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samedi, 02 avril 2022

Un entretien avec Bernard Germain, auteur de "Méthanisation : la nouvelle escroquerie écologiste"

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Propos recueillis

par Guirec Sèvres

 

Pourquoi ce livre sur la méthanisation ?

Ce sujet, inconnu de la plupart de nos compatriotes - particulièrement ceux qui vivent en ville - va inévitablement être largement discuté dans les prochains mois. Pour deux raisons majeures :

  • initialement, la méthanisation était présentée par ses promoteurs comme le moyen de produire du « gaz vert », donc écologique. Elle fait partie des moyens qui permettraient avec les éoliennes de développer des énergies « propres », en relation avec une baisse du recours à l’énergie nucléaire.
  • le conflit actuel entre l’Ukraine à la Russie a souligné notre dépendance vis à vis de la Russie, principal fournisseur de gaz pour l’Europe. Certains souhaitant sur ce plan ne plus être dépendant de la Russie, des solutions alternatives vont donc être recherchées. Le développement massif de la méthanisation fait partie des solutions possibles.

Il m’est donc apparu intéressant de rédiger ce livre afin d’exposer ce qu’est la méthanisation et surtout de donner au lecteur les moyens de répondre à la question : « est-ce une bonne idée ? ».

Pouvez-vous en quelques mots nous dire ce qu’est la méthanisation ?

C’est un procédé qui consiste à produire du gaz (méthane) à partir de déchets (excréments d’animaux, boues de stations d’épuration...) qui, mélangés avec du carbone (végétaux), vont en milieu anaérobie et sous l’action de micro-organismes, produire du méthane.

Ce méthane est récupéré et après épuration, sera injecté dans le réseau de gaz ou être injecté dans une turbine et brûlé. Ce qui permettra de produire de l’électricité qui sera vendue à EDF.

A l’issue du processus, il reste des déchets (90 % de ce qui entre !). C’est le « digestat » qui sera épandu à la surface des champs en qualité « d’engrais ».

A l’origine, la méthanisation devait se pratiquer « à la ferme » et constituer un petit complément de revenu pour les agriculteurs durement touchés par les prix auxquels ils doivent vendre leurs productions.

Sur le papier, tout cela semble très bien. Est-ce bien la réalité ?

Absolument pas. L’idée de base (la méthanisation « à la ferme ») a vite été remplacée par des structures de plus en plus grosses que le petit paysan ne peut pas s’offrir.

Certains se sont engouffrés dans le créneau ayant vite compris qu’il y avait beaucoup d’argent à gagner, d’autant que les subventions sont largement distribuées (Europe, ADEME, Régions, Départements...) auxquelles il convient d’ajouter des contrats sur 15 à 20 ans, à prix garantis.

Par ailleurs, l’équation économique de la méthanisation est absolument consternante. 

Enfin, la méthanisation est une authentique catastrophe pour l’environnement et les populations.

Avez-vous été confronté à ces problèmes ?

Oui. J’ai découvert la méthanisation il y a trois ans. Un projet d’unité de méthanisation a tenté de s’installer près de mon domicile, dans un joli petit bourg des Côtes d’Armor vivant largement du tourisme. L’affaire n’est pas terminée. Elle est en jugement.

Je me suis fortement engagé dans la mobilisation contre ce projet. C’est à cette occasion que j’ai appris tout ce que je sais dans ce domaine. Je fais largement part de cette expérience dans le livre.

Votre livre explique donc ce qu’est la méthanisation et comment la combattre ?

Effectivement, au-delà d’une présentation de la méthanisation, ce livre donnera aussi à tous ceux qui sont confrontés à un projet d’unité de méthanisation, des informations précieuses sur la manière de s’y opposer.

Il n’y aura jamais de méthanisation au Champ de Mars à Paris. Les « bobo-écolo » trouveront certainement le concept formidable d’autant qu’il est qualifié de « vert ».

Mais les habitants des campagnes, confrontés à la réalité de la méthanisation ont et auront un point de vue radicalement différent, basé sur leur expérience.

Quant au pays tout entier, il me semble urgent que des hommes politiques prennent conscience de la catastrophe qui s’annonce si la filière devait connaître un fort développement.

Qu’ils prennent conscience... et surtout qu’ils se mobilisent pour empêcher ce désastre à venir.

"Méthanisation : la nouvelle escroquerie écologiste", Bernard Germain, Les bouquins de Synthèse nationale, collection Pourquoi ?,106 pages, 18,00 € cliquez ici

00:48 Publié dans Bernard Germain, Livres, Rencontre avec... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 01 avril 2022

Entretien avec Patrick Drahi : « pourquoi j’ai décidé de soutenir Zemmour »

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Source OJIM cliquez ici

En cette Sainte-Hugues du premier avril 2022, Patrick Drahi crée la surprise en annonçant son soutien à Éric Zemmour. Il a accordé à Claude Chollet et à l’Ojim un entretien exclusif par téléphone.

Claude Chollet : Monsieur Drahi, merci de cette exclusivité qui sonne comme un coup de tonnerre dans la campagne électorale un peu molle de la présidentielle du printemps 2022. Votre soutien est-il une décision récente ou au contraire est-il préparé depuis un certain temps ?

Patrick Drahi : Vous permettez que je vous appelle Claude ? Vous savez Claude que je suis un homme discret, je ne me répands pas dans les médias, j’ai une vie familiale rangée, je travaille beaucoup et je ne fréquente pas les journalistes, heureusement (rires). Je voyage constamment pour mes affaires mais ma résidence principale est en Suisse, un pays où la sécurité est assurée, celle de mes enfants comme la mienne. Mais les témoignages des français qui vivent dans des « quartiers sensibles », où les femmes non voilées ne peuvent pas sortir dans la rue ou ceux des autres jeunes filles qui ne peuvent pas prendre le métro ou le RER sans être importunées ou pire, m’avaient déjà fait réfléchir et le programme de Zemmour sur la sécurité avait déjà trouvé un certain écho en moi.

Claude Chollet : Vous permettez que je vous appelle Patrick ? Patrick, vous parlez d’un « certain écho » mais ce n’est pas suffisant pour annoncer un soutien franc et surtout public ?

Patrick Drahi : J’ai hésité Claude, j’ai hésité. À cause du qu’en dira t’on, à cause de ma famille, à cause de mes affaires aussi où les risques sont réels de contre-mesures – fiscales, sociales, réglementaires — des autorités sur mon empire téléphonique. Mais ce qui a emporté mon adhésion, c’est le meeting du Trocadéro. Ces dizaines de milliers de gens, cette atmosphère à la fois d’exaltation et gentille, la ferveur générale, les drapeaux agités, le remarquable discours d’Éric, tout ça m’a fait sauter le pas. J’étais incognito dans la foule avec un chapeau pour ne pas être reconnu. À la fin du discours j’ai jeté mon chapeau en l’air et j’ai crié comme tout le monde « Zemmour président ! »

Claude Chollet : Vous avez évoqué de possibles difficultés pour vos affaires téléphoniques mais qu’en est-il pour Libération. Le rédacteur en chef Dov Alfon, vient de publier un communiqué « Pas ça, pas vous, pas maintenant ».

Patrick Drahi : Je connais bien Dov qui est franco-israélien comme moi. Vous savez qu’il a travaillé pour les services de renseignement de l’armée israélienne, il connaît la musique. Je pense qu’il a fait ce communiqué pour calmer sa rédaction qui est toute acquise à la cause libérale libertaire et aux valeurs mondialistes de la société de consommation avec ses tares et ses excès. Je suis pour la famille, pour l’ordre, pour la transmission.

Claude Chollet : Quand même, le quotidien préparerait sa Une pour demain avec votre photo estampillée « La Honte ». Un des rédacteurs, Pierre Plottu menace de s’émasculer publiquement en signe de protestation. Vous n’êtes pas gêné ?

Patrick Drahi : (en colère), Ces petits cons ne vont pas me mettre une étoile jaune quand même ? Vous savez que je contrôle la fondation qui est au-dessus de la société éditrice du journal ? Je crois que vous avez publié un article sur le sujet. C’est moi qui assure leur salaire à ces bobos mal décrassés ! Ils votent pour qui ils veulent et moi aussi ! Vive la liberté ! Vive Zemmour !

Claude Chollet : Merci Patrick et sans doute à bientôt.

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Neuvaine pour la France et le Règne du Sacré-Coeur du 1er au 9 avril, veille du premier tour

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Aujourd'hui, le premier avril commence une neuvaine avant le premier tour de l'élection présidentielle. Vous pouvez vous y associer. Voici la prière que l'on peut réciter afin de demander au Sacré Cœur de nous sortir de cette situation.

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Présidentielle : candidats et éoliennes

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Le Conseil d’Administration de la Fédération Environnement Durable a rédigé un questionnaire en 12 points destiné à tous les candidats concernant les éoliennes terrestres et en mer. 

Ce document leur avait été adressé par tous les moyens permettant de les contacter (Lettres avec ARC, emails, formulaires de contact, rencontres personnelles, etc.).

La grande majorité d’entre eux ont répondu et nous les en remercions.

Réponses des candidats :

 

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Ukraine : deux questions fondamentales

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Par Bruno Mégret

Pourquoi une guerre totale pour un enjeu mineur ?

En même temps que la guerre s’enlise sur le terrain, l’hostilité entre les deux parties adverses s’intensifie en effet dangereusement. Du côté russe, les armées de Poutine adoptent maintenant une stratégie reposant largement sur les bombardements avec les dommages qui en résultent en termes de morts et de destructions. Du côté ukrainien c’est, en plus de l’armée régulière et de façon très inhabituelle, la levée en masse des civils armés qui multiplient les actions de guerre.

Comment ne pas s’étonner d’une telle montée en puissance de l’agressivité guerrière quand on sait que l’enjeu du conflit ne relève nullement d’un antagonisme essentiel ? Nous ne sommes pas en face d’un conflit de civilisation qui mettrait en péril l’identité voire la survie même de la nation ukrainienne.

Il ne s’agit pas des hordes ottomanes montant à l’assaut des murailles de Byzance. Il n’y a rien de commun avec la bataille des champs Catalauniques qui stoppa l’invasion des Huns ou la défense de Vienne qui arrêta la progression des armées turques.

Non, rien de tel, car Russes et Ukrainiens sont très proches tant pas la population que par la religion, la culture et l’histoire. Les uns comme les autres appartiennent à la même civilisation européenne et chrétienne. L’objet du conflit est dès lors de bien moindre importance puisque, mise à part la question du Dombass, il porte essentiellement sur le statut international de l’Ukraine : peut-elle ou non entrer dans l’Otan, doit-elle ou non rester neutre entre la Russie et l’Union européenne ?

Se pose donc cette première question fondamentale, pourquoi un tel extrémisme guerrier pour un enjeu qui n’a rien de vital ? Pourquoi est-on si loin des conflits classiques tels que l’Europe en a connu d’innombrables du temps de sa splendeur lorsque les armées se combattaient, laissant les civils de côté et amenant les vaincus à capituler et à signer un traité de paix ?

Pourquoi les non-belligérants jouent-ils les boutefeux ?

Se pose par ailleurs une autre question concernant cette fois les non-belligérants. Car, très curieusement les actions économiques et de communication menées par les Occidentaux, loin d’apaiser les antagonismes, contribuent au contraire à les exacerber.

Ce conflit se concrétise en effet par des initiatives menées par l’Occident contre la Russie qui se traduisent par des sanctions économiques de plus en plus contraignantes et de plus en plus déstabilisantes pour les Russes certes, mais aussi pour nos compatriotes et, bien au-delà, pour l’économie mondiale. À cela s’ajoute une véritable guerre de communication menée par les autorités ainsi que par les médias occidentaux qui s’en prennent aux Russes et à leur président dans les termes les plus violents, parlant de pays paria, de génocide, de crimes de guerre, d’armes chimiques.

Aussi se pose-t-il une deuxième question fondamentale.

Pourquoi, dans ce conflit, les non-belligérants que sont les Occidentaux et tout spécialement les Européens ne cherchent-ils pas à faire baisser la tension guerrière et à amener les parties prenantes à un cessez‐le-feu et à trouver un compromis acceptable pour les deux parties ?

On pourrait subsidiairement se poser une question à propos du président ukrainien qui en temps de paix n’a pas eu la sagesse, pour protéger son peuple, d’accepter un statut de pays neutre comme cela a été longtemps le cas de l’Autriche par exemple. Et qui, maintenant que le conflit est ouvert, prône une guerre totale impliquant sa propre population et cherchant à entraîner dans le conflit les pays d’Europe. Une démarche de boutefeux qui, face à une invasion indéniablement condamnable, ne peut qu’aggraver les souffrances et les destructions pour son peuple et son pays.

Il n’est pas simple de répondre à ces questions. Mais les Ukrainiens devraient peut-­être se demander si certains ne cherchent pas à utiliser leurs souffrances pour atteindre un objectif géopolitique majeur à leurs yeux : disqualifier durablement la Russie et la couper définitivement de l’Union européenne.

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Demain fera-t-il jour ?

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Le billet de Patrick Parment

On sait très bien par expérience que les programmes politiques énoncés en raison d’élection à venir ne sont que des bouts de papiers jetés au gré du vent qui passe. Chacun essaie de répondre aux problèmes du temps présent, d’où la fatale inactualité de ces programmes une fois l’élection passée. Certes, on aurait mauvaise grâce de dire qu’il n’en reste rien, mais les urgences d’un jour ne sont pas celles du lendemain.

Aussi, les exégèses autour du programme d’Emmanuel Macron ou de Marine Le Pen ne sont à regarder que comme des curiosités. Eric Zemmour, dans ce cirque que constitue une élection présidentielle, présente une exception car il a mis le doigt là sur le danger majeur pour l’avenir de notre pays et de nos enfants : la maîtrise de l’immigration et une remigration plus que nécessaire. On oublie trop souvent que plus d’un million de Français d’Algérie ont regagné la métropole en un temps record.

L’autre aspect majeur que nos politiques se gardent bien d’évoquer, est que cette immigration incontrôlée a notablement fracturé la société française mettant à mal ce que l’on appelle d’ordinaire la communauté nationale. Ce que résume le sentiment général du « on n’est plus chez nous ». Nous devons donc tout à la fois lutter contre cette immigration – la France n’est pas une poubelle – et surtout reprendre en main une justice beaucoup trop laxiste et donner à nos policiers les moyens dont ils ont besoin.

Le degré de violence dû à l’immigration a atteint un niveau qui devient insupportable pour les populations qu’il s’agisse des villes, des banlieues et des campagnes. Il est par ailleurs intolérable de laisser s’implanter dans notre pays un islamisme qui ne correspond à rien dans notre culture judéo-chrétienne. Imagine-t-on élever une église en Arabie saoudite et autres pays du radicalisme islamique ? Une politique de rupture et de fermeté s’impose de manière urgente et on voit mal qui d’autre qu’Eric Zemmour pour la mener à bien.

Reste également que le prochain président aura comme l’on dit du pain sur la planche. Une pandémie qui affecte toujours l’économie française, une dette abyssale et surtout une Europe qu’il serait temps de régenter afin que cesse les méfaits, entre autres, d’une Commission dont les membres ne sont pas élus, faut-il le rappeler. Et tous les présidents qui se sont succédés ont fait preuve de la même incompétence, Ursula van der Leyden en tête en digne émule d’Angela Merkel shootée au mondialisme anglo-saxon.

Le conflit russo-ukrainien, par ailleurs, a mis en valeur tous les dysfonctionnements dont souffre cette institution. Et en premier lieu notre vassalité à l’égard des Américains où Emmanuel Macron a tenté de jouer les petits télégraphistes. Il serait temps de reconsidérer notre situation au regard de la géographie. Si cette guerre a eu lieu, et on ne peut que le déplorer, c’est bien parce que les Américains ont manipulé les Ukraniens et les Européens à ne pas respecter les traités, celui de Minsk notamment. Vladimir Poutine a toujours clamé qu’il ne voulait pas d’implantation de missiles en Europe - pas plus que les Américains avec les missiles russes à Cuba -, sous couvert de l’Otan. Et ce dès sa prise de pouvoir en l’an 2000. Les Américains, avec l’aval de l’Allemagne et plus encore de la Pologne ont fait l’inverse. Ces deux pays vivent dans la hantise imaginaire d’une invasion par l’armée russe !

Cette guerre a également bien mis en lumière notre dépendance énergétique vis-à-vis de la Russie, notamment pour ce qui concerne le gaz et pour partie le pétrole. Va-t-on se diriger vers un aléatoire approvisionnement américain qui va nous coûter la peau des fesses ? Je pense qu’il est temps que les Européens reprennent leur destin en main. Ce ne sera pas facile tant les tensions intra muros sont fortes. Les intérêts des pays du Nord s’entrechoquent avec ceux du Sud et plus encore de l’Est. Mais notre destin est commun. Il faudra donc bien trouver des solutions. L’Europe ne saurait se résoudre à n’être qu’une balle de ping pong dans l’affrontement entre Américains, Russes et Chinois. Avec cette guerre, c’est tout l’échiquier géopolitique, mais aussi économique qui est remis en cause avec le retour des nations sur la scène. L’Europe sera-t-elle absente ?

On rêve d’une Europe puissante. Mais on n’en prend pas le chemin.  La tâche du prochain président sera donc ardue et il devra batailler sur tous les fronts. Raison de plus pour que ce dernier ait une réelle vision du monde et plus encore une certaine idée de la France. A ce jour, on ne voit guère qu’Eric Zemmour pour porter cet espoir. Car avez-vous seulement entendu les Macron, Pécresse, Le Pen, Jadot et autres Mélenchon nous parler d’un destin français ? Et l’Europe, est-elle condamnée à accueillir toute la misère du monde ?

 

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MACRON ET MCKINSEY

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Eric Zemmour
 
Mes chers compatriotes, chers amis.
 
Je veux vous parler de l’affaire McKinsey. Toute la France commence à en parler et elle a raison d’en parler. Cette affaire démontre de manière éclatante tout ce dont nous ne voulons plus et tout ce que symbolise Emmanuel Macron : le manque absolu de respect pour votre argent, le copinage et le cynisme dangereux qui règnent à l’Élysée depuis cinq ans.
 
Vous méritez la vérité, toute la vérité, rien que la vérité, sur cette affaire comme sur les innombrables zones d’ombre du quinquennat d’Emmanuel Macron. Vous méritez la vérité, et vous méritez de voter pour le candidat qui vous dit la vérité. Je suis ce candidat.
 
Sur l’affaire McKinsey, je veux insister sur quatre points essentiels. Écoutez bien.
 
D’abord, la crise du Covid n’a pas vraiment été gérée par Emmanuel Macron, mais par la société McKinsey, un cabinet de conseil américain. Et vous en avez terriblement souffert, chaque jour pendant deux ans. Qui sait aujourd’hui si une société américaine – et donc l’Etat américain - ne possède pas des informations sur nous, sur notre vie privée, sur notre Etat, qui auraient dû rester secrètes ? Premier scandale.
 
Ensuite, l’argent du contribuable, votre argent, a été jeté par la fenêtre trois fois par Emmanuel Macron. Une fois pour payer des fonctionnaires qui n’ont donc pas été sollicités, car on a préféré confier leur travail à une société privée. Une deuxième fois pour rémunérer très grassement cette société américaine. Une troisième, parce que cette société rémunérée par vos impôts refuse de payer ses impôts en France. Deuxième scandale.
 
De plus, une information dont nous disposions déjà il y a un an refait cruellement surface : en 2017, Emmanuel Macron a fait travailler McKinsey gratuitement pour sa campagne. Une personne morale a donc fait ce don à la campagne d’En Marche, ce qui est interdit. Pourtant aucune enquête n’a été ouverte. Le renvoi d’ascenseur a été immédiat avec l’explosion du chiffre d’affaires généré par les contrats publics offerts à McKinsey. La collusion entre la politique et l’argent est ici complète. Troisième scandale.
 
Quatrième scandale ? Le silence assourdissant des médias (pas tous !). J’en parle depuis plusieurs jours, au point qu’un journal a publié un article tout à l’heure en demandant : « Pourquoi Eric Zemmour insiste-t-il autant sur l’affaire McKinsey ? ». Que les médias se posent cette question démontre parfaitement qui ils sont, et qui je suis. J’en parle parce que je ne suis pas un politicien, parce que je dis la vérité et que la Macronie est une usine à mensonges.
 
Vous le savez, j’ai consacré ma vie entière à dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. J’ai passé ma vie à défendre la vérité contre le mensonge, comme journaliste, comme écrivain, et désormais comme candidat à l’élection présidentielle. Elle est ma passion, ma mission et mon engagement. Sur ce sujet comme sur tous les autres – la réalité de notre école, de notre économie, la vérité sur l’immigration ou sur la sécurité des Français - je ne laisserai pas Emmanuel Macron vous priver de la vérité.
 
Pour elle, je veux devenir votre Président de la République. Pour elle, grâce à elle, avec elle, nous serons au second tour, et je la dirai à Emmanuel Macron, les yeux dans les yeux, devant le pays entier. Si vous le voulez, le débat du second tour sera le plus important de notre Histoire.
 
Mes chers compatriotes, chers amis, en mettant notre bulletin dans l’urne, dans dix jours, vous direz la vérité, vous défendrez la vérité, vous offrirez la victoire à la vérité et donc à la France. Votez pour elle. Sauvez-la pour combattre l’insupportable mensonge des politiciens professionnels.
 
Vous savez que vous pouvez compter sur moi. Je sais que je peux compter sur vous. Ne laissons pas la langue de bois, le politiquement correct et la censure vous voler l’élection. Nous sommes un grand pays, soyons le pays de la vérité. Vive la République et surtout, surtout, vive la France.
 
A demain,
 

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Élection présidentielle truquée ?

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jeudi, 31 mars 2022

VALEURS ACTUELLES D'AUJOURD'HUI

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5,50 €, chez tous les marchands de journaux.

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SAMEDI DERNIER À PARIS : IMPOSANT DÉFILÉ PATRIOTIQUE À L'INITIATIVE DE L'ASSOCIATION "PLACE D'ARMES"

Présidée par Jean-Pierre Fabre Bernadac, un officier de gendarmerie à l'idéal patriotique bien encré, l'association Place d'armes est constituée d’anciens militaires, de membres de leurs familles et de soutiens civils, tous bien décidés à faire vivre les valeurs de l’Institution et à les diffuser au cœur de la société en développant un lien armée-nation.

Autrement dit Place d’armes poursuit deux objectifs :

• Créer une fraternité d’arme d’entraide et de camaraderie ;

• Peser de tout son poids pour que les valeurs inculquées par l’Armée : honneur, patrie et fidélité, soient à même de nous fédérer, au-delà des clivages politiques, pour préserver notre nation.

C'est dans cet esprit que samedi dernier elle organisait à Paris sa Marche de la fierté française à laquelle participèrent plusieurs milliers de Français attachés à leur nation et à leur civilisation. Un premier succès pour Place d'armes...

Lire le site cliquez ici

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Le président Fabre Bernadac interrogé par la presse qui restera cependant fort discrète par rapport à cet événement.

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La vérité sur les sondages

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Éric Zemmour

Un mystère hante l’élection présidentielle : et si les sondages se trompaient complètement ? 

Les commentateurs en parlent, les politiciens professionnels le craignent, les sondeurs s’interrogent. 

Leur conviction : rien n’est joué. 

Leur question : existe-t-il un vaste réservoir de suffrages que personne ne parvient encore à détecter, mais qui pourrait déjouer les pronostics au soir du premier tour ?

Ma réponse : ce réservoir existe bel et bien, et surtout, il est une excellente nouvelle pour la démocratie et pour la France.

Il existe plusieurs manières d’évaluer les intentions de vote. 

Le plus souvent, les médias parlent de la méthode statistique traditionnelle : celle des instituts de sondage. Elle consiste à demander à des gens qui aiment être sondés et qui se sont pour cela inscrit sur des « panels », quel est leur candidat préféré. 

Notez bien : à des gens qui aiment être sondés

Vous qui me lisez, avez-vous déjà été sondé ? Non, 99% d’entre vous répondront non

Car il est impossible d’interroger les autres, ceux qui ne savent pas comment faire partie de ces « panélistes », ceux qui se méfient des sondages, ou ceux qui les détestent carrément. Ceux-là sont innombrables, sans doute de plus en plus nombreux. 

Et, parmi eux, il n’y a pas que des abstentionnistes ou des « antisystèmes » : on y trouve une grande diversité d’électeurs qui refusent tout simplement de donner leur opinion. J’en ai rencontré tous les jours lors de ma campagne.

Mais il existe une autre manière de sonder les intentions d’un peuple : la réalité de la vie, effective, concrète, incarnée, des citoyens français.

  • Que Reconquête!, mon parti fondé il y a à peine trois mois, compte aujourd’hui 120 000 adhérents et soit le plus puissant parti de France, voilà une information concrète. 
  • Que mes meetings soient incontestablement les plus peuplés et les plus fervents de la campagne électorale, voilà une certitude fondée. 
  • Que nous soyons les seuls à pouvoir remplir la place du Trocadéro de 100 000 patriotes venus des quatre coins de France, quand mes concurrentes ne dépassent pas les 6 000 personnes, est une information capitale. Dimanche dernier, nous avons vu le nombre et nous avons vu la ferveur : ce sont les deux déterminants d’un vote massif, car le nombre se démultiplie et car la ferveur est contagieuse. 
  • Que mes vidéos et mes passages à la télévision obtiennent des scores incomparablement plus élevés que ceux de mes adversaires, personne n’ose le nier. 
  • Que les dons, les messages de soutien et les témoignages de sympathie affluent vers moi comme vers aucun autre candidat, c’est aussi vrai que deux et deux font quatre et cela est chaque jour plus vrai et plus impressionnant que la veille, quels que soient les scores des instituts.

Un proverbe dit : « Crois ce que tu vois, pas ce qu’on te dit. »

Je vois la surabondance des preuves et je vois l’omniprésence de mes sympathisants dans tous les secteurs de la société française. Vous la voyez aussi et vous sentez, sur tous les marchés de France, qu’elle se situe bien au-delà de 12 %.

Vous sentez que parmi les millions de soutiens qui convergent vers ma candidature, il y a un très grand nombre d’abstentionnistes. Ils me disent que cette fois, ils veulent aller voter. 

Pourquoi ? 

Parce que je ne suis pas un politicien professionnel, parce que je n’ai jamais vécu aux crochets du contribuable, parce que je ne suis pas à la recherche d’un poste, parce que je renverse le jeu des partis traditionnels et parce que je suis le plus grand opposant à Emmanuel Macron. 

Ils savent qu’ils peuvent compter sur moi. Je sais que je peux compter sur eux.

Enfin, il y a ceux qui ne peuvent pas dire qu’ils vont voter pour moi. Parce que leurs milieux professionnels ou familiaux sont soumis au régime de la terreur du politiquement correct.

Je pense à ceux qui viennent me dire leurs craintes : à ces Français des banlieues, à ces fonctionnaires, à ces enseignants, à ces artistes, qui doivent se cacher par crainte des représailles.

Je pense à tous ces résistants avec affection. Ils ne sont pas des lâches : ils sont des cibles. Ils placent leur espoir en ma candidature. Je compte sur leur revanche dans l’isoloir.
Le soir du premier tour sera leur soir.

Additionnez tous ces sondages, tous ces sympathisants si enthousiastes, tous ces abstentionnistes, tous ces silencieux, et vous obtenez un peuple. 

Un peuple impossible à quantifier, mais qui est là, impatient et digne, prêt à créer la surprise. Un peuple qui veut me voir dire la vérité française à Emmanuel Macron, les yeux dans les yeux, pendant le débat du second tour. Un peuple qui veut que la France reste la France. Un peuple qui sait qu’impossible n’est pas français. 

Dans 11 jours, notre peuple ridiculisera tous les faux prophètes et tous les mauvais experts.

Ce peuple, c’est vous.

Cet événement historique du 10 avril à 20 heures, c’est nous.

À demain pour la suite.

Vive la France !

01:05 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 30 mars 2022

Jeudi 31 mars à 21 h 00 : Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, est invité au "Forum du PdF" sur Télégram

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L'émission "Synthèse" sur TV Libertés avec comme invité Claude Chollet, président de l'OJIM

Connaissez-vous la Dilcrah, la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (ouf) ? Non ? Alors, rappelez-vous du film magnifique "Le Corbeau" de 1943 de Georges Clouzot avec l’épatant Pierre Fresnay. Le film est inspiré d’un fait divers réel survenu en 1922, l’affaire de Tulle. Plus de cent lettres anonymes dénonçaient alors la "mauvaise conduite" de certains, l’adultère des uns, l’enfant naturel des autres. L’auteur, une vieille fille frustrée signait "L’œil du tigre" et ajoutait le dessin d’un corbeau. Le corbeau dénonce un tel qui couche avec une telle alors qu’il est marié, ou celui qui ne braie pas avec le troupeau, mais le corbeau exige aussi la punition par l’intercession du jugement moral de la communauté.

Roland Hélie, Philippe Randa et Pierre de Laubier reçoivent dans leur émission "Synthèse" Claude Chollet, collaborateur de la revue Éléments qui vient de publier aux éditions de la Nouvelle Librairie La Dilcrah, fossoyeur de nos libertés ; il dénonce, au nom de la salubrité publique, sa nuisance souvent haineuse et toujours partisane.

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Dette publique : spirale vertigineuse

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Gaëtan Capèle

C’est l’éléphant dans la pièce que tout le monde fait mine d’ignorer : a douze jours de l’élection présidentielle, l’énorme sujet de la dette publique brille par son absence dans le débat politique. Les chiffres pourtant, donnent le vertige. L’endettement de la France, pris dans une spirale vertigineuse, a triplé en vingt ans pour dépasser les 2800 milliards d’euros. La Cour des comptes, chargée de surveiller le bon usage de l’argent public, s’inquiète ouvertement de cette trajectoire, en passe de devenir hors de contrôle. Depuis un demi- siècle, quelle que soit la météo économique, la France vit au-dessus de ses moyens, en dépensant systématiquement davantage que ce qu’elle possède. Avec la pandémie, puis la flambée des prix de l’énergie, les dernières digues ont lâché. Au nom de circonstances exceptionnelles qui le sont de moins en moins, l’État se charge de tout, se substitue à tout, paie tout, quoi qu’il en coûte.

Cette infantilisation du pays prépare des lendemains difficiles. Personne, à part Jean-Luc Mélenchon, ne croit à la fable d’un effa- cement de la dette. La réalité est qu’avec son gonflement sans fin et la remontée des taux d’intérêt, il faudra, à l’avenir, consacrer de plus en plus de moyens à son remboursement. Et que la générosité publique actuelle, purement factice, annonce les impôts de demain.

On cherche en vain, dans la frénésie dépensière des programmes électoraux, ce qui pourrait interrompre cette fuite en avant. Emmanuel Macron ou son successeur devra pourtant bien s’y astreindre. Car le monde d’avant, que l’on croyait révolu, revient au galop. Les banques centrales préparent la fin de l’argent gratuit à volonté. Les créanciers internationaux recommencent à trier les bons et les mauvais risques. Les Européens s’apprêtent à renégocier les règles budgétaires applicables dans la zone euro. La France, qui n’a quasiment jamais respecté les précédentes, espère davantage de souplesse et ambitionne même de convertir ses voisins aux bienfaits de la dette commune. Son lourd passif ne plaide pas en sa faveur.

Source : Figaro 30/3/2022

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MERCREDI 30 MARS (À PARTIR DE 18 H) : CLAUDE CHOLLET, DIRECTEUR DE L'OJIM, INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS

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mardi, 29 mars 2022

Robert F. Kennedy, Jr. s'adresse aux Français

Robert F. Kennedy, Jr. « Les Français doivent comprendre qu’il s’agit d’un projet mondialiste pour créer une technocratie permanente qui nous gouvernera au profit des grandes entreprises plutôt que pour l’esprit humain, l’âme et la dignité humaines et la santé publique.

J’ai écrit ce livre pour que les Américains, qu’ils soient démocrates ou républicains, puissent comprendre le rôle pernicieux du Dr Fauci, qui permet aux entreprises pharmaceutiques d’asservir notre gouvernement et de subvertir notre démocratie. Je l’ai aussi écrit pour relater le rôle clef joué par le Dr Fauci dans le coup d’État qui se joue actuellement contre la démocratie.»

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Vous pouvez commander ce livre chez son éditeur par ICI

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Le succès d'Eric Zemmour :

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Ukraine : QUELQUES VÉRITÉS (PAS) BONNES À DIRE

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Indépendamment des pertes humaines qu’il est difficile à ce jour de quantifier - civils ukrainiens, militaires des deux camps - Vladimir Poutine a commis quelques erreurs majeures d’appréciation de la situation.

La première, en surestimant les capacités de son armée, qui semble en difficulté face à une résistance acharnée, malgré ses frappes bien souvent aveugles. La seconde erreur, en sous-estimant la rage à se battre des forces ennemies. On est en droit de s’interroger sur la capacité tactique des chefs d’unités russes sur le terrain, à voir comment se sont faits « allumer » les chars sur une grande route, alignés en file indienne, comme à la parade. Pas besoin de sortir de Saint-Cyr pour deviner que l’on n’engage jamais des blindés en terrain découvert, sans avoir fait procéder à une reconnaissance de l’avant… Quelles belles cibles pour les Ukrainiens, postés en embuscades, leurs modernes Panzerfausts à l’épaule ! Il semble que la doctrine d’emploi des moyens blindés n’ait pas évolué depuis l’ère soviétique. On a vu, à l’occasion des trois dernières guerres israélo-arabes – 1956, 1967, 1973 - ce qu’il en était, déjà, sur le terrain.

Troisième faute, un comble, Poutine a contribué à redonner vie à l’OTAN, un organisme qui, selon notre « Phare de la pensée nationale » - Macron – était en « état de mort cérébrale », sans oublier qu’il a également contribué à faire se resserrer les liens distendus unissant les pays de l’Union européenne.

Quatrième erreur, par ses bombardements massifs tuant de nombreux civils,  il a contribué à faire émerger une nation ukrainienne que l’on disait divisée entre Ukrainiens « pur jus », notamment du côté de la Galicie à l’ouest, et Russophones du Donbass que, justement, il se proposait de libérer.

Et, cinquième conséquence négative de ce conflit - qui nous affecte le plus tout autant que la mort de nos frères européens dans les deux camps - il retarde d’au moins une à deux bonnes décennies, sauf imprévu, tout espoir de constituer un ensemble continental pacifié de « Brest à l’Oural » comme l’exprimait De Gaulle, qui ne disait pas que des bêtises. Une sorte « d’Euro-Sibérie » déconnectée de l’emprise américaine, où les nations d’Europe occidentale, indépendantes mais  militairement soudées, échangeraient leurs produits finis et leurs biens de consommation courante, contre les immenses ressources minérales russes, une sorte d’échanges gagnants/gagnants.

Une consolation – pour longtemps ? – il semble qu’à part Renault qui s’est discréditée pour un bon moment - Mercédès et BMW lui tailleront des croupières lorsque la paix sera revenue ! - d’autres firmes françaises résistent aux insupportables injonctions du Président Zelensky, et restent sur le marché russe. Nous avions à Londres, le « général micro », il y a à Kiev un « Président télé » que les medias de la « bienpensance » viennent d’ériger en héros planétaire.

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Macron et la politique du grand écart

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Françoise Monestier

Les hasards du calendrier ont permis à Emmanuel Macron de bénéficier des avantages de sa double casquette de président sortant et de candidat au renouvellement de son mandat lors de la cérémonie d’hommage aux victimes de Mohamed Merah, organisée à Toulouse le 20 mars dernier par le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) et son responsable régional Franck Teboul, proche du maire de la ville. Flanqué de son épouse, le président de la République a rendu hommage aux victimes, quatre juifs dont trois enfants, deux militaires musulmans et un soldat catholique, en évoquant simplement « une vision dévoyée de l’islam » pour qualifier la tuerie perpétrée par celui que l’on avait d’abord présenté comme le « tueur au scooter ».

L’ombre de la Shoah

« Depuis dix ans, face aux drames, face à leur répétition, nous n’avons pas baissé la tête. [...] Nous n’avons rien cédé, rien abandonné, sûrs et fiers de nos valeurs, recherchant sans trêve l’équilibre ente la défense de nos libertés et le renforcement de notre sécurité », oubliant, pêle-mêle, Charlie Hebdo, Magnanville, le Bataclan, Samuel Paty ou nos soldats victimes des tueurs islamistes. En revanche, il a rappelé, en s’adressant au président israélien Isaac Herzog qui avait fait le déplacement depuis Jérusalem, que le Parlement s’est abrité fin 2019 sous le parapluie de l’ Alliance internationale pour la mémoire de la Shoah pour définir l’antisémitisme afin de lutter contre « ses formes les plus insidieuses, les plus pernicieuses comme les plus désinhibées ». L’occasion rêvée pour Franck Teboul, après avoir demandé une minute de silence pour l’Ukraine, de s’en prendre violemment, sans le nommer, à Zemmour, déplorant que « les vieilles thèses ressurgissent », évoquant ses propos visant « l’innocence d’un capitaine » ou l’idée qu’un « traître puisse être considéré comme un bouclier ». Pendant ce temps-là, les horreurs commises aux cris d’« Alla-hou Akbar » passaient au second rang et le CRIF peut continuer à tirer les ficelles.

Fausses notes ?

Des esprits chagrins noteront qu’aucun hommage n’a été rendu, pour cette commémoration, aux trois militaires abattus par Merah qui avait soigneusement préparé sa tuerie. « Ils n’ont rien fait et je pleure. J’ai perdu un fils de trente ans, un fils de la République », déplore Latifa Ibn Ziaten qui a regretté l’absence de paroles spécifiques pour les soldats. François Hollande n’avait pas fait mieux en 2012, en qualifiant de musulman le catholique Abel Chenouf, un des trois militaires tués par Merah, provoquant la réaction de son père qui condamnait « l’inculture, l’agression verbale et le mépris » de l’ancien président.

Autre fausse note dans cette cérémonie, l’hymne israélien a été chanté avant notre Marseillaise et Emmanuel Macron a invité le grand rabbin de France à réciter le kaddish, la prière prononcée pour les morts dans la religion juive, sans convier les représentants de la religion catholique et de la religion musulmane à faire de même pour les autres victimes.

Trois jours plus tard, le même Emmanuel Macron s’indignait, après la mort de Colonna, violemment agressé par un Camerounais djihadiste dans sa prison d’Arles, que les étendards aient été mis en berne par la collectivité de Corse, oubliant qu’en 1953 ces mêmes symboles de la République l’avaient été pour la mort de Staline (des millions de morts au compteur) et en 2013 pour Mandela. Histoire sans paroles.

Source : Présent 29/3/2022

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Allemagne. Le cabinet McKinsey a conseillé le gouvernement Merkel sur l’accueil des migrants… contre 30 millions d’euros

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SOURCE BREIZH-INFO cliquez ici

Le cabinet de conseil McKinsey, n’ayant versé aucun impôt en France depuis au moins 10 ans malgré des factures de plusieurs millions d’euros et dont l’un des responsables serait un proche d’Emmanuel Macron, est également intervenu en Allemagne. Pour conseiller le gouvernement Merkel sur l’accueil des migrants. Moyennant, là encore, une belle rémunération.

Quand McKinsey venait au chevet de l’Allemagne sous la pression migratoire

Puisque la France découvre progressivement (quoiqu’un peu tard) les relations troubles entre l’État français et McKinsey, il est donc temps de s’intéresser rétroactivement aux activités passées de ce cabinet de conseil en stratégie new-yorkais en Europe.

À ce titre, le cas de l’Allemagne est intéressant. Durant la crise migratoire de 2015, il s’avère que McKinsey a conseillé le gouvernement d’Angela Merkel dans sa gestion des flux de clandestins. Depuis, plusieurs titres de presse ont évoqué ces prestations de conseil.

Si le quotidien français La Dépêche s’interrogeait en février 2021 sur le rôle du « mystérieux cabinet McKinsey, qui accompagne Emmanuel Macron de la création d’En marche à la vaccination contre le Covid-19 », les projecteurs furent également braqués, cette fois par le Washington Post en juin 2017, sur la façon dont le cabinet de conseil avait « discrètement façonné la réponse de l’Europe à la crise des réfugiés ». Une réponse qui, comme en France pour les conseils en matière de stratégie vaccinale ou pour réduire les dépenses publiques, a conduit l’Allemagne à régler une facture plutôt salée à McKinsey.

Près de 30 millions d’euros pour ouvrir les portes de l’Allemagne aux migrants

Tandis que le pays était alors gouverné par la chancelière Angela Merkel, il faut donc rappeler que l’Allemagne a accueilli 1,5 million de clandestins en 2015, année marquée par ce que les responsables politiques d’Europe de l’Ouest et les médias mainstream appelèrent la « crise des migrants ». Avec la publication, dans ces mêmes médias, le 2 septembre 2015 de la photo d’un enfant syrien mort noyé, Aylan, l’objectif était alors à peine caché : faire accepter aux européens les mouvements de populations extra-européennes parmi les plus importants de l’histoire.

L’année suivante, en 2016, malgré les agressions de Cologne commises lors de la Saint-Sylvestre qui auraient dû alerter les autorités sur les conséquences néfastes de l’immigration massive, l’Allemagne accueillera un million de migrants supplémentaires.

C’est donc dans ce contexte, en octobre 2015, tandis que le pays était débordé par les flux de migrants et voyait ses structures d’accueil débordées, que l’Allemagne a eu recours aux services de McKinsey. À ce titre, Berlin a versé 29,3 millions d’euros au cabinet de conseil américain. Ce dernier a alors mené un travail en coopération avec l’Office fédéral des migrations.

La remigration, une idée que n’a pas eue McKinsey…

Parmi les projets de McKinsey figurait la mise en place de centres d’arrivée accélérée ayant la capacité de traiter les demandes en quelques jours afin d’éviter une accumulation des arriérés de dossier. À noter que le travail de la société sur les questions migratoires a également conduit ses consultants à prodiguer leurs conseils en Suède (en 2008 et 2009 pour un montant dépassant les 2 millions de dollars) et en Grèce, où, en 2017, un contrat d’un montant de 992 000 euros conclu entre McKinsey et le Bureau européen de l’asile aurait été passé sans « suivre la nécessaire procédure d’attribution des marchés publics », comme l’a notamment rapporté le journal Le Monde en 2020.

Quant aux préconisations du cabinet de conseil en matière de gestion des migrants, elles ont froissé certains experts en droit international du fait que cette gestion plus rapide des dossiers de demande d’asile aurait parfois conduit à priver les clandestins de certains droits comme celui regroupement familial.

Toutefois, pas question pour McKinsey de recommander à l’Allemagne une politique de remigration, concept popularisé depuis par Éric Zemmour. Ainsi, le centre d’études McKinsey Global Institute a publié en 2016 un rapport sur les « impacts et les opportunités des migrations mondiales. Le document décrit comment des procédures d’intégration plus efficaces pourraient stimuler les économies nationales tout en profitant aux migrants.

Voilà qui fait cher payé pour une idée répandue depuis longtemps au sein des gouvernements successifs, à savoir que l’immigration d’origine extra-européenne serait une « chance » pour nos sociétés occidentales, et plus particulièrement pour les tenants de l’économie. On connaît la suite…

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Éric Dénécé (spécialiste du renseignement) démonte Zelensky et l’OTAN

Eric Dénécé (Directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement) : "J'avoue que je suis extrêmement choqué par l'écho médiatique et l'aura que l'on donne à Volodimir Zelensky qui est un acteur, un comédien (...) qui est responsable de ce qui se passe, lui et son entourage, n'oublions pas qu'il a été élu avec les voix des Russophones en 2019, il n'a pas appliqué les Accords de Minsk pour lesquels il avait été élu, ensuite il ne faut pas oublier que c'est un homme qui avait été mis en cause par les Pandora Papers, ce ne sont pas des racontars, il est accusé d'avoir dissimulé une grande partie de sa fortune, notamment avec sa société Maltex. Dès qu'il a été élu, il a nommé Sergei Shefir, qui était son producteur, comme principal conseiller. On sait aussi qu'il est accusé d'avoir blanchi près de 40 millions de dollars de l'oligarque Kolomoisky. Donc on a là quelqu'un qui est une forme de satire, je trouve qu'il faut le dire, et qui fait une véritable politique de communication très astucieuse, mais qui commence à se retourner contre lui. On l'a vu devant la Knesset il y a quelques jours où il a comparé ce qui se passait dans l'Est de l'Ukraine à la Solution Finale, alors inutile de vous dire que pour la moitié des élus israéliens c'était un véritable scandale, il nous a rejoué un grand coup de violon devant le parlement français sûr, vous le disiez tout à l'heure, le rapport entre Marioupol et Verdun, ça ne tient pas la route, et aujourd'hui, le chef de la diplomatie ukrainienne, qui est un de ses principaux adjoints, est en train de nous dire ce qu'on doit faire, c'est-à-dire que c'est lui qui décide de provoquer un boycott contre les produits, contre les magasins Auchan en Russie… Ainsi, ces gens qui ne représentent rien, ces gens qui n'ont cessé d'être manipulés volontairement par les Américains, je parle du gouvernement ukrainien, sont aujourd'hui responsables de ce qui se passe dans leur pays. Je fais une nette différence entre cette population ukrainienne qui est victime de la guerre et ce gouvernement qui a une énorme responsabilité, et au lieu de communiquer comme il le fait, on serait plutôt en droit d'attendre de sa part qu'il présente des excuses pour avoir été, un, à l'origine de ce conflit, et finalement il contribue à l'extermination de sa population."

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lundi, 28 mars 2022

La déplorable petite musique médiatique autour du « Macron assassin »...

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Un communiqué de Marion Maréchal :
 
Depuis hier, nous assistons à une déplorable petite musique médiatique autour du « Macron assassin » entendu à l’occasion du meeting d’Eric Zemmour.
 
Ce qui n’aurait dû être qu’une information accessoire est montée en épingle de toute pièce pour transformer ce sujet en « polémique » de campagne. Comment ne pas voir comme partial et partiel le fait de réduire ce grand événement à dix secondes d’un « slogan » lancé par une partie de la foule (et non par l’orateur lui-même) sur trois heures de discours ? Le seul véritable fait politique était la tenue du plus grand meeting de la campagne autour d’un candidat qui a réussi l’exploit de réunir près de 100 000 personnes. Nous aurions donc pu légitimement attendre de la part des journalistes une analyse de ce succès et du contenu des discours, en particulier celui d’Éric Zemmour. Un discours très dense dans lequel il a parlé sans détour de sa vision de la France, de l’État, de l’assimilation et de l’avenir.
 
Au lieu de cela, un certain nombre de journalistes semblent plus préoccupés par le fait d’obtenir la « condamnation » et la « contrition » des responsables politiques de Reconquête! qui n’y sont pourtant strictement pour rien. Certains journalistes ont manifestement raté leur vocation de curé ou de procureur.
 
J’ajouterai que l’on aurait pu attendre un tel émoi de la part de Madame Pécresse lorsque son soutien Jean-Christophe Lagarde parlait de « balle dans la tête d’Éric Zemmour » ou encore le même entrain de la classe politique à condamner les multiples attaques verbales et physiques subies par des militants RN et Reconquête! ces dernières semaines dans l’indifférence générale.
 
Il ne s’agissait pas en l’état de violence « symbolique » mais d’agressions bien réelles avec des militants aspergés d’essence, frappés à coups de couteau ou de matraque.
 
J’irai même plus loin et j’inviterais les journalistes à essayer de comprendre le fond de la colère qui pousse une foule pacifique à scander ce type de phrase. Bien que le contenu soit évidemment déplacé et critiquable, les personnes réagissaient alors à la liste de crimes énoncés par Éric Zemmour qui ont abouti au massacre de Français innocents, tués par la racaille ou le jihadisme sur notre sol. C’est la colère des dizaines de milliers de familles, de pères et de mères qui s’est alors exprimée devant un État et une justice qui ne les protègent plus, devant l’aveuglement du gouvernement, face à l’ensauvagement de la société qui s’exprime quotidiennement sur notre sol.
 
Je considère qu’un tel traitement médiatiquement est révélateur de l’inquiétude que suscite Éric Zemmour dans sa capacité à perturber un scénario électoral bien huilé. Les Français ont été les témoins de ces méthodes injustes durant des décennies, je suis convaincue qu’ils n’en sont plus dupes.

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"Macron assassin" : la minable polémique

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Réaction de Thomas Joly, président du Parti de la France :

La minable polémique sur le slogan « Macron assassin », que d'ailleurs quasiment personne n'a entendu dimanche au Trocadéro, est significative de la frustration de la caste politico-médiatique face au succès de ce rassemblement historique. Ils enragent et savent bien qu'Éric Zemmour a toutes ses chances d'accéder au second tour de l'élection présidentielle.

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Les nations doivent être défendues

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Absent depuis plusieurs mois de la vie intellectuelle et médiatique, Alain Finkielkraut fait son grand retour dans Le Figaro. L’académicien confie l’épreuve de la maladie qu’il a traversée et qui l’a obligé à interrompre son émission culte sur France Culture, Répliques. Lui, dont la mère est née à Lviv, ville anciennement polonaise devenue ukrainienne, livre son regard sur l’invasion russe à partir de son expérience familiale, mais aussi des lectures de Milan Kundera et Vassili Grossman. Il voit dans l’agression de l’Ukraine la persistance de la Russie impériale et dans la résistance de Kiev le rappel que les petites nations ne sont pas des concepts abstraits mais des lieux et des attachements à préserver.

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PHÉNOMÉNAL !

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AVEC ROLAND HÉLIE, LA DÉLÉGATION DU TRÉGOR (EN FORCE ET EN FORME) POUR VENIR SOUTENIR ÉRIC ZEMMOUR À PARIS...

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dimanche, 27 mars 2022

En force dimanche 27 mars à Paris avec Eric Zemmour

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samedi, 26 mars 2022

Charles-Henri d'Elloy a "fait un tabac" ce samedi après-midi à la Librairie française en présentant son dernier livre : Le procès de Jupiter

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Belle après-midi de dédicaces. Merci à tous ceux qui ce sont déplacés. Toutes mes excuses aux lecteurs qui sont arrivés après la rupture de stock du "Procès de Jupiter". Ce n'est que partie remise. Merci de vos encouragements.

Charles-Henri d'Elloy

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Colloque de l'Institut Iliade

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Le prochain colloque de l’Institut Iliade a pour thème, identité, souveraineté, sacré. Il aura lieu le Samedi 2 avril 2022 de 10 heures à 19 heures à la Maison de la chimie, 28 rue Saint-Dominique, Paris 7ème – métro : Invalides.

Pour s'inscrire, cliquez ICI

 

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Les effets de la crise ukrainienne sur l’économie mondiale

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Christophe Barraud, prévisionniste chez Market Securities, analyse l’effet de la guerre d’Ukraine sur l’économie mondiale, concomitante de la crise sanitaire et du choc d’inflation.

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Source : Le Fiagaro 26/3/2022

 

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Journal du chaos

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