samedi, 20 décembre 2025
Bayonne (64) : au-delà des divergences, une liste affirmée d'union des forces nationales se présentera aux municipales
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Journal du chaos

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Sur le Baron Julius Evola
de Georges Feltin-Tracol
Quel ouvrage imposant ! 740 pages ! Une masse proche du kilogramme ! Une épaisseur de 4,5 cm, une largeur de 21 cm et une longueur de 29,5 cm ! Son prix s’élève à 52,00 €. La vie aventureuse de Julius Evola (Ars Magna, coll. « Evoliana », 2025) est sans conteste la biographie la plus riche de Giulio Cesare Evola (1898 – 1974).
Ce travail colossal revient à Andrea Scarabelli. Vice-secrétaire de la Fondation Julius-Evola, il offre au public francophone une édition revue, corrigée et augmentée par rapport à l’édition initiale. Traduit par Istvàn Leszno et préfacé par Alain de Benoist, le livre contient plusieurs cahiers photographiques, un appareil critique de notes sur quatre-vingt-deux pages, la liste intégrale des livres originaux d’Evola, une bibliographie exhaustive de dix-huit pages suivie de la bibliographie française des ouvrages évoliens parus dans l’Hexagone réalisée par le préfacier, soit quinze pages, et un index de noms propres mentionnés. Très impressionnant !
Au terme de longues et fructueuses recherches, Andrea Scarabelli résout certaines énigmes et écarte des légendes forgées autour de cette personnalité majeure de la vie intellectuelle du XXe siècle. Par exemple, Julius Evola n’a jamais été noble sicilien. Sa famille avec qui il entretient des rapports distants ne descend nullement de seigneurs normands venus en Sicile à l’appel du conquérant Robert Guiscard de Hauteville. Plus favorable à une aristocratie spirituelle qu’à une aristocratie héréditaire, il adopte le titre de « baron ». Ce n’est pas anecdotique ! Julius Evola déteste être appelé « Maître ». Andrea Scarabelli rapporte un entretien entre Placido Procesi et Evola qui déclare : « Je ne suis pas un Maître. Constatez les conditions qui sont les miennes. Même si j’en étais un, je ne pourrais pas me présenter comme tel. J’ai tout écrit parce que je me souviens. » Certains l’appellent « Professeur » bien qu’il n’ait jamais obtenu le moindre diplôme universitaire. Le désigner comme « Baron » pendant les conversations lui convient mieux.
Andrea Scarabelli insiste beaucoup sur l’influence de l’alpinisme dans l’affirmation de sa personnalité. Pratiquer ce sport exigeant développe une vive complémentarité entre la volonté de puissance, la recherche de l’effort et le sens du défi. Méditations du haut des cimes exprime cette grande passion vitale chère à l’écrivain romain. Régulièrement, il part, seul ou accompagné d’une autre personne, dans des courses réputées difficiles, voire dangereuses… Plus tard paralysé des membres inférieurs, son regard s’illumine dès que son interlocuteur évoque ce sujet. Exercer l’alpinisme témoigne d’un solide caractère. Ainsi se montre-t-il désagréable, agacé et irritable à l’égard du personnel médical hospitalier. Ce comportement varie selon les circonstances. « Pour certains, il est froid et distant, pour d’autres, il est empathique et ouvert, sans oublier, poursuit Andrea Scarabelli, ceux qui le voient comme désinvolte et prêt à se jouer de lui-même. »
Toute sa vie, Julius Evola exècre la bourgeoisie. Outre la promotion de la Droite spirituelle hostile à la modernité, il critique la morale commune des communistes et des catholiques qui plombe les années 1950. Il déplore l’interdiction des maisons closes. Il considère les prostituées plus honorables que les bourgeoises et se gausse de la bigoterie gouvernementale. À propos de la prostitution, à travers divers articles, il « propose […] l’institution de structures syndicales visant à protéger et à défendre les prostituées ». Il défend aussi les filles – mères célibataires. Ce supposé misogyne tance les hommes qui se défilent de leurs responsabilités paternelles.
Longtemps marginalisé, Julius Evola se surprend qu’après 1945, de nouveaux et précoces activistes au sein de la FUAN (Front universitaire d’action nationale) et du Front de la Jeunesse du MSI (Mouvement social italien) le lisent avec passion. Si le Baron se félicite de cet enthousiasme, il s’agace parfois de leur « évolomanie ». Lui qui polémique avec des « guénolâtres » calfeutrés dans une morne adoration, se moque de certains de ses admirateurs dont le comportement moutonnier l’insupporte. Andrea Scarabelli cite Adriano Romualdi, auteur de Julius Evola, l’homme et l’œuvre : « Un jour, entendant qu’un groupe de ses admirateurs consacrait le lundi à la lecture des Hommes au milieu des ruines, le mercredi à celle de Révolte contre le monde moderne et le vendredi à Chevaucher le tigre, Evola les interrompit pour demander non sans malice : “ Et quel jour consacrez-vous à la Métaphysique du sexe ? ” »
Les relations sont loin d’être au beau fixe avec ses correspondants réguliers. René Guénon ne cache pas son scepticisme envers l’Italien qui s’investit un peu trop à son avis dans le fracas du monde moderne. Il oublie cependant que Julius Evola a participé à la Grande Guerre (1915–1918) en tant qu’officier d’artillerie. Il recevra au nom de ce passé en 1969 le titre de « chevalier de Vittorio Veneto » signé par le président de la République italienne…
Une incompatibilité d’intention se produit avec Ezra Pound. Le contempteur de l’usure n’adhère pas à la vision du monde évolienne qui récuse toute hégémonie de l’économie. De son côté, l’ancien dadaïste s’interroge sur la poétique poundienne. Il la juge plus que surfaite…
La vie aventureuse de Julius Evola décrit donc les nombreuses facettes de l’auteur de « Chevaucher le tigre ». Certes, comme l’admet volontiers Andrea Scarabelli, le chantre de l’impersonnalité active n’aurait pas approuvé cette ambitieuse biographie. Qu’importe ! Elle témoigne de la singularité d’un très « bon Européen ».
Salutations flibustières !
• « Vigie d’un monde en ébullition », n°178, mise en ligne le 15 décembre 2025.
00:05 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) |
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vendredi, 19 décembre 2025
Une bonne nouvelle n'arrive jamais seule : après Arthur de Gobineau, un quatrième volume dans la Bio collection consacré à Jacques Cartier
18:23 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) |
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L’argent des Européens pour une guerre sans fin
Thomas Joly - Président du Parti de la France
Une fois de plus, les peuples européens découvrent au petit matin que leur avenir se décide sans eux, contre eux et à leurs dépens. En pleine nuit, dans l’opacité la plus totale, des dirigeants hors-sol engagent 90 milliards d’euros pour financer une guerre étrangère, sans jamais avoir demandé l’avis des peuples qu’ils prétendent représenter. Aucun référendum, aucun débat démocratique digne de ce nom : seulement des oukases technocratiques et une fuite en avant idéologique.
Cet argent, c’est celui des classes moyennes européennes déjà étranglées par l’inflation, la dette et l'assistanat de l'immigration. Et il est destiné à soutenir un régime ukrainien dont la corruption endémique est documentée depuis des années, y compris par les institutions occidentales elles-mêmes. Voilà donc la nouvelle priorité de l’Union européenne : la guerre plutôt que la paix, Kiev plutôt que nos hôpitaux, nos agriculteurs et nos familles.
Quant au pillage des avoirs russes gelés, heureusement qu’il n’a pas eu lieu. Ce vol pur et simple aurait constitué un casus belli évident avec une puissance nucléaire, mais aussi un précédent juridique désastreux. Qui investirait encore en Europe si la propriété privée peut être confisquée au gré des rapports de force géopolitiques ? Ce serait la fuite massive des capitaux, l’effondrement de notre crédibilité et la ruine économique à long terme.
Assez de dogmatisme, assez d’aveuglement. Cette guerre a déjà fait trop de morts, trop de destructions, trop de veuves et d’orphelins. Il est temps de sortir de la logique de l’escalade et de travailler enfin à une solution de paix réaliste, qui n’humilie aucun des deux belligérants. L’Europe n’a pas vocation à être le carburant d’une guerre sans fin. Place à la paix, place aux peuples.
17:46 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Samedi 27 décembre, au Perrier (85) : l'arbre de Noël avec Eric Mauvoisin-Delavaud
Ce sera pour vous l'occasion d'acheter sur place le livre d'Eric Mauvoisin-Delavaud, "Haut les coeurs" :
Pour ceux qui ne pourront pas être présent, vous pouvez le commander cliquez ici
17:39 Publié dans MUNICIPALES 2020, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Le privilège rouge a toujours cours, le cas de Gérard Miller
Michel Festivi
Grand soutien de Jean Luc Mélenchon, pourfendeur, voire insulteur des idées patriotes et souverainistes pendant des lustres, sur toutes les chaines de télévisions, et les ondes des radios, où il était reçu comme une sorte de dieu vivant, la morgue systématiquement aux lèvres, le psychanalyste Gérard Miller avait été mis en examen début octobre, pour quatre viols et deux agressions sexuelles, sur six femmes, dont quatre mineures, pour des faits susceptibles d’avoir été commis entre 2000 et 2020.
Placé dans la foulée sous contrôle judiciaire, il avait l’obligation de payer un cautionnement de 65.000 euros, l’obligation de suivre des soins, l’interdiction d’exercer l’activité de psychanalyste, ainsi que toute activité impliquant un contact habituel avec les mineurs, d’entrer en contact avec les victimes, de paraître à la télévision comme chroniqueur, et de quitter le territoire français.
Certes, il est présumé innocent, et il conteste les faits qui lui sont reprochés, mais ce grand donneur de leçons communistes devant l’éternel, semble conserver une aura dans le monde politico-médiatique. La meilleure preuve, malgré un avis défavorable du parquet, le juge d’instruction en charge de cette affaire l’a dans les jours qui ont suivi, autorisé à se rendre à Venise, pour des vacances sans doute bien méritées. C’est ce qu’on vient d’apprendre.
Or, selon les informations données par les journaux, il semblerait qu’il ne se soit pas encore acquitté de la caution de 65 000 euros ? Si cette information était exacte, cela aurait dû le conduire tout droit en maison d’arrêt, pour manquement à son contrôle judiciaire ? À moins qu’il ait bénéficié d’un arrangement ou de délais ?
En tout cas cette décision plus que surprenante, a fait bondir les parties civiles et leurs avocats, qui n’en sont pas revenus d’une telle mansuétude judiciaire. Une avocate partie civile, qui a conservé son sens de l’humour s’est déclarée plus que surprise « les présumées victimes sont ravies de savoir qu’il s’est promené en gondole à Venise, sous le pont des Soupirs ». Et de rajouter cette sentence de bon sens quand on connaît le milieu judiciaire « les parties civiles...ne comprennent pas ce traitement de faveur que nous ne voyons dans aucun autre dossier ».
Ce « traitement de faveur », c’est très justement ce privilège rouge, qu’évoque à juste titre dans la plupart de ses chroniques et interventions, l’excellent avocat Gilles-William Goldnadel. Comme le souligne Valeurs Actuelles, cette décision interroge et suscite une incompréhension générale. Une autre avocate des parties civile a tancé : « Habituellement, on a tellement de mal à obtenir ce genre d’assouplissement...Un tel aménagement, en trois jours, à but de loisir, ça n’arrive jamais ! C’est incompréhensible pour la victime que je représente ». Incompréhensible ? Non, si on replace cela dans le cadre du privilège rouge qui sévit en France encore et toujours.
Il a cours partout, dans la justice, dans l’audiovisuel public, chez la plupart des hommes politiques, car comme le souligne G-W Goldnadel « Une des raisons qui font la puissance de l’extrême gauche, repose sur la large impunité morale souvent judiciaire dont elle jouit » - Tribune du Figaro, le 13 mars 2023 « les privilèges de l’extrême-gauche ». À bon escient, le chroniqueur rappelle opportunément que ce privilège rouge sévit sévèrement dans le domaine historique, du fait qu’il n’y ait jamais eu de Nuremberg du communisme, comme je l’ai aussi souligné dans mon livre publié l’an passé, La désinformation autour du parti communiste français. Le cas Gérard Miller, en est un exemple emblématique. L’historien Marc Lazar avait établi, dans un livre remarquable, Le communisme une passion française, qu’en France « les braises étaient toujours chaudes ». Décidement, on le vérifie tous les jours.
11:07 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) |
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jeudi, 18 décembre 2025
Non à la Journée des Migrants, oui à la Journée de la Remigration
Thomas Joly - Président du Parti de la France
Ce jeudi, l’ONU célèbre la fameuse « Journée internationale des migrants » — une opération de propagande cosmopolite destinée à faire oublier que l’immigration clandestine est devenue une plaie pour l'Occident. On voudrait nous faire croire que tout migrant est un héros et que toute frontière est une honte. C’est faux et c’est scandaleux.
Partout où les clandestins s'installent, l’insécurité explose : agressions, trafics, viols, violence endémique. Nos rues autrefois paisibles deviennent des zones de non-droit pendant que l’État détourne le regard, paralysé par l’idéologie mondialiste. Ce ne sont pas les autochtones qu’on protège mais ceux qui enfreignent nos lois et s’invitent chez nous sans y être conviés.
Le Parti de la France transformera cette journée en journée de la remigration, avec des expulsions massives médiatisées, symbole d’une France décidée à reprendre le contrôle de son destin.
19:16 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Sarah Knafo ce jeudi soir sur LCI
12:28 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Entretien avec François Fillon

François Fillon a été le premier à faire les frais d’une justice politique. L’Etat profond ne voulait pas le voir devenir président de la République. Cette même justice – aux ordres de l’Etat profond toujours – a ensuite pris pour cible Marine Le Pen, pour les mêmes raisons que François Fillon, et a réglé ses comptes avec Nicolas Sarkozy qui avait osé mettre en doute leur champs de compétence voire leur légitimité. Dans cet entretien, l’ex-Premier ministre jette un regard lucide sur le chaos qui règne aujourd’hui dans notre pays.
Lire la suite ICI
Source : Le Figaro 18/12/2025
11:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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De la loi Marthe-Richard à une loi Jean-Philippe Tanguy
La chronique de Philippe Randa
Tout arrive surtout quand on ne s’y attend pas, c’est connu ! Mais d’où on ne le prévoyait guère, c’est plus étonnant !
Tout, c’est en ce début décembre 2025, la proposition quelque peu imprévue du député RN Jean-Philippe Tanguy d’autoriser la réouverture des maisons closes. Proposition isolée n’engageant que lui-même ? Que nenni, puisque le président de son mouvement Jordan Bardella a apporté son soutien à cette initiative afin de « réduire la prostitution dans des conditions insalubres et d’insécurité extrêmes. »
Car quoi que l’on pense de la loi du 13 avril 1946 – encore appelée loi Marthe-Richard – imposant la fermeture des maisons de tolérance « et au renforcement de la lutte contre le proxénétisme », le moins qu’on puisse en conclure c’est qu’elle n’a nullement réduit la prostitution… et encore moins réduit le nombre des Julots casse-croûte, comme naguère appelés.
La prostitution, ce plus vieux métier du monde, s’est adaptée, rarement pour le meilleur et à l’évidence pour le pire, jetant des milliers de dames sur les trottoirs, quand ce n’est pas dans les caniveaux, dans les bosquets des forêts parisiennes ou dans les taillis des routes nationales, sur les parkings de ces chauffeurs routiers, si sympas qu’ils sont pour beaucoup prêts à leur ouvrir leurs portières, par tous les temps et à toute heure… quand ce ne sont pas encore les caves d’immeuble ou arrières de camionnette au design guère joyeux.
Et s’il y a bien quelque chose qui aura sinon disparu, du moins considérablement été mise à mal, ce sont les conditions d’hygiène, ce qui ne semblent jamais avoir gêné que les clients ou les professionelles, bien peu les héraults d’un aussi douteux que stupide ordre moral et surtout fanatique.
Comme on pouvait s’en douter, les cris d’orfraies des ennemis du Rassemblent national ne se sont pas fait attendre, à commencer par Lénaig Le Fouillé, porte-parole de l’association Mouvement du nid, luttant contre les causes et les conséquences de la prostitution. Cette dame a immédiatement proclamé cette sentence hors sujet : « Nous vivons dans une société post-MeToo où on a bien compris que les hommes ne peuvent plus s’accaparer le corps des femmes contre de l’argent. »
Ainsi donc, les mouvements de délation, tel justement Metoo et autre #Balancetonporc, ne réserveraient pas seulement leurs épuratrices fureurs, sur fond d’excommunication politiques – et plus souvent encore d’avantages économiques ou publicitaires –, aux seuls actes sexuels réellement ou mensongèrement imposés : ces furies contemporaines entendent également éradiquer toutes transactions financières entre êtres humains, même si consentement mutuel il y a.
Car il est tout de même bon de rappeller que les clients des « dames de petites vertues », comme si pudiquement appelées naguère celles faisant commerce de leurs charmes, ne « s’accaparent » nullement leurs faveurs contre leur volonté, ce qui serait évidemment et éminemment condamnable et à l’évidence, justement répréhensible.
On ne peut donc que saluer l’initative du député RN Jean-Philippe Tanguy et même si certains considéreront qu’il y a bien des problèmes autrement plus graves et plus urgents à résoudre, reconnaître qu’il n’est jamais trop tôt pour remettre un peu de de salubrité dans la vie publique… et surtout de bon sens dans celle-ci !
N’en déplaise aux viragos modernes.
00:00 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) |
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mercredi, 17 décembre 2025
Paris, samedi 20 décembre : Reynald Secher dédicacera ses livres
23:20 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Une bonne nouvelle un peu avant Noël : la parution dans la Bio collection (Déterna - Synthèse nationale) d'un nouveau volume consacré à Arthur de Gobineau
Arthur de Gobineau naît à Ville-d’Avray, près de Paris. Son enfance est heureuse, son adolescence, vagabonde. En compagnie de sa mère et d’un précep teur, il découvre la province française, séjourne en Allemagne, devient collégien en Suisse. Très tôt, se révèlent son goût du savoir et sa passion pour l’Orient. En 1835, il s’installe à Paris avec la volonté de s’illustrer dans les Lettres. Mais, sera-t-il poète ? Romancier ? Orientaliste ?… Il peine à se faire connaître et, en 1849, entre dans la carrière diplomatique. Quatre ans plus tard, paraissent les deux premiers des quatre tomes de l’Essai sur l’inégalité des races humaines, interpré tation nouvelle de la naissance et de la mort des civilisations, mais aussi, révélation du style admirable de Gobineau.
Trois ans en Asie (1859), puis, Les Religions et les philosophies dans l’Asie centrale (1865) signent une vision prémonitoire des rapports entre l’Europe et le Moyen-Orient. L’Histoire des Perses (1869) vient compléter l’Essai sur l’inégalité des races humaines. Puis, Gobineau crée un nouveau genre littéraire avec les Nouvelles asiatiques, chef-d’œuvre d’humour et d’érudition ; dans Les Pléiades, il développe sa conception élitiste de la vie ; enfin, De la vie individuelle, traité sur la nature de l’âme : « couronnement de mon système des races », a-t-il dit.
Ce comte de Gobineau, “fils de roi” nous présente sans ambages un adversaire irréductible des Lumières et de la Révolution ; il nous fait entendre cette voix puissante, visionnaire des ravages de l’égalitarisme moderne, qui, vilipendant les causes, prophétise leurs conséquences.
L’auteur : Jacques Bressler
Après des études de philosophie à la Sorbonne et un passage dans l’enseignement, Jacques Bressler consacre sa vie professionnelle à l’expertise d’œuvres d’art. En marge de cette activité, il s’intéresse à l’Histoire, consacrant la plupart de ses ouvrages à des personnages ou des événements peu connus, parfois injustement négligés. On lui doit un Gilles de Rais, remarqué en 1981, puis Marie-Antoinette et les Journées d’Octobre 1789, Breslau, une forteresse imprenable, exposé fidèle d’un épisode de la guerre à l’Est en 1945, jamais raconté en France, et puis, Jeanne de Valois, criminelle et martyre…
Le comte de Gobineau “fils de roi”, Jacques Bressler, Bio collection, Déterna Synthèse nationale, 176 pages, 20,00 €. Pour le commander cliquez ici
19:01 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Francis Bergeron dédicacera ses livres samedi 20 décembre au Puy-en-Veley
18:31 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Retour sur le courageux maire de Chessy et de ses adjoints, face à l’hypocrisie macroniste
Michel Festivi
Le courageux maire classé divers droite de Chessy (77), Olivier Bourjot, qui a démissionné, pour avoir voulu résister à l’injonction de la justice d’avoir à marier un OQTF, ne finit pas de défrayer la chronique. Il faut aussi souligner le courage de ses sept adjoints, qui tous, ont entendu se solidariser de leur maire, en démissionnant également.
On vient d’apprendre, que la préfecture de Seine-et-Marne, a refusé ces démissions, et qu’elle a demandé au maire « de préserver la continuité de la vie communale, particulièrement à l’approche des prochaines élections municipales ». C’est là toute l’hypocrisie de l’État macroniste, dans toute sa splendeur.
Reprenons le fil. Interpellé par Robert Ménard en mai 2025, Macron s’était dit favorable à la proposition de loi sénatoriale, visant à interdire le mariage d’étrangers en situation irrégulière. Il avait même souligné, alors, que le maire de Béziers était la victime « d’une situation ubuesque ». La porte-parole du gouvernement, Maud Brejon, qui a l’habitude d’ânonner ses notes, tant elle n’a aucune facilité à l’oral, a quand même réussi à dire qu’elle « apporte tout son soutien » au maire de Chessy.
Or, la proposition de loi dont s’agit a été adoptée, avec l’appui du gouvernement, il y a presque un an par les sénateurs, sous la férule du centriste Stéphane Demilly. Ce texte, fortement amendé par le sénateur LR Stéphane le Rudulier, pour lui éviter une censure du Conseil constitutionnel, prévoit une procédure qui oblige tout ressortissant étranger à fournir la preuve du caractère régulier de sa situation, et présenter des pièces, attestant la validité de son séjour. Le procureur de la république disposerait désormais, d’un délai de deux mois, et non plus de quinze jours, pour investiguer en cas de doute, la non réponse du parquet, valant refus, alors qu’aujourd’hui, le silence a valeur d’acceptation. Bref un texte plein de bon sens et qui va dans l’intérêt général.
Or, pourquoi l’exécutif macroniste n’a pas mis à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale, cette loi, en usant si besoin était du caractère prioritaire du texte ? Incompétence ? Double langage ? Le en même temps macroniste ? D’autre part, je n’imagine pas une seule seconde, sauf à me tromper lourdement, que le préfet de Seine-et-Marne, ait pris sur lui, le soin de refuser seul, la démission de l’exécutif communal de Chessy, sans en référer à son patron, le très macroniste de gauche, Laurent Nuñez. Je disais hier dans ma chronique, que le bureau de l’Assemblée nationale, attendait toujours, la proposition de loi sénatoriale, qui interdit le port du voile lors des entrainements et manifestations sportives des fédérations.
Tout cela semble cousu de fil blanc. D’un côté on apporte son soutien verbal à un maire très courageux, et de l’autre, on lui plante un coup de poignard dans le dos, en refusant sa démission. Pourtant, le triste et peu charismatique Laurent Nuñez, a aussi déclaré sur Franceinfo qu’il lui semblait « aberrant », d’être obligé de marier un OQTF, renvoyant courageusement la patate chaude au procureur de la république. Pourquoi alors, son subordonné, le préfet, a-t-il refusé la démission du maire ? On mesure ici toute la déliquescence de l’État macroniste, qui vient par exemple d’accepter la suspension de la loi sur les retraites, qu’il avait défendu becs et ongles il y a deux ans. Il est grand temps de changer de braquet, et de passer à la vitesse supérieure, dans l’intérêt majeur de la France et des Français.
17:25 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Indépendance kabyle à Paris : un espoir pour la France
Emmanuel Crenne
Conseiller Régional d’Occitanie (2015-2021)
Ce dimanche après-midi 14 décembre 2025, sous un ciel d’hiver grisâtre, s’est produit avenue Hoche à Paris, près de l’Arc de Triomphe, un événement historique : la proclamation de l’indépendance de la Kabylie.
Organisée par le Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie (MAK) et le Gouvernement provisoire en exil (Anavad), la cérémonie s’est tenue à cet endroit, dans l’urgence et la détermination. Initialement prévue à Versailles, symbole de la grandeur française, elle a été brutalement interdite par la préfecture des Yvelines. Prétexte : « risques de troubles à l’ordre public ».
Une décision politique du Gouvernement français, qui, une fois de plus, plie devant les pressions d’Alger, sacrifiant ses principes et sa grandeur sur l’autel de la realpolitik. Pathétique !
Invité à cet événement, j’étais présent pour soutenir ces courageux Kabyles, menés par leur président, Ferhat Mehenni. Sa voix ferme et passionnée résonnait dans la salle bondée, pavoisée de drapeaux bleu et vert ornés du Yaz, le symbole kabyle de l’homme libre. Vêtu d’un costume sombre, micro en main, il lut sobrement avec émotion la Déclaration d’indépendance, proclamant la liberté de la Kabylie, et traçant les contours d’une république fédérale. Un acte de rupture totale et définitif avec l’occupant algérien, fondé sur le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, gravé dans la Charte de l’ONU, et même, ironie du sort, dans la Constitution algérienne elle-même.
Je l’avais rencontré brièvement quelques mois auparavant avec Mourad Amelal, son directeur de cabinet, un de mes amis. Il m’était apparu comme un homme doux et courtois, cultivé, presque timide – un artiste plus qu’un tribun. J’ai pensé à son parcours : son long et pénible exil, les menaces d’extradition, les intimidations, la perte terrible de son fils en 2004, assassiné par le pouvoir algérien.
Sa retenue malgré ce drame et ces épreuves force le respect : elle dit quelque chose de profond sur la nature de cette lutte, qui n’est pas seulement politique, mais profondément culturelle, identitaire et ancrée dans une histoire millénaire et glorieuse.
Quoi de mieux pour cette nation qui renaît qu’un homme civilisé pour la diriger : il rappelle Václav Havel par sa dignité et son attachement aux valeurs démocratiques. Ces qualités honorent la Kabylie qui renaît ; elles contrastent avec la violence d’un régime algérien marqué par la dictature et la répression. Et ses compagnons ? Alger les qualifie de « terroristes » mais ce sont des modérés : militants du MAK, poètes, intellectuels – tous ont défié les pressions : harcèlement diplomatique, campagnes de désinformation, voire risques physiques parfois matérialisés. Ils incarnent la résilience d’un peuple qui refuse l’assimilation forcée et la soumission.
Plus de mille personnes avaient fait le déplacement – diaspora européenne, nord-américaine, quelques-uns venus d’Afrique. La salle était pleine, les visages tendus vers l’estrade. Des applaudissements chaleureux, un hymne national entonné ensemble, des larmes discrètes : rien d’exubérant, mais une émotion sincère, celle de l’espoir d’un peuple qui renaît. En les regardant, je me suis surpris à envier cette unité formidable autour d’un projet commun. Ils ne réclamaient pas seulement un État, ils cherchaient à retrouver une continuité historique, une langue, des références millénaires – des Numides à la reine Dihya, des gravures du Tassili à la reconnaissance récente du tamazight par l’UNESCO.
Deux petites vidéos que j’ai faites in situ. Cliquer ici et cliquez là.
Cette quête d’enracinement m’a renvoyé à mes propres interrogations sur l’identité française : comment se réconcilier avec son histoire quand elle est fracturée, quand le récit national semble parfois hésiter entre fierté et culpabilité ? Quoi qu’il en soit, comme il est émouvant et profondément réconfortant de contempler cet élan vers la liberté que nous avons en grande partie perdu. Un peuple qui veut recouvrer son indépendance, retrouver son histoire volée, ses langues ancestrales, ses coutumes millénaires avec une fierté que nous leur envions tant elle contraste avec notre nationalisme français, terne, divisé, souvent nostalgique et peu tourné vers l’avenir. Merci aux Kabyles de nous rappeler aujourd’hui que la fierté et l’amour de la patrie ne sont ni des vices ni des chimères du passé, mais des biens précieux pour l’avenir.
L’absence à cette cérémonie des responsables politiques français – qu’ils soient au pouvoir ou dans l’opposition dite « souverainiste » – m’a particulièrement frappé. Je comprends sans les approuver les contraintes diplomatiques et d’ordre public qui pèsent sur la majorité actuelle, obsédée par ses alliances pétrolières avec Alger et la présence dans nos cités de nombreux Arabes algériens hostiles. Mais je m’interroge sur le silence des souverainistes, eux qui placent la défense de l’identité et de la souveraineté au cœur de leur discours. Personne parmi eux n’a daigné se montrer, malgré les invitations envoyées…
Soutenir une aspiration comme celle des Kabyles n’aurait-il pas pu enrichir leur réflexion, les inspirer dans leur action politique et montrer que le principe de souveraineté peut s’appliquer universellement ? Leur absence soulève un problème plus large : peut-on défendre ardemment sa propre nation sans reconnaître la légitimité des autres à faire de même ? Cette question me semble essentielle si l’on veut éviter que le patriotisme ne se referme sur lui-même.
Notre pays a donc encore une fois raté un rendez-vous avec l’Histoire. Nous n’attendions rien de Macron, pour qui tout patriotisme est un ennemi, sauf lorsqu’il s’agit de l’Ukraine et de s’opposer aux Russes, bien sûr. Mais que dire de ses opposants souverainistes qui s’érigent en défenseurs de notre indépendance perdue ? Comment croire à leurs intentions ? Alors qu’ils désertent le chevet d’autres luttes légitimes et souvent symétriques. Et comment n’ont-ils pas vu qu’en soutenant l’autodétermination kabyle, ils pourraient mobiliser en leur faveur une partie de l’électorat français d’origine kabyle, qui est assez significative car elle représente plusieurs centaines de milliers de voix ? Ne voient-ils pas non plus que, ne serait-ce que par pure tactique, soutenir la Kabylie c’est aussi et surtout semer « la discorde chez l’ennemi » comme l’écrit de Gaulle, c’est-à-dire affaiblir notre ennemi algérien ?
D’autres voix ont répondu présent. Des délégués québécois, héritiers d’une autre quête d’autonomie, celle du « Québec libre » annoncé par le général de Gaulle. Mais aussi des représentants indépendantistes corses – que nous n’apprécions guère d’habitude, car ils sont aussi nos adversaires – à qui les patriotes français qui les combattent ont laissé, par leur absence, non seulement le champ libre mais aussi une tribune.
Nous aimons chez eux leur patriotisme, car ils sont fiers de leur île, que nous voulons garder. Ils étaient là, côte à côte avec les Kabyles. Ces présences symboliques – discours croisés sur la solidarité des nations captives – ont ajouté une couche d’universalité à l’événement – l’universalité de l’amour de la patrie. Le Québec, avec son référendum de 1995, inspire les Kabyles ; l’expérience corse, avec ses assemblées autonomistes, résonne à leurs oreilles. Ensemble, ils forment un front invisible contre les États centralisateurs et les peuples dominateurs.
En quittant la salle, j’étais exalté, mais aussi pensif. Ce que j’avais vu n’était pas une révolution tonitruante, mais un acte posé, presque méditatif, de réaffirmation d’une identité ancienne : « La Kabylie renaît de ses cendres » nous dit posément son président Ferhat Mehenni dans son discours. Son pays, par cette déclaration, se place désormais sur la scène internationale. Le chemin sera sans doute long et semé d’obstacles.
Alger fulmine, Paris tergiverse, mais l’élan est lancé. Bientôt, l’ONU sera saisie, et le monde devra choisir : la liberté ou la complaisance. Mais au-delà du destin kabyle, cet événement nous renvoie à nous-mêmes : que faisons-nous, en France, de notre propre souveraineté et de notre capacité à accueillir les aspirations des autres sans les craindre ?
Je ne sais pas si cette proclamation changera demain le cours des choses. Mais elle nous a rappelé qu’un peuple qui assume calmement son histoire et son avenir possède une force intérieure rare.
Peut-être est-ce là une leçon dont nous aurions, nous aussi, besoin. Pour que la France, un jour, suive cet exemple magnifique et se réveille enfin pour reprendre son indépendance perdue.
Source Riposte laïque cliquez ici
14:32 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Bondi Beach : face au terrorisme, l’aveuglement des États faibles
Thomas Joly - Président du Parti de la France
À Bondi Beach, ce 14 décembre, l’Australie a découvert ce que l’Occident refuse obstinément de voir : le terrorisme islamique n’a pas de frontières. Ce qui s’est joué là-bas n’est pas un simple drame local mais un épisode de plus dans l’exportation mondiale du conflit israélo-palestinien.
Comme toujours, la réponse des autorités est hors sujet. Au lieu de s’attaquer à l’ennemi, on s’en prend aux citoyens. On promet de durcir la législation sur les armes, comme si le terroriste islamiste demandait une autorisation avant de frapper. C’est l’éternel réflexe des États faibles : désarmer les honnêtes gens pour mieux masquer leur impuissance.
Car la vérité est là : un peuple désarmé est un peuple vulnérable. Refuser aux citoyens le droit de se défendre, c’est les condamner à l’attente passive du prochain massacre. La sécurité ne se construit pas dans les communiqués moralisateurs mais dans la lucidité, le courage politique et la capacité d’un pays à protéger les siens.
À force de nier la réalité, l’Occident s’expose à la répétition des mêmes tragédies.
11:07 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Synthèse nationale, c'est d'abord un site et une revue fondés en 2006 par Roland Hélie. Notre entreprise militante a donc 19 ans, et en novembre 2026, elle fêtera ses 20 ans ! Se situant résolument dans le camp nationaliste et identitaire, site et revue livrent tout au long de l'année des analyses non-conformistes sur l’actualité et les questions de fond qui concernent notre pays et notre continent.
Synthèse nationale, c'est aussi une maison d’éditions créée en 2012 dont le catalogue compte près de 150 titres parmi lesquels ceux de la fameuse collection Les Cahiers d’Histoire du nationalisme. cliquez ici
Enfin, Synthèse nationale, ce sont des campagnes militantes, des conférences et des colloques thématiques à travers la France ainsi que des partenariats en Europe.
En contribuant à la souscription patriotique 2025 de Synthèse nationale, non seulement, vous recevrez une revue résolument engagée mais, en plus, vous nous aiderez à développer notre combat pour l’indispensable redressement de notre Nation et notre Civilisation…
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Reconquête soutient les agriculteurs de France
NON à l’accord « Mercosur », Soutien à nos agriculteurs !
Les agriculteurs français se battent pour survivre et pour nourrir les Français. Mais Bruxelles veut nous imposer des aliments douteux. Soutenez nos agriculteurs : Signez la pétition !
Ursula von der Leyen, que vous n’avez pas élue, s’apprête à ratifier en force l’accord « Mercosur », contre la volonté des Français.
Cet accord ouvrirait grand les portes à :
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99 000 tonnes de bœuf gavé aux hormones…
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180 000 tonnes de poulets élevés sur des grillages métalliques…
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Des milliers de tonnes de céréales, gorgées de pesticides interdits en France…
Vous vous en doutez bien, la traçabilité des produits ne sera pas assurée comme elle l’est pour les produits français ! C’est la sécurité alimentaire des Français qui est directement menacée.
Pendant ce temps, la plupart de nos agriculteurs se tuent déjà à la tâche, à 70 h par semaine. 26 % des agriculteurs vivent sous le seuil de pauvreté. Pris à la gorge, certains n’arrivent même pas à dégager de revenu…
Ils croulent sous les normes toujours plus absurdes et doivent faire face à une concurrence déloyale.
Résultat ? Chaque jour, près de deux agriculteurs se suicident.
76 % des Français sont contre cet accord destructeur. Notre pays doit dire NON à cette trahison !
Non, Madame von der Leyen ! La France n'est pas un vulgaire territoire à votre disposition. C'est un peuple millénaire, façonné par des générations de paysans qui ont fait de notre terre la plus fertile d'Europe.
Cette terre, c'est notre héritage, pas votre marché !
Nous exigeons :
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Le rejet immédiat et définitif de l'accord MERCOSUR
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La fin de la surtransposition des normes européennes qui pénalise uniquement nos agriculteurs
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La protection effective de notre souveraineté alimentaire
Notre agriculture n'est pas une variable d'ajustement.
C'est notre patrimoine, notre sécurité alimentaire, notre avenir.
Signez et faites signer cette pétition ! cliquez ici
00:04 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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mardi, 16 décembre 2025
LE DEUXIÈME VOLUME SUR LA MOUVANCE IDENTITAIRE BLANCHE AMÉRICAINE (CHN n°31) EST SORTI
20:19 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Un maire et l’ensemble de ses adjoints démissionnent, pour ne pas avoir à marier un OQTF
Michel Festivi
Nouvelle affaire de mariage d’un OQTF, qui oppose un maire et un procureur de la république. On connaissait la geste de Robert Ménard, maire de Béziers, qui avait courageusement refusé de marier un OQTF, et qui est poursuivi par la justice, car il a refusé une reconnaissance de culpabilité. Rebelote, mais cette fois-ci dans le Seine-et-Marne, à Chessy.
Un ressortissant étranger en situation irrégulière sur notre sol, et faisant l’objet d’une OQTF, désirait se marier pour visiblement contourner la loi, et rendre caduque son OQTF. Une demande de mariage avait donc été déposée au printemps dans cette commune. Auditionné séparément, l’homme aurait déclaré que sa motivation « semblait plus résider dans la régularisation de sa situation personnelle que dans le mariage », selon les informations données par Le Figaro du 16 décembre.
La municipalité a donc saisi le procureur de la république. Mais le Parquet de Meaux, non seulement n’a rien fait visiblement, pour faire exécuter cette OQTF, mais plus encore, a enjoint le maire de Chessy, de marier l’individu en question. Entre juillet et ce mois de décembre, le Parquet aurait intimé l’ordre au maire de procéder à l’union à plusieurs reprises. Le maire a fait de la résistance, et n’a pas obtempéré, pour ne pas « devoir acter officiellement la présence d’un individu faisant l’objet d’une obligation de quitter le territoire ».
Les futurs époux ont donc saisi le tribunal judiciaire de Meaux, qui en référé, a ordonné au 1er magistrat de la commune, de publier les bans et de procéder au mariage, et ce par ordonnance de référé du 10 décembre dernier, laissant à l’édile un délai de 48 heures pour ce faire, pour un mariage avant la fin de l’année. Dès lors, et fort courageusement, le maire et l’ensemble de ses adjoints, tous officiers de l’état civil, ont d’un même geste, démissionné de leurs fonctions, restant simples conseillers municipaux. Car sans officier de l’état civil, le mariage est impossible.
Cette démission collective est particulièrement courageuse et démontre la résistance du pays réel, face à l’ignominie de nos lois, comme l’ont dénoncé plusieurs politiques. Même Macron, interpellé par Robert Ménard à l’époque, avait convenu qu’il fallait changer les textes. Mais que n’ont-ils donc fait ? Rien, comme à l’accoutumé. Macron avait parlé de « bon sens », d’interdire le mariage d’étrangers en situation irrégulière. Ce texte voté au Sénat, n’est toujours pas venu à l’assemblée nationale, comme la proposition de loi, qui interdit le port du voile dans le sport et les compétitions sportives.
Comme l’ont déclaré les élus de cette paisible commune du Val-de-Marne, c’est « le monde à l’envers ». C’est effectivement la perversion des élites, que seule pourra arrêter la voix du peuple en colère. Il serait grand temps, qu’elle se manifeste.
18:26 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Lisez le nouveau numéro de "Frontières" : un dossier remarquable sur l'islamo-gauchisme aujourd'hui
18:25 Publié dans Kiosque de droite | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Riposte laïque attaqué par une officine liberticide intitulée "Ligue des Droits de l'Homme"
Un communiqué de Riposte laïque :
L'offensive s'accélère.
Alors que nous tentons de colmater les brèches financières pour survivre au 5 janvier, nos ennemis ne perdent pas une seconde : ils déposent une nouvelle plainte qui dépasse l'entendement.
La Ligue des Droits de l'Homme (LDH) a déposé plainte contre Manuel Gomez, l'un de nos journalistes. Un homme de 94 ans, recruté en Algérie par Albert Camus !
Le motif ? Complicité d'apologie de crimes contre l'humanité.
Pourquoi ? Simplement parce qu'il a défendu la mémoire du Général Bigeard face aux gauchistes qui voulaient s'opposer à l'érection d'une statue en son honneur à Toul.
Lisez-moi bien : un journaliste de presque cent ans est attaqué par la LDH pour avoir défendu un héros de l'armée française.
Ceci n'est plus seulement une attaque contre Riposte Laïque. C'est une attaque contre la mémoire de notre nation , contre nos valeurs et contre l'honneur de nos aînés.
Et comme d'habitude, ce procès signifie :
1. Des milliers d’euros de frais d'avocats à engager immédiatement.
2. Une charge supplémentaire sur notre trésorerie déjà exsangue.
Nous n’avons plus que quelques jours. L'urgence est moins sur la date, que sur le rythme des attaques
Ils nous bombardent de plaintes jour après jour.
C'est une guerre d'usure financière, et nous sommes à deux doigts de la rupture.
Votre don aujourd'hui nous permet de payer la défense de Manuel Gomez, et de ne pas céder un centimètre face à cette hystérie idéologique.
Il n'y a plus de temps à perdre !
NDLR SN : Riposte laïque mène, depuis des années, à nos côtés, un courageux combat. Face à l'adversité, il faut soutenir nos amis de Riposte laïque cliquez ici
18:03 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Une pensée pour Lajos Marton enterré aujourd'hui
Sur Lajos Marton cliquez ici
12:38 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) |
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L’obsession pathologique du péril russo-chinois !
Étant curieux de jeter un œil à l’intérieur de ce vaste périmètre, et aussi parce que je pensais, naïvement, apprendre quelque chose, je me suis empressé d’accepter l’invitation.
10:13 Publié dans Claude Janvier | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Notre catalogue de fin d'année 2025 est arrivé : dès maintenant, passez vos commandes pour Noël
10:13 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Israël, la droite européenne et l’erreur d’adversaire
Balbino Katz
Chroniqueur des vents et des marées
Mon salon est envahi, non par la hauteur, mais par la longueur. Un mètre cinquante de livres non lus court le long d’un meuble bas, comme une digue trop courte face à la marée montante. Des ouvrages achetés avec cette confiance naïve dans le temps long qui caractérise encore ceux qui lisent. L’amiral de Grasse et l’indépendance américaine, Commander en opérations y côtoie une Histoire du blé en Argentine ou Les métamorphoses de Jérôme Fourquet, posé là comme un rappel méthodique de ce que devient une société lorsqu’elle se transforme sans se comprendre. C’est dans ce décor paisible que j’ai suivi sur X, cette agora électrique où la réaction précède toujours la réflexion, les suites l’entretien de Nick Fuentes avec Piers Morgan que j’avais écouté sur la dune de Lechiagat.
L’échange, en lui-même, n’avait rien d’exceptionnel. Un jeune polémiste américain, à la parole abrupte, face à un journaliste britannique rompu à l’art du tribunal médiatique. Le dispositif est connu, presque mécanique. Ce qui retient l’attention se situe ailleurs, dans ce que l’entretien a libéré ensuite, une série de réactions révélatrices d’un malaise plus ancien. Une question refoulée est revenue au premier plan, celle du rôle joué par certaines organisations juives occidentales dans le désarmement moral, juridique et politique des sociétés européennes et nord-américaines.
Le propos de Nick Fuentes pèche par excès de simplification. Il confond des organisations avec un peuple, et un peuple avec une essence intemporelle. Or la politique ne se laisse jamais enfermer dans ce type de raccourci. Elle est affaire d’institutions, de générations, de ruptures internes. Cela dit, le fond de la mise en cause ne surgit pas du néant. Depuis plusieurs décennies, des organisations juives influentes ont assumé un rôle moteur dans la promotion d’un universalisme juridique, d’un antiracisme militant et d’une immigration de masse présentée comme horizon moral indiscutable.
Il convient toutefois de rappeler un fait souvent oublié. La droite radicale française s’est ralliée au sionisme à partir de 1956, dans le contexte conjugué de la crise de Suez et surtout de la guerre d’Algérie. Ce rapprochement ne procédait ni d’un idéalisme particulier ni d’une fascination culturelle, encore moins d’une réflexion linguistique ou civilisationnelle. Il s’enracinait dans une hostilité commune au monde arabo-musulman, perçu alors comme un bloc hostile, insurgé et soutenu par les puissances adverses de la France. Israël apparaissait comme un allié objectif, un État occidental en armes, engagé dans un combat frontal contre les mêmes forces, assumant sans fard la violence politique, la guerre préventive et la défense de ses frontières. Cette convergence d’intérêts, nourrie par l’expérience algérienne, a structuré pendant près de deux décennies une alliance de fait entre milieux nationalistes français et organisations juives, alliance qui perdura jusque dans les années 1970 avant de se déliter sous l’effet des recompositions idéologiques de l’après-68.
Ce lien n’a pas été rompu par la droite française. Il a été progressivement détruit par le militantisme de gauche des organisations juives occidentales, notamment françaises et plus encore dans les décennies suivantes. Les élites issues directement de la tragédie de la Seconde Guerre mondiale, celles pour qui la défense communautaire constituait la raison d’être première de ces organisations, ont progressivement cédé la place, à partir des années 1980, à une nouvelle génération. Celle-ci, clairement engagée à gauche, a déplacé le centre de gravité de ces structures. La lutte contre l’antisémitisme réel s’est muée en combat idéologique permanent contre toute affirmation identitaire européenne. En France, cette mutation s’est traduite par une obsession quasi exclusive, la délégitimation du Front National, devenu le repoussoir commode d’un antifascisme d’appareil, souvent déconnecté des réalités sociales et démographiques du pays.
Je situe personnellement le point de bascule au 9 décembre 1979, lors de l’attaque du XIVe colloque du GRECE à Paris. J’y étais. Ce jour-là, quelque chose s’est brisé. Il ne s’agissait pas d’un simple incident militant, mais d’un signal politique clair. Pour la première fois, une partie organisée du monde associatif juif assumait publiquement la criminalisation d’un courant intellectuel européen qui ne lui était ni hostile ni antisémite, mais simplement dissident. Ce moment marque, à mes yeux, la rupture définitive entre une droite française longtemps favorable à Israël et des organisations qui avaient choisi de s’inscrire dans une logique de combat idéologique de gauche.
Le danger apparaît lorsque cette critique institutionnelle glisse vers une dénonciation indistincte. Confondre ces organisations avec les Juifs en tant que peuple vivant relève de l’erreur de diagnostic. C’est là que la colère devient stérile. Les organisations juives occidentales ne représentent plus, depuis longtemps, l’ensemble du judaïsme réel, celui des familles, des croyants, des individus ordinaires. Elles incarnent une idéologie, figée dans un univers moral hérité de l’après-guerre, prolongé artificiellement dans un monde qui a changé de nature.
Plus encore, cette confusion empêche de voir l’essentiel, l’État d’Israël, engagé dans un combat d’un tout autre ordre. Israël vit déjà ce que l’Europe refuse encore de nommer, un affrontement démographique, culturel et sécuritaire où le droit abstrait cède devant la nécessité vitale. En ce sens, Israël n’est pas un acteur périphérique de notre histoire, mais un miroir avancé, parfois gênant, de ce qui attend les nations qui ont renoncé à se penser comme telles. Ce que les Européens se refusent à admettre, les Israéliens le vivent chaque jour, sans fard, sans illusion juridique.
En Bretagne, cette réalité n’a jamais été perçue avec hostilité. Elle a longtemps suscité une admiration discrète. Le miracle de la renaissance de l’hébreu moderne y a été vu comme une marche à suivre, un exemple concret pour notre propre langue nationale, reléguée, contenue, folklorisée. Il existait, dans cette pointe occidentale de l’Europe, une compréhension instinctive de ce que signifie survivre comme peuple lorsque l’État vous nie ou vous dissout.
C’est dans ce contexte qu’il faut rappeler la lettre adressée en 1967 par Olier Mordrel au président du Conseil de l’État juif, à la suite de la guerre des Six Jours. Le texte, marqué par son époque et par le parcours de son auteur, exprimait une admiration sans détour pour la capacité d’Israël à assurer sa survie politique et militaire. Mordrel y voyait, avec les mots de son temps, une leçon pour d’autres peuples niés dans leur existence. On y lit moins une hostilité à l’autre qu’une angoisse de la disparition, et la conviction que les peuples ne survivent que lorsqu’ils se rassemblent, se nomment et se défendent.
Ce document rappelle simplement qu’il a existé, et qu’il existe encore, une lecture européenne du destin juif qui ne passe ni par la culpabilité perpétuelle ni par l’hostilité systématique. Cette lecture s’oppose frontalement aux simplifications actuelles, où l’on préfère désigner des coupables globaux plutôt que d’analyser les idéologies à l’œuvre.
C’est ici que la ligne défendue par Jared Taylor et son association American Renaissance mérite d’être évoquée. Non comme une orthodoxie, mais comme une stratégie intellectuelle. Taylor a toujours estimé que le seul moyen de sortir de l’affrontement stérile consistait à convaincre les Juifs, que la survie des peuples européens n’est pas contradictoire avec la leur. Cette position, souvent caricaturée, refusait au moins la facilité du ressentiment et de l’essentialisation.
En refermant l’ordinateur, mon regard revient à ces livres alignés sur le meuble. Des récits de navigation, de cycles agricoles, de transformations démographiques. Ils rappellent une évidence que notre époque feint d’ignorer. Les peuples disparaissent rarement sous les coups de leurs ennemis déclarés. Ils s’effacent lorsqu’ils se trompent de diagnostic, de langage et d’adversaire.
Source Breizh info cliquez ici
00:15 Publié dans Balbino Katz | Lien permanent | Commentaires (0) |
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L'Action française aux côtés de la résistance paysanne
Un communiqué de l'Action française :
Le gouvernement français et l’Union européenne par son intermédiaire poursuivent la mise en œuvre d’une politique de destruction progressive et silencieuse de l’élevage français. Éliminer lentement nos éleveurs et nos agriculteurs c’est éliminer ceux qui entretiennent et façonnent nos campagnes, nos villages, nos paysages, nos traditions et notre identité.
Décimer nos agriculteurs équivaut à détruire la souveraineté alimentaire, mais aussi le goût du temps long, du travail, de l’héritage, de la transmission des savoirs ainsi que les valeurs du beau et du bon.
C’est faire place nette pour les technocrates bobos qui rêvent de transformer nos exploitations agricoles en résidences secondaires ou en Airbnb sans être dérangés par le chant d’un coq, une odeur de fumier ou le son des cloches de l’Angélus.
C’est, pour plaire à la Cour des comptes, ce pays légal hors sol, continuer de réduire le nombre de bovins en France pour tenir les engagements climatiques nationaux sortis des cerveaux malades d’ayatollah verts, multipliant contraintes, taxes, normes ou abattages.
C’est aussi dérouler le tapis rouge aux mondialistes qui, avides de nouveaux marchés et profits, signent des accords tels que celui du Mercosur pour permettre l’importation en France d’élevages argentins issus d’exploitations industrielles XXL, utilisant hormones de croissance, vaccins divers et aliments hyper transformés.
Le seul champ que respecte Emmanuel Macron est le champ de bataille. Depuis 2017, nous sommes plongés dans un état de guerre permanent, souvent asymétrique, comme en témoigne cette intervention policière disproportionnée en Ariège.
Face à ce conflit qui se transforme en une crise politique majeure, l’Action française s’associe à la résistance paysanne, ce mouvement national qui fait désormais consensus.
Pas de pays sans paysans, pas de libertés sans souveraineté, pas de souveraineté sans souverain !
Source cliquez ici
00:10 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Eric Zemmour à Aix en-Provence le 17 décembre
Les prochains rendez-vous cliquez ici
00:05 Publié dans Eric Zemmour | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Toulouse, jeudi 18 décembre : réunion du Front nationaliste
00:00 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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