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dimanche, 07 novembre 2010

Les nationalistes de toute l'Europe seront à Salem (Suède) le 9 décembre prochain...

Il y a dix ans, à Ronninge (banlieue de Stockolm) était assassiné par une bande de racailles d'importation le jeune militant nationaliste suèdois  Daniel Wreström, agé seulement de 17 ans. C'était le 9 décembre 2000. Depuis, chaque année, le jour anniversaire de ce crime, les jeunes suèdois sont de plus en plus nombreux à se rassembler pour commémorer la mort de Daniel et manifester leur volonté de défendre leur identité face à l'invasion de leur pays .

Comme l'an passé, à l'initiative des jeunes de la Nouvelle Droite Populaire alsacienne (cliquez ici), une délégation française participera à cette manifestation afin de témoigner du soutien de la résistance nationale française au combat des nationalistes suèdois. Celles et ceux qui seraient intéressés par cette marche commémorative européenne pourront se renseigner, jeudi 11 novembre, au stand de la NDP Alsace à la 4ème journée de Synthèse nationale à Paris.

Robert Vesterlund, fondateur du Salemfonden, participera jeudi 11 novembre à la 4ème Journée nationale et identitaire organisée au Forum de Grenelle (5, rue de la Croix-Nivert Paris XVème - métro Cambronne) par Synthèse nationale. 

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Malheur aux peuples qui ne se connaissent pas d'ennemis...

thermopyles6at.jpgPar Jean-Gilles Malliarakis

L'Insolent

 

Au moment où nos dirigeants faisaient des ronds de jambe aux maîtres de la Chine, l'Assemblée nationale évoquait, ce 4 novembre, le budget de la défense nationale. Plusieurs intervenants ont affirmé une vérité fondamentale dans ce domaine : on ne saurait parler de ce sujet sous un angle exclusivement financier, sans penser aux soldats français engagés en Afghanistan et à leurs camarades déployés sur 24 missions hors métropole.

 

On doit aussi souligner la qualité du débat et, sur les points essentiels, la convergence des interventions. De la droite au parti socialiste, les divers parlementaires travaillant sur cette matière, régalienne par excellence, s'accordent.

 

La seule exception se situe dans les rangs communistes. Le camarade Candelier est ainsi intervenu ce jour-là en faveur de la Corée du nord : "ce pays représente la quatrième puissance militaire mondiale, forte de plus d’un million de militaires actifs et de l’arme nucléaire. Je pense qu’un dialogue non condescendant, un traité de paix et une reconnaissance diplomatique seraient plus efficaces qu’un bouclier antimissile, pour lequel l’OTAN fait le forcing, au service des industries américaines de défense." Faut-il commenter ? Personne ne parle jamais de ce genre de "dérapage" venant de ces gens-là.

 

À l'exclusion des continuateurs réconciliés du stalinisme et du trotskisme, donc, tous les intervenants estiment préoccupante la diminution constante des efforts de la nation, et du renoncement lancinant, de l'Europe face à la montée des périls. Certains parlent, pour le futur, de la perspective d'un condominium américano-chinois. Cette manière de présenter les choses répond au modèle naïf tendant à calquer l'avenir sur le passé. La situation qui prévalut entre le conférence de Yalta en 1945 et la disparition de l'Empire soviétique en 1991 n'existe plus. À cette date, Pierre Joxe, ministre du gouvernement Rocard enclencha le processus de retour de la France dans la bureaucratie de l'OTAN. En réalité, même une telle vision rétrospective se révèle aujourd'hui périmée. Les États-Unis portent actuellement encore 50 % en valeur des budgets de défense du monde entier. Mais, parallèlement, en Chine la croissance des dépenses militaires a atteint plus de 217 % en 10 ans. De 2001 à 2009, elles ont augmenté de plus 105 % en Russie, plus de 75 % aux USA, plus de 67 % en Inde et plus de 38 % au Brésil. En Europe elles reculent.

 

En dehors de ces considérations quantitatives on doit souligner aussi la nécessité de s'adapter à des risques nouveaux et aux nouvelles technologies opérationnelles : surveillance et militarisation de l’espace, défense informatique, évolution du renseignement, lutte contre le terrorisme et contre la prolifération nucléaire, ombre mortifère des armes chimiques et biologiques.


Cette année encore, cependant, l'effort militaire européen recule. La France passe pour l'un des rares pays à s'en préoccuper. Mais elle n'y consacre plus que 1,55 % de son produit intérieur brut. Les Américains 5 %. Les Chinois 10 %.

 

Chaque année à Paris les programmes de défense de la loi de finances diminuent dans le beau tableau des 34 missions du budget général de l'État. Au nom de la RGPP, "Révision générale des politiques publiques", annoncée en 2007, puis au nom de la crise en 2008, le recul n'a cessé de poursuivre une pente amorcée depuis les années 1960. Et l'on se propose désormais de financer une part de cet effort déclinant par des ventes de terrains à des promoteurs immobiliers ou de cessions de fréquences hertziennes à des opérateurs téléphoniques. Ces recettes se révèlent d'ailleurs, d'année en année, fort hypothétiques.


On passera ainsi, d'un budget de la défense de 32,2 milliards d'euros pour l'exercice 2010, à un montant de 31,2 pour 2011.

 

A-t-on édité en 2007-2008 un Livre blanc sur la défense ? A t-on voté en 2009 une loi de programmation militaire ? Dès 2010 on en décale d'importantes dispositions. Cela vaut, dans l'armée de terre, pour le programme SCORPION, destiné à la modernisation des groupements tactiques interarmes des unités du combat au sol de même que pour la surveillance et de commandement des opérations aériennes.

 

L'armée de l'air continue de pâtir de l'échec commercial du Rafale à l'exportation. On fait attendre la rénovation des Mirage 2000D. On diffère l'utilisation du ravitailleur airbus MRTT (1). On reporte aussi le satellite de renseignement CERES. etc.

 

Symboliquement les effectifs de l'armée de terre passeront cette année au-dessous de la barre des 110 000. Plus de 20 % de cet effectif est déployé loin de nos frontières. Ce lent déclin la place au niveau de ce que le pacte de Varsovie assignait à la Bulgarie en 1989.

 

De ce point de vue l'accord purement bilatéral franco-britannique signéà Londres ce 2 novembre a sans doute pu choquer certaines sensibilités fédéralistes continentales, en l'absence de tout symbole d'Europe. Mais on doit, par ailleurs, se représenter que les deux États disposent à eux seuls de 50 % du budget militaire de l'ensemble des 27, de 65 % des crédits d'équipements et de 70 % des efforts de recherche et développement.

 

On ne peut que constater la paralysie des institutions communautaires. On n'oubliera pas que d'ailleurs, depuis l'adhésion de 1973 l'euroscepticisme britannique et le souverainisme français depuis le référendum de 2005 y ont fortement contribué. L'Europe confédérale n'existe pas encore. Or, la défense du continent doit, entre-temps, être pensée et mise en œuvre. La faire exclusivement reposer sur le seul bon vouloir de M. Obama relève de l'aveuglement.

 

Dans quelques jours, les pays membres de l'OTAN, au sein de laquelle la France est devenue le quatrième contributeur, se réuniront à Lisbonne. Peut-être les questions stratégiques auront-elles, d'ici là et dans ce court laps de temps, bénéficié d'un traitement médiatique un peu plus attentif.


Sur France 5 (2), ce 4 novembre, on a entendu le général Henri Bentegeat, ancien chef d'État-Major des armées françaises de 2002 à 2006, soutenir le point de vue que pour la première fois de son Histoire la France ne se connaissait pas d'ennemi. Le scepticisme se lisait sur le visage d'un de ses interlocuteurs (3). Ceci amena notre sympathique stratège à préciser que le danger évident, – que nous nous autorisons à qualifier d'islamo-terroriste, – n'était plus représenté par un État.

 

Si l'on s'était préoccupé, entre 1917 et 1991, de songer que la politique mondiale de Moscou n'exprimait pas la géopolitique d'une nation mais "l'entreprise" (4) d'une idéologie totalitaire, on aurait évité bien des erreurs.

Malheur au pays qui ne se connaît pas d'ennemis.

 

Notes

 

1.      1 - Avions dit "multirôle de ravitaillement en vol et de transport" [sigle anglais : Multi-Role Transport Tanker] destinés à remplacer les 14 ravitailleurs actuels (KC-135R - 3 avions, C-135FR - 11 avions) aussi bien que les transporteurs.

2.       2 - cf. l'émission "C dans l'air" l'émission d'Yves Calvi traitait le 4 novembre" Paris et Londres font la bombe". 

3.       3 - M. Pierre Servent, lieutenant-colonel de réserve de l’armée de terre, qui fut de 1995 à 1997 porte parole du ministère de la Défense, et qui intervient souvent sur les questions stratégiques dans les médiats

4.       4 - Ce que démontrent les travaux de Jules Monnerot

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A quelques jours de la 4ème journée nationale et identitaire de Synthèse nationale : un entretien entre Franck Abed et Roland Hélie...

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samedi, 06 novembre 2010

Il y a un an naissait la section de Forbach de la Nouvelle Droite Populaire...

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Il y a un an, naissait la section de Forbach de la Nouvelle Droite Populaire. Celle-ci confirme la bonne implantation de la NDP en Lorraine. Un an après, nous faisons le bilan avec Armand Weber, délégué local du mouvement.

Armand Weber, présentez-vous en quelques mots.

J’ai bientôt 31 ans, je travaille dans le secteur privé en Allemagne. Je suis en couple, sans enfants. Je suis fortement engagé dans la démarche politique de la section forbachoise de la Nouvelle Droite Populaire.

Pourquoi avoir créé une section de la Nouvelle Droite Populaire à Forbach il y a maintenant un peu plus d’un an ? Quel sont les objectifs visés par ce parti ?

 

J’ai pu constater qu’au niveau local, aucun parti de Droite Nationale n'était représenté, mis à part le Front National uniquement visible lors des différentes campagnes électorales. C’est pour cette raison que j’ai décidé d’adhérer à la NDP qui représente pour moi une vraie alternative par rapport au Front National, qui pour mes camarades et moi-même n'est plus un parti nationaliste mais un parti similaire à L’UMPS faisant malheureusement partie du système.


Lors des élections régionales en mars dernier, notre liste «Non aux minarets en Lorraine » dirigée par Annick Martin (Secrétaire Générale du MNR) et issue de l'alliance de la NDP, du MNR, et du Parti de la France, a frôlé à Forbach et à Sarreguemines la barre des 5%, ce qui est un résultat non négligeable pour une première campagne électorale. Cela prouve qu’en Moselle, et plus généralement en France, un ras-le-bol général cherche à s'exprimer.


Quels ont été vos premières actions et résultats à Forbach ?


Nous avons multiplié les actions militantes (tractage, collage d’autocollants) dans différents quartiers et au centre ville. Nous avons organisé une manifestation le samedi 11 septembre 2010 afin de commémorer la Bataille de Vienne, au cours de laquelle l’Empire Ottoman a été repoussé sur ses terres.


Un local sera très prochainement mis en place dans la commune avec une ou deux permanences par semaine, pour proposer aux habitants de parler de leurs problèmes quotidiens et pour mieux développer notre structure.
Nous allons bien sûr préparer d’autres actions militantes sur le secteur afin de nous préparer aux prochaines élections. Nous ne voulons pas laisser la rue à une Gauche nauséabonde, ni aux syndicats.


Que pensez-vous de la politique locale actuelle ?


Pour l’instant, je ne cherche pas à trop m’impliquer dans la politique à proprement parler de la commune. Mon but est de sensibiliser les habitants sur la question de l’Islam.


Souvent dans mon entourage, on dit que je suis paranoïaque à ce sujet, que l’Islam est une religion comme une autre et que la pseudo-islamisation n’existe pas. Donc, j’invite tout le monde à se rendre les mardi et vendredi matins au marché du centre ville pour constater que l’Islam a pris une grande place à Forbach. Par exemple, un magasin halal a récemment ouvert à Forbach, la plupart des snacks ou restaurants rapides sont maintenant halal. Si je refuse de manger halal comme beaucoup de nos citoyens, où dois-je aller? Je trouve que cela est une discrimination envers les Français qui ne demandent pas plus que de manger un hamburger "normal" ou une saucisse blanche. J’ai eu plusieurs messages sur mon blog m'informant que, pendant la Fête de la Musique du 21 juin, tous les stands de restauration étaient halal. Une amie s’est fait insulter par une musulmane à la caisse du Cora parce qu’elle a eu le malheur de poser un paquet de jambon trop près des articles halal de cette dernière sur la bande.


Récemment, j’ai appris la construction d’une nouvelle mosquée à Forbach, j’ai donc publié une lettre ouverte à ce sujet au Maire (Laurent Kalinowski) en lui faisant part de mes sentiments, et qui jusqu'à ce jour est restée sans réponse. Cela nous montre bien l’interêt que porte le Maire sur ces différentes questions...


Donc, vous n’êtes pas d’accord avec le Maire de votre commune ?


Il n’est pas question d’être d’accord ou pas. Il s’agit d’une question de bon sens. Ce monsieur n’est pas socialiste pour rien... J’espère que les habitants prendront cela en compte lors des prochaines élections.
Certes, les dernières années, la commune a voulu se moderniser, en créant des foyers pour jeunes par exemple, comme le foyer Cosmos dans le quartier de Bellevue, pour éviter que ceux-ci traînent dans la rue ; un éducateur a pour charge d’encadrer ces jeunes, pour la plupart issus de l’immigration. Résultat :ce foyer est devenu une plate-forme de ventes de stupéfiants(cannabis, héroine et amphétamines). Que fait la commune pour la sécurité des citoyens dans nos quartiers ?


Comment voulez-vous y remédier ?


C’est une question délicate. Pourquoi ne pas instaurer un couvre-feu pour les jeunes de moins de 16 ans ? Par exemple en été 21 h 00 et en hiver 20 h 00 me semblerait approprié. Nous ne sommes pas là pour éduquer ces jeunes, c’est le travail de leurs parents; mais en cas de non-respect de ce couvre-feu, et des autres règles de la vie en société, il faudrait alors émettre des sanctions (interruption partielle des aides, etc.). Je pense en effet qu'il s'agit d'une solution envisageable. Trouvez-vous normal que des jeunes de 13 ou 14 ans se promènent le soir à 23 h 00 au centre ville ? Pas moi.


Il faudrait aussi donner plus de droits aux forces de l’ordre présentes, car tant que ces jeunes ou moins jeunes n’ont pas peur de la justice ni de la police, ils ne jugent pas utile de respecter les lois. Au pire, les fauteurs de trouble se retrouvent en prison arpès avoir commis une grave infraction, et cela est pour la plupart aussi punitif qu'un séjour 3 étoiles au Club Med ! Il faut agir en conséquence et arrêter d'invoquer de supposées circonstances atténuantes aux agissements délictueux commis par les délinquants.

 

Source NDP Forbach

 

Contact : ndpsectiondeforbach@hotmail.fr

12:23 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Très bon impact de la campagne du Parti de la France contre la construction d'une mosquée à Beauvais...

Suite à la distribution, commencée début septembre, du tract s'opposant à la construction d'une mosquée-cathédrale à Beauvais, les retours de coupons-réponse des Beauvaisiens ulcérés par l'islamisation de leur ville affluent au fur et à mesure que les militants locaux couvrent les différents quartiers de la ville.

Grâce à cet appui populaire, la mobilisation du Parti de la France va s'amplifier et se traduire par de nouvelles actions militantes contre la future mosquée beauvaisienne ; un autocollant spécifique est d'ailleurs en projet et sera disponible dans quelques temps.

Le Parti de la France placera la construction de cet édifice religieux islamique au centre des élections cantonales sur Beauvais en mars prochain où il sera présent sur les deux cantons renouvelables (Beauvais Nord-Est et Beauvais Sud-Ouest).

Source Le blog de Thomas Joly

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vendredi, 05 novembre 2010

Le nouveau livre d'Anne Kling, "Le CRIF, un lobby au coeur de la République", vient de sortir...

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Préface de Jean-Yves Le Gallou

 

Huit cents invités au dîner annuel du Conseil Représentatif des Institutions juives de France. Toute la classe politique présente en rangs serrés afin d’entendre les remontrances, récriminations et requêtes de cette officine représentant, de son propre aveu, quelque 100 000 personnes. 1/6e à peine de l’ensemble de la « communauté » et 0,2% de la population totale du pays. Dîner de gala relayé par autant de dîners régionaux et de contacts réguliers tout au long de l’année au plus haut niveau de l’Etat.

 

Comment une telle influence, un tel pouvoir même, sont-ils possibles dans une démocratie laïque ne reconnaissant officiellement que des citoyens tous pareillement égaux? Pourquoi la classe politique française fait-elle preuve d’une telle complaisance à l’égard du CRIF et de ses dirigeants? Qui se qualifient eux-mêmes de « porte-parole politiques de la communauté juive de France » mais songent d’abord à défendre les intérêts d’un pays étranger, Israël.

 

Fantasmes ou mensonges, que cette puissance? Une plongée dans l’histoire de cette  institution devenue « interlocuteur essentiel de l’Etat » et l’examen attentif des actions et réactions du CRIF tout au long de l’année 2009 et de la première partie de 2010, permettront au lecteur d’en juger.

 

Editions Mythra, 294 pages. 18,00 €.

 

Pour le commander : cliquez ici

 

Anne Kling participera jeudi 11 novembre à la 4ème Journée nationale et identitaire organisée au Forum de Grenelle (5, rue de la Croix-Nivert Paris XVème - métro Cambronne) par Synthèse nationale. 

17:45 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jean-Pierre Stirbois

 

5 novembre 1988 - 5 novembre 2010

10:27 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 31 octobre 2010

NDP : 2 nouveaux autocollants pour affirmer notre volonté de rester maîtres de notre destin...

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2 nouveaux autocollants édités par la Nouvelle Droite Populaire

15,00 € les 150 exemplaires panachés.

Commandez-les à :

NDP 116, rue de Charenton 75012 Paris

08:37 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 30 octobre 2010

L’ARBRE ROM NE DOIT PAS CACHER LA FORÊT AFRICAINE...

Par Pierre Vial

Editorial du n°45 de Terre et Peuple

Obsédé par l’échéance de 2012, Sarkozy sait qu’il a un besoin vital des suffrages de tous ceux – et ils sont nombreux (voir les sondages) – qui, ayant voté FN ou non, mettent au premier plan de leurs préoccupations la lutte contre l’insécurité. Tout simplement parce qu’ils sont confrontés en permanence, dans leur vie quotidienne, à cette insécurité – à la différence des intellos bobos de droite et de gauche bien à l’abri devant leur ordinateur.

Le principal facteur d’insécurité, tout le monde le sait (même dans les palais ministériels) est la présence sur notre sol de millions d’envahisseurs venus d’Afrique. Du Maghreb, bien sûr, mais aussi de plus en plus d’Afrique subsaharienne. Pour le savoir, pas besoin de savantes études. Un parcours, même rapide, dans les rues et les transports en commun des grandes villes, suffit à faire le constat. Le Blanc (ou a fortiori la Blanche) seul(e) de son espèce dans une rame de métro, un bus ou le wagon d’un train de banlieue, sait de quoi je parle. Il paraît que parler ainsi ce n’est pas bien car c’est du populisme (pouah !). Mais si on s’intéresse au sens des mots, le populisme ne serait-il pas la prise en compte des besoins, des attentes, des souhaits du peuple ?

Alors, va pour populisme. Disons même national-populisme, histoire d’avoir le plaisir d’horrifier les belles consciences et les grandes âmes.

La place naturelle des populations africaines est en Afrique, au nom du principe “Une Terre, un Peuple”. Cette vérité toute simple – trop simple disent les intellos, qui ont horreur de la simplicité – conduit à une conclusion logique : il va falloir que les envahisseurs retournent d’où ils sont venus. C’est là, évidemment, que le bât blesse.

Comment faire ? On nous dit que ce n’est pas possible et qu’il faut donc, n’est-ce pas, accepter la situation (c’est-à dire non seulement la présence de ceux déjà installés chez nous mais l’arrivée permanente, à jet continu, d’envahisseurs supplémentaires). Cette résignation, cette soumission est le fruit de l’ethnomasochisme injecté dans le cerveau des Européens par les maîtres du Système. Dans certains pays d’Afrique et d’Asie, au contraire, on ne se gêne pas pour rejeter du territoire national, sans beaucoup de précautions, ceux dont la présence n’est pas souhaitée. Quand on veut, on peut. Quitte à s’asseoir tranquillement sur les critiques éventuelles.

Sarkozy et son clan, eux, ne veulent pas. Pour diverses raisons mais entre autres parce qu’ils ont peur de se casser les dents sur un trop gros morceau car le retour au pays des Africains ne se fera évidemment pas en douceur. Mais pourtant il faut donner le change, amuser la galerie avec quelques rodomontades. D’où le leurre des Roms. Dont certains prêtent bien sûr le flanc à la critique en pratiquant une mendicité ressemblant furieusement à du harcèlement ou en pratiquant ce que les anars appellent la “récupération individuelle” (c’est-à-dire le vol). D’autant que le Gaulois smicard a de quoi s’interroger lorsqu’il voit circuler les Roms dans de luxueuses caravanes tractées par de non moins luxueuses voitures de grosse cylindrée (Mercédès, BMW, Audi…).

Les Roms, c’est-à-dire les Tziganes, sont présents un peu partout en Europe, sous des noms divers. Jusqu’à date récente, où le politiquement correct a imposé l’expression “gens du voyage”, ils étaient communément appelés en France Bohémiens ou Romanichels, le mot Tziganes étant un mot savant dû à des philologues du XIXe siècle. En Angleterre on parle de Gypsies, en Espagne de Gitanos, en Italie de Zingari, tandis qu’en Europe centrale l’allemand Zigeuner a été très répandu, même si les Tchèques préfèrent parler de Cikan et les Hongrois de Cigany, tandis qu’en Roumanie, lorsqu’elle était dominée par les Turcs, les Tsigani étaient considérés, jusqu’en 1857, comme des esclaves. La langue parlée par les Roms, le romani, est d’origine indoeuropéenne, avec une forte composante néo-persane et un vocabulaire en partie d’origine grecque, dû à une longue présence des Roms, au Moyen Âge, en territoire byzantin.

Le nomadisme des Roms a toujours posé problème : entre 1910 et 1930 tous les États européens ont mis en place un fichage systématique de populations échappant aux cadres habituels liés à une vie sédentaire. En 1907 la Chambre des députés a voté un projet destiné à empêcher les “incursions des bandes de romanichels” et en 1912 a été créé un carnet anthropométrique pour les “vagabonds ethniques”, en vigueur jusqu’en 1969, où il a été remplacé par un carnet de circulation. En 1958 tous les États du bloc communiste ont interdit “le nomadisme” (les grandes consciences de gauche semblent avoir oublié aujourd’hui ce “détail”). Comme on le voit, le problème n’est pas nouveau. Ce n’est pas une raison pour tomber dans le panneau sarkozyste. La question des Roms n’est pas vitale pour l’avenir de l’Europe. L’invasion de notre terre par les masses africaines est, elle, une question vitale puisque c’est la survie d’une Europe européenne qui est en jeu. Ne nous trompons pas d’ennemi.

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09:56 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 29 octobre 2010

Christian Vanneste sera-t-il viré de l’UMP ? Le positif et le négatif de cette affaire.

Par Robert Spieler, 

Délégué général de la

Nouvelle Droite Populaire

Christian Vanneste, député UMP du Nord connu pour ses positions réactionnaires vient de susciter la polémique en s’exprimant en faveur d’une « droite large » regroupant le centre, l’UMP et le FN. A condition, précisait-il prudemment « que le FN change et renonce à certaines positions ». Las, cela ne suffisait pas. Les caniches dressés de l’UMP se sont derechef mis à japper d’indignation, avant même que les lobbys n’aient pris la peine de se mettre à couiner.  La Sénégalaise Rama Yade annonce qu’une procédure d’exclusion est en cours, la direction nationale de l’UMP affirme que ces déclarations « ont choqué tout à fait légitimement », Jean-François Copé exprime son « désaccord total » et Yves Jego évoque « un débat nauséabond ». Mais 32% des sympathisants de l’UMP et 62% des électeurs du FN approuvent Christian Vanneste.

L’aspect positif de cette affaire est qu’elle confirme aux naïfs l’impossibilité d’une entente entre le camp de la résistance et celui de la collaboration. Rama Yade, Copé et Jego ont raison de le souligner. Il n’y a en effet rien de commun entre les combattants du camp national et identitaire et les collabos craintifs et soumis aux lobbys antinationaux qui peuplent les allées du pouvoir. Il serait tout à fait catastrophique pour nos peuples que des dirigeants de la Résistance se laissent entraîner, comme le fit honteusement Fini en Italie, sur la voie de la collaboration et de la trahison.

Dès lors, la mise au point de nos adversaires est tout à fait salutaire. Mais que 62% des électeurs du FN  soient prêts à une telle alliance est consternant et démontre la grande faiblesse de la formation idéologique de notre camp.

Que dire de la « droite » ? Nous n’appartenons pas à la même famille qu’eux, nous ne parlons pas comme eux, nous ne rêvons pas comme eux, nous ne respirons pas comme eux, nous ne pensons pas comme eux et nous ne rions pas comme eux. Nous ne vivons pas comme eux, et nous ne mourrons pas comme eux.

Bref, nous ne sommes pas de la même « droite » qu'eux…

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mardi, 26 octobre 2010

ILS VEULENT ASSASSINER TAREK AZIZ !

La Haute cour pénale irakienne vient de condamner à mort  l'ancien vice-premier ministre de Saddam Hussein, le chrétien (chaldéen) Tarek Aziz, âgé de 74 ans. Le "pouvoir irakien", collaborateur servile de l'impérialisme pétro-yankee, lui reproche d'avoir participé à la répression contre le parti al-Daawa, parti, il est vrai, de l'actuel premier ministre Nouri al-Maliki. 

 

Le fils de Tarek Aziz, Zias, s'est dit "sidéré" par cette décision de justice : "Mon père n'a jamais rien eu à voir avec les partis religieux. Ce verdict est une honte. Quand ont-ils eu le temps d'étudier le verdict ? Ils n'ont pas écouté les avocats de la défense de mon père ? De quelle justice parle-t-on ?".

 

Tarek Aziz a dirigé la diplomatie irakienne dans les années 90. Il s'est fait connaître en Europe par sa volonté exemplaire de sauver la paix face aux prétentions belliqueuses de la coalition américano-occidentaliste lors de la première guerre d'Irak. 

 

Depuis 2002, il est emprisonné par les forces d'occupation et leurs valets locaux afin d'éviter qu'il puisse divulguer des informations gênantes pour un grand nombre de politiciens occidentaux qui, rappelons-le, faisaient moins la fine bouche à l'époque où Saddam Hussein était au sommet de sa gloire.

 

Depuis 2002, l'impérialisme américain tente par tous les moyens de légitimer son intervention en Irak. Tous les motifs invoqués, en particulier les prétendues installations nucléaires militaires, se sont avérés n'être que des mensonges criminels.

 

Depuis 2002, des dizaines de milliers d'Irakiens sont morts en raison de l'avidité des pétroliers texans et de la folie meurtrière américaine.

 

Roland Hélie

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mercredi, 20 octobre 2010

Actes « racistes » et « néo-nazis » en Alsace : rappel d’une étonnante manipulation…

Par Robert Spieler

Ancien député

Délégué général de la

Nouvelle Droite Populaire

 

Octobre 2010 : Plusieurs actes ciblant des cimetières et des biens de personnalités publiques juives et musulmanes ont été relevés récemment en Alsace, et tout particulièrement à Strasbourg, suscitant le cirque que l’on imagine du côté des élus, des « autorités morales », et bien entendu des medias qui s’en donnent à cœur joie. Pensez donc : deux cimetières juifs et deux carrés musulmans profanés, des tags de symboles nazis qui visent un camion de distribution de viande halal, la maison du maire socialiste de Strasbourg  Roland Ries, celle du maire de Schiltigheim Raphaël Nisand, président de la Licra et à ce titre, grand persécuteur de militants identitaires, celle de son frère Israël Nisand, gynécologue très médiatisé partisan de la gratuité de la pilule contraceptive pour les adolescentes, celle de Faruk Günaltay, activiste de la multiculturalité, etc… C’est, comme le relève la presse, « la mobilisation générale. Tout le monde est sur le pont ». Pendant que les pétitionnaires pétitionnent en désignant l’extrême-droite, les analystes tel le géographe Richard Kleinschmager analysent le sombre terreau alsacien, rappelant le « poids de l’histoire » en n’oubliant pas de relever « la douloureuse question des malgré-nous, ces 130.000 Alsaciens et Lorrains enrôlés de force dans l’armée allemande avec, parmi eux, quelques volontaires acquis aux idées du 3ème Reich ». Cette dernière précision est bien entendu vitale pour la compréhension des évènements contemporains, dont l’importance du vote d’extrême-droite en Alsace. Kleinschmagger va jusqu’à formuler cette forte pensée : « du fait de son histoire particulière, la région pourrait être une sorte de laboratoire obscur, le terrain d’exercice de fractions extrémistes ».

 

Mais les autorités ont décidé de réagir en prenant des mesures dignes de l’importance de l’enjeu : création d’une cellule spéciale de six enquêteurs, secondée par des patrouilles renforcées et des techniciens de la police scientifique et surtout « l’éducation des nouvelles générations (entendez le bourrage de crânes) » et, bien entendu « l’organisation de visites de collégiens au Struthof, camp de concentration nazi en Alsace » (qui fut utilisé à la fin de la guerre pour emprisonner les collaborateurs).

 

Retour sur mai 1957 en Alsace :

  

Que se passe-t-il en Alsace en ce début d’année 1957 ? Des croix gammées et des slogans à la gloire du Reich, revendiqués par une mystérieuse organisation « Union de combat pour une Allemagne indépendante », fleurissent partout. On imagine l’émotion et le chahut médiatique sur le thème : les nazis sont toujours menaçants. En mai 1957, l’épouse du Préfet Trémaud ouvre une boîte à cigares qui lui a été envoyée par la poste. La boîte explose, tuant celle-ci. L’attentat est revendiqué par cette pseudo organisation néo-nazie, suscitant de très vives réactions.

 

Il a fallu attendre la chute du mur de Berlin et l’ouverture des archives des services secrets tchécoslovaques, pour apprendre que toute l’opération avait été montée par les services tchèques qui agissaient pour le compte du KGB. Le but ? Envenimer les rapports franco-allemands en plein renouveau et empêcher le développement de l’intégration européenne naissante.

 

Depuis, nous avons connu Copernic et Carpentras, entre autres. Mais aujourd’hui, ce n’est plus le KGB qui se révèle responsable de ces mises en scène. Ce sont les dirigeants de l’Etat, avec la complicité de leurs services, relayés par tous les lobbys et leurs médias, qui portent la responsabilité de ces manipulations. Ces accusations frénétiques visant à culpabiliser les électeurs et sympathisants du camp national et identitaire doivent être dénoncées sans relâche.

 

A qui profite le crime, si ce n’est au Système et à ses spadassins qui ne reculent devant aucune forgerie, aucun mensonge pour imposer leur loi et  formater les esprits les plus jeunes et les plus faibles ?

 

Si l’Etat mettait le dixième de son énergie à rétablir l’ordre dans les banlieues et à combattre sans relâche les bandes ethniques qui y sèment la terreur, plutôt que de poursuivre des chimères grimées en nazis, les Français pourraient se sentir davantage en sécurité.

Le blog de Robert Spieler : cliquez ici

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lundi, 11 octobre 2010

PETITION NATIONALE POUR LA SECESSION :

secession.jpgCONTRE L'EUROPE DE BRUXELLES :

SOUTENEZ LA CAMPAGNE NATIONALE POUR LA SECESSION !

AIDEZ-NOUS A AMPLIFIER NOTRE COMBAT !

Cliquez ici

09:08 Publié dans Campagne nationale pour la sécéssion | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Appel national à la sécession : les signatures continuent d’affluer...

Poursuivons la mobilisation !

Le grand succès de la campagne initiée par Synthèse nationale « Contre l’Europe de Bruxelles : Appel national à la sécession » se confirme.

 

Parmi les récentes signatures, relevons celles d’Albert Salon, Docteur d’Etat ès lettres, ancien Ambassadeur de la République française, du Professeur Jean Haudry, de Michel Debray, vice-amiral, Président de 1998 à 2000 de l’Institut Charles De Gaulle, de Jean-Yves Pons, Président de l’Institut Henri IV, de Jean-Claude Manifacier, Professeur à l’Université de Montpellier, de Henri de Fersan, écrivain, de Patrick Parment, journaliste, de Christophe Devillers, responsable Franche-Comté du Parti de la France, de Hervé Ryssen, écrivain, de Raymond Blanc, ancien Conseiller régional de Bretagne, de Jean-Louis Wehr, ancien Conseiller régional d’Alsace et figure historique du Front national à Strasbourg, de Marc Noé, ancien maire et Conseiller général RPR de Seine-et-Marne, et de centaines d’autres qui nous pardonneront de ne pouvoir tous les citer.

 

Nous remercions aussi chaleureusement les nombreux signataires qui nous envoient des dons destinés à financer notre campagne.

 

Nous vous appelons à poursuivre la mobilisation. Signez, faites signer la pétition pour la destruction de l’Europe de Bruxelles et la reconstruction, aux côtés des forces saines des nations européennes d’une nouvelle Europe respectueuse de ses identités et des intérêts de ses peuples.

 

Lire le site de la campagne : cliquez ici

Pour signer : cliquer là

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dimanche, 10 octobre 2010

Affaire Galinier : La Nouvelle Droite Populaire saisit la HALDE et exige qu’elle poursuive les « juges » de la Cour d’Appel de Montpellier pour incitation à la haine raciale...

Un communiqué de la

Nouvelle Droite Populaire :

 

Pour la troisième fois, les juges de la Cour d’Appel de Montpellier ont refusé la mise en liberté de René Galinier, incarcéré depuis le 5 août, qui avait eu l’outrecuidance de défendre son domicile face à deux cambrioleuses Roms qui furent légèrement blessées.

 

Depuis, René Galinier, 73 ans, croupit en prison. Même le Parquet, c'est-à-dire le ministère de la Justice, a requis sa libération qui vient d’être refusée par les « juges » de la Cour d’Appel de Montpellier au motif que « une mise en liberté pourrait susciter l’incompréhension dans l’ethnie d’origine des victimes et faire craindre des représailles à l’égard du mis en examen ». Le motif de ce refus de libérer Galinier tombe sous le coup de la loi. Il s’agit, d’évidence, d’une stigmatisation (ils adorent ce terme, alors allons-y…) d’une ethnie supposée potentiellement violente par les juges eux-mêmes. 

 

En conséquence, Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, a décidé de saisir la Halde en lui demandant de poursuivre les juges de la Cour d’Appel de Montpellier pour « incitation à la haine raciale ». Nous attendons avec impatience la réaction et l’émotion de la Halde et des lobbys.

17:00 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 05 octobre 2010

Contre l'édification d'une mosquée à Boulogne-Billancourt, la campagne de la NDP redémare...

Depuis la fin du mois de juin (cliquez ici), la Nouvelle Droite Populaire des Hauts-de-Seine mène une campagne militante active contre la construction d'une mosquée à Boulogne-Billancourt. Des milliers de tracts ont été distribués dans toute la ville et de nombreuses signatures nous sont parvenues.

Aujourd'hui, la NDP vient d'éditer un autocollant qui sera prochaînement aposé partout dans la ville afin de sensibiliser les habitants de Boulogne sur ce nouveau symbole de l'occupation de notre pays qui est en train d'être construit dans leur ville. Cette campagne se matérialisera aussi par l'édition d'un nouveau tract.

Si vous souhaitez aider les militants de la NDP des Hauts-de-Seine, écrivez à : ndp-92@orange.fr

23:13 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

TF1, chaîne délinquante : Arnaud Montebourg a raison !

Par Robert Spieler

Délégué général de la

Nouvelle Droite Populaire

 

L’insigne médiocrité de la chaine officielle du Pouvoir est dénoncée par Arnaud Montebourg, député PS de Saône-et-Loire, qui la qualifie de « chaîne délinquante ». TF1, c’est, comme le dit Montebourg, la télé-poubelle dans sa plus belle arrogance. Certes, entre les émissions misérables de téléréalité et les émissions de propagande pour le Pouvoir, il ne reste pas grand-chose : si, quelques séries américaines… Cette entreprise de décervelage de notre peuple est tout simplement criminelle.

 

Nous ne pouvons qu’adhérer à ses propos : « La France mérite mieux que cette image dégradée que renvoie le miroir de TF1 lui tend. Il faut que la dignité de la personne humaine soit respectée. Il faut que le pluralisme de la parole soit respecté ».

 

Oui, TF1 est une chaîne délinquante, qui viole la loi car elle piétine la pluralité d’opinion, et parce qu’elle traîne notre peuple dans la fange.

13:11 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 30 septembre 2010

Enorme succès de la pétition de Synthèse nationale « pour que la France entre en sécession par rapport à l’Europe de Bruxelles »...

En l’espace de trois jours, depuis que la pétition a paru sur le blog Synthèse nationale, et sur quelques sites amis, des centaines de signataires se sont manifestés. Rivarol nous consacre sa deuxième page dans son édition de vendredi, et Minute de ce mercredi relate largement notre appel. Nous les en remercions vivement.

 

Certains correspondants nous interpellent : le terme « sécession » n’est-il pas trop fort ? Est-ce réaliste ? Réponse : le traité de Lisbonne (tant pis pour lui) prévoit la possibilité de sécession. De plus, il faut être conscient que les projets politiques des formations nationalistes et identitaires ne pourront aboutir qu’à la seule condition de se débarrasser du carcan bruxellois.  Notre objectif n’est pas de détruire l’Europe, mais de la reconstruire. Cette Europe des nains de Bruxelles n’est tout simplement pas la nôtre. Et puis… à l’extrême arrogance des nains de Bruxelles et du Luxembourg, ne faut-il pas opposer une extrême détermination ?...

 

Pour signer la pétition : cliquez ici

ou par courriel à campagnesecession@sfr.fr  en donnant vos noms, prénoms et adresses et en écrivant : Je soutiens l'Appel national à la sécession.

 

Site de la campagne : cliquez ici

00:22 Publié dans Campagne nationale pour la sécéssion | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 28 septembre 2010

Liste des 21 premiers signataires de ce texte :

Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale, Robert Spieler, Ancien député et Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, André Gandillon, Directeur de Militant, Jérôme Bourbon, Directeur de Rivarol, Jean-Paul Chayrigues de Olmétta, Ecrivain, Pierre Vial, Président de Terre et Peuple, Marie-Paule Darchicourt, ancienne Conseillère régionale du Nord Pas-de-Calais, Yves Darchicourt, enseignant, Marc Rousset, écrivain, Serge Ayoub, animateur du Local (Paris), Martin Peltier, journaliste, Franck Abed, essayiste et écrivain, Anne Kling, écrivain, Jean-Claude Rolinat, élu local et écrivain, Christian Perez, Président du Parti populiste, Dr Jacques Kotoujansky, élu local et Président de Vérité et liberté, René Delacroix, Président de l’Alliance pour la résistance nationale, Olivier Grimaldi, Président du Cercle Franco-hispanique, Arnaud Raffard de Brienne, écrivain, François Ferrier, ancien Conseiller régional de Lorraine. Pierre Descaves, ancien député.

Pour signer la pétition nationale : cliquez ici ou adressez-nous un message en écrivant : "Je soutiens l'Appel national pour la sécession" avec vos noms et prénoms et adresses à : campagnesecession@sfr.fr

01:08 Publié dans Campagne nationale pour la sécéssion | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

AIDEZ-NOUS A FINANCER NOTRE CAMPAGNE !

Nous avons pour objectif d'imprimer 100 000 tracts, 50 000 autocollants et d'organiser des réunions dans toute la France pour amplifier notre campagne nationale. Pour cela, nous avons besoin de votre aide.

Adressez-nous vos soutiens financiers (même les plus modestes) à :

Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris

Chèque à l'ordre de Synthèse nationale

Vous pouvez aussi nous aider en ligne : cliquez ici

Nous vous en remercions par avance.

01:06 Publié dans Campagne nationale pour la sécéssion | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 21 septembre 2010

Le bulletin d'information de la Nouvelle Droite Populaire de septembre :

NDP INFORMATIONS

n°15 - septembre 2010 - cliquez ici

00:59 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 15 septembre 2010

Turquie : l’insupportable trahison de l’Union européenne et des collabos…

Par Robert Spieler

Délégué général de la

Nouvelle Droite Populaire

 

L’Europe et les idiots utiles de son islamisation se réjouissent du résultat du référendum initié par l’AKP, le parti islamiste au pouvoir dirigé par le premier ministre Erdokan. 58% des Turcs se sont prononcés par référendum pour la réduction de l’influence et de l’autonomie des deux garants historiques de la laïcité turque que sont le pouvoir judiciaire et l’armée. Pour ne citer qu’une seule conséquence anecdotique de ce vote, le voile islamique, aujourd’hui interdit dans les universités, sera demain autorisé.

 

L’Europe est intervenue à de multiples reprises pour demander une démocratisation de la Turquie, c’est-à-dire une limitation des pouvoirs de l’armée qui défend les valeurs laïques et kémalistes. Elle en a même fait une condition de l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne alors que cette exigence entraînait ipso facto le renforcement du mouvement islamiste en Turquie.

 

Le mouvement islamiste turc au pouvoir est aux premières loges pour exiger l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne. Avec un premier objectif qui est atteint : au nom de la « démocratisation » quémandée par l’Europe, affaiblir définitivement les forces de résistance laïques, c'est-à-dire l’armée et la justice. Puis réussir ce qui fut empêché par les forces coalisées, il y a plus de trois siècles, devant Vienne : l’invasion de l’Europe.

 

Erdokan intervenait il y a quelques mois devant des dizaines de milliers de Turcs lors d’une visite officielle en Allemagne. Il exigeait que les Turcs d’Allemagne restent turcs avant tout et ne s’assimilent pas. La chancelière CDU Angela Merkel n’a évidemment pas condamné ses propos ni expulsé cet énergumène, mais a, depuis, dénoncé vigoureusement les analyses de Tilo Sarazzin, membre du SPD qui crée le scandale en Allemagne avec son livre dénonçant l’effondrement démographique de sa patrie et l’incapacité voulue des Turcs à s’assimiler. 90% des Allemands le soutiennent, mais 100% de la classe politique du Système le condamne : cherchez l’erreur.

 

La presse française, quant à elle, pratique l’ultra-collaboration. L’article de Bernard Guetta, dans Libération du 15 septembre (Quand l’islamisme enfante la démocratie) est un chef d’œuvre à cet égard. Que dit-il ? « Le problème avec l’islam n’est pas que cette religion serait incompatible avec la démocratie… Si les pays musulmans du pourtour méditerranéen ignorent, aujourd’hui, la démocratie à l’exception de la Turquie, cela tient à leur histoire et non pas au Coran…, l’AKP est devenu un parti d’alternance dont le seul poids est en train de reconstituer la démocratie en Turquie et de prouver qu’il n’y a pas incompatibilité entre l’islam et la liberté… »  et tout le reste à l’avenant…

 

A l’ultra-collaboration, opposons l’ultra-résistance. Reconquista !

17:17 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 14 septembre 2010

Université d'été du MNR : interventions de Robert Spieler et d'Annick Martin

Robert Spieler parle de la fortune anonyme et vagabonde, il commente le livre de Jacques Julliard «Vingt thèses pour repartir du pied gauche»...

Pour écouter l'intervention de Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, à la XIIème université d'été du MNR qui s'est déroulée à Saintes en Charente-Maritime les 3, 4 et 5 septembre dernier : cliquez ici.

Annick Martin, Secrétaire générale du MNR, prononce le discours de clôture de ce rendez-vous de rentrée de la droite nationale et identitaire... Cliquez ici.

20:11 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 11 septembre 2010

Depuis ce matin, la NDP de l'Hérault diffuse un tract de soutien à "Papy Galinier"....

LE SCANDALE A ASSEZ DURE… EXIGEONS LA LIBERATION IMMEDIATE DE « PAPY GALINIER » !

Depuis le 6 août dernier, René Galinier, un septuagénaire habitant le village de Nissan-les-Ensérune dans l’Hérault, est embastillé à la prison de Bézier.

 Quel est donc son crime ?

René Galinier a tout simplement voulu défendre sa maison dans laquelle s’étaient introduites, alors qu’il faisait la sieste, deux cambrioleuses. Réveillé et affolé, après avoir essayé d’appeler des secours, il a trouvé son fusil et a tiré, blessant les deux intruses. C’était la troisième fois que René Galinier se faisait cambrioler.

René Galinier est un honnête homme apprécié par tous. Il est à l’image de l’immense majorité des Français qui en ont assez de supporter l’insécurité qui se développe dans leur pays et de l’incapacité de nos gouvernants à remettre de l’ordre. Dans la France de Sarkozy, en cas d’agression, il est préférable de se laisser dépouiller et agresser plutôt que de se défendre car, dans ce cas, sachez que vous risquez de vous retrouver en prison.

La scandaleuse attitude de la « Justice »…

Le 18 août dernier, la demande de liberté conditionnelle de René Galinier a été rejetée par la Cour d’appel de Montpellier. Cette attitude scandaleuse de la « Justice » doit changer.

■ Pendant ce temps, à Grenoble, on remet en liberté un délinquant soupçonné d’avoir assassiné un policier lors du braquage du Casino d’Uriage…

■ Pendant ce temps, un violeur récidiviste, remis en liberté, assassine une jeune femme dans le Nord…

■ Pendant ce temps, à Nîmes, un autre violeur pédophile bénéficie de la même clémence…

■ Pendant ce temps, les affaires dans lesquelles se retrouvent impliqués des politiciens véreux se multiplient…

■ Pendant ce temps, les émeutes ethniques continuent partout en France…

■ Pendant ce temps, on découvre que des élus ou des donneurs de leçons patentés, comme le dénommé Louis Schweitzer, ex-président de la sinistre police de la pensé intitulée HALDE, se livrent à une gestion plus que controversée des subventions publiques…

A l’heure où la délinquance explose et se banalise dans notre département (personne n’a oublié la terrible affaire de Juvignac l’an passé) et ailleurs, la justice française, pourrie par le Syndicat de la magistrature, libère les racailles et emprisonne les innocents. Elle  devrait plutôt redoubler d’effort pour condamner les véritables criminels.

Partout en France un mouvement sans précédent se met en place pour exiger la libération de « PAPY GALINIER ». La Nouvelle Droite Populaire apporte son soutien total à ces initiatives populaires.

Assez d’injustice, assez de laxisme :

IL EST TEMPS QUE LA PEUR CHANGE DE CAMP !

Avec la Nouvelle Droite Populaire

rétablir la sécurité est une priorité !

Tract NDP Hérault : cliquez ici 

12:42 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Aujourd'hui, 11 septembre, à Forbach, la NDP commémore la participation des Lorrains à la bataille de Vienne...

HALTE A L’ISLAMISATION

DE NOTRE LORRAINE !

 

Le 11 septembre 1683, les forces musulmanes étaient aux portes de Vienne en Autriche et l’Europe chrétienne était menacée si la ville tombait.

 

Une coalition européenne s’est alors rassemblée autour du roi de Pologne, Jean III Sobieski. A cette coalition participaient les troupes lorraines conduites par le Duc Charles V. Ils triomphèrent des Ottomans et notre liberté fut sauvée.

 

Aujourd’hui, notre civilisation européenne est à nouveau en péril. L’Islam entend s’imposer partout sur notre sol et dans notre vie quotidienne. L’immigration musulmane, engendrée par les intérêts communs du grand patronat mondialiste et de la gauche internationaliste depuis des décennies, entraîne à nouveau une colonisation rampante de notre continent.

 

On veut nous imposer des coutumes venues d’ailleurs : la construction de minarets et de mosquées, le port du voile, les restrictions alimentaires dans les cantines (interdiction de la viande de porc, nourriture traditionnelle des Lorrains), l’abattage rituel et féroce des animaux (hallal), le développement de la polygamie,  la réservation de plages horaires spécifiques pour les femmes dans les piscines publiques…

 

Cela ne peut plus durer !

 

Aujourd’hui, 11 septembre 2010, en ce jour anniversaire de la victoire des armées européennes contre l’islam à Vienne, la Nouvelle Droite Populaire de Lorraine organise à Forbach une marche silencieuse afin de faire prendre conscience à notre peuple que sa liberté est à nouveau en danger.

 

Nous nous battons pour la défense de notre identité lorraine, française et européenne. Nous refusons de voir notre pays tomber sous le joug des islamistes qui conduiraient notre peuple à l’esclavage. Nous appelons les Lorrains qui veulent défendre leur identité et leur liberté à nous rejoindre pour constituer, ensemble, le grand rassemblement de la résistance nationale et européenne !

 

Avec la Nouvelle Droite Populaire :

 

Forbach redeviendra une ville de

tradition lorraine et française.

Vive la Lorraine aux Lorrains,

Vive la France aux Français.

Vive l’Europe aux Européens.

 

Rassemblement

Samedi 11 septembre à 20 h 00

devant la gare de Forbach.

Prises de parole suivies par une

marche aux flambeaux à travers la ville.

 

Tract à diffuser : cliquez ici

09:35 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 09 septembre 2010

En souvenir de la victoire du Comte Olivier contre les Maures, au IXème siècle, la NDP organisait dimanche dernier un rassemblement dans l'Aude.

929652487.jpgLes militants de la Nouvelle Droite Populaire du Languedoc-Roussillon (ou Catalogne du Nord) et leurs amis s'étaient donnés rendez-vous dimanche dernier, 5 septembre, sur le lieu de la bataille où est édifié la chapelle Notre-Dame de l'Olive.

Avant de prononcer le discours que nous publions ci-dessous, Jean-Louis Mailhac, délégué local de la NDP, a planté un olivier, symbole de l'enracinement de nos peuples. S'en suivit un sympathique déjeûner où les grillades de porc et le rosé du Langudoc furent à l'honneur.

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Discours de Jean-Louis Mailhac, Délégué local de la NDP, prononcé le dimanche 5 septembre 2010 lors du rassemblement de Notre-Dame de l’Olive (11) :

Mes Chers Amis, Mes Chers Camarades, Mes Chers compatriotes,

Depuis plus d’une vingtaine d’années, force est de constater que l’islam s’est répandu largement en Occident et particulièrement en Europe de l’Ouest. Par le biais de l’immigration et par un fort développement démographique, la religion musulmane s’est parfois propulsée au rang de 2° religion dans certains pays européens comme c’est le cas en France aujourd’hui.

Pourquoi serait-ce une honte de défendre nos traditions, notre terre, notre histoire, notre civilisation et notre peuple alors que tous ceux-ci sont, si l’on n’inverse pas le courant, en voie de disparition ?

 

Tout simplement parce que nous sommes conscients de l’effroyable marche en avant de l’islam en France. La destruction de notre « patrie charnelle » opérée sciemment par un remplacement des Français de souches par un demi-siècle de politiques antifamiliale (avortement, dénatalité, difficultés pour les familles les plus modestes et même pour celles issues des classes moyennes d’élever plusieurs enfants…) et l’arrivée en masse de populations allogènes et inassimilables au peuple français sont des réalités qui sautent aux yeux. Le nier serait, au mieux, faire preuve d’aveuglement ou, au pire, d’une mauvaise foi patentée. Même des personnalités qui pourtant portent une part de responsabilité dans cette situation, comme la très gauchisante Elisabeth Badinter ou l’ex-idole de la gauche caviar Alain Finkielkraut, finissent par s’inquiéter des conséquences de la situation qu’ils ont pourtant contribuée, d’une manière ou d’une autre, à créer.

 

Notre identité est menacée, il est temps de sonner l’appel à la résistance !

 

Il y a des femmes et des hommes qui ne se sont jamais trompés de combat. Pour eux, le mot RESISTANCE a une signification. L’avenir de nos peuples européens est en jeu. Or, le premier adversaire auquel, en tant que résistants, nous sommes confrontés, c’est évidemment l’éternel parti de la collaboration. Le parti de ceux qui, par idéologie, par intérêts économiques ou par confort intellectuel a toujours cautionné la politique immigrationniste menée par les différents pouvoirs de droite ou de gauche depuis des décennies.

 

De tous temps et de toutes les époques, la France a eu ses défaitistes, ses pacifistes, ses collabos et ses biens pensants. Toutes ces engeances ont fonctionné de la même manière. Les pacifistes et les défaitistes d’avant la 1° guerre mondiale et du début de celles-ci ne jugeaient pas utile de devoir défendre leur pays, de se battre pour lui. Il fallait, disaient-ils, économiser les vies, faire des affaires, préserver l’essentiel et ma foi, tant pis pour le reste. Charles Péguy disait de ces pacifistes : Ils ont les mains blanches… Mais ils n’ont pas de mains. Il est mort parmi les premiers en 1914 !

 

Les pacifistes des années trente, reprirent le même discours et saluèrent les accords de Munich. Bien trop soulagés d’éviter une nouvelle guerre à laquelle la France, désarmée par l’idéologie ambiante de la 3ème République moribonde, n’était pas prête. A ces époques, si différentes pourtant, ils y avaient ces mêmes hommes qui appelaient à la soumission plutôt qu’au combat.

 

Qu’importe le joug, du moment que l’on ait la vie sauve, le confort assuré, la tranquillité dans la chaumière et que les affaires roulent.

 

 Par appétit de pouvoir, de gloire ou de richesse, ces gens voient plus d’avantages à sacrifier leur liberté qu’à la défendre. Une fois l’habitude établie, l’état de servitude ne se perçoit même plus… disait Platon.

 

Aujourd’hui, nous avons les biens pensants, les bobos parisiens, la gauche qui se complait dans sa vision angélique des banlieues, cette gauche caviar qui parle de partage, la coupe de Champagne à la main et les petits fours plein la bouche dans les cocktails des salons dorés des municipalités et autres sièges de départements, se contentant de prendre un air offusqué en évoquant  certaines pratiques de l’islam mais en se gardant bien d’évoquer, et pour cause, les vrais raisons pour lesquelles ses pratiques se développent sur notre sol.

 

Il ne faut jamais cesser de le dire : l’islamisation en réalité n’est que la conséquence de l’immigration.

 

Dans les années 60, le patronat français, en particulier ses branches de l’automobile et du BTP, préféra recruter une main d’œuvre venue en grande partie du Maghreb et d’Afrique noire, main d’œuvre réputée bon marché et supposée imperméable aux sirènes des syndicats marxistes, plutôt que de procéder à la robotisation, comme en Asie, de l’outil de production et à une réelle revalorisation du travail manuel. Quelle erreur fondamentale et quelle naïveté criminelle !

 

Non seulement les immigrés ne tardèrent pas à rejoindre les syndicats marxistes, qui  virent rapidement en eux une force de manœuvre facile à manipuler, mais très vite, au milieu des années 70, grâce au regroupement familial voulu par Giscard et Chirac, cette immigration dite « de travail » se transforma en immigration « de peuplement ».

 

Or, il faut être logique, s’il y a peuplement, il y a forcément installation des coutumes et des traditions des nouveaux arrivants. C’est une évidence contre laquelle personne ne peut rien.

 

Les premiers responsables de l’islamisation de la France, ce ne sont pas les immigrés. Ce sont les politiciens et les affairistes français qui ont tout fait pour accentuer une politique d’immigration débridée et incohérente.

 

Ces responsables politiques et économiques ont été, comme de bien entendu, soutenus par l’intelligentsia médiatique et culturelle de gauche qui n’avait plus de mot de compassion assez fort à l’égard des immigrés.

 

Nous avons finalement assisté à une sorte de consensus des pseudo-élites autoproclamées de ce pays, que celles-ci soient politiques, économiques ou culturelles. Une seule composante de la France était exclue de ce projet, et non la moindre : cette composante, c’était tout simplement le Peuple français !

 

Ce n’est donc pas un hasard si l’actuel parti de la collaboration est constitué par les responsables qui ont engendré une telle situation.

 

Revenons donc aux immigrés des années 60. Le nombre de ceux-ci s’est multiplié dans les années 70, 80 et 90. Aujourd’hui, ils veulent nous imposer leurs coutumes, avec le port du voile, la prolifération des boucheries dites hallal et des mosquées, l’interdiction de consommer du porc dans les restaurants d’entreprises et dans les cantines scolaires, piscines réservées aux femmes à certaines heures, etc… Demain, ils nous imposeront leur civilisation, c'est-à-dire l’islam avec tout ce que cela peut être antinomique avec notre belle civilisation européenne.

 

Face à cet avenir peu réjouissant, et Dieu merci, il y a partout en France et en Europe des femmes et des hommes qui se lèvent pour dire NON !

 

Résistance ou collaboration ? Pour ma part, j’ai choisi de résister pour la France et ne jamais collaborer. N’en déplaise aux défaitistes, pacifistes ou autres biens pensants.

 

Pourquoi faut-il extirper l’islam de la France ?

 

L’islam est, qu’on le veille ou non, incompatible avec notre identité européenne. Nos racines sont gréco-latines, celtes, germaniques ou chrétiennes, elles ne sont pas à rechercher dans le désert arabique ou ailleurs.

 

Les musulmans suivent la promesse du président algérien Houari Boumediene faite en 1974 à l’ONU : Un jour, des millions d'hommes quitteront l'hémisphère sud pour aller dans l'hémisphère nord. Et ils n'iront pas là-bas en tant qu'amis. Parce qu'ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils. C'est le ventre de nos femmes qui nous donnera la victoire.

 

Se référant à l’esprit pacifiste qui précéda la seconde guerre mondiale, les musulmans nous prennent pour des dhimmis en puissance.

 

Je ne vois pas ce qui pourrait freiner l’expansion islamique en Europe. L’Islam profite du vide spirituel de nos pays, dont la dénatalité est une conséquence, du laïcisme qui utilise tous les moyens, dont l’islam, pour réduire l’influence du christianisme, et, plus généralement, de la décadence dans laquelle se trouvent nos sociétés.

 

La bonne réponse à ce défi est, me semble-t-il, de travailler à refaire un tissu européen dans nos pays d’Europe. Nous devons réarmer moralement et spirituellement nos peuples et redonner une conscience ethnique aux jeunes générations. Comme je le dis souvent : l’islam est toujours fort de notre faiblesse. C’est prouvé historiquement.

 

Dans un avenir proche, il est à craindre que ne se constituent de plus en plus des ghettos confessionnels et que des instances musulmanes revendiquent, au nom de la tolérance et du pluralisme, le droit de vivre selon les principes de la charia, avec leur législation et leurs valeurs propres. Ce qui serait évidemment dangereux pour l’unité nationale.

 

L’Islam arrive chez nous au pire au moment, alors que nous ne sommes pas préparés à relever ce redoutable défi.

 

Nos gouvernants n’ont qu’une seule volonté : celle d’être réélus lors des prochaines élections. Pour cela, ils se contentent de mettre des cautères sur une jambe de bois. Ils rafistolent en essayant de plaire au plus grand nombre. Le système démocratique ne peut pas engendrer une grande politique digne de ce nom.

 

L’islam n’est pas seulement une religion, c’est avant tout un système politique et idéologique. Ce système correspond aux aspirations de certaines zones du globe, nous ne le contestons pas. Mais ce système n’est pas celui de l’Europe Il doit donc être extirpé d’urgence de notre pays.

 

Les discours de l’islam révèlent son double langage, sa perfidie, sa perversité qui nous mènera dans un bain de larmes et de sang.

 

Si nous n’écrasons pas du talon leur idéologie criminelle, demain, vos femmes seront toutes transformées en fantômes, vos écoles seront islamisées à 100%, vos restaurants seront fermés, vos rayons de supermarchés ne contiendront que du Hallal, la circoncision deviendra obligatoire pour obtenir un job !

 

Pendant 70 ans la droite nationaliste s’est battue contre le fléau le plus grave que le XXème siècle a engendré, à savoir le communisme. Pendant des dizaines d’années, seuls contre tous, les militants nationalistes ont dénoncé sans relâche cette idéologie criminelle qui envoya au goulag des dizaines de millions d’hommes et de femmes qui refusaient de se soumettre. En 1989, le mur de Berlin s’est écroulé emportant avec lui les régimes et les partis qui voulaient imposer un avenir radieux à l’humanité. Pourtant, souvenez-vous, l’idéologie communiste était aussi soutenue par la même intelligentsia et par ce qui n’était pas encore la bobocratie d’aujourd’hui mais qui lui ressemblait fort.

 

Le désespoir, nous a enseigné Charles Maurras, est en politique la pire des sottises. Face au communisme étrangleur des peuples et des nations, les nationalistes n’ont jamais désespéré. Face à l’islamisme, nouveau danger du XXIème siècle, non seulement, nous devons refuser le désespoir, mais nous devons nous battre dès maintenant pour éviter que notre civilisation européenne et chrétienne ne disparaisse à jamais.

 

Je vous le disais tout à l’heure, dans cette affaire d’immigration, et d’invasion de la France, seul le peuple français n’a jamais eu droit à la parole.

 

Si nous sommes réunis ce dimanche 5 septembre pour commémorer la victoire du Comte Olivier sur les Maures, ici en Terre occitane, c’est que nous savons que l’armée du Comte Olivier était constituée de Français qui, comme nous, ne voulaient pas devenir musulmans.

 

Le peuple français, ce peuple méprisé par ses élites et humilié par ses nouveaux occupants n’entend pas rester indéfiniment muet. Ce peuple, c’est nous et pour nous une seule revendication :

 

Vive l’Occitanie occitane !

Vive la France française !

Vive l’Europe européenne !

Vive le rassemblement des forces nationales avec la Nouvelle Droite Populaire !  

Pour éditer le texte de ce discours : cliquez ici

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dimanche, 05 septembre 2010

La tentation de la respectabilité…

Par Roland Hélie

Editorial publié dans le n°19

de Synthèse nationale

 

Le rôle d’une revue comme Synthèse nationale est d’informer et de former les militants et les cadres du mouvement nationaliste. Les informer en leur donnant des arguments et des pistes de réflexions pour leur combat quotidien et les former en leur enseignant, entre autre, le passé de notre famille politique. Celui qui ne sait pas d’où il vient aura toujours du mal à savoir où il va.

 

L’Histoire du mouvement nationaliste français et européen est suffisamment dense pour que chacun puisse y trouver les références qui lui permettront de mener à bien la tâche qu’il s’est fixé. A travers les multiples organisations et publications, les nombreuses campagnes électorales, les différentes approches idéologiques, les grandes espérances et les nombreuses désillusions qui forment notre patrimoine politique et historique, à peu près tous les cas de figures ont été approchés. Cette grande expérience devrait contribuer à parfaire le mouvement nationaliste d’aujourd’hui, mais, hélas, ce n’est pas toujours le cas. Certaines tares refont régulièrement surface et hypothèquent ainsi toutes chances de réussite.

 

Parmi les maux récurrents qui plombent notre famille politique, l’un des plus  têtus est, sans nul doute, la sacrosainte « tentation de la respectabilité ». Celle-ci consiste pour un dirigeant (ou pour un mouvement…), souvent jusque là exemplaire, à estimer un beau jour que l’accession au pouvoir, but ultime de tout engagement politique cohérent, serait beaucoup plus rapide si sa propre image se trouvait adoucie aux yeux du grand public. Cela passe généralement par une atténuation des prises de positions, quelques génuflexions devant les dogmes de la pensée unique, une reconnaissance subite de l’histoire officielle et une lèche sans pareille des médias en vogue… Mais, autant le dire tout de suite, ces stratégies du « ripolinage » idéologiques et politiques, malgré les efforts surhumains des intéressés pour qu’elles réussissent, se sont toujours soldées par des échecs cuisants.

 

Je citerai ici deux exemples parmi les nombreuses déconvenues qui ont jalonné l’histoire de ce que nous appellerons pour la circonstance, « la droite de conviction ». Il convient bien entendu de remettre ces deux cas de figure dans le contexte politique et géopolitique qui était celui de leur époque. Tout d’abord, celui du CNI, entendez le Centre national des indépendants et paysans. Il s’agit d’un mouvement créé à la fin des années 40 et qui s’était fixé pour objectif de rassembler la droite antigaulliste et anticommuniste du moment. Ses détracteurs avaient vite fait de le qualifier « de réceptacle des nostalgiques de Vichy ». Avec un discours assez musclé le CNI remporta de réels succès à tel point qu’il disposait, à la fin des années 50, d’un groupe d’environ une centaine de députés parmi lesquels figurait d’ailleurs un certain Jean-Marie Le Pen. Le CNI prit la défense de l’Algérie française ce qui renforça sa crédibilité au sein de la droite nationale. Et puis, patatras... Au début des années 60, la guerre d’Algérie terminée, le CNI se rallia au nouveau pouvoir gaulliste et perdit en quelques années tout son capital de notoriété pour devenir aujourd’hui un club sans influence juste bon à rassembler une demi-douzaine de conseillers généraux à travers la France. En se ralliant à la nouvelle majorité de l’époque, le CNI avait cherché à rompre avec son image résolument de droite et à préserver les quelques mandats électoraux de ses responsables. On voit où cela a mené. 

 

Autre exemple : au milieu des années 60, à l’occasion de la première élection présidentielle au suffrage universel, l’ensemble de la droite nationale se met d’accord sur une candidature unique, celle de Jean-Louis Tixier-Vignancour. Avocat renommé, orateur exceptionnel, personnage haut en couleurs aux convictions affirmées et, de surcroit, homme éminemment sympathique, Tixier mena une campagne très dynamique qui commençait à porter ses fruits. Certains sondages le mettaient même au second tour face à De Gaulle. Fort de la perspective d’un succès retentissant, les stratèges de la campagne réussirent cependant à le convaincre, quelques mois avant le premier tour, d’infléchir son programme afin de « ratisser plus large ». De candidat « national », Tixier se transforma en candidat « national et libéral », avec tout ce que cela pouvait entrainer comme bouleversements par rapport à son discours initial. Les résultats furent terriblement décevants. Celui qui devait terrasser De Gaulle totalisa à peine plus de 5% des suffrages. On trouve toujours plus libéral que soit sur sa route, et, au moment où Tixier changea sa stratégie, le maire de Rouen, Jean Lecanuet, libéral sincère, annonça sa candidature et rafla la mise en rassemblant plus de 16 % des voix. Dans ce cas aussi, la quête de la respectabilité avait fait ses ravages. Le formidable mouvement qui s’était organisé autour de Tixier se délita en quelques mois et il fallut attendre près de vingt ans pour que la Droite nationale joue à nouveau un rôle politique digne de ce nom.

 

Je pourrais énumérer bien d’autres exemples comme celui de la dernière campagne présidentielle de Jean-Marie Le Pen, en 2007, au cours de laquelle certaine et certains des conseillers du président du FN essayèrent d’imposer dans les médias l’image d’un « Le Pen apaisé ». Ce « Le Pen apaisé » eut bien du mal à exister face à un Sarkozy conquérant et combattif qui lui coupa carrément l’herbe sous les pieds, éloignant ainsi toute espérance de renouveler l’exploit du 21 avril 2002.

 

Ces différents exemples devraient suffire pour définitivement vacciner les responsables de notre famille politique et chasser ainsi toute velléité de partir à la quête d’une respectabilité qui ne sera qu’illusoire. Et pourtant, il n’en est rien.

 

Vous avez d’un côté une Marine Le Pen, convaincue de prendre en main, à l’issue du prochain congrès prévu pour janvier 2011, le Front national qu’elle considère depuis toujours comme une affaire familiale et qui rêve de le transformer en honorable parti du Système. Elle  ignore peut être qu’un Front aspiré par le Système est un Front qui n’aura plus aucune raison d’être… De l’autre côté, vous avez le Bloc identitaire qui ne sait plus quoi inventer et avec qui s’allier pour tenter de faire oublier qu’il est issu d’un groupuscule d’extrême droite et que, par conséquent, quoi qu’il fasse, il restera toujours, venant de la classe politico-médiatique, une certaine suspicion à son encontre.

 

Ces égarements et ces tentatives de « recentrage » sont en réalité dérisoires car ils ne concernent qu’une petite minorité de militants et de cadres nationaux, nationalistes et identitaires qui cherchent à se faire une place au soleil sur le dos de l’immense majorité de leurs « camarades ». Le combat que nous menons est une chose trop sérieuse, dans le contexte actuel où la France et l’Europe sont confrontées à des défis jamais égalés puisque leur existence même en tant que nation ou civilisation est menacée par le mondialisme d’un côté et l’islamisation de l’autre.

 

Si le mouvement national veut perdurer et triompher, ce n’est que par la radicalité politique qu’il réussira à s’imposer. L’heure n’est plus aux tergiversations stériles, elle est à la mobilisation totale des énergies. Face à ces deux fléaux que sont le mondialisme et l’islamisme, il faut proposer une alternative nationale, sociale, identitaire et révolutionnaire seule capable de sortir notre peuple de l’abrutissement que lui a imposé depuis des décennies par le Système et qui le prive encore de toute capacité de réaction.

 

Nous allons vers des moments difficiles. De jour en jour la situation se dégrade, de jour en jour notre pays perd un peu plus de son identité et de sa liberté, de jour en jour la nécessité de construire un grand mouvement de rassemblement capable de mettre fin à cette terrible dérive s’impose. C’est ce qu’on comprit les responsables de la Nouvelle Droite Populaire, du Parti de la France et du MNR. Voilà pourquoi ils ont annoncé, au début du mois de juillet, la création du Comité de liaison de la Résistance nationale.

 

Le jeudi 11 novembre prochain se déroulera à Paris la IVème journée nationale et identitaire organisée à l’occasion du quatrième anniversaire de notre revue. Ce sera l’occasion de nous retrouver nombreux afin de manifester notre volonté de voir ce rassemblement devenir le grand mouvement de redressement national dont la France a tant besoin. Je vous donne à toutes et à tous rendez-vous le 11 novembre à Paris avec comme mots d’ordre : unité, résistance et reconquête !

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mercredi, 30 juin 2010

Boulogne-Billancourt : contre la construction de la nouvelle mosquée, la NDP en première ligne...

BOULOGNE-BILLANCOURT

HALTE A L’ISLAMISATION !

Depuis plusieurs mois, nous assistons à Boulogne à une prolifération des kébabs halal, des boucheries musulmanes et autres commerces commu­nautaires. Les rayons des supermarchés proposent toujours plus de pro­duits halal ! Les femmes voilées sont de plus en plus nombreuses dans nos rues tandis que des individus barbus vêtus comme des talibans sil­lonnent nos quartiers.

Nous, nationalistes de la Nouvelle Droite Populaire (NDP), nous di­sons : « CA SUFFIT ! » Dans de nombreuses villes de France, les mos­quées fleurissent avec la complaisance des élus de « droite » comme de gauche qui accordent aux organisations musulmanes des conditions fi­nancières et foncières plus que favorables. Boulogne n’échappe pas à cette prolifération. En effet une mosquée est en voie de construction rue du Vieux Pont de Sèvres.

Nous dénonçons la construction des mosquées symboles de l’islamisation de la France et de l’Europe. Pourquoi faire autant de ca­deaux à l’islam alors que pendant ce temps, en Algérie, les Chrétiens sont persécutés, en Turquie les évêques sont assassinés ?  Et que dire de l’Arabie Saoudite où le seul symbole de la croix est interdit ?

Rejoignez notre combat contre l’islamisation de la France et de l’Europe.

 Soutenez l’action de la

NOUVELLE DROITE POPULAIRE

contre l’islamisation de Boulogne-Billancourt !

________________

mosquee6.JPGVoici le texte du tract qui sera diffusé durant tout l'été par les militants de la Nouvelle Droite Populaire des Hauts-de-Seine contre l'édification d'une nouvelle mosquée à Boulogne-Billancourt. 

Si vous désirez participer à notre action, prenez contact avec la NDP 92 : ndp92@orange.fr

Si vous habitez à Boulogne-Billancourt, n'hésitez pas à imprimer, reproduire et diffuser le tract suivant autour de vous : cliquez ici

Pour nous aider à amplifier notre action, vous pouvez aussi adresser un don à NAC 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance seulement, chèque à l'ordre de NAC).

09:46 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 21 mai 2010

Le cynisme du mondialisme…

Couv SN 18.jpgPar Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

 

Chiré-en-Montreuil, vous connaissez ? Pour certains lecteurs bibliophiles, ce nom évoque bien sûr une courageuse petite maison d’édition qui, depuis une cinquantaine d’années, s’évertue à diffuser contre vents et marées des ouvrages nationalistes et catholiques. Pour les autres, le joli nom de cette petite commune située aux confins de la Vienne et des Deux-Sèvres, à une vingtaine de kilomètres de Poitiers, ne dira sans doute pas grand-chose.

 

Pourtant, Chiré-en-Montreuil vient, bien malgré elle, d’être le théâtre d’un psychodrame politico-économique qui pourrait illustrer à lui seul la situation dans laquelle se trouve plongé notre pays où règnent la social-démocratie politique et le libéralisme économique totalement débridé.

 

Les faits : il existe à Chiré-en-Montreuil une usine qui dépend du groupe suédois Autoliv-Isodelta, spécialisé dans la fabrication de volants pour automobiles. Au début 2009, la direction du groupe décide de procéder à la délocalisation d’une partie de la production de cette usine vers la Tunisie. C’est bien connu, le travailleur tunisien coûte moins cher que le travailleur picton. La logique du profit est implacable. Et qui dit délocalisation, dit forcément licenciements massifs. Plusieurs centaines d’employés de l’usine de Chiré se retrouvent donc sur le carreau. Jusque là rien de bien original dans la France de Sarkozy…

 

Mais, début 2010, catastrophe, l’usine d’El Nadhour, en Tunisie, est détruite par un incendie. Alors, que faire ? Afin de ne pas ralentir la production, la direction surcharge de travail l’unité réduite restée en activité dans le Poitou. Finalement, cette usine française peut encore servir à quelque chose se disent nos mondialistes suédois. Et puis, il faut bien le constater aussi, les résultats de la délocalisation tunisienne n’étaient pas ceux escomptés.

 

Le problème se pose alors pour ces patrons multinationaux peu scrupuleux : comment éviter de retourner en Tunisie et faire davantage de profits sur le site français ? C’est simple : il suffit de faire venir les ouvriers tunisiens en France et les faire travailler, à Chiré-en-Montreuil, aux conditions qui sont celles en vigueur dans leur pays d’origine. Il suffisait d’y penser.

 

Quant aux centaines de travailleurs poitevins licenciés l’année précédente, ouvriers qualifiés qui avaient œuvré des années durant dans cette usine, et qui pour la plupart sont encore au chômage (il faut dire que la région n’est pas très industrialisée), qu’ils aillent se faire voir ailleurs… ainsi en avait décidé la direction du groupe.

 

Cet exemple de l’usine Autoliv de Chiré-en-Montreuil résume à lui seul la logique libérale : bazarder les usines françaises au mépris des employés français de celles-ci, délocaliser à tour de bras pour s’assurer des profits immédiats, faire venir des travailleurs immigrés exploités et sous-payés, pour remplacer les travailleurs autochtones lorsqu’il y a un hic dans les délocalisations…

 

Le pire, c’est que lorsque l’on interroge, sur une chaine de télévision, certains employés de l’usine de la Vienne sur l’arrivée éventuelle de Tunisiens, il y en a quelques-uns parmi eux qui trouvent cela « plutôt bien »… allant même jusqu’à évoquer « un enrichissement culturel pour la région » (côté culturel, rassurez-vous, comme nous l’avons évoqué ci-dessus, à Chiré il y a ce qu’il faut…). On croit rêver. Dans quelques mois, si cette logique aboutissait, ces pauvres types se retrouveraient eux-aussi au chômage et il ne leur resterait plus que leurs yeux pour pleurer.

 

Heureusement pour tout le monde, ou presque, le Préfet de la Vienne s’est opposé à cette décision de la direction de la multinationale suédoise.  Mais cet exemple cynique, qui aurait frisé le scandale s’il s’était réalisé, justifie à lui seul notre décision de consacrer ce nouveau numéro de Synthèse nationale aux dangers que représentent pour notre identité, notre indépendance et notre prospérité le mondialisme et l’ultra libéralisme.

 

A cette vision ravageuse du monde, nous opposons le solidarisme identitaire seul capable de recréer une conception harmonieuse de notre société.

 

Editorial du n°18 de Synthèse nationale

 

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Samedi 8 et dimanche 9 mai : les jeunes de la NDP alsacienne étaient aussi à Paris....

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Lire l'article sur Jeunes NDP Alsace

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