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lundi, 28 février 2022

UKRAINE : LE DÉCRYPTAGE D'AYMERIC CHAUPRADE

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Ukraine : le chassé-croisé des patriotes

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Mathieu Bock-Côté

Il aura suffi de quelques heures à peine pour que la crise ukrainienne s’invite dans les conflits qui traversent la vie politique française, pour les radicaliser, à un moment où l’élection présidentielle révèle aux yeux de tous la passion bien française pour la guerre civile idéologique. Au centre de cette querelle, qui n’est pas nouvelle, mais qui prend une vigueur inédite, se trouve le rapport à la Russie comme révélateur historique et politique.

De manière schématique, on le sait, « les souverainistes » cherchaient à tenir compte de la vision russe du monde dans leur réflexion sur la civilisation européenne. Certains le faisaient par un antiaméricanisme pavlovien, et d’autres, par fascination trouble pour un pouvoir fort censé incarner l’exact contraire de la supposée décadence occidentale. Mais la plupart avaient surtout la conviction que la géographie condamne les peuples partageant un même continent à tenir compte de leurs intérêts mutuels.

De l’autre côté du débat, certains « européistes » et autres libéraux plus ou moins mondialistes, ne cachant pas leur aversion envers le fait national, ou du moins le jugeant dépassé à l’échelle de l’histoire, étaient d’une franche hostilité à l’endroit de la Russie, jugée retardataire, et condamnée à reproduire des schèmes autoritaires inscrits d’une manière ou d’une autre dans la psyché nationale la plus profonde. Mais le cœur de leur position ne variait pas : la souveraineté nationale était périmée, et s’y accrocher relevait d’une mentalité déphasée.

Pour peu qu’on dégage cette querelle de la passion française de la guerre civile idéologique, on y verra un clivage entre deux conceptions de la nation, une ancrée dans la conscience de la diversité profonde du monde, qui s’accompagne de la diversité inévitable des régimes, et une autre qui se construit dans la mise en scène de valeurs universellement valables, qu’il faudrait promouvoir partout, quelles que soient les circonstances. On aurait tort de condamner ces positions à l’étanchéité idéologique, dans la mesure où chacune dévoile une part légitime de la conscience historique occidentale.

C’est en ayant ce clivage à l’esprit qu’on comprendra la polémique des derniers jours, où les partisans du camp «libéral» ont cherché à jeter l’opprobre sur ceux du camp «national» en les présentant comme les valets de la Russie, qu’ils préféreraient à leur propre patrie. Plus encore, on jugerait désormais du patriotisme des uns et des autres en fonction de leur volonté de pousser toujours plus loin les sanctions contre la Russie, au point même d’envisager des frappes militaires contre lui. Ceux qui souhaiteraient éviter la montée aux extrêmes, et éviter un embrasement généralisé, seraient en fait des défaitistes, des «munichois» de 2022. L’appel aux armes serait désormais la marque du patriotisme.

On y verra une tentative explicite d’inverser les pôles du patriotisme. Surgit ici l’extrême centre, où se retrouvent plusieurs néoconservateurs à l’américaine qui multiplient les rodomontades médiatiques et en appellent même, à demi-mot, ou de manière tout à fait explicite, à faire la guerre à la Russie. Cette querelle n’est pas sans faire penser à celle qui a traversé les milieux conservateurs américains, début 2003, au moment de l’invasion de l’Irak, quand ceux qui s’y opposèrent furent traités de «unpatriotic conservatives». Vingt ans plus tard, elle nous rappelle les dangers du fanatisme idéologique, quel qu’il soit.

Il faut pourtant rappeler une chose simple : à peu près tout le monde a été sidéré par l’invasion russe. Ce scénario n’était jamais sérieusement envisagé. La saine raison voudrait qu’on cherche moins à punir ceux qui, encore hier, divergeaient dans l’analyse de la situation russe qu’on demande à ceux qui prétendent gouverner de quelle manière ils entendent réagir. Depuis, chacun, dans la classe politique, a su laisser de côté sa théorie pour répondre au caractère exceptionnel des événements, et tous condamnent sans hésitation l’offensive russe.

Chose certaine, l’offensive de Poutine repose sur une analyse cruelle, mais perspicace du monde occidental : il est trop affaissé, trop dévitalisé, trop inhibé par ce qu’il croit être la part sombre de sa propre histoire pour réagir. Les États-Unis entendent désormais projeter leur puissance vers l’Orient, alors que l’Europe ne se sent plus mentalement capable d’imaginer une politique de puissance, ce qui la condamne à être dominée chez elle, ou du moins, paralysée dans ses frontières. Il ne serait pas interdit de souhaiter que les différentes familles politiques, au-delà de leurs chamailleries idéologiques ritualisées, cherchent à répondre à cette question de portée historique. Que les solutions diffèrent pour sortir de la crise est inévitable et relève des lois ordinaires de la vie politique.

Source : Le Figaro 26 /02 /2022

 

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dimanche, 27 février 2022

PRÉSIDENTIELLE 2022 : LE RÉVEIL NATIONAL !

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Éditorial du n°59 (hiver 2021-2022)

de la revue Synthèse nationale

Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Dans quelques semaines, avec l'élection présidentielle, la France va choisir son avenir. Soit elle continue de suivre servilement les préceptes imposés par la marche en avant vers une gouvernance mondiale et accepte l’autodestruction, le suicide ; soit elle décide de reprendre en main sa liberté et de déterminer par elle-même son futur.

Si les Français optent pour la première solution, ils ont un large panel de candidats à leur disposition, de Jean-Luc Mélenchon à Valérie Pécresse, en passant par le sortant Emmanuel Macron. Tous, en effet, leur proposent à peu près la même chose, à savoir encore plus d'internationalisme pour l'un, ou de globalisation ultra-libérale pour les autres. Dans les deux cas, une chose est sûre : la France en tant que nation libre et indépendante n'aura plus de raison d'être...

Le marxisme-léninisme ripoliné de la "France insoumise", du PS ou des verts et le capitalisme apatride de Macron ou Pécresse sont les deux faces d'un même système qui tue les peuples, les nations, les civilisations. Les motivations des uns et des autres sont peut-être différentes, mais les résultats, pour notre pays, sont les mêmes : catastrophiques.

Autre point commun aux différents candidats du Système : la défense des identités n’est pas leur préoccupation première. Fondamentalement, tous souhaitent la poursuite des mouvements migratoires et même, par bien des côtés, les encouragent. Tous nous mènent ainsi droit vers le grand remplacement et l’islamisation de portions du territoire toujours plus étendues...

Pour ce qui est de la seconde option, le choix des Français, jusqu’à présent, se résumait pour l’essentiel au Rassemblement national, pâle héritier du FN de Jean-Marie Le Pen qui, pendant plus de trois décennies, a incarné la résistance face à une classe politique déjà soumise. Seulement, voilà : depuis dix ans, le RN n'a plus qu'une obsession, se "dédiaboliser" et singer les autres partis. Ainsi, il s’est normalisé, il s’est affadi et n’est plus en mesure de cristalliser les colères montantes (comme ce fut le cas au moment de la Manif pour tous, des Gilets jaunes ou, plus récemment, des cortèges contre le passe sanitaire). En outre, les épurations permanentes et les démissions en chaîne en ont fait une coquille vide, un tantinet has been, incapable d'incarner une opposition nationale et populaire digne de ce nom. Les résultats désespérant des dernières élections (législatives, municipales, départementales et régionales) en sont, hélas, la preuve la plus flagrante.

Il ne faut jamais désespérer...

Pourtant, face à ce constat quelque peu engageant, au moment où tout semblait partir à vau-l’eau, une prise de conscience salvatrice s’est opérée chez bon nombre de nos compatriotes. Comme le montrent plusieurs études d'opinions réalisées ces derniers mois, une majorité d’entre eux, malgré la propagande intensive et le formatage imposé, a pris la mesure de la gravité de la situation et aspire à une politique qui mettrait enfin la France et les Français au centre de ses priorités. Beaucoup veulent une politique authentiquement nationale et identitaire, telle que nous la préconisons depuis des décennies....

La nature ayant horreur du vide, un miracle devait arriver...

Alors que, paradoxalement, le RN n'est plus en position d'assumer son rôle de fédérateur des colères et des espoirs français, une force nouvelle, soudain, a jailli. Surgi du cœur de la nation, elle s'impose de jour en jour comme la seule alternative au déclin de notre patrie. Un homme lui a donné vie et l’incarne. Cette force, c’est Reconquête ! (dont le nom évocateur constitue, à lui seul, une véritable "feuille de route") et cet homme, c’est Éric Zemmour. Fort de sa carrière d'observateur avisé de la vie politique, fort de sa culture, de son talent, de son courage, il est en mesure non seulement d'établir un diagnostic mais, plus encore, de proposer un nouveau projet enthousiasmant à la France...

Ainsi, Chers lecteurs de Synthèse nationale, en quelques mois, tout a changé "à droite de la droite".

Alors que tout pouvait sembler perdu, que le pays tombait de Charybde en Scylla, que la droite nationale (ou tout du moins ceux qui étaient censés la représenter) partait dans tous les sens, l'émergence politique d'Éric Zemmour (et de son mouvement Reconquête !) redonne une chance inespérée à notre famille d'idées et, par conséquent, à la France. Cette chance, nous n'avons pas le droit de la laisser passer. Dès le mois de mai dernier, alors que les choses commençaient à se concrétiser, j’ai décidé, après avoir consulté les rédacteurs de la revue, de soutenir la candidature d'Éric Zemmour. Aujourd'hui, presque toute la droite nationale est sur la même ligne et je m'en réjouis.

Comme je vais le plus souvent possible "sur le terrain" ; et que je suis invité ici et là à prendre la parole, en tant que directeur de Synthèse nationale, dans diverses réunions électorales, je constate qu'une véritable lame de fond est en train de se former. L'heure du retour de la France française approche et plus que jamais, la victoire paraît possible.

Les 10 et 25 avril prochains, ne ratons pas cette chance historique que nous offrent Éric Zemmour et Reconquête ! Assez de léthargie ! Assez de tergiversations ! Assez de divisions ! Une seule solution, une seule consigne : le réveil national, Zemmour président !  

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Scipion de Salm invité par Epona sur la chaîne du Parti de la France pour nous parler de Jeanne d'Arc

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Aux Pays-Bas, balance tes liens avec Israël

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La chronique de Philippe Randa

En temps de guerre, la dénonciation est un sport qu’on dit national en France… En France et en temps de guerre seulement ? Évidemment non, telle que nous l’a prouvé ces dernières années à travers le monde entier, tous les mouvements de délation #balandetonporc ou autres #metoo… et aux pays-Bas, désormais, où « les liens avec Israël » devraient être officialisés pour les employés d’Universités : c’est, dans le cadre d’une loi sur la liberté de l’information, la surprenante demande de Gérard Jonkman, directeur du Forum, un groupe pro-palestinien (en photo ci-dessus).

Délire d’un groupuscule en quête de notoriété ? Pas vraiment, puisqu’une dizaine d’universités néerlandaises ont donné pour instruction à leurs personnels de donner suite à l’injonction et donc, de transmettre leurs interactions avec des organisations israéliennes et juives, puisque la demande en question a été certifiée en tant que requête WOB – une requête agréée par les procureurs du pays dans le cadre d’une loi sur la liberté de l’information,  adoptée en 2011 et dont le caractère est contraignant pour les organisations publiques ou financées par l’État.

Le site europe-israel.org précise à ce propos que « parmi les dizaines d’entités citées par Jonkman figurent Elbit, fabricant d’armes et de systèmes de défense israélien, le groupe Chrétiens pour Israël et une association de droite pro-israélienne juive néerlandaise.

Toutefois, la liste comprend aussi des organisations juives mainstream des Pays-Bas et au-delà qui ne se définissent pourtant pas comme israéliennes ou comme œuvrant exclusivement sur la question israélienne […] »

Binyomim Jacobs, grand rabbin des Pays-Bas, n’a pas manqué de fustiger une telle initiative en s’inquiétant du nombre d’université qui pourrait donner suite à une telle demande.

Que le grand rabbin des Pays-Bas s’en émeuve, on peut aisément le comprendre… Mais moins qu’aucune personnalité politique des Pays-Bas ne s’émeuve tout autant, et à juste titre, de voir le conflit israélo-palestinien s’exporter ainsi sur le continent européen, qui plus est au sein du monde universitaire…

EuroLibertés cliquez ici

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Samedi 2 avril : IXe colloque de l'Institut Iliade

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Thomas Ferrier, président du Parti des Européens, interviendra la samedi 12 mars lors du meeting du Parti de la France

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Thomas Ferrier, Président du Parti des Européens, prendra la parole samedi 12 mars sur le thème : « Que la France réveille l'Europe ! »

Pour participer au meeting, veuillez vous inscrire à l'adresse suivante : resa12marspdf@gmail.com

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Les mémoires courtes...

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samedi, 26 février 2022

Xavier Moreau : il était possible d’éviter la guerre en Ukraine

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Xavier Moreau,

fondateur du centre d’analyse politico-stratégique Stratpol,

déclare sur Sputnik :

“Il faut revenir sur l’histoire de ce conflit, et surtout des accords de Minsk. Ceux-ci ont été signés il y a maintenant sept ans, quasiment jour pour jour, et ont été validés par une résolution du Conseil de sécurité de l’Onu. Or, dans ces accords, il y avait une date de péremption, c’est-à-dire que tout ce qui était exigé vis-à-vis de Kiev –qui a signé ces accords après avoir perdu la guerre, notamment lors de la bataille de Debaltseve– devait être exécuté d’ici à décembre 2015.

Cela fait donc sept ans que la Russie patiente et demande à Kiev de respecter les accords de Minsk, réclame à la France et à l’Allemagne de les faire respecter par Kiev puisqu’elles en étaient garantes. En outre, comme il y a une décision du Conseil de sécurité de l’Onu, personne ne peut en sortir. Ni l’Ukraine, ni même la France, les États-Unis ou l’Angleterre et les membres des Nations unies qui étaient signataires de cette résolution et qui devaient obliger l’Ukraine à les appliquer. Cela n’a pas été fait!

Je pense que Vladimir Poutine avait un plan B et que ce plan B est ce à quoi nous assistons. Lorsque Vladimir Poutine a commencé à négocier il y a quatre mois, à proposer des garanties de sécurité, lorsqu’il a accepté de relancer il y a quelques semaines le format Normandie avec les conseillers diplomatiques qui se sont réunis à Paris et à Berlin, lorsqu’il a rencontré Emmanuel Macron, lorsqu’il a eu un entretien avec Scholz et a rencontré Blinken, il était possible d’éviter que la Russie passe à ce plan B.

Malheureusement, cela n’a absolument rien donné. On a même eu des situations totalement grotesques, comme lors de la conférence de presse à Kiev avec Volodymyr Zelensky où Emmanuel Macron a apporté son soutien aux combattants ukrainiens qui étaient sur le front depuis 2014. Je pense que là, Vladimir Poutine a compris que jamais ni Paris ni Berlin ne feraient pression sur l’Ukraine pour qu’elle applique les accords de Minsk.

Dans la mesure où, une fois de plus, Kiev se mettait à bombarder toute la ligne de front dans le Donbass, ils ont décidé de passer au plan B. Je ne vous cache pas quelle a été ma surprise. Je pensais que la riposte russe serait plus proportionnée. Désormais, l’objectif est annoncé: c’est dénazification et démilitarisation. C’est-à-dire que si cela continue ainsi, dans trois jours, il n’y aura plus que des lance-pierres en Ukraine.

[…] Pour moi, il y a bien sûr la responsabilité du gouvernement ukrainien. Cela dit, lorsque Zelenski s’est fait élire Président, il est arrivé sur un programme de réconciliation avec la Russie et de réconciliation avec les russophones. Il a fait exactement comme son prédécesseur Porochenko qui, lui aussi, en 2014, est arrivé avec un programme de réconciliation. Il a au contraire fait un programme de persécution de la langue russe, de persécution des Russes, de mise en avant des soi-disant héros de la Deuxième Guerre mondiale qui étaient des collaborateurs nazis, comme Stepan Bandera ou Roman Choukhevytch. Il a fait absolument le contraire de ce pour quoi il a été élu.

Malgré tout, si la France et l’Allemagne avaient fait leur travail, c’est-à-dire de faire pression sur Kiev pour l’application des accords de Minsk, il n’y aurait pas eu d’autre alternative pour Kiev que d’obéir à ces injonctions sous peine de perdre l’aide européenne. Même les plus radicaux de l’entourage de Zelenski auraient dû se soumettre et enfin appliquer les accords de Minsk. Donc, je pense que la responsabilité est partagée.

[…] Rendez-vous compte qu’Emmanuel Macron est rentré de Kiev sans même un échange de prisonniers, ce qui avait été le cas il y a quelques années. Par ailleurs, à aucun moment dans cette conférence de presse il n’évoque avec Zelenski les points des accords de Minsk. Ils sont pourtant très précis, avec une chronologie. Il doit y avoir un échange de prisonniers, une amnistie, un changement dans la Constitution ukrainienne, la prise d’un statut d’autonomie du Donbass, des élections locales et ensuite seulement la restitution à l’Ukraine de ses frontières. Emmanuel Macron n’a évoqué aucune de ces questions!

Je pense qu’il porte une responsabilité particulière, davantage que Scholz, qui vient d’arriver et qui récupère les dossiers au débotté. Le grand perdant, celui qui a provoqué cet échec –parce que le recours à la force militaire est un échec–, c’est incontestablement Emmanuel Macron.

Pour compléter cette analyse du même Xavier Moreau en vidéo :

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MES 4 VÉRITÉS : LE NOUVEAU LIVRE DE FERNAND LE RACHINEL PUBLIÉ PAR SYNTHÈSE NATIONALE

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C’est la parole d’un battant qui n’hésite pas à dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas.

Fernand Le Rachinel qui fut le premier élu conseiller général du Front National en France nous livre ici ses quatre vérités. Un brûlot décapant !

L’ancien imprimeur normand, Meilleur Ouvrier de France, passe en revue les grands enjeux de notre société et dénonce les multiples incohérences d’un système politico-médiatique à bout de souffle, en même temps qu’il apporte ses propositions et ses remèdes pour la France en crise et bien malade.

C’est du Le Rachinel tout craché et cela donne à réfléchir…

POUR L'ACHETER, CLIQUEZ ICI

10:05 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chambéry, la Savoie, la France se réveillent avec Eric Zemmour

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Journal du chaos

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Pour télécharger, cliquez ICI

 

Aidez Le Journal du Chaos à continuer à vous informer...

Notre ami et compagnon de route depuis plusieurs années, Patrick Parment, qui assume seul la rédaction du Journal du Chaos, a de plus en plus de mal à en assurer la réalisation de celui-ci en raison des contraintes financières qui deviennent de plus en plus lourdes.

Aussi Synthèse nationale, dont il est également l’un des rédacteurs assidus, se solidarise avec lui et fait appel à votre générosité pour l’aider à poursuivre sa tâche et continuer de nous donner. des informations débarrassées des scories médiatiques des milieux officiels.

Pour ce faire, vous pouvez faire un chèque, du montant de votre choix, à l’ordre de Synthèse nationale en précisant que vous venez en aide au Journal du Chaos (Synthèse nationale – BP 80135 – 22301 Lannion PDC)Les dons lui seront retransmis automatiquement. Vous pouvez aussi lui demander son RIB afin de lui faire un virement : lesanars@orange.fr

Le travail qu'effectue notre ami Patrick est remarquable. Mais il faut savoir que celui-ci lui prend énormément de temps et nécessite des investissements considérables (en particulier pour se doter de sources d'informations fiables). 

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La victoire de la droite est possible !

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Entretien de Robert Spieler avec Bruno Mégret dans le dernier numéro de Rivarol. Rappelons pour mémoire que Bruno Mégret fut longtemps le numéro deux du Front national avant de fonder en 1999 le Mouvement national républicain (MNR). Il nous livre ici en toute liberté son point de vue sur la campagne présidentielle où il a fait le choix de soutenir Eric Zemmour.

Lire la suite ICI

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vendredi, 25 février 2022

Le baril à 100 $ ? Merci Joe !

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Pieter Kerstens

Quand il a reconnu l’indépendance des Républiques autonomes de Lougansk et de Donetsk, le président de la Russie a dû se souvenir de ce que les Américains et l’Alliance Atlantique ont appliqué ces trois dernières décennies, ailleurs sur la Planète.

En effet, depuis 1991 et la première invasion de l’Irak, sous des motifs futiles, nous avons assisté aux interventions armées de l’OTAN et des USA en Serbie, en Irak une seconde fois, en Afghanistan, en Lybie et en Syrie.

Pour rétablir la « Démocratie » ? Certes non ; essentiellement pour des motifs économiques au goût de pétrole et d’odeur de gaz. Vladimir Poutine a également appliqué le proverbe « la raison du plus fort est toujours la meilleure ! »

Parce qu’aucun des responsables américains ou européens n’a osé le menacer de frappes de missiles atomiques sur Moscou ou Smolensk, Perm, Omsk, Novossibirsk, Irkoutsk ou encore Vladivostok, ce qui aurait calmé ses ardeurs et ses rêves de conquêtes impériales.

Poutine est un joueur d’échecs dans l’âme et un excellent élève du KGB, dont la mentalité slave n’a rien de comparable aux tergiversations des adeptes « Droits-de-l’Hommiste », du multiculturel et de la démocrasse occidentaliste. Ses visions et stratégies à long terme concernent en priorité la sécurité de l’espace russophone qui, après l’effondrement de l’URSS, avait été garanti en 1990 par les occidentaux en interdisant l’expansion de nouvelles bases de l’OTAN aux portes de la Russie.

Il suffit de lire aujourd’hui une carte des installations militaires de l’Alliance Atlantique pour voir que de l’Est de la Turquie jusqu’au golfe de Finlande, la Russie est encerclée par des forces armées aux ordres des USA, ce qui ne provoque pas l’enthousiasme des dirigeants russes.

Quand Joe Biden a remplacé Donald Trump aux Etats-Unis, on s’attendait à ce que la paix puisse se rétablir dans les régions en conflits, auxquels participent les Américains, ce qui est loin d’être le cas.

En Europe, les responsables du Conseil des chefs d’Etat et de gouvernement, de la Commission européenne ou du Conseil de l’Europe, dont est membre la Russie, ont fait la preuve de leur incompétence et de leur suffisance en menaçant Vladimir Poutine de sanctions supplémentaires à celles appliquées depuis 2014, en armant l’Ukraine et en excitant les velléités belliqueuses des pays limitrophes, ce qui confirmait les anticipations du président russe qui applique l’adage de Cicéron : « si vis pacem, para bellum », car aucun soldat européen ou de l’Otan ne sera disposé à se battre pour sauver Kiev ou Marioupol, plus préoccupé par sa gamelle.

Le malheur des uns fait le bonheur des autres.

Et en priorité celui des producteurs de pétrole et de gaz et des exportateurs de matières premières comme le lithium, le cobalt, le nickel, le cuivre ou le manganèse, mais aussi du blé, du soja, du maïs ou de l’huile de palme.

A 100 $ le baril, les pétroliers texans et les producteurs de gaz et de pétrole de schiste canadiens se frottent les mains, comme les monarques du Moyen-Orient ou le Venezuela, le Nigéria, la Libye, l’Iran, ou la Norvège.

Après une baisse considérable des prix des hydrocarbures en 2020, de nombreux pays exportateurs assistent à des rentrées financières inespérées. Et pour les amateurs de sensations fortes, la Bourse offre de nombreuses opportunités, car « on achète au son du canon »…

Pour leur part, les pays consommateurs et dépendants des importations de matières premières verront encore leurs balances commerciales se dégrader et les automobilistes, tout comme les citoyens consommateurs, en Europe particulièrement, seront obligés de mettre la main au portefeuille pour se chauffer, se véhiculer, s’éclairer ou s’alimenter.

En période électorale, cette situation n’est pas idéale et dans les prochains mois on pourrait s’attendre à des conséquences imprévisibles. Après la trouille du Covid-19, voici la peur de l’envahisseur !

15:19 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Russie-Ukraine, les frères ennemis…

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Roland Hélie

En octobre 2014, suite au précédent conflit russo-ukrainien, nous avions consacré un numéro (n°37) à ce sujet. Vous pourrez lire (ou relire) ci-dessous la présentation du dossier que nous avions publié. Quelques exemplaires de ce numéro sont encore disponibles, vous pouvez les commander en cliquant ici

Nous abordons dans cette 37e livraison de Synthèse nationale l’épineux conflit qui secoue actuellement l’Ukraine. Depuis bientôt un an ce pays est quasiment en proie à une guerre civile qui devrait aboutir à sa partition.

Dans un récent éditorial (cf. Synthèse nationale n°34) j’avais déjà évoqué ce conflit. Celui-ci est complexe et force est de reconnaître que chacun peut avoir ses bonnes et aussi ses mauvaises raisons.

Les Ukrainiens ont en mémoire le lourd tribut qu’ils durent payer à l’Union soviétique dans les années 30. Plus de six millions de personnes moururent alors en raison de l’effroyable famine engendrée par la faillite du système communiste…

Les Russes, aujourd’hui sortis non sans difficultés de l’ère soviétique, retrouvent pour leur part leur fierté et un début de prospérité. Ils ne tiennent donc pas à voir naître à leurs portes des Etats qui se rangeraient ouvertement dans le camp américano-mondialiste.

Tout l’enjeu de ce conflit est bel et bien là. L’Ukraine est le maillon faible de la région. Depuis son indépendance, il y a près d’un quart de siècle, elle n’a jamais réussie à avoir un gouvernement stable. La corruption est généralisée et l’Etat est totalement dévalué. Les mondialistes ont parfaitement compris la situation et ils se servent volontiers de ce malheureux pays pour « chatouiller » la Russie et tenter de discréditer son Président.

Fort de sa popularité (82% de satisfaction selon un récent sondage – même chiffre que celui des insatisfaits en France de Hollande) Vladimir Poutine contrattaque en récupérant la Crimée, que Nikita Khrouchtchev avait offert en 1954 à ce qui était alors la République socialiste soviétique d’Ukraine, et en soutenant la République populaire du Donbass récemment proclamée dans la partie où les russophones sont majoritaires.

Alors qu’elle doit être la position des nationalistes français dans tout cela ?

Tout d’abord nous ne pouvons que regretter que deux peuples frères en soient arrivés à se battre entre eux. Ce genre de conflits qui opposent deux peuples européens ne peut que desservir notre civilisation déjà tant menacée.

Quelques-uns soutiennent les nationalistes ukrainiens. Cela peut sembler logique. Entre nationalistes, on devrait être fait pour s’entendre. C’est le côté romantique de certains de nos amis... On ne va pas se fâcher pour cela. On demandera juste un peu de réflexion.

Etre nationaliste, c’est avant tout défendre les intérêts de son propre pays. Or, le monde est à nouveau divisé en deux. D’un côté, il y a ceux qui veulent uniformiser la planète en édifiant un ordre mondial à la botte de la Haute finance apatride et de l’autre ceux qui, comme nous, refusent ce projet funeste. Dans l’état actuel des choses, force est d’admettre que la Russie est le plus important obstacle aux manœuvres des mondialistes. Nous ne devons donc pas nous laisser entrainer dans une quelconque dérive idéaliste et avoir une vision réaliste des choses.

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Eric Zemmour et le conflit russo-ukrainien

00:40 Publié dans En Europe et ailleurs..., Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 24 février 2022

Sur la crise sanitaire : un livre non-conformiste co-signé par Philippe Randa et par Bernard Plouvier

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Terrible réquisitoire contre la gestion de la crise du Covid : deux ans que dure cette « dinguerie » que Jérome Salomon, toujours directeur général de la Santé à ce jour, osa comparer, sans crainte du ridicule, à la peste de 1347… « Les Français ont la mémoire courte », disait un Maréchal qu’il est politiquement in­cor­­rect de citer désormais ; « Les Français sont des veaux », affirmait un Général auquel tout le monde se croit obligé de faire référence maintenant. D’où l’idée venue à Ber­nard Plouvier et à Philippe Randa de rassembler leurs écrits, articles ou entretiens pour raviver la mémoire défaillante de leurs compatriotes, contredire la culpabilisation à leur encontre et dynamiter les mensonges qui leur font tant de mal depuis des mois…

Covid-19. Incompétence, panique et gros mensonges

La pandémie de coronavirus a donné lieu à une panique planétaire orchestrée par les politiciens de l’Organisation Mondiale de la Santé. Rares furent les pays, comme le Japon et la Suède, où les gouvernants gardèrent leur sang-froid. Ce ne fut pas le cas en France, où l’on connut l’effarant cabotinage de médecins aux avis contradictoires ; puis le show médiatique quotidien fut réservé aux seuls « experts » de la mouvance gouvernementale, une fois terminée la phase de cacophonie entre l’Élysée et des ministres déboussolés.

L’on changea de mesures, puis de protocoles et l’on généralisa la pratique de vaccins, en partie issus du génie génétique, avec une totale incertitude quant aux effets à moyen et long termes de cette chimère biologique : l’on a osé injecter de l’acide nucléique viral à des humains.

Certains esprits contestant mesures et principe, Emmanuel Macron enrage au point de se laisser aller à des invectives scatologiques à l’encontre de tous les réfractaires à la soumission envers les apprentis-sorciers des laboratoires pharmaceutiques, grands gagnants de cette folie collective, où l’on foule aux pieds les principes de l’immunologie et plombe les économies nationales.

Bernard Plouvier, en tant que médecin, et Philippe Randa en tant que chroniqueur politique, ont beaucoup écrits sur la Covid-19… D’où l’idée de ce Verbatim de leurs écrits, articles ou entretiens pour raviver la mémoire défaillante de leurs compatriotes et contredire les insultes prononcées à l’encontre de plusieurs millions d’entre eux.

Autant que leurs écrits, ce sont leurs dates de parution qui importent : elles confirment que, dès les premiers temps de cette pandémie et contrairement à ce que continuent d’affirmer, sans la moindre honte, politiciens et certains « spécialistes » dont la seule parole est autorisée, cette pandémie ne méritait en aucun cas la gestion alarmiste qui a été imposé aux populations… avec les dramatiques conséquences psychologiques, économiques et criminelles (maladies détectées trop tardivement, opérations reportées, etc.) dont il faudra bien établir tôt ou tard la macabre liste qui ne cesse de s’allonger…

Verbatim d'un délire sanitaire, Philippe Randa et Bernard Plouvier, Dualpha, février 2022, 244 pages, 25,00 € + 5,00 € de port.

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Le journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Éric Zemmour : « Cette élection est notre dernière chance »

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Entretien publié dans Le Figaro du 22 février 2022 avec Charles Sapin et Albert Zennou cliquez ici
 
Le candidat de Reconquête ! dit vouloir ouvrir « une troisième page de l'histoire de la Ve République » .
 
LE FIGARO. - Le déclenchement d'un conflit armé sur le continent, en Ukraine, est-il inéluctable, selon vous ?
 
Éric ZEMMOUR. - Non, une nouvelle guerre sur notre continent doit absolument être évitée. La responsabilité de cette situation incombe d'abord à la Russie qui vient de violer la souveraineté de l'Ukraine, mais est aussi le résultat de la politique menée par les Occidentaux et l'Otan, qui n'ont cessé d'ignorer les préoccupations sécuritaires légitimes de la Russie en refusant tout dialogue sérieux sur l'ordre de sécurité européen. L'absence d'une puissance d'équilibre prive le monde d'une voix crédible pour proposer une médiation. Si elle redevient la puissance d'équilibre indépendante qu'elle doit être, la France a un rôle à jouer dans la recherche d'une solution négociée. Je l'ai dit depuis le 14 février : dès mon élection, je proposerai à la Russie et à tous les États européens qui le voudront la négociation d'un traité consacrant la fin de l'expansion de l'Otan en échange de la résolution des conflits territoriaux en Europe orientale, du respect de la liberté et de la souveraineté de tous les États concernés, y compris l'Ukraine, et d'un retrait des troupes russes à la frontière de l'Ukraine.
 
Vous avez décliné vos propositions quant à la transmission d'entreprises. Qu'en est-il de la propriété immobilière ?
 
Emmanuel Macron n'aime pas la propriété : il veut que l'argent circule et déteste qu'il s'enracine. Je veux exactement le contraire : je veux favoriser l'enracinement en France et la transmission familiale. Je m'inquiète que le taux de propriétaires n'augmente pas depuis dix ans, alors que les Français aspirent tellement à posséder leur maison ou leur appartement. Je veux que les foyers qui achètent leur premier logement soient exonérés de droits de mutation. De plus, rien n'est fait en France pour défendre les propriétaires qui sont taxés à chaque étape de leur détention : à l'achat, sur les loyers, sur la vente. Je vais vous dévoiler une mesure. Aujourd'hui, lorsque vous vendez un appartement qui n'est pas votre résidence principale et que vous le possédez depuis moins de trente ans, vous devez payer 19 % d'impôts sur le revenu et 17,2 % de CSG. Je veux exempter d'impôt sur la plus-value la vente d'un bien immobilier au bout de quinze ans de détention, contre trente ans depuis Nicolas Sarkozy. De plus, je sortirai la résidence principale du calcul de l'impôt sur la fortune immobilière. Il n'est pas juste que certains propriétaires soient tout à coup imposables en raison de la hausse démesurée des prix de l'immobilier et du foncier s'agissant de leur habitation principale. Sur les droits de transmission, je veux porter à 200 000 euros au lieu de 100 000 la limite de dons à chaque enfant, tous les dix ans au lieu de tous les quinze ans aujourd'hui. Je veux que cela bénéficie aussi aux grands-parents avec leurs petits-enfants. Je propose également une franchise pour ne pas payer de droits de transmission, quand il y a un décès, jusqu'à 200 000 euros par enfant. Ainsi, 95 % des Français ne paieront plus de droits de succession.
 
Vous revendiquez-vous de la doctrine libérale sur le plan économique ?
 
Je suis un pragmatique. Je ne me revendique d'aucune école. Si être libéral c'est être pour la liberté de marché et d'entreprendre, je le suis, comme quasiment tous les Français. Si être libéral, c'est avoir le dogme de la concurrence et se soumettre à la mondialisation heureuse, je n'en suis pas. En réalité, le mot « libéralisme » a été tellement dévoyé qu'il ne veut plus rien dire. On traite souvent le général de Gaulle de colbertiste, de dirigiste. Mais lorsqu'il était au pouvoir, les prélèvements obligatoires étaient à 33 % ! Je pense profondément que notre premier problème économique c'est l'impôt et les charges. Il est complètement fou d'avoir 47 % de taux de prélèvements obligatoires. Il faut baisser les charges et les impôts pour rétablir la compétitivité de nos entreprises. Comme pour permettre d'augmenter le salaire net, anormalement bas en France. Les chefs d'entreprise que je rencontre me disent tous la même chose : il faut augmenter le salaire net sans augmenter le salaire brut chargé. C'est l'équation que je cherche à résoudre dans mon programme économique. C'est pourquoi je propose une prime zéro charge pouvant représenter jusqu'à trois mois de salaire net ; une baisse de la CSG pour les salaires de moins de 2 000 euros, qui concerne 50 % des salariés, des fonctionnaires et des indépendants. Je veux le retour de la philosophie « travailler plus pour gagner plus » , avec les heures supplémentaires défiscalisées. Le corollaire de tout cela, c'est le refus de la lutte des classes. Je veux rassembler les classes populaires et les bourgeois patriotes. C'est la seule façon de rassembler, puis de gouverner.
 
Selon vous, le véritable clivage se situe entre vous et Emmanuel Macron ?
 
Il y a une opposition frontale entre Emmanuel Macron et moi sur notre vision de la France. Pour lui, la France est un simple territoire. Peu importe qui y est, qui y était, qui y sera... Pour lui, « il n'existe pas de culture française » mais des cultures en France. Il faudrait « déconstruire l'histoire de France » . Cette conception fait d'Emmanuel Macron l'idiot utile de l'islamisation du pays. À force de considérer que la France est un territoire neutre, un McDonald où chacun vient comme il est, c'est le nombre, et donc la démographie qui l'emportera. Je pense qu'il faut défendre au contraire l'histoire de la France éternelle qui a 1 500 ans. Cette conquête de l'Église, façonnée par sa langue, par sa littérature, par ses paysages, produit des hommes et des Français.
 
La maison royale des Bourbon-Parme vous a accordé son soutien au motif que vous glorifiez la France plutôt que la République. Vous clôturez vos discours par « et surtout vive la France » . Que représente la République, n'est-t-elle pas indissociable de la France ?
 
Je suis très fier de ce soutien. « La République, notre royaume de France » , disait Péguy. Il y a une continuité évidente entre la monarchie, l'Empire et la République. Ce sont les quarante rois qui ont fait la France, Napoléon qui l'a organisée, et la République qui s'inscrit dans cet héritage. Je n'ai évidemment rien contre la république. Je suis un républicain. En revanche, je veux que la république soit française. Ni italienne, péruvienne ou islamique. C'est pour cela que je dis « et surtout vive la France » . Jean-Luc Mélenchon me parodie en disant « et surtout vive la République ». C'est une question essentielle qui hante la République depuis la Révolution. Est-elle l'héritière de la France et d'une tradition millénaire comme je le crois ? Ou est-ce un simple régime ? Dans ce cas, la République peut être islamique. C'est Roubaix. C'est la République de Jean-Luc Mélenchon qui, en toute conscience, l'accepte et la glorifie sous le terme de créolisation. En n'arrêtant pas l'immigration, en 2050, la France sera le Liban en grand, une république islamique ensuite. Les lois de la démographie sont implacables si on n'y oppose pas la politique. C'est pour cela que je suis candidat.
 
Vous vous faites le chantre depuis de nombreuses années d'une union à droite. Cette promesse n'est-elle pas aujourd'hui compromise par le déséquilibre dans l'origine de ceux qui vous rejoignent. Plutôt qu'être un pont entre LR et RN, n'êtes-vous pas en train de bâtir un RN bis ?
 
Cette impression est une illusion d'optique. Nous avons reçu de nombreux ralliements venus du RN mais nous avons aussi beaucoup de ralliements venus de LR comme Guillaume Peltier, ancien numéro 2 du parti et porte-parole de Nicolas Sarkozy. Comme l'ancien député LR Nicolas Dhuicq, qui m'a rejoint hier, ou comme Philippe de Villiers, ancien ministre de Jacques Chirac. Il y en aura d'autres. Pour l'instant, les logiques partisanes bloquent quelques-uns. Avant le premier tour ou après, je suis convaincu que des personnalités issues de LR choisiront leur pays avant leur parti. Au second tour, il leur faudra faire un choix entre appeler à voter Emmanuel Macron. Ce que fera Valérie Pécresse à 20 h 02. Et appeler à voter pour moi. Ceux qui ne voudront pas appeler à voter Emmanuel Macron auront cette responsabilité face au pays, ils ne pourront ni voter blanc ni s'abstenir. Car cette élection est notre dernière chance.
 
Que répondez-vous à ceux qui assurent que votre qualification au second tour est la certitude d'une réélection d'Emmanuel Macron ?
 
La question du second tour ne se pose pas encore. Beaucoup de Français ne sont pas encore dans le premier. Si on croit les sondages, Emmanuel Macron gagne dans tous les cas. En novembre 1980, Valéry Giscard d'Estaing est à 60 % dans les sondages et François Mitterrand à 40. Nicolas Sarkozy était donné en février 2012 à 40 % contre François Hollande, pour ne finalement perdre qu'à un point et demi. Et je persiste à croire que s'il avait osé transgresser davantage sur l'immigration, c'est-à-dire proposer ce que je propose, il aurait été réélu. Ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas d'enjeu. Ni que j'ai gagné, mais que c'est possible. Tout sera une question de dynamique et elle est pour l'instant pour moi. Je constate d'autre part, partout où je passe, que les gens attendent le match. Le débat du second tour entre Emmanuel Macron et moi. Tout le monde m'en parle. Ils ont raison, ce sera un véritable affrontement idéologique sur la civilisation que nous voulons.
 
En cas d'échec à l'élection présidentielle, resterez-vous à la tête de votre force politique ?
 
Je n'abandonnerai jamais 110 000 Français et des millions de gens qui votent pour nous et me disent « sauvez-nous ! » . Avec Reconquête ! nous ouvrons une troisième page de l'histoire de la Ve République. La première partie a été marquée par un affrontement entre le gaullisme et le Parti communiste, sur fond de guerre froide. Cette période s'est achevée avec François Mitterrand qui a renversé la malédiction en rassemblant communistes et socialistes. Il perd d'un souffle en 1974 mais réussit cette recomposition et gagne en 1981. Je pense que j'ouvre une troisième période. Ni Marine Le Pen, ni Valérie Pécresse ne veulent sortir de leurs boutiques. Moi, je veux rassembler toute la droite d'abord, puis tous les Français.

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Ukraine, Afghanistan, Irak, Libye, Syrie, implications et compromissions !

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Jean-Loup Izambert et Claude Janvier.

Auteurs du livre "Le virus et le président", IS édition. Extrait du chapitre 8.

Emmanuel Macron, à propos de la crise ukrainienne, joue à cache-tampon entre Joe Biden et Vladimir Poutine ! Magistrale poudre aux yeux juste destinée à ce que vous votiez prochainement pour lui en avril ou l'un de ses complices. 5 ans de règne sans dialogues, sans partages, - sauf avec ses amis et relations - et sans compassions. Vous croyez que l'on exagère ? Lisez ce texte documenté issu du chapitre 8 de notre livre "Le virus et le président", IS édition, et faites vous votre propre opinion.

« Nous sommes en guerre ». En écoutant Emmanuel Macron prononcer ces mots à six reprises avec un ton martial lors de son allocution du 16 mars 2020, nous étions inquiets.

Car en effet, un énarque-bancarisé en costard-cravate qui parlotte sur la guerre, ça fout le trouille.

Ça fout la trouille pour la simple raison qu'un tel chef des armées, constitutionnellement parlant, élevé au biberon de l'ENA et poudré-finance « pour plaire un peu comme une prostituée » – c'est lui qui l'a dit (1) – dans les allées de la Rothschild ne peut que nous la faire perdre.

Surtout celle contre la "pandémie"; du SRAS-CoV-2. Du reste, celle-ci était déjà perdue d'avance pour cause de bousillage du budget de la Santé depuis des décennies. Donc, pas de gros soucis. Il restait juste à compter les morts, dont la plupart auraient pu ne pas mourir sur ce champ de bataille du déshonneur.

Nous avons pensé qu'il allait vous parler enfin du bilan de la guerre contre l'Afghanistan de 2001 à 2014 avec l'OTAN. Pas vous ? Non, c'est vrai, vous êtes complètement désinformés sur le sujet et vous vous contentez de payer les aventures militaires de l'Élysée contre les peuples.

L'Afghanistan, c'est loin, et officiellement terminé depuis décembre 2014. Interloqués nous fûmes. « Guerre », « ennemi invisible », « première ligne », « combat »… Nous nous sommes dit : « Tiens, il va enfin nous parler des guerres françaises en Afrique ». L'Afrique, c'est plus proche que l'Afghanistan, et la France y entretient sa vieille tradition de massacres afin de sauver régulièrement des dictateurs corrompus qui permettent à ses sociétés transnationales de piller les richesses.

Tenez, par exemple, la République démocratique du Congo (RDC), l'un des pays les moins développés du monde à force de Françafrique, détient près de la moitié des ressources globales en cobalt et assure 60 % de la production mondiale. La réglementation de cette industrie y est pratiquement inexistante, les institutions très faibles, en grande partie en raison de son histoire d'exploitation étrangère depuis la période coloniale. Le cobalt entrant dans la fabrication des batteries Lithium-ion, la décision de certains constructeurs automobiles de privilégier la voiture électrique a entraîné une augmentation considérable de la demande.

Derrière les publicités en quadrichromie des villes silencieuses et propres de ces constructeurs se cache une autre réalité, beaucoup moins belle : l'extraction du cobalt se fait dans des mines artisanales congolaises dans des conditions souvent déplorables. « Généralement, des travailleurs – y compris des enfants – creusent avec un équipement de base dans des tunnels dangereux. Alors que le risque mortel d'effondrement est permanent, ils gagnent à peine assez pour se nourrir », indique Alexander Lefteris Papadovassilakis, chercheur au Centre de Politique de Sécurité de Genève. (2) Idem pour le lithium (Bolivie, Chili, Argentine), le nickel et le graphite destinés aux producteurs des mêmes batteries, dont l'extraction dans des conditions souvent inhumaines met de plus en péril l'équilibre écologique des pays d'où ils sont extraits en détruisant des sites naturels. Pratiquement pas de Code du Travail, peu ou pas de réglementation, surexploitation…

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mercredi, 23 février 2022

Obsèques du professeur Luc Montagnier : un hommage populaire

Petit tour d’horizon, devant la coupole du Père-Lachaise :

le reportage de FranceSoir

Et celui de Boulevard Voltaire :

Ce mardi 22 février après-midi avaient lieu au cimetière du Père-Lachaise, les obsèques du professeur Luc Montagnier. L’annonce de son décès avait été traitée avec une certaine indifférence par les médias de grand chemin, qui avait d’ailleurs tardé à s’en faire l’écho. On ne s’étonnera donc pas de leur absence ce jour dans le célèbre cimetière parisien.

Au moment où cet article est rédigé, seul Ouest-France relaie l’information, en s’appuyant sur les réseaux sociaux pour les images et n’en oubliant surtout pas de rappeler que ce scientifique célèbre dans le monde entier était « controversé », ce qui semble bien pour eux être l’info la plus importante à rappeler.

En l’absence aussi de tout représentant du gouvernement, pas même le ministre de la Recherche, c’est donc un hommage strictement populaire qui lui a été rendu, une foule importante ayant fait le déplacement pour lui dire merci et au revoir. Le professeur Christian Perronne et Jean-Dominique Michel étaient présents, de même que Martine Wonner et quelques autres résistants moins médiatiques. Mais somme toute peu de représentants du peuple.

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Source et article complet sur E&R

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Il manque 50 signatures, il reste quelques jours... Eric Zemmour s'adresse aux maires de France

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À quand des vaccinoriums ?

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La chronique de Philippe Randa

On ne dit pas « enfermer », n’est-ce pas ? Le terme est bien trop violent pour notre société de bisounours… enfin, de bisounours parfois quelque peu agressifs, comme ces voix qui s’élèvent pour réclamer de confiner les non-vaccinés, à l’exemple de l’Autriche qui a montré le vilain exemple en novembre dernier : tous les non-vaccinés étaient assignés à résidence… et, aux États-Unis d’Amérique, patrie auto-proclamée de la Liberté avec un grand « L », près de 40 % des démocrates seraient d’accord de « foutre tout ce misérable monde » en quarantaine, tandis qu’ils ne seraient que 30 % à nourrir de telles charitables intentions en Grande-Bretagne.

Et en France ? Valérie Pécresse et Xavier Bertrand, à l’époque tous deux candidats à l’investiture LR, l’envisageaient « au cas où », tandis que Christophe Castaner, président du groupe LREM à l’Assemblée nationale, n’en rejetait pas l’hypothèse.

D’autres suggèrent désormais la fin des soins gratuits pour les non-vaccinés… sans évidemment qu’il soit question de leur rembourser les cotisations obligatoires qu’ils ont payés des années durant ; c’est la proposition de Martin Hirsch, directeur général de l’AP-HP : « Les non-vaccinés doivent-ils bénéficier des soins gratuits ? » Brave gars, va !

Tout ce tohu-bohu m’en rappelle un autre, vieux d’une quarantaine d’années : dans les années 80, le Sida, maladie effrayante, faisait alors la Une des médias. Jean-Marie Le Pen préconisa la création de sidatoriums – comme il existe des sanatoriums pour les tuberculeux pulmonaires – afin d’isoler les porteurs du VIH et protéger ainsi le reste de la population.

Bonne ou mauvaise solution, chacun est libre d’en penser ce qu’il veut, mais au moins le leader du Front national ne refusait (évidemment !) pas qu’on soigne les malades, ni qu’on leur refuse une gratuité de soins à laquelle tout Français cotisant a droit…

Et pourtant ! Que ne l’a-t-on traîné dans la boue : les médias déchaînés comparèrent les sidatoriums – mais étrangement pas les sanatoriums – à des camps de concentrations et une telle stigmatisation des malades à une odieuse discrimination nous rappelant, bien sûr, les heures les plus sombres de…, etc., etc.

Comme quoi un « bien-pensant » d’aujourd’hui peut préconiser de faire bien pire que ce qu’un « mal-pensant » d’hier proposait sans déclencher les mêmes réactions d’hystéries.

Lisez EuroLibertés cliquez là

02:24 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 21 février 2022

Ottawa – Freedom Convoy : la presse canadienne se fait le porte-voix du gouvernement Trudeau

Devant l’actualité qui s’accélère autour du Convoi de la liberté canadien, Alexis Cossette a mis en ligne une nouvelle vidéo depuis celle réalisée il y a deux jours, ce samedi 19 février. Nous la mettons aussitôt à disposition de nos lecteurs.

La presse canadienne, anglophone ou francophone, s’est faite le servile relais de la propagande gouvernementale, à un point tel que même la presse étrangère alignée – dont le New York Times – s’est fendu d’articles critiques sur les choix du gouvernement Trudeau et sur la diabolisation injuste d’un mouvement pacifique. Retour en images sur le mouvement des camionneurs maté par la force et le mensonge médiatique.

Retrouvez ci-dessous l’interview de Mike Lindell citée dans le Web-journal d’Alexis Cossette :

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Mali : les éthers idéologiques expliquent l’éviction de la France

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Bernard Lugan

Le vendredi 18 février 2022, la junte militaire au pouvoir à Bamako a exigé que le départ des forces de « Barkhane » se fasse immédiatement, et non pas par étapes, comme l’avait annoncé le président Macron. Comment en sommes-nous arrivés à une telle situation et à une telle rupture ? 

Comme je ne cesse de le dire et de l’écrire depuis des années, notamment dans mon livre Les Guerres du Sahel des origines à nos jours, au Mali, les décideurs français ont additionné les erreurs découlant d’une fausse analyse consistant à voir le conflit à travers le prisme de l’islamisme. Or, ici, l’islamisme est d’abord la surinfection de plaies ethno-raciales millénaires qu’aucune intervention militaire étrangère n’était par définition en mesure de refermer. 

De plus, au moment où de plus en plus d’Africains rejettent la démocratie à l’occidentale, la France s’arc-boute tout au contraire sur cette idéologie vue en Afrique comme une forme de néocolonialisme. Plus que jamais, les dirigeants français auraient donc été inspirés de méditer cette profonde réflexion que le Gouverneur général de l’AOF fit en 1953 : « Moins d’élections et plus d’ethnographie, et tout le monde y trouvera son compte »… En un mot, le retour au réel africain et non l’incantation aux idéologies plaquées. 

 Voilà la grande explication de ce nouvel échec français en Afrique. Sans même parler du refus bétonné de simplement s’interroger sur les arguments de la junte malienne. Immédiatement clouée au pilori par Paris qui ne lui laissa aucune marge de manœuvre, cette dernière fut automatiquement acculée à une fuite en avant maximaliste afin de ne pas perdre la face. Les petits marquis qui font la politique africaine de la France devraient pourtant savoir qu’en Afrique, la priorité des priorités lorsque l’on entre en contentieux, est de ne jamais faire perdre la face à son interlocuteur. Mais cela ne s’apprend pas à Science-Po…

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IL ARRIVE ! Le nouveau numéro (n°59) de la revue Synthèse nationale est sorti, les abonnés vont très vite le recevoir...

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Et, si vous n'êtes pas encore abonné : cliquez ici

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dimanche, 20 février 2022

Jean-Claude Rolinat prendra la parole le samedi 12 mars au meeting du Parti de la France

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14:25 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Devant le Mont-Saint-Michel, Eric Zemmour s'impose comme le seul candidat crédible face au Système mortifère de Macron

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Eric Zemmour et Nicolas Bay à Pontorson (50) entourés par les responsables normands parmi lesquels nous reconnaissons nos amis Franck Buleux et Emmanuel Camoin.

11:53 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 19 février 2022

Pourquoi la Russie rêve de prendre d’assaut l’ordre européen

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Fiodor Loukianov et Thomas Gomart

 Le président du Conseil pour la politique étrangère et de défense russe et le directeur de l’Institut français des relations internationales ont accepté de décrypter ensemble la « guerre politique » qui fait rage entre la Russie et l’Occident, ainsi que la crise ukrainienne. L’intellectuel russe, considéré comme influent au kremlin, affirme que la Russie n’envahira pas l’Ukraine car il s’agit d’un « grand bluff » de Poutine pour forcer une révision du statu quo en Europe. Mais il campe le cheminement intellectuel et stratégique d’une russie à la fois forte et désinhibée qui a bien l’intention de « réviser l’ordre de sécurité européen » qui lui a été imposé en 1991 alors qu’elle était en position de faiblesse. Loukianov dit noir sur blanc que l’idée de Moscou est de rétablir en Europe, « sans rideau de fer ni accessoires d’une confrontation stupide», « une ligne de division » « soft » mais « claire » «entre deux sphères de sécurité» avec «une zone tampon possible que devrait constituer l’Ukraine». Il affirme que l’option d’une finlandisation pourrait être négociée « avec toutes les garanties de sécurité » si Kiev en acceptait le principe. notant que la Russie est incapable de faire face à son histoire soviétique et au désir de ses voisins « d’échapper au tragique » et à la sphère d’influence russe, Thomas Gomart constate, lui, le « défi stratégique et conceptuel » qui se pose à l’Occident. La Russie dispose d’un « instrument militaire agile », qui a « changé la donne », et elle est prête à utiliser la force militaire si nécessaire, note-t-il.

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Source : Le Figaro 18/02/2022

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