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vendredi, 04 juillet 2014

Le feuilleton de l'été dans Présent : une aventure au Liban phalangiste du milieu des années 70

Logo_present.pngEn feuilleton dans le quotidien “Présent” pendant tout l’été: le récit authentique et inédit de l’aventure de ces jeunes étudiants Français qui en 1976 se sont portés au secours des chrétiens du Liban dans Beyrouth assiégé par ceux que les bien-pensants occidentaux appelaient “les islamo-progressistes”.

Une formidable aventure à retrouver chaque jour dans "Présent".

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Regard sur l’actualité et la coupe du monde 2014

Photo 088.jpgPierre Vial

Président de Terre et peuple

Les scènes d’émeute provoquées par les Algériens utilisant comme prétexte la coupe du monde de foot (voir l’article d’Alain Cagnat cliquez ici) sont une bonne chose. Je vous scandalise ? Réfléchissez. C’est ce genre d’événement qui peut amener certains Gaulois à ouvrir enfin les yeux sur une réalité qui dérange le confort des bons bourgeois et qui s’appelle la guerre raciale. Il faudra sans doute encore beaucoup d’épisodes du même genre pour que la majorité des Gaulois décident que maintenant ça suffit. Mais les choses vont dans le bon sens… Donc merci les Algériens (à qui on suggère tout de même charitablement d’acheter de grandes valises…ça leur servira un jour).

Affaire BNP-Paribas : l’incroyable arrogance américaine décidant de sanctionner une banque française (c’est dans la logique d’un éventuel Traité transatlantique) n’a d’égale que l’incroyable lâcheté d’un gouvernement français qui s’écrase platement. Inutile de dire que nous n’avons aucune sympathie particulière pour une banque qui est comme toutes les autres, c'est-à-dire une sangsue institutionnalisée, mais ce qui est en question c’est le renoncement spectaculaire du gouvernement français à toute vraie souveraineté. Pitoyable.

Double affaire Lambert et Bonnemaison : à vingt quatre heures d’intervalle le Conseil d’Etat a affirmé le droit qu’a Vincent Lambert de bénéficier d’une mort paisible, par l’arrêt d’un acharnement thérapeutique qui l’entretient dans un état végétatif depuis six ans, tandis que le docteur Bonnemaison, jugé pour avoir euthanasié sept personnes âgées en fin de vie, a été acquitté par les jurés de la cour d’assises des Pyrénées atlantiques. Un sondage BVA révèle que 89 % des Français sont favorables à l’euthanasie. C’est un échec spectaculaire pour les sectateurs du monothéisme qui affirment que seul leur Dieu a le droit de décider de la vie et de la mort de l’être humain, au mépris de la liberté de celui-ci.

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Le JT de TV Libertés de jeudi soir :

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Ardèche : un village résiste au Traité transatlantique...

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jeudi, 03 juillet 2014

RASSEMBLEMENT DE SOUTIEN A LA POPULATION CIVILE DU DONBASS SAMEDI PROCHAIN A PARIS

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Le JT de TV Libertés de mercredi soir...

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Le Bistro libertés de TV Libertés...

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Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER

RIVAROL N° 3147 du 25 juin 2014

 

L’IMPROBABLE bestiole qui siège à l’Elysée n’a certes aucune compétence pour diriger la France. Pas grave. Il se rattrape en commentant les matchs de la Coupe du monde de football. Le chef de l’Etat a regardé le match avec les médaillés français des Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de Sotchi, conviés pour la circonstance dans la salle des fêtes du palais de l’Elysée. La France l’avait emporté 3-0 face au Honduras. Du coup, il s’est autorisé à donner des conseils. Pas de triomphalisme, il appelle à rester « serein et prudent », ajoutant cette haute considération : « Il fallait l’emporter parce qu’on sait bien que c’est un match qui pouvait psychologiquement marquer les esprits. » « Ce n’était pas facile », a commenté François Hollande à l’issue du match, assurant avoir découvert « une équipe solidaire, une équipe qui savait marquer des buts […] et puis une équipe qui a dû résister à un choc physique » ; « Je pense que pour les jeunes de France, c’est un bel exemple. »

 

ALERTE ! ET VOICI QUE LE PINGOUIN SE PIQUE DE COMMENTER LA COUPE DU MONDE

 

Mais attention, dit le sélectionneur bis de l’équipe de France, il ne faut pas « s’emballer » : « la France a encore deux matchs à jouer pour se qualifier pour les huitièmes de finale de la compétition », ce que nous ignorions. Supporter « de tout cœur » des Bleus, pronostiqueur “confiant” en la victoire tricolore, il a suscité quelques sarcasmes sur la Toile. La députée UMP des Yvelines Valérie Pécresse y est allée de son tacle : « F. Hollande en commentateur sportif à l’Elysée alors que les grévistes de la SNCF prennent en otages les lycéens le jour du bac : surréaliste ». Certains commentateurs relèvent que l’oiseau prend de sérieux risques en usant de grands mots, tels « l’unité de la France ». Et si l’équipe de France venait à sombrer lors des prochains matchs ? Une stratégie de communication qui pourrait s’avérer périlleuse. Le chroniqueur Bruno Roger-Petit note très justement sur le site du Nouvel Observateur : « En vérité, si François Hollande entend vraiment capitaliser sur l’événement, il conviendrait de lui recommander de pratiquer la discrétion qui sert l’authenticité ». C’est à dire de la boucler… Mais ces egos boursoufflés en sont-ils capables ? On se souvient, en 2010, avant le premier match contre l’Uruguay, de Nicolas Sarkozy qui avait directement appelé le sélectionneur Raymond Domenech, histoire d’encourager l’équipe de France. La France avait terminé dernière de son groupe, quelques jours plus tard, avec zéro victoire au compteur. Pure méchanceté de ma part, je ne peux m’empêcher de penser que Hollande a une tête à apporter la scoumoune…

 

“OH FRANCE ! VOICI LE JOUR OÙ IL FAUDRA TE RENDRE DES COMPTES !”

 

Les troupes de l’ex-FLN devaient, grâce en soit rendue à Hollande, défiler sur les Champs-Elysées, le 14 juillet. Découvrez ce couplet de l’hymne national algérien : « Ô France ! Le temps des palabres est révolu. Nous l’avons clos comme on ferme un livre. « Oh France ! Voici le jour où il te faudra rendre des comptes. Prépare-toi ! Voici notre réponse, le verdict ! Notre Révolution le rendra. Car nous avons décidé que l’Algérie vivra ! Soyez-en témoins ! Soyez-en témoins ! Soyez-en témoins ! » L’annonce en avait été faite par Kader Arif, secrétaire d’État aux Anciens combattants et le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, carpette en diable, avait même renchéri lors de sa visite en Algérie le 20 mai dernier : « C’est une preuve que nous sommes entrés dans une phase pacifiée avec l’Algérie » (AFP). Oui, mais en définitive, il n’y aura pas de militaires algériens le 14 juillet à Paris (Sources : le quotidien algérien El Watan du 18 juin 2014). C’est désormais officiel. La position du gouvernement algérien est claire et sans appel : « On pourra imaginer un défilé militaire ensemble lorsque l’ancienne puissance coloniale présentera ses excuses pour les crimes commis en Algérie. » Et Saïd Abadou, ancien ministre des Moudjahidines, en rajoute sur le journal El Khabar : « Nous refusons toute manifestation de militaires algériens à côté des soldats de l’ancienne puissance coloniale. Ce sujet ne doit même pas être abordé tant que la reconnaissance de la criminalisation du colonialisme n’est pas réglée. » Quelle arrogance !

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L’HOMONCULE XAVIER BERTRAND DONNE DES ORDRES À MARINE SUR RADIO J

 

Personne ne le connait, mais l’ancien ministre UMP Xavier Bertrand, qui prétend être candidat à la prochaine élection présidentielle, a donné des ordres à Marine Le Pen. Sur Radio J, of course, une radio juive. Xavier Bertrand a jugé que la présidente du Front national, Marine Le Pen, devait suspendre son père de « toutes ses fonctions ». Et, attention, ce n’est « pas une brouille familiale » à laquelle on assiste, mais c’est « la question du vrai visage du Front national » qui est posée. Cet extravagant oiselet, par ailleurs député-maire de Saint-Quentin (Aisne) poursuit gravement : « Jean-Marie Le Pen est président d’honneur du Front national, il y a deux mots de trop. Président, car quand on a tenu des propos comme ceux qu’il a tenus, on ne peut pas le rester et il n’y a pas d’honneur. C’est le déshonneur total ! » L‘excité du bocal’, pour reprendre le qualificatif que donnait Jacques Laurent à Sartre poursuit plaintivement : « Marine Le Pen a parlé d’une faute politique de son père, je suis choqué. […] Pour moi, c’est une faute morale et il faut qu’elle reconnaisse la faute morale ». Sévèrement donneur de leçons, il ajoute : « Quand, aujourd’hui, Mme Le Pen semble prendre timidement ses distances avec Jean-Marie Le Pen, il faut qu’elle aille jusqu’au bout, qu’elle le suspende de toutes ses fonctions, mais qu’elle fasse elle-même le ménage dans son propre entourage », (bref, qu’elle les carpacciote, qu’elle les découpe en fines rondelles, qu’elle les écartèle, qu’elle les extermine et qu’elle en finisse avec une petite giclée de Zyclon B). Oui mais, selon lui, elle « n’est certainement pas prête à prendre les mesures qu’il faut pour écarter définitivement du Front national les personnes qui pensent comme Jean-Marie Le Pen ». « Le Front national sera toujours prisonnier du passé » conclut gravissimement ce zozo exceptionnel. Et la connerie sera toujours prisonnière de la connerie… Quand Marine Le Pen comprendra-t-elle qu’il ne sert à rien de faire la moindre concession à ces gens-là ?

 

“LE FN, UN PARTI STRUCTURELLEMENT RACISTE”

 

Toute à son opération de cirage de pompes de la communauté juive, Marine Le Pen a aussi déclaré dans cette interview : « Je ne cesse de le répéter aux Français juifs, qui sont de plus en plus nombreux à se tourner vers nous : non seulement le Front national n’est pas votre ennemi, mais il est sans doute dans l’avenir le meilleur bouclier pour vous protéger, il se trouve à vos côtés pour la défense de nos libertés de pensée ou de culte face au seul vrai ennemi, le fondamentalisme islamiste ». Réponse en forme de remerciement pour tant de sollicitude, de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF) : « Aujourd’hui, c’est le Front national, parti structurellement raciste et antisémite, qui est une menace pour les juifs et les autres ».

 

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PHILIPPOT SOUTIENT LES GRÉVISTES DE LA SNCF !

 

Alors que les Français étaient massivement exaspérés par cette grève imposée par quelques minoritaires de la SNCF et des syndicats tels la CGT et Sud-Rail et même si l’on peut à bon droit être critique envers une totale libéralisation du rail, le vice-président du FN, Florian Philippot n’a rien trouvé de plus intelligent que de déclarer qu’il “comprenait” les grévistes, ajoutant qu’ils avaient « des motivations de bonne foi, d’intérêt général et (qu’il) ne voulait pas criminaliser par avance un mouvement social ». Les usagers pris en otage sans qu’ils n’y soient pour rien apprécieront.

 

LE GRAND INTELLECTUEL JAMEL DEBBOUZE S’AUTORISE À VIVEMENT CRITIQUER LE FN

 

Le pseudo-comique Jamel Debbouze a livré au Monde son avis sur ces salauds de partisans du Front national. Notons que cela prouve l’état de décrépitude totale de ce quotidien qui relaie une telle insignifiance. Ce crétin prétend penser. Voici ses propos : « Il faut faire très attention aux discours [du FN] qui tentent d’arrondir les angles. Marine Le Pen — je devrais dire Jean-Marine Le Pen (que cet imbécile est drôle !) n’a pas changé, ses paroles sont dangereuses et font du mal à la France. Les gens qui y adhèrent sont fous. » A l’instar de Yannick Noah, il souhaite l’engagement des milieux culturels face à la montée du FN. Il a cette puissante pensée : les artistes doivent « gueuler […] que l’on vit dans l’ère du métissage, qu’on n’a pas d’autre alternative que de faire avec l’autre, que l’étranger n’est pas une mauvaise nouvelle, mais, au contraire, une très bonne nouvelle, qu’il faut faire corps ensemble face à l’adversité ».

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.

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mercredi, 02 juillet 2014

Extraits de l'entretien de Jean-Marie Le Pen dans Rivarol d'aujourd'hui...

Sondages-les-sympathisants-du-FN-veulent-le-depart-de-Jean-Marie-Le-Pen_image_article_large.jpgRIVAROL : Que pensez-vous avec le recul de toute la polémique politico-médiatique qui a été déclenchée par votre utilisation du mot “fournée” dans votre journal de bord hebdomadaire ? Ne témoigne-t-elle pas de la restriction chaque jour plus grande de nos libertés ?

Jean-Marie LE PEN : J’ai une pente intellectuelle vers l’objectivité. Mais je sais qu’il y a certains sujets sur lesquels l’on n’a pas le droit d’être objectif.. On doit se soumettre à la pensée unique et si l’on ne s’y soumet pas l’on est dénoncé. On nous signale qu’il y a une ligne jaune que l’on ne doit pas franchir même si l’on ne nous dit jamais qui l’a tracée. Si vous la franchissez c’est à vos risques et périls, risques politiques, médiatiques mais aussi financiers et pénaux. Il faut savoir que nous ne sommes pas en Amérique où le premier amendement de la Constitution établit une liberté totale d’opinion et d’expression. En France ce n’est pas le cas, il faut le savoir, et les dirigeants politiques doivent établir une ligne qui leur permette de rassembler, c’est la philosophie politique de Marine Le Pen qui considère que sa mission est de diriger un parti politique et donc de rassembler, et donc d’éviter au maximum les effusions. Pour ma part j’ai davantage de liberté puisque, si je suis un dirigeant politique, je n’ai pas de responsabilité exécutive directe donc j’ai plus de liberté de parole et d’opinion.

Cela étant, il faut aussi noter que nous sommes dans un monde où en dehors même des parti-pris politiciens ou idéologiques, il y a une inculture française. Lorsque j’ai utilisé le mot “fournée” qui n’a jamais eu, en aucun cas, d’acception politique ou négative ou antisémite, la simple assonance a suffi pour déclencher un tollé de la part de journalistes qui sont en principe des intellectuels c’est-à-dire des gens qui pensent avant d’écrire et même avant de recevoir l’ordre de leur loge. Immédiatement l’on a décrété qu’il s’agissait encore d’un dérapage antisémite de Jean-Marie Le Pen alors que c’était un propos parfaitement innocent. Encore faut-il que les gens connaissent la langue française qui comporte, il est vrai, cent mille mots. Dans le même temps j’avais dit à propos de Noah qui ne veut pas chanter dans les mairies FN « Cochon qui s’en dédit », des gens ont dit : pourquoi a-t-il traité Noah de cochon ? Or il s’agit d’une locution française que visiblement ces personnes ignoraient.

Vous connaissez la fameuse histoire de Littré, grand grammairien qui, un jour, était en train de trousser sa bonne dans la cuisine quand rentre sa femme. Laquelle s’écrie : « Je suis surprise. » Et le mari de répondre : « Non Madame, hélas vous êtes étonnée. C’est nous qui sommes surpris. » L’anecdote est savoureuse et témoigne de l’importance du sens et de l’emploi des mots. La guerre des idées est aussi une guerre sémantique. Par exemple le mot extrême droite donne extrémiste de droite. Le mot extrême gauche donne le mot gauchiste qui est plus convivial. Or le mot extrême droite indique l’extrémité géographique d’une assemblée et non un quelconque extrémisme.

Cela pose tout le problème de la diabolisation et de la dédiabolisation. Il est bien évident que la dédiabolisation à laquelle nous pouvons tendre trouve rapidement ses limites puisque la diabolisation ne dépend pas de nous. Elle dépend de nos ennemis et il n’y a aucune raison que nos ennemis ne nous fassent pas en permanence la guerre. Dans l’affaire de la “fournée”, avec un parallélisme étonnant qui ne peut s’expliquer que par des appartenances communes, les éditorialistes de la presse régionale ont suivi la même ligne : la dénonciation de l’abominable Le Pen avec ses déclarations scandaleuses. Le directeur de Valeurs actuelles a quant à lui tweeté : « Honte à Jean-Marie Le Pen ! »

La vie est un combat et la vie politique est un combat permanent. Par conséquent nos ennemis ne cesseront pas de nous diaboliser puisque c’est une de leurs armes (le mensonge, la calomnie, la diffamation) et qu’ils ont les moyens de nous l’appliquer puisqu’ils détiennent un quasi-monopole des moyens médiatiques (presse, radio, télévision, cinéma, débats de toute sorte). Par conséquent, nous devons toujours nous attendre à être diabolisés. Si cette diabolisation diminue c’est que nos adversaires auront estimé que nous sommes moins dangereux pour eux, que nous nous rapprochons de leur point de vue et ils ne cesseront de nous diaboliser que lorsque nous serons morts, et encore ce n’est pas sûr !

C’est là tout le problème du combat politique. Je prends souvent un exemple : le champion de boxe sait qu’il ne fera pas que donner des coups, il en recevra. Cela fait partie du sport dont il a accepté les règles. Le champion du monde qui monte sur le ring, même s’il en descend comme champion du monde, est marqué par les coups que lui aura donnés son challenger. Par conséquent il ne va pas s’étonner en disant : « c’est fou, j’étais sur le ring et mon adversaire m’a frappé au visage, au corps, à l’estomac. » Cela fait partie des règles de ce combat-là. Nous ne devons donc pas nous étonner d’être diabolisés, il faut le prendre avec philosophie, rendre coup pour coup, et même un peu plus quand c’est possible mais surtout ne pas consentir à aucun moment à une trêve à l’égard de nos ennemis ou de nos adversaires puisque nous estimons qu’il en va du salut de notre pays et de notre peuple.

R. : Certes, mais Marine Le Pen, dans un entretien au Figaro du 24 juin, en réponse à une question du journaliste qui lui demandait si votre utilisation du mot “fournée” avait nui à la constitution d’un groupe au Parlement européen a répondu : « Tout ce qui réactive la diabolisation et fait du bruit n’est jamais bon lorsqu’on est en négociation ».

J.-M. L.P. : C’est là où je suis en désaccord avec elle. Je crois que Marine Le Pen, avec une intention excellente, mais on sait que l’enfer est pavé de bonnes intentions, fait une erreur d’analyse. Si la diabolisation dépendait d’attitudes extravagantes, extrémistes — à ce propos on a quelquefois fait le ménage au sein du mouvement d’une manière que j’ai trouvé un peu sévère —, nous ne serions pas du tout diabolisés, ce qui n’est pas le cas.

Admettons qu’on ait voulu lisser l’image du Front, en tout cas on ne peut pas aller au-delà sous peine, dans le débat politique, de renoncer à attaquer nos adversaires sur des idées que nous estimons nuisibles à la nation, voire à répondre à leurs attaques. Un espace politique dans lequel il n’y aurait pas de conflit entre les différents participants, c’est soit une dictature mortelle, soit un pays mort.

Le groupe au Parlement européen ne s’est certes pas formé mais cette polémique n’en est pas la cause. Dans ma lettre ouverte à Marine Le Pen, je lui ai fait le grief que j’estime justifié d’avoir elle-même — ainsi que Louis Aliot — porté le débat sur le terrain médiatique alors que si on avait laissé les organismes professionnels antiracistes et anti-Front national faire leur numéro, cela aurait duré vingt-quatre heures. Il y avait la Licra, le Mrap, Sos-Racisme, le Crif. C’est leur gagne-pain de lutter contre ce qu’ils appellent l’antisémitisme au point que quand il n’y a pas d’antisémitisme, ils l’inventent !

Cela dit, toutes ces vagues font partie du paysage. Mais malheureusement cela a été accrédité par les déclarations qui ont été faites dans notre camp. Aliot a dit : « c’est une phrase malheureuse de plus », ce qui semblait faire référence à d’autres épisodes précédents. Il a — involontairement, j’espère — laissé entendre que j’ai l’habitude des phrases malheureuses.

R. : Invité de Patrick Cohen dans l’émission C à vous, le 24 juin au soir, Florian Philippot, vice-président du Front National vous a durement attaqué. « Il n’est pas président, la présidente c’est Marine Le Pen » a-t-il affirmé, ajoutant surtout à votre endroit : « C’est quand on fait n’importe quoi qu’on devient n’importe qui » ...

J.-M. L.P. : D’abord je ne suis pas n’importe qui. J’ai près de soixante ans de vie publique et même un peu plus si l’on compte ma présidence de Corpo de droit dont je suis aussi président d’honneur. J’ai une personnalité politique que j’estime respectable et qui est respectée de beaucoup de gens, en tout cas des plus de 28 % qui ont voté en faveur de la liste que je dirigeais dans le Sud-Est aux européennes le 25 mai sous le nom Front national.

Je constate malheureusement que ces commentaires sont faits très légèrement. Ce que j’ai dit n’est pas n’importe quoi. Ce que j’ai dit est une locution française qui dit clairement ce qu’elle signifie : un groupe d’individus. Je peux citer dix exemples qui n’ont pas donné lieu à des griefs quelconques mais l’on sait que Jean-Marie Le Pen bénéficie de la présomption de culpabilité. Il est le seul dans ce cas. Les autres ont droit à la présomption d’innocence, y compris les tueurs jusqu’à leur condamnation. Jean-Marie Le Pen, lui, a une présomption de culpabilité jusqu’à son non-lieu. […]

homepage_logo.jpgLisez la suite de ce grand entretien, réalisé par Robert Spieler et retranscrit par Jérôme Bourbon, dans Rivarol de cette semaine cliquez là

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Sarkozy en garde à vue ? Une avancée totalitaire

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Jean-Yves Le Gallou

Boulevard Voltaire cliquez ici

Je ne suis pas sarkozyste. Je n’ai pas voté Sarkozy. Et je ne souhaite pas le retour au pouvoir de l’ancien président. Pour autant je ne me réjouis pas de sa garde à vue. Par instinct, je me refuse toujours à hurler avec les loups. Par raison, je m’interroge sur ce qui peut rester de souveraineté nationale lorsque celui-ci qui a – bien ou mal, c’est une autre affaire – représenté la France est humilié à la face du monde pour une affaire de cornecul montée par une officine.

Allons plus loin : la réflexion politique, le droit des gens et les règles de la démocratie ont mis en place des « immunités ». Certes, ces immunités sont des privilèges mais des privilèges nécessaires. L’immunité diplomatique vise à assurer l’indépendance du représentant étranger vis-à-vis du pays qui l’accueille. L’immunité parlementaire vise à garantir un minimum d’indépendance du représentant du peuple par rapport au pouvoir exécutif et au pouvoir judiciaire. L’immunité des juges a pour but de garantir leur liberté d’appréciation et leur tranquillité. L’immunité présidentielle a – elle – pour fonction de garantir l’autorité du pouvoir exécutif. Sans raison d’État, il n’y a plus d’État. Sans immunité parlementaire, il n’y a plus de démocratie représentative. Quand les parquetiers et les juges vont en garde à vue, il n’y a plus d’indépendance de la justice.

Toutes ces règles, toutes ces immunités, fruits d’une tradition séculaire – voire millénaire – ont volé en éclat ! Pour le bénéfice de qui ? Du peuple ? Sûrement pas ! Plus certainement des puissances financières et des puissances étrangères qui ont intérêt à réduire les dépositaires de la souveraineté à l’état de pantin. Aujourd’hui celui qui écoute le monde (la NSA, d’autres services spéciaux) a le pouvoir sur le monde. Est-ce un progrès de la souveraineté ? De la démocratie ? Des libertés ? Évidemment non !

On me dira qu’il suffit de respecter la loi pour ne rien craindre. Mais c’est une foutaise que d’affirmer cela ! Car, appliqué avec méthode et systématisme, le volumineux code pénal français permettrait de placer en détention 10 millions de personnes et parmi elles, la totalité des ministres, des préfets, des chefs d’entreprise et des… candidats à l’élection présidentielle.

Bien sûr, on ne le fait pas. Mais la loi pénale, incapable d’empêcher la montée de la délinquance, permet la mise en place d’un régime d’arbitraire, tout simplement en choisissant les bonnes cibles.

Sarkozy, paraît-il, était écouté légalement, comme nous tous sommes susceptibles de l’être. Mais les écoutes de la STASI aussi étaient légales…

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Filip Dewinter rencontre le vice-Premier ministre russe Dmitry Rogozine.

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Source Lionel Baland cliquez ici

Lors de la visite d’une délégation du Vlaams Belang (Flandre - Belgique) et de Faire place Nette (Wallonie - Belgique) comprenant Filip Dewinter (Vlaams Belang), Anke Van dermeersch (Vlaams Belang), Jan Penris (Vlaams Belang), Frank Creyelman (Vlaams Belang et Faire place Nette), Marco Santi (Faire place Nette) à Moscou à l’occasion de la 3ème conférence interparlementaire qui s’est tenue le 26 juin 2014 en présence du président de la Douma Sergueï Narychkine, la délégation a rencontré à la Maison blanche [bâtiment du gouvernement] le vice-Premier ministre russe Dmitry Rogozine. La conversation a porté sur l'islam, l'immigration et la société multiculturelle. La délégation est restée plusieurs jours en Russie.

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Dans Rivarol de cette semaine : un grand entretien entre Robert Spieler et Jean-Marie Le Pen

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Le deuxième numéro de Conflits est paru :

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La revue géopolitique dirigée par Pascal Gauchon

9,50 €, chez votre marchand de journaux

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Le JT de TV Libertés de mardi soir...

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L'intervention de Hugues Bouchu lors de la réunion de Synthèse nationale contre le Traité transatlantique

sn 26 06 14 ttat.jpgVoici le texte intégral de l’intervention d’Hugues Bouchu, Président de la Ligue francilienne (membre du Réseau identités) prononcée le mercredi 25 juin dernier à Paris lors de la réunion de Synthèse nationale contre le Ttraité transatlantique cliquez ici :

Camarades,

Au 1er janvier 2015, si les négociations diplomatiques entre représentants de l’Etat fédéral américain et de l’Union Européenne aboutissent, s’établira un « partenariat transatlantique de commerce et d’investissement » qui pourra en outre être élargi aux membres de "l'Association Européenne de Libre Echange", l’AELE (Islande, Norvège et Suisse). Ce traité connus sous le nom de "Partenariat Transatlantique de Commerce et d'Investissement", TTIP, auparavant appelé TAFTA ( "traité de libre-échange transatlantique"), liera économiquement l’Europe et les Etats-Unis dans un pacte contraignant mais dont on devine qu’il se fera au profit des multinationales américaines, multinationales désormais contrôlées implicitement par des investisseurs chinois. La construction européenne a commencé par la mise en place d’un marché commun, au grand désespoir des véritables européens, qui auraient espéré que l’Europe naisse par la politique et/ou par la culture. Un marché européen transatlantique impliquerait sans doute à terme une construction semi-politique. C’est donc bel et bien la première marche vers un état mondial, cauchemar rêvé par les mondialistes de tous poils.

J'ai en mémoire ce que le philosophe Friedrich Nietzsche, remarquable visionnaire, prévoyait déjà en son siècle: "Une machinerie mondiale de l'économie maximalisant la consommation et administrée globalement sur tous les continents". Cela nous laisse pantois devant cette prophétie, alors qu'elle se réalise devant nous dans l'indifférence léthargique de nos politiques et de nos concitoyens lobotomisés!    On pourrait imaginer que les USA feraient ainsi sauter les restrictions économiques qu’ils appliquent vis-à-vis des produits européens et sans doute français. L’américain du Middle West pourrait acheter sans doute à un prix moindre un brie ou un saucisson, mais est-ce vraiment notre intérêt ? En contrepartie, les Américains ne nous imposeraient-ils pas au contraire leurs normes, aboutissant à nous ouvrir aux maudits OGM voire à abolir nos savoir-faire ?

Ces petits arrangements entre amis, sont un jeu de dupes, une façon d’enchaîner l’Europe aux intérêts américains, privés en apparence, politiques en vérité. C’est aussi une manière d’empêcher toute Europe politique qui voudrait s’émanciper de la tutelle de Washington, de maîtriser l’euro et aussi de maintenir la stratégie d’encerclement de la Russie. Ce traité est un mauvais coup contre l’Europe et contre toute réconciliation continentale. Ne soyons pas naïfs. Les USA et leurs courroies de transmission, qu’elles siègent à Paris ou à Bruxelles, ne veulent pas notre bien. Les intérêts en jeu sont d’ailleurs plus que douteux. Si le mot « libre-échange » a été remplacé par « partenariat », c’est pour rassurer l’européen moyen qui s’imaginera ainsi que c’est un accord d’intérêt mutuel. Rien n’est plus faux. Nos intérêts sont menacés dans leur essence même.

Alors que l’Europe tente de relever la tête depuis trente ans, elle perdure à stagner sous le joug de l’idéologie mondialiste, on voudrait la guérir en aggravant la maladie ? Au nom d’une poignée de croissance quasi imaginaire, on voudrait nous faire croire que ce traité réglerait nos problèmes. Il n’en est rien. Que ces négociations se fassent par ailleurs dans une opacité totale démontre qu’il y a toutes les raisons de s’opposer à leur principe même. Arrimer définitivement l’Europe occidentale à nos prétendus libérateurs, tel est le vœu des promoteurs de ce traité. En clair, c’est une trahison pure et simple de nos intérêts que les représentants « auto-proclamés » de l’Union Européenne, mandatés par des gouvernements devenus illégitimes, que leur popularité repose sur une lecture biaisée de l’économie (Merkel) ou qu’elle soit désormais totalement inexistante (Hollande).

Une fois de plus, une fois encore, nous devons refuser ce joug américain, cet avide rapace qui guette des proies désarmées. Le général De Gaulle avait jadis pressenti que l’Europe aurait comme pire ennemi son allié de circonstance d’hier. Il savait que la réconciliation franco-allemande devait être une étape vers l’union continentale afin de rejeter cette tutelle indigne d’une colonie rebelle née sur la négation de sa métropole civilisationnelle. Les USA veulent nous emmener avec eux dans le tombeau, en victimes sacrificielles d’un libéralisme dévoyé et d’un cosmopolitisme malade. Qu’ils y aillent donc seuls, puisqu’ils ont choisi de se suicider à moyen terme au nom de gains plus que théoriques à court terme. L’avenir de l’Europe n’est pas dans un partenariat avec les USA mais dans une entente avec la Russie afin de devenir la première puissance mondiale. Ne servons pas de jambe de bois à ce forban transatlantique qui ne nous veut pas de bien, et chassons ses corsaires qui prétendent nous diriger alors qu’ils ne songent qu’à nous trahir. L’Europe doit s’unir et se libérer de ce joug auquel cette puissance étrangère veut nous soumettre.

Là est le combat aussi de notre génération. Chacun d'entre nous doit s'engager à être un sentinelle pour agir "ici et maintenant" et permettre aux peuples Européens de s'affranchir de tout totalitarisme envahisseur.

Je vous remercie...

01:52 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 01 juillet 2014

Dès à présent : RETENEZ CETTE DATE !

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Benzema aurait-il pu jouer contre l’Algérie ?

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Pierre Cassen

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Les dieux en ont décidé ainsi ! Le match France-Algérie n’aura pas lieu, en quarts de finale de la Coupe du monde. On en connaît beaucoup qui sont soulagés : les propriétaires de voitures, les salariés qui se lèvent tôt, le ministre de l’Intérieur, les préfets, nos policiers et tous ceux qui auraient été en première ligne, ce vendredi, pour faire face à un déferlement revanchard qui aurait probablement submergé des pans entiers de notre pays.

Mais quid du sélectionneur, Didier Deschamps, et du joueur que la France entière est sommée d’idolâtrer, le franco-algérien Karim Benzema, seul Bleu à ne pas chanter La Marseillaise ?

L’entraîneur aurait-il pu aligner un joueur qui reconnaît que la France n’est qu’un choix sportif, et que l’Algérie est le pays de son cœur ? Benzema aurait-il pu jouer à 100 % de ses moyens contre une équipe qu’il préfère à celle de son pays de naissance ? Aurait-il pu considérer comme de vrais adversaires des joueurs dont il partage, en période de ramadan, les mêmes convictions religieuses ?

Petit retour sur notre passé. Le football français a connu trois grands joueurs, tous enfants d’immigrés, qui ont chacun marqué leur époque.

Le premier, Raymond Kopa, de son vrai nom Kopaszewski, né à Noeux-les-Mines, en 1931, est petit-fils de mineurs polonais venus s’installer en France en 1919. De tradition catholique, comme de nombreux autres internationaux de son époque (Maryan Wisniewski, Léon Glovacki), il ne mettra jamais en avant sa religion, ni en club, ni en équipe de France.

Le deuxième, Michel Platini, né en 1955 à Joeuf, est petit-fils d’un immigré italien venu s’installer en Lorraine après la Première Guerre mondiale. Pendant dix ans, il a porté à bouts de bras les Bleus, aidé par une génération exceptionnelle. Quand il jouait contre l’Italie, il mettait un point d’honneur à être encore meilleur que d’habitude. Nul n’a oublié les deux coups francs consécutifs marqués à Dino Zoff, alors meilleur gardien au monde, ni sa prestation, en 1986, en Coupe du monde, qui permit à la France d’éliminer la Squadra Azzura.

Le troisième, Zinedine Zidane, est né en 1972 à Marseille. Son père, algérien, est arrivé en France en 1953. Celui qu’on surnomme Zizou possède la double nationalité française et algérienne. Lorsqu’on l’interrogeait sur une éventuelle rencontre France-Algérie, il répondait qu’il souhaitait un match nul. On est fort loin de l’attitude de Michel Platini.

Avec Karim Benzema, né en 1987 à Lyon, une autre étape a été franchie. Ce joueur, lui aussi de double nationalité, doit tout à la France, et pourtant, il affirme préférer un autre pays, qui par ailleurs ne lui a rien apporté. Il a choisi l’équipe de France simplement pour les retombées financières, alors que dix-sept joueurs franco-algériens, comme lui nés en France, ont choisi d’être internationaux algériens parce qu’ils ne se pensaient pas assez bons pour être sélectionnés en équipe de France.

Cette évolution, à travers près de soixante ans de football, résume tout. Avec Raymond Kopa et Michel Platini, on était à fond dans l’amour de la France, l’assimilation et le creuset républicain. Avec Zinedine Zidane et la double nationalité, les ambiguïtés commencent. Avec Karim Benzema, on est dans la préférence algérienne, le halal, le ramadan, la barbe, et le fait, assumé, d’être le seul à refuser de chanter La Marseillaise. Comment, dans un tel contexte, aurait-il pu jouer contre l’Algérie ? Qu’il marque des buts, les Algériens l’auraient qualifié de traitre. Qu’il ne marque pas, et les Français auraient eu des doutes quant à sa loyauté.

Certains veulent interdire le débat sur la double nationalité, et pourtant, ces exemples footballistiques montrent qu’il est plus incontournable que jamais.

11:48 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Italie : l'invasion migratoire s'intensifie !

1277615416.JPGYves Darchicourt

Qui osera encore prétendre qu'il ne s'agit pas là d'une invasion? Selon une dépêche AFP de ce 30 juin 2014 10 h 32, en cette seule dernière fin de semaine, c'est plus de 5 500 "migrants" qui ont été secourus par la marine nationale italienne. Un nombre impressionnant de barcasses surchargées de clandestins originaires pour la plupart d'Erythrée et d'Afrique subsaharienne et dans une moindre mesure de Syrie ont été ainsi remorqués jusqu'aux côtes de Sicile, des Pouilles et de Calabre.

Depuis le début de l'année 2014, ce sont environ 60 000 clandestins qui ont ainsi été débarqués dans le sud de l'Italie dans le cadre de l'opération "Mare Nostrum", un dispositif de sauvetage à grande échelle que le gouvernement italien s'est cru obligé de mettre en place après les naufrages meurtriers de coques de noix clandestines en 2013 qui avaient tant émus ces bonnes âmes et ces grandes consciences qui ne connaissent les bienfaits de la cohabitation forcée avec les "migrants" allogènes que par ouïe-dire. Ce qui est revenu finalement à rassurer les candidats à la traversée Afrique-Europe quasiment certains d'être secourus et d'être remorqués, non pas vers les côtes africaines mais vers l'Italie, première étape de leur installation en Europe, et qui fait collaborer une marine nationale à l'invasion de son propre pays.

Quant à l'agence européenne Frontex, chargée de surveiller les frontières de l'Union Européenne, on sait très bien qu'elle ne sert qu'à fournir des statistiques sur le nombre de "migrants" qui déferlent sur l'Europe et à solliciter des fonds pour aider les pays envahis à gérer cet afflux. Des pays de première ligne qui, on le comprend fort bien, ne tiennent pas à conserver chez eux toutes ces "chances" aussi budgétivores qu'inassimilables et qui réclament une "solidarité" européenne dans "l'accueil" des masses allogènes qui seront ainsi dispersées théoriquement dans toute l'Union Européenne mais en réalité principalement dans les pays jugés les plus "accueillants" et où la France fait très bonne figure paraît-il par tradition droitdelhommesque.

Les peuples européens ne sont évidemment pas consultés par les "élites" chargées de résoudre le problème posé par l'invasion migratoire et ne le seront pas car ces collabos du Nouvel ordre mondial savent que pour le bon sens populaire la réponse à apporter à une invasion doit être à la mesure du risque qu'elle fait courir et que ce risque est immense. C'est la civilisation européenne qui est menacée dans son existence même, les peuples et les nations d'Europe risquent de disparaître noyés dans des masses allogènes largement islamisées. Le recours ne pourra venir que d'un sursaut populaire, un réflexe de survie, une réaction radicale qui ne peut perdre de temps à passer benoîtement par les urnes au rythme des élections européennes ou nationales contrôlées par les collabos. Alors rassemblement, résistance et reconquête !

11:35 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le JT de TV Libertés de lundi soir :

09:49 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |