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mardi, 14 février 2017

Thierry Bouzard invité de Méta TV : musique et sociologie



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Jeudi 9 mars, Infos-Toulouse aura 1 an

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lundi, 13 février 2017

Roger Holeindre sur TV Libertés

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Contestation tous azimuts et Patamédecine

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Bernard Plouvier

Il y a toujours eu des humoristes pour contester le bien-fondé des théories médicales - ils avaient raison, mais oubliaient qu’une théorie, toute transitoire et imparfaite soit-elle, fait avancer la science biologique et l’art médical - et pour grogner, parfois en les appliquant, à l’encontre des prescriptions de leur praticien personnel… ‘’Molière’’ et ‘’Voltaire’’ restent inégalables dans ce registre.

De nos jours, naturopathes, magnétiseurs et métallo-thérapeutes, vendeurs d’orviétan - gelées, eau de jouvence, produits végétaux réputés ou non « Bio » et autres merveilles toutes présentées comme autant de remèdes miraculeux pour une foule de maux et pour tout public (« militaires et bonnes d’enfants », comme disait ma maman) -, membres aussi excités que convaincus d’associations (qui, toutes ont un journal, voire des produits à vendre), prouvent par A + B que la médecine moderne est non seulement coûteuse, mais aussi nulle (ou presque) et surtout dangereuse.

On nous apprend que « la liste des médicaments aux effets secondaires dangereux ne cesse de s’allonger », que les vaccins sont nuisibles, que les antibiotiques sont un poison écologique, que « les hôpitaux sont des véritables nids à microbes », que « la médecine moderne ne se préoccupe même plus d’écouter les patients » etc… Bref, les dirigeants d’un tas de merveilleuses associations assurent le public qu’elles « osent dire la vérité… sur la faillite de la médecine ».

Bien entendu, nul parmi ces doctes détenteurs de La VÉRITÉ (ils en ont de la chance !) n’a étudié la médecine, non pas en faculté (ce n’est pas là qu’on l’apprend, même s’il faut y passer pour obtenir son diplôme), mais par la pratique hospitalière au moins durant l’internat, puis par l’exercice de cette très dure profession pendant plusieurs décennies.

Il est pourtant une évidence « oubliée » par nos Diafoirus de la contestation : si l’Afrique est devenue un boulet démographique (en plus de l’être aux plans économique, politique et religieux, par l’islam), c’est parce que la médecine moderne (hygiène, obstétrique, vaccinations, antibactériens, antiviraux et antiparasitaires) apportée par le colonisateur blanc a, durant le XXe siècle, transformé les conditions de vie de ce continent à la traîne. De même, l’augmentation de l’espérance de vie, en pays de technicité occidentale, est en très grande partie à mettre au crédit de cette médecine qui semble en « faillite » à ces inexperts.

Tout médicament efficace (c’est-à-dire porteur d’un principe actif, à la différence du Placebo, utilisé pour les hystériques et les hypocondriaques) a, par définition, de nombreux effets, certains étant jugés bénéfiques (l’effet primaire ou thérapeutique) et d’autres qui sont indésirables (les effets secondaires). Tout l’art & la science du médecin sont de savoir respecter les contre-indications (sauf cas exceptionnel et quasi-désespéré, pour soulager des souffrances terminales), de doser au mieux et de dépister à temps les effets délétères, surtout en cas d’utilisation chronique.

Il est évident qu’il est bon également d’avoir des connaissances historiques… bien plus que de vanter des « remèdes ancestraux », rarement comparables en efficacité aux médicaments modernes : l’époque des remèdes de grand-mère était celle où une femme sur cinq mourait en couches et où l’espérance de vie moyenne, en Europe, ne dépassait pas 60 ans.

Des connaissances historiques auraient permis d’éviter les complications musculaires des vaccins. On a adopté, en Europe durant les années 1980, une méthode venue des USA – l’injection intramusculaire du vaccin – alors que de nombreuses études immunologiques, réalisées avant la Grande Guerre (eh, oui !), avaient démontré que l’injection sous-cutanée est plus efficace et moins dangereuse que toute autre voie d’introduction… avoir répété cela dans quelques congrès a valu à l’auteur de ces lignes une réputation d’abruti.

Ce n’est pas le vaccin qu’il faut critiquer et moins encore les « antibiotiques » ou les antidépresseurs, ou quel que médicament que ce soit, mais des erreurs de prescription ou de prise, des retards à l’élaboration du diagnostic (et 41 années d’expérience hospitalière m’ont fait accuser in petto bien plus souvent le malade ou son entourage que les « chers confrères », évidemment faillibles, comme tout un chacun).

Prétendre que la médecine est en faillite parce que « se multiplient arthrose, cancer, diabète, dépression, allergies, viroses » etc. (pour un catalogue quasi-exhaustif, y compris les pseudo-maladies à la mode comme la « Fibromyalgie », on est prié de se reporter à son journal féminin ou contestataire préféré) est pure imbécillité. Deux minutes de réflexion suffisent pour comprendre que le vieillissement de la population, les conditions abrutissantes de vie, l’amélioration des moyens de diagnostic, les voyages exotiques et les brassages de populations, joints à une sexualité débridée et non protégée, expliquent cette augmentation.

La « vérité » sur les infections nosocomiales (ce qui signifie : hospitalières) est probablement trop simple pour être diffusée par les media. 90% d’entre elles proviennent des propres germes du patient (et généralement, il s’agit d’un sujet fragilisé par une ou plusieurs maladies, une hygiène douteuse ou des comportements addictifs : alcool, tabac, stupéfiants) et seulement 10% sont véhiculées par le personnel – ce qui est intolérable, c’est certain.

Il est évident que le comportement des médecins, infirmières, kinésithérapeutes et autres soignants (sans même parler du personnel administratif) laisse parfois à désirer… on aimerait savoir quelle profession est irréprochable : peut-être nos honorables politiciens, journalistes et autres directeurs de conscience !

Il est évident qu’il reste d’immenses progrès à faire, tant en diagnostic qu’en thérapeutique, en éducation des malades et surtout de leurs familles. En revenir aux « thérapeutiques d’antan », c’est surtout s’exposer aux végétaux et minéraux hypertoxiques. Un Avicenne, tant vanté par certains, fut, en son temps, l’équivalent d’un serial killer par la dangerosité extrême de ses remèdes ; fort heureusement pour sa pratique, cet homme, qui se vantait de connaître les secrets de la longévité et de « l’éternelle jeunesse », mourut à 57 ans, probablement pour avoir expérimenté un de ses remèdes miracles (ses élèves firent courir la rumeur d’une mort par empoisonnement : ils avaient raison… sur la cause).

La médecine contemporaine a fait un bond gigantesque : de 1970 à nos jours, elle a davantage progressé que durant les 5 000 années précédentes. Que certains êtres omniscients veuillent, en dépit de conseils éclairés, se soigner eux-mêmes, tant pis ! Il faut toutefois empêcher ces redoutables partisans de la Patamédecine de nuire à autrui. Le fanatisme antiscientifique a les mêmes caractéristiques que le fanatisme religieux ou politique : meurtrier, irréfléchi, inepte.

La conclusion est simple, n’importe qui a le droit de dénoncer les torts qu’on lui a faits, à condition que ces torts soient réels. La critique objective est non seulement licite, mais elle est indispensable au bon fonctionnement de n’importe quel métier. Peut-être faudrait-il toutefois ne pas jeter le bébé avec l’eau trouble du bain.

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dimanche, 12 février 2017

Carl Lang présente son action dans les mois à venir

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Le Bistro Libertés avec Yves Christens

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Détournement de populismes

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Georges Feltin-Tracol

L’électorat petit-blanc des États-Unis risque de se réveiller avec une effroyable gueule de bois. Sa désillusion politique peut être immense avec l’entrée en fonction de l’administration Trump. Passe encore que cette équipe rassemble des multimillionnaires, ce qui se comprend dans un pays qui s’imagine que gérer une entreprise équivaut à diriger un État. Constitué de plusieurs responsables issus de Goldman Sachs, le nouveau gouvernement envisagerait d’annuler toutes les restrictions prises au lendemain de la crise financière de 2008 contre l’hypertrophie bancaire et pourrait déjà exaspérer une population largement surendettée.

Si Donald Trump n’applique pas ses promesses contre le financement illimité des campagnes électorales et l’indispensable séparation des banques, il prouvera qu’il a canalisé, instrumentalisé et neutralisé le formidable désarroi populaire. Il a déjà désavoué l’Alt Right (cette « Droite alternative » révélée par la récente présidentielle). Mais Trump et son entourage peuvent-ils agir autrement tant leur affligeante constitution les ligote ?

Trump n’est pas le seul à pouvoir ainsi détourner la juste colère des électeurs. Pensons à la Grèce martyrisée avec le consentement du gouvernement croupion des souverainistes de l’ANEL et de la gauche radicale Syriza de l’infâme Tsipras qui a transformé la victoire référendaire du non en une soumission totale à la Troïka. Mentionnons aussi les nationaux-libéraux de l’AfD en Allemagne, le parti néerlandais de Geert Wilders, le FPÖ autrichien qui s’entend avec le parti Russie unie et se distancie de son allié français, ou l’UKIP national-mondialiste britannique. Le summum est cependant atteint avec les Italiens du Mouvement Cinq Étoiles. L’administration de la ville de Rome depuis juin dernier vire à la catastrophe. La mairesse Cinq Étoiles de Turin s’appuie, elle, sur les banques et le politiquement correct… Et passons sur sa dernière bouffonnerie au Parlement européen : la tentative avortée de Beppe Grillo de rejoindre le groupe libéral centriste. Tous ces partis troquent volontiers leur radicalité supposée pour une fumeuse respectabilité politico-médiatique. En France, le parti de la Rose bleue poursuit la même démarche d’affadissement avec l’espoir bien illusoire d’emporter les prochaines échéances électorales…

Comme l’a démontré le troisième tour de la présidentielle autrichienne de décembre dernier, les concessions incessantes démobilisent surtout un électorat très remonté sans pour autant attirer des électeurs hésitants. Les succès du premier tour préparent les défaites du second tour. Les formations dites « populistes » d’Europe occidentale devraient se pencher sur la fin du national-populisme en Roumanie où l’excès et la caricature se mêlaient à un esprit de compromission permanente avec le pouvoir.

Fort heureusement échappent à cette tendance CasaPound en Italie, le NPD qui vient d’échapper à la dissolution en Allemagne, Aube Dorée en Grèce, l’ELAM (ou Front populaire national) à Chypre, le mouvement Kukiz’15 en Pologne et le Parti Populaire – Notre Slovaquie. Malgré l’adversité et une répression impitoyable, ces forces vives gardent leur tonalité révolutionnaire, leur intransigeance doctrinale et une fantastique rigueur militante.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 20, diffusée sur Radio-Libertés, le 10 février 2017.

18:29 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’Europe en héritage

Richard-Dessens-02-628x1024.jpgRichard Dessens

Un monde nouveau ne peut s’accommoder d’une nostalgie passée. La nostalgie relève de la sphère privée, personnelle, comme la religion et les souvenirs d’enfance. La vie des sociétés et la politique qui est censée la structurer, sont en perpétuelle mouvance que rien ne peut arrêter. Nous sommes entrés dans un monde nouveau informel et imposé, né de la mondialisation financière et des droits de l’Homme, monde nouveau qu’il est urgent de réorganiser sur des fondements nouveaux avalisés par les peuples. Un monde nouveau à l’initiative des peuples doit succéder à un monde nouveau subi.

La « table rase » chère à nos révolutionnaires du 4 août 1789 et reprise par Eugène Pottier en 1871 dans l’Internationale, s’impose aujourd’hui. Les références partisanes, les luttes passées, les clivages gauche/droite, « le bon vieux temps » ou les « lendemains qui chantent », sont totalement dépassés et ne correspondent plus aux aspirations du « pays réel » dans les territoires de l’Europe.

Nietzsche, dans sa « Seconde considération intempestive », affirme que l’Histoire n’est nécessaire que dans la mesure où elle sert à engendrer l’avenir. C’est cela aussi faire table rase du passé en n’en conservant que son utilité pour façonner un monde nouveau. Vision utilitariste de l’Histoire qui la dépouille de tous ses aspects nostalgiques, pathologiques ou mémoriels. C’est cette vision qui permet de penser autrement et de surpasser tous les vieux clivages stériles.

Au fond, seule la civilisation européenne est fondamentale pour l’avenir. Les peuples européens possèdent l’Europe en héritage et ont le devoir d’en préserver les valeurs. Les partis politiques issus du XIXe siècle, avec le principe des États-Nations, sont moribonds ; leurs références d’un autre temps.

Les nouvelles problématiques sont majoritairement transversales que ce soit au plan des questions de société ou politiques.

Que signifie « gauche » ou « droite » aujourd’hui ? « Extrême gauche » ou « extrême droite » ? Les transfuges sont millions, l’électorat d’une volatilité sans précédent. Les nouveaux points de rupture se situent entre une « guerre de civilisations » et un « dialogue des cultures », même si le débat peut avoir lieu sur ces deux positions ; entre ceux qui défendent la mondialisation comme objectif de vérité et de paix, et ceux qui s’accrochent à la souveraineté des États-Nations. Mais on peut aussi contester la mondialisation et défendre une autre idée d’une Europe des nations régionales unies.

Le spectacle que donne l’Europe montre les ambiguïtés, l’hypocrisie et le mal-être de sa construction, fondée sur les vieux impératifs de l’Après-Guerre. Qu’on en juge : la Hongrie et ses relations souterraines avec la Russie, l’Ukraine à nouveau en guerre civile entre l’est et l’ouest de son territoire, dont le gouvernement corrompu n’est intéressé que par d’éventuelles mannes européennes et une souveraineté de circonstance. La Pologne et l’Autriche qui résistent à la pression de l’Europe. La Grèce, à nouveau sur le départ de la zone euro. Seule l’Allemagne, du fait de sa puissance économique et financière, semble encore à l’écart des soubresauts de toute l’Europe. Quand Madame Merkel va-t-elle se décider à comprendre que l’Allemagne ne peut se contenter d’être la puissance dominante européenne sans en assumer les servitudes ? Il faut s’attendre là aussi à des craquements dans les années qui viennent pour cette Allemagne qui n’assure aucune dépense militaire par exemple – conséquence devenue commode de 1945 –, qui maintient un euro à son seul avantage, qui joue les candides en toutes circonstances. L’Allemagne se moquerait-elle de l’Europe dans une superbe victoire sur son écrasement de 1945 ?

Faisons table rase de tous les passés pour pouvoir construire une Europe fondée sur des critères débarrassés des miasmes passéistes.

Source EuroLibertés cliquez ici

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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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samedi, 11 février 2017

La Suisse vote sur une procédure facilitée de naturalisation

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Lionel Baland Boulevard Voltaire cliquez là

Ce dimanche 12 février 2016, le peuple suisse se rend aux urnes afin de se prononcer, lors d’une votation, sur différents sujets. Parmi ceux-ci figure une facilitation de la procédure d’accès à la nationalité.

Le Comité contre la naturalisation facilitée, emmené par des élus du parti patriotique UDC – première formation politique de Suisse -, s’oppose à une mesure du gouvernement visant à accélérer la procédure des demandes de naturalisation pour les personnes de la troisième génération âgées de moins de 25 ans qui seront, suite à cette réforme, examinées directement par les autorités fédérales sans être traitées au préalable par les cantons et les communes. Ces dernières ne réaliseront plus, par conséquent, d’entretiens personnels, seul véritable moyen de vérifier l’intégration au niveau local des candidats.

Par contre, les conditions d’accès à la naturalisation resteront inchangées et les cantons se verront préserver un droit de regard sur les dossiers. Les citoyens de la Confédération helvétique se voient demander : « Acceptez-vous l’arrêté fédéral du 30 septembre 2016 concernant la naturalisation facilitée de la troisième génération ? »

Si cette mesure d’accélération semble avoir des conséquences limitées, puisqu’elle concernera durant dix ans environ 2.300 personnes par an, elle touche une corde sensible qui est celle de l’immigration et apparaît aux yeux des patriotes comme un moyen visant à ouvrir la porte à d’autres mesures favorables à celle-ci.

La Suisse voit, sur la question des migrations, son modèle hautement démocratique basé sur la démocratie directe être remis en question dans les faits par la non-application des résultats de l’« initiative contre l’immigration de masse » qui s’est déroulée le 9 février 2014 et a été acceptée par le peuple et les cantons – l’UDC l’ayant soutenue, alors que les autres partis politiques gouvernementaux l’ont combattue.

En effet, trois ans plus tard, les résultats ne sont toujours pas mis en œuvre, alors que par cette votation, le gouvernement et le Parlement ont reçu mandat de permettre au pays de reprendre le contrôle autonome de l’immigration sur son territoire en imposant des plafonds et des contingents. De plus, toujours suite à cette votation, les traités de droit public qui sont contraires à ce principe devaient être renégociés en l’espace de trois ans et adaptés. En cas de non-application de cette votation, le gouvernement devait la mettre en œuvre par la voie d’ordonnances.

L’UDC estime que le gouvernement n’a pas rempli ses obligations consistant à « renégocier l’accord de libre circulation des personnes avec l’Union européenne, voire éventuellement à le résilier, et à gérer l’immigration en Suisse par la voie de contingents comme dans le passé » et a préféré, avec la complicité du Parlement, de juges et hauts fonctionnaires, faire « tout ce qui est en son pouvoir pour empêcher que le peuple suisse puisse décider de l’immigration dans son pays ». Le parti ajoute que cela constitue « une attaque frontale contre la démocratie directe et contre la liberté du pays dans le but d’intégrer autant que possible la Suisse dans une Union européenne chancelante ».

L’UDC (SVP, en allemand) utilise, lors de la campagne, une affiche qui fait grand bruit auprès de ses opposants. Une femme en burqa est représentée au sein d’un dessin accompagné du slogan : « Naturalisation incontrôlée ? Non à la naturalisation facilitée. »

Le blog de Lionel Baland cliquez là

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Le Journal du chaos de cette semaine

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Lire le Journal du Chaos cliquez ici

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RAPPEL : demain Dimanche, 12 février, Jean-Marie Le Pen à Mulhouse

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17:16 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 10 février 2017

10 février 1977, 10 février 2017 : souvenez-vous d'Alain Ecoffier

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Le vendredi 10 février1977, une manifestation devant l’Aéroflot sur les Champs-Élysées à Paris, lieu symbolique de la recherche de respectabilité de l'URSS en France, était organisée par les Groupes d'action solidaristes. En présence d’un important service d’ordre de la Préfecture de police, quelques centaines de militants se rassemblèrent dans le calme, peu avant 15 heures.

Tout à coup, au milieu des slogans hostiles à l’URSS et au communisme en général, un homme jeune, en veste et cravate, se détacha de la foule. Il portait à la main deux jerricans en plastique. Profitant de l’inattention de la police, il entra dans le hall de l’agence soviétique, eut juste le temps de s’asperger de l’essence contenue dans les jerricans, lança un dernier « communistes assassins », puis s’enflamma.

Aussitôt, quelques employés russes de l’Aéroflot tentèrent de le secourir en utilisant un extincteur à poudre, en vain. Gravement brûlé, il fut transporté d’urgence à l’hôpital Foch de Suresnes, où il décéda de ses blessures.

Ce geste, peut être discutable, visait à attirer l'attention des Français sur les crimes communistes dans le monde. 12 ans plus tard, en novembre 1989, le Mur de Berlin s'écroulait.

Le suicide d'Escoffier eut un retentissement dans toute l'Europe. A l'instar de celui de Yann Pallach à Prague en 1968, il marqua toute une génération de militants nationalistes. Une chanson a même été composée quelques jours plus tard par des militants du MSI à la gloire d'Alain Escoffier.

 

19:12 Publié dans Nous avions un camarade..., Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quand les politiques prendront conscience de l'importance de notre domaine maritime ?

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jeudi, 09 février 2017

L'Africain Théo Luhaka a menti, l'enquête démontre qu'il n'a pas été victime d'un viol 9 Février 2017

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Les premiers éléments de l’enquête de l’IGPN écartent la qualification de “viol”, mais retiennent celle de “violences volontaires”. Le témoignage d’un riverain confirme cette version.

Les circonstances de l’interpellation jeudi dernier à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) de Théo Luhaka, 22 ans, se font plus précises. Le compte rendu de l’enquête de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) transmise au juge de Bobigny en charge de l’affaire, tendrait à démontrer que le jeune homme n’a pas été victime d’un acte de viol intentionnel.

La justice disposerait du témoignage d’un riverain qui aurait assisté à l’interpellation musclée de l'Africain qui se débattait, sans pour autant constater quelque action des policiers apparentée à un “viol”.

L’analyse d’une vidéo de neuf minutes filmée par les caméras de la police municipale aurait permis aux enquêteurs de la “police des police” de s’assurer que le jeune homme n’a pas été “violé délibérément” par l’un des fonctionnaires, mais victime notamment “d’un coup de matraque qui a occasionné de sérieuses blessures sans que celui-ci ait été porté dans l’intention de le violer” précise une source judiciaire.

En ce sens, l’enquête confirme les premiers chefs d’accusations retenus vendredi par le Parquet de Bobigny, qui avait alors qualifié les faits en “violences volontaires”. Mais dimanche soir, dans la précipitation, le juge d’instruction a décidé de poursuivre les quatre policiers pour “violences volontaires” dont l’un d’eux pour “viol”.

Source M6 infos via Thomas Joly cliquez ici

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Quelle alternative : une monnaie réelle ou une monnaie virtuelle ?

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Pieter Kerstens

A l’heure où la Commission Européenne planche pour la suppression du cash et force à nous diriger vers la carte plastique, unique modèle de nos paiements futurs pour toutes nos dépenses qui seraient bien évidemment contrôlées, existe-t-il une autre solution ?

Le Bitcoin est une première devise monétaire électronique décentralisée. Cette devise circule via Internet et possède un avantage par rapport aux autres monnaies alternatives : transmission (échanges) via un réseau (le net) sans passer par une banque ou un intermédiaire financier, ce qui réduit les coûts éventuels de transactions et le temps nécessaire à l’exécution de la transaction qui est plus rapide et rend l’opération mieux sécurisée que les transactions financières classiques.

L’utilisation du Bitcoin est planétaire, le compte ne peut pas être bloqué, et il n’existe pas de conditions préalables pour son ouverture. Pour effectuer des transactions, il est nécessaire de passer par des bourses d’échanges et recevoir des devises ou même payer des services comme le taxi, voir l’achat de biens de consommation. Les Bitcoins sont conservés dans un portefeuille électronique dont l’accès est assuré via un ordinateur ou un téléphone. La sécurité des transactions est assurée par des opérateurs rémunérés sur les Bitcoins nouvellement créés. Ces transactions sont enregistrées dans un registre tenu à la disposition du public : la transparence est donc bien supérieure aux flux financiers classiques trop souvent indétectables. Comme ce système de transactions n’est pas soumis à des règles contraignantes, les intervenants comme les entreprises pourraient l’utiliser pour effectuer des opérations sans pertes de changes, à l’instar du WIR en Suisse qui garantit ainsi une meilleure stabilité à l’économie suisse.

Malgré les quelques déboires enregistrés depuis sa conception en 2009, cette devise cryptographique est nettement moins vulnérable que les devises émises par les banques centrales : pas de contrefaçon possible, vols insignifiants par rapport à l’argent classique, impossibilité de stopper les transactions par un quelconque moratoire, inflation par définition impossible car la création de bitcoins est limitée à 21 millions d’unités.

Cependant la volatilité du Bitcoin est en fait une « devise » spéculative plus qu’une devise d’échanges car le nombre d’intervenants n’est pas encore suffisant pour assurer une stabilité des transactions. Plus le nombre d’usagers du bitcoin augmentera plus le cours se stabilisera, sans pour autant ne plus varier parfois fortement. En effet, le cours du bitcoin est passé de 15 USD début 2015 à 1000 USD en décembre 2015 avant de replonger à 215 USD début 2015. En ce début d’année 2017, le cours avoisine les 1000 USD.

Cliquez ici pour le lien permettant de visualiser l’évolution du cours depuis ses débuts.

De plus, comme le compte sur lequel vos bitcoins sont déposés est lié à votre ordinateur il convient de bien protéger celui-ci ainsi que de s’assurer que le fournisseur d’accès à votre portefeuille l’est aussi.

09:06 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 08 février 2017

Un entretien avec Roland Hélie publié aujourd'hui sur le site Paris Vox.

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Paris Vox – Les éditions de Synthèse Nationale sortent en fin de mois un nouvel opus de ces Cahiers d’histoire du nationalisme l’occasion pour Paris Vox de rencontrer Roland Hélie, le directeur de Synthèse nationale et des Cahiers d’Histoire du nationalisme, afin de nous présenter la maison d’édition qu’il dirige et le nouveau Cahier d’histoire du nationalisme traitant du MSI.

Paris Vox : Roland Hélie (1), pourriez-vous nous présenter les éditions de Synthèse nationale ?

Roland Hélie : Nous avons créé la revue Synthèse nationale à l’automne 2006. Le 2 octobre dernier, au cours de la Xe Journée nationale et identitaire, à Rungis, nous avons donc fêté son dixième anniversaire. Quant aux éditions, à proprement parler, elles ont été créées en janvier 2012. Il s’agissait de compléter la revue par des livres destinés à la formation des militants (2).

En avril 2014 nous avons lancé Les Cahiers d’Histoire du nationalisme qui, comme leur nom l’indique, abordent l’histoire de notre famille d’idées. Nous en avions assez que celle-ci soit toujours dénigrée, voire caricaturée, par nos adversaires. Après tout, pourquoi les nationalistes ne seraient-ils pas les mieux placés pour raconter leur propre histoire ?

A ce jour, dix numéros d’environs 200 pages chacun sont sortis. Parmi les thèmes traités : Léon Degrelle et le rexisme, Tixier-Vignancour, le Parti des Forces nouvelles, François Duprat et le nationalisme révolutionnaire, Jean Mabire l’éveilleur de peuples, ou encore Pierre Drieu la Rochelle dans la livraison de l’été dernier…

Paris Vox : Les Cahiers d’Histoire du nationalisme sont une référence “éducative”, le prochain livre traitera du Mouvement Social italien, pourquoi ce choix ?

Roland Hélie : Le MSI a été créé en janvier 1947, il y a donc 70 ans. Nous avons pensé qu’il était important de marquer cet anniversaire. Le MSI, ce n’est pas n’importe quel mouvement européen. Ce fut, 50 ans durant, le mouvement phare de la résistance européenne. L’exemple qu’il fallait suivre et qui inspirait tous les autres mouvements nationalistes d’Europe.

De campagnes originales en succès électoraux, le MSI dirigé entre autres par Giorgio Almirante, personnalité remarquable qui marqua durablement la vie politique italienne, prouva qu’il était possible de développer des idées radicales tout en participant à la vie démocratique du pays. Ce qui ne faisait pas vraiment partie de la “culture maison” des mouvements nationalistes en Europe dans les années 50.

Il faudra attendre le milieu des années 80 pour que la droite nationale française, rassemblée autour de Jean-Marie Le Pen, puisse lui emboiter le pas.

Paris Vox : Qui est l’auteur de ce livre ?

Roland Hélie : Sans doute l’homme le mieux placé et le plus compétent pour réaliser un tel ouvrage puisqu’il s’agit de Massimo Magliaro qui fut pendant plus de vingt ans le bras droit de Giorgio Almirante. Il fut rédacteur en chef du Sécolo d’Italia, le quotidien missiniste (c’est ainsi que l’on appelait en Italie les membres du MSI) et le fondateur de l’agence de presse du mouvement. Après la mort d’Almirante, en mai 1988, Massimo Magliaro, en désaccord avec la ligne de renoncement imposée par Gianfranco Fini (le successeur peu scrupuleux), quitta le MSI et devint alors l’un des directeurs de la RAI (la radio italienne). Il est aujourd’hui l’un des responsables de l’Institut d’études corporatistes et de la revue attachée à cet institut.

Paris Vox : N’a t’il pas été compliqué de le convaincre de réaliser cet ouvrage ?

Roland Hélie : Pas vraiment. En fait, c’est Massimo, qui est un ami depuis presque 35 ans, qui m’a proposé de rédiger ce cahier. Le 70e anniversaire de la création du MSI a eu un bel impact en Italie et nous avons pensé que la droite nationale française devait aussi fêter cet événement, ici à Paris. L’histoire du MSI, qui hélas s’est terminée au milieu des années 90 dans des conditions pas très glorieuses, mérite d’être méditée. Elle est riche d’enseignements.

Paris Vox : Que s’est-il passé ?

Roland Hélie : Alors qu’il atteignait des résultats plus qu’encourageants (dépassant les 20 % à chaque élection), Fini et ses amis, assoiffés de respectabilités, crurent que c’était arrivé et qu’il suffisait de rompre avec les fondamentaux qui faisaient l’originalité du mouvement pour arriver au pouvoir. Le MSI se transforma en une éphémère “Alliance nationale” qui s’intégra dans la coalition droitière de Silvio Berlusconi. Il y perdit son identité et, en quelques années, il disparu du paysage politique italien.

Cette “sortie de course” fut peu reluisante et la droite radicale italienne a bien du mal à se reconstituer aujourd’hui. Même si certaines initiatives, comme la Casa Pound, ne manquent pas d’intérêts.

Paris Vox : Vous organisez un banquet le samedi 25 février prochain pour la sortie du livre et pour les 70 ans du MSI, qui peut venir et comment peut-on s’inscrire ?

Roland Hélie : C’est un banquet amical qui aura lieu dans une grande brasserie parisienne. Tous les amis nationaux, nationalistes, identitaires et patriotes qui s’intéressent à l’Histoire de ce mouvement sont donc les bienvenus. Il leur suffit de s’inscrire et ils recevront les informations précises sur la soirée (3).

Paris Vox : Pour conclure, y-a-t-il d’autres actualités que vous souhaitez signaler aux lecteurs de Paris Vox ?

Roland Hélie : La XIe Journée de Synthèse nationale aura lieu à Rungis le dimanche 1er octobre prochain. Les lecteurs de Paris Vox qui s’intéressent à la démarche de rassemblement des forces patriotiques non conformistes que nous proposons seront les bienvenus.

Notes 

(1) Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale et des Cahiers d’Histoire du nationalisme.

(2) Consultez le site www.synthese-editions.com

(3) Pour s’inscrire, il vous suffit d’envoyer vos coordonnées (accompagnées d’un chèque à l’ordre de Synthèse nationale de 42 € par personnes) à : Synthèse nationale 9, rue Parrot (CS 72809) 75012 Paris (correspondance uniquement).

Nous remercions Roland Hélie pour sa disponibilité et invitons nos lecteurs soucieux de mieux connaître les éditions de Synthèse Nationale d’aller sur le site de l’éditeur : www.synthese-editions.com.

Lire Paris Vox cliquez ici

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JEUDI 9 FÉVRIER : JEAN PICOLLEC INVITÉ DE SYNTHÈSE SUR RADIO LIBERTÉS

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Ecoutez Radio Libertés cliquez ici

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La seule erreur de Trump : la dérégulation de Wall Street

f682426fee04086bb84efa58fc9b3d8e.jpgMarc Rousset

Trump fait ce qu’il dit ! Il l’avait annoncé pendant toute sa campagne électorale, mais Trump a tout faux en voulant déréguler Wall Street et les banques américaines !

Trump souhaite mettre en place un développement économique tiré par le secteur financier et le développement industriel à l’abri de barrières douanières. Mais déréguler est un jeu très risqué si l’on pense à l’énormité de l’endettement des Etats-Unis, au très fragile équilibre économique mondial, à la bulle financière à Wall Street provoquée par l’assouplissement monétaire quantitatif de la Fed et les très bas taux d’intérêt.

Obama le bien pensant, qui a eu tout faux, avait fait une chose juste : réglementer Wall Street et les banques au lendemain de la crise de 2008, en faisant voter par le Congrès la loi Dodd-Franck, afin d’éviter une nouvelle crise financière, économique, sociale, style 1929.

Trump prétend que cette loi complique la vie des entreprises, des banques et des consommateurs, ce qui ralentit la croissance. IL veut donc s’attaquer à la disposition « Volcker » qui interdit aux établissements bancaires de spéculer pour leur propre compte, tout comme de prendre des participations dans des fonds spéculatifs.

Trump a aussi dans le collimateur le « Bureau de Protection financière du consommateur » créé afin de réguler les prêts hypothécaires et les cartes de crédit qui avaient été à l’origine de la crise financière des «  subprimes » en 2008.

Trump veut aussi revenir sur l’application de la « règle fiduciaire » qui oblige les banques à agir dans l’intérêt de leurs clients et non pas de leurs spéculations ou de leurs commissions bancaires, avec des risques clairement indiqués.

Le but de la loi était aussi de mieux encadrer les produits dérivés, d’augmenter les capitaux propres des banques, de leur faire passer des tests de résistance, de mettre un terme à la menace des banques « trop grosses pour faire faillite ».

Trump se trouve donc en contradiction avec lui-même car il s’attaque au pilier de sa base électorale pour plaire à l’Etablissement de Wall Street. Et contrairement à ce qu’il prétend, les statistiques de la Fed prouvent que les prêts bancaires aux entreprises et aux particuliers ont été très élevés.

Le principal Conseiller de Trump est Gary Cohn, l’ex numéro deux de Goldman Sachs, qui vient de quitter la banque en vendant 300 000 actions au plus haut, avec 120 millions de dollars pour solde de tout compte ; on comprend alors mieux la réalité de la situation.

Le risque d’un krach bancaire, financier, économique, mondial est toujours très élevé. De nombreux parlementaires Républicains mettent en avant le fait que cette loi a permis d’assainir les banques et le système financier américain. IL faut espérer que le Congrès ne donnera pas son feu vert pour révoquer la loi Dodd-Franck.

 

13:28 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un nouveau voyage en Syrie est organisé en mars 2017

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L’association "La Communauté Syrienne de France" dans le cadre de projet « Solidarité Syrie», organise son 7e voyage de solidarité au cœur du la SYRIE au mois de mars 2017, en coordination avec les autorités et des associations locales…

Programme indicatif :

Un programme d’une semaine vous invite à découvrir les richesses culturelles et historiques de la Syrie et quelques joyaux du patrimoine syrien autant que du patrimoine de l’humanité (Ougarit, le Krak des Chevaliers...).

Opportunité unique d'une plongée dans l’actualité… Vous approcherez la réalité de la guerre actuelle par des rencontres en toute liberté avec le peuple syrien, un peuple debout : civils, dans la vie de chaque jour, mais aussi simples soldats et officiers, personnalités politiques, journalistes dont cetains, sur le front, couvrent cette actualité brûlante. Ceux, nombreux, qui ont déjà participé à des voyages avec la Communauté Syrienne de France ne peuvent que vous encourager vivement à aller à la découverte d'une Syrie authentique, d'hier et d'aujourd'hui…

Principales villes prévues dans les visites : Damas, Lattaquié, Homs, Hama, Alep… (toujours dans des zones entièrement sécurisées par l’autorité syrienne).

Un programme aussi détaillé que possible vous sera transmis dès sa finalisation et sa validation terminées. Ce voyage en Syrie est strictement limité à une participation de 12 à 15 personnes…

Inscriptions reçues jusqu'au 15 février 2017 par courriel à l'adresse suivante : rcsfrance@gmail.com

07:22 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 07 février 2017

Qu’est-ce qu’un envahisseur ?

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Bernard Plouvier

Dans l’imaginaire collectif d’Européens trop sensibles aux fééries hollywoodiennes – tellement schématiques, en matière d’histoire, qu’elles ne sont que caricatures -, l’invasion est une affaire sanglante, « pleine de bruit et de fureur », de viols et de rapts, de pillages et d’incendies.

Il est exact que l’invasion des hordes d’Attila fut en grande partie cela, et bien davantage encore la déferlante mahométane en Ibérie et en Aquitaine, puis la barbarie mongole en Europe orientale et centrale.

L’actualité, en Europe occidentale et scandinave, prouve la persistance et la vivacité de ce type de comportement chez les sauvageons africains, proches et moyen-orientaux. Si les attentats, individuels et collectifs, ne défraient la chronique que de façon mensuelle, le vandalisme dirigé contre les installations publiques, les lieux de culte, notamment chrétien, et les propriétés privées est affaire quotidienne, comme le sont les actes de racket, les vols, les viols et les agressions physiques… et si l’on en venait à dénombrer les manifestations verbales de racisme anti-Blancs, l’on devrait compter en secondes. Tout cela est bien connu – sauf de la presse bobo-socialo-friquée.

Il est une autre forme d’invasion, moins spectaculaire dans ses manifestations, mais infiniment plus pernicieuse : celle de la mendicité et du service rendu ou soi-disant tel. « Le Barbare peut franchir la frontière en suppliant ou en auxiliaire aussi bien qu’en agresseur… Il use de la prière ou du service plus souvent que de la violence » (Joseph Calmette, in Le monde féodal, 1934).

Il est de fait que les Germains se sont initialement implantés dans l’Empire romain d’Occident comme auxiliaires ou comme réfugiés, repoussés par les Slaves puis par les Huns. Ils ont d’ailleurs remarquablement aidé les Gallo-Romains à écraser l’envahisseur hunnique au Ve siècle. En outre, même lorsqu’ils se comportaient en pillards, ils régénéraient les populations occidentales par un fort utile apport génétique : on restait au sein de la même race continentale, l’européenne.

De nos jours, le spectacle des réfugiés africano-asiatiques, chassés de chez eux par la barbarie islamique ou les jeux pervers des dirigeants US – du style George Bush junior ou Barack-Hussein Obama -, est indéniablement pitoyable. Seulement, après avoir nourri et formé à un métier utile ces extra-Européens, n’avons-nous pas le devoir de les rendre à leurs continents d’origine, pour que ces ex-réfugiés, secourus et convertis à la technicité occidentale, civilisent leurs Nations d’origine ?

Les agents de désinformation clament l’intérêt de la mixité des races et des civilisations, en complet désaccord avec les faits observés dans les pays multiraciaux (USA, Mexique, Brésil, pour prendre quelques exemples simples où fleurit la violence interraciale de façon quotidienne). On peut prendre ces bêlements de propagande pour ce qu’ils sont : la soumission aux intérêts de la grande distribution.

Les mêmes immigrés-réfugiés-envahisseurs consommeraient infiniment moins s’ils étaient restés chez eux. Accueillis par des États occidentaux, ils jouissent d’une multitude de lois à caractère social (même les immigrés clandestins ont droit à une allocation spécifique en France), en plus d’usages, pas toujours conformes à la loi, d’organismes publics locorégionaux et de dons issus de la charité privée. Pourquoi retourneraient-ils dans leurs gourbis insalubres alors qu’ils bénéficient de jouissances matérielles infiniment plus grandes que dans leur continent d’origine et contre un travail nettement moins harassant, voire pas de travail du tout ?    

De fait, se pose le problème de leur intégration. Qu’ont-ils à donner en contrepartie de tout ce que nous leur offrons ? De façon trop fréquente, ils nous font présent de rejetons peu doués, souvent délinquants, presque jamais courtois, en sus d’une religion conquérante, aux usages médiévaux adaptés à des continents où la rudesse et une conception très particulière des rythmes de travail sont opposées aux nôtres.

Les empires hellénistique et romain ont tenté d’amalgamer l’Afrique du Nord et le Proche-Orient à l’Europe, du moins celle qui était étendue de l’Atlantique et de la Méditerranée au Rhin et au Danube, et cela fut un échec intégral.

Pourquoi voudrait-on récidiver dans l’erreur ? Si c’est pour satisfaire l’esprit de lucre des très curieux « humanistes » de Wall Street, de la City londonienne et des multinationales, ou pour communier à la niaiserie, plus ou moins intéressée, des affairistes (souvent repris de justice) du Charity business, d’un pape étonnant et de politicien(ne)s toqué(e)s, ce n’est peut-être pas nécessaire.

17:53 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Carl Lang à Toulouse samedi 11 février

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17:46 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Franck de La Personne : plus un outing qu'un ralliement

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Hristo XIEP Média presse info cliquez ici

vieille carne cathophobe de Jean-Michel Ribes va en avaler de travers. Lui qui s’est encore distingué dans l’enflure ordurière contre la majorité du peuple américain (« Trump est un gros con élu par des catégories de gens qui ne m’intéresse pas ») et qui touche 4 millions de subventions par an voit l’un des anciens de la série Palace rallier Marine le Pen. C’était à l’époque où Franck de Lapersonne, qui était encore maigre et avait des cheveux roux, jouait dans cette série plusieurs personnages, notamment Combier, l’assistant du docteur Swift du Labo Palace qui fut notamment mordu par une savonnette, et un client qui prit un très gros risque en commandant un rôti de cerf au restaurant… Le pauvre, s’il fut un grand acteur de théâtre, se retrouva à tourner dans les pires navets de propagande, tels Survivre avec les loups, le Crocodile du Botswanga ou Lucie Aubrac. Comme quoi, il est nécessaire de dissocier parfois l’homme de l’œuvre, et que l’on peut bien penser tout en tournant dans de la daube propagandiste. Dame, il faut bien manger… surtout quand on descend d’une lignée aristocratique : des seigneurs de Dhuisy et d’Hermensis, vicomtes d’Acy et seigneurs de Variscourt…

Franck de La Personne, ou plus exactement de La Personne (car son patronyme est orthographié ainsi sur sa carte d’identité), a donc officialisé son ralliement à Marine Le Pen lors du meeting qu’elle a tenu à Lyon le 4 février. Dans son discours, salué par une standing ovation du public, il a développé un argumentaire dans la droite ligne du parti : « Victor Hugo n’a pas appris l’arabe, et ça me fait plaisir de le savoir », pendant que la foule scandait : « On est chez nous ! ».

Le fait que Franck de La Personne soit au Front National n’est pas un scoop. Cela a même failli lui coûter sa carrière. L’un des plus grands connaisseurs des arcanes de la vie parisienne, le Marquis Jean-Paul Chayrigues d’Olmetta, avait raconté comment à la fin des années quatre-vingt, Franck de La personne avait annoncé à haute voix qu’il avait voté pour Jean-Marie Le Pen aux Présidentielles (il s’agissait, si mes souvenirs sont exacts, de celles de 1995) devant un parterre d’acteurs qui étaient plutôt du genre à voter à gauche de la gauche. Réalisant la boulette qui aurait pu lui valoir une fin de carrière immédiate, il a rapidement fait circuler le bruit que les dits propos étaient une blague de mauvais goût dite en état d’ivresse. Il essaya ensuite de brouiller les pistes en se présentant comme d’extrême-gauche, proche du néo-stalinien Jean-Luc Mélenchon.

Si quelques personnalités ont déjà par le passé refuser de critiquer le Front National (le footballeur Christophe Dugarry), voir même pris la défense de membres du FN dans des cas précis (la chanteuse Françoise Hardy, les chanteurs Hugues Aufray et Daniel Guichard), rares sont celles qui se sont engagées partiellement (Albert « Bébert » Kassabi, chanteur du groupe Les Forbans, l’acteur Alain Delon, le commentateur sportif Thierry Roland) ou ouvertement. Parmi celles et ceux qui ont fait en quelque sorte leur « outing » tricolore, notons l’actrice Brigitte Bardot, l’humoriste Jean Roucas, le musicien Mikaël Sala ou le champion automobile Pierre Lartigue… Pour le moment c’est peu, mais attendez que le Front National arrive au pouvoir et ça va se rallier par wagons entiers…

16:41 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les « Bobards d’Or » font le plein !

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Source Paris Vox cliquez ici

La 8ème soirée des Bobards d’Or se déroulait hier au Théâtre du Gymnase Marie Bell. Nous vous avions annoncé la soirée ici : cliquez ici. La salle était comble pour célébrer les plus fameux des bobards des médias de propagande. Marion Maréchal Le Pen était notamment présente dans le public.

La soirée sous le patronage de Polémia ne se limitait pas à la présentation des 6 bobards. Le Décodex  du Monde cliquez là était sur l’ensemble des lèvres. Chaque Bobard était « défendu » par un journaliste afin de justifier que celui-ci était bien le Bobard d’Or en puissance.

Les six journalistes présents sur le plateau représentaient un panel des médias de réinfomation : Martial Bild (TV Libertés), Charlotte d’Ornellas et Gabrielle Cluzel (Boulevard Voltaire), Yann Valérie (Breizh Info), Caroline Parmentier (Présent ) ou encore le Salon Beige.

Pour chaque Bobard un travail documenté de vidéos et d’articles présentait clairement les preuves du mensonge. Des dessinateurs de presses illustraient la soirée en direct, suscitant bien souvent les rires du public.

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Plusieurs intermèdes ont eu lieu entre chaque Bobard, le premier concernait les humoristes sur les antennes radios ou télés, un autre était consacré aux meilleurs Tweet, et Benjamin Dormann a également fait une présentation peu élogieuse de la presse mainstream. Il a notamment dénoncé pendant sa prise de parole la presse qui vit sous perfusion publiques. Selon son décompte, il est versé chaque année 9000 € par carte de presse en subventions. Un état des lieux des actionnaires des médias a également été présenté.

L’élection du Bobard d’Or était serrée entre le bobard poids lourds et le bobard tintin grand reporter. Il a fallu procéder à un deuxième vote pour les départager.

Ce sont Hugo Clément et Yann Barthès, qui officiaient sur Canal + et avaient fait une visite assez militante de Molenbeek, qui ont finalement raflé la mise, charge a Martial Bild de leurs remettre le prix ou du moins d’essayer ! cliquez ici

La soirée était alors conclue par un discours de Jean-Yves le Gallou incitant les médias de Réinformation à créer et produire du contenu qualitatif.

Rendez-vous l’année prochaine pour une nouvelle cérémonie des Bobards d’Or.

12:50 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Extraits du nouvel album CD des Brigandes intitulé "Foutez le camp"

Pour acheter le nouvel album CD des Brigandes cliquez ici 

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12:41 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

2017 : l’ère des révolutions

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Richard Dessens EuroLibertés cliquez ici

La Russie va commémorer le centenaire de la Révolution russe dont la première étape démarre en février 1917. La seconde, celle d’octobre voit la victoire des Bolcheviques et des Thèses d’avril de Lénine.

L’Histoire a des constantes entêtantes. Les siècles historiques ne correspondent jamais aux siècles calendaires. Leurs vingt premières années ont toujours été décisives. La guerre de 1914 et la Révolution russe marquent la fin du XIXe siècle et ouvrent la terrifiante modernité d’un XXe siècle meurtrier.

Petit rappel…

1117 : début du règne des Capétiens qui durera jusqu’en 1328. La période du bas Moyen Âge commence avec celle de l’instauration progressive de l’État.

1217 : après la victoire de Bouvines, Philippe Auguste devient le premier symbole d’une « nation » française en formation. Gengis Khan entame ses conquêtes prodigieuses jusqu’à la Russie, dernier rempart de l’Europe du XIIIe siècle.

1317 : mort de Philippe le Bel en 1314, et début de la fin des Capétiens directs avec les courts règnes désastreux des « Rois maudits », puis de la guerre de Cent Ans.

1417 : fin du règne calamiteux de Charles VI le Fou et réunification de la Papauté avec la fin des antipapes d’Avignon.

1517 : Martin Luther placarde ses « 95 propositions ». C’est le début d’un siècle de bouleversements religieux et politiques sans précédents en Europe.

1617 : après 1613 qui voit l’élection des Romanov en Russie pour trois siècles, la noblesse française entame un processus de Fronde contre un pouvoir central qui la dépouille peu à peu de ses pouvoirs locaux.

1717 : fin du règne de Louis XIV en 1715 et commence la propagation du Siècle des prétendues « Lumières » qui aboutit à la Révolution bourgeoise de 1789.

1817 : Napoléon déchu et signature du Traité de Vienne. Une nouvelle ère s’ouvre sur un XIXe siècle qui révolutionne l’Europe jusqu’à la déflagration de 1914 et la fin d’un monde.

Les entames des siècles façonnent depuis toujours un monde nouveau avec des bouleversements majeurs. C’est ce que nos « années 2017 » nous montrent encore une fois : réveil de la vieille Russie, Brexit, élection inouïe de Donald Trump aux USA, poussées sans précédent des « populismes » en Europe, problématiques religieuses et civilisationnelles posées par l’Islam radical notamment, puissance gigantesque d’une Chine inquiétante, bref, tous les ingrédients d’un changement fondamental politique, sociologique, religieux, sont rassemblés en cette année 2017 symbolique. Année de tous les dangers, année de tous les espoirs.

Il faut être un doux rêveur ou un dangereux idéologue humaniste pour ne pas voir la réalité qui nous entoure et continuer à faire avec les logiciels de la politique issus de 1945 pour les uns, ou à vouloir faire passer leur extrême humanisme pour une modernité révolutionnaire pour d’autres.

Le mot « révolution » est revenu pourtant à la mode d’une manière ou d’une autre : Mélenchon, Macron, Bayrou l’emploient avec leurs propres significations, banalisant le mot en le vidant de sa substance. Lorsqu’on nous dit qu’il est impossible de faire autrement que de sacrifier aux oukases de la mondialisation, de l’Europe financière de la BCE, du FMI, de l’économie libérale, de la DUDH (Déclaration universelle des droits de l’Homme) et autres psalmodies politiquement correctes, il faut se rappeler qu’en Russie en 1917, on a fait autrement, dans un monde ultra-capitaliste ; que les envahisseurs barbares ont fait autrement en 410 lors du saccage de Rome ; que Danton et Robespierre ont fait autrement en 1793. Toujours au prix d’un bain de sang. Mais laisser une politique de renoncement ouvrir un champ libre à ceux qui veulent notre destruction, c’est choisir un autre bain de sang. Il faut garder l’initiative de la force si on ne veut pas se la faire imposer, comme des moutons menés à l’abattoir en bêlant.

On pourrait multiplier les exemples où la force l’a emporté sur un Droit pleutre et dépassé. Lorsque le Droit ne remplit plus son rôle protecteur des valeurs d’un monde, alors une force le balaie et crée de nouveaux droits.

09:53 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Génération Identitaire s’oppose au congrès de l’UOIF

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Source Paris Vox cliquez ici

Hier, samedi 04 février, les jeunes militants du mouvement Génération Identitaire ont investi le palais des Congrès de Paris afin d’exprimer leur opposition à la tenue du congrès de l’UOIF (Union des Organisation Islamiques de France) qu’ils considèrent comme « complice des islamistes radicaux ».

Les forces de l’ordre, rapidement arrivées sur place, ont procédé à l’interpellation de la trentaine de militants qui ont été relâchés après un contrôle d’identité.

Voici le communiqué de l’organisation Génération Identitaire Paris :

Chassons les islamistes de l’UOIF !

Ce samedi 4 février, une trentaine de militants identitaires a perturbé le colloque de l’Union des Organisations Islamiques de France qui se tenait au Palais des Congrès de Paris, Porte Maillot. Bloquant les accès au salon, ils ont déployés deux banderoles : “Stoppons l’islamisation de l’Europe” et “UOIF complice des islamistes”. Ces messages visent à exiger la dissolution de l’UOIF, organisation islamiste promouvant un Islam totalitaire et conquérant, y compris en Europe.

Ils ont été délogés par la police au bout d’une heure et ont été relâchés à l’issue d’un contrôle d’identité.

L’UOIF est la branche française des frères musulmans, organisation considérée comme terroriste dans de nombreux pays. En islamisant la société française, en promouvant l’islamisme, l’UOIF se fait le complice des terroristes islamistes qui tuent au Bataclan ou à Nice.

Nous ne pouvons tolérer de laisser ces islamistes de l’UOIF s’exprimer publiquement et répandre leur idéologie avec le soutien des autorités françaises.

Pour assurer la sécurité des Français, chassons les islamistes de l’UOIF ! 

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Le Journal du chaos de cette semaine

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Le lire cliquez ici

00:00 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 06 février 2017

Fillon, le chasseur devenu gibier...

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Un communiqué de Jean-Marie Le Pen :

Depuis le début de l’affaire FILLON, je mets l’opinion en garde contre les graves dérives qui polluent notre régime démocratique et donnent au gouvernement en place tous moyens de persécuter ses adversaires, au mépris du principe de séparation des pouvoirs.

Ces moyens forment une sorte de trilatérale : la presse, tels Médiapart et le Canard Enchaîné dans le rôle des sycophantes ; l’enquête préliminaire sans juge ni dossier d’accusation ; le parquet national financier enfin, créature juridique socialiste née de l’affaire CAHUZAC.

Ami intime du système, tout soudain bouleversé de se voir appliqué le traitement réservé aux parias, aux « intouchables » selon ses mots, M. FILLON, chasseur devenu gibier, n’a-t-il pas mérité ce douloureux retour de bâton ?

19:23 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le vrai visage de Macron...

18:09 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |