi vieux que le début du XXe siècle où ils sont d’abord apparus dans le métro parisien, puis se sont déployés dans les sociétés et les lieux publics des grandes villes avec l’apparition des machines à café et des distributeurs de boissons.

Et maintenant, ils fleurissent dans les campagnes où l’on a souvent pris l’habitude d’y récupérer sa baguette de pain, tout comme ses billets de banque… et déjà (presque) tout le reste de nos besoins ; comme l’explique une enquête du Monde : « Depuis le début du XXIe siècle, les robots ravitailleurs prospèrent au pays de Gault et Millau. L’institut d’études Gira Foodservice en dénombre aujourd’hui près de 80 000 exemplaires qui délivrent, sept jours sur sept, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, une multitude de produits, du pain aux huîtres, sans oublier la cancoillotte, le boudin blanc, les œufs, le lait cru et la pizza quatre fromages. Ils sont taillés tels des frigos américains, éclairés la nuit (jusqu’à quand ?) et hyperconnectés. De quoi nourrir la version 3.0 du Tour de Gaule d’Astérix (Dargaud, 1965). »

Il est certain que les grandes surfaces ont eu la peau des petits commerçants, qu’on s’en indigne ou non… Les distributeurs automatiques auront-ils, à terme, celle des Super U, Intermarché, Leclerc et autres Carrefour ?

À l’intérieur de ceux-ci, les caisses automatiques sont déjà à la manœuvre pour avoir celle des dernières caissières… Pourront-elles être sauvées ?

Un maire jeune, dynamique et sympathique répondrait sûrement : « Oui, bien sûr… »

Et ajouterait aussitôt : « Enfin, il faut y croire ! »

Lire EuroLibertés cliquez là

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jeudi, 29 septembre 2022

Remarques sur des funérailles planétaires

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Pendant une journée, Londres a retrouvé son rang de capitale du monde qui fut le sien sous la reine Victoria (1819-1837–1901). Plus d’une centaine de chefs d’État parmi lesquels de très nombreuses têtes couronnées dont l’empereur du Japon lui-même, et des chefs de gouvernement, venus du Commonwealth ou pas, ont assisté aux obsèques de la reine Elizabeth II le lundi 19 septembre dernier.

La médiasphère occidentale s’est complue pendant cette séquence dans l’émotion, la superficialité et l’hagiographie. Une grandiose entreprise de sidération de masse s’est déroulée sous nos yeux crédules. Oubliées par conséquent les questions gênantes autour de cet événement.

Par exemple, comment peut-on justifier une file longue, selon les journalistes sur place, de plusieurs kilomètres et une attente variable entre douze et vingt-quatre heures au moment où le Royaume Uni vient à peine de sortir de la crise covidienne ? L’organisation de soirées privées dans les ministères au temps du confinement – le célèbre Partygate – a provoqué la démission du Premier ministre Boris Johnson. Dans un royaume chagriné, des millions de Britanniques se réunissent et se côtoient pendant de longues heures sans craindre la moindre contamination. Certes, ils patientent dans les rues et bravent la nuit, le froid et le vent… Ces attroupements gigantesques ne favorisent-ils pas néanmoins l’apparition de foyers de contagion géants ? Sinon ces scènes n’invalident-elles pas le port de la muselière hors de son domicile ? À moins que le covid contribue à sa manière à respecter le deuil national d’Albion.

Tous les commentateurs s’esbaudissent des hommages rendus à la reine défunte. Maints reportages montrent un peuple éploré. Nul n’aurait l’idée de se gausser de ces manifestations de respect. En décembre 2011, quand décéda subitement le président de la Commission nationale de défense de la République populaire démocratique de Corée, Kim Jung Il, les Occidentaux se moquèrent des foules massées dans les artères principales de Pyongyang qui pleuraient la disparition de leur dirigeant bien-aimé. Avec leurs clichés modernes, ils y voyaient au mieux une manipulation, au pis un fanatisme orchestré. Or, « les lamentations collectives, écrit Philippe Pons dans Le Monde du 22 décembre 2011, font partie des expressions de la douleur du deuil dans la culture coréenne. […] Les Coréens sont extravertis dans la joie comme dans la douleur. Lors des funérailles d’un parent, ces derniers “ crient “ leur chagrin. Exprimer ses condoléances par des larmes relève de l’étiquette sociale ». C’est en effet à travers les rites funèbres que se découvre l’âme profonde des peuples. Encore faudrait-il que les journalistes de l’Occident global soient compétents en ethno-psychologie...

À l’heure où l’empreinte carbone devient un critère prioritaire de « gouvernance », quel est donc l’impact environnemental d’une telle concentration humaine ? Ne faut-il pas prendre en compte le ballet des avions des responsables politiques arrivant à Londres ? N’aurait-il pas été souhaitable qu’ils viennent tous en char à voile et en trottinette électrique ? Ils appellent leurs populations à la sobriété énergétique, mais ils se moquent volontiers de leurs injonctions qui ne les concernent pas. Insupportable « deux poids deux mesures » !

Derrière l’apparat traditionnel – la proclamation de Charles III par le roi d’arme de l’Ordre de la Jarretière au palais Saint-James – se tapie un ultra-progressisme inquiétant d’inspiration spéculative franc-maçonne. Les  Windsor-Mountbatten représentent une famille cosmopolite. David Icke y voit des « reptiliens ». La réalité est plus prosaïque. Cette dynastie d’origine germanique et danoise sert depuis la chute des Stuart en 1688 la véritable souveraine d’Angleterre : la finance de la City de Londres !

La reine a nommé sous son règne quinze premiers ministres. Le dernier, deux jours avant sa mort, est la conservatrice Liz Truss qui s’appelle en réalité Mary Elizabeth Truss. La reine se prénommait Elizabeth Alexandra Mary. L’inversion des prénoms n’est-elle pas, sinon une singulière coïncidence, un signe digne des augures ? Par ailleurs, à propos du nouveau roi, son prénom reste problématique dans l’histoire anglaise. Charles Ier Stuart meurt décapité en 1649 sur l’ordre d’Oliver Cromwell. Le général Monck restaure en 1660 la royauté en faveur de Charles II, le fils du monarque assassiné, qui règne jusqu’en 1685. La « Grande Peste » de 1665 (environ 80 000 morts), le « Grand Incendie » de Londres en 1666 (près de 14 000 maisons et églises détruites) et la promulgation de l’Habeas Corpus de 1679 qui limite son absolutisme imité de Louis XIV marquent ce quart de siècle « carolien ». Toujours sous Charles II émergent au Parlement les factions whigs (référence aux paysans calvinistes écossais révoltés) et tories (allusion aux brigands, catholiques ou non, irlandais).

Les funérailles solennelles d’Elizabeth II préfigurent-elles l’enterrement du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord ? Promoteur du multiculturalisme et habitué aux réunions annuelles de Davos, Charles III pourrait voir l’éclatement de son royaume avec l’indépendance de l’Écosse, la réunification de l’Irlande - bien que dans ces deux cas, les indépendantistes soient eux aussi des globalistes gendéristes -, et la fragmentation socio-culturelle de l’Angleterre. On sait maintenant qu’Elizabeth II n’appréciait guère le premier ministre travailliste Anthony Blair. Outre son rôle intrusif dans la gestion médiatique de la mort soudaine de la princesse Diana et l’attitude plus que hautaine de la républicaine catholique Cherie Blair, la reine regrettait la Dévolution envers l’Écosse, le Pays de Galles et l’instauration de la puissante mairie du Grand Londres.

Les obsèques d’audience planétaire d’Elizabeth II détournent pour l’instant l’immense colère sociale. Une inflation élevée déclenche de nombreuses grèves, pour l’heure suspendues. Le gouvernement pseudo-conservateur et véritablement financiariste profite des circonstances pour tenter d’étouffer les tensions socio-économiques. Attention ! Cela ne veut pas dire que la reine coule maintenant des jours heureux sur une quelconque île des Bahamas en compagnie d’Elvis Presley !

Certes, Elizabeth II a montré tout au long de sa vie un grand sens du devoir. Mais, en son nom, elle a entériné le conflit honteux en 1983 contre l’Argentine dans l’Atlantique Sud, accepté la répression inacceptable pendant trois décennies en Irlande du Nord et cautionné en tant que reine du Canada l’occupation pluriséculaire du Québec et l’asservissement des autres communautés canadiennes-françaises. On attend toujours des excuses officielles et sincères de Londres pour le « Grand Dérangement » des Acadiens au milieu du XVIIIe siècle.

À l’instar des autres monarchies modernes, la royauté britannique n’est qu’une parodie de traditions dévaluées. Les membres des familles régnantes (ou non) actuelles se vautrent dans le politiquement correct. Le prince de Galles William réclame la censure sur Internet des supposés discours de  « haiiiiinnnnne ». Les couronnes se parent dorénavant de wokisme. Croire en un sursaut national, populaire et européen en rétablissant une auctoritas royale devient un grave contre-sens. Les monarchies occidentales valident toutes les involutions sociétales. Finalement, les seules à garantir leurs intérêts nationaux sont les républiques dynastiques coréenne du Nord et syrienne !

Salutations flibustières !

 « Vigie d’un monde en ébullition », n°44, mise en ligne le 27 septembre 2022 sur Radio Méridien Zéro.

23:00 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Docteur Alwest - Hiver sans chauffage !

Les analyses de Docteur Alwest sur la politique énergétique d’Emmanuel Macron.

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18:30 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jacques Baud - "Les USA sont probablement responsables de l’explosion des gazoducs russes !"

Jacques Baud, ex-membre des renseignements suisse et chef de la doctrine des opérations de la paix pour les Nations Unies, revient sur les récentes explosions des gazoducs Nordstream 1 et 2.

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Source : Ligne Droite

17:52 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pour sauver Callac, pour lutter contre le grand remplacement, 100 patriotes lancent un Appal national :

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Grâce à la mobilisation des Bretons, le projet Horizon, impulsé par une riche famille parisienne voulant imposer la présence de 70 familles de migrants dans le centre-ville de Callac, est à présent évoqué dans tous les grands médias.

Depuis des années, à l’échelle locale comme nationale, les différents gouvernements ont abandonné les petits villages, préférant déverser les milliards des Français sur ce que l’on appelle « les Territoires perdus de la République ». Pour le résultat que l’on connaît.

Stupéfaits, indignés, les Français apprennent qu’il n’y avait pas d’argent pour les jeunes salariés, pour les chômeurs (18 % à Callac), pour les agriculteurs, mais qu’il y a des millions d’euros disponibles pour installer des dizaines de familles de nouveaux venus, d’une autre culture, d’une autre religion, d’une autre civilisation, dans leurs centres-ville. C’est le mode de vie à la Française des habitants de ces petites villes qui se trouve menacé.

Le maire de Callac qui refuse de consulter sa population, ne cache pas sa fierté d’être un laboratoire, considérant donc ses administrés comme des cobayes.

L’association « Merci », qui gère le projet Horizon, a révélé que déjà des dizaines d’autres Callac sont à l’étude dans toute la France.

Le président de la République, devant ses préfets, a défendu l’idée de remplir nos campagnes, jusqu’à maintenant préservées  des migrants – malgré la montée d’actes de délinquances et de vols de plus en plus nombreux. Il a évoqué le terme « transition démographique », donnant sa caution à une politique de Grand Remplacement dans les campagnes françaises. Il annonce vouloir imposer cette politique à tous les Français, par la loi, en début 2023.

Le combat de Callac est donc décisif pour l’avenir de notre pays et de sa ruralité. Si Macron, la famille Cohen et le maire de Callac imposent ce projet mortifère, il leur sera plus facile de mettre en place ailleurs des dizaines d’autres projets de ce type. Nos campagnes subiraient alors le sort de toutes les grandes villes, avec leur lot de délinquance et d’insécurité.

Les signataires à la suite du Comité National de l’appel des 100 apportent tout leur soutien aux citoyens de Callac et des environs qui s’opposent au projet « Horizon » au nom d’un principe simple : « Callac doit rester Callac, la Bretagne doit rester la Bretagne, la France doit rester la France ».

Pour conserver un mode de vie à la française, il faut sauver Callac! Signez la pétition en fin d’article!

APPEL DES CENT PATRIOTES

  • Robert Albarèdes, maire honoraire de Gréasque (Bouches-du-Rhône)
  • Thierry Annereau, maire de Bois (Charente)
  • Bernard Antony, président de l’Agrif
  • Bruno Attal, vice-président du Syndicat France Police
  • Salem Benammar, patriote et fils de patriote
  • Joëlle Bergeron, ancien député européen RN
  • Charles Berthollet, maire de Rouvray (Yonne)
  • Anne-Laure Blanc, mère de famille et militante associative
  • Jean-Claude Blanchard, conseiller régional des Pays de la Loire de 2015 à 2021, ancien conseiller municipal de Saint-Nazaire
  • Jean-Marc Bled, coordinateur régional Reconquête du 76
  • Catherine Blein, présidente de l’association « Les Amis de Callac et ses environs »
  • Jacques Bompard, ancien député, maire honoraire d’Orange
  • Major Alain Bonte, citoyen engagé
  • Gérard Boyadjian, acteur et réalisateur
  • Gérard Brazon, ancien syndicaliste à la RATP, ancien conseiller municipal à Puteaux
  • Franck Buhler, co-fondateur des Gilets jaunes
  • Renaud Camus, écrivain, inventeur du concept du Grand Remplacement
  • Pierre Cassen, fondateur de Riposte Laïque
  • Benoit-Gérard Casterman, prêtre
  • Erick Cavaglia, professeur de lycée, vice-président de la Ligue du Midi
  • Lucien Cerise, écrivain, spécialisé dans l’ingénierie sociale
  • Jean-François Cerisier, colonel, auteur de Guerre à l’Occident, guerre en occident
  • Franck Chevrel, chef d’entreprise
  • Jean-Louis Chollet, architecte d’intérieur et artiste
  • Georges Clément, président du Comité Trump France, écrivain
  • Jacques Clostermann, Officier de réserve de l’Armée de l’Air
  • Gilbert Collard, député européen, président-fondateur d’Alternative France
  • Christian Combaz, journaliste, écrivain
  • Général André Coustou, signataire de la lettre ouverte contre le Pacte de Marrakech
  • Emmanuel Crenne, conseiller régional Occitanie de 2015 à 2021
  • Stanislas Czerwinski, conseiller municipal à Pons
  • Tristan Cuminal, chef d’entreprise
  • Tarick Dali, porte-parole de la Droite libre, membre du bureau national du CNIP
  • Michel Dargent, maire de Ceaucé (Orne)
  • Charles Demassieux, auteur
  • Thais d’Escufon, vidéaste, ex porte-parole de Génération Identitaire
  • Eric de Verdelhan, ancien parachutiste, écrivain
  • Philippe de Veulle, avocat spécialisé dans la défense des victimes du terrorisme
  • Guillaume de Vigneral, maire de Ri (Orne)
  • Eric Dick, réalisateur du film « Et les cloches se sont tues »
  • Général Antoine Martinez, président des Volontaires pour la France
  • Jean Messiha, président de l’Institut Apollon
  • Raphaël Delpard, cinéaste, écrivain
  • Laurent Droit, ancien miltiaire d’active, électronicien et informaticien
  • Josiane Filio, retraitée, assistante de direction, technicienne supérieure de gestion
  • François Galvaire, blogueur
  • Bernard Gantois, polytechnicien, écrivain
  • Général François Gaubert
  • Bernard Germain, essayiste, auteur de Déconstruire la woke idéologie, porte-parole du Comité d’organisation de Callac contre le projet Horizon
  • Jean-Luc Gosse, commerçant, acteur socio-économique
  • Marcus Graven, écrivain, auteur de L’immigration, un naufrage français
  • Francis Gruzelle, président des apiculteurs de l’Ardèche et de la Drôme, journaliste, écrivain
  • Lieutenant-colonel Jacques Guillemain, ex-pilote de l’Armée de l’Air, auteur de « Macron, le pire fossoyeur de la France »
  • Stéphane Guillemain, conseiller municipale à Marguerittes
  • Stéphane Haddad, avocat
  • Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale
  • Véronique Hervouet, psychanalyste
  • Pascal Hilout, né Mohamed
  • Bernard Huet, ancien maire-adjoint des Clayes-sous-Bois
  • Patrick Isnard, chef d’entreprise
  • Jean-Loup Izambert, journaliste et écrivain
  • Claude Janvier, Ecrivain et essayiste
  • Patrick Jardin, père de Nathalie, assassinée au Bataclan
  • François Jay, ingénieur, ancien conseiller municipal de Bordeaux
  • Elisabeth Lalesart, née en Iran, auteur de « Pas de voile pour Marianne »
  • Valérie Laupies, enseignante, ancienne conseillère régionale
  • Jean-Yves Le Gallou, président de Polemia, cofondateur de l’Institut Iliade
  • Christophe Lefèvre, conseiller municipal de Saint-Gilles
  • Régis Le Gall, Docteur en histoire médiévale
  • Danielle Le Men, Vice présidente des Amis de Callac et ses environs
  • François Billot de Lochner, président de la fondation Liberté Politique
  • Yves Maillard, capitaine de vaisseau
  • René Marchand, ancien journaliste, auteur de « Reconquista ou Mort de l’Europe »
  • Franck Martin, défenseur de la ruralité française
  • Charles-Stéphane Mercier, promoteur immobilier, conseiller financier
  • Benoit Meugniot, maire de Salignac-de-Mirambeau (Charente)
  • Nicole Mina, conseillère régionale d’Occitanie
  • Jean-Marie Moulin, maire de Saint-Bonnet-du Gard
  • Lucien Samir Oulahbib, auteur, chroniqueur, enseignant, chercheur
  • Christian Navis, grand voyageur, journaliste et écrivain
  • Abbé Guy Pagès, fondateur du site Islam et vérité, auteur
  • Lara Parrenin née Stamboltsian, ancienne conseillère municipale d’Asnieres (92), animatrice sur Radio Courtoisie
  • Nicolas Pougnet, ingénieur, spécialiste sécurité sanitaire
  • Colonel Daniel Péré, retraité
  • Alain de Peretti, vétérinaire, président de Vigilance halal
  • Frédéric Pichon, avocat
  • Général Christian Piquemal, retraité
  • Philippe Randa, éditeur et écrivain
  • André Regéreau, ancien officier de l’Armée de Terre
    Sophie Régnier, enseignante
  • Martine Rigaudie, journaliste
  • Michel Riou, ancien maire-adjoint de Callac
  • Richard Roudier, président de la Ligue du Midi, syndicaliste agricole
  • Alain Sautreau, infirmier
  • Jean Schoving, athlète, traducteur et écrivain
  • Guy Sebag, président de Riposte Laïque
  • Maurice Signolet, commissaire divisionnaire honoraire
  • Hubert Stalla, consultant
  • Marc Stahler, directeur de Minurne
  • Christine Tasin, présidente de Résistance républicaine
  • Marc Taulelle, conseiller municipal à Nîmes, conseiller communautaire
  • Lysiane Tendil, maire de Saint-Jean-du Bruel (Aveyron)
  • Pierre-Yves Thomas, responsable départemental Reconquête des Côtes d’Armor
  • Véronique Tilly, enseignante
  • Jean-Louis Trainar, économiste, formateur et consultant
  • Guillaume de Thieulloy, directeur du Salon Beige
  • Richard Trinquier, médecin anesthésiste, ancien maire de Wissous (Essonne)
  • Christian Vanneste, député honoraire, président de la Droite Libre et de Démocratie Directe en France
  • Vincent Vauclin, président du Mouvement National-Démocrate
  • Eric Viaud, maire de Bussière (Vienne), président des Maires pour le Bien Commun
  • Maurice Vidal, professeur de philosophie, auteur de « La colère d’un Français »
  • Maryvonne Villard, actrice du secteur associatif-environnement
  • Thomas Whyte, fondateur du Rucher Patriote, site d’annonces et d’échanges entre patriotes

Synthèse nationale apporte bien sûr son soutien à cet appel. Pour le signer, cliquez ici

11:26 Publié dans Callac 22, Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Thomas Joly, président du Parti de la France, interviendra dimanche 16 octobre lors du Rendez-vous Bleu-Blanc-Rouge de Synthèse nationale

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Roland Hélie invité jeudi soir au Forum du PdF

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Dans le Forum du PdF du jeudi 29 septembre, Alexandre Hinger reçoit Roland Hélie (Directeur de Synthèse nationale) et Ludovic Lefebvre (Délégué du Parti de la France pour Paris). L'émission sera consacrée au wokisme et à l'actualité politique. C'est jeudi à 21h et c'est sur Telegram cliquez ici

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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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mercredi, 28 septembre 2022

Callac : Bernard Germain en direct sur Radio Courtoisie à 19 h 30

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Notre ami Bernard Germain, qui, avec d’autres, anime le combat de Callac contre le projet Horizon et le Grand Remplacement dans nos campagnes, interviendra ce mercredi 28 septembre à 19 h 30 sur Radio Courtoisie, invité par Nicolas Stoquer, dans le Libre journal de la Résistance française.

Le titre de l’émission, entre 18 H 00 et 21 H 00,  a pour thème : L’oligarchie mondialiste, une démocratie sans peuple.

• Première partie: 18 H 00 / 19 H 30 : Nouvelle d’Ukraine, avec Jacques Baud auteur d’Opération Z aux Ed Max Milo, et Dimitri de Kochko.

• Deuxième partie: 19 H 30 / 21 H 00 : De Callac à St Michel, le combat contre le déracinement en France aujourd’hui, avec Bernard Germain et Eric Mauvoisin.

Pour écouter l’émission : cliquez ici

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