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lundi, 29 septembre 2025

Royaume-Uni : la population explose sous l’effet d’une immigration massive

Manifestation d'extrême-droite à Londres: 110.000 personnes rassemblées,  neuf personnes interpellées

La rédaction de Breizh-Info, cliquez ici.

Selon les derniers chiffres officiels de l’Office for National Statistics (ONS), la population britannique a atteint 69,3 millions d’habitants en 2024. Une croissance record dont 98 % est directement imputable aux arrivées migratoires. Le phénomène s’accompagne d’une chute historique de la natalité, posant la question de la survie démographique et identitaire du pays.

Une croissance record, sans précédent depuis la guerre

Entre mi-2022 et mi-2023, le Royaume-Uni a connu une hausse de 755 000 habitants, soit la deuxième plus forte progression démographique depuis la Seconde Guerre mondiale. La seule année à avoir dépassé ce chiffre est celle qui l’a précédée, avec une augmentation de 890 000 personnes.

En comparaison, la croissance naturelle est dérisoire : à peine 16 239 naissances de plus que de décès, soit 2 % de l’accroissement total.

Dans le même laps de temps, 1,23 million de personnes sont venues s’installer durablement au Royaume-Uni, tandis qu’environ 496 500 ont quitté le pays. Le solde migratoire net atteint donc près de 739 000 personnes, représentant 98 % de la croissance démographique.

Contrairement à une idée reçue, la majorité de ces arrivées ne concernent pas les migrants illégaux en bateau, mais bien des flux migratoires légaux, autorisés par les politiques en place.

L’Angleterre en première ligne

Parmi les nations constitutives du Royaume-Uni, l’Angleterre concentre l’essentiel de cette poussée démographique, avec une hausse de 1,2 % de sa population en un an. Le Pays de Galles, l’Écosse et l’Irlande du Nord restent en retrait, avec des croissances inférieures à 1 %.

Alp Mehmet, président du groupe Migration Watch, a résumé la situation en des termes frappants : « Ces chiffres équivalent à ajouter chaque année une ville de la taille de Leeds. » Selon lui, le gouvernement britannique ferme les yeux sur des « niveaux catastrophiques d’immigration » et ne propose aucune stratégie pour les réduire.

Nigel Farage, figure du Brexit, a récemment insisté pour que s’ouvre enfin un débat sur l’immigration légale, qu’il juge hors de contrôle.

Les chiffres confirment une tendance de fond : faible natalité autochtone et immigration massive imposent un bouleversement démographique durable. Le politologue Matt Goodwin, en se basant sur les données officielles, estime que les Britanniques de souche deviendront minoritaires d’ici 2063. À l’horizon 2100, la proportion de Britanniques « blancs autochtones » tomberait à 22 %.

09:05 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La pétition lancée par Philippe de Villiers pour exiger un référendum sur l'immigration totalise ce matin 1.910.000 signatures. Plus que 90.000 avant les 2 millions ! Encore un effort !

Signez la pétition ! - Pour un référendum sur l'immigration

Pour signer la pétition, cliquez ici.

09:04 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Brest : une journée d’étude universitaire pour revisiter l’héritage de l’abbé Perrot

L'abbé Perrot et la Bretagne - La Nef

La rédaction de Breizh-Info, cliquez ici.

Le 14 novembre 2025, l’UFR Lettres et Sciences humaines de l’Université de Bretagne Occidentale (salle C219, Brest) accueillera une journée d’étude consacrée à l’abbé Jean-Marie Perrot (1877-1943), figure centrale du mouvement Feiz ha Breiz et fondateur du Bleun-Brug, assassiné par des communistes en 1943.

Intitulée « Un autre abbé Perrot. Nouvelles approches, nouveaux regards », cette rencontre entend dépasser les polémiques qui réduisent l’homme aux seules circonstances de sa mort, pour replacer sa vie, ses combats et sa mémoire dans la longue durée. Les communications porteront aussi bien sur ses relations avec sa hiérarchie ecclésiastique que sur son rôle de collecteur de chants, son action dans le mouvement breton, ou encore les représentations posthumes qui lui ont été associées.

Le programme de la journée

MatÀinée

  • 8h30 – Accueil des intervenants
  • Présidence : Sébastien Carney
  • 8h50-9h15 – Yvon Tranvouez : Comprendre l’abbé Perrot
  • 9h20-9h45 – Éva Guillorel : Une œuvre de jeunesse : Jean-Marie Perrot collecteur de chansons en langue bretonne en pays Léon
  • 9h50-10h15 – Erwan Le Gall : La Grande Guerre de l’abbé Perrot
  • 10h15-10h30 – Questions
  • 10h30-10h45 – Pause
  • Présidence : Daniel Le Couédic
  • 10h45-11h10 – Malo Morvan : La polémique orthographique entre Calvarin et Perrot (1929-1931)
  • 11h15-11h40 – Kristell Loussouarn : Soumission filiale et engagement : l’abbé Perrot face à Mgr Duparc
  • 11h40 – Questions

Après-midi

  • Présidence : Ronan Calvez
  • 14h00-14h25 – Sébastien Carney : Perrot, Lainé, Mordrel et les autres
  • 14h30-14h55 – Maryvonne Berthou : Perrot, l’animateur du Bleun-Brug et l’organisateur des concours scolaires
  • 15h00-15h25 – Daniel Le Couédic : Koat-keo, une si modeste chapelle…
  • 15h25-15h40 – Questions
  • 15h40-15h55 – Pause
  • Présidence : Nelly Blanchard
  • 16h00-16h25 – Frédéric Le Moigne : L’iconographie de l’abbé Perrot
  • 16h30-16h55 – Mannaig Thomas : Yann-Vari Perrot par Ar vro bagan (1985)
  • 17h00-17h25 – Thierry Guidet : Qui a tué Yann-Vari Perrot ? Genèse et réception d’une enquête journalistique
  • 17h30 – Questions et conclusion

Cette initiative universitaire survient alors que la mémoire de l’abbé Perrot reste vive en Bretagne.  Comme le rappelait récemment Youenn Caouissin, fils d’Herry Caouissin, « honorer l’abbé Perrot revient à prendre en compte sa devise Feiz ha Breiz : la foi d’abord, puis la Bretagne ».

Ainsi, aux commémorations spirituelles et militantes répond désormais un travail universitaire renouvelé, soucieux de replacer Perrot dans son temps, entre enracinement religieux, engagement breton et postérité mémorielle.

09:03 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Communiqué de la fédération Reconquête! des Deux-Sèvres après le décès à Niort d'une octogénaire violée par un jeune Afghan âgé de 20 ans

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09:03 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tribune libre : La fin justifie les moyens

Israël se prépare à "prendre le contrôle" de la ville de Gaza | France  Culture

Pieter Kerstens

Depuis sa nomination comme Premier Ministre, en 2009, jusqu’au 7 octobre 2023, les Israéliens savent que Benyamin Netanyahou a aidé le Hamas, car sa stratégie consistait à favoriser celui-ci pour lutter contre l’OLP de Yasser Arafat. Sa première décision officielle fut d’annuler la demande d’extradition de Moussa Abou Marzouk, à l’époque le plus haut dirigeant du Hamas, qui était détenu aux Etats-Unis. D’autres évènements ont montré que son objectif n’était pas de détruire l’OLP, mais d’empêcher la création d’un Etat Palestinien. Ainsi, en 2018, quand l’Autorité Palestinienne cessa de payer les fonctionnaires à Gaza, il conclut un accord avec Yahya Sinwar, alors chef militaire du Hamas à Gaza, alors emprisonné en Israël. Netanyahou donna d’abord secrètement de l’argent, puis officiellement via le Qatar. Pendant quatre ans, il versa ainsi 2,5 milliards de dollars au Hamas, ce qui lui permis de construire son réseau de tunnels et de s’armer sous les yeux du Shin Bet. Ce faisant, Israël et le Hamas obtenaient le soutien des services secrets anglo-saxons, fidèles à la stratégie énoncée en 1916 par Lord Herbert Samuel : veiller à ce que jamais ni l’Etat juif, ni l’Etat palestinien à venir ne puissent assurer seuls leur sécurité.

On remarquera que ces trois dernières années, le gouvernement israélien s’oppose farouchement à toutes les tentatives de reconnaissance d’un Etat de Palestine indépendant et souverain par les pays de la Planète et menace même ces derniers jours la douzaine de pays -dont la France et le Royaume-Uni- qui ont franchis le pas, de mesures de rétorsion. Pour Netanyahou « nécessité fait loi » et à ce titre, le 17 juillet 2024 la Knesset avait voté contre la création d’un Etat Palestinien et le 25 juillet 2025, cette assemblée a voté également pour l’annexion de la Cisjordanie à une écrasante majorité. Ces prises de position énergiques et irréfutables ne sont jamais commentées dans les médias et sur les plateaux des télévisions européennes…

Depuis toujours, l’histoire d’Israël est marquée par le mépris flagrant pour le droit international et les principes moraux.  Seuls comptent les intérêts du peuple juif envers et contre tous et si un terme définit au mieux le modus operandi de l’Etat sioniste, c’est le terrorisme. Le 31 mai 1948, Davis Ben Gourion a converti les groupes terroristes juifs -Haganah, Stern, Lehi, Irgoun et Palmach- en ce qui allait être appelé les "Forces de Défense Israélienne" (FDI). Cet homme allait devenir Premier Ministre d’Israël et ses actions ont jeté les bases de ce que beaucoup décrivent comme un Etat colonial de peuplement en Palestine. Ce fait résume l’essence même de l’Etat d’occupation aujourd’hui, illustrant de manière frappante les racines violentes et aveugles sur lesquelles l’Etat et son armée (Tsahal) ont été établis. Actuellement les opérations militaires israéliennes se poursuivent à Gaza et en Cisjordanie occupées, où les chars écrasent les corps des morts et des blessés et où les habitants sont jetés du haut des toits ou victimes des tirs isolés dans leurs maisons. Le fait de « donner la mort ou de porter gravement atteinte à l’intégrité physique de civils dans le but d’intimider une population » est la définition même du terrorisme, selon les termes de l’Assemblée Générale des Nations Unies.

On constate au fil des mois que des immeubles résidentiels entiers sont réduits en ruines au nom de l’extermination des terroristes du Hamas ou du Hezbollah que ce soit à Gaza, en Cisjordanie ou même à Beyrouth. Le gouvernement israélien a normalisé les attaques sanglantes contre les hôpitaux, les écoles, les églises et les mosquées et a armé les technologies de communication pour anéantir en masse les personnes dans les maisons, les bureaux et les rues, afin d’effrayer les civils et de les contraindre à la soumission. On peut donc craindre que tant qu’il y aura un mur debout à Gaza, la guerre ne s’arrêtera pas et que, selon Netanyahou, « l’élimination totale et définitive du Hamas » ne sera pas atteinte.

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