mardi, 29 mars 2022
Robert F. Kennedy, Jr. s'adresse aux Français
Robert F. Kennedy, Jr. « Les Français doivent comprendre qu’il s’agit d’un projet mondialiste pour créer une technocratie permanente qui nous gouvernera au profit des grandes entreprises plutôt que pour l’esprit humain, l’âme et la dignité humaines et la santé publique.
J’ai écrit ce livre pour que les Américains, qu’ils soient démocrates ou républicains, puissent comprendre le rôle pernicieux du Dr Fauci, qui permet aux entreprises pharmaceutiques d’asservir notre gouvernement et de subvertir notre démocratie. Je l’ai aussi écrit pour relater le rôle clef joué par le Dr Fauci dans le coup d’État qui se joue actuellement contre la démocratie.»
Vous pouvez commander ce livre chez son éditeur par ICI
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Le succès d'Eric Zemmour :
15:30 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Ukraine : QUELQUES VÉRITÉS (PAS) BONNES À DIRE
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Indépendamment des pertes humaines qu’il est difficile à ce jour de quantifier - civils ukrainiens, militaires des deux camps - Vladimir Poutine a commis quelques erreurs majeures d’appréciation de la situation.
La première, en surestimant les capacités de son armée, qui semble en difficulté face à une résistance acharnée, malgré ses frappes bien souvent aveugles. La seconde erreur, en sous-estimant la rage à se battre des forces ennemies. On est en droit de s’interroger sur la capacité tactique des chefs d’unités russes sur le terrain, à voir comment se sont faits « allumer » les chars sur une grande route, alignés en file indienne, comme à la parade. Pas besoin de sortir de Saint-Cyr pour deviner que l’on n’engage jamais des blindés en terrain découvert, sans avoir fait procéder à une reconnaissance de l’avant… Quelles belles cibles pour les Ukrainiens, postés en embuscades, leurs modernes Panzerfausts à l’épaule ! Il semble que la doctrine d’emploi des moyens blindés n’ait pas évolué depuis l’ère soviétique. On a vu, à l’occasion des trois dernières guerres israélo-arabes – 1956, 1967, 1973 - ce qu’il en était, déjà, sur le terrain.
Troisième faute, un comble, Poutine a contribué à redonner vie à l’OTAN, un organisme qui, selon notre « Phare de la pensée nationale » - Macron – était en « état de mort cérébrale », sans oublier qu’il a également contribué à faire se resserrer les liens distendus unissant les pays de l’Union européenne.
Quatrième erreur, par ses bombardements massifs tuant de nombreux civils, il a contribué à faire émerger une nation ukrainienne que l’on disait divisée entre Ukrainiens « pur jus », notamment du côté de la Galicie à l’ouest, et Russophones du Donbass que, justement, il se proposait de libérer.
Et, cinquième conséquence négative de ce conflit - qui nous affecte le plus tout autant que la mort de nos frères européens dans les deux camps - il retarde d’au moins une à deux bonnes décennies, sauf imprévu, tout espoir de constituer un ensemble continental pacifié de « Brest à l’Oural » comme l’exprimait De Gaulle, qui ne disait pas que des bêtises. Une sorte « d’Euro-Sibérie » déconnectée de l’emprise américaine, où les nations d’Europe occidentale, indépendantes mais militairement soudées, échangeraient leurs produits finis et leurs biens de consommation courante, contre les immenses ressources minérales russes, une sorte d’échanges gagnants/gagnants.
Une consolation – pour longtemps ? – il semble qu’à part Renault qui s’est discréditée pour un bon moment - Mercédès et BMW lui tailleront des croupières lorsque la paix sera revenue ! - d’autres firmes françaises résistent aux insupportables injonctions du Président Zelensky, et restent sur le marché russe. Nous avions à Londres, le « général micro », il y a à Kiev un « Président télé » que les medias de la « bienpensance » viennent d’ériger en héros planétaire.
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Macron et la politique du grand écart
Françoise Monestier
Les hasards du calendrier ont permis à Emmanuel Macron de bénéficier des avantages de sa double casquette de président sortant et de candidat au renouvellement de son mandat lors de la cérémonie d’hommage aux victimes de Mohamed Merah, organisée à Toulouse le 20 mars dernier par le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) et son responsable régional Franck Teboul, proche du maire de la ville. Flanqué de son épouse, le président de la République a rendu hommage aux victimes, quatre juifs dont trois enfants, deux militaires musulmans et un soldat catholique, en évoquant simplement « une vision dévoyée de l’islam » pour qualifier la tuerie perpétrée par celui que l’on avait d’abord présenté comme le « tueur au scooter ».
L’ombre de la Shoah
« Depuis dix ans, face aux drames, face à leur répétition, nous n’avons pas baissé la tête. [...] Nous n’avons rien cédé, rien abandonné, sûrs et fiers de nos valeurs, recherchant sans trêve l’équilibre ente la défense de nos libertés et le renforcement de notre sécurité », oubliant, pêle-mêle, Charlie Hebdo, Magnanville, le Bataclan, Samuel Paty ou nos soldats victimes des tueurs islamistes. En revanche, il a rappelé, en s’adressant au président israélien Isaac Herzog qui avait fait le déplacement depuis Jérusalem, que le Parlement s’est abrité fin 2019 sous le parapluie de l’ Alliance internationale pour la mémoire de la Shoah pour définir l’antisémitisme afin de lutter contre « ses formes les plus insidieuses, les plus pernicieuses comme les plus désinhibées ». L’occasion rêvée pour Franck Teboul, après avoir demandé une minute de silence pour l’Ukraine, de s’en prendre violemment, sans le nommer, à Zemmour, déplorant que « les vieilles thèses ressurgissent », évoquant ses propos visant « l’innocence d’un capitaine » ou l’idée qu’un « traître puisse être considéré comme un bouclier ». Pendant ce temps-là, les horreurs commises aux cris d’« Alla-hou Akbar » passaient au second rang et le CRIF peut continuer à tirer les ficelles.
Fausses notes ?
Des esprits chagrins noteront qu’aucun hommage n’a été rendu, pour cette commémoration, aux trois militaires abattus par Merah qui avait soigneusement préparé sa tuerie. « Ils n’ont rien fait et je pleure. J’ai perdu un fils de trente ans, un fils de la République », déplore Latifa Ibn Ziaten qui a regretté l’absence de paroles spécifiques pour les soldats. François Hollande n’avait pas fait mieux en 2012, en qualifiant de musulman le catholique Abel Chenouf, un des trois militaires tués par Merah, provoquant la réaction de son père qui condamnait « l’inculture, l’agression verbale et le mépris » de l’ancien président.
Autre fausse note dans cette cérémonie, l’hymne israélien a été chanté avant notre Marseillaise et Emmanuel Macron a invité le grand rabbin de France à réciter le kaddish, la prière prononcée pour les morts dans la religion juive, sans convier les représentants de la religion catholique et de la religion musulmane à faire de même pour les autres victimes.
Trois jours plus tard, le même Emmanuel Macron s’indignait, après la mort de Colonna, violemment agressé par un Camerounais djihadiste dans sa prison d’Arles, que les étendards aient été mis en berne par la collectivité de Corse, oubliant qu’en 1953 ces mêmes symboles de la République l’avaient été pour la mort de Staline (des millions de morts au compteur) et en 2013 pour Mandela. Histoire sans paroles.
Source : Présent 29/3/2022
15:04 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Allemagne. Le cabinet McKinsey a conseillé le gouvernement Merkel sur l’accueil des migrants… contre 30 millions d’euros
SOURCE BREIZH-INFO cliquez ici
Le cabinet de conseil McKinsey, n’ayant versé aucun impôt en France depuis au moins 10 ans malgré des factures de plusieurs millions d’euros et dont l’un des responsables serait un proche d’Emmanuel Macron, est également intervenu en Allemagne. Pour conseiller le gouvernement Merkel sur l’accueil des migrants. Moyennant, là encore, une belle rémunération.
Quand McKinsey venait au chevet de l’Allemagne sous la pression migratoire
Puisque la France découvre progressivement (quoiqu’un peu tard) les relations troubles entre l’État français et McKinsey, il est donc temps de s’intéresser rétroactivement aux activités passées de ce cabinet de conseil en stratégie new-yorkais en Europe.
À ce titre, le cas de l’Allemagne est intéressant. Durant la crise migratoire de 2015, il s’avère que McKinsey a conseillé le gouvernement d’Angela Merkel dans sa gestion des flux de clandestins. Depuis, plusieurs titres de presse ont évoqué ces prestations de conseil.
Si le quotidien français La Dépêche s’interrogeait en février 2021 sur le rôle du « mystérieux cabinet McKinsey, qui accompagne Emmanuel Macron de la création d’En marche à la vaccination contre le Covid-19 », les projecteurs furent également braqués, cette fois par le Washington Post en juin 2017, sur la façon dont le cabinet de conseil avait « discrètement façonné la réponse de l’Europe à la crise des réfugiés ». Une réponse qui, comme en France pour les conseils en matière de stratégie vaccinale ou pour réduire les dépenses publiques, a conduit l’Allemagne à régler une facture plutôt salée à McKinsey.
Près de 30 millions d’euros pour ouvrir les portes de l’Allemagne aux migrants
Tandis que le pays était alors gouverné par la chancelière Angela Merkel, il faut donc rappeler que l’Allemagne a accueilli 1,5 million de clandestins en 2015, année marquée par ce que les responsables politiques d’Europe de l’Ouest et les médias mainstream appelèrent la « crise des migrants ». Avec la publication, dans ces mêmes médias, le 2 septembre 2015 de la photo d’un enfant syrien mort noyé, Aylan, l’objectif était alors à peine caché : faire accepter aux européens les mouvements de populations extra-européennes parmi les plus importants de l’histoire.
L’année suivante, en 2016, malgré les agressions de Cologne commises lors de la Saint-Sylvestre qui auraient dû alerter les autorités sur les conséquences néfastes de l’immigration massive, l’Allemagne accueillera un million de migrants supplémentaires.
C’est donc dans ce contexte, en octobre 2015, tandis que le pays était débordé par les flux de migrants et voyait ses structures d’accueil débordées, que l’Allemagne a eu recours aux services de McKinsey. À ce titre, Berlin a versé 29,3 millions d’euros au cabinet de conseil américain. Ce dernier a alors mené un travail en coopération avec l’Office fédéral des migrations.
La remigration, une idée que n’a pas eue McKinsey…
Parmi les projets de McKinsey figurait la mise en place de centres d’arrivée accélérée ayant la capacité de traiter les demandes en quelques jours afin d’éviter une accumulation des arriérés de dossier. À noter que le travail de la société sur les questions migratoires a également conduit ses consultants à prodiguer leurs conseils en Suède (en 2008 et 2009 pour un montant dépassant les 2 millions de dollars) et en Grèce, où, en 2017, un contrat d’un montant de 992 000 euros conclu entre McKinsey et le Bureau européen de l’asile aurait été passé sans « suivre la nécessaire procédure d’attribution des marchés publics », comme l’a notamment rapporté le journal Le Monde en 2020.
Quant aux préconisations du cabinet de conseil en matière de gestion des migrants, elles ont froissé certains experts en droit international du fait que cette gestion plus rapide des dossiers de demande d’asile aurait parfois conduit à priver les clandestins de certains droits comme celui regroupement familial.
Toutefois, pas question pour McKinsey de recommander à l’Allemagne une politique de remigration, concept popularisé depuis par Éric Zemmour. Ainsi, le centre d’études McKinsey Global Institute a publié en 2016 un rapport sur les « impacts et les opportunités des migrations mondiales. Le document décrit comment des procédures d’intégration plus efficaces pourraient stimuler les économies nationales tout en profitant aux migrants.
Voilà qui fait cher payé pour une idée répandue depuis longtemps au sein des gouvernements successifs, à savoir que l’immigration d’origine extra-européenne serait une « chance » pour nos sociétés occidentales, et plus particulièrement pour les tenants de l’économie. On connaît la suite…
13:04 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Éric Dénécé (spécialiste du renseignement) démonte Zelensky et l’OTAN
Eric Dénécé (Directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement) : "J'avoue que je suis extrêmement choqué par l'écho médiatique et l'aura que l'on donne à Volodimir Zelensky qui est un acteur, un comédien (...) qui est responsable de ce qui se passe, lui et son entourage, n'oublions pas qu'il a été élu avec les voix des Russophones en 2019, il n'a pas appliqué les Accords de Minsk pour lesquels il avait été élu, ensuite il ne faut pas oublier que c'est un homme qui avait été mis en cause par les Pandora Papers, ce ne sont pas des racontars, il est accusé d'avoir dissimulé une grande partie de sa fortune, notamment avec sa société Maltex. Dès qu'il a été élu, il a nommé Sergei Shefir, qui était son producteur, comme principal conseiller. On sait aussi qu'il est accusé d'avoir blanchi près de 40 millions de dollars de l'oligarque Kolomoisky. Donc on a là quelqu'un qui est une forme de satire, je trouve qu'il faut le dire, et qui fait une véritable politique de communication très astucieuse, mais qui commence à se retourner contre lui. On l'a vu devant la Knesset il y a quelques jours où il a comparé ce qui se passait dans l'Est de l'Ukraine à la Solution Finale, alors inutile de vous dire que pour la moitié des élus israéliens c'était un véritable scandale, il nous a rejoué un grand coup de violon devant le parlement français sûr, vous le disiez tout à l'heure, le rapport entre Marioupol et Verdun, ça ne tient pas la route, et aujourd'hui, le chef de la diplomatie ukrainienne, qui est un de ses principaux adjoints, est en train de nous dire ce qu'on doit faire, c'est-à-dire que c'est lui qui décide de provoquer un boycott contre les produits, contre les magasins Auchan en Russie… Ainsi, ces gens qui ne représentent rien, ces gens qui n'ont cessé d'être manipulés volontairement par les Américains, je parle du gouvernement ukrainien, sont aujourd'hui responsables de ce qui se passe dans leur pays. Je fais une nette différence entre cette population ukrainienne qui est victime de la guerre et ce gouvernement qui a une énorme responsabilité, et au lieu de communiquer comme il le fait, on serait plutôt en droit d'attendre de sa part qu'il présente des excuses pour avoir été, un, à l'origine de ce conflit, et finalement il contribue à l'extermination de sa population."
12:02 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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