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vendredi, 25 novembre 2022

L'avortement "constitutionnalisé" ...

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L'époque où le Front national et Jean-Marie Le Pen manifestaient contre l'avortement...

Pour information, si vous désirez consulter la liste des députés RN qui ont voté "pour" et ceux qui ont voté "contre" cliquez ici

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jeudi, 24 novembre 2022

Réflexions sur les larmes des sauriens de l’Ill

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Bernard Plouvier

S’il ne s’agissait de morts prématurées d’êtres humains, les larmes de crocodile versées par les si utiles Eurodéputés de Strasbourg sur le « terrorisme russe » feraient hurler de rire et pour diverses raisons.

Toute guerre est par définition une cause de terreur pour les civils qui sont pris entre deux feux. Il serait bon de méditer l’une des rares phrases intéressantes de Karl v. Clausewitz : « La guerre est un acte de violence ; il n’y a pas de limite à la manifestation de cette violence ».

Et ce ne sont pas les Yankees, les seuls belligérants qui aient osé utiliser l’extraordinaire puissance de désintégration d’atomes lourds dans une guerre, qui peuvent prétendre le contraire !  

Durant les années 1940-45, les bombardiers britanniques et nord-américains ont écrasé – par des « bombardements de zone », strictement dépourvus de toute précision – des cités industrielles, des quartiers d’habitation proches de gares, de ports ou de nœuds routiers, voire des villes totalement dépourvues du moindre objectif militaire ou industriel. Et l’on a glorifié les nobles aviateurs alliés et leurs grands stratèges aériens !

De nos jours, on parle de « terrorisme » quand des tirs remarquablement ciblés de missiles russes s’en prennent à des centrales de fourniture d’électricité !

De 1940 à 1945, 600 000 Allemands, 60 000 Français, et 61 000 Italiens sont morts victimes des « bombardements libérateurs » des forces aériennes alliées.

En 2022, les tirs de missiles russes tuent tantôt un, tantôt trois civils... et l’on attribue généreusement aux Russes deux malheureux paysans polonais tués par un missile ukrainien ! De fait, dans un pays dirigé par un clown professionnel, il est logique que les artificiers ukrainiens soient de facétieux tireurs, à moins qu’ils n’aient abusé – pour se réchauffer en période quasi-hivernale – d’alcool de grains. En réalité, la plupart des missiles russes détruisent leur cible sans tuer d’être humain.   

On sait depuis longtemps que la propagande de guerre pue le mensonge utilitaire et que tout paraît bon aux fanatiques pour diaboliser leur ennemi.

Ce que les opinions publiques commencent à réellement comprendre ces dernières années, c’est la stupidité, la corruption mentale voire matérielle et l’inutilité fondamentale des politiciens professionnels.

L’actualité des années 2015-2022 (terrorisme djihadiste, covidiomania, immigration-invasion & insécurité pour les autochtones d’Europe, entreprise de destruction de l’Union Européenne par les USA à l’occasion d’un conflit frontalier russo-ukrainien) démontre que nos « élus » ne sont que des pantins manipulés par les maîtres de l’économie et qu’il serait bon pour les Nations d’Europe de se révolter, non pour des raisons de taxes ou de vie chère, mais simplement pour rester des Européens maîtres de leur continent.

Nos slogans doivent être : US go Home, Back to Africa, Non à la Chine et à l’islam, l’Europe aux Européens. Il est urgent de remanier les Constitutions pour rendre sa Souveraineté à chacune des Nations autochtones d’Europe.  

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Les Franco-ricains

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La chronique flibustiière de Georges Feltin-Tracol 

Il y a trente ans, au printemps 1992, s’ouvrait le parc d’attraction parrainé par la souris Mickey et l’avare Picsou : Euro Disney Resort. Pour la circonstance fut dévastée la plaine fertile de la Brie dans l’Est francilien avec un incroyable étalement urbain. La dénomination du complexe industriel de divertissement a varié au gré des années en fonction des stratégies publicitaires. Il s’appelle depuis 2009 Disneyland–Paris. Chaque année, des millions de touristes venus d’Europe, d’autres continents et, hélas !, de France le visitent.

Décidé par le socialiste atlantiste François Mitterrand et accepté par le très falot Jacques Chirac, ce projet fut porté par Charles de Chambrun. Proche des milieux étatsuniens, cet ancien secrétaire d’État du gouvernement de Georges Pompidou sous Charles De Gaulle militait au Front national qui, au moment de la signature de l’accord en 1985, s’affichait en nouvelle force reaganienne française. Le tournant anti-américain du FN ne viendra qu’avec la crise du Golfe à l’été 1990. Charles de Chambrun fut par ailleurs l’éphémère maire FN de Saint-Gilles-du-Gard entre 1989 et 1992. Une partie de sa propre majorité contesta sa gestion, ce qui entraîna sa chute.

L’inauguration de cette défiguration paysagère, mémorielle et économique se fait l’année du référendum perdu sur le traité de Maastricht, matrice du cosmopolitisme euratlantique. Contre cette verrue effroyable, seuls protestèrent une minorité de l’extrême gauche, le mouvement tiercériste de Jean-Gilles Malliarakis, Troisième Voie, et le GRECE. Disneyland–Paris détourne les mythes européens, pervertit nos légendes et viole l’imaginaire des générations. L’enlèvement culturel s’aggrave aujourd’hui avec la forte fréquentation autour des thématiques de la Guerre des Étoiles de George Lucas et de l’univers cinématographique Marvel. Quand on parle à un adolescent albo-européen du dieu Thor, il le présente sous les traits de l’acteur australien Chris Hemsworth et le voit aux côtés des Avengers…

Disneyland–Paris parachève le processus d’américanisation de la société française. Le Français moyen rêve d’Amérique. Son désir ne tend pas vers le Mexique, le Pérou, la Bolivie, l’Argentine ou le Costa Rica; il se focalise sur les États-Unis à travers le prisme new-yorkais, californien, texan et floridien sans oublier Memphis, Nashville et Las Vegas. En revanche, il ne se projette jamais dans les Appalaches ou dans les « Grandes Plaines ». Cette affliction civilisationnelle frappe tous les milieux et toutes les classes d’âge.

Le système médiatique d’occupation mentale imite tant par la forme que sur le fond ses collègues d’outre-Atlantique. La politique hexagonale reprend à son compte un vocabulaire directement venu de là-bas : les élections primaires, l’aspiration au bipartisme institutionnel, la tentation d’un régime présidentiel loufoque sous nos latitudes. En 2015, de retour à la tête de son parti, Nicolas Sarközy changea le nom de l’UMP (Union pour un mouvement populaire) qui devient Les Républicains. À la fin du mandat de François « Flamby » Hollande, Manuel Valls envisageait de modifier l’appellation du Parti socialiste en parti démocrate. Par son coup d’éclat électoral, Emmanuel Macron a balayé en 2017 ces tactiques politiciennes en attirant vers lui le centre-gauche et le centre-droit.

Le chanteur Johnny Hallyday a joué un immense rôle dans l’américanisation de la France. Vivant la moitié de l’année à Los Angeles, il a transmis à son public une perception fallacieuse de la réalité étatsunienne. Le cas de Jean-Philippe Smet est édifiant d’autant que ses admirateurs appartiennent à la « France périphérique ». Combien parmi ceux qui pleurèrent l’idole de leur jeunesse en 2017 participèrent-ils ensuite à l’occupation des ronds-points dans le cadre de la révolte tranquille des « Gilets jaunes » ? Ne furent-ils pas des « Gilets Johnny » ?

Enfants et adolescents portent des vêtements ou des cartables aux couleurs des États-Unis d’Amérique ou du Royaume Uni de Grande-Bretagne. Leurs parents décorent leurs habitations et leurs véhicules selon les clichés propagés par les séries télé anglo-saxonnes. Il ne viendrait à aucun Français d’arborer sur lui et chez lui les couleurs de l’Inde, de l’Iran, de la Russie, de la Chine ou de la Hongrie !

La « France périphérique » connaît enfin un puissant engouement pour la musique country. Malgré des origines européennes principalement celtiques, ce style musical s’est épanoui en Amérique du Nord. On recensait néanmoins en 2019 plus d’une cinquantaine de festivals dans l’Hexagone dont à Sainte-Agrève en Ardèche et à Craponne-sur-Arzon en Haute-Loire ! La fermeture des bistrots en zone rurale a déporté le lieu de sociabilité vers le club local de musique made in USA. Il existe ainsi une réelle symétrie comportementale entre la mode country en vogue chez les « petits Blancs » et le rap (ou, plus généralement, l’« inculture » hip hop) qui est apparu dans les banlieues de l’immigration et qui infuse maintenant dans les centres métropolitains où prolifèrent les « Bo-bo ».

L’acculturation américaine intergénérationnelle favorise des mutations socio-politiques inouïes. Les déracinés des banlieues mondialisées se lancent dans un « islamisme de synthèse » fort loin des principes traditionnels. Les gauchistes adoptent les canons du wokisme. Le centrisme se soumet au politiquement correct, cette réminiscence du puritanisme digne de Salem. Quant au courant identitaire, non exempt d’américanotropisme, il peut parfois se complaire dans le suprémacisme blanc qui se montre sur le terrain en auxiliaire zélé d’un contre-mondialisme fomenté par l’État profond yankee.  

En huit décennies, le « cancer américain », pour reprendre le titre du célèbre essai d’Arnaud Dandieu et de Robert Aron en 1931, a métastasé la France et l’Europe. L’Hexagone tricolore a viré en territoire franco-ricain. Marianne se grime en pin up décatie et peu attrayante. Presque tout un chacun veut contribuer à l’American Way of Life, cette pathétique illusion sociétale cauchemardesque qui rend l’américanologie, cette science lancée en 1991 par le philosophe conservateur traditionaliste étatsunien d’origine hongroise Thomas Molnar, plus que jamais nécessaire. Nos compatriotes ont l’esprit tourné vers l’Ouest. Pas étonnant dès lors que notre société ressemble de plus en plus à un asile d’aliénés...

Salutations flibustières !

« Vigie d’un monde en ébullition », n°52, mise en ligne le 22 novembre 2022 sur Radio Méridien Zéro.

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mercredi, 23 novembre 2022

Covidisme et dérive totalitaire : des soignants suspendus convoqués par la police

Olivier Soulier, fondateur du Syndicat Liberté et Santé, est revenu pour nous sur l'affaire des soignants suspendus convoqués par la police. Il dénonce une dérive totalitaire du gouvernement.

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Le thème du prochain pèlerinage 2023 de Notre-Dame de Chrétienté

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L’avortement est un acte sanglant !

Dans cette vidéo, Grégor Puppinck, directeur de l'ECLJ, explique les raisons juridiques pour lesquelles l'avortement n'est pas un droit fondamental et pourquoi la constitutionnalisation d'un droit à l'avortement est contraire aux fondements des droits de l'homme.

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mardi, 22 novembre 2022

L’avenir de la France selon Emmanuel Macron

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Bernard Plouvier

On aime bien savoir notre Grand Timonier au loin – et de fait, il voyage énormément. Car l’on espère toujours que, loin de l’Élysée, il nuira moins au pays !

Erreur funeste : il cause et – voulant imiter de Gaulle, magicien du verbe souvent stupide – il lance des phrases destinées à passer à la postérité. Sa dernière sottise a été éructée à Bangkok et en anglais – histoire de montrer que la langue française est vouée à l’extinction sur la scène internationale.

Selon notre Génial Président-Dictateur Général – dont le visage démontre qu’il vieillit à vitesse accélérée ; au moins, ça nous évitera des présidences à répétition, façon Franklin Delano Roosevelt, le créateur de notre enfer d’économie globale et de mondialisation de l’american way of life -, les Français sont fiers, voire arrogants, mais doutent d’eux-mêmes.

N’importe quel observateur du « monde comme il va » depuis 4 ou 5 millénaires peut découvrir sans trop d’efforts que bien des peuples se sont montrés « fiers et arrogants » au cours de l’histoire. Depuis quelques décennies, il semble bien que les champions de l’arrogance soient les Yankees, les Juifs et les Chinois... bien plus que les Français, totalement déboussolés par une immigration-invasion pillarde, incendiaire, criminelle et gouvernés par une bande de politiciens souvent débauchés et plus souvent encore corrompus, soit matériellement – ce qui est justiciable -, soit mentalement – ce qui devrait les faire écarter de toute fonction.

De fait, notre merveilleux Élyséen est l’un de ces globalo-mondialistes qui dépriment tant les nationalistes d’Europe. Pas besoin de chercher très loin la tristesse, la déréliction des Français – ou des Anglais (on n’ose plus parler de « Britanniques », puisque Gallois, Écossais ou Orangistes de l’Ulster veulent faire sécession), des Belges, des Espagnols - : le vécu quotidien depuis les années 1976-80 parle de lui-même.

Non ! Les Français ne peuvent douter que, depuis Giscard, ils soient gouvernés par des traîtres à la Nation, qui de façon purement illégale – c’est-à-dire sans jamais avoir sollicité par referendum le Peuple Souverain – lui imposent une immigration massive d’Extra-Européens, qui ont transformé notre vie en cauchemar. Même pour un idiot sorti de feue l’ENA, devrait être évidente l’équation : immigration africaine et proche-orientale = criminalité + délinquance + incivilités permanentes. Avant de mourir, un Giscard l’avait déploré, de même qu’un Tapie après avoir été molesté et cambriolé.

Ce n’est que lorsqu’un riche politicien hyper-protégé est attaqué par une meute de nos merveilles immigrées qu’il daigne comprendre enfin la misère de la condition du Blanc en France, soit dans le pays qu’ils ont volontairement laissé envahir pour de basses raisons économiques.

La condition humaine fut toujours plus ou moins infernale. Mais celle du Français de souche européenne atteint un remarquable niveau d’horreur sous le règne de Macron-II. Et le pire réside dans le fait que ce prince, comme ses prédécesseurs, est un authentique élu du peuple ! Si la France devient la poubelle du Tiers-Monde, un pays d’insécurité majeure et de corruption, c’est uniquement par la faute d’un électorat aussi bête que celui d’Outre-Manche.

Le Français doit d’abord et avant tout douter de son jugement : mettre à la tête de l’État des guignols qui choisissent des ministres issus de l’immigration pour capter les votes extra-européens, ce n’est pas « se tirer une balle dans le pied », mais programmer la fin de la Nation française. Macron n’est rien par lui-même : il n’est que le symbole d’une Nation aveulie.  

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Cet autre « Pas d’amalgame ! » qui les gêne tant !

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La chronique de Philippe Randa

À défaut de gagner des élections, qu’elles soient politiques ou syndicales, syndicats, partis de gauche et associations diverses, variées et surtout politiquement très correctes n’aiment rien tant que battre le pavé parisien.

« Ça les occupe, c’est toujours ça ! », commentent certains en haussant les épaules… « Ah ! bon ! et alors ? », font écho d’autres, tout aussi blasés et les uns et les autres sont sans doute davantage préoccupés par leurs futurs réveillons de fin d’année : foie gras, crustacés et bûches glacées pour ceux de la France d’en haut… ou pâté Henaff, saucisses frites et glace à l’eau pour ceux de la France d’en bas, sommés de traverser la rue pour trouver du travail et de payer l’essence sans geindre.

Ainsi étaient-ils plus de 80 000 (pour les organisatrices, entre autres de NousToutes), moins de 18 000 (pour la police) – qui peut encore croire dans le sérieux de l’estimation des unes ou de l’autre avec un tel différentiel ? – à manifester, encore et toujours, à Paris et dans plusieurs villes de France, contre les violences sexistes.

Ces manifestants-et-tantes ou autres non-identifiés (sinon identifiables) se sont désolés des dysfonctionnements de la justice, ont stigmatisé sans distinction aucune les « mâles », se sont insurgés qu’on puisse ne serait-ce que vérifier la véracité des accusations portées par des victimes – forcément victimes – et des coupables – forcément coupables – et stigmatisant une « culture du viol » qu’il serait grand temps de stopper…

Serait-il risqué, comme un aveu inconscient de culpabilité, de demander que soit défini ce qu’est précisément cette « culture du viol » ? Peut-être celle décrite par le marquis de Sade dont les écrits romanesques et assurément sulfureux ont traversé les siècles et furent, effectivement, assez mis en avant par les militants de la gauche extrême, organisateurs de la chienlit de mai 1968… et assez nombreux – pour ceux que la mort n’avait pas fauchés à temps – à devoir répondre de harcèlements, agressions, viols, incestes et autres joyeusetés sexuelles dans lesquelles ils étaient passés maîtres… et pour lesquelles nombre d’entre eux ont été condamnés !

Parmi ces batteurs-et-batteuses de pavé, combien ont, par le passé ou encore aujourd’hui, rêvé pourtant d’un nouveau « mai 1968 » ? Poser la question est y répondre, n’est-ce pas : la plupart !

Quant à cette fameuse « culture du viol », qu’on me permette d’y apporter, sinon une définition, du moins un souvenir… C’était au tout début des campagnes de délation d’#metoo et autres balance-ton-porc (« et ta cochonne », nous rappelle le drame récent de la petite Lola, violée, torturée et tuée par une « chance pour la France » d’outre-méditerranée) …

J’interrogeais alors la fille d’une amie, jeune et jolie :

— Qu’est-ce que tu en penses ? Tu es souvent importunée, toi ?

— Oui, évidemment… Pas sur mon lieu de travail, ni parmi les gens que je fréquente ! Mais dans la rue, dans le métro, oui, tout le temps ! Tu devines par qui ! Pas des Norvégiens et pas non plus des Italiens… J’ai besoin de te faire un dessin ?

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18:23 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Re-parlons immigration

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Le billet de Patrick Parment

 Dans un éditorial des Echos, Jean-Marc Vittori n’a pas tout à fait tort quand il défend l’idée que sur le marché du travail on ne saurait aujourd’hui se passer de ces immigrés qui « font les sales boulots que les Français ne veulent pas faire ». Et d’avancer que la France compte 2,3 millions de chômeurs (au sens du Bureau international du travail), chiffre certainement sous-estimé, soit un peu plus de 7% de la population active. Et pourtant, nous dit le chroniqueur, sept entreprises sur dix ont du mal à recruter. Ce qui n’est pas nouveau.

Il est vrai que dans certains secteurs, les tensions sont fortes : bâtiment, soins aux personnes, transports, hôtellerie et restauration, agriculture. Et dans tous ces métiers, dès lors qu’ils sont peu qualifiés, on trouve en effet de nombreux étrangers pour occuper ces postes où beaucoup sont employés au noir. C’est un fait avéré. Mais notre homme en tire la conclusion que le phénomène migratoire n’est pas prêt de s’arrêter. Et ce d’autant que le patronat est demandeur de cette main d’œuvre bon marché. Dès les années soixante les constructeurs automobiles envoyaient des camions pour recruter des travailleurs marocains. Outre le fait d’avoir recours à cette main d’œuvre, le patronat en profitait pour faire pression sur les syndicats afin qu’il se montrent raisonnables en matière de revendication.

Fort de ce constat, le présent gouvernement, Darmanin en tête, propose de régulariser ces travailleurs immigrés. Si une telle mesure est pour le moins logique, il serait bon de ne pas confondre régularisation avec acquisition de la nationalité française, mais plus simplement de leur donner accès à tous les droits dont disposent les travailleurs français. Ce qui impliquerait aussi de la part des entreprises d’en finir avec le travail au noir ou au statut de (faux) travailleur indépendant. Les entreprises, grandes et petites, y sont-elles disposées, je n’en suis pas certain.

Enfin, il y a une zone d’ombres que n’abordent pas notre brave chroniqueur, c’est l’immense majorité des immigrés qui ne travaillent pas et qui vivent aux crochets de la société et donc du travail des Français, de ces Gaulois encore majoritaires dans ce pays.

C’est peu dire que le gouvernement se garde bien de nous fournir les chiffres mais on a tout lieu de penser qu’ils sont majoritaires. Combien cotise à la Sécurité sociale, combien bénéficie des allocations familiales et quelles est l’ampleur des arnaques dans ces domaines ? Quand on parle d’immigration, c’est surtout sur cet aspect du problème que se penche la droite nationale. Il y a des quartiers dans certaines villes où les habitants n’ont jamais parlé français et qui vivent des trafics en tout genre et de la drogue en particulier. On les qualifie généralement de « non droit ». Est-ce tolérable ?

Le vrai problème de l’immigration est là. Prenons un exemple récent. Les migrant débarqués de l’Ocean Viking, soit 234 pékins - de quinze nationalités différentes dont une majorité d’Erythréens -, viennent d’être remis en liberté, c’est-à-dire lâché dans la nature. De quoi vont-ils vivre à votre avis ? De rapine, de vols, que sais-je encore. Ont-ils le choix ?  Ils viennent tous d’une société où la violence est quotidienne. Autant dire que l’argutie psychiatrique n’est pas valable. Les pages de nos journaux regorgent des crimes et délits de ces immigrés si chers à notre gauche humaniste et criminelle. Le vrai problème est là : que fait-on de ces immigrés qui gangrènent et perturbent une société française déjà largement fracturée ?  A cette question, les macronistes, les gauchos-bobos de la France Insoumise, les Républicains, Renaissance ne répondent pas. Ils ont la trouille d’avouer que l’unique solution est de les renvoyer chez eux. Mais surtout d’en avoir la volonté politique et de s’en donner les moyens. En attendant les arnaques à la Sécu, aux allocs et autres ont encore de beaux jours devant elles. Alain de Benoist l’a bien résumé : « Il n’y a plus qu’une façon aujourd’hui d’aimer la France, c’est de la détester telle qu’elle est, et c’est de travailler à la changer. »

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lundi, 21 novembre 2022

Rome, samedi 26 novembre : le Centre d'étude Polaris, dirigé par Gabriele Adinolfi, présente au public romain l'Institut Iliade

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Un communiqué de Gabriele Adinolfi :

Italie : initiative métapolitique

Le Centro Studi Polaris, à la fois think tank et revue italiens que je dirige, organise ce samedi, 26 novembre, à Rome un colloque sur les thèmes: Défis et opportunités italiens et européens (au matin) et: La métapolitique de combat prend l’initiative (dans l'après-midi),

À cette occasion, Pierluigi Locchi, membre co-fondateur et responsable des relations internationales de l’Institut Iliade, et Nicola Torti, stagiaire de la promotion Léonard de Vinci, présenteront l'Institut Iliade, ses objectifs et les premières étapes qu’il a déjà franchies.

La réunion se déroulera plus précisément à Mentana, aux portes de la ville éternelle, exactement là où les forces françaises et italiennes s’affrontèrent en 1860, dans la tentative de Garibaldi de parachever l’unité de l’Italie – tentative qui ne réussira que dix ans plus tard. Tout un symbole, sans compter que cette réunion placée sous le signe de la fraternité des armes se déroulera dans la Aula magna de la Bibliothèque Charlemagne. (...)

Nous avons choisi une mairie avec une administration amie. Heureusement, nous en avons de plus en plus. Pour l'occasion, nous avons impliqué diverses réalités métapolitiques et éditoriales italiennes, toutes actives dans divers domaines politiques, sociaux, culturels et économiques, afin de tracer un chemin concret. Les conditions sont favorables et ce serait un crime de ne pas s'engager correctement.

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Samedi 26 novembre à Bignan (56) : Pierre Cassen donnera une conférence sur la résistance à Callac

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dimanche, 20 novembre 2022

Civitas organisait samedi à Rungis sa 4e Fête du Pays réel

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Belle réussite pour Civitas, samedi 19 novembre à Rungis. 

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Parmi les stands, celui de Synthèse nationale sur lequel de nombreux amis de notre revue sont passés nous voir ou pour acheter nos livres, comme ici Thomas Joly, président du Parti de la France, en compagnie de Roland Hélie.

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Hospitalisation, mortalité, vaccination : le ministère de la Santé refuse de donner les chiffres !

Les statistiques des personnes décédées ou hospitalisées depuis décembre 2020 selon leur statut vaccinal anti-Covid n’existent pas ! Telle est la réponse stupéfiante faite, il y a quelques jours, par le ministère de la Santé à Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale).

Directeur de l’équipe SCEPID (Système complexe et épidémiologie) et de l’IRSAN (Institut pour la valorisation des données de santé) Laurent Toubiana demandait depuis maintenant plus d’un an à avoir accès à ces chiffres dans le cadre de l’étude SurViVax menée dans le cadre du SCEPID. En effet, dès le début de la campagne vaccinale, en janvier 2021, des débats ont eu lieu autour de l’efficacité des nouveaux vaccins à ARNm. Des interrogations légitimes ont rapidement vu le jour dans la population, dans la mesure où le vaccin devait être administré à très grande échelle et sans recul sur d’éventuels effets indésirables.

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19:10 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Russie et l’Afrique

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Bernard Lugan

 Un dessin animé russe en langue française projeté dans les cinémas centrafricains met en scène un lion -sous-entendu l’Afrique -, attaqué par des hyènes - sous-entendu les pays occidentaux. Intervient alors l’ours russe qui aide le maître de la brousse à rétablir l’ordre des choses, c’est-à-dire le respect que l’on doit au lion. L’allégorie a bien été comprise par les spectateurs enthousiastes.

 Voilà comment, à travers le soutien sans états d’âme donné aux pouvoirs forts, les seuls respectables et respectés en Afrique, la Russie évince peu à peu les Occidentaux. D’autant plus facilement que les Africains en ont assez du diktat démocratico-moralisateur qui prétend leur faire changer de nature. Assez des folies de la « théorie du genre » et des délires pathologiques LGBT devenus les « valeurs » sociétales d’un Occident ayant perdu toute référence à l’Ordre naturel. Voilà pourquoi, comme l’a déclaré le général Muhoozi Kainerugaba, fils du président Museveni d’Ouganda « la majorité de l’humanité soutient l’action de la Russie en Ukraine. Poutine a absolument raison ». 

 D’autant plus que la politique russe n’a pas pour alibi le mirage du développement. Russes et Africains savent en effet très bien qu’il est impossible de « développer » selon les critères définis par l’Occident, un continent qui, d’ici à 2030, verra sa population passer de 1,2 milliard à 1,7 milliard, avec plus de 50 millions de naissances par an. Et que, pour gouverner ces masses humaines, les principes démocratiques occidentaux sont à la fois inopérants et crisogènes.

 En réalité, si Vladimir Poutine réussit en Afrique, c’est parce qu’il a très exactement pris le contre-pied du diktat démocratique que François Mitterrand imposa en 1990 au continent lors de la conférence de la Baule. Un diktat qui a provoqué un chaos sans fin parce que, comme les élections sont en Afrique autant de sondages ethniques grandeur nature, elles y débouchent donc automatiquement sur l’ethno-mathématique électorale. D’où la crise permanente. Les peuples les moins nombreux étant en effet écartés du pouvoir, soit ils ne se reconnaissent pas dans les Etats, soit ils se soulèvent contre eux. Tout au contraire, loin des nuées idéologiques, la politique africaine de la Russie est axée sur le réel, sur les forces armées qui constituent les cercles du vrai pouvoir. 

 Et pendant que l’OTAN avance ses pions contre la Russie en obtenant de nouvelles adhésions ou demandes d’adhésion en Europe du Nord, Moscou déplace les siens en Afrique, contre l’Occident, en signant des accords militaires avec la plupart des pays du continent.

 Quant à la France, elle s’est évincée toute seule du continent en raison de la nullité de ses dirigeants et de constantes et colossales erreurs politiques que je n’ai cessé de mettre en évidence dans les numéros successifs de l’Afrique Réelle. D’autant plus que, s’étant totalement  soumise à l’Otan, donc aux Etats-Unis, elle s’est montrée hostile aux intérêts russes, notamment en Libye, en Syrie, en Belarus et aujourd’hui en Ukraine. En Afrique, Moscou lui rend donc en quelque sorte « la monnaie de sa pièce ».  

Source : L’Afrique réelle

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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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20 novembre 1936 : assassinat de Jose Antonio Primo de Rivera / 20 novembre 1975 : rappel à Dieu du général Franco

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Malgré leurs cris, j’ai accusé les gauchos de Herrou de trahir les ouvriers

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Pierre Cassin, président de Riposte laïque

Face à face, devant le lycée Atlantique de Luçon, entre cinquante militants de Reconquête  et cinquante gauchistes immigrationnistes. Les patriotes étaient venus, derrière Éric Mauvoisin, protester contre l’invitation faite par le proviseur, M. Fabrice Boumendjel, d’inviter le délinquant Cédric Herrou, sans la moindre opposition, laver le cerveau de nos élèves sur le devoir d’accueil de l’autre, fût-il clandestin. Et naturellement, les gauchistes, qui n’avaient pas déclaré leur rassemblement, étaient venus contester ce rassemblement, comme d’habitude.

Je n’avais pas prévu d’intervenir, étant simplement venu soutenir mes amis vendéens, qui étaient venus nombreux, quelques jours auparavant, nous aider à Callac.

Mais Éric Mauvoisin m’ayant sollicité pour prendre la parole, j’ai donc improvisé une prise de parole de deux minutes, pour dire leur fait à ceux que j’ai qualifiés, malgré leurs huées, d’agents du patronat, de traîtres à la classe ouvrière et au salariat, et de collabos du Nouvel Ordre Mondial, en expliquant pourquoi.

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samedi, 19 novembre 2022

Du bon usage d’une « Tête-de-pont »

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Bernard Plouvier

Pas besoin de s’appeler Clausewitz ou von Manstein – entre autres exemples possibles – pour savoir que l’implantation d’unités militaires dans une petite zone ennemie située au-delà d’une mer ou d’un fleuve n’a d’intérêt que si l’on a les moyens de pousser du « million d’hommes », servis par d’énormes moyens d’action guerrière et une logistique puissante, au-delà de cette base de départ.

Ce n’est pas un hasard si l’Opération grotesque de Dieppe en août 1942 a été un fiasco intégral. On n’avait envoyé au massacre de petites unités que pour calmer l’irascible Joseph du Kremlin qui réclamait ce qu’on lui avait promis depuis plus d’un semestre : une action à l’Ouest de l’Europe pour soulager l’Armée Rouge.

Et Churchill, l’incarnation de l’égoïsme so british, envoya des Canadiens se faire hacher menu ou croupir en Stalag et Oflag... délicieux « Winnie » - on se demande ce que ce raciste forcené aurait pensé du trio d’Indo-Pakistanais qui est à la tête de la mairie de Londres, du Gouvernement de Sa Majesté Charles III et du Home Office !

En 1942, les Britanniques n’avaient pratiquement pas de réserves en hommes à faire tuer ni en matériel offensif. Il en allait tout autrement l’année 1943 où les débarquements (anglo)-US de Sicile et d’Italie furent le prélude à des campagnes où les Alliés alignaient 3 combattants contre un (du côté allemand, car les Italiens ne se battirent pas : ils attendaient – sauf exception patriote – les cigarettes et les dollars d’occupation des G.I.... ce fut l’illustration de l’immondice de Brecht : « D’abord la bouffe, et après la morale »), 4 chars contre un, 6 canons et mortiers contre un et 20 avions contre un.

Et l’on rejoua le scenario de façon plus convaincante encore en juin 1944, en ravageant toute la Basse-Normandie !

Une tête de pont russe à l’Ouest du Dniepr, à hauteur de Kherson – la ville proche de son embouchure -, n’avait de sens que si l’Armée poutinienne jouissait d’une masse de manœuvre importante et très solidement armée pour s’assurer le contrôle de la vaste zone située à l’Ouest du dernier coude du Dniepr. Du gel des positions durant trois mois dans une tête-de-pont difficile à ravitailler, on peut raisonnablement inférer que l’Armée russe ne dispose pas de cette puissance offensive ni de la dureté nécessaire pour gagner une guerre.

Poutine n’est pas « Staline » : ses généraux ne sont pas fusillés en cas d’échec ; les soldats qui reculent ne risquent pas de tomber sous les balles des sbires du NKVD-NKGB ; enfin, il n’a pas d’allié puissant capable de lui fournir en abondance des armes et des munitions. 

Qu’il ait cru être dans son « bon droit » pour défendre les Russes entre Dniepr et Don - effectivement les clowns judéo-ukrainiens manipulés par les merveilleux Démocrates de Washington et de New York poussaient un peu loin la plaisanterie depuis le putsch de 2014 -, témoigne simplement de la naïveté du dictateur charismatique du Kremlin.

Jamais dans toute l’histoire, la notion d’Équité n’a triomphé, sauf à être étayée par une puissance guerrière supérieure à celle de l’ennemi abusif et de ses alliés.

Il est évident que les Accords de Munich de fin septembre-début octobre 1938 étaient la pure expression du Droit des peuples à s’auto-administrer ou à rejoindre la mère-patrie – Sudètes, Polonais de Teschen, Magyars de Slovaquie, Slovaques et Ruthènes en avaient plus qu’assez de la dictature des haineux francs-maçons de Prague. Il est évident qu’imposer une Guerre pour empêcher les Allemands de reprendre le contrôle de Dantzig, alors peuplée à 97,6% d’Allemands, était une ignominie si l’on se réfère au Jus Gentes.

Mais les Allemands ayant finalement perdu la guerre, les Accords de 1938 qui ont évité une guerre aux Européens et la courte Campagne de Pologne furent considérés comme des « crimes » et les merveilleux historiens carriéristes n’en finissent pas de déblatérer des âneries sur le sujet et à mépriser allègrement les principes juridiques... et ils ont raison ! Car, toujours et partout, le Droit ne fut et reste que l’expression policée et formelle de la Force.

Tout le monde sait que les professionnels du prêchi-prêcha font depuis toujours parler la ou les divinité(s) en faveur des gros bataillons. Le nouveau personnel du bourrage de crânes étant composé d’employés du dieu-$, avatar de Mammon, les Russes sont devenus des suppôts de Satan et le demi-dément Biden est le nouveau Papa-Noël.

Si Poutine ne mobilise pas bientôt du million d’hommes décidés à se battre, voire à mourir pour la patrie, il finira comme Saddam Hussein et les Russes deviendront esclaves des merveilleux judéo-yankees. L’histoire, si elle ne se répète jamais à l’identique, bégaie en permanence.               

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Vers la poliorcétique des cyborgs

Ces-guerres-qui-nous-attendent.jpgLa chronique flibustière

de Georges Feltin-Tracol

La 51e chronique hebdomadaire empiète joyeusement sur « Ça se défend ! », l’émission de votre Web-radio préférée consacrée aux questions militaires.

En janvier 2022 paraissait Ces guerres qui nous attendent 2030 – 2060 (éditions des Équateurs/PSL – Université Paris Sciences et Lettres, 224 p., 18 €). Réuni à l’initiative du ministère français des Armées, « le collectif Red Team est composé d’auteurs, de dessinateurs et de scénaristes libres et indépendants ». On y trouve François Schuiten, Jeanne Bregeon, Virginie Tournay, Laurent Genefort, Romain Lucazeau, Xavier Mauméjean et Xavier Dorison ainsi que des pseudonymes comme Colonel Hermès, Capitaine Numericus et DOA. En revanche, le Lieutenant Sturm, Wilsdorf et Alryck n’y figurent pas ! Le projet a agacé, sinon indigné, les écrivains français de science-fiction fortement épris de progressisme, d’inclusivité et d’égalitarisme.

Inspiré du complexe militaro-industrialo-médiatique qui regroupe outre-Atlantique les industries (numériques ou non), les militaires et le monde du divertissement, cet ensemble réfléchit aux guerres de demain et présente quatre hypothèses. Notons que le livre a été rédigé avant le début des hostilités en Ukraine. Il serait fastidieux de résumer chaque scénario. On insistera sur l’affirmation du combattant opérationnel cybernétique et le grand retour de la poliorcétique.

En science-fiction, le cyborg est un hybride entre l’organisme humain et la machine et/ou l’ordinateur. Les programmes militaires occidentaux ouvrent déjà la voie vers le transhumanisme avec les expériences d’exo-squelette de combat. Red Team imagine à assez brève échéance calendaire la finalité logique du passeport vaccinal et autre « visa numérique » : le puçage généralisé de la population. Cela va même encore plus loin avec NeTAM, soit Neuro Terre Air Mer, à savoir « un protocole d’interface neurale [… qui], selon l’auteur collectif, a pour but de pallier les défaillances humaines et d’améliorer les performances des sujets. [...] Le programme permet notamment l’échange de données homme/machine, la prise de contrôle d’équipements, l’amélioration des capacités du combattant en situation (perception, réception d’informations, gestion du stress, etc.), la collecte et l’archivage en temps réel par un double témoignage live et différé (objectif – subjectif) et l’exploitation de ces informations archivées en vue d’un usage ultérieur. De plus, le programme autorise l’accès à une banque de données sécurisée qui renseigne en flux continu sur le contexte de l’action en cours ». Il passe ensuite à un « programme ArmVie [qui] a pour vocation de recueillir l’ensemble des données d’implant des militaires connectés, en surveillant notamment leur sommeil, leurs habitudes alimentaires, leur activité physique, leur environnement quotidien, leurs interactions sociales, leur mobilité in et out de l’espace militaire, leurs réactions aux événements extérieurs, leur niveau de stress, etc. ». La surveillance actuelle des sportifs, en particulier des cyclistes, au nom de la lutte contre le dopage, en est une ébauche primaire et imparfaite.

La symbiose entre le combattant et l’intelligence artificielle devient une priorité aux yeux des contributeurs pour qui « les opérations spéciales, l’infiltration, les coups de main, le débarquement amphibie, visant à contourner les défenses adverses, redeviennent des enjeux fondamentaux ». Avec l’essor de l’IHM (interface homme machine), « l’homme sur le champ de bataille, du soldat jusqu’à l’officier, devient le centre d’un écosystème d’armement complexe. »

Dans le même temps, les conditions de la guerre évoluent sous l’impulsion des armements à très grande vitesse. Le missile hypervéloce, entre Mach 15 et Mach 16, soit près de 20 000 km/h, frappe n’importe où. Facile à tirer, ce missile se montre peu maniable et nécessite une infrastructure de maintenance, de ciblage et de protection que seuls des États performants peuvent se permettre d’avoir. Face à cette nouvelle menace se développe l’« hyperbouclier » (ou « bouclier défensif »). Conçu autour de systèmes physiques (matériels et humains), informatiques (cybernétique et communications) et logistiques (flux matériels) complexes, il emploie de nombreux drones antipersonnels et antichars qui saturent le champ de bataille. Sa principale faiblesse reste cependant une consommation élevée d’énergie, surtout s’il utilise le railgun, un canon capable de propulser très vite des projectiles inertes. Par exemple, « une barre de tungstène de 100 kg accélérée à Mach 12 peut détruire un char situé à 200 km ».

Ce nouveau cycle marque la fin d’une certaine forme de conflit d’autant que l’« hyperbouclier » se transforme bientôt en bastion de protection territoriale : l’« hyperforteresse ». « Arrivé à maturité, le concept de l’hyperforteresse cristallise la fin de la guerre de mouvement, paradigme dominant depuis les années 1940 (couple chasseurs/chars d’assaut). »

Défendant une zone de 150 km de rayon et se déployant autant sur terre, en mer, dans le milieu sous-marin que dans le champ aérien, le domaine spatial, l’univers informatique et la médiasphère, l’hyperforteresse utilise des essaims de drones que son « hyper IA » traite comme des entités uniques dotées de sous-systèmes de gestion. Son point névralgique demeure  « l’hypercloud [qui] désigne un ensemble de systèmes de collecte et de traitement des informations ». Or, son entretien nécessite un « haut niveau de maintenance » du fait du vieillissement rapide de ses structures. Sa pérennité exige une autonomie dans la production et la fabrication « sur place de pièces, via des mini-usines et des imprimantes 3D ». En outre, « une hyperforteresse est extrêmement dépendante des flux logistiques. Par ailleurs, afin de bénéficier d’une énergie abondante et disponible, chacune d’elles dispose d’une mini-centrale nucléaire ». Dans cette nouvelle ère de la guerre, « seuls les pays qui disposent d’une base industrielle souveraine complète ou quasi complète, jusqu’à l’accès à l’espace, lit-on, peuvent garantir à leurs populations une protection face aux risques géopolitiques et conservent une grande marge de manœuvre diplomatique » Il devient par conséquent fort probable que « dans la guerre de position, défaire l’hyperforteresse devient l’objectif principal pour vaincre ». C’est le grand retour de la poliorcétique, l’art militaire d’assiéger les villes.

Entre les hyperforteresses apparaît « le no man’s land […] une zone démilitarisée qui s’étend entre les bordures de deux hyperforteresses durant une guerre de position ». À l’intérieur de ces châteaux forts 4.0, dans un cadre douillet, les civils s’adonnent aux RZE (réseaux de services), c’est-à-dire des « réseaux communautaires qui se structurent autour de la profession, de la religion, de passions et convictions communes ou encore du quartier d’habitation ». La présence de ces communautés affectives dans le monde virtuel représente le transfert des déceptions de la réalité en enchantements dans les mirages dangereux d’une ambiance rêvée.

Red Team conçoit une guerre à haute technicité dans un cadre socio-psychologique qui rappelle plus le XVIIe siècle européen que l’époque médiévale. Le conflit en cours en Ukraine confirmera-t-il ou non ces spéculations ? Seul l’avenir nous le dira.    

 « Vigie d’un monde en ébullition », n°51, mise en ligne le 15 novembre 2022 sur Radio Méridien Zéro.

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Éolien : la violation du droit ordinaire

Anne Brassié reçoit Valérie Bernardeau, présidente de l'association SOS Danger Éolien, et Jean-Louis Remouit, administrateur de la Fédération de l'environnement durable, présidée par Jean-Louis Butré. Valérie Bernardeau nous alerte sur les dangers dument constatés des éoliennes sur la santé des Hommes et des bêtes. Jean-Louis Remouit nous propose un état des lieux du combat anti-éolien. On découvre avec étonnement que toutes les lois régissant cette activité sont des lois d'exception renforcées par le premier ministre, Elisabeth Borne. 

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Journal du chaos

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vendredi, 18 novembre 2022

Fiasco migratoire

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Vincent Trémolet de Villers

L’Ocean Viking est en train de devenir un symbole dévastateur. L’histoire de ce bateau et de ses 234 migrants est l’apologue de toutes les défaillances de notre politique migratoire. Une Europe incapable d’abord de tenir ses frontières, de s’attaquer aux passeurs, de coordonner les missions des pays qui la composent. Des ONG dont le souci humanitaire dissimule une volonté politique : accoster dans des ports européens plutôt que dans ceux du Maghreb. Un dévoiement des notions d’accueil et d’asile que l’on invoque pour habiller notre impuissance. Et puis, une fois que le bateau est à Toulon, la faiblesse d’État visible à l’œil nu quand quatre migrants profitent d’un vice de procédure pour quitter la zone d’attente, quand une vingtaine de mineurs venus d’Érythrée parviennent à quitter la structure qui les accueille et se volatilisent. On peut enfin s’interroger sur la reconduite effective de ceux qui seront déboutés du droit d’asile. Au regard du taux d’exécution des obligations de quitter le territoire français (OQTF), on peut penser que la très grande majorité d’entre eux sont encore chez nous pour longtemps. Pourtant, le ministre de l’Intérieur n’avait pas lésiné sur les démonstrations d’autorité : centre militaire, DGSE, Ofpra... Le bilan général de cette histoire ? L’étranger qui force la porte de l’Europe sait qu’il n’en repartira pas...

Dès lors, il devient absurde de parler de frontières ouvertes puisqu’elles sont incapables de se fermer, hypocrite d’évoquer une politique migratoire quand elle se disloque sous nos yeux. La cruelle vérité est que l’autorité de l’État est perpétuellement bafouée dans un de ses principes constitutifs : le pouvoir de décider qui entre ou sort du territoire. Les conséquences d’un tel affaiblissement sont vertigineuses : défiance des citoyens, réveil de sentiments xénophobes, recherche désordonnée d’actions radicales. En d’autres termes, effacement de la politique. Les solutions fermes et sereines pourtant existent. On les trouve non pas dans les autocraties mais chez les sociaux-démocrates danois, qui devraient être un exemple pour toute l’Europe.

Source : Figaro 18/11/2022

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jeudi, 17 novembre 2022

Samedi prochain, 19 novembre, venez nous retrouver sur le stand de Synthèse nationale à la Fête du Pays réel à Rungis

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mercredi, 16 novembre 2022

"Le Hussard et le cadavre de l’île d’Yeu", le nouveau roman à ne pas manquer de Thierry Bouclier

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Suzanne Coste, qui a grandi à l’île d’Yeu, vit désormais à Nantes. Dans le courant de l’été, elle arrive dans le petit port de la Meule pour retrouver son père. Elle le découvre mort. Une balle dans la tête. La gendarmerie locale conclut à un suicide. La jeune femme, persuadée qu’il s’agit d’un assassinat, demande l’aide de Julien Ardant, dit « Le Hussard », qui passe ses vacances sur l’île. Une enquête difficile, pleine de rebondissements, commence. Elle va mener les deux protagonistes des falaises de la côte sauvage aux bas-fonds de Pigalle, en passant par le bocage vendéen. Au fur et à mesure de leurs découvertes, le libraire parisien et la belle Islaise s’aperçoivent qu’ils ont mis les pieds dans une sale affaire. De vieilles histoires, et un cadavre oublié, remontent à la surface. Les tentatives de meurtres, pour les éliminer, se multiplient. Derrière le drame familial, qui est progressivement mis à jour, se dissimule un inavouable secret.

Cette nouvelle aventure du Hussard conduit le lecteur au milieu des superbes paysages et des mystères de l’île d’Yeu. Meurtres, mensonges, mais également histoire d’amour, rythment ce polar du début à la fin.

Thierry Bouclier est avocat à la Cour. Il est notamment l’auteur de deux romans noirs, Le Dernier des occupants et Rouge et jaune pour le Hussard.

Le Hussard et le cadavre de l’île d’Yeu, Thierry Bouclier, Edition Auda Isarn, 12,00 € cliquez ici

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À cause de mon article sur Laure-Line, le maire de Callac a éclaté en sanglots

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Martine Chapouton Riposte laïque cliquez là

Ce 15 novembre, c’est soir de conseil municipal à Callac.

18 h 20. Cela commence mal. La porte de la mairie est fermée à clé. Ceux qui veulent assister au conseil doivent attendre dehors dans le froid et sous une fine pluie désagréable.

Pourquoi cette porte verrouillée ? Le maire et ses services ont reçu plein de coups de téléphone demandant à quelle heure est le conseil. Alors, vous comprenez. Cela inquiète le pauvre homme.

Il redoute une manifestation, donc il a fait prendre des précautions. 18 h 30, les portes s’ouvrent. Les citoyens peuvent accéder à la salle du conseil où siègent déjà les élus.

Enfin, pas tous. Il manque trois élus, qui ont d’ailleurs donné procuration.

C’est pas de veine, notre chère Laure-Line Inderbitzin est portée manquante. On ne saura pas pourquoi.

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Notons que dans cette salle il fait vraiment bon. On doit être à 22 ou 23 degrés. Très au-dessus des 19 degrés que le maire indique être la norme pour toutes les autres réunions. C’est bien connu, « charité bien ordonnée commence par soi-même ». Mais on ne va pas s’en plaindre, dehors il fait vraiment frisquet.

Le maire lit l’ordre du jour des plus passionnants mais, surprise, il n’y a aucun point consacré à l’arrivée des migrants à Callac. Tout à l’heure, la porte était fermée, maintenant c’est le débat qui est fermé. Ça commence mal, cette affaire.

Les points de l’ordre du jour défilent. Un échange très passionnant suit, rythmé par les « abstention », « vote contre », « merci le point est adopté ».

Moi, je vous le dis tout net, je plains le maire. Ce pauvre homme, dont on voit bien que ce n’est guère un aigle de la politique, est constamment coupé par une femme, Lise Bouillot, qui est placée en face de lui de l’autre côté de la table. Elle n’a pas l’air très commode.

Cette femme, c’est l’ancien maire. Elle est maintenant dans l’opposition et doit avoir très mal vécu sa défaite. Elle a constamment quelque chose à dire ou à redire lorsque le maire s’exprime. Mais comme le brave homme n’a guère d’autorité, il laisse faire. Tout le temps. Je ne sais pas comment cela se passe pour lui en famille, mais au conseil, entre son âme damnée Laure-Line et cette bougresse, c’est évident que ce n’est pas lui qui « porte la culotte ».

Vient le point sur la démission de la première adjointe. Le maire informe que c’est pour une vague raison de santé qu’elle aurait décidé de quitter ses fonctions. Personne n’est dupe. Tout le monde sait qu’en fait c’est pour son désaccord avec le maire sur le projet Horizon qu’elle a quitté le conseil. Mais personne ne moufte. Dans la foulée, le maire indique qu’il va falloir la remplacer mais là… ô surprise, alors que c’était Laure-Line qui devait être nommée à ce poste, un simple jeu de chaise musicale a lieu.
Le 2e adjoint devient le 1er, le 3e devient le 2e… etc. Aucune explication n’est fournie.

Fait notoire, il n’y a plus 5 mais 4 adjoints. Donc, mon amie Laure-Line Inderbitzin, qui était mystérieusement absente, devait passer première adjointe, or, elle n’est que deuxième adjointe. J’espère que ce n’est pas ma faute, je m’en veux déjà d’avoir fait pleurer le pauvre maire à migrants, Jean-Yves Rolland.

Les spectateurs, qui avaient ouvert un œil à l’occasion de ce point, replongent dans leur somnolence.

Arrive l’ultime point des« questions diverses » et là, l’ancienne maire déclare d’un ton martial :
« Je souhaite qu’on parle du projet Horizon. On entend des tas de choses contradictoires, il faut nous dire où on en est ».

Les 30 à 40 citoyens qui somnolaient au fond de la salle se réveillent en sursaut. Là, c’est palpable, en une fraction de seconde l’atmosphère est devenue électrique.

Le maire prend la parole pour faire le point. On apprend tout d’abord qu’il a failli annuler le conseil à la dernière minute. Et pourquoi donc ?

Il se trouve qu’un article « horrible » est sorti dans la presse, attaquant Laure-Line (son adjointe) de manière « honteuse ». « Elle est mise en cause à titre personnel, c’est inadmissible ».

Et voyez-vous, le maire déclare au conseil : « je suis vraiment choqué, j’en ai pleuré et c’est pour cela que j’ai failli annuler le conseil à la dernière minute. Mais ça n’en restera pas là. Je vais convoquer un conseil extraordinaire et on va voter pour me donner le droit d’aller en justice. On a le nom de l’auteur de l’article ».

Il est mignon ce maire. Et apparemment, si on en croit le journal gauchiste le Poher, cela n’a pas traîné.

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Il n’a aucun problème à refuser un référendum à sa population sur un projet qu’il a sorti de son chapeau à la surprise générale, mais il pleurniche comme un gosse lorsqu’un article critique son action condamnable et celle de sa chère Laure-Line, son âme damnée.

Il n’est nullement « touché » ni « choqué » lorsque les bandes de nervis antifas veulent attaquer la manifestation des patriotes et pour cela ont affronté les gendarmes qui les empêchaient de passer. Mais si on critique son adjointe, immigrationniste enragée qui soutient ouvertement la violence des antifas et insulte les patriotes, là il ne peut retenir ses larmes.

Il y avait déjà Laure-Line qu’on savait fragile psychologiquement – la preuve son absence du dernier conseil municipal – maintenant on découvre que c’est aussi le cas du maire.

Avec une pareille équipe, Callac est bien parti…

Après cette introduction larmoyante sur le projet Horizon, le maire donne plusieurs informations au conseil et à l’assistance.

D’abord, la préfecture lui aurait proposé d’envoyer ses services afin d’étudier comment mieux sécuriser son domicile, puisqu’il serait « menacé ». Il aurait refusé car « il ne veut pas inquiéter sa famille avec de telles mesures ». C’est touchant.

Ensuite on apprend qu’une réunion a eu lieu à la préfecture avec le maire, afin de faire le point.
À cette occasion le préfet a confirmé que l’arrivée des migrants est de la compétence de l’État donc qu’aucun référendum ne peut être organisé par le maire sur ce sujet.
Par contre, l’accompagnement des immigrés est de la compétence de la mairie qui le ferait avec la fondation Merci et l’association Viltaïs (qui a reçu de l’État 2,5 M€ pour l’année 2022).

Les bêtas du conseil municipal se croient tirés d’affaire puisque le préfet indique que l’arrivée des migrants est de sa seule compétence. Donc pas de référendum sur ce point. Sur ce point, effectivement, le préfet vient de leur éviter la noyade en les repêchant par le col.

Malheureusement pour nos as de la politique, ils ne semblent pas avoir compris qu’une fois arrivés sur place, l’accompagnement des immigrés est de la compétence de la mairie. D’où l’action de Merci et de Viltaïs.

L’ancienne maire a bien compris le problème. Elle a d’ailleurs déclaré lors du conseil : « il faut que l’État ne se contente pas de décider de l’arrivée des migrants. Il faut qu’il nous accompagne jusqu’au bout ».
Comprenez qu’il mette la main au porte-feuille afin de financer ledit accompagnement. Sauf que ce n’est nullement au programme et l’État se déchargera de cela sur la municipalité. C’est là que les problèmes vont commencer.

Par exemple, à l’école, comment vont faire les enseignants avec des classes dans lesquelles il y aura plusieurs dizaines d’enfants africains ne parlant pas le français ? Un accompagnant par classe serait prévu. Mais sa présence ne serait assurée que pour un mois et demi. Et après ? Personne ne veut répondre. Les enseignants, eux, ont compris.

Ils savent parfaitement qu’ils seront dans une situation intenable. Ils devront s’occuper soit des uns soit des autres.

Résultat, les petits Africains auront tous les problèmes de la création pour apprendre. Quant aux petits Français, leur apprentissage se trouvera gravement perturbé, sauf si le professeur ne s’occupe que d’eux. Le rêve pour les enfants et les enseignants.

Autre exemple, les emplois. Contrairement à ce qu’a annoncé de manière péremptoire le maire, il n’y a quasiment aucun emploi pour les immigrés. D’autant qu’ils ne parlent pas français et n’ont pas de formation. De quoi vont-ils vivre, alors ? Comme ailleurs, parce qu’ils ont 7 à 8 enfants par famille, ils recevront des allocations familiales conséquentes ainsi que des aides diverses… sans travailler. Donc sans cotiser.

En clair, ils seront, comme ailleurs, à la charge de la société. Il n’y a rien à Callac pour aider les familles modestes, les personnes âgées ou les jeunes. Mais nos brillants élus du conseil municipal s’enthousiasment de l’arrivée de gens qui seront exclusivement une charge pour la collectivité. Et ce ne sont que deux exemples. Il y en a beaucoup d’autres.

Les Callacois vont apprécier quand ils seront au courant de toutes ces conséquences concrètes. Le maire de Callac et sa joyeuse équipe ne sont pas près d’arrêter de raser les murs ni de se barricader dans la mairie. Ils ne comprennent visiblement rien à la galère dans laquelle ils ont embarqué, perdus qu’ils sont dans leur délire immigrationniste, comme ce conseiller municipal, par ailleurs très bien nourri, qui a répété au moins 10 fois « c’est de l’humain qu’on fait ! ».

L’affaire est loin d’être réglée.

Reste que ce conseil sera inoubliable pour ceux qui en ont été les témoins.

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Un nouveau livre de Robert Steuckers aux Editions du Lore

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Par un foisonnement hétéroclite, ce nouveau recueil de Robert Steuckers fera sans nul doute autorité en ce qui concerne la question russe au sens large.

Fondements du nationalisme russe, germanophobie et anglophobie dans le débat russe du début du siècle, origines de l’Europe soviétique, généalogie des droites russes, enjeux géopolitiques passés et présents, fronts du Donbass et de Syrie sont, entre autres, les thématiques abordées.

Robert Steuckers met également à l’honneur de grandes figures telles Soljénitsyne, Rozanov, Tioutchev, Kopelev ou encore Douguine et Parvulesco.

Cette lecture voulue didactique par l’auteur permettra à chacun de mieux comprendre la trame du monde actuel où la Russie se trouve sur le devant de la scène.

Pages russes, Robert Steuckers, Editions du Lore, 406 pages, 30,00 € cliquez ici

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Quelle souveraineté pour l’Europe ?

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Georges Castro

S’il est naturel, pour les nations, de suivre avant tout leurs intérêts, le conflit ukrainien consacre un peu plus l’absence de « communauté » européenne. L’Allemagne, la Pologne, la Hongrie… mais aussi l’Espagne ou encore le Portugal avancent avec leur agenda particulier. Hélas celui-ci rime souvent avec le maintien, sinon le renforcement d’une vassalisation au bénéfice des États-Unis ou au moins à un alignement avec leurs intérêts.

Lire la suite ICI

Source : site Polemia

 

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mardi, 15 novembre 2022

The BIG reset - Le documentaire non censuré sur la vérité de la pandémie

Le documentaire non censuré sur la vérité de la pandémie

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Olivier Delamarche : Le Système s'effondre !

Être en guerre contre la Russie ou pas, telle est la question! À quelques semaines d'intervalle, le chef de l'État, adepte du "en même temps", affirme que nous sommes en guerre puis déclare l'inverse… La différence est fondamentale, car outre les milliards que l'UE envoie pour soutenir l'armée ukrainienne, les entreprises françaises, ou ce qu'il en reste, commencent à tirer la langue : 9 000 ont déjà mis la clé sous la porte au 3ᵉ trimestre. Et la situation ne va pas aller en s'améliorant. Les sanctions prises contre la Russie auront pour conséquence de multiplier leur facture d'électricité par 10 ! La récession approche donc à grand pas… Pendant ce temps, outre-Atlantique, les Ré-publicains, qui ont promis qu'il n'y aurait plus de "chèque en blanc" pour soutenir Kiev, bataillent pour remporter le Congrès, mais rien n'est joué. Quoi qu'il en soit, l'invité de "Politique & Éco", l'analyste financier Olivier Delamarche, exhorte les Gilets Jaunes à redescendre dans la rue pour éviter ce que certains redoutent : la fin de notre civilisation !

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Vaccins Covid - Enfants sacrifiés

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