dimanche, 09 février 2014
Guérilla urbaine entre milices "antifa" et forces de l'ordre (?) à Rennes
Un commissariat attaqué, un véhicule incendié, de nombreuses vitrines brisées, des rues dépavées pour envoyer des projectiles au moyen d'une catapulte (!) sur les CRS, le centre ancien de Rennes en état de siège… Voilà le bilan des actions perpétrées par ceux qui se nomment les "antifas" au cours de la soirée d'hier dans la capitale bretonne… Tout ça au prétexte de dénoncer une réunion publique du pâle candidat "bleu marine" pour les prochaines municipales ! On regrette le temps où le Département Protection Sécurité du Front savait protéger lui-même ses meetings et faire une tête au carré à la racaille bolchevique. Mais la dédiabolisation est passée par là et le FN se réfugie maintenant derrière la police du système qu'il prétend combattre !
Il n'empêche que les événements d'hier soir prouvent à ceux qui pourraient encore en douter que ces antifas constituent une milice politique. Une vraie, contrairement aux JNR, à l'Œuvre française et aux Jeunesses Nationalistes, mouvements dissous par le ministre de l'intérieur l'été dernier à la suite de la mise en œuvre de leur droit de légitime défense par nos camarades Samuel et Esteban tombés dans un traquenard organisé par ces mêmes antifas qui dévastent aujourd'hui le centre ville de Rennes.
Le lien entre les émeutiers d'hier soir et les nervis qui ont attaqué nos camarades est d'ailleurs clairement établi : on entend distinctement dans la seconde vidéo ci-dessous quelques-uns des pouilleux scander : "Clément vivra dans nos combats" (vers 10" 30')…
Dans la même vidéo, on observera avec intérêt la curieuse catapulte artisanale greffée sur un chariot de supermarché dont le panier permet de trimballer les munitions arrachées peu avant à la voie publique… La volonté de casser du flic est évidente et la réponse des forces de l'ordre – après la sévère répression qui a frappé les opposants au mariage des invertis, on se demande si elles doivent encore porter ce nom – bien timorée. Surtout qu'aux pavés ont très vite succédé les cocktails molotov qui prouvent – comme la catapulte artisanale – que l'action était préméditée.
Quand Mañuel Valls procèdera-t-il à la dissolution de ces milices armées ?
Surement jamais ! Comme les Femen, ces provocateurs bénéficient du soutien du régime dont ils sont les meilleurs alliés, même s'ils font mine de dénoncer le virage libéral du gouvernement…
Finalement, dans un affrontement entre les CRS et les antifas, le système est dans les deux camps. Comptons les points !
Rennes manif anti FN guerilla urbaine par OuestFranceFR
NDLR :
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