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mardi, 26 avril 2022

La contestation des gens ordinaires ne s’arrêtera pas

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De l’élection présidentielle, le géographe Christophe Guilluy  retient avant tout le score de 41,46 % de Marine Le Pen. Un score qui témoigne, selon lui,  de la révolte des classes populaires et qui confirme la persistance et la centralité du clivage entre la France périphérique, regroupant les perdants  de la mondialisation et celle des métropoles, où vivent la majorité des gagnants. Christophe Guilluy souligne les scores de la candidate du Rassemblement national outre-mer, qui, selon lui, contredisent la thèse d’un vote xénophobe de « petits Blancs ». Il relativise la percée de Mélenchon, soulignant la fragilité de l’alliage entre le vote des bobos et celui des minorités ; et ne croit pas davantage à une union des droites à l’heure de la disparition du clivage droite/gauche. Pour l’auteur de Fractures françaises, « on assiste à une autonomisation réactive des gens ordinaires, qui attendent une offre politique qui ne serait pas moralement condamnée ».

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Les décombres

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Pierre Vial,

président de Terre & peuple

Ainsi Macron est réélu avec 38,5% des électeurs inscrits (car les 28% d’abstentions, chiffre jamais atteint sous la Ve République, et les 5,2% de votes blancs ou nuls ont une signification politique, qu’on le veuille ou non). Donc pas de quoi pavoiser pour Macron, d’autant qu’il sait fort bien quels obstacles économiques, sociaux, politiques vont se dresser devant lui et pour lesquels le prêchi-prêcha habituel ne sera d’aucune utilité.

Macron a mobilisé au service de ses intérêts et de son ambition maladive tous ceux qui, au sein de la population résidant sur ce territoire qui fut la France, sont les agents, conscients ou inconscients, de la mort de ce pays (il faut lire l’émouvant livre testament du général Bigeard, Adieu ma France, Editions du Rocher, 2006).

L’Anti-France d’abord. C’est-à-dire les politiciens style Mélenchon (ancien militant trotskyste… mais trotskyste un jour, trotskyste toujours) et les idéologues qui haïssent notre pays, nos traditions, nos racines, notre héritage, notre conception de la vie parce que ce capital intellectuel, spirituel, physique et moral, est en contradiction avec leur volonté de déracinement, de cosmopolitisme, de mondialisme. Si vous ne l’avez encore fait, lisez quelques pages de Jacques Attali et de Bernard-Henri Lévy et vous aurez tout compris. Mais ceux-là (et quelques autres) sont les chefs d’orchestre, chargés de faire fonctionner la chorale des journalistes, enseignants, cinéastes, romanciers, ecclésiastiques chargés d’infuser dans la cervelle du citoyen lambda le message du renoncement, de la soumission, de la repentance, de la lâcheté, de la trahison… et de l’appât du fric. Tout cela enrobé de guimauve à la moraline, qu’affectionnent les bourgeois.

Les zombies et les veaux (comme disait De Gaulle), les bisounours, les cocus-contents, les adeptes du fric-roi : voilà sur qui s’appuie Macron (pour qui ont voté 75% des plus de 65 ans… tandis que 68% des ouvriers ont voté Marine Le Pen : des chiffres qui devraient faire réfléchir les stratèges macroniens). Mais, en face, il y a ces millions de Françaises et de Français de sang qui restent viscéralement attachés à leur patrie. C’est pour elles et eux qu’il faut continuer le combat, sans se soucier de ceux qui préfèrent le confort de leur tour d’ivoire. Et en totale et irrémédiable sécession vis-à-vis d’un Système qui a détruit la souveraineté de la France, au bénéfice d’une Europe de Maastricht mortifère et d’un impérialisme américain qui sont nos ennemis mortels. Alors, bien sûr, continuons le combat !

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Cinq formes familiales plus une

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol 

Défenseur sincère des « Gilets jaunes », procureur impertinent des traités austéritaires néo-libéraux européens, dénonciateur implacable de tous les présidents français, de Mitterrand à Macron, Emmanuel Todd a découvert au lendemain de la minable séquence émotionnelle « Je suis Charlie » le phénomène des « catho-zombie », futur socle de la macronie.

Il lie dans ses recherches l’économie et la sociologie aux faits anthropologiques, d’où sa propension à étudier les structures familiales. Il en tire une approche quelque peu réductionniste. Cet ancien sympathisant du Parti socialiste l’améliore sans cesse alors que l’ère liquide de l’ultra-modernité bouleverse ce monde intime aux indéniables répercussions publiques qu’est la famille.

Il faudrait plutôt parler « des familles ». N’existe-t-il pas dans le gouvernement de Jean Castex, sous la tutelle du ministère des Solidarités et de la Santé, un secrétariat d’État chargé de l’Enfance et des Familles en la personne du dénommé Adrien Taquet ? Le pluriel s’impose, car la République hexagonale reconnaît en effet aujourd’hui cinq formes familiales. La première, la plus habituelle, demeure la « famille nucléaire » réunissant un couple hétérosexuel et leurs enfants conçus de manière naturelle. Il existe ensuite la « famille adoptive », reconnue chez les antiques Romains, par la Maison impériale des Bonaparte et dans la dynastie monégasque. En forte hausse depuis vingt ans, la « famille monoparentale » correspond à une mère qui élève seule sa progéniture. L’avant-dernière forme de famille concerne la « famille d’accueil ». Des enfants, souvent victimes de parents dépravés, égoïstes ou violents, ou orphelins, trouvent par décisions judiciaires un refuge plus ou moins convenable auprès de couples. Reconnue ces dernières années en Occident terminal, la « famille homoparentale » bénéficie dorénavant de la PMA (procréation médicalement assistée, soit les « bébés-éprouvettes » issus de la fécondation in vitro), voire de la GPA (gestion pour autrui) qui assigne en            « usines à naissances » les « mères-porteuses ». Sociologues et psychologues devraient dans la prochaine décennie se pencher sur les répercussions mentales de cette réalité néo-familiale à travers le comportement et l’état d’esprit des enfants élevés dans ce contexte spécifique.

L’État court-termiste ne reconnaît toujours pas une sixième catégorie familiale : la famille polygame. Ce terme conserve néanmoins son imprécision. Sous « polygamie », on doit entendre aussi bien la polyandrie (une femme épouse deux, trois ou x maris) que la polygynie (un homme vit officiellement avec deux, trois ou x femmes). Si les revendications en sa faveur restent faibles, certains activistes dyssexuels militent en faveur de la reconnaissance officielle du « trouple » (ou le ménage à trois). En octobre 2015, un trio de femmes (une femme d'affaires d’âge non mentionné, une dentiste de 32 ans et une gérante administrative de 34 ans) officialisait leur union à Rio de Janeiro au Brésil. Déjà, trois ans auparavant, une caissière, une auxiliaire administrative et un architecte avaient formé la première union dite « poly-affective » du Brésil. En Colombie, un acteur, un éducateur physique et un journaliste sont entrés le 3 juin 2017 sous le régime patrimonial connu légalement dans cet État d’Amérique du Sud sous le nom de « trieja ». À quand donc sous nos cieux un homme épousant le même jour deux, trois femmes ou plus ? Gageons que cet autre pari hardi sur l’avenir deviendrait rapidement la cible des officines anti-discriminatoires et ultra-féministes en guerre contre le mâle. À l’heure des grandes avancées dites « sociétales », il persiste une inégalité inique à l’égard des éventuelles familles polygames, en particulier des conjugalités polygyniques hétérosexuelles. 

Dans Libération (des 13 et 14 octobre 2012), un entrepreneur de l’Utah aux États-Unis, Joe Darger, est un mormon fondamentaliste dissident. Il vit avec ses trois femmes et leurs vingt-quatre enfants. En pleine campagne présidentielle, il explique au correspondant du quotidien gaucho-bancaire que « ce qui m’intéresse particulièrement, c’est qu’Obama est en faveur du mariage gay. S’il est réélu et que cela va plus loin, alors on pourra se battre encore un peu plus pour rétablir la polygamie. Après tout, ce ne sont que deux modes de vie différents et le gouvernement ne devrait pas nous dicter ce que l’on peut faire dans nos chambres à coucher ». Or, l’idéologie gendériste s’accompagne d’une misandrie implacable constante. Maintes harpies féministes rejettent toute légalisation de la polygynie qu’elles perçoivent comme le symbole éclatant du supposé patriarcat cisgenre hétéronormé blanc. Ces névrosées préfèrent insister sur les rapports « poly-amoureux » qu’on peut confondre avec la banale partouze. Souvent dans le cadre poly-amoureux, c’est la femme qui prend l’initiative, qui définit les règles et qui décide d’y mettre fin.

Le mariage polygynique ne tient pas à singer le triolisme ou les fantasmes orgiaques de l’hyper-classe cosmopolite. À l’heure où la civilisation albo-européenne achève son déclin final marqué par un effroyable « hiver démographique », l’hypothétique relance d’une natalité « eurotochtone » passe par des innovations sociétales percutantes guère soucieuses des morales monothéistes religieuses, laïcardes et « féministolâtres » ! L’autorisation et la promotion de l’union polygynique constitue un moyen crucial de redressement nataliste. Dans Le destin du monde d’après la tradition shivaïte (1985), l’indianiste Alain Daniélou avertit que parmi les signes précurseurs de la fin du présent cycle, « le nombre des hommes diminuera, celui des femmes augmentera ». Il rappelle plus loin, dans une optique eugénique de bon aloi, que « bien que le choix du fécondateur soit en principe exclusif pour des raisons génétiques, les époux ne vivent pas normalement en couple. L’idée que le couple est la base de la stabilité sociale est une idée pernicieuse qui ne correspond pas à la nature de l’homme et fait de la famille une sorte de prison ». On observe dans les maternités que les petites filles semblent plus nombreuses que les petits garçons. 

Un précédent historique de polygamie officielle existe. Après la féroce Guerre de la Triple Alliance (1864 – 1870) qui opposa le Paraguay à la coalition du Brésil, de l’Argentine et de l’Uruguay, les pertes masculines paraguayennes représentaient une véritable hémorragie. Bien que contesté, le déséquilibre était un homme pour quatre à cinq femmes. Les autorités d’Asuncion encouragèrent les Paraguayennes à se partager un vétéran. Malgré son hostilité publique, l’Église catholique accepta dans les faits cette situation exceptionnelle. 

Si les gouvernements nantis et décadents européens ne montraient pas leur soumission envers les pétroleuses excitées, ils légaliseraient au plus tôt l’union polygynique. Ce serait d’ailleurs un juste rappel à la complémentarité essentielle entre les pôles féminin et masculin de l’être humain.

Salutations flibustières !


• « Vigie d’un monde en ébullition », n°29, mise en ligne le 19 avril 2022 sur Radio Méridien Zéro.

00:15 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 25 avril 2022

Dans un souci d'efficacité, les responsables de "Reconquête !" proposent l'entente des forces nationales aux législatives

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Ne doutons pas un instant que Marine Le Pen fera preuve de lucidité et répondra positivement à cette proposition...

18:21 Publié dans Législatives 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Victoire ! Notre merveilleux PDG Don Macrone est réélu

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Bernard Plouvier

Ah quelle chance nous avons ! Grâce à l’électorat le plus subtil de la planète, Grand Président-Dictateur-Général est réélu… comme pour Staline, il faut booster son grade et en faire un Maréchal.

OK, le combat était inégal, face à Marine déboussolée, plus que jamais Machine-à-Perdre et du genre présidente de parti qui ne cherche qu’à engranger des voix donc des sous pour son organisation, Marine qui n’a pas trop évoqué l’immigration-invasion et n’a nullement osé parler du Grand Remplacement de population dominante en France, sujet qui fâche, sujet qui effarouche notre grande timide. 

On a préféré faire dans la démagogie qui gagne : Don Macrone, la Marine et le Mélenchon ont axé leur campagne sur le pouvoir d’achat. Tous les démagogues savent depuis plus de 2 millénaires que si l’on veut gagner une élection, il faut promettre du pain pas cher et des jeux quasi-gratuits. 

Depuis les Gracques, des fils-à-papa friqués qui voulaient faire une grande carrière politique, on sait que parler gros sous – ceux des impôts qu’on promet de baisser et ceux des Finances publiques qu’on promet de distribuer généreusement -, c’est gagner les voix de la plèbe à-demi abrutie. Eh bien, ça marche toujours ! Don Macrone est réélu par 36% des inscrits ; on imagine que le tiers des électeurs qui se sont abstenus est satisfait, en tous cas ce tiers n’a qu’une chose à faire : se taire !   

À propos de marcher : La Ripoublique de Don Macrone est En Marche vers l’islamisation accélérée et le métissage généralisé, soit deux crimes : l’un contre l’État laïc et l’autre contre notre Nation, qui par la simple géographie – la France est sise en Europe – doit être majoritairement, voire pourquoi pas exclusivement, de souche européenne. 

L’Afrique aux Africains & l’Europe aux Européens ! C’est une logique que seul le recours au referendum sur l’immigration d’origine extra-européenne pourrait réfuter s’il y a lieu, et pas les ukases d’un Parlement de godillots.

On aurait pu croire que Don Macrone serait blackboulé dès le premier tour pour de multiples raisons :

  • Sa Suffisance avait provoqué la révolte du menu peuple, dite Révolte des Gilets Jaunes
  • Et la gestion de cette crise par ses policiers avait été « démocratique » : yeux crevés et mains arrachées. Peccadille, pour les merveilleux électeurs !
  • Divers scandales avaient impliqué directement notre Seigneur et Maître, celui des passeports diplomatiques du sieur Benalla, celui de déclarations fiscales macronesques assez curieuses, celui du coût d’audits demandés à des sociétés privées – on reconnaît volontiers que, si les conseillers d’État et autres hauts-fonctionnaires sont aussi nuls que les professeurs de médecine transmutés en « médecins de plateaux télé » que l’on a vus ces deux dernières années, on peut comprendre que Sa Grandeur préfère les conseillers privés à ceux du secteur public.
  • Du fait de l’explosion de la Dette, liée à une curieuse gestion d’une épidémie à coronavirus… un virus dont ne sait pour l’instant s’il tue plus ou moins que ses vaccins (à 20 euros/injection), fabriqués à la va-vite et sans respect du sacro-saint « principe de précaution » dont on nous rebat les oreilles. 

Attendons une dizaine d’années avant d’hurler au génie sur la façon dictatoriale (à la chinoise) et coûteuse (à l’américaine) dont notre Précieux Don a, selon le choix de chacun, abordé la « guerre » qu’il avait déclarée à un virus qui s’en moque ou s’est simplement fait le délicat plaisir « d’emmerder les Français »… car Génial PDG est non seulement un monstre d’arrogance & un grand dépensier, mais aussi un sale gosse très mal éduqué – doit-on vous faire des reproches ou vous plaindre Madame Macron-mère ? On ne sait trop. 

  • Du fait des fréquentations curieuses du couple présidentiel – trafiquants connus, agités du sexe - et de son allégeance, personnelle et par ministres interposés, à un islam bon chic bon genre, dont notre Grand Commandeur ne perçoit pas les dangers sous-jacents (djihâd terroriste et charî’a obscurantiste)… en outre, la Loi de 1905 exige des patrons de l’État une stricte neutralité vis-à-vis des gourous de toutes les religions : vieilles chansons s’est dit notre Don, lorgnant les millions d’électeurs si utilement importés !     
  • La continuation dans l’allégresse de ce qu’il y avait de pire chez ses prédécesseurs : le naufrage de l’hôpital public, le mépris des populations rurales, une politique africaine incohérente, enfin et surtout la poursuite d’une immigration massive d’Extra-Européens non qualifiés alors même que nous avons dépassé le chiffre record des six millions de chômeurs, toutes catégories confondues (le célèbre trio : A-B-C)
  • Divers scandales de ministres et députés de son entourage qui fleurent la corruption ou le(s) délit(s) sexuel(s) 
  • Son intervention grotesque, de style mouche du coche, dans le conflit russo-ukrainien orchestré par les Yankees – les maîtres en arrogance du petit Emmanuel -, où il n’y a que de mauvais coups à prendre pour les Français ; c’est d’ailleurs ce qu’a compris le nouveau Chanceler allemand Olaf Scholz, moins sot que la Chancelière hors d’âge, enfin renvoyée à son tricot. 

Son exceptionnelle arrogance et le ratage complet de son quinquennat auraient dû le faire rentrer à la niche. Non, les Français en réclament encore !  Nous en reprenons donc pour 5, 10 ou 15 ans – à moins que l’abus d’excitants ne frappe notre Aigle Majestueux en plein vol.

Dans cette campagne électorale bête à pleurer, c’est un Juif de Kabylie qui a seul montré un amour profond de la France, de son histoire et de sa Nation. Très éloigné de la démagogie et de la politique de la gamelle, il avait axé son argumentation sur l’unique question de fond, celle qui engage l’avenir proche de notre peuple : l’immigration-invasion et la certitude du Grand Remplacement de population dominante. Après tout, c’est un Algérien qui avait prophétisé, au XXe siècle, la victoire de son peuple grâce au ventre de ses femmes !

Le patriotisme et le véritable souci du Bien Commun n’ont abouti qu’à un score de 7% ! En ce jour de réélection désastreuse, qui marque peut-être « le début de la fin » pour la France, on doit saluer avec un profond respect et beaucoup d’affection le courage et le patriotisme d’Éric Zemmour.

Charles De Gaulle avait tort, en cela comme en beaucoup d’autres choses : les Français ne sont pas des veaux – et il ne faudrait surtout pas oublier les vaches qui béent d’admiration pour notre Don-Beau gosse, mais en voie de vieillissement marqué -, ce sont des petits-bourgeois obnubilés par leur porte-monnaie. 

La Maison brûle, les enfants se font agresser tous les jours et les femmes risquent le viol à toute heure, mais l’essentiel est que Grand Démagogue promette la lune sans effort et les gentils électeurs suivent le joueur de flûte… encore qu’avec notre Don, ce ne soit que du vulgaire pipeau !

 

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Une victoire à la Pyrrhus

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Bernard Germain

Depuis que je m'intéresse à la politique, je n’ai jamais vu une pareille escroquerie électorale.

Emmanuel Macron a été réélu avec un peu plus de 58 % des voix (près de 10 points de moins qu’en 2017) dont la moitié venait du camp « d’en face ».

Par exemple à Montreuil, où Mélenchon avait obtenu 60% des voix au 1er tour, Macron recueille plus de 80% des suffrages. Il doit donc principalement sa « victoire » aux islamo-gauchistes de la France insoumise, qui est en fait la France soumise ... au Système. Ainsi qu’aux suffrages de ce qu’il reste de la gauche et de la droite « républicaine », comme disent les bien-pensants.

Le tout dans un climat absolument surréaliste qui a vu le système faire très fort durant ce second tour. Un véritable rouleau compresseur n’ayant de cesse de matraquer l’opinion publique par médias interposés.

Le message était des plus simples : « si vous ne votez pas Macron, vous livrez la France à l’extrême droite ».

Le pompon revenant au journal « Le Monde » qui commit un article, le 15 avril, comparant la situation actuelle à Juin 1940. Indiquant sans ambages qu’en cas de victoire de Marine Le Pen c’était la collaboration ou la résistance. Vichy ou Jean Moulins. Rien que ça !

Permettez-moi à ce propos de souligner un point qui commence à bien faire : l’extrême droite.

Ce terme est employé à tout propos et souvent hors de propos pour discréditer et salir les patriotes. Nous sommes régulièrement accusés d’être "d’extrême droite" et certains précisent que cela veut dire "raciste", "fasciste" voire "nazi".

De deux choses l’une, soit c’est vrai et alors les « démocrates », si l'on s'en tient à leur « logique », doivent demander la dissolution et l’interdiction de tous les partis concernés, soit c’est faux et il convient que cela cesse.

Or jusqu’à plus ample informé, tous les partis en cause respectent les principes de la démocratie, le suffrage universel et la République. Ils ne sont donc, au sens où l'entendent leurs adversaires, ni d’extrême droite, ni fascistes, ni nazis.

Reste que je ne suis pas dupe du but de cette stratégie. Pendant que les patriotes se font insulter aucun débat n’a lieu avec eux sur les thèmes qu’ils soulèvent à juste titre. Car, toujours selon leur « logique », on ne discute pas avec les « extrêmes », on les combat.

C’est bien commode pour tous ceux qui sont responsables de la situation actuelle de la France ... sans avoir à en rendre compte ni à s’expliquer devant les Français. Avec la complicité active de presque tous les médias.

Sur les plateaux télévisés, au soir du second tour, nombreux furent les commentateurs à geindre en direct devant le taux d’abstention record de cette élection pourtant majeure dans notre système politique. Mais les électeurs ne sont pas fous. Ils ont bien identifié - particulièrement durant la période d’entre deux tours - ce qui n’était qu’une gigantesque escroquerie électorale, montrant la politique dans ce qu'elle a de pire.

Les thèmes les plus importants, soulevés notamment par Eric Zemmour (immigration incontrôlée, insécurité généralisée, perte d’identité de la France...), avaient opportunément disparu du second tour. On vit même, lors du débat, Marine Le Pen qui avait gagné le tirage au sort et pouvait choisir le thème par lequel commencer l’échange, choisir le pouvoir d’achat et la fiscalité au lieu de l’immigration et l’insécurité. Contrairement à ce qu’attendaient la majorité des Français.

En toute logique, « écœurés » devant ce pitoyable spectacle nombreux furent les citoyens à ne pas aller mettre leur bulletin dans l’urne. Comment peut-on s’en étonner ?

Quant à Macron, son attitude en disait long sur ce qu’il pensait de la situation après sa réélection. Arrivé à pied sur le lieu de son meeting au Champ de Mars, sans aucun triomphalisme, il délivra un discours assez creux d’une quinzaine de minutes durant lequel ses cris d’adolescent exalté étaient absents. Il était à l’évidence fort gêné. C’était palpable.

Une fois expédiée cette formalité, il disparut pour s’enfermer en famille à « La Lanterne », pavillon de chasse de la République près de Versailles. Point de course folle en voiture dans les rues de Paris, vitre ouverte en faisant de grands signes de victoire à la population. Il avait bien compris que, comme le roi Pyrrhus, il venait d’obtenir une « victoire » au prix de pertes si lourdes que cela équivalait à une défaite.

Il faut bien voir que la majorité qui l’a porté au pouvoir est une fiction qui ressemble à un inventaire à la Prévert. Il n’y manque que le raton laveur. Comment va-t-il s’y prendre pour diriger le pays dans ces conditions ?

S’agissant de son adversaire du jour, il fallut se pincer pour se convaincre qu’on ne rêvait pas.

Marine Le Pen annonça dans son discours que son score était une « grande victoire »... ! Ben voyons, comme aurait dit Zemmour. Elle était supposée en cas de défaite - la 3ème - se retirer de la vie politique. Mais que nenni. Elle annonça également qu’elle allait diriger la campagne des législatives et rester à la tête du RN.

Restait à prendre connaissance de la stratégie qu’elle proposait pour la suite. On ne fut pas déçu !

Elle développa sa dite stratégie comme une copie conforme de celle de Mélenchon. Le 3ème tour. En clair, « j’ai été battue à la présidentielle, mais donnez-moi une majorité au parlement et je dirigerai le pays en appliquant la politique du RN ». Si l’on peut admettre en soi cette déclaration, la réalité impose de reconnaître qu’elle est pour le moins invraisemblable.

En effet, normalement, il n’aurait pas dû échapper à Marine Le Pen que ce n’est pas le RN seul qui a obtenu près de 42% des suffrages mais les voix de son parti et celles de tous les patriotes qui l’ont rejointe au second tour et ont appelé à voter pour elle, sans condition. Pourtant, faisant fi de cette réalité, elle prétend que la suite ne peut être qu’un ralliement au RN.

Cela revient, comme l’avait fait Jordan Bardella entre les deux tours, à refuser la proposition d’Eric Zemmour - répétée par lui au soir du second tour - de créer une alliance des patriotes (RN, Reconquête ! et Debout la France) pour présenter partout des candidats uniques, gage d’un succès électoral aux prochaines législatives.

En refusant cette perspective et en invitant chacun à se rallier au RN, Marine Le Pen, montre incontestablement qu’elle ne sait pas faire la différence entre politique et épicerie. Son petit fond de commerce est une chose, la défense et l’intérêt de la France en sont une autre.

S’il n’y a pas d’alliance, sans arrière-pensée, entre les patriotes, et mettant au-dessus de tout la France, la défaite est assurée en juin.

Quiconque est attaché à la France comprendra qu’il est impossible d’accepter de perdre séparément plutôt que de gagner ensemble. Tout comme il est impossible d’exiger de ses alliés, en lieu et place d’une alliance électorale, qu’ils se rallient au RN, ce qui revient à leur demander d’accepter de disparaître du paysage politique. Marine Le Pen et le RN sont au pied du mur. Elle peut créer les conditions de la victoire ou celles de la défaite. Sa responsabilité est immense...

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Et maintenant il faut agir

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Dans son éditorial du Figaro de ce lundi 25 avril 2022, Alexis Brezet, le directeur des rédactions, analyse avec beaucoup de finesse et de justesse ce que signifie la victoire du président de la République sortant, Emmanuel Macron que les Français viennent de reconduite à la tête du pays. Son premier quinquennat fut pour le moins chaotique. Que sera son second mandat, dans une France fracturée comme jamais et en proie à ses archaïsme institutionnels ?

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02:59 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 24 avril 2022

LA RÉACTION D'ERIC ZEMMOUR APRÈS LA DÉFAITE REGRETTABLE DE MARINE LE PEN

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23:36 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

IMMIGRATION : APRÈS "L'ÉPREUVE DES CHIFFRES", VOICI VENUE "L'HEURE DES COMPTES"...

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L’immigration invasive qui est souvent désignée comme étant constitutif d’un « Grand Remplacement » a été mise en exergue par plusieurs candidats à l’élection présidentielle. L’un d’entre eux en a fait un enjeu civilisationnel capital pour l’avenir de la France. Il a imposé l’idée d’une « guerre de civilisation » qui pourrait remettre en cause l’existence de notre pays.

Dans contexte un ouvrage « Immigration, l’épreuve des chiffres » a permis, à l’automne dernier, de présenter au public les chiffres les plus importants des flux d’entrée et de sortie des immigrés principalement extras européens et ceux de la présence immigrée dans notre pays.

Le présent ouvrage, plus que d’établir un coût de l’immigration, problématique et sans conclusion définitive, a pour objet de présenter le résultat d’un bilan chiffré annuel en termes de finances publiques par comparaison des contributions fiscales ou sociales, apportées par les immigrés et les descendants d’immigrés avec les dépenses de prestations dont ils bénéficient et les coûts dont ils sont à l’origine. Il s’attache également à développer ce que nous appelons une « pénombre de l’immigration » non chiffrable mais qui constitue néanmoins une charge insupportable pour la société et l’économie française tels que la délinquance ou l’économie informelle.

Immigration, l'heure des comptes, André Posokhow, Synthèse nationale, mars 2022, 474 pages, 28,00 €

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Et, si ce n'est pas déjà fait, lisez Immigration, l'épreuve des chiffres du même auteur:

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Psychologie des foules de Gustave Le Bon : l'ouvrage essentiel

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APRÈS LE SCANDALE DES ÉOLIENNES : LA MÉTHANISATION INDUSTRIELLE, UNE NOUVELLE ESCROQUERIE ÉCOLOGISTE

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Il y a quelques semaines, Bernard Germain, l'auteur de ce livre, était l'invité de l'émission Synthèse sur TV Libertés.

 

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Sortie d'un livre consacré à l'une des personnalités les plus non-conformistes du monde de l'édition : Jean Picollec, l'atypique

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Lauréat en 1956 du Concours général d’histoire, Jean Picollec se destinait à des études littéraires, comme quoi le milieu marin conduit à tout, à condition d’en sortir !

Jeune étudiant, il entrait en politique comme on entre dans les Ordres.

Il commença sa carrière professionnelle chez Larousse puis cofonda les éditions Alain Moreau, avant, six ans plus tard, de créer sa propre maison d’édition à son nom (bien plus tard, il dirigea parallèlement les prestigieuses éditions de La Table ronde).

Sa ligne éditoriale offrira toujours un choix très éclectique, que ce soit dans les thèmes abordés (des cultures enracinées aux régimes des États dans le monde les plus controversés) ou les sujets les plus sulfureux de l’histoire, de la politique, des médias… Il publiera ainsi des auteurs très différents, aux engagements politiques souvent oppposés.

Désormais, Jean Picollec est le survivant d’une génération d’éditeurs français des années 1970 à 1990 aujourd’hui tous disparus.

Dans cet ouvrage d’hommage richement illustré, Philippe Randa nous fait découvrir également l’étonnant carnet d’adresses de ce Breton de Paris : nombre de ses amis ont tenu à apporter leur témoignage sur cet homme de convictions et de fidélités.

Membre du jury des prix Bretagne et de l’Académie Rabelais, on le découvre aux côtés de Vincent Bolloré, Pierre Péan, Patrick Poivre d’Arvor, Patrick Devedjian, Claude Goasgen, Yann Queffelec, Jean-Edern Hallier… et de tellement d’autres !

Jean Picollec l'atypique, Philippe Randa (avec de nombreuses contributions), préface de Roland Hélie, Synthèse nationale, avril 2022, 270 pages, 29,00 € 

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samedi, 23 avril 2022

L’insécurité comme problème politique

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Mathieu Bock-Côté

Il y a quelques mois à peine, nous avions d’excellentes raisons de croire que la question de l’insécurité jouerait un rôle central dans le cadre de cette élection présidentielle. L’ensauvagement de la société, la multiplication des histoires d’extrême violence, la transformation des gendarmes, des policiers, des enseignants et des pompiers en cibles des voyous et autres « jeunes » qu’il n’est jamais permis de caractériser laissait croire à la venue d’un moment de vérité, annonçant une entreprise de reconquête sécuritaire et civique. Mais ce qui doit arriver arrive rarement, et la présidentielle s’est tournée sur la question du « pouvoir d’achat », qui en est venue à éclipser toutes les autres, même si son emprise absolue sur le débat public n’est pas sans lien avec une manière de sonder l’opinion qui entraîne, consciemment ou inconsciemment, la fragmentation et l’émiettement des sujets que l’on pourrait normalement amalgamer sous la référence à la sécurité et à l’identité.

Et pourtant, la question de l’insécurité est centrale pour les Français et il vaut la peine, pour l’aborder, de faire un détour par l’histoire de la philosophie, et plus particulièrement par la figure de Thomas Hobbes, à l’origine de la philosophie politique moderne. Hobbes y explorait les passions humaines en cherchant à identifier leur fonction politique, avant d’en arriver à une conclusion définitive : la peur de la mort violente est la passion à l’origine du lien politique. C’est dans la mesure où les hommes la redoutent, ou du moins, craignent pour leur sécurité, qu’ils consentent à déléguer au souverain le pouvoir nécessaire pour la leur garantir. On aura compris dès lors ce qui arrive quand ce pacte élémentaire et existentiel ne peut être assuré par le pouvoir : le commun des mortels, ne croit plus à sa fonction protectrice et il finit par se déliter. C’est d’ailleurs ce qui arrive aux États-Unis avec l’émergence des « gated communities », ces communautés fermées et privées qui représentent concrètement la sécession sociale et sécuritaire de pans de la population ne faisant plus confiance aux institutions communes. Et cela, dans un pays où la culture de l’autodéfense est normalisée.

La question de la sécurité est ainsi la première des questions politiques : si elle n’est pas assurée, l’ordre civique se dérègle. Paradoxalement, le système politico-médiatique cherche à la décharger de toute signification existentielle, en qualifiant systématiquement les événements les plus violents de « faits divers », alimentant un fantasmé et désormais proverbial « sentiment d’insécurité ». Il fut un temps possible de tenir ce discours sans avoir l’air complètement ridicule, quand les violences étaient associées à des territoires éloignés, que l’on disait perdus pour la République. Mais ces violences se sont multipliées, et surtout, se sont rapprochées de lieux qui s’en croyaient protégés, qui se croyaient à l’abri du tumulte du monde. Ce n’est plus le cas, et même les lieux « touristiques », qui étaient censés offrir un paysage sans risques à ceux qui s’y aventuraient, comme le Champ-de-Mars, se voient pris d’assaut par des délinquants, qui les rendent désormais inhospitaliers.

Dans à peu près chaque ville, aujourd’hui, on trouve une ou plusieurs zones de non-droit, où les commerces ferment plus tôt, quand ils ne ferment pas tout simplement, où les conducteurs de bus sont agressés, où les femmes ne peuvent s’aventurer, ou ne s’y aventurent qu’en s’y faisant le plus discrètes possibles, et où le quidam, s’il s’y risque, peut-être attaqué par une bande goûtant aux délices sadiques de la violence gratuite. Il ne s’agit pas de présenter une vision apocalyptique de la sécurité en France mais de constater, tout simplement, que le désir médiatique de ne pas avoir l’air catastrophiste en pousse plusieurs à minorer ce phénomène, à le relativiser à coups de statistiques lyssenkistes et de récits enjolivés où la réalité n’est plus la bienvenue.

Mais une zone de non-droit n’est rien d’autre qu’une zone d’un autre droit. À l’échelle de l’histoire, la décomposition d’une société annonce toujours, sans que ne s’en aperçoivent nécessairement les contemporains, l’émergence d’une autre, surtout si elle s’appuie sur une mutation démographique à l’origine de tensions identitaires qui viennent légitimer ce choc des mondes au quotidien. Quand une souveraineté s’efface, une autre s’y substitue, même si elle n’est pas étatique. C’est la souveraineté des voyous qui font régner leur propre loi et qui traitent les représentants de la puissance publique non seulement comme des rivaux, mais comme des intrus, au service d’une puissance étrangère, la France, qui en ces quartiers, n’est plus chez elle. Mais qui s’aventure à décrire ce basculement risque gros, car le récit enchanté d’un monde pluriel et pacifié doit se maintenir coûte que coûte.

Source : Le Figaro 23/04/2022

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Journal du chaos

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vendredi, 22 avril 2022

Un dernier livre sur Macron "Le grand liquidateur" (Alain Le Bihan)

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jeudi, 21 avril 2022

Jacques Perrin est décédé

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Décès de Jacques Perrin, un homme de conviction, l’inoubliable sous-lieutenant Torrens dans "La 317ème section". Il a aussi excellé dans "Le crabe tambour" et "L'Honneur d'un capitaine" et dans tant d'autres films... Immense acteur...

Roland Hélie

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Encore raté ... !

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Bernard Germain ∗

Le 19 avril 2022 s’est déroulé le « match retour » de la présidentielle opposant Marine Le Pen à Emmanuel Macron. Le débat de 2017 s’était soldé par une victoire par KO d’Emmanuel Macron. Débat que Marine Le Pen a trainé 5 ans comme un boulet tant elle avait été humiliée et dépassée.

Qu’allait-il en être en cette soirée d’avril 2022 ? Aurait-elle tiré les leçons de son échec précédent ? Saurait-elle cette fois affronter Emmanuel Macron et le dominer ? Nombreux étaient ceux qui se posaient ces questions. J’en étais.

Notons que contrairement à 2017, Marine Le Pen avait pour ce débat un sérieux avantage... Emmanuel Macron avait un bilan à assumer et c’est peu de dire que celui-ci est calamiteux.

Malheureusement, dès le début j’ai eu une mauvaise impression à la vue des deux candidats. Macron arborait comme à son habitude un air dominateur et arrogant tandis que Marine Le Pen avait un regard fuyant, passant de ses nombreuses fiches aux journalistes puis à ses chaussures. On sentait déjà que Macron avait un ascendant psychologique sur son adversaire du soir.

Le début de l’échange ne fit que me confirmer dans mon impression quand Macron bouscula Le Pen sur les problèmes de pouvoir d’achat et de TVA indiquant que sa méthode était bien plus efficace que celle de son adversaire. On eut une bien faible défense de son opposante.

C’était pourtant l’un des thèmes majeurs de la campagne du RN. L’affaire s’engageait mal.

Il serait fastidieux de reprendre tous les sujets traités. Certains ont plus retenu mon attention et méritent, selon moi, d’être relatés.

Sur le COVID 19

Marine Le Pen s’est laissé enfermer dans une discussion sur le « quoi qu’il en coûte » à l’issue de laquelle Macron lui posa la question « qu’auriez-vous fait à ma place ? » ... sans réponse de son opposante !

Pourquoi n’a-t-elle pas posé les questions que tout le monde attendait :

  • l’incohérence de la politique gouvernementale sur les masques (« les masques ça ne sert à rien » puis « obligation du masque partout ») ?
  • Idem pour les tests (« ça ne sert à rien » puis « des milliards dépensés en tests »)
  • les suppressions de lits dans les hôpitaux pour faire baisser les coûts de la santé et consécutivement l’enfermement de la population afin d’empêcher l’hôpital d’être submergé
  • le pass vaccinal puis sanitaire pour rendre obligatoire la vaccination, sans que ce soit une décision de l’État ce qui l’aurait rendu responsable en cas de problème avec les vaccins
  • les personnels hospitaliers, pompiers... licenciés en cas de refus vaccinal

... etc

Aucun de ces points n’a été abordé. Pourtant Macron aurait été en fâcheuse position s’ils l’avaient été.

Sur l’international

Macron s’est permis de rudoyer Marine Le Pen sur son prêt russe en indiquant qu’elle ne pouvait s’exprimer sur les problèmes touchant la Russie car elle était sous l’influence de Poutine « son banquier ».

Au lieu de bredouiller des explications embrouillées que ne lui a-t-elle demandé ? « Monsieur Macron, êtes-vous sous influence des Etats-Unis ? Mc-Kinsey vous a fait fait gratuitement votre campagne de 2017 et pour renvoyer l’ascenseur, vous leur avez donné pour un milliards de contrats, notamment sur le sujet du COVID. Vous n’ignorez pas que les Lois américaines obligent toute entreprise américaine a fournir à la CIA les données dont elles pourraient avoir connaissance concernant des pays étrangers. Donc vous avez contribué à transmettre des informations sans doute sensibles aux américains. »

Elle ne lui a pas posé cette question...

Elle aurait aussi pu lui demander : « Pourquoi payez-vous des sommes pareilles à un cabinet de conseil alors que nous avons des hauts fonctionnaires capables de faire ce travail ? Ils restent l’arme au pied et vous payez une deuxième fois un cabinet pour faire leur travail. Est-ce sérieux d’agir ainsi ? »

Elle ne lui a pas non plus posé la question...

Sur l’Europe

Sur ce thème Marine Le Pen s’est également faite malmener. Emmanuel Macron n’ayant de cesse de lui dire « ce que vous proposez revient, sans le dire, à annoncer votre sortie de l’Europe ».

Au lieu de multiplier les exemples montrant que l’Europe, singulièrement la Commission, outrepasse constamment ses prérogatives - par exemple avec sa récente campagne faisant la promotion du voile islamique - afin d’obliger les nations à se plier à ses directives, Marine Le Pen n’a pas mené la charge qui s’imposait. Visiblement elle était terrorisée à l’idée de dire une « bétise » et de se voir renvoyée à ses erreurs de 2017.

Encore une belle occasion manquée...

Sur l’islam et le voile

Marine Le Pen, après sa valse hésitation des derniers jours sur le voile, a clairement indiqué qu’elle était pour « son interdiction dans l’espace public ».

Un bon point pour elle.

Mais Macron de répondre « si vous interdisez le voile, il y aura la guerre civile ».

Pourquoi n’a-telle pas rétorqué immédiatement : « Je prends bonne note M. Macron que vous venez d’officialiser que les islamistes ont gagné. Vous vous soumettez. Aujourd’hui c’est le voile, mais il ne s’arrêteront pas avant d’avoir entièrement soumis la France à la charia. Avec vous la France est appelée à disparaître. »

Malheureusement, Marine Le Pen n’a pas répondu cela...

Sur l’insécurité

Marine Le Pen a bien indiqué des chiffres sur les agressions et sur la délinquance dont une partie non négligeable est en lien avec l’immigration.

Mais lorsque M.Macron a indiqué qu’il avait recruté 10 000 policiers et gendarmes, pourquoi ne lui a-t-elle pas posé la question : « Vous avez recruté des policiers et des gendarmes, mais vous ne les protégez pas des racailles et des délinquants. Avec moi celui qui lève la main sur un policier, un gendarme ou tout dépositaire de l’autorité, ce sera la prison automatique avec peine sans réduction.  Pourquoi n’avez-vous pas mis en œuvre cette mesure durant durant votre quinquennat ? »

Elle aurait pu dire cela, mais elle ne l’a pas fait...

Sur l’État

Marine Le Pen avait un boulevard sur ce thème. Pourtant elle ne l’a nullement invoqué. Et c’est fort regrettable.

Ainsi elle aurait pu dire à Emmanuel Macron : « Vous êtes un destructeur de l’État. Vous avez supprimé l’ENA, puis le corps préfectoral et il y a deux jours un décret est sorti discrètement entre les deux tours, annonçant la suppression du corps diplomatique. Jusqu’où irez-vous dans votre frénésie destructive de l’État ?... Moi Présidente, je restaurerai l’ENA, le corps préfectoral et le corps diplomatique. »

Malheureusement, sur ce sujet aussi elle fut silencieuse ...

Au final, il me semble que Marine Le Pen a été incapable d’apporter une vraie contradiction au Président sortant, alors qu’elle avait pourtant une foule d’éléments et d’arguments à lui opposer. Elle ne m’a pas non plus paru très brillante sur la défense de son programme, notamment parce qu’elle n’a pas su prendre de la hauteur et parler de la France, de son identité, de sa place et de son avenir dans les décennies à venir.

Le pouvoir d’achat est certes un thème qui intéresse du monde, mais une élection présidentielle et l’avenir de la France, c’est un autre niveau.

Elle n’a pas été capable de se hisser à ce niveau, sans doute par peur de « mal faire » ou de dire « une bêtise ». Ou alors parce que la marche est tout simplement trop haute pour elle.

Reste qu’elle risque bien au sortir de ce nouveau débat de se coller la réputation d’être une « machine à perdre ».

Parce que je souhaite la défaite d’Emmanuel Macron, Dimanche, je voterai pour elle... par devoir et sans enthousiasme.

Un dernier mot. Il est incompréhensible d’entendre, aujourd’hui 20 Avril, Jordan Bardella répondre à la proposition d’Eric Zemmour de créer une coalition de la droite pour les législatives... qu’il n’en est pas question. Selon lui, le RN présentera partout des candidats, sans s’occuper des autres.

Si l’on comprend bien Jordan Bardella, mieux vaut perdre chacun de son côté que gagner ensemble.

Peut-on imaginer pire stratégie pour aborder ces élections et la période qui s’ouvre ?

Je vais finir par me demander si c’est seulement Marine Le Pen qui est une machine à perdre ou le RN dans son ensemble.

∗ Bernard Germain est responsable local de "Reconquête !" en Bretagne. Il est aussi un opposant à la méthanisation et l'auteur du livre "Méthanisation, la nouvelle escroquerie écologiste" cliquez ici

23:30 Publié dans Présidentielle 2022, Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'extrême droite mondialiste

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12:37 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Crises et transition énergétique … ce n’est qu’un début

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Sabine Delanglade

Crises et transition énergétique nous ont montré que certains matériaux étaient essentiels. Il aurait fallu y penser avant.

Il suffit de taper le mot « pénurie » sur Google ou plus simplement sur le moteur de recherche documentaire des « Echos » pour déclencher une véritable avalanche : profils qualifiés, matériaux, gaz, blé, greffons, Ehpad, engrais, chauffeurs de bus, marins, papier, médicaments, bois... N’en jetez plus. A part de candidats à la présidentielle, manquerait-on de tout, un peu partout sur la planète ? Le secrétaire général de l’ONU prédit des « ouragans de famine ». Philippe Chalmin, une sorte de « pape » français des matières premières, nuance comme il aime le faire : « La plupart du temps il s’agit davantage d’un sentiment de pénurie que de réelle pénurie. » Un peu comme le fameux « sentiment d’insécurité ». En tout cas, le sentiment de pagaille lui est bien réel.

Dans Paris, on peut faire des pleins à 2,50 euros le litre. La gérante d’un restaurant de Saint-Denis-de-La-Réunion qui consomme habituellement une tonne d’huile de tournesol en deux mois, se plaint que son grossiste la rationne. Haro sur les acras ! Cinquante pour cent de l’huile de tournesol produite dans le monde vient d’Ukraine, 80 % avec la Russie. Elle entre dans des tas de recettes de biscuits, chips, etc. Les industriels carburent sur de nouvelles recettes, il va falloir les imprimer sur du papier dont les prix flambent (environ 30 %). Cornélien !

Le Figaro décrit un Sri Lanka privé de devises par le Covid-19 donc incapable d’importer du pétrole : « Sans carburant, la pêche aux crevettes et maquereaux qui composent les currys, base de la nourriture quotidienne de l’île, est interrompue. Faute de papier, les examens scolaires ont été reportés pour des millions d’élèves. » Un employé de Franprix explique qu’il disperse un peu les produits sur ses étagères pour dissimuler les ruptures d’approvisionnement. Au rayon poulet, les 10 millions de bêtes abattues pour cause de grippe aviaire vont manquer. Et ce n’est pas fini : « Le plus gros producteur au monde est ukrainien ; il sortait 1,5 million de bêtes par semaine », avertit le directeur achats de Lidl France. Un automobiliste découvre que son pot d’échappement a été volé pour revendre le palladium qu’il contient. Comme un vent de folie... Les crises se sont ajoutées aux crises. Après l’atonie pandémique, la violente reprise qui la suivit avait provoqué un grand embouteillage logistique. Dans les mers et sur les routes. En un an les coûts de transport de l’exportateur des fromages Président et des biscuits Ger- blé, sont passés de 7 à 20 % de son chiffre d’affaires. Les prix des conteneurs s’envolent, les délais s’éternisent. Le manque de marins qualifiés pourrait contribuer à gripper la machine : 15 % des marins de la marine marchande mondiale sont ukrainiens ou russes. Or beaucoup de navires sophis- tiqués exigent la présence d’hommes bien formés et difficiles à recruter. Sur terre, ce sont les camionneurs ukrainiens qui vont manquer. Décidément, l’Ukraine n’était pas seulement notre « grenier à pain ». Elle fournit même 70 % du néon utilisé dans la fabri- cation des microprocesseurs.

Déjà avant la pandémie et la guerre, l’impératif de la transition énergétique avait mis en lumière d’autres dépendances. Les voitures électriques, panneaux solaires, réseaux électriques, ou autres éoliennes n’ont pas besoin d’or noir pour fonctionner mais de lithium, de palladium, de cobalt, de magnésium, de cuivre. « Nous passons de l’ère du pétrole à l’ère des métaux », résume Christel Bories, la patronne d’Eramet. Dans la batterie d’une Renault Zoe entrent 7 kg de lithium, 11 de cobalt, 11 de manganèse et 34 de nickel. Or nous n’en avons pas, la France dépend à 100 % de l’extérieur. Dommage de ne pas y avoir pensé avant. Philippe Varin, ex-patron de PSA, auteur d’un rapport sur le sujet, le souligne et s’en inquiète. La Chine, elle, depuis vingt ans, sécurise ses approvisionnements. Pékin contrôle déjà 40 à 60 % de la chaîne de valeur des métaux essentiels à la fabrication des batteries. Quatre-vingt-dix pour cent du cuivre et du cobalt produits en République démocratique du Congo (dans des conditions plus que critiquables) sont exportés vers la Chine. Aujourd’hui, les deux tiers du lithium raffiné dans le monde sont chinois. L’Union européenne jouait les cigales : « Laisser d’autres fabriquer ailleurs tant qu’il n’y avait pas de problèmes d’approvisionne- ment et que les prix étaient bas, cela nous arrangeait », dit Christel Bories.

Aujourd’hui, les prix flambent. On a vu le nickel passer de 30 à 100.000 dol- lars la tonne en deux jours. Les réserves sont rares et les besoins immenses. La demande mondiale en métaux, cuivre, lithium, nickel, cobalt devrait être multipliée par six d’ici à 2040. Le cuivre vedette de l’ancienne économie reste une star de la nouvelle. Dans les entrepôts du London Metal Exchange, il n’y en a jamais eu aussi peu de disponibles depuis 1974.

En trente ans, nous allons consommer 60 % des réserves connues. Ne vous demandez pas pourquoi Orange passe son temps à remplacer les dizaines de kilomètres de câbles qui lui sont volés. L’Europe cherche, un peu tard, des solu- tions de rechange telles l’édification de « gigafactories » de batteries mais pour cela il faut des matières premières. Non seulement l’Europe en a peu mais les contraintes environnementales rendent leur accès de plus en plus difficile. En Serbie, des opposants ont bloqué un projet gigantesque d’extraction de lithium. Le gisement détecté en Bretagne dans la baie d’Audierne n’est pas près de gagner la bataille contre la nature et les bécasseaux qui y ont élu domicile.

Face à la cigale européenne, les nations « fourmis », dont chacun sait qu’elles ne sont pas prêteuses, vont se replier sur leurs réserves. Une démondialisation malheureuse.

Source : Les Echos, 20/04/2022

12:05 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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Le billet de Patrick Parment

Le duel Emmanuel Macron/Marine Le Pen, qui est resté courtois n’apporte au final pas grand-chose. A l’image des précédents débats entre les finalistes à la présidentielle, ce débat ne pèsera guère sur les intentions de vote des électeurs. Face à un Macron très assuré, Marine Le Pen s’est souvent montrée hésitante pour ne pas dire brouillonne. Elle a voulu montrer des compétences qu’elle n’a pas, notamment en matière économique et sociale. Au lieu de prendre de la hauteur, notamment sur l’Europe et l’immigration, elle s’est perdue dans des explications qui n’ont fait qu’ajouter à la confusion. Il y a peu de chance qu’elle ait retourné la situation à son avantage. Comme le dit très justement Patrick Buisson dans Le Point au sujet de Marine Le Pen, « C’est à un véritable aggiornamento idéologique qu’elle s’est livrée en abandonnant les ressorts mythologiques et émotionnels du roman national au profit d’une posture gestionnaire. »

10:47 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un bien étrange débat...

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Un communiqué de Thomas Joly, président du Parti de la France
 
Un bien étrange débat hier soir entre un Président sortant très offensif et arrogant et une candidate pataude, tétanisée par la crainte de réitérer le fiasco de 2017.
 
Alors que Marine Le Pen était satisfaisante sur le fond, Emmanuel Macron a pu asséner - de manière hélas convaincante - mensonges et contre-vérités, son adversaire restant inerte.
 
Pourquoi diable n'a-t-elle pas attaqué Emmanuel Macron sur le scandale d'État McKinsey, le pass sanitaire et le Grand Remplacement ?
 
La morgue d'Emmanuel Macron a peut-être indisposé un certain nombre d'électeurs mais la tiédeur hésitante de Marine Le Pen a sûrement déçu parmi ses soutiens les plus sceptiques.
 
Toutefois, face à la dangerosité de l'individu, fossoyeur enthousiaste de la France et du peuple français, il n'y a aucune hésitation à avoir dimanche 24 avril : virons-le de l'Élysée !

10:17 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 20 avril 2022

Faits divers, dites-vous ?

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Camille Galic

Sciences Po mène à tout... Il y a quelques années, Ali-Akbar avait fait beaucoup parler de lui en sa qualité de « premier Afghan à avoir fait Sciences Po Paris », en vertu de l’ouverture de la célèbre école décidée par Richard Descoings avant sa mort en 2012. Le Kabouliote défraie à nouveau la chronique. A propos cette fois de son maintien en détention provisoire par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Rennes, dans le cadre d’une enquête pour recel de smartphones volés en bande organisée, blanchiment aggravé et association de malfaiteurs – ceux-ci opérant au sein même d’entreprises spécialisées dans le re- conditionnement des appareils. Telle Remade, dans la Manche, où des exécutants roms avaient dérobé en 2020 pour plus de 320 000 euros de marchandises ensuite remises aux donneurs d’ordres afghans. Pour sa défense, Ali-Akbar aujourd’hui trentenaire a expliqué qu’en blanchissant les profits en cryptomonnaies il n’avait fait que « rendre service à son frère et son oncle », et son avocate soutient que son client n’a péché que « par naïveté et respect dû aux aînés ». « Cette dimension culturelle est importante, il ne faut pas l’occulter, sinon vous passeriez à côté du dossier », a plaidé Me Kian Barakat. En somme, son client « n’a pas les codes ». Que Sciences Po était justement censée lui enseigner.

Ramadan violent en Suède. Il n’y a pas qu’en France que les fêtes pascales, coïncidant avec le ramadan qui excite les esprits, ont été marquées par des manifestations gaucho-immigrophiles. En Suède, de violents incidents ont été provoqués par des opposants au mouvement Ligne dure qui, dirigé par l’avocat Rasmus Paludan, dénonce le poids excessif de l’immigration et de l’is- lam sur le royaume des Trois-Couronnes. A Malmö, troisième ville du pays particulièrement touchée par l’invasion et qui détient le triste record des viols (commis à 90 % par des allogènes), plusieurs voitures de police ont ainsi été incendiées, et douze policiers – suspects de sympathie pour Ligne dure – ont été blessés.

Source : Présent 20/04/2022

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Samedi 30 avril : conférence du Cercle Mercure à Wolfisheim (près de Strasbourg) avec Stanislas Berton

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C’est toi qu’on t'emmerde, affectueusement ! Avec Ingrid Courrèges

La Peste ou le Corona ? Bleu Roi au bleu Marine ? Reprise Rock  « C’est toi qu’on T’EMMERDE, affectueusement ! » avec Ingrid Courrèges

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mardi, 19 avril 2022

Un article consacré au livre d'André Posokhow, "Immigration l'épreuve des chiffres", dans la revue "Politique magazine" de ce mois

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Hilaire de Crémiers, Politique magazine cliquez ici

Notre ami et collaborateur André Posokhow s’est livré à un travail d’une précision qui mériterait le qualificatif de scientifique, s’il n’était obligé lui-même de concéder que les chiffres en matière d’immigration, étant donné les faiblesses initiales des données officielles et le flou entretenu par les autorités politiques et les organismes habilités, sur l’ensemble des catégories concernées, relèvent de l’évaluation avec ce que ce mot peut connoter d’approximation.

Cependant la rigueur des recherches, le décryptage des sources, l’utilisation d’analyses statistiques permettent de justifier les chiffres qui sont alignés, présentés, discutés, vérifiés par méthodes collatérales. Aucun « délire » pour parler le jargon des « anti-complotistes » médiatiques ! Il s’agit de calculs précis et de commentaires réfléchis.

Ce livre mérite d’être lu, même d’être étudié.

D’ailleurs, Posokhow se recommande d’auteurs qui ont déjà abordé la question, quelles que soient leurs convictions : les Patrick Stéfanini, Michèle Tribalat, Jean-Paul Gourévitch, Didier Leschi, Jean-Philippe Lévêque, Pierre Brochant, Malika Sorel, etc. Car tout est su, connu, archiprouvé. Les meilleurs esprits sont d’accord. Les rapports officiels ne peuvent nier la réalité : Cour des comptes, rapport parlementaire qui conclut, entre autres, qu’on ne peut pas estimer la population de Seine-Saint-Denis à plusieurs centaines de milliers d’individus près – et quid du reste du territoire. L’INSEE, lui-même, les notes des divers observatoires, les chiffres du ministère de l’Intérieur, en réalité tout converge pour montrer de façon écrasante ce que le citoyen moyen constate tous les jours et chaque année davantage : une immigration invasion qui tend à représenter aujourd’hui 20 % de la population qui vit en France, 25 % peut-être et qui ira bientôt à 30 % comme tous les pronostics l’établissent.

Chapitre par chapitre tout est sérié : références en exergue et notes à l’appui. Origine, constitution, répartition, procédés juridiques, lois, règlements, le pourquoi et le comment, titres de séjour, asile, famille, regroupement, naturalisation, droit du sol, majeurs, mineurs, mariages etc. Puis religion, part des musulmans, composition de ce monde musulman. Perspectives d’avenir. Un livre à lire, à étudier, à méditer. Les Français auront été prévenus.

Immigration : l’épreuve des chiffres, André Posokhow. Préface de Jean-Yves Le Gallou. Synthèse, collection Idées, 240 pages, 24,00 €

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RECONQUÊTE ! s'organise...

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Eric Zemmour appelle à la création d'une coalition des droites en vue des législatives

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Didier Rochard, responsable du Cercle national des combattants, répond aux questions d'Epona dans le cadre des entretiens du Parti de la France

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Charles Gave : "Macron fait peser sur notre pays un risque de guerre"

Discours de Charles Gave, essayiste et économiste, lors de la manifestation anti-Macron. À Paris, le 16 avril 2022.

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