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jeudi, 20 janvier 2011

Quand ressurgit la question du mariage homosexuel...

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Par Luc Pécharman
Membre de la direction nationale de la
Nouvelle Droite Populaire
 
Régulièrement, le sujet se retrouve à la une de l’actualité. Il s’agit en fait pour les homosexuels de faire reconnaitre par l’Etat leur « droit » au mariage, avec pour argument l’égalité de tous devant les institutions.
 
Si les choix de vie des homosexuels ne nous regardent pas, et que chacun peut faire ce qu’il veut avec qui il veut (majeur et consentant, bien entendu), le fait de légaliser ou non le mariage de deux personnes du même sexe n’appartient pas aux cours de justice, mais bien au législateur. C’est un sujet de société dont la portée n’échappe à personne. Car revendiquer le droit au mariage, c’est faire un pas vers l’adoption (égalité des droits) et tout ce qui en découle. Cela mérite plus qu’un avis juridique, cela mérite l’organisation d’un vrai débat. Mais un débat serein, dans le respect de l’opinion de chacun, et ou les lobbys habituels de la cause homosexuelle ne passent pas leur temps à crier à l’homophobie à chaque argument.
 
Sans aborder aujourd’hui le problème de l’éducation des enfants par des couples homosexuels, il me semble important de bien recadrer la place du mariage dans la société.
 
En effet, l’Etat encadre le mariage traditionnel non pas pour favoriser les couples mariés, mais parce que ces mariages portent en eux la pérennité de la Nation. Ainsi, les divers avantages accordés aux couples mariés ne tirent pas leur légitimité d’une quelconque générosité de l’Etat, mais simplement du fait qu’il est de l’intérêt bien compris de la Nation de favoriser, à travers le mariage, la perpétuation du peuple. Perpétuation qui assure la survie de l’histoire, la continuité de notre civilisation et le cas échéant le paiement des retraites et autres broutilles.
 
Dans cette optique, et jusqu’à nouvel ordre de la nature ou miracle de la médecine, un couple homosexuel ne porte pas en lui la promesse d’une descendance. Donc réclamer l’égalité de traitement, alors même que l’on ne peut assurer une égalité de « service » à la Nation, semble pour le moins déplacé.
 
Quand à l’argument de modernité, il n’a que peu de poids face à l’histoire. Qu’on se souvienne simplement que le communisme est apparu au XIXème siècle comme une idée moderne, et que cette modernité à conduit à la misère et à la mort des millions d’hommes.
 
Espérons juste que les différents professionnels de la lutte contre les discriminations n’en profitent pas pour affaiblir un peu plus notre société déjà suffisamment agressée par les dogmes de la mondialisation et du métissage généralisé.
 
Source : cliquez ici

09:56 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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