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dimanche, 08 janvier 2023

A contretemps

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Vincent Trémolet de Villers

De l’autre côté du Rhin, le rêve éolien s’achève en centrales à charbon. En attendant les énergies vertueuses, la France et l’Allemagne dépendent, cet hiver, de l’énergie polluante. Ce nuage de fumée qui plane au-dessus du projet de loi soumis mardi prochain au vote des députés assombrit un peu plus encore les blanches promesses du renouvelable. Quand la crise de l’énergie frappe indistinctement la boulangerie du coin et nos plus grandes entreprises, ce débat parlementaire apparaît complètement à contretemps. Plutôt que de vouloir accélérer l’implantation de gigantesques mâts métalliques dans nos mers et nos campagnes, nos gouvernants, s’ils avaient un atome de bon sens, privilegieraient deux urgences absolument prioritaires.

L’état de notre parc nucléaire, d’abord. Emmanuel Macron a multiplié les déclarations et les promesses pour améliorer son entretien et développer la filière, mais pourquoi ne pas avoir fixé immédiatement cette intention louable dans l’agenda législatif? Aujourd’hui encore, dans les textes (ce ne sera heureusement pas le cas dans les faits), la loi de programmation de l’énergie qui prévoit le démantèlement de 14 réacteurs nucléaires s’applique toujours !

Le marché européen de l’énergie, ensuite. Ce système délirant dont l’effet immédiat est de menacer nombre de nos entreprises de ruine. Cela fait des mois que des voix venant de toutes parts demandent au president de la République de suspendre ou de réformer les règles invraisemblables qui fixent le prix de l’électricité. Ce qui ne ferait évidemment pas les affaires de nos voisins allemands. Las, malgré la promesse toujours recommencée d’amender le système, rien n’a changé.

À l’heure des conséquences, la France paye cher son énergie et, pour éviter que ce coût n’affaiblisse trop nos entreprises, l’État (donc, à terme, les citoyens) paye une seconde fois : c’est surréaliste ! L’énergie, aujourd’hui, c’est comme le football hier : malgré une suite de fautes évidentes, à la fin, c’est l’Allemagne qui gagne.

Source : Le Figaro 7/1/2023

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samedi, 07 janvier 2023

Décès d'Hubert Fayard, militant de toujours de la cause nationale

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Une fois de plus, une triste nouvelle frappe le camp national. Nous venons d'apprendre le décès, suite à une longue maladie, de notre ami Hubert Fayard, ancien conseiller régional d'Auvergne et militant assidu du combat nationaliste.

Hubert avait rejoint le FN au milieu des années 1980. Il vivait alors au Puy-en-Velay. Il devint responsable départemental de la Haute-Loire du Front en 1988 suite à une rencontre, à Montluçon, avec Jean-Pierre Stirbois. Plus tard, à la fin des années 1990, il participa à l'aventure du MNR et occupa de lourdes responsabilités dans la municipalité de Vitrolles (13) un moment dirigée par Catherine Mégret. Il s'installa alors définitivement en PACA.

Depuis quelques années, Hubert s'est aussi consacré sans relâche à la cause de la République du Donbass dont il était le représentant officiel à Marseille. Cette activité lui permit d'être reçu à plusieurs reprises par les dirigeants russes.

En janvier dernier, il m'avait contacté pour me faire part de son soutien à la candidature d'Eric Zemmour à la présidentielle.

Hubert, veuf depuis une vingtaine d'années, était père de quatre enfants. Sa dernière fille vient  d'obtenir son diplôme d'avocat, ce dont il était très fier. 

A toute sa famille, Synthèse nationale présente ses condoléances attristées.

R H

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Le gouvernement veut briser les reins de France Soir

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Thierry Decruzy

Liberté de l’information, pluralisme, indépendance des journalistes… Des mots qui servent de paravent au totalitarisme médiatique actuel. Le cas de FranceSoir est emblématique.

Soutenir pour se détromper

En France, les publications doivent recevoir un agrément délivré par la CPPAP (Commission paritaire des agences de presse), organisme dépendant du ministère de la Culture. En mars 2021, cet agrément avait été accordé par Roselyne Bachelot, la ministre de l’époque, établissant ainsi que le titre présentait « des informations, des analyses et des commentaires […] susceptibles d’éclairer le jugement des citoyens », comme le veut l’article 2 du décret du 29 octobre 2009 qui fixe les critères d’admission. Le 30 novembre 2022, FranceSoir apprend par voie de presse que le ministère a décidé de ne pas renouveler l’agrément CPPAP du journal pour « un défaut d’intérêt général » et que les contenus à propos de la crise du COVID-19 porteraient « atteinte à la protection de la santé publique ». À quelques mois d’écart, quel grave changement a pu amener la nouvelle ministre de la Culture à désavouer son prédécesseur ? La décision serait-elle liée au révélations de FranceSoir avec le dossier Fact & Furious quinze jours avant ?

Dénigreur des politiques de santé publique ?

FranceSoir est en première ligne depuis l’épidémie du COVID-19. Il fait partie des rares médias à donner la parole à des spécialistes en infectiologie comme le Pr Didier Raoult ou le Pr Christian Perronne. Accusé d’avoir dénigré les « politiques de santé publique » mises en place par le gouvernement, le Pr Perronne est complètement blanchi de ces accusations par la chambre disciplinaire de première instance d’Île-de-France de l’Ordre des médecins le 22 octobre 2022. Cette décision montre le professionnalisme des rédacteurs de FranceSoir qui ont ouvert leur média à cet épidémiologiste compétent alors que ses positions étaient contestées par les “experts” officiels déployés par les médias du régime. 

Les bras cassés du debunking

L’agrément de la CPPAP est indispensable car il conditionne la défiscalisation des dons. Or FranceSoir ne vend pas d’édition papier, ses revenus sont issus uniquement des dons de ses lecteurs en ligne. La ministre le sait très bien. La proximité des dates entre les révélations de FranceSoir et la suppression de son agrément incitent à faire le lien. D’autant plus quand on regarde le dossier et les conditions d’agrément de la CPPAP à Fact & Furious, augmentées d’un contrat avec l’AFP et de l’accréditation des médias nationaux et même “oxydantaux”, comme site de “debunkig” anticomplotiste. Les compétences de l’individu, ancien militaire et ancien barman opérant seul au fond de son garage, ne sont journalistiques que par l’adoubement des officines ministérielles et de leurs affidés. 

La mission de tromper

Cette affaire met à jour les dessous actuels du traitement de l’information. Pour accréditer leurs thèses (COVID, climat, énergie…), le régime en est réduit à faire appel à ce niveau de compétence. Même leurs écoles de journalistes pourtant soigneusement formatés ne sont plus capables de fournir ce type de rédacteur. Le paravent des médias officiels, reconnus et légitimés n’est qu’un décor digne des marionnettes. Pendant que des professionnels débitent leurs informations sur les plateaux et dans leurs journaux à grands renforts de subventions, le brouet indigeste est préparé au fond de garages par des bras cassés. Comme Antoine Daoust, fondateur de Fast & Furious, tellement sérieux qu’il a été obligé de fermer son site, mettant à jour tout le montage avec des soutiens de l’AFP à l’Élysée, validés par les médias officiels, tous pris la main dans le sac. À ce niveau, ce n’est évidemment plus une erreur, mais une volonté manifeste de tromper l’opinion publique. L’énormité du dossier inciterait à la méfiance, sauf qu’un phénomène similaire de manipulation a été mis à jour aux États-Unis par Elon Musk avec Twitter et que, comme par hasard, les GAFAM s’en sont pris à FranceSoir. En 2021, Google déférençait le titre et YouTube censurait sa chaîne. Les complotistes ont bon dos… 

Subventionné ou libre

Aujourd’hui en France, les seuls médias reconnus officiellement sont tous subventionnés, et grassement :

Les rares rédactions dissidentes à l’équilibre économique précaire, sont sous surveillance (Valeurs actuelles, Politique Magazine…), voire persécutées (Rivarol…) ou disparaissent (Minute…). Un seul exemple emblématique : L’Humanité, quotidien d’un Parti communiste incapable de constituer un groupe parlementaire, ne survivrait pas sans l’aide de l’État, alors que le quotidien indépendant Présent a cessé de paraître. 

Face à la puissance de l’appareil d’État, la situation pourrait sembler désespérée. Elle est au contraire une extraordinaire occasion de manifester un vrai soutien à la liberté d’expression. Toujours dans l’Histoire, seule compte la population dans les rues, aucun pouvoir ne peut résister. Ça tombe bien, une manifestation est prévue pour soutenir FranceSoir samedi 14h30, 38 rue Fabert 75007 Paris :

France Soir cliquez ici

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Journal du chaos

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Pour télécharger, cliquez ICI

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vendredi, 06 janvier 2023

ÉTAT PROFOND : HORS SERVICE

Le démantèlement de l'industrie de la censure handicape grandement les opérations de l'État profond.

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Covid19, Twitter Files, Politique - Charles Gave : "L'empire du mensonge est en train de s'écrouler"

Bercoff dans tous ses états avec Charles Gave, président de l’Institut des Libertés et économiste.

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13:54 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quand tous les boulangers auront crevé…

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Une fois de plus, Natacha Polony frappe juste. La sonnette d’alarme des boulangers au sujet de leur facture d’électricité n’est que le début des conséquences engendrées par l’irresponsable politique européenne menée par Bruxelles concernant les sanctions votées contre la Russie. Alors que l’Europe était en position de négociateur entre la Russie et l’Ukraine, la Commission de Bruxelles a renforcé notre vassalité à l’égard des Américains. Les conséquences de cet aveuglement impacte toute la politique d’Emmaneul Macron.

On voit mal en effet où nous emmène une politique dont on comprend bien qu'elle ne sert qu'à acheter la paix sociale sans jamais préparer l'avenir, c'est-à-dire bâtir (pour reprendre la nouvelle métaphore élyséenne), ou plutôt rebâtir l'outil productif français. Les Allemands, eux, ont fait le choix de financer massivement leurs entreprises, considérant que l'urgence était de les empécher de fermer sous le coup de factures énergétiques délirantes.

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Source : Marianne 5/1/2023

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La faillite de la France et l’explosion de la zone euro sont inéluctables

ROUSSET M 1.JPGMarc Rousset

Il n’ y a plus que l’inconscient technocrate Macron pour ne pas croire aux sombres prédictions économiques de 2023, alors que les raisons sont nombreuses : sanctions économiques suicidaires et contre-productives avec la Russie, poursuite de l’inflation, des prix délirants, variables et incompréhensibles de l’électricité pour les entreprises, les artisans, les boulangers, les restaurateurs, les PME qui ne peuvent être abaissés que par la fin du Système mis en place, une véritable usine à gaz inventée par Macron afin de brouiller les cartes (établissement d’un prix clair, juste et compréhensible de l’électricité en sortant du marché européen comme en Espagne et au Portugal ou en pratiquant une politique claire du « quoi qu’il en coûte » comme en Allemagne), hausse des taux d’intérêt, dégonflement des bulles boursières ,obligataires et immobilières, risques de croissance zéro et de récession en Europe, hausse des faillites à venir, double déficit du budget public et de la balance commerciale, dégradation de la notation de la dette française, crise latente de l’UE et explosion inéluctable à venir de la zone euro, tout cela dans un monde malsain avec un endettement public mondial de 96 % du PIB mondial , et même de 247 % si l’on ajoute la dette des ménages et des entreprises !

La France de plus en plus désindustrialisée s’est éloignée de l’Allemagne et des pays de l’Europe du Nord pour devenir un pays de l’Europe du Sud surendetté et non compétitif qui n’attire plus les grands investisseurs industriels (Tesla, projets d’usines de puces, semi-conducteurs tous dirigés vers l’Allemagne). La dette publique française est passée de 20 % du PIB en 1980, à 58 % en 2000, 85 % en 2010 pour atteindre le ratio insoutenable de 114,5 % en 2022. La dette française (2956,8 milliards d’euros) approche les 3000 miliards d’euros et a progressé de 115,9 milliards d’euros en un an.

La France s’enlise en matière de dette avec le cinquième rang dans le peloton de queue européen, après la Grèce (171,1%), l’Italie (144,6%), le Portugal (115,9 %) et l’Espagne (114 %) alors que le taux des obligations du Trésor français (OAT) à dix ans vient de dépasser les 3 %, soit le taux de début 2012, pour la première fois ; il y a un an le taux était de seulement 0,20 %. On assiste donc à une véritable envolée des taux d’intérêt. En un an, en 2022, les intérêts de la dette publique ont augmenté de 34 % pour atteindre 51 milliards d’euros. Mais selon le Président de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, chaque point d’augmentation sur les taux d’intérêt se traduira en effet pleinement, seulement au bout de 10 ans (emprunts nouveaux pour remplacer progressivement la totalité des anciens emprunts venant à échéance), par une augmentation annuelle de 40 miliards d’euros de la charge de la dette, soit le montant du budget des Armées.

A terme, donc, au bout de 10 ans, la seule augmentation de taux d’intérêt à 3% correspondra d’ores et déjà à une charge irréversible et insupportable de 120 milliards d’euros ! Les 51 Milliards d’euros actuels d’intérêt au budget 2023 ne représentent donc que moins de 50% des 120 miliards d’euros d’intérêt à venir ! Si les taux d’intérêt devaient s’élever dans les années qui viennent de 3 % à 6 %, au bout de 10 ans, la France devrait payer 240 milliards d’intérêt, soit 80 % des recettes du budget de l’Etat qui est de l’ordre de 300 milliards d’euros ! Or l’Italie paie déjà 4,63 % de taux d’intérêt et l’Allemagne seulement 2,50 %. Pas besoin donc de sortir de Centrale ou de Polytechnique pour réaliser vers quelle catastrophe la France se dirige, même si les taux d’intérêt devaient rester à 3%, et a fortiori s’ils devaient passer par malheur à 6% !

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08:47 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi 20 janvier à Paris : soirée Livr'arbitres consacrée à Tolkien

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00:09 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 05 janvier 2023

Macron – Le Maire - Borne pensent-ils vraiment qu’on est des lapins de 6 semaines ?

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Bernard Germain 

Je le disais dans un article précédent… la chose a remplacé le verbe.

Visiblement, les Français ne comprenaient pas lorsque nous dénoncions la machine diabolique qu’est devenue l’Europe.

À l’origine, conçue pour être une Europe des nations du temps du Général De Gaulle elle s’est transformée en une machine de guerre pour détruire les nations et les peuples d’Europe.

Hier ce n’était que des mots, pour certains. Aujourd’hui cette réalité s’impose à tous, dans toute sa brutalité.

Johnny Blanc, fromager de son état, a été interviewé récemment sur BFMTV concernant le prix de l’énergie qui explose et les conséquences prévisibles de ce phénomène.

Pour lui le problème est d’une simplicité biblique : sa facture d’électricité mensuelle qui était de 4.700€ (ce qui est déjà fort dynamique) est passée à … 30.000€ par mois !

Le malheureux n’est absolument pas un cas isolé.

Les restaurateurs, boulangers, pâtissiers, fromagers,… bref une kyrielle de professions de l’artisanat sont frappées de plein fouet.

Il en est de même pour les industriels, grands et petits.

Sans oublier, bien sûr les particuliers.

Pour un nombre considérable de professionnels, l’alternative est des plus simples :

  • Trouver un moyen d’en revenir à des factures normales
  • Sinon, mettre la clé sous la porte et déposer le bilan.

Le pouvoir, paniqué par la situation et les conséquences à venir, essaye d’éteindre l’incendie.

Avec des arguments plus mauvais les uns que les autres.

Élisabeth Borne indique que l’État va « accorder un report du paiement des taxes et impôts »

Bruno Le Maire déclare qu’il va « hausser le ton ».

Quant à Macron, il a déclaré lors de ses vœux « Qui aurait pu prédire la vague d’inflation ? »

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17:20 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Marc Doyer : 15 jours après le vaccin, ma femme a contracté Creutzfeld-Jacob

Dans la nuit du 3 au 4 mai, Mauricette est décédée après près d’un an de souffrances intenses. Huit mois plus tôt, son mari Marc Doyer et elle, partaient recevoir leur deuxième dose de vaccin Pfizer. Couple très dynamique, ils dirigent ensemble un cabaret. Mauricette se produit sur scène presque tous les soirs ! Quinze jours plus tard, Mauricette ressent des picotements dans les jambes. Un symptôme anodin qui va s’accompagner de plein d’autres jusqu’au diagnostic final : la maladie de Creutzfeld-Jacob, une encéphalopathie spongiforme, ce que l’on appelle communément la maladie de la vache folle.
Marc Doyer a désormais décidé de se constituer partie civile et dépose plainte contre Pfizer, Olivier Véran, Jean Castex, entre autres. Il réclame la vérité sur les effets secondaires des vaccins. Marc Doyer veut savoir pourquoi le risque de contracter la maladie de Mauricette n’était pas expliqué alors qu’elle faisait partie des rapports de l’EMA, l’Agence européenne du médicament, pourquoi son consentement libre et éclairé, fondement de la médecine, n’a pas été respecté. Pour tout cela, Marc Doyer demande justice et il l’affirme : il ne lâchera rien ! Il appelle toutes les victimes d'effets secondaires des vaccins contre le covid-19 à le rejoindre pour mener une action en justice.

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17:07 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Décès de Pierre Le Morvan, militant historique du combat national et catholique

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Cadre historique du MJCF, membre fondateur et premier secrétaire général du Centre Charlier et de Chrétienté-Solidarité, soutien depuis l’origine du pèlerinage de Chrétienté, voix inimitable du Choeur Montjoie Saint Denis, Pierre Le Morvan a été rappelé à Dieu hier. 

Source Le Salon beige cliquez ici

Homme de convictions, combattant infatigable, Pierre faisait parti de ces militants exemplaires qui ont contribué au retour sur la scène politique, au début des années 1980, de la droite nationale. Humble, il n'a jamais cherché à tirer un quelconque profit de cette qualité. Il connaissait l'histoire de notre famille politique et il avait la foi chevillée au corps. C'était toujours un plaisir de le retrouver. 

Synthèse nationale s'associe à la peine de sa famille et de ses camarades de Chrétienté solidarité.

Roland Hélie

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mercredi, 04 janvier 2023

Défi américain, autosatisfaction européenne

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Renaud Girard

Quand on se penche sur les déclarations des dirigeants des grands pays européens ou des institutions de l’Union européenne (UE), on est frappé par leur haut niveau  d’autosatisfaction. Depuis une génération, l’Europe progresse technologiquement moins vite que l’Amérique, mais personne ne semble responsable. Pire, personne ne cherche sérieusement les racines de ce déclin relatif. Personne ne s’est jamais interrogé sur les raisons de l’échec  du programme de Lisbonne lancé le 24 mars 2000 par le Conseil européen, qui visait à définir pour l’UE « un nouvel objectif stratégique dans le but de renforcer l’emploi, la réforme économique et la cohésion sociale dans le  cadre d’une économie fondée sur la connaissance ».

S’il y a une région du monde libre où se développe l’innovation, c’est l’Amérique et non l’Europe. Les cerveaux européens sont au moins aussi capables que les cerveaux américains  à faire progresser l’économie de la connaissance - et le démontrent souvent sur le sol américain. En Europe, c’est l’écosystème qui est défaillant. La bureaucratie cumulée des États et de la Commission européenne paralyse la mise en œuvre industrielle des percées scientifiques.

Dans l’espace, l’Europe est, en ce début d’année 2023, à court de fusées pour un accès autonome à l’espace. Ariane 5 a rendu de bons et loyaux services mais est désormais hors production ; Ariane 6 est encore en phase de test. Quant à Vega, tous ses vols ont été annulés après l’accident du 21 décembre 2022, où le deuxième étage de la fusée s’est montré défaillant. L’Agence spatiale européenne n’est plus en mesure de répondre à la demande croissante de lancement venue des États-Unis, de la Chine et de l’Inde.  SpaceX, l’entreprise d’Elon Musk, a connu en revanche une année 2022 spectaculairement réussie. Cinquante- neuf tirs avec son lanceur Falcon 9, sans un seul raté. Starlink, du même Musk, est de loin le leader mondial du service d’accès à internet par satellite. Un entrepreneur privé américain a donc donné à son pays un avantage géostratégique important, lorsqu’il a offert un réseau internet de secours à l’Ukraine, dont les communications militaires avaient été neutralisées par une cyberattaque russe.

Dans l’industrie militaire, ce sont surtout des armes américaines qui ont permis à l’armée ukrainienne de résister à l’agression russe : on pense aux armes antichars ou antiaériennes portables Javelin, Stinger, Switchblade ; aux lance-missiles Himars permettant de détruire en profondeur les dépôts de munitions russes ; aux nouveaux drones Phoenix Ghost développés en un temps record. Il est incroyable qu’un pays comme la France, dotée d’une brillante tradition d’industrie militaire, ait été incapable de développer une gamme de drones de combat, alors que la Turquie et l’Iran l’ont fait. Des drones seraient aujourd’hui très utiles aux Arméniens (que la France veut aider), face aux attaques de l’Azerbaïdjan, aidé par la Turquie. Il n’y a pas un seul responsable français qui soit venu à la télévision nous expliquer ce loupé stratégique et quelles leçons le pays allait pouvoir en tirer.

Guidé par l’Office of Science and Technology directement rattaché à la Maison-Blanche, Joe Biden a lancé des investissements massifs dans le domaine des puces nanométriques et des ordinateurs quantiques, qui sont la clé de la suprématie numérique de demain. Rien de comparable en Europe.

Dans l’innovation et l’industrie médicale, américaines sont les trois firmes qui ont produit à une vitesse record les vaccins efficaces qui, en Occident, ont relégué le Covid au statut de simple grippe. On peut se consoler en se disant que le leader de Moderna est un Français et que le vaccin Pfizer a été inventé par un couple de chercheurs allemands d’origine turque. Mais on reste abasourdi que l’Institut Pasteur n’ait pas été à l’origine d’un vaccin français. Quant à la recherche contre  le cancer, les principales avancées sont américaines.

Dans le secteur de l’énergie, les Européens n’avaient, à la fin du XXe siècle, rien à envier à l’Amérique. Leurs centrales nucléaires étaient admirées par le monde entier. Hélas, la chancelière Merkel a détruit l’industrie nucléaire allemande dans un geste de démagogie électorale après l’accident de Fukushima (2011) et les récents présidents français, hypnotisés par les écologistes les plus bêtes du monde, ont saboté le formidable outil nucléaire hérité de l’époque gaullo-pompidolienne. Les Européens prendront-ils leur revanche avec l’hydrogène ? Le match transatlantique est encore en cours.

Qui veut investir dans l’innovation songera prioritairement aujourd’hui à l’Amérique, comme l’a fait le centralien Stéphane Bancel, pour le développement de Moderna. Pourquoi ? Tout se passe comme si l’Amérique avait gardé son goût du challenge et de la new frontier, alors que les Européens restent paralysés par leurs bureaucraties autosatisfaites.

Source : Le Figaro 3/1/2023

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mardi, 03 janvier 2023

Nancy, jeudi 5 janvier 2023 : commémoration de la bataille de Nancy

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Vous avez dit bonne année ! Quelle bonne année ?

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Le billet de Patrick Parment

C’est bien évidemment le rôle d’un président de cette fantoche république de dire que demain on rasera gratis. Sauf que, en guise d’amuse-gueule, la réforme macronienne des retraites fait bondir tout le landerneau syndical et pas que. Au risque de précipiter une fois de plus les gens dans la rue. Mais, ce n’est pas à nos yeux le sujet principal.

Le vrai sujet est la dégradation de tout ce qui relève du pouvoir régalien et qui part de plus en plus à la dérive. Il n’y a pas de degré dans cette descente aux enfers.

En premier lieu, et le plus inquiétant, c’est l’insécurité dans laquelle sombre ce pays du fait d’une immigration non maîtrisée mais plus encore du refus d’employer la force et d’imposer les lois de la République sur tout le territoire. De ne pas laisser se constituer des ghettos qui sont des zones de non droit. Et de renvoyer chez eux les délinquants et leurs familles. En faisant pression sur les pays d’origine. En réservant les aides publiques aux immigrés qui travaillent. Et en n’hésitant pas à dénationaliser les délinquants et supprimer la double nationalité. Bref, un grand nettoyage qui devrait rapidement calmer les esprits. Mais surtout la rue.

A ce dossier, on peut ajouter celui de la justice qui est dans un état lamentable : manque de moyens, certes, mais aussi des juges irresponsables qui remettent en liberté les délinquants… souvent faute de place dans les prisons. Quant à l’incompétent Dupond-Lajoie-Moretti, il est contesté par les troupes qu’il est censé diriger. C’est Guignol au prétoire.

L’Education nationale, quant à elle, part aussi à la dérive. Hier encore instruction publique, dire Education aujourd’hui relève d’un non-sens. Et pourtant. Il revient aux parents de faire l’éduction de leurs enfants et à l’école de les instruire. Le problème est que les parents n’éduquent plus et que l’école n’instruit plus. Il n’y a plus de boussole dans cette école qui ne forme plus des citoyens mais des individus. En tuant « nos ancêtres les Gaulois » on a fait perdre à nos enfants leurs racines et leur identité. Dès lors, pourquoi aller défendre un pays dont on ignore tout du magnifique héritage humaniste qu’il nous laisse ? Rendez-nous le Lagarde et Michard.

En matière de santé, une remise à niveau de notre système de santé s’impose. Pour se faire, je pense qu’il faut d’abord écouter les médecins et surtout arrêter de contraindre les hôpitaux à la rentabilité. Raisonnement absurde. Il est évident que l’on doit revoir le système en rationalisant les actes médicaux afin d’éviter, entre autres, tous les actes inutiles. Il serait temps aussi de nettoyer les fichiers de la Sécurité sociale où les arnaques sont trop nombreuses. Un état des lieux s’impose. Pour se faire, il faudra mettre au pas une administration un tantinet laxiste.

Autre volet, les transports. Nos gouvernants successifs ces dernières années n’ont rien trouvé de mieux que démanteler la SCNF en la fractionnant en divers unités. Ce qui a entraîné un déséquilibre entre secteur bénéficiaire et déficitaire. Par ailleurs, rien n’a été fait dans l’entretien général du réseau qui aujourd’hui est vieillissant. On a par ailleurs largement réduit le maillage du territoire en fermant les petites lignes. Grossière erreur. A l’heure des économies d’énergie, le train est nettement moins polluant qu’un camion. D’où l’idée d’imposer autant que faire se peut, le ferroutage. Là encore, on paie la note de technocrates inconséquent.

Le dossier nucléaire est peut-être le plus révélateur de la bêtise d’une énarco-bobologie totalement inculte et sous-dévelopée. Alors que nos centrales nucléaires nous assuraient une large autonomie énergétique et surtout électrique, nos responsables politiques, Macron en tête, et sous la pression des Allemands il faut le préciser, ont démantelé ce magnifique instrument garant de notre souveraineté. Tout ça pour faire plaisir à ces imbéciles d’écolos tant allemands que français. Conclusion, nous voici contraint à former une nouvelle génération de spécialistes en la matière et à tous les niveaux, de l’ingénieur au technicien. Henri Proglio, qui fut un temps à la tête d’EDF, avait tiré la sonnette d’alarme. Il n’a pas été écouté. Résultat des courses, nous voici obligés d’importer de l’électricité au même titre que du gaz et du pétrole. Pour ne rien arranger, les Allemands persistent dans leur aveuglement nucléaire, mettant cette triste Union européenne en danger. Le soi-disant axe franco-allemand est un leurre. Et il y a fort à parier que chaque pays européen réagira différemment quand la crise énergétique fera exploser cette chimère qu’est l’Union européenne, dans sa version actuelle.

Autre dossier sensible : l’armée. C’est depuis des décennies la mal aimée de nos gouvernants qui n’ont eu de cesse que d’amputer son budget. Aujourd’hui notre armée est un fantôme. Son matériel est défaillant à l’exception de quelques pépites qui maintiennent l’illusion comme nos avions Rafale et nos sous-marins nucléaires. La valeur de nos troupes n’est pas en cause, nos militaires font ce qu’ils peuvent avec ce qu’ils ont sous la main et nos commandos valent largement ceux des autres armées. Mais, ici comme ailleurs, on manque de tout. Nos militaires, eux aussi, ont tiré la sonnette d’alarme. Ce qui a amené, par exemple, le général de Villiers à démissionner. Le moral des officiers et au plus bas. Et en plus, on nous demande d’aider l’Ukraine. C’est-à-dire d’en rajouter au suicide de l’Europe.

Bref, on a le sentiment que nos soi-disant élites des broussailles, sont en train de brader ce pays déjà bien immolé sur l’autel du libre-échangisme. Et l’Union européenne ne fait qu’en rajouter des couches. Au lieu, de défendre nos intérêts, la mère van der Leyen ne fait qu’accentuer notre vassalité à l’égard d’une Amerique qui met le chaos dans le monde depuis 1945 et dont les armées vont de défaite en défaite du Vietnam à l’Afghanistan pour finir au Moyen-Orient. Aujourd’hui, elle mène une guerre contre la Russie par Ukraine interposée, et c’est toute l’Europe qu’elle met en danger. Et ce pour une simple et bonne raison : l’Europe refuse de se voir comme une puissance – ce qu’elle est dans les faits – sous la pression des Américains. Ce qui se joue aujourd’hui, à travers le conflit ukrainien, c’est une vision du monde : le refus d’un monde unipolaire libéral porté par ce que l’on appelle les Occidentaux, face aux tenants d’un monde multipolaire qui respecte les peuples, leurs différences et leur souveraineté telles la Russie, la Chine et l’Inde. Dit autrement et en termes de géopolitique, c’est l’affrontement entre puissance maritime (Amérique) et puissance continentale (Russie, Chine, Inde), la terre contre la mer. L’Europe devrait être du côté de la terre. Elle n’en est pas. Parce que nos élites sont aveugles, incultes, bornés et pas à la hauteur des enjeux.

 

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L'état mental de Macron est-il compatible avec l'exercice de son mandat ?

François Asselineau explique depuis plus de 15 ans que l'appartenance de la France à l'Union européenne interdit aux présidents de la République de défendre prioritairement les intérêts de la France et des Français.

Non seulement Macron ne fait pas exception à cette règle, mais encore il met un zèle tout particulier à détruire la France dans tous les domaines.

À ce constat de haute trahison, s'ajoute le comportement personnel de plus en plus inquiétant et déséquilibré de Macron, qui signale une santé mentale en grave détérioration.

Entre prétendue « grave dépression », inventions d'entretiens avec des chefs d'État étrangers qui n'ont pas lieu, annonces de projets grandioses mort-nés, comportements erratiques et hystériques et déclarations sans queue ni tête, Macron achève de se ridiculiser et de ruiner le peu de crédibilité qu'il restait à la France sur la scène mondiale.

Les Français vont-ils pouvoir supporter encore presque quatre ans et demi un président de la République frappé de troubles mentaux évidents et de plus en plus fréquents ?

La question de la santé mentale de Macron est posée ; l'article 68 de notre Constitution permet d'y répondre : « Le Président de la République ne peut être destitué qu'en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l'exercice de son mandat ».

L'ÉTAT MENTAL DE MACRON EST-IL ENCORE « COMPATIBLE » AVEC SA FONCTION ?

Article 68 de la Constitution – Le dossier sur la destitution de Macron est disponible ici : https://www.upr.fr/article-68-le-doss…

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lundi, 02 janvier 2023

Pays-Bas : un modèle pour le meilleur des mondes écomoderniste ?

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Colin Todhunter

Le « capitalisme du désastre » [1] et les récits de crise servent actuellement à manipuler l’opinion publique et à faire accepter une série de mesures douloureuses qui, sans cela, ne bénéficieraient pas d’un soutien politique suffisant.

Ces mesures sont promues par de puissants intérêts financiers espérant en tirer des gains atteignant des milliards de dollars. Ils cherchent à obtenir le contrôle total de l’alimentation et de la manière dont elle est produite. Leur vision fait partie d’un programme plus large visant à redéfinir la façon dont l’humanité vit, pense et agit.

Les manifestations d’agriculteurs néerlandais ont fait la une des journaux pendant une grande partie de l’année 2022. Les projets visant à réduire de moitié la production d’azote des Pays-Bas d'ici à 2030 ont provoqué des manifestations massives. Le gouvernement leur oppose la sortie nécessaire de l’agriculture animale, citant l’impact de ses émissions sur le climat.

Cette « transition alimentaire » va souvent de pair avec la promotion de « l’agriculture de précision », du génie génétique, des aliments synthétiques fabriqués en laboratoire et de la réduction du nombre des agriculteurs et d’exploitations agricoles. Cette transition est présentée comme étant « respectueuse du climat », conformément au récit relatif à « l’urgence climatique ».

Le militant Willem Engel affirme que le gouvernement néerlandais ne cherche pas à éliminer les agriculteurs pour des raisons environnementales, mais plutôt pour faire place à la « Tristate City », une mégalopole d’environ 45 millions d’habitants s’étendant jusqu’en Allemagne et la Belgique.

Engel soutient que la « crise de l’azote » est une manipulation visant à faire passer des mesures qui permettront de remodeler le paysage national. Il énonce que le principal émetteur d’azote aux Pays-Bas n’est pas l’agriculture, mais l’industrie. Toutefois, les terres actuellement occupées par les exploitations agricoles revêtent une importance stratégique pour l’industrie et le logement.

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Christian Perronne déballe tout pour le Nouvel An !

Éric Verhaeghe, du Courrier des stratèges, reçoit le professeur Christian Perronne pour revenir sur près de trois années de covidisme en France.

Interview de Christian Perronne pour le Nouvel An 2023. Le professeur de virologie dresse un portrait saisissant de la médecine, des médecins et de leurs relations avec l’industrie pharmaceutique depuis ses études sur la maladie de Lyme jusqu’à la crise du covid. Un message de courage, d’espoir et de ténacité pour bien commencer l’année.

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Sortie nationale du film "Vaincre ou mourir" le 25 janvier...

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Au temps des vœux pieux

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Jean-Gilles Malliarakis L'Insolent cliquez là

Naturellement la tradition des vœux sincères que l'on échange entre amis ou en famille doit être ici défendue. Elle mérite mieux que l'usage des vœux officiels, hypocrites, creux et mensongers que formulent nos dirigeants. Portant eux-mêmes une grand part de responsabilités dans les nuisances dont nous souffrons, il leur faut une bonne dose de cynisme pour prétendre nous en souhaiter la guérison.

Je ne puis donc qu'adresser, bien sûr, en ce début d'année, tous mes vœux, de bonheur et de réussite à tous ceux qui manifestent l'indulgence et la patience de lire ces chroniques. Mais je leur souhaite surtout de penser et d'agir sur le plan civique de manière plus libre et plus responsable, de s'affranchir des abrutissions médiatique. Puisqu'il revient essentiellement à chacun de construire son destin, retroussons nos manches, aide-toi et le Ciel t'aidera. C'est le seul vœu sérieux et sincère.

Fantaisiste et trompeur, le message de soumission formulé ce 31 décembre par le p de la r ne paraît même pas conscient de la dégradation de tout ce qui autre fois marchait à peu près, voire même très bien, et faisait la fierté du pays et qui dès aujourd'hui se dégrade un peu plus. Commençons par le plus simple, le plus inattendu en ce début janvier : la poste par exemple qui ne s'engagera plus à délivrer des lettres, pourtant moins nombreuses, en 24 heures. Beaucoup plus grave le système de soins, jadis brillant, n'a cessé de souffrir de son étatisation et de sa bureaucratisation, entreprise il y a 25 ans par le plan Juppé. Le phénomène s'est aggravé d'année en année et plus particulièrement à la faveur du passage de Mme Buzyn puis du grotesque Véran, en dépit du prétendu "Ségur de la santé". Énumérer les reculs : ferroviaire, agricole, nucléaire, voire touristique, quel domaine hier encore d'excellence française y échappe désormais ?

Le discours du "quoi qu'il en coûte" aura, depuis 2020, obéré les finances publiques françaises encore plus gravement et rapidement que la lente accumulation des gabegies socialistes.

Le règne du "en même temps" s'est un peu plus ridiculisé ce 31 décembre, par la contradiction entre les appels à l'unité et de l'annonce d'un réforme à laquelle les Français n'ont pas été préparée et dont la plupart d'entre eux ne voit, toutes catégories et tous statuts confondus que les désavantages, alors qu'il serait si simple de leur proposer tout simplement plus de liberté et moins de fiscalisme, ce à quoi se refusent nos "technocrates" [sans la moindre compétence "technique"] depuis 30 ans, depuis le  gouvernement Rocard.

La censure hier rampante, se resserre et s'affirme. La dictature du politiquement correct développe impunément ses exclusives répressives. Des menaces très précises visent plusieurs journalistes.

Des vœux pieux, par conséquent, peuvent-ils même être reçus comme un rituel annuel civiquement acceptable ? L'auteur de ces lignes ne le pense pas ! Ce dont ce pays a besoin c'est du réveil de ses citoyens.

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dimanche, 01 janvier 2023

L'année éditoriale commence avec les Mémoires militantes de Jean-Claude Rolinat

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Souvenirs d’une vie « d’apparatchik » (pas si) ordinaire…

Jean-Claude Rolinat, comme un célèbre petit Gaulois, est tombé très tôt dans une potion magique, mais c’était celle de la politique. Le soulèvement de Budapest en 1956, ainsi que l’agonie de l’Algérie française, l’ont durablement influencé. Il s’est engagé dans différents mouvements jusqu’à rejoindre fin 1981 le Front National de Jean-Marie Le Pen.

On revit la victoire du « Tonnerre de Dreux » avec Jean-Pierre Stirbois, on subit l’onde de choc de « l’affaire du détail », on ressent la fraternelle chaleur militante, on passe en revue les heures enthousiasmantes de la fête des BBR et des défilés de Jeanne d’Arc. On est aux premières loges du combat idéologique mené dans les travées et les coulisses du Conseil régional d’Île-de-France.

L’auteur a été pendant 17 ans l’un des rouages de la machine « Front National ». Il donne des détails sur la vie interne du mouvement, et exhume deux décennies d’angoisses et d’espérances au plus près des militants. Il nous narre les heures difficiles de certains collages dans d’improbables cités banlieusardes, ou d’instables présences sur des marchés.

Il révèle notamment les derniers moments de Malik Oussekine, raconte la descente dans l’enfer carcéral d’un conseiller municipal FN, dément l’antisémitisme du mouvement, et doute : Jean-Pierre Stirbois a-t-il été victime d’un accident de la route ou d’un attentat ?

Le Front National, avec son chef charismatique, annonçait d’une façon prémonitoire, les tempêtes à venir. « Militant un jour, militant toujours ? »…

17 ans dans les tranchées du Front national, JeanClaude Rolinat, Dualpha, 368 pages, 39,00 € (+ 6,00 € de port). Pour le commander cliquez ici

Les autres livres de Jean-Claude Rolinat cliquez là

23:23 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le message de Philippe Milliau, président de TV Libertés

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A propos des voeux se Macron...

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Bernard Germain

L’époque des vœux vient de commencer. Une vraie purge qui va durer tout le mois de janvier. Ça va être long. Vivement février… !

Hier soir, pour lancer cette sinistre période, nous avons eu droit à ceux de Macron. Et on n’a pas été déçus. Ce furent les plus longs de l’histoire de la V° République.

De plus, on aura rarement entendu un discours exposant une situation à ce point en décalage avec la réalité.

Ce type vit indiscutablement dans un monde parallèle, totalement coupé de celui des français.

Par exemple, il a déclaré : « Malgré une effroyable crise énergétique, l'inflation, les menaces nucléaires ou la crise climatique, ce qui est demeuré constant est [la] capacité collective [des Français] à relever ces défis »

Peut-être avait-il déjà attaqué l’apéro ou fumé la moquette, mais il faut le faire d’oser déclarer cela.

« La crise énergétique »... mais c’est lui et ses complices de Bruxelles qui en portent l’entière responsabilité.

On paye aujourd’hui les choix fous, imposés par l’Allemagne et Bruxelles, doublés de la complicité de tout le personnel politique français. Avec mention spéciale aux verts, notamment Dominique Voynet qui a provoqué l’abandon du nucléaire au plan européen en trahissant le mandat qui lui avait été donné par le gouvernement français.

En conséquence de quoi, le parc nucléaire français n’a pas été entretenu pendant de très longues années. Une trentaine de centrales sont donc, à ce jour, à l’arrêt. Et comme on a perdu nos compétences dans ce domaine, on dépend de la disponibilité de soudeurs américains notamment, pour effectuer les travaux nécessaires.

Donc personne n’est capable de dire si, au moment des grands froids, on aura suffisamment de centrales nucléaires en service.

Nous… les français, sommes donc menacés de coupures d’électricité.

Ce n’est pas Macron qui va se peler à l’Élysée, c’est nous.

En effet, s’il y a des coupures, elles n’auront pas lieu dans le palais présidentiel et soyons également certains que les 19°C ce ne sera pas pour lui, mais pour nous. 

« L’inflation »… mais c’est encore lui qui en porte la responsabilité, notamment du fait de l’explosion du prix des matières premières (gaz, pétrole et électricité). Grâce à sa brillante action concernant le conflit entre la Russie et l’Ukraine. Nous allons y revenir.

Résultat : une flambée des prix comme rarement vu. Et des conséquences dramatiques.

Juste un exemple : un restaurateur vient de recevoir sa facture d’électricité. Il va sans doute déposer le bilan. Pourquoi ? Sa facture passe de 700€ par mois à… 17.000€.

Combien sont-ils dans ce cas ? En fait, c’est toute l’économie qui est menacée de sombrer.

« Les menaces nucléaires »… mais qui en est responsable ?… Macron et tous les va-t-en guerre de Bruxelles qui ne sont que les laquais de Biden et de sa politique agressive contre la Russie, voulant au passage faire de l’Europe une chasse gardée des USA.

En mars 2022, Macron prônait le règlement du conflit par la négociation. A l’occasion de ses vœux, il expose un avis contraire. Maintenant, il déclare sans détour que la France « serait sans faillir » aux côtés des ukrainiens. « Nous vous aiderons jusqu’à la victoire ».

Donc, la France ne privilégie plus la négociation mais annonce vouloir aider l’Ukraine « jusqu’à la victoire ». La France est donc officiellement cobelligérant.

Et Macron ne serait pas responsable des « menaces nucléaires » qu’il fait semblant de déplorer ? 

« La crise climatique »… mais il n’y en a pas plus que de beurre en broche.

La France ne produit que 0,9 % du CO2 mondial… mais on fout une pression d’enfer aux français sur ce thème en les culpabilisant en permanence alors qu’ils ne sont responsables de rien.

Par contre personne, notamment parmi les khmers verts, ne s’avise d’aller demander des comptes aux USA ou à la Chine pourtant producteurs à eux deux de 44 % du CO2 mondial.

Et puis, cette crise climatique dont le CO2 serait l’unique responsable (ce que contestent à juste titre de nombreux scientifiques) elle permet de justifier le recours aux « énergies renouvelables ».

Vous savez, l’éolien, la méthanisation et les panneaux solaires, qui nous coûtent une blinde et ne produisent pas grand-chose. Par contre défigurent entièrement notre pays. 

Et Macron de conclure que face à ces problèmes : « ce qui est demeuré constant est [la] capacité collective [des Français] à relever ces défis ».

Non, c’est le contraire… ce qui est demeuré constant c’est la capacité des français à ENDURER tout cela. A peu près en silence… pour l’instant !

Mais tout a une fin. 

Macron risque de s’en apercevoir très vite en cette année 2023. Avant la fin des vœux.

Même s’il indique de manière péremptoire … « Je ne perds jamais cet impératif d'unité » de la nation française.

L’Unité de la nation risque bien d’être en train de vivre ses derniers jours.

D’ailleurs, fin janvier, une manifestation des boulangers est déjà annoncée.

Elle ne sera certainement pas la seule. Et c’est tant mieux.

Il est temps, plus que temps, que les français se révoltent, sauf à accepter de sombrer dans la misère la plus complète. 

Pour empêcher ce funeste destin, deux mesures doivent être prises de toute urgence :

  • Supprimer le dispositif de l’Arenh, qui oblige EDF à vendre 25 % de son électricité à des « concurrents » qui se contentent de revendre cette électricité à un prix exorbitant.
  • Sortir du dispositif européen qui lie le prix de l’électricité à celui du gaz. 

L’Espagne et le Portugal viennent de le décider. Pourquoi la France ne le ferait-elle pas ?

Sans l’application immédiate de ces deux mesures, les français vont crever de faim ou de froid cet hiver et de très nombreux commerçants et industriels vont faire faillite.

Je serai étonné que ça se passe sans réaction.

Enfin, pour conclure, je présente à tous les lecteurs de Synthèse nationale, leurs familles et tous ceux qui leur sont chers, mes meilleurs vœux pour cette année 2023.

Contrairement à Macron, mes vœux sont sincères.

13:52 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 31 décembre 2022

2023 !

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16:53 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 30 décembre 2022

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Le contraire aurait été étonnant...

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18:47 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 29 décembre 2022

La technologie a trop d’impact sur la planète pour être la solution

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L’idée que l’innovation nous sauvera de l’épuisement des ressources et des changements climatiques est une illusion dangereuse, prévient l’ingénieur Philippe Bihouix, qui appelle à multiplier  les démarches « low tech » (basses technologies) et à privilégier la sobriété. Cet ingénieur, issu de l’Ecole centrale de Paris est directeur général  de l’AREP, l’agence d’architecture de la SNCF. Il est l’auteur, en 2014 de L’Age des low tech (Seuil) et vient de publier, en collaboration, La ville stationnaire (Actes Sud), un ouvrage sur la question de l’étalement urbain et les moyens de le stopper. On est là dans une démarche écologique intelligente très loin des barjots à la Sandrine Rousseau qui s’en réclame.

Lire la suite ICI

Source : Le Monde 29/12/2022

08:09 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Vendée au coeur de l'actualité. Sortie prochaine d'un documentaire de Eric Dick : C'était une fois dans l'Ouest"

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"C'était une fois dans l'ouest » est un documentaire de deux heures sur l'histoire des Vendéens.
 
A l'ouest de la France récemment nommé « Vendée », on entendait, mêlés au souffle de l'Atlantique, monter de sourds grondements. Soulèvement populaire ? Fanatisme religieux ? Quel a été le moteur de l'insurrection symbolisé par François-Athanase Charette ?
 
Au fil de ce film documentaire de 120 minutes, historiens, biographes, hommes d'Église et habitants des paroisses locales apportent un témoignage puissant sur ce qui fut un désastre ou une victoire selon leur point de vue. « Ils parlent des leurs. On voit ces grands guerriers vendéens dans de magnifiques images d'archives ou d'excellentes scènes de reconstitutions.

01:16 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 28 décembre 2022

Jeudi 12 janvier à La Roche-sur-Yon : une conférence sur le thème "Catholique et français"

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19:08 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La très inutile importation des haines interethniques en Europe

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Bernard Plouvier

En tout pays et à toute époque, la cohérence de l’État dépend de la cohésion nationale. C’est déjà une chose difficile à obtenir au sein d’une nation homogène, quand surviennent des querelles politiques et/ou religieuses, alimentées par d’ambitieux démagogues ou par de dangereux fanatiques.

Cela devient absolument impossible dans une société multi-raciste, ce qui est obligatoirement le cas de toute société multiraciale. Les exemples du Proche-Orient hellénistique et du monde romain, puis à l’époque moderne ceux des USA, du Brésil et du Mexique, des Indes ou de la Russie tsariste ont largement démontré cette évidence.

C’est d’ailleurs pourquoi, dans notre monde merveilleux de l’économie globale et de la mondialisation de la propagande, l’on a quelque peu bousculé la réalité des faits dans l’enseignement de cette vieille catin d’Historia – l’histoire telle qu’on l’écrit et qu’on l’enseigne officiellement, du moins en Occident. Pour ne pas heurter la sensibilité et la susceptibilité, si vives toutes deux, de nos merveilleux immigrés et des indécrottables cosmopolites – ceux qui se veulent « citoyens du monde » -, l’on a simplifié la narration : seul le Blanc est raciste ! De ce fait, on a multiplié les aides et béquilles sociales, regroupées sous l’anti-notion de la discrimination positive.

L’Europe n’est jamais parvenue en 20 siècles à obtenir l’assimilation d’une majorité de Juifs, dont certains se sont en outre révélés de formidables agents subversifs aux XIXe et XXe siècles – sauf à nier la réalité du marxisme théorique, de la pratique du judéo-bolchevisme, du trotskisme et du gauchisme. De même, quinze siècles n’ont rien changé aux us et coutumes extra-européennes des Tziganes (ou Roms...) qui nomadisent des confins occidentaux de la Mer Noire jusqu’en Scandinavie et aux Îles Britanniques.

La leçon n’a manifestement pas été apprise, puisque depuis la décolonisation, l’on a accueilli en Europe occidentale – et singulièrement en France – des dizaines de millions d’Extra-Européens... et, ô surprise, il s’est avéré qu’une écrasante majorité d’entre eux exigeaient aussi le droit de cultiver leur différence et celui de transformer des cités européennes en douars maghrébins, en ghettos (et bidonvilles) de Noirs et de Moyen-Orientaux.

Un certain patronat esclavagiste voulait des manœuvres peu coûteux et les nations d’accueil – qui n’ont jamais été consultées sur l’opportunité de cette invasion exotique - ont eu droit à des émeutes raciales, à l’expression des haines exotiques, avec – cerises sur le gâteau empoisonné – une multitude d’assassinats, de viols, d’incendies volontaires, de pillages et de vols avec violences physiques, en plus de revendications religieuses absurdes. Car de nombreux envahisseurs réclament l’imposition de leur charî’a médiévale et obscurantiste, obtenant même des Francs-maçons du Grand-Orient si nombreux dans nos administrations « françaises » une lutte active contre le christianisme implanté en Europe depuis plus de 1 500 ans !

Comble de bonheur, nous autres, Français de souche européenne, devons supporter l’expression des haines opposant Juifs et mahométans depuis les guerres menées par ou contre l’État d’Israël, depuis sa première année d’existence. Nous avons été une cible privilégiée des chevaliers du djîhad, soit d’immondes terroristes aveugles, à compter de 2014. Dans les hôpitaux, depuis les années 1970, l’administration « conseille » de ne pas mettre dans la même pièce un Algérien et un Marocain ou un Tunisien, en raison des haines nationalistes opposant ces « frères de l’Oumma » (ou membres de la communauté sunnite)... et il ne viendrait pas à l’esprit d’un médecin chef de service, même athée, de faite cohabiter un sunnite et un chiite.

De même, il faut respecter les haines opposant les Kurdes aux Turcs (mais aussi aux Syriens, Irakiens et Iraniens qui possèdent aussi une partie du sol des ex-Mèdes devenus Kurdes). Il est déconseillé de faire cohabiter des Malgaches des hauts-plateaux (d’origine africaine) avec les Malgaches de la côte orientale (plutôt d’origine mélanésienne), ou encore des Tziganes (généralement chrétiens) et des Maghrébins... j’ai même le souvenir d’une rude empoignade dans un service médical entre un Berbère et un Arabe, tous deux venant de la même province algérienne ! Et il ne faudrait pas oublier les Arméniens, qui s’estiment toujours « moins bien traités que les Juifs ».

Un certain nombre de leçons doivent être tirées, dans la France hollando-macronienne, celle des tristes années 2014-2022 :

  • Nous ne devons plus accueillir un seul « immigrant-réfugié-malheureux » en provenance d’un autre contient que le nôtre. Réservons notre compassion aux seuls Européens... et il sera déjà bien difficile de calmer les haines ancestrales, d’ailleurs attisées par quelques journaleux cosmopolites, qui veulent gommer la notion de fierté nationale - l’exemple russo-ukrainien actuel démontre pourtant la profonde stupidité de leur vision d’un « Monde unique ».
  • Il faut organiser un plébiscite sur le rétablissement de la peine de mort pour les assassins... de façon à ne plus jamais revoir le scandale de l’affaire de Nice où la tuerie djihadiste de 80 personnes et les blessures de 300 autres, par un attentat au camion-bélier, se solde par des peines de prison pour des complices d’assassinat qui osent d’ailleurs contester la « lourdeur de la peine ». Comment proportionner le châtiment au crime si l’on n’exécute pas les assassins, leurs commanditaires et leurs soutiens logistiques ? Il est curieux que les Européens qui se disent admirateurs de l’islam omettent de préciser que le droit islamique n’est pas tendre avec les criminels.
  • Bientôt, les policiers se dégoûteront d’un métier où ils n’ont même plus le droit de défendre leur intégrité physique. Qu’est devenue notre France, où les émeutiers peuvent blesser des membres du service d’ordre, souvent en toute impunité ?

Le pouvoir macronien ne repose que sur 35% de l’électorat. Son expression est purement verbale : Président et ministres déblatèrent alors que les émeutes raciales se multiplient, alors que les haines multi-ethniques sont plus vivaces que jamais. Le « Vivre ensemble » est une utopie – variante moins noble : c’est une connerie funeste et meurtrière – et si les Français connaissaient un peu l’histoire des civilisations, ils le sauraient depuis longtemps.

Plutôt que « Vivre ensemble », tentons le « Chacun dans son continent d’origine »... et l’on aura encore fort à faire pour pacifier les relations entre nations issues d’une même race !

Car la bête humaine, toujours et partout, redevient féroce dès que l’organisation étatique relâche sa pression. Le laxisme se paie toujours très cher, en biens vandalisés et en vies gâchées ou volées.       

12:59 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |