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lundi, 29 octobre 2012

ATTENTION, dernière minute : la manifestation de Pacé (35) est annulée.

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Un communiqué de Jeune Bretagne :

L’association Jeune Bretagne, principale organisatrice du rassemblement du mercredi 7 novembre, à Pacé, appelle ses militants, ses sympathisants ainsi que les autres organisations ou collectifs à ne pas se rendre à Pacé le mercredi 7 novembre, le rassemblement étant annulé.

Ce rassemblement était prévu afin de réclamer l’expulsion des clandestins du squat de Pacé et afin de dénoncer les coups de force totalement illégaux de l’association DAL35 .Nous remercions les militants et sympathisants qui se sont mobilisés en nombre durant plusieurs semaines. Aujourd’hui, la situation évolue favorablement.

Sur ordonnance de la justice et sans aucun doute grâce à la mobilisation et à la pression populaire (et notamment à la pétition réunissant plusieurs milliers de signatures mise en ligne sur le site Jeune Bretagne), les clandestins devraient être expulsés du squat de Pacé d’ici la fin novembre. Le problème risque néanmoins de n’être que reporté, les autorités n’ayant manifestement pas l’intention de les rapatrier dans leur pays d’origine, cédant à la pression d’organisations ultras minoritaires, mais très agitées. C’est pourquoi nous restons vigilants sur ce dossier.

Nous rappelons enfin que les principaux responsables de l’immigration massive qui arrive sur notre sol aujourd’hui ne sont pas les immigrés, mais ceux qui, quotidiennement, font tout pour leur promettre un eldorado qui n’existe pas.

Plus que jamais, l’association Jeune Bretagne appelle ses militants et ses sympathisants à rester mobiliser au quotidien afin de préparer l’alternative à la dictature socialiste qui se met en place de façon quotidienne depuis le mois de mai.

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“Vous êtes inhumains” qu’ils disaient...

Une tribune libre de Yann Vallérie,

Président de Jeune Bretagne :

Depuis la pétition et l’annonce d’un rassemblement le 7 novembre réclamant l’expulsion des clandestins du squat de Pacé (près de Rennes) et les sanctions contre le principal fauteur de trouble, le Dal35, médias et associations au service de la pensée unique et du politiquement correct cherchent à dépeindre Jeune Bretagne et ses militants comme un ramassis de monstres, inhumains, n’ayant aucune sensibilité pour toute la misère du monde, etc.

Il est temps de remettre les pendules à l’heure :

Oui, nous sommes pour l’instauration d’un droit au logement (mais surtout à la propriété, le droit d’être locataire toute sa vie n’étant pas une fin en soi) pour tous, c’est à dire pour toutes les personnes qui font partie intégrante de notre société, des personnes qui sont nées ici et qui ont un héritage régional, national ou civilisationnel commun.

Oui, nous souhaitons que les gens de notre peuple aient, avant les autres, les possibilités de se loger et d’être propriétaires. Car c’est leur terre, c’est la terre de leurs ancêtres et ils n’ont pas « d’ailleurs » où aller. Oui, nous souhaitons que la jeunesse de Bretagne tout comme la jeunesse d’Europe ait un avenir qui ne soit pas entravé par des apprentis sorciers mondialistes.

Oui, nous accepterions volontiers d’accueillir des vrais réfugiés politiques, des vrais demandeurs d’asile si nous le pouvions. Ce n’est pas le cas aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Et encore faudrait-il que le peuple, celui qu’on n’interroge jamais, ait son mot à dire en matière d’accueil et d’immigration. Ce n’est pas le cas et ça ne l’a jamais été, les bienpensants se basant uniquement sur « la tradition humaniste » (vous savez, ces mots qu’on répète à chaque phrase afin de s’auto-persuader de quelque chose qui n’existe pas)

Il y a des guerres, de la famine, des persécutions sur une grosse partie du globe.

Pour ces raisons, devons nous accueillir un flot de réfugiés à nombre inderminé, toujours plus important chaque année ? Est-ce inhumain de dire que nous n’avons pas la place ni les possibilités humaines de les accueillir ? Pourquoi absolument vouloir leur faire vivre une misère ici, loin de chez eux ? Et surtout, plus important encore, pourquoi vouloir l’imposer de force à un peuple sans lui demander son avis ? Pourquoi les associations qui nous qualifient de monstres ne réclament-elles pas, comme nous le souhaitons, un référendum sur l’immigration ? Ont-elles peur du peuple et de son instinct de survie ?

Le taux de chômage élevé, les difficultés à trouver un logement, à se former, à se nourrir, constituent des défis qu’il faut permettre en priorité à la jeunesse bretonne de relever.

Nous refusons le « droit au logement universel » tout comme nous refusons la disparition des frontières, la domination des banques et des bourses mondiales, l’ultralibéralisme et tous ces fléaux de la mondialisation.

Car c’est bien là où toutes ces associations prétendues « de gauche » deviennent contradictoires : en faisant systématiquement l’apologie de l’ouverture des frontières, des « droits pour tout et pour tous », du métissage généralisé, elles constituent un des bras armés de la mondialisation qu’elles prétendent condamner quand il s’agit d’économie.

Sur ce point, notre position de rejet de la mondialisation, qu’elle soit économique, sociale ou humaine, est cohérente, puisqu’elle englobe justement l’ensemble des règles d’une société.

Car entendons-nous bien ; ceux qui prônent l’ouverture des frontières et les régularisations pour tous, en Europe, n’auront que leurs yeux pour pleurer lorsque le géant chinois ou d’autres puissances émergentes viendront imposer, au monde entier, leur droit social, leur conception des échanges et de la vie économique et sociale. Et ils pourront se mettre à regretter nos propositions de protectionnisme européen, au sein d’un vrai bloc civilisationnel fort.

Et il faut être bien fanfaron (ou avoir une nostalgie d’une Europe coloniale qui s’est effondrée il y a bientôt un siècle) pour imaginer qu’une poignée d’Européens réussira à imposer un monde sans frontières, sans cultures, sans économie de marché, façon « bisounours » (7 milliards d’humains travaillant 28 ou 35h/semaine ?) à un milliard de chinois, d’Africains ou d’Indiens qui leur riront au nez avant de leur donner le coup de grâce.

Car d’Inde en Chine, du Maroc au Sénégal ou en Afrique du Sud, du Mexique au Pérou, la notion d’identité, de frontières, de protection, de sauvegarde ne de discute même pas. Il n’y a qu’en Europe où des groupes d’illuminés cherchent à faire disparaitre ce qui est au plus profond de l’homme, ce qui est dans son instinct.

Il n’y a qu’en Europe où l’on peut trouver un nombre conséquent de personnes détestant à ce point leur propre histoire, leurs ancêtres, leurs traditions et leur façon originale de vivre. Ils aiment chez les autres ce qu’ils se refusent à aimer chez eux. Cela pourrait relever de la psychanalyse.

C’est parce que nous sommes profondément humains que nous pouvons regarder un jeune mongol ou un jeune ghanéen de 12 ans droit dans les yeux en lui expliquant que des gens lui ont menti, qu’on lui a promis quelque chose qui n’existait pas et qu’il ne trouverait ici que misère, insécurité, chômage et précarité.

C’est parce que nous sommes profondément humains que nous dirons à ces deux jeunes asiatiques et africains qu’il est désormais temps de repartir, sur leur terre, au pays de leurs ancêtres, afin de construire leur avenir et d’aider leurs pays, leurs clans, leurs nations.

C’est parce que nous sommes profondément humains que nous expliquerons là encore, avec fermeté, mais respect et compréhension, à leurs parents, qu’il faut qu’ils repartent ensemble, tous ensemble, vers leur destinée qui ne peut pas être ici.

C’est parce que nous sommes profondément humains que nous leur expliquerons que demain, s’ils restaient là, et sans doute sans qu’ils le souhaitent vraiment, le territoire d’Europe risquerait d’être transformé en jungle multiethnique où des groupes violents et ethniques feraient la loi, les États finissant par être dépassés par la situation d’insurrection généralisée qui vient.

C’est parce que nous sommes profondément humains que nous leur rappellerons les Balkan, l’Afrique du Sud, le Brésil, preuve par l’exemple que toute société multiraciale de grande échelle est une société multiraciste.

C’est parce que nous sommes profondément humains que nous refuserons désormais que les médecins d’Afrique refusent de retourner aider leur continent en souffrance après avoir été formés en Europe.

C’est parce que nous sommes profondément humains que nous interdirons à nos propres peuples d’aller exploiter, attaquer et tenter de coloniser des régions du monde qui ne leur appartiennent pas, de Guyane en Guinée, de Syrie en Afghanistan, d’Irak au Mali.

C’est parce que nous sommes profondément humains que nous ne comprenons pas cet acharnement qu’ont ces associations, ces ligues de vertus qui cherchent au quotidien à détruire de l’intérieur notre civilisation. Hier, ces individus utilisaient le prolétariat d’Europe pour accomplir leurs basses besognes, aujourd’hui, ce prolétariat leur ayant échappé, ils en ont adopté un autre.

Les colons, les exploiteurs, les marchands de sommeil, les marchands de misère, ce sont eux. Et au même titre que le prolétariat d’Europe leur a tourné le dos, le prolétariat d’Afrique ou d’Asie leur tournera également le dos un jour, n’adhérent aucunement à leur rêve fou d’une société de robots métis, sans âmes, sans conscience, sans faculté de penser ou de se révolter, simplement au service des banques et des multinationales.

Quant à nous, militants de Jeune Bretagne, c’est notre amour pour notre peuple, mais également notre amour pour la diversité dans l’enracinement des peuples du monde, des civilisations, qui nous donne toute légitimité dans notre combat.

Nous avons raison et cette certitude nous rend chaque jour un peu plus fort, un peu plus volontaire afin d’empêcher la lente agonie que vous nous proposez.

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08:58 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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