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dimanche, 20 décembre 2015

La guerre des trois aura lieu

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À seize mois de l’échéance présidentielle, le résultat final des élections régionales de décembre 2015 rend compte de l’état du rapport de forces politiques à moins que François Hollande décide de réviser par référendum la Constitution sur certains points précis (réforme du Conseil supérieur de la magistrature, inscription de l’état d’urgence, peut-être droit de vote des étrangers aux élections locales) ou démissionne et se représente aussitôt, créant une surprise certaine qui déstabiliserait l’opposition de droite – centre-droit. Les Républicains (LR) affûtent déjà leurs couteaux pour la fameuse primaire à l’automne 2016.

La récente élection hivernale confirme la vive conflictualité entre trois pôles de poids à peu près équivalents que la collusion, réclamée par les sociaux-libéraux du PS et les progressistes du centre, ne peut être que factuelle et provisoire. Les régionales entérinent la tendance enregistrée lors des législatives partielles de 2013 – 2014, des européennes de mai 2014 et des départementales de mars 2015, une tripolarisation de la vie politique hexagonale.

Le premier ensemble coïncide avec la majorité présidentielle édifiée en 2012 grâce à une entente de fer entre le PS et les radicaux de gauche qui sut bon an mal an intégrer les Verts, l’inaudible Front de Gauche et les ultimes adhérents du MRC. Or ce pôle se trouve maintenant désuni avec les tenants d’une politique progressiste sociale-libérale autoritaire (Valls, Macron, Cazeneuve, Placé) et les partisans d’une autre politique anti-austérité qu’on retrouve chez les Verts, le Front de Gauche et les frondeurs du PS. Aucune réconciliation n’est possible surtout si les opposants de gauche parviennent à se donner un candidat commun (Cécile Duflot ? Clémentine Autain ? Jean-Luc Mélenchon ? Pierre Laurent ?) capable d’empêcher François Hollande d’accéder au second tour de la présidentielle.

Le deuxième pôle correspond à l’attelage LR – UDI ainsi qu’aux divers-droite et même au MoDem. Or, outre des rivalités personnelles entre François Bayrou et Jean-Christophe Lagarde qui n’arrive d’ailleurs pas sur le plan intellectuel à la cheville du premier, le parti LR entre dans une longue période de turbulence du fait de la primaire. Nicolas Sarközy entend se venger de sa défaite méritée en 2012, mais face à lui se dressent déjà le cheval de retour Alain Juppé, Bruno Le Maire, l’égérie d’une gauche morale bo-bo Nathalie Kosciusko-Morizet ou Christian Estrosi dit la « Girouette niçoise », Jean-François Copé, François Fillon, le libéral-conservateur Hervé Mariton. Cacophonie et zizanie restent les mamelles nourricières d’une formation qui ne vise qu’à sauver ses prébendes.

Le troisième pôle concerne les forces « protestataires » qualifiées de « populistes ». À côté du FN, vainqueur paradoxal des trois derniers scrutins puisqu’il n’a remporté aucune collectivité territoriale tout en dépassant en nombre de voix le résultat de Marine Le Pen en 2012, et les autres listes souverainistes telles Debout la France de Nicolas Dupont-Aignan, l’Union populaire républicaine (UPR) de François Asselineau, ou droitistes de Jacques Bompard et Jean-Claude Martinez. On doit aussi y inclure les listes régionalistes du divers-gauche pro-« Bonnets rouges » Christian Troadec, « Oui la Bretagne » (6,71 %), et présentées en Corse. Même si le mouvement frontiste ne se déchire pas comme le font le PS, le Front de Gauche, les Verts et LR, il n’en demeure pas moins tiraillé entre une ligne étatiste nationale-républicaine anti-euro défendue par Florian Philippot, et une ligne nationale-conservatrice libérale décomplexée représentée par Marion Maréchal – Le Pen. Les électeurs frontistes se fichent bien de ces dissonances parce qu’ils expriment surtout leur refus de l’immigration et de la mondialisation et que les discours frontistes correspondent aux attentes locales.

Les deux premiers pôles (PS et LR) se composent de la même homogénéité géo-sociologique (les fonctionnaires, les cadres moyens et supérieurs, les retraités vivant dans des aires métropolitaines connectées aux flux mondialisés marchands). Le troisième pôle — revendicatif – populiste — se caractérise en revanche par une très forte hétérogénéité sociologique qui en fait le seul « bloc » vraiment « inter-classiste », d’où la nature complexe du néo-FN qui est passé du nationalisme des origines (1972 – 1986) et du national-populisme tribunicien (1986 – 2011) à un populisme assumé depuis 2011, année de l’accession de Marine Le Pen à la tête du parti.

Une terrible guerre des trois se jouera donc en 2017, quand bien même les principaux auteurs ne sont pas encore totalement connus (Hollande ou Valls ? Sarközy, Juppé, Le Maire, Copé ? Marine Le Pen ou Marion Maréchal – Le Pen ?). Cependant, ce conflit politique en préparation ne doit pas occulter une autre rivalité, d’ordre moins politicien, opposant trois sensibilités de l’« anti-gauche ». Entre le conglomérat LR – UDI et le FN tente en effet d’émerger une tierce droite qui rassemblerait des tendances de l’ex-UMP (Droite sociale de Laurent Wauquiez, Droite forte de Guillaume Peltier et Geoffroy Didier, Droite populaire de Thierry Mariani, Lionnel Luca et Jacques Myard), quelques éléments nationaux-chrétiens épars, rescapés du villiérisme et de La Manif pour Tous ainsi que, peut-être, certains proches (des éclaireurs ?) de Marion Maréchal – Le Pen. Cette ligne serait défendue par l’ancienne éminence grise de Sarközy, Patrick Buisson, et des journalistes à Valeurs actuelles parmi lesquels Geoffroy Lejeune, auteur d’un roman de politique-fiction, Une élection ordinaire (Ring, 2015), qui installe à l’Élysée Éric Zemmour ! Or, Éric Zemmour a gardé de ces lectures de Marx un point de vue marxien anti-libéral guère compatible à long terme avec le national-conservatisme libéral promu par cette mouvance droitière… En parallèle s’agitent dans le champ para-politique des experts de la récupération droitarde d’un catholicisme politique éculé, étriqué et épuisé via des « boîtes à idées », L’Avant-Garde et Phénix, dont les références sont l’ordo-libéralisme et une admiration pour le néo-thomisme de Jacques Maritain. Les parrains de cette initiative seraient ainsi Charles Millon qui dirigea un temps une Droite libérale-chrétienne (tout un programme !), son épouse, la philosophe catholique libérale néo-conservatrice et signataire en 2003 d’une pétition approuvant l’agression yankee contre l’Irak baasiste du Président Saddam Hussein, ou l’avocat Jacques Trémolet de Villers. La parution de la revue d’écologie intégrale (Maritain publiait en 1936 Humanisme intégral), Limite, s’inscrit volontiers dans ce projet qui écarte les questions identitaires fondamentales (l’ethnie et les races au sens de Julius Evola) et la légitime transformation des rapports sociaux dans l’entreprise en rompant avec le système capitaliste libéral au profit d’une coopérative cogérée.

Mais ces sordides considérations politiciennes ne doivent pas oublier une troisième guerre tripolaire, plus sociologiques celle-là que les actuelles tendances politiques auraient tort de négliger, de sous-estimer ou de mépriser parce que la tripolarisation n’atteint en réalité que la moitié environ des électeurs. Cet autre « bloc » anti-politique hautement composite, est l’abstention. Si le bloc contestataire populiste, potentiellement révolutionnaire, exprime une dissidence politique assumée, l’abstentionnisme signifie toujours une sécession civique radicale. Toutes les études politologiques évoquent néanmoins d’évidentes proximités géographiquement et sociologiquement marginalisées entre la masse abstentionniste et les électeurs mécontents et prêts à renverser la table. L’abstentionniste est un électeur FN en puissance ou, plus exactement, l’électeur frontiste est un abstentionniste repenti par intermittence. Par delà cette abstention structurelle massive s’ajoutent les quelques centaines de milliers de personnes non inscrites sur les listes électorales qui marquent leur complète indifférence envers une vie politique sclérosée. Cette remarque ouvre au pôle populiste – contestataire des perspectives réjouissantes si les nombreux abstentionnistes décident de se mobiliser en faveur d’une véritable rupture politique.

Entre ces deux manières d’exprimer une défiance légitime s’intercale un tiers pôle, plus mineur, qui regroupe les votes blancs (2,41 %, puis 2,80 %) et nuls (1,58 %, puis 2,07 %). Ces deux votes traduisent aussi l’exaspération d’électeurs insatisfaits qui refusent d’apporter leurs voix aux listes sarközystes ou qui devinent la vacuité du pouvoir politique.

Loin de la simple actualité politicienne, la triple « guerre des trois » démontre le désenchantement des citoyens. L’action politique seule ne suffit pas. Celle-ci s’agence par symbiose avec le travail social, caritatif, écologique, syndical, culturel et militaire. Pour preuve, la victoire de la coalition régionaliste – autonomiste – indépendantiste à l’Assemblée territoriale de Corse. Seule bonne nouvelle de cette élection régionale.

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Réflexions sur un futur indéterminé… mais peut-être proche

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Dr Bernard Plouvier

On peut espérer que les stratèges civiques ont tiré l’unique leçon des « Régionales » récentes… des élections où, à l’exception du particularisme corse, tout s’est joué à Paris, à la direction des partis et des media efficaces (télévision, radio et réseaux du Net), où l’on a reçu des ordres précis de nos véritables maîtres : barrage absolu au mouvement populiste.

L’on comprend bien la raison de la peur grandissante des empereurs de l’économie. Un peu partout en Europe occidentale, les partis populistes atteignent des scores qui rappellent ceux des années 1920-35. Les raisons de ce succès sont voisines, sinon identiques. Et si nos maîtres étaient autre chose que des virtuoses de la spéculation tous azimuts et du maniement des opinions publiques (ce qui est facile quand on dispose de beaucoup d’argent et de tous les types de media), ils auraient quelques connaissances historiques et sauraient qu’à trop opprimer, pressurer, désespérer le peuple, l’on aboutit constamment à une réaction populiste : on leur conseillerait volontiers de se pencher sur les cas antiques (qui, donc, ne fâchent plus personne ou presque) de Pisistrate, de Denis Ier tyran de Syracuse, voire de ce Néron stupidement sali par d’ineptes pseudo-historiens.

L’arrogance et le trop plein de richesses des maîtres sont d’autant plus mal supportés que les conditions de survie du bon peuple deviennent mauvaises, non pas seulement dans le présent - le peuple a l’habitude de souffrir et d’encaisser les coups -, mais pour l’avenir. Ne pas offrir une perspective de vie meilleure pour les enfants et petits-enfants, c’est cela qui révolte le bon peuple et le rend mauvais, voire violent.

Tout le monde le sait : l’Europe, continent civilisateur par excellence, est en voie de désindustrialisation accélérée, de régression inédite en matière d’instruction publique, de ruine culturelle. À ce désastre, se surajoute l’invasion de la partie occidentale du continent par des dizaines de millions d’immigrés, dont beaucoup sont brutaux, avides et conquérants, provenant d’Afrique noire et maghrébine, du Proche et du Moyen Orients (on en dénombrait 55 millions en 2013 ; probablement 60 de nos jours), véhiculant une religion de haine pour l’infidèle, une religion médiévale, n’ayant pas connu de Renaissance… ce qui ramène les Européens un demi-millénaire en arrière et leur promet des guerres de religions en plus de l’inévitable guerre entre autochtones et envahisseurs.

Grâce à des milliards d’unités de compte habilement dépensés, nos maîtres sont parvenus jusqu’ici à hypnotiser leurs victimes. Depuis les années 1980, ils ont toujours réussi à maîtriser les gouvernements, les faisant agir dans le sens des seuls intérêts des bénéficiaires d’une production économique délocalisée en des zones de faibles exigences salariales et de protection sociale nulle et du brassage des races pour annihiler les velléités de protestations de la majorité des peuples occidentaux… majorité composée de sous-doués, tellement stupides qu’ils ne perçoivent pas jusqu’à présent le double risque de paupérisation et de substitution de populations en Europe.

Aucune consultation électorale ne pourra changer quoi que ce soit à cet état de fait. La politique est le règne des habiles manœuvrant une majorité de médiocres… sauf à bénéficier d’un chef authentiquement dévoué à la Nation, agissant dans un État doté d’une Constitution où les votes sont soumis au régime de la proportionnelle intégrale. Il ne faut pas rêver : nos bons maîtres l’ont compris depuis fort longtemps et aucun pays n’élit ses représentants de cette façon. Quant aux présidentielles, la propagande des maîtres est tellement approvisionnée en argent que les manipulateurs d’opinions publiques font élire n’importe quelle nullité pourvu qu’elle soit totalement inféodée aux puissances d’argent, par sa faiblesse, sa vénalité ou ses antécédents douteux.

Un régime favorable au peuple, défendant farouchement ses intérêts culturels autant qu’économiques et spirituels, prônant ses valeurs identitaires et respectant son histoire, ne peut s’instaurer par une consultation électorale en « période molle » - c’est-à-dire lorsque le peuple est massivement composé d’individus veules et amollis : ce que de Gaulle appelait un « peuple de veaux ».

Le rôle des hommes et des femmes sincèrement et farouchement attachés aux valeurs nationales est de travailler inlassablement l’opinion locale pour qu’une forte minorité agissante soit prête à se lever lorsque le système amoral actuel craquera, sous le poids de la Dette des États et du vide sidéral des caisses sociales, ou par l’effet d’une guerre des races et des religions débutée par nos hôtes, nos immigrés-envahisseurs, faussement rassurés par leur surarmement (via les rois et princes du pétrole et de la drogue) et par la veulerie des gouvernants-collaborateurs.

C’est agir avec beaucoup d’intelligence que de laisser à son ennemi mortel la responsabilité de tirer le premier coup de fusil ou de canon. En temps de guerre, se trouver en situation d’agressé confère à la fois ardeur et légitimité. Franklin Delano Roosevelt l’avait compris et cela ne lui a pas trop mal réussi.    

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Le Journal du Chaos de cette semaine

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Bons et mauvais anti-racistes...

Randa Ph 2.jpgLa chronique de Philippe Randa

Le délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme Gilles Clavreul n’a par l’heur de plaire à tous les antiracistes depuis qu’il dénonce les « antiracistes pervertis » qui « instrumentaliser(aient) la jeunesse » ; entendez par là celle des « quartiers » !

Sont ciblés non seulement « Tariq Ramadan, le Parti des indigènes et un certain nombre de collectifs antidémocratiques, racistes et antisémites », mais plus encore celles et ceux – « certaines organisations d’extrême gauche et (des) syndicats professionnels » – qui « légitimer(aient) l’islamisme » en « défend(ant) les prédicateurs fondamentalistes (…) sous couvert de dénoncer une prétendue atteinte aux libertés fondamentales… »

Ces « mauvais antiracistes » seraient ceux qui se permettraient de critiquer l’état d’urgence institué par le gouvernement actuel.

La Ligue des droits de l’homme, s’étant senti visée, lui a rappelé qu’il n’avait pas à « dicter une doxa antiraciste et pas plus d’exclure tel ou tel. »

La charge du Délégué à l’encontre de « tous ces gauchistes qui jouent, sans vergogne, le jeu du communautarisme » masque en réalité une vieille querelle sur l’antisémitisme qui, déjà dans les années70 du siècle dernier, déchiraient LICRA et MRAP avec procès à l’appui…

Pour Gilles Clavreul : « Tous les racismes sont condamnables, mais le racisme anti-Arabe et anti-Noir n’a pas les mêmes ressorts que l’antisémitisme dans sa violence. Il faut être capable de dire la particularité de l’antisémitisme. »

Si tous les racismes sont condamnables, certains le seraient plus que d’autres… Tiens donc !

10:59 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 19 décembre 2015

Aujourd'hui, samedi 19 décembre, Emmanuel Albach dédicace "Beyrouth 1976" à la Librairie Facta

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Médias Presse Info revient sur la biographie que Jean-Claude Rolinat a consacrée à Salazar

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Antonio de Oliveira Salazar (1889-1970), à la tête du Portugal de 1926 à 1968, est un modèle de chef politique intègre et soucieux du bien commun.

Profondément catholique, Salazar a conduit le pays avec cette conscience de la primauté du spirituel. Ce qui ne l’empêcha pas d’assainir les finances de l’Etat portugais en instituant un système corporatif qui fit ses preuves. Mais Salazar a protégé tant qu’il a pu son pays et son peuple de cette mentalité matérialiste qui a envenimé l’Europe de l’Ouest.

« Et si, grâce à un travail encore plus intense, à un dévouement encore plus profond, à un sacrifice encore plus généreux, il est possible de rendre le Portugal plus digne, plus riche et plus aimé, et plus facile et plus heureuse la vie de tous les Portugais, si malgré cela nous n’avons ni converti ni désarmé un seul des ennemis de cette œuvre de salut national, au moins aurons-nous pris sur eux la plus belle vengeance, à la manière chrétienne. « , écrivit Salazar.

Son exceptionnelle probité et son humilité naturelle le distinguent radicalement des politiciens que nous connaissons. Ainsi, illustration parmi d’autres de cette probité, Salazar président du Conseil portugais réglait-il à l’Etat le loyer de sa résidence d’été ! Nous sommes loin de la mentalité régnant à l’Elysée…

Salazar le regretté, Jean-Claude Rolinat, éditions Synthèse Nationale, 2012, 164 pages, 18 euros

A commander en ligne sur le site de l’éditeur

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Yvan Benedetti condamné par la "Justice" du Système

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Yvan Benedetti a été condamné mardi 15 décembre à 5.000 euros d’amende et 2.500 euros de dommages et intérêts par le tribunal correctionnel de Lyon.

C’est la somme astronomique de 7.500 euros que le directeur du site Jeune Nation doit débourser, reconnu coupable par la République socialiste « d’injures publiques », après avoir comparé dans un article Jean-François Carenco, alors préfet du Rhône, à « un agent officiel de l’anti-France à Lyon ».

Une simple critique sans insultes envers des agents du système est désormais passible d’une lourde amende pour les nationalistes !

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Le professeur Bernard Lugan invité du Bistro Libertés de TV Libertés

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vendredi, 18 décembre 2015

Il ne faut pas confondre Équité & Justice

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Dr Bernard Plouvier

Trop de nos contemporains, nés au siècle précédent (que font regretter, en dépit de ses tares, la médiocrité et l’effarante régression intellectuelle et spirituelle du nouveau), en sont restés à l’esprit du Droit romain, revu par les Codes napoléoniens qui ont régi notre pays jusqu’au dérèglement post-soixante-huitard.

Ce Droit avait pour essence et pour finalité de protéger l’honnête citoyen face à la canaille (voleur, escroc) et à la crapule (assassin, violeur, trafiquant de drogue – ce qui réalise un meurtre programmé -, propagandiste de la haine religieuse, raciale ou politique). Son principe était simple : malheur à celui par qui arrivent scandales, délits et crimes.

De nos jours, les nouveaux codes admettent une « Justice » infiniment plus politisée, en ce sens que la sociologie et la psychologie de bazar (telle la supercherie psychanalytique) surajoutent leurs méfaits au crétinisme des années 1968 sq. De ce fait, un voyou est devenu une victime de malchances sociales et d’un défaut d’instruction, puisque, c’est bien connu, l’instruction rend honnête. Manifestement, les socio-machins ne connaissent pas trop certains milieux hautement intellectualisés de la finance, du négoce de haut vol, des hauts-fonctionnaires, du monde médical – je l’évoque en connaissance de cause- etc.

Selon que vous serez nés dans un milieu « défavorisé » ou non, les jugements de cour vous rendront ou tout blanc ou tout noir (sans connotation raciale… on ne fait que paraphraser ce bon La Fontaine). Bref, il vaut mieux être un petit voyou, un immigré ou rejeton de cette « chance nouvelle », plutôt qu’un agriculteur, un commerçant, un propriétaire qui tente de défendre son bien ou son gagne-pain.

Il existe, depuis le XVIIIe siècle et les plaidoyers du marquis de Beccaria, un autre principe : celui de la proportionnalité de la peine et du délit ou du crime. Excellent principe… hélas fort mal suivi par nos Codes et, partant, par nos magistrats.

En l’absence de peine de mort, comment juger en équité celui qui volontairement a tué ? Comment éviter la récidive d’un violeur (la perversité sexuelle étant, comme tous les comportements animaux, génétiquement induite, donc programmée pour la récidive), si l’on refuse la castration… d’ailleurs pas toujours efficace, car un castrat peut « s’ériger », grâce aux androgènes surrénaliens (et les anti-androgènes actuels sont d’une efficacité aléatoire chez certains sujets). Comment faire payer les petites crapules, bonnes à rien faire d’autre que détruire, qui incendient, saccagent et pillent lors des émeutes raciales ? Et l’on pourrait multiplier longuement les rubriques où crimes et peines sont hors de toute proportion dans un système épouvantablement laxiste.

Moins que jamais, le citoyen français lambda – le contribuable-électeur, dont l’assemblée générale est théoriquement le seul souverain légitime de l’État – peut se sentir en sécurité chez lui ou dans les rues. Il lui faut également savoir que, dans son pays, le Droit n’a plus qu’une très lointaine parenté avec l’Équité, soit la stricte Justice qui est de donner à chacun ce qu’il mérite : réparation, pour la victime ; châtiment pour le délinquant et le criminel.

En période de surpopulation, d’une dangerosité majeure pour la survie des sociétés, l’on pourrait penser qu’il est utile de privilégier les gens honnêtes plutôt que les voyous et la lie de l’humanité. L’actualité démontre qu’il n’en est rien.

20:00 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

DIMANCHE 13 DECEMBRE : HOLLANDE, SUPER HEROS, SAUVE LA PLANETE ET LA REPUBLIQUE !

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Le Bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

La fameuse « COP-21 » s’est achevée sur les applaudissements des centaines de délégués de 195 Etats qui ont réussi « l’exploit » à s’entendre sur un texte à minima, non contraignant, alors que le jour même la République était sauvée du fascisme qui la menaçait ! Hollande, « super héros » du monde « libre » ! (1)

La grande foire du Bourget a clos ses portes, les franciliens vont pouvoir circuler un peu mieux dans ce secteur septentrional de la région parisienne.195 pays représentés par des hommes et des femmes qui n’ont pas boudé leur plaisir d’être dans la capitale française – la bonne aubaine ! – ont finalement adopté un catalogue de bonnes intentions avec, comme objectif premier, d’aboutir à une hausse de la température planétaire de seulement 1,5 degré à l’horizon 2100. Comment ? D’abord avec des promesses, car aucun des pays pollueurs majeurs comme ceux du groupe des producteurs d’énergies fossiles ne sont contraints. Ce sont donc des promesses d’engagements et, comme le disait Charles Pasqua avec justesse, « les promesses n’engagent que ceux qui les croient ! ». Les producteurs de gaz et de pétrole vont trainer les pieds, c’est évident. Des pays comme l’Arabie Saoudite, les Emirats ou le Qatar par exemple, vont-ils accepter de revenir à la pèche aux perles, à la cueillette des dattes et à l’élevage des chameaux ? Que nenni ! La Chine, grosse productrice de charbon, comme l’Allemagne et la Pologne d’ailleurs, va continuer pendant un bon bail à ouvrir des centrales thermiques tandis que les Etats-Unis ou le Canada vont vouloir aller jusqu’au bout de leurs gisements de schistes. La planète ne se couvrira pas totalement d’éoliennes disgracieuses pour les seuls beaux yeux d’écologistes qui, paradoxalement, sont hostiles au nucléaire alors que cette énergie ne pollue pas ! Il est vrai que le problème du retraitement des déchets de l’atome n’est pas réglé sur le long terme et que des catastrophes comme celles de Tchernobyl ou de Fukushima ont de quoi refroidir l’enthousiasme des chauds partisans de cette énergie relativement économique ! Reste les panneaux solaires dont l’Afrique subsaharienne pourrait se couvrir, comblant d’aise Monsieur Borloo et son projet d’électrification du continent noir. Mais, si le réchauffement climatique est nettement perceptible avec le recul des glaciers et la fonte de la banquise, rien ne prouve que l’activité humaine en soit la seule et unique responsable, comme tente de le démontrer le lobby onusien du GIEC. L’histoire climatique de notre planète, pour ce que l’on en sait, n’est-elle pas ponctuée d’épisodes de glaciation et de réchauffement ? Les Vikings, grands voyageurs nordiques de temps lointains, n’ont-ils pas appelé « Groenland » - « Terre verte » - la grande ile danoise perchée au nord de la planète, entre Europe et Canada ? En tout cas, des pays prévoyants comme le Royaume de la tulipe dont bon nombre des terres sont situées sous le niveau de la mer, entreprennent ou vont entreprendre des travaux gigantesques pour mettre leurs populations à l’abri de la montée des eaux, tout comme l’archipel des Maldives. La République de Nauru perdue dans la Pacifique, un anneau de moins de 20 000 habitants rongé par l’exploitation du phosphate, a acheté plusieurs immeubles en Australie pour sauver sa population par... l’exil. Les iles Tuvalu, un autre micro Etat indépendant de cette région du globe, n’a rien fait. La piste de son seul aéroport est quotidiennement balayée par les eaux au gré des marées… Avec les inévitables conflits qui éclateront pour le contrôle et le partage des eaux, Nil et Euphrate notamment, ou la submersion progressive de la frange côtière du Bangladesh, l’avenir n’est pas rose pour la planète bleue ….

La «  Tsarine «  et la benjamine

L’avenir n’est pas rose non plus pour le Parti socialiste, aux dirigeants duquel on prête l’idée saugrenue de changer de nom, comme si une nouvelle identité de façade pouvait camoufler l’immense rejet qu’inspire aux Français sa politique. Un sondage TNS/SOFRES pour LE FIGARO publié le mardi 15 décembre, donne François Hollande battu à la présidentielle de 2017 dans tous les cas de figures ! (Rappelons, toutefois, qu’un sondage n’est que le reflet d’une opinion à un moment donné et en aucun cas une prédiction !). Même si sa défaite est camouflée en « victoire » relative, l’échec du parti gouvernemental est là, évident. Le PS aura moins d’élus que le Front National et il recueille moins de voix que ce mouvement, si l’on décompte les suffrages de ses alliés potentiels, radicaux, écologistes et Front de gauche. (Et quand on a des alliés comme ça, point n’est besoins d’ennemis !). Mais ses adversaires de la coalition du Centre et de la Droite auraient tort de pavoiser. D’abord ils engrangent deux régions – Nord/Picardie et PACA - grâce au retrait immoral et tacticien des listes socialistes et à l’incroyable bombardement médiatique hostile au FN .Et ensuite parce que la Normandie comme l’Ile de France ne sont conquises que sur le fil du rasoir. Certes, le deuxième tour n’a pas été le reflet du premier et les ridicules menaces d’un Valls parlant de « guerre civile » comme la déferlante syndicale et médiatique ont stoppé net les ambitions du leader du FN comme celles de sa nièce, elles, toutes deux, qui veulent tant appartenir à un système qui les a recalées. Pour combien de temps ? Les résultats d’un parti auquel j’ai appartenu comme beaucoup d’entre nous, sont spectaculaires. Mais les scores obtenus par les listes Dupont-Aignan le dimanche 6 décembre et l’absence de « Villiéristes », prouvent qu’entre le bloc des Républicains / UDI et le parti de Marine Le Pen, il y a de la place pour un mouvement d’opinion plus large qu’un simple courant néo-gaulliste et souverainiste : celui d’une ambition française. La nôtre. L’ambiguïté idéologique d’un mouvement qui se veut populaire comme le FN pour ne pas dire sa dichotomie entre un  Nord plus « prolétaire » et un Sud plus « conservateur », est lourde d’inconnues. Mais quand la « Tsarine » du Front National dit que, désormais, le combat n’est plus entre Droite et Gauche démonétisées mais entre mondialistes et patriotes, elle n’a pas tout à fait tort. Sauf qu’elle n’a pas le monopole de cet affrontement : sur notre créneau, sans compromissions avec le système, nous sommes là !

Note

(1) Un drôle de militant du « bilan carbone », ce Monsieur Hollande. Il n’a pas hésité à prendre un Falcon pour aller voter le même jour en province, et faire ainsi en avion un aller et retour Paris/Tulle ! Le Président de la République ne connait-il pas le système des procurations ?

19:54 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 17 décembre 2015

Le calendrier 2016 de l'association bourguignone "Des racines et des Elfes" est en vente

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Mercredi 20 janvier, conférence d'Alain de Benoist et Thibault Isabel à Lille

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Avant les Fêtes de Noël et de la St Sylvestre : pensez à acheter les Bouquins de Synthèse nationale pour les offrir à vos amis !

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Pour les Fêtes : UN CADEAU DES "BRIGANDES"

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Le marchand de sable

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Dr Bernard Plouvier

Nos merveilleux ministres, si fringants depuis qu’ils ont évité une déculottée électorale, n’ont pas assez d’indignations ni de trémolos pour condamner des dirigeants du Front national qui ont répondu à une basse provocation en publiant des images vraies.

On connaît la technique. On diabolise l’ennemi à détruire par d’immondes comparaisons et d’ignobles insultes, puis le parquet – par définition, aux ordres du Garde des Sceaux – poursuit les victimes lorsqu’elles répondent à la provocation par une phrase un peu rude (ce fut la spécialité de Jean-Marie Le Pen) ou, technologie moderne oblige, par diffusion d’images sur les réseaux sociaux.

Un jour, Jean-Marie Le Pen entend un obscur tâcheron de la politique nommé Durafour dire publiquement : « Il faut exterminer le Front national ». Il rétorque « Dura - four crématoire », en un calembour d’un goût laissé à l’appréciation du public et surtout de juges, car désormais la « Justice » intervient dans certaines querelles politiciennes et curieusement toujours à sens unique. On classe assez vite l’assassinat d’un François Duprat, mais on s’acharne sur les « mots » de Jean-Marie Le Pen.

En cette fin d’automne où des djihadistes ont assassiné plus d’une centaine de Français, c’est dans l’urgence qu’un parquet poursuit Marine Le Pen pour diffusion d’images de barbarie, en oubliant un peu vite que d’immondes provocateurs, insultant le tiers des électeurs français qui osent s’exprimer, ont bavé sur le Front national en le comparant à la lie actuelle de l’humanité : les chefs de l’État Islamique et leurs tueurs.

Les Français de ma génération ont eu droit de façon quotidienne aux images des « camps de la mort », des pendaisons ou fusillades de Juifs et de résistants par les vilains nazis. Nous avons vu des bonzes se faire brûler vifs durant la guerre du Viêt-Nam, les photographies des innombrables charniers d’Afrique et d’Asie décolonisées. Une loi, votée en 2014, empêche de montrer la barbarie actuelle, brevetée califat nouveau, et il est utile d’en chercher les raisons.

Surtout « pas de vague », de peur de déclencher de nouvelles émeutes raciales, où l’islam servirait d’alibi à ceux qui, à défaut d’exercer une profession utile, sont devenus des agents de la haine destructrice, toujours prêts à faire flamber une cité… d’autant que l’État bon prince répare après avoir déblayé les ruines.  

On ne peut montrer la réalité de l’islam conquérant lorsque l’on va mendier des emprunts d’État, voire des subsides pour des partis politiques, au Qatar ou en Arabie saoudite. Quelle peut être la liberté d’action d’un gouvernement « français » aux ordres, comme celui d’Obama, des multinationales dont les plus puissantes restent encore les compagnies pétrolières ?

Enfin, ce n’est pas l’échéance présidentielle de 2017 qui inquiète nos brillants politiciens du parti unique gauches-droites-centre marécageux. On rejouera le scénario de la réélection de Jacques Chirac : tous unis contre le candidat populiste quel qu’il ou elle soit. C’est plutôt l’irrésistible ascension du mouvement populiste qui fait peur, à échéance plus lointaine, car ce sont des jeunes qui votent désormais pour le FN… et ces jeunes sont assez désespérés pour oser s’insurger au cas où nos aimables hôtes extra-européens, islamistes ou non, seraient tentés par l’essai d’une « émeute générale », comme d’autres un siècle plus tôt, ont paralysé des États par la grève générale.

Il est donc urgent, au pays des Bisounours, d’endormir qui veut l’être, d’anesthésier qui souffre trop d’entendre des paroles un peu dures ou – horreur suprême – de voir mourir un bébé-phoque… l’ennui c’est qu’il s’agit d’hommes et de femmes que les djihadistes décapitent et mitraillent ; l’ennui, c’est que les musulmans sont 55 millions en Europe et qu’il en vient d’autres tous les jours.

Dormez, je le veux, dit l’hypnotiseur.

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Samedi prochain, à Saint Cloud (92), Roger Holeindre dédicacera son livre

Holeindre-CNC-Var.jpgLe SAMEDI 19 DECEMBRE 2015

de 10h00 à 16h00

à la Brasserie LE MAGENTA

(1, place Magenta 92210 SAINT-CLOUD)

VENEZ RENCONTRER ROGER HOLENDER

il dédicacera son nouveau livre cliquez ici

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Triste réalité d'un monde éclaté...

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mercredi, 16 décembre 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

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Cambadélis manque cruellement de culture politique : l'Alliance populaire a déjà existé

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Jean-Christophe Cambadélis, conscient de la mauvaise passe dans laquelle le PS est tombé, essaye de faire preuve d'imagination pour sauver celui-ci de la faillite. Il pense même avoir trouvé la solution et il ne parle que de cela depuis lundi matin : le salut viendra de... l'Alliance populaire (cliquez là). Voilà une bonne idée, mais quel dommage que nous ne l'ayons pas connu trente ans plus tôt ce Cambadélis. 

Si l'ex-trotskiste ne manque pas d'inspiration, visiblement il manque de culture politique. Il faut en effet savoir que l'Alliance populaire, hélas souvent oubliée aujourd'hui (accordons-lui cela), fut la deuxième scission d'envergure du Front national depuis sa création en 1972. La première étant celle du Parti des Forces nouvelles en 1973 (cliquez ici) et la troisième celle du MNR en 1998.

L'Alliance populaire, pour votre gouverne, exista de 1992 à 1996 (elle se transforma alors en Parti national républicain avant de disparaître en 1999). Son Président était Jean-François Touzé et son Secrétaire général... Roland Hélie. Elle fut le premier mouvement nationaliste a appeler à voter NON au Traité de Maastricht lors du référendum de septembre 1992. Aux élections législatives de 1993, elle présenta une centaine de candidats à travers la France et il en fut de même lors des cantonales de l'année suivante. L'AP, dans un souci de rassemblement, appela même à voter Jean-Marie Le Pen à la présidentielle de 1995. Bien que parfois encourageants, ses résultats ne lui permettaient cependant pas d'exister politiquement face au FN. L'Alliance populaire, c'était du MNR avant l'heure en quelque sorte...

Son histoire, brève mais intense, reste à écrire. Ce pourrait d'ailleurs être le thème d'un prochain Cahier d'Histoire du nationalisme. Jean-Christophe Cambadélis pourra ainsi le lire et faire preuve d'un peu plus de jugeote lorsqu'il voudra changer le nom de son parti moribond.

Synthèse nationale

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Affiches et tracts de l'AP collées lors des législatives de 1993. Pas vraiment dans le style Cambadélis...

18:29 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dans la recomposition de la droite française, la stratégie d’alliances pourrait devenir inévitable

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« Pour en finir avec le « plafond de verre » actuel, c’est-à-dire pour que l’électorat de droite lui apporte les suffrages qui lui font défaut, il faut au Front national intégrer la dimension civilisationnelle du combat politique, qui est, que cela plaise ou non à Philippot, un des déterminants du vote droitier, et réviser son approche économique, qui lui vaut, dans son état actuel, la défiance des « forces vives de la nation », sans parler de l’électorat le plus âgé qui a particulièrement fait défaut à Marion Maréchal en Paca.

La question de l’accession au pouvoir sans alliés est aussi posée. Si le Front national y parvenait, ce serait une première dans l’histoire de la Ve République, dont les institutions sont faites pour favoriser les alliances. Philippot y a apporté un début de réponse au lendemain du scrutin, en déclarant qu’il y a « des patriotes en dehors du Front national » et qu’il voudrait « travailler » avec Debout la France de Nicolas Dupont-Aignan. Si on se demande ce qui empêche effectivement Dupont-Aignan de se rapprocher de Marine Le Pen – hormis un ego surdimentionné –, la démarche est insuffisante. D’abord parce que le Front national de Marine Le Pen, plus encore que celui de Jean-Marie Le Pen, s’est solidifié sur la certitude de pouvoir parvenir au pouvoir seul et ne tolère d’« allié » que dans la soumission, au travers d’un Rassemblement Bleu Marine qui n’est que l’autre nom du Front national. Ensuite parce qu’il ne suffit pas de tendre la main à un parti qui est effectivement sur la même ligne politique. La recherche d’alliés, à supposer qu’elle soit sincère, suppose l’acceptation de désaccords, et même de divergences profondes sur certains points, qui doivent pouvoir s’exprimer. La gauche a toujours fonctionné ainsi et cela lui a plutôt réussi, que ce soit dans la conquête puis dans l’exercice du pouvoir par François Mitterrand ou sous les différentes formes ultérieures de « gauche plurielle ».Pour Marine Le Pen, cela implique de rompre avec une mentalité « bushiste » qui peut s’exprimer ainsi : qui n’est pas à 100 % avec moi est contre moi.

Il existe, dans le paysage politique française, des formations entre Les Républicains et le Front national. Elles sont certes petites mais guère plus que les radicaux de gauche. Elles ont le mérite, aussi, de couvrir des pans du combat politique auquel la direction du Front national reste hermétique. La bonne nouvelle est que, dans la recomposition probable de la droite française, cette stratégie d’alliances pourrait devenir inévitable. À moins d’être persuadé qu’il faut laisser filer vers d’autres horizons tout le champ conservateur et libéral. »

13:29 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 16 janvier, Carl Lang à Toulouse

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13:21 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Que faire des migrants ?

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Yves-Marie Laulan

Président de l'Institut de géopolitique des populations cliquez là

Que faire des migrants qui encombrent nos frontières, nos autoroutes, nos gares et nos plages ? Il est de fait qu’ils sont bien encombrants. On ne sait quoi en faire car personne ne leur a demandé de venir chez nous. Nous voilà coincés entre les bons sentiments qui nous animent et le réalisme qui devrait commander de les envoyer promener.

C’est une situation inédite. Elle est née des troubles au Moyen-Orient certes, également de la grosse sottise teutonne de Mutter Merkel, mais aussi et surtout d’un nouvel Évangile prêché au delà de nos frontières. C’est l’idée, qui s’est répandue comme une traînée de poudre sur toute la planète, que l’Europe, nouveau « ventre mou du monde », était un eldorado pour chacun et pour tous, une sorte de Sécurité sociale au plan mondial, ouverte à tous sans distinctions, sans restrictions et sans risques.

Car nos migrants se baladent un peu partout en Europe, à pied, en bateaux, et en train, les mains dans les poches, dans l’impunité la plus totale. Pas de risque de mourir de faim ou de froid sur les chemins de l’Europe. Encore moins d’attraper un mauvais coup. Pas de violence ni de mauvais traitement. Alors pourquoi s’en priver ? C’est un des bienfaits, avec le terrorisme, du traité de Schengen, cette idée de fous née dans la cervelle obscurcie de quelque eurocrate socialiste.

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12:13 Publié dans Débat sur l'identité | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 15 décembre 2015

La nouvelle affiche du GUD

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23:14 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Eric Zemmour : Marine Le Pen avait raison mais la dédiabolisation et le parricide ont été inutiles

22:55 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Intervention d'Alain Escada, Président de Civitas, au Parlement européen sur l'immigration

MPI-TV (cliquez ici) a filmé l’intégralité de l’intervention d’Alain Escada, président de Civitas, invité à prendre la parole au colloque sur l’immigration organisé au Parlement Européen de Bruxelles le lundi 7 décembre 2015 à l’initiative des eurodéputés grecs d’Aube Dorée.

13:12 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le bal des cocus

Dates-des-elections-regionales-2015.jpgLe billet de Patrick Parment

Les Français, une fois de plus, ont décidé de ne pas franchir le Rubicon. Après un pas en avant, deux pas en arrière. Il y avait là, pourtant, matière à confirmer le peu d’estime qu’ils manifestent à l’égard de leur classe politique. Une fois de plus, les Français ont cédé aux incantations mensongères des parti politiques. Une fois de plus, ils seront cocus. Car, comme n’ont pas manqué de le relever quelques observateurs avertis, seul 2017 préoccupe le camarade Hollande. Et jouer la fausse carte du républicanisme n’était qu’un piège dans lequel seul un Jean-Pierre Masseret n’est pas tombé. Hollande n’a qu’une idée en tête, décrédibiliser la droite, et Sarkozy en particulier, de manière être le seul à affronter Marine Le Pen au second tour des présidentielles. Car il est désormais acquis que le Front national est un parti de premier tour.

Une fois de plus, et à son corps défendant cette fois, le Front national a fait le jeu des socialistes en leur permettant de conserver quatre des sept conseils régionaux en leur possession. Si l’Aquitaine, le Centre, la Bourgogne et le Languedoc ne sont pas passés à droite, c’est bien en raison des scores du Front national qui a caramélisé le candidat de la droite ripoux. Autre leçon de ce scrutin, le « peuple » de gauche s’est bel et bien mobilisé, venant renforcer le clan des cocus.

Au final, qu’ont gagné les Français dans cette élection ? Rien. Si ce n’est de faire monter la pression du Front national afin de titiller cette classe politique qui ne semble guère les satisfaire.

Trois sujets – parmi d’autres – inquiètent les Français : l’immigration, l’emploi et la perte de notre d’identité.

En matière d’immigration, ce que les Français supportent de moins en moins, c’est le laxisme des autorités vis-à-vis des musulmans ou plutôt d’un islam qu’on laisse s’installer au mépris de nos racines judéo-chrétiennes et d’une charia qui devient le code dominant de trop nombreuses banlieues des grandes et moyennes agglomérations. Toute la bande de pseudo laïcards, francs-maçons et consorts qui baissent leur froc devant toute forme de communautarisme tout en nous donnant des leçons de laïcité, est proprement insupportable.

L’autre mensonge, c’est l’emploi. Qu’ils soient de gauche ou de droite, nos gouvernements successifs n’ont eu de cesse que de casser nos outils industriels. Si Pechiney en est le symbole, Areva pourrait en être un autre. Et ceci n’est que le fait d’énarques incompétents qui grouillent à Bercy et à la tête des entreprises d’Etat. Ils sont servis par un patronat dont Pierre Gattaz, après Laurence Parisot, est l’illustre figure de la médiocrité.

Tous les économistes tant soit peu lucides, le disent : il existe des solutions que nos gouvernants s’obstinent à ne pas mettre en œuvre.

Toute course à l’emploi passe par une réforme de notre système éducatif, non pas sur la base d’un égalitarisme à la Najat Belkacem, mais sur la valorisation de l’enseignement professionnel. L’avenir, ce ne sont pas les grosses boîtes mais l’enrichissement du tissu de PMI-PME et des artisans. C’est le maintien de la sélection à l’école afin de former les élites dont notre pays à besoin et dont les grandes écoles sont encore le reflet. Pour combien de temps encore ? L’école, c’est le ciment qui forge la nation.

Enfin, la perte d’identité. Les Français ne se reconnaissent plus dans le flou qu’est devenu la nationalité française ouverte à toutes les maternités. Ils ne se reconnaissent plus dans l’enseignement donné à leurs enfants. Ils ne se reconnaissent plus dans un ailleurs qu’on leur impose au détriment du bonheur d’être ici. Ils se posent la question de savoir ce que signifie cet « être Français » qui fut la fierté de leurs parents.

Mais les Sarkozy, Valls et Hollande ont les yeux rivés sur 2017. Français, une fois de plus, vous êtres cocus !

PS : Le Front national n’est pas la solution à tous nos maux. Il en reste néanmoins l’amorce.

10:39 Publié dans Editoriaux, Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RÉGIONALES 2015 : LA KERMESSE TOURNE COURT La Droite n'est plus l'opposition

French_regional_elections_2015_2nd_Round.svg.pngMichel Lhomme

Métamag cliquez ici

Soulagement chez les bourgeois : le Front national ne remporte aucune région. Le "premier parti de France", en tête dans six régions dimanche dernier, n'en obtient aucune au second tour. Le système gouverne mal mais se défend bien. La gauche calculatrice s'est de fait très bien défendue : elle conserve 5 régions alors qu'elle aurait dû les perdre toutes. Elle conserve ces 5 régions grâce à la Droite. Celle-ci réussit à faire barrage au Front National mais comme l'a très bien relevé Marion Maréchal-Le Pen : « il y a des victoires qui font honte aux vainqueurs ».

Même si leurs communicants, sans lesquels ils ne font rien, leur ont dit qu’il ne fallait pas trop exulter sur les plateaux de télévision, ils l'auront tout de même fait, le pire étant sans doute Nicolas Sarkozy puisque Marine et Marion ont été battues, et c’est cela seul qui comptait pour lui. Le Soir de Bruxelles titrait sur internet jubilatoire : le FN battu partout. Gauche et Droite parlementaires, la Drauche comme nous l'appellerons désormais vont de nouveau se partager la gamelle. Ils raconteront maintenant que grâce à eux, la République a été sauvée, et que le fascisme n’est pas passé.

Les régionales 2015 furent tout de même un grand moment politique : d'abord, il y eut le triomphe du Front national puis ensuite, on entonna une sorte de kermesse démocratique droite et gauche confondues sans aucune argumentation sérieuse mais en servant uniquement un discours de mépris du populaire au service d'un plébiscite grave et solennel voulu par le Premier ministre. La gauche se sacrifiait et la droite se couchait. La presse se vautrait sans l'admettre dans la compromission des subventions. Á l'évidence, on oubliait les régions, les terroristes et l'état d'urgence. Le vote du 13 décembre se transformait en un vote pour ou contre Le Pen, pour ou contre le Front national, pour un plébiscite gouvernemental même si Xavier Bertrand, l'homme que la gauche a fait roi semble à ce titre le plus lucide et avoir admis et reconnu la modestie de sa victoire.

Ces élections resteront comme les élections de l'absence de débats, de la paralysie des programmes et de l'impolitique pure. On n'a discuté de rien. Rien en effet sur l'anémie de l'économie et le chômage comme gangrène; rien sur les déficits sociaux (assurance santé et retraites) ; rien sur le gouffre budgétaire, rien sur les bombardements de Syrie et le soutien indirect à Daesh. C'est un bien sombre tableau électoral où nous entraîne depuis trente ans toute la classe politique française.

Les socialistes ont abordé les élections régionales avec un lourd handicap : leurs chefs de file naturels étaient discrédités, excepté le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian qui a d'ailleurs évité dans toute sa campagne de prononcer le mot "socialiste" et de fusionner avec les écologistes et le Parti communiste. Or la Droite ne gouvernera des régions que parce qu'elle a accepté les voies des socialistes parce qu'elle est comme eux mondialiste.

Sur ce décor sinistre d'une recomposition de la vie politique française, on élira demain les Présidents de région. Ce sera l'élection par défaut des Présidents du Système. Les choses sont claires. Il n'y a plus de tripartisme mais bien un nouveau bipartisme : le Front national et la drauche.

10:08 Publié dans Michel Lhomme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tribune libre : Il est urgent de redonner son indépendance à la Nation française

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Dr Bernard Plouvier

Comme n’importe qui peut le constater en consultant un atlas ou une mappemonde : la France est sise en Europe, continent étendu de l’Atlantique à Vladivostok, domaine de la race blanche, résultant elle-même d’un très heureux amalgame, remontant à la préhistoire, entre des blonds et des roux, généralement grands, et des bruns à peau claire (mais bronzant mieux que les précédents) de taille variable, tous étant issus de ce continent… et qu’on ne nous ressorte pas la funeste bêtise d’une commune origine africaine des quatre races fondamentales de l’humanité moderne, totalement démentie par l’étude anthropologique des boites crâniennes aussi bien que par la génétique.

De nos jours, cette évidence de géographie humaine est perturbée par l’immigration-invasion de l’Europe par 55 millions d’extra-Européens, provenant essentiellement d’Afrique (noire et maghrébine) et du Proche-Orient, la Turquie fournissant le plus gros de ce lot. Comble de bonheur, au mélange racial se surajoute l’importation massive de sectateurs d’une religion médiévale où la guerre de conquête est inscrite en toutes lettres dans le livre réputé saint et fondateur de ce culte : l’islam, son coran et son djihâd.

Qu’en Allemagne, une Chancelière vieillissante ait introduit 1 million de ces immigrés-envahisseurs en cette année 2015 ne regarde que nos voisins… et quand l’on pense que mémé Merkel n’a même pas obtenu son Nobel de la Paix, on rigole un peu (voire beaucoup).

En France, la seule conclusion à tirer des régionales de ce mois de décembre est l’absolue et urgente nécessité de rendre son indépendance à la Nation française. Une précision sémantique s’impose : la Nation n’est pas un peuple.

Le peuple est un agrégat de sujets, citoyens et non-citoyens mêlés, vivant en-deçà des mêmes frontières et soumis (en principe) aux mêmes lois civiles, pénales et fiscales. Une Nation, c’est tout autre chose. Comme les Romains et les Grecs antiques le savaient, cela sous-entend une origine ethnique commune, une histoire commune, des mœurs communes.

Et que l’on ne vienne surtout pas mêler la religion à tout cela. Une religion, soit selon l’étymologie : ce qui lie ou soude une communauté, n’aboutit jamais qu’à mieux la désunir, dès qu’une série de « profonds penseurs » vienne y mettre son grain de sel. L’Europe a déjà donné pour ce qui est des guerres religieuses. La seule chose à retenir de l’institution républicaine est le principe de la séparation des Églises et de l’État… avec en corollaire l’interdiction absolue de tout culte voulant dominer l’État.

Les extra-Européens sont les bienvenus comme touristes, stagiaires ou étudiants, au visa toujours temporaire, ne pouvant en aucun cas devenir citoyens d’un pays européen et destinés à retourner dans leur continent pour le civiliser (Afrique, Océanie) ou le faire prospérer dans les continents de vieille civilisation, comme la très respectable Asie.   

La Nation française doit redevenir ce qu’elle fut toujours avant la folie du décret Giscard-Chirac sur le regroupement familial des immigrés et la démence mondialiste. Les honorables autochtones des Dom-Tom doivent jouir de leur pleine et entière indépendance (et si les Corses veulent leur indépendance, les Français pourront la leur donner par la même occasion… ça fera toujours des centaines de millions d’euros économisés annuellement par le Trésor Public, alimenté par le produit de nos impôts). 

De la même façon, la Nation peut et doit signifier aux minorités beaucoup trop turbulentes (tels les homosexuels agités du bocal ou du reste) qu’en Démocratie, la Loi est par définition la même pour tous et qu’une majorité n’a pas à se faire imposer les caprices de minorités.

L’État n’est rien d’autre que le Bien Commun, dont parlaient Platon, Aristote ou Thomas Hobbes. C’est à l’ensemble des citoyens qu’incombent les grands choix dans la gestion de ce Bien Commun et la notion de Démocratie exige que « chaque voix compte »… donc le seul régime électoral démocratique est celui de la proportionnelle intégrale.  

L’indépendance de la Nation française, formée exclusivement de citoyens de souche européenne, ne pourra être obtenue que par la stricte application des principes de la Démocratie : Égalité de tous devant la Loi et en matière de Droit électoral. Tout le reste n’est que fadaises pour rhéteur hypocrite.  

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lundi, 14 décembre 2015

A CARACAS, LE « CHAVISME » SANS « CHAVEZ » NE FAIT PLUS RECETTE !

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de Jean-Claude Rolinat

Dans le « maelström » des nouvelles qui nous submergent, une information en provenance d’Amérique latine est passée presque inaperçue : l’opposition vient de remporter la majorité des sièges au Congrès vénézuélien.

L’opposition vénézuélienne, la Table de l’Unité Démocratique, Mesa de la unidad democratica (MUD), une coalition hétéroclite d’une trentaine de partis – pas moins ! – vient de remporter dimanche 6 décembre dernier les élections législatives en battant le parti gouvernemental, le PSUV, Parti socialiste unifié du Venezuela. Le Président Nicolas Maduro, successeur depuis avril 2013 du colonel Hugo Chavez, a reconnu sa défaite au cour d’une conférence de presse donnée dans les salons de la présidence. La MUD a obtenu 99 des 167 sièges du Parlement contre 46 pour le PSUV, lequel détenait jusqu’à présent le pouvoir absolu avec pas moins de 100 députés.

Un immense chantier s’ouvre pour la nouvelle majorité, reconstruire l’économie sinistrée d’un pays « sovietisé » depuis la mise en route de la fameuse « Révolution bolivarienne » qui n’a abouti qu’à une inflation galopante de près de 200 % (!). Les ressources pétrolières qui alimentaient les subventions données aux classes les plus défavorisées de cet immense pays situé sur la côte nord Est de l’Amérique latine, se sont effondrées au même rythme que les cours du brut. Les pénuries de produits de première nécessité ajoutées au caractère autoritaire pour ne pas dire dictatorial du régime – il y a encore 75 prisonniers politiques dont l’un des leaders de l’opposition Leopoldo Lopez du parti « Volonté populaire » - ont poussé les électeurs vers l’opposition. Cette dernière pour la première fois depuis la prise de pouvoir par l’ex-putschiste Chavez en décembre 1998 avec 56,23 % des voix, a remporté les élections générales. Héros des classes populaires, officier de parachutistes amnistié après plusieurs tentatives ratées de coups d’Etat, ce métis à la carrure d’athlète allait dominer la vie politique vénézuélienne jusqu’à son décès en mars 2013 des suites d’un cancer du côlon. Il avait dessiné un univers socialiste à son pays à qui il voulait offrir le leadership d’une croisade anti-impérialiste sur le continent Sud-américain, s’alliant pour la circonstance avec Cuba à qui il offrait son pétrole contre l’envoi de techniciens, de médecins et de professeurs. Il avait fait quelques émules en Equateur et en Bolivie notamment, où l’indianiste Evo Moralès est toujours au pouvoir au Palais Quemada à La Paz. Partenaire de la Syrie et de l’Iran, Bête noire de Washington, il n’en commerçait pas moins d’une manière pragmatique avec les Etats-Unis. Son nationalisme teinté de socialisme était bien plus un marxisme coloré de nationalisme qu’une social-démocratie « pépère » à l’européenne…

N’est pas « Peroniste » qui veut

Pour autant rien à voir avec un mouvement populiste comme le Péronisme argentin qui, sous le règne de son fondateur et avec l’immense aura de son épouse Evita, s’affirmait dans les années 1950 avant tout comme un mouvement nationaliste désirant s’émanciper de la tutelle américaine, mais fondamentalement anti-communiste et chrétien. La chimérique « Révolution socialiste bolivarienne », en référence au Libertador de la Grande Colombie Simon Bolivar, le « Napoléon » latino-américain qui chassa les espagnols au début du XIXème siècle, n’a pas tenu ses promesses. Pauvreté, insécurité, endettement, corruption, tous les maux récurrents des pays du tiers monde, étaient au rendez-vous. « La politique économique du Chavisme, basée sur le contrôle étatique et la redistribution, est désastreuse pour les finances publiques » écrivait Jean Rouvière dans l’édition du 14 mars 2013 du quotidien Présent. Rien n’a changé.

Un tournant chez les Latinos ?

Déjà le 14 avril 2013, c’est à la suite d’une victoire serrée que Nicolas Maduro, avec seulement 50,66 % des suffrages, avait accédé au Palais Miraflorès – la résidence présidentielle - face au candidat d’opposition Henrique Capriles qui avait obtenu 49,07 %, moins de 250 000 voix d’écart les séparant sur 15 millions de bulletins ! De violentes manifestations faisant 7 morts et 61 blessés avaient ponctué la proclamation de la victoire du dauphin d’Hugo Chavez. Nicolas Maduro avait crié au coup d’Etat et imputé aux « fascistes de l’opposition » les victimes des évènements et, pour faire bonne figure comme dans tout régime autoritaire qui se respecte, avait fait arrêter 135 personnes dont certaines sont toujours embastillées. L’ex-général Raul Baduel, un proche de Chavez tombé en disgrâce, dénonçait pour sa part depuis sa prison militaire dans la banlieue de Caracas, « la mainmise de Cuba sur le Venezuela ». Avant d’ajouter que le serment fait pour mettre en place une vraie démocratie dans le pays « avait été perverti ». Le 8 décembre suivant, la majorité « Bolivarienne » perdait lors des élections municipales les mairies de 9 capitales provinciales, signal avant-coureur de craquements dans l’édifice politique du PSUV. En janvier et février 2014, lors de manifestations d’étudiants liés à l’opposition, 10 personnes étaient tuées suite à des tirs effectués par des miliciens du régime membres du Colectivo du « quartier 24 janvier », là où est inhumé Hugo Chavez. Depuis, la tension n’a jamais cessé de monter, le ministre de l’énergie menaçant les « rebelles » de l’Etat de Tachira, « sous occupation fasciste », de couper aux populations les livraisons de carburant. Accentuant le caractère totalitaire du régime, Maduro créait en mai 2014 une nouvelle police à sa botte, « la Brigade Spéciale contre les Groupes Générateurs de Violence ». Les organisations de défense des droits de l’homme qui pouvaient encore faire parvenir des messages à l’extérieur dénonçaient « un gouvernement qui renforce chaque jour sa doctrine de sécurité nationale (…) par rapport aux droits des citoyens » et qui désignait l’opposition au pouvoir d’Etat comme un ennemi. Comme pour ajouter une caractéristique supplémentaire à la nature dictatoriale du pouvoir, le parti gouvernemental sans craindre le grotesque de la situation, encourageait ouvertement un culte à la mémoire d’Hugo Chavez en réécrivant « le Notre Père » et lui substituant dans la prière le nom du défunt Président ! Une petite brise Nord-Coréenne soufflait du côté des Caraïbes ! Hésitant à truquer les élections à la lecture des sondages qui annonçaient tous une défaite du Chavisme, le pouvoir s’est résigné à laisser légalement se dérouler le processus électoral. Pour quels lendemains ? Une difficile cohabitation s’annonce entre les pouvoirs exécutif et législatif. En tout cas, avec cette spectaculaire défaite de la gauche extrême au Venezuela, la victoire du droitiste Macri à Buenos Aires et la mise en cause de la présidente Brésilienne Dilma Roussef et de son Parti des Travailleurs (PT) pour corruption, les forces « progressistes » en Amérique centrale et du Sud connaissent leur premier coup d’arrêt depuis de nombreuses années. Les Sandinistes s’accrochent encore au Nicaragua comme les successeurs des Tupamaros en Uruguay. Mais il semble que les vieilles lunes Castristes aient fait leur temps, même si à La Havane le communisme s’attarde encore avec au pouvoir le frère du lider maximo. Le continent est, politiquement, plus contrasté que jamais. Ces pays méritent notre attention. La France y conserve encore un certain prestige. Il ne faudrait pas négliger cet aspect des choses pour d’obscures complicités « romantiques » avec Cuba d’une époque révolue.

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Elections régionales : la réaction de Riposte laïque

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Crétin, tu as encore voté pour eux ! Riposte laïque cliquez ici

Même si leurs communicants, sans lesquels ils ne font rien, leur ont dit qu’il ne fallait pas exulter ce soir sur les plateaux de télévision, ils pavoisent. Marine et Marion ont été battues et c’est surtout cela qui comptait pour eux. Encore pire, ils vont se partager les treize régions, le FN est battu partout. Ils racontent que grâce à eux, la République a été sauvée et que le fascisme n’est pas passé. Et s’ils peuvent ainsi mentir aussi grossièrement aux Français, avec succès, c’est de ta faute, crétin qui as voté pour eux, ou t’es abstenu !

Ils interdisent tout débat démocratique en nazifiant la discussion. Si nous étions encore dans un pays normal, il serait possible d’aborder l’opportunité de l’Union européenne, en tirant le bilan de la politique menée par Juncker et les siens, des résultats de l’euro, et de ses conséquences dans les pays où il s’impose. Nous pourrions également disserter sereinement sur l’opportunité d’une immigration, dans des pays où le chômage de masse progresse chaque mois et où elle se cumule avec la montée du communautarisme. Le débat ne serait pas tabou quant à la réalité de l’islamisation de pays et la compatibilité de ce dogme avec nos principes laïques, républicains et féministes. Mais ils ont décidé d’interdire ce débat entre mondialistes et souverainistes, et de le réduire à la seule question d’un prétendu barrage républicain, destiné à empêcher le Front national, qui représente un électeur sur trois, d’avoir des élus. Si cette stratégie a encore fonctionné ce soir, c’est de ta faute, imbécile !

Depuis une semaine, nous subissons un véritable bombardement médiatique. Les plateaux de télévision sont envahis par des ministres haineux, Manuel Valls en tête, qui, oubliant qu’ils sont les représentants de la France dans son ensemble, se comportent en vulgaires porte-parole du Parti socialiste, et racontent aux Français que la République est en danger et qu’il faut faire barrage à une prétendue extrême droite. Les socialauds ont même été jusqu’à retirer leurs candidats, dans le Nord et la région Paca, pour faire battre Marine et Marion, et ont excommunié Jean-Pierre Masseret, qui, dans l’Est, a décidé de se maintenir, face à Florian Philippot. Toute honte bue, ils ont refait l’énorme manipulation du 21 avril 2002, de la mort de Clément Méric et de « Je suis Charlie ». Et cette fois, cela a encore marché. C’est de ta faute, connard d’électeur UMPS !

Depuis trente ans, notre pays est submergé par l’invasion migratoire. Depuis trente ans, les musulmans les plus radicaux islamisent notre France, rongent notre laïcité, pour le plus grand bonheur de prétendus modérés qui sont ravis que les extrémistes fassent progresser leur dogme. Nos compatriotes sont victimes d’une guerre quotidienne de conquête, qui a le visage du voile islamique, des djellabas, des kamis, des mosquées, du halal, du ramadan, des revendications communautaristes. Cela n’est que la méthode « soft ». Depuis les années 1986, notre France, et nos compatriotes, subissent des attentats, mais surtout une guerre quotidienne, qui passe par des insultes, des intimidations, des agressions, des viols, des meurtres, avec une accélération spectaculaire, depuis la création de l’Etat islamique. Notre pays vient de connaître, en trois ans, avec les assassinats de Merah, de Charlie Hebdo, la décapitation d’Hervé Cornara, puis le Bataclan, pas moins de 155 assassinats. Et systématiquement, une horde d’islamo-collabos, se comportant en complices de l’agresseur, intime l’ordre à nos compatriotes de ne pas stigmatiser la religion des assassins, alors que dès qu’un Clément Méric est victime d’une bagarre et meurt accidentellement, tous nomment, sans vergogne, l’extrême droite. Nos dirigeants, qu’ils soient à l’UMP ou au PS, sont financés par le Qatar et l’Arabie saoudite, et tu as encore voté pour eux, au nom d’un prétendu barrage républicain, contre les seuls capables, pour reprendre la formule du blogueur algérien Aldo Stérone, de remonter le pantalon des Français. Sur internet, tu as tous les moyens de voir la réalité et tu ne t’en sers pas. Ces traitres vont diriger nos régions, et c’est de ta faute, couillon !

Ils t’ont lobotomisé, ils t’ont émasculé, ils t’ont manipulé, ils t’ont dépossédé de ton pays, de son histoire, de sa culture, de sa civilisation. Ils t’ont imposé la repentance, la honte de toi, la culture de l’excuse. Ils ont nié l’apport de la France à l’humanité. Ils t’ont interdit d’aimer ton pays. Ils ont livré tes enfants et petits-enfants à des barbares qui prennent plaisir à les humilier, à les racketter, à leur faire raser les murs pour mieux les transformer en dhimmis. Ils t’ont contraint à baisser les yeux pour survivre, dans des zones où tu n’entends plus parler ta langue, et où tu as l’impression d’avoir changé de continent. Ils t’ont forcé à t’équiper de digicodes, d’alarmes et de fermer systématiquement ta maison. Ta femme n’ose plus prendre les transports en commun le soir, et quand elle ne peut pas faire autrement, elle a peur, et toi aussi. Ils ont nié ton mal-être quotidien, ils ont dit que, sous l’influence de l’extrême droite, tu vivais un sentiment d’insécurité, alors que, dans les faits, tout allait bien ! Ils s’en foutent que ta cave soit régulièrement visitée, que tu doives demander pardon en baissant les yeux pour monter tes étages à pied et enjamber des dealers qui tiennent les murs, que ta voiture crame de temps en temps, que tu ne puisses pas dormir à cause des rodéos, eux, ils vivent dans les beaux quartiers, et le vivre ensemble qu’ils prônent, c’est pour les pauvres cons comme toi. Pauvre con, car tu votes encore pour eux, ou tu t’abstiens, ce qui revient à les laisser en place.

Et comme si cela ne suffisait pas, avec les attentats de Charlie Hebdo, comme si les islamistes ne faisaient pas suffisamment de dégâts dans notre pays, ils t’ont infligé un renfort de leur cinquième colonne, en t’imposant ceux qui ont d’abord été appelés des migrants, avant de les nommer « réfugiés », et qui n’étaient que des clandestins, majoritairement hommes seuls entre vingt et quarante ans, presque tous musulmans. Et comme les périphéries urbaines étaient surchargées et que Calais comptait dix mille clandos construisant une ville dans la ville, imposant une terreur quotidienne à la population locale, ils ont décidé que la France rurale allait profiter des joies du « vivre ensemble », qu’ils imposent à de plus en plus de Français, mais dont ils se préservent. Et, localement, il y a des élus collabos et des associations gavées de ces subventions payées avec tes impôts qui les accueillent, quand elles laissaient crever nos SDF et nos mal-logés. Et toi, tu les as laissés en place, en votant pour eux, ou en t’abstenant. C’est de ta faute, ahuri !

Pendant une semaine, ils sont tous montés au créneau, pour te forcer à faire barrage à la seule alternative qui menace leurs privilèges, les patriotes, et le FN. On les a tous vus, ministres glapissant leur haine et leurs frousses, journaleux d’Etat défendant le bifteck, patrons exigeant leurs clandestins pour les payer moins chers, syndicats mythifiant un nouveau prolétariat de chômeurs assistés, associations parasitaires défendant leurs subventions, parents d’élèves endoctrinés, enseignants masochistes, magistrats pourris, curés et évêques crachant sur le calvaire des chrétiens d’Orient, francs-maçons dégénérés, rabbins crétins, féministes fantasmant sur le voile islamique, tous les traitres à la France se sont mobilisés pour défendre leurs privilèges et cracher sur le FN, qu’ils qualifient d’extrême droite, alors que les vrais fascistes, ce sont eux. Et tu as gobé tout cela, espèce de blaireau !

Ils s’en foutent de toi, ils t’ont sacrifié, tu n’existes plus pour eux, sauf pour payer et nourrir la caste politicienne, ses complices, et tous les nouveaux venus qui ne cotiseront jamais, mais vivront de ton travail, si tu arrives à le conserver. Ils ont décidé d’accélérer ton remplacement, tu ne fais plus partie de l’Histoire telle qu’ils la conçoivent. Les Gaulois, pour eux, c’est terminé, place aux citoyens du Monde. La France, c’est fini, place à un monde sans frontières, au mondialisme et au multiculturalisme. Même les blancs, ta couleur de peau, ils n’en veulent plus, ils exigent l’Homme nouveau, forcément métissé. Ton histoire, mélange de Grèce, de Rome, de Celtes, de Germains, de catholicisme, de nos Rois, de la Révolution, ils n’en veulent plus, ils te convainquent dans les manuels scolaires que l’islam, ce dogme criminel et assassin, fait partie de ton histoire. Ils arrivent même à t’expliquer que ce sont les étrangers musulmans qui ont construit la France et que, sans eux, l’Allemagne aurait triomphé. Et, toi, devenu un consommateur décérébré, tout ce que tu as compris de ces derniers jours, c’est que grâce à ce traitre de Hollande et son Cop 21, la planète était sauvée, et que la France du football avait eu un bon tirage, et que peut-être elle serait championne d’Europe dans quelques mois. Et tu pries pour que la racaille Benzema puisse rejouer avec les Bleus. Tu t’en fous que dans quelques jours, peut-être quelques semaines, peut-être quelques mois, mais pas davantage, des familles pleurent de nouveaux décapités, de nouvelles victimes d’attentats-suicides ou de bombes dans les transports en commun. Tu t’en fous tant que cela ne te touche pas. Et même si cela te touchait, tu serais assez con pour aller saluer Hollande et Valls, sans comprendre que ce sont les obligés de ceux qui assassinent les tiens. Et tu as été assez con pour t’abstenir, ou pour voter pour eux, ou pour Sarkozy. Casse-toi, pauvre con, tu me dégoûtes !

Ecoute au moins ce que raconte Philippe de Villiers, écoute au moins ce que disent Marine Le Pen, sa prometteuse nièce Marion, Eric Zemmour, Robert Ménard, et tous ceux qui essaient de transmettre aux générations futures leur amour de la France et d’ouvrir les yeux de nos compatriotes. On ne te demande pas d’être d’accord avec tout, mais d’essayer de comprendre ce qui se passe, et quelles sont les priorités. Ecoute ce que disent les apostats de l’islam, qui essaient de t’alerter sur la réalité de ce dogme conquérant et barbare, qui rêve d’imposer ses lois à ton pays qui est le nôtre. Ecoute ce que dit Cyril, une des victimes des attentats du Bataclan, qui lui, est toujours à l’hôpital, et rêve de se venger de ceux qui ont pourri sa vie, en les tuant. C’est quand même autre chose que les bisounours et leurs bougies qui roulent des pelles au musulman de service quand il leur fait le coup de sa religion d’amour et de paix…

Montre-nous au moins une fois dans ta vie qu’il reste en toi du sang de Gaulois, et que tu es autre chose qu’un minable soumis qui se laisse enfler et envahir par l’ennemi, en disant merci et en continuant de voter pour nos fossoyeurs.

Sinon, crève, on fera sans toi.

11:18 Publié dans Revue de presse, Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |