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mardi, 02 juillet 2024

Les difficultés ne font que commencer : elles sont innombrables ! 

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Bernard Plouvier

Il n’est nullement assuré que les historiens de l’avenir s’intéressent à la dissolution de la Chambre par un Macron aux abois, fin juin 2024. En revanche, ils chercheront à comprendre comment les Français ont laissé des politiciens détruire leur pays en cinquante années de folie furieuse : 

• Loi Veil autorisant l’avortement de complaisance, donc la chute dramatique de la natalité autochtone 

• Décret de regroupement national des travailleurs immigrés pour relancer la consommation intérieure, ouvrant la voie à l’invasion extra-européenne  

• Lois stupides abaissant la durée du travail et l’âge d’accès à la retraite alors que la concurrence planétaire se durcissait 

• Sottises féministes et « genristes », aboutissant à la parodie du mariage homosexuel et aux grossesses par procuration 

• Pseudo-écologie de pacotille générant des obligations et des interdictions totalement fantaisistes, alors que le climat terrestre dépend quasi-exclusivement de l’activité solaire. Il est évident qu’il faut gérer la terre (ressources naturelles, consommation) en « bon père de famille », selon l’expression du Droit romain, mais il est stupide de se plier à des exigences issues des ruminations mentales d’incompétents et de frustré(e)s du marxisme, tout juste bons pour un traitement psychiatrique

• Destruction de l’Instruction publique et des infrastructures régaliennes, dont le système hospitalier public

• Désertification industrielle, alors qu’aux USA le mouvement s’est inversé depuis vingt ans 

• Ensauvagement de la société, directement en rapport avec des rejetons inéduqués par des parents lamentables, en immense majorité provenant de l’immigration extra-européenne, islamisée ou convertie aux joies du trafic de stupéfiants, d’armes, de prostitué(e)s ou de réfugiés (nouveau « marché porteur »).

C’est à ces problèmes que devront s’attaquer les gouvernants

Et dans une ambiance de haine entre les grands groupes d’électeurs : 40% de populistes qui veulent casser l’ambiance de gabegie, ramener l’ordre et la décence ; 25% de déçus de l’effondrement du communisme et des autres formes de « socialisme » mal compris – car le vrai socialisme, c’est comprendre que travailler beaucoup et bien, c’est à la fois enrichir sa famille et la collectivité ; 25% de conservateurs qui trouvent que « tout ne va pas si mal » tant qu’ils ont assez d’argent pour vivre dans l’abondance matérielle ; 10% de j’men’foutistes. 

Avec le système des magouilles du scrutin d’arrondissement, rien ne permet de présumer que le Mouvement National – authentique révolte du Pays d’en-bas doté d’un minimum de bon sens – obtiendra une majorité de gouvernement.

Macron le Nocif sera gagnant : il sera parvenu à empêcher toute réforme de structure de l’État

La Nation sera une fois de plus perdante

Et peut-être une fois de trop, car bientôt la majorité de l’électorat sera d’origine extra-européenne… et ce sera : « Y-A-Bon la charîa ! »     

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La gauche disqualifiée

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Vincent Trémolet de Villers

L’épreuve du choix. Depuis dimanche, beaucoup de Français vivent dans le carcan d’un dilemme moral : celui du moindre mal. S’abstenir, soutenir un modéré du camp d’en face contre « les extrêmes », voter RN pour éviter LFI ou le contraire : telles sont les questions. Mais, pour les aider à trancher, il faudrait d’abord que le parti de l’indécence commune, la coalition des Tartuffe, cesse de faire la leçon. Chez ces gens-là, en effet, on est loin d’être exemplaire.

D’abord, d’abord, il y a Jean-Luc Mélenchon, le directeur de conscience de la République, qui, avec Rima Hassan à ses côtés, dispense ses consignes au président, à la droite, à la France. Et puis il y a Sandrine Rousseau, qui trace la ligne qui sépare le bien du mal. Et puis François Ruffin, celui qui disait : « On a un taré à la tête de l’État » (et qui reçoit le soutien dans sa circonscription du parti du président de la République !). Et puis Raphaël Arnault, candidat fiché S en ballottage à Avignon. Derrière, la cohorte des provocateurs de la République, allure débraillée et insultes à la bouche : Louis Boyard, Aymeric Caron, Sébastien Delogu, Danièle Obono...

Une procession qu’accompagnent les nouveaux convertis. Emmanuel Macron en tête, celui-là même qui, le 12 juin, reprochait au NFP de faire la part belle à « une extrême gauche qui s’est rendue coupable d’antisémitisme, de communautarisme, d’antiparlementarisme » et qui décide finalement de faire un bout de chemin avec elle. Gabriel Attal, celui qui a interdit l’abaya à l’école, et qui appelle à voter pour ceux qui veulent l’autoriser. Dans ce cortège, on retrouve aussi les innombrables associations écolos, néoféministes, « antifascistes » dont le seul point d’unité est l’équivoque vis-à-vis du Hamas, l’antisionisme obsessionnel, la haine de la police. La place de la République couverte dimanche soir de drapeaux palestiniens en témoigne : la lutte « contre l’extrême droite » n’est qu’un prétexte pour faire avancer un agenda militant.

Cette gauche prétend « sauver la République », mais elle devrait commencer par faire son examen de conscience. Elle pratique sans vergogne l’intimidation morale comme si elle était dépositaire des vertus démocratiques alors qu’elle est moralement disqualifiée.

Figaro 02/07/2024

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Espagne, le Tribunal Suprême contre la loi d’amnistie

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Michel Festivi

Un magistrat du Tribunal Suprême espagnol vient ce lundi 1er juillet de refuser d’appliquer la loi d’amnistie au profit des indépendantistes catalans votée il y a un mois.

Ce magistrat a considéré que si les faits de séditions pouvaient être amnistiés par cette législation, cela n’était pas le cas du délit de détournement de fonds. J’avais précisé antérieurement que les magistrats espagnols étaient vent debout contre cette loi qui a provoqué de très vives manifestations en Espagne notamment dans les rangs du Parti populaire et de Vox.
 
Dès lors,le juge considère notamment vis à vis de Carles Puigdemont que le mandat d’arrêt international lancé à son encontre, est toujours valable notamment pour ce délit de détournement de fonds. 
 
Des recours sont possibles contre cette décision, gageons qu’ils seront exercés. Cette décision va compliquer la tâche de Pedro Sanchez, le Chef du gouvernement qui ne tient aux Cortes que par l’appui des 7 députés Junts du parti de Puigdemont. 
 
Elle va la compliquer aussi en Catalogne, car les indépendantistes n’ont pas obtenu la majorité absolue suite aux élections régionales de mai et aucun accord de gouvernement local n’a encore été trouvé avec le Parti socialiste catalan, de nouvelles élections s’annoncent peut-être.
 
J’avais déjà précisé que les lois européennes interdisent les amnisties lorsque des détournements de fonds européens sont en jeu. Reste de surcroît le délit de terrorisme non prévu par cette décision judiciaire, ce point est toujours en suspens.
 
En effet à la suite du référendum avorté de 2017 des chefs catalans avaient incité à des troubles à l’ordre public public conséquents et plusieurs leaders indépendantistes dont Puigdemont sont aussi inculpés de ce chef de prévention. 
 
Cette affaire político judiciaire très complexe est le symbole de l’impuissance de l’état central de Madrid face aux oukases de minorités agissantes, et de la faillite du gouvernement socialo communiste espagnol dans son ensemble. Prions pour qu’en France une telle engeance reste aux portes du pouvoir. 

11:06 Publié dans En Europe et ailleurs..., Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le retour du peuple

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Anthony Marinier

Dynamique électorale

Depuis le 9 juin, la tectonique des plaques s’est déplacée : en 5 ans le RN a gagné 2,5 millions d’électeurs aux européennes et 6,5 millions au premier tour des législatives, multipliant son nombre d’électeurs par 2,5 et passant de 18,5 à 33% des suffrages. Le nombre de députés RN (et alliés) pourrait dépasser la barre des 289 pour atteindre la majorité absolue dimanche prochain. Le Rassemblement national, dont beaucoup pensaient qu’il n’atteindrait jamais le pouvoir, est en mesure, cinquante ans après sa création, d’enfin y parvenir. Le plafond de verre a été brisé et il n’y a pas de raison que cette lame de fond s’interrompe, parce qu’elle est productrice d’espérance et de renouvellement. Jusqu’à présent lointaine, le RN offre enfin une perspective de pouvoir à ses électeurs, à cette France des perdants de la mondialisation, des laissés-pour-compte, des « petits-blancs-moins-que-rien » qui refusent de disparaître.

Archipel vs continent

En 2019, Jérôme Fourquet montrait dans ses travaux « l’archipélisation » de la société française, désormais morcelée en différents groupes distincts respectant des mœurs, rites de passage, modes de vie et visions du monde différents voire opposés. Cette France multiple et divisée, les déclarations et promesses électorales clientélistes en rendent compte : les candidats ne ciblent que des groupes d’intérêt (retraités, fonctionnaires, immigrés, agriculteurs, handicapés, femmes, LGBT…), renforçant cette idée de décomposition et la fin d’un peuple unitaire qui ne serait plus constitué que de monades et de petites communautés.

L’atomisation et « l’archipélisation » des Français avec un séparatisme territorial et culturel sont incontestables ; néanmoins, lorsqu’un tiers de la population française vote pour un parti politique, il est évident que cette masse représente plus qu’un archipel, c’est un continent uni. La leçon de ces élections successives est que le peuple français existe toujours.

Le retour du peuple

Il n’est pas question de l’idéaliser simplement de constater que 33% du corps électoral s’est levé pour rappeler qu’il y a encore une résistance dans la France périphérique. Aujourd’hui c’est le RN qui prend le mieux en charge cette France invisibilisée, qui, à travers Jordan Bardella et Marine Le Pen, retrouve une voix qu’elle avait perdue. Le peuple central et historique, pourtant majoritaire, a été muselé, bâillonné, privé de reconnaissance depuis 40 ans, sorti des représentations populaires. Ce peuple-là est inconnu de nos élites, l’angle mort des discussions politiques et médiatiques. Cette France bleu-blanc-jaune – de la couleur des gilets portés il y a 5 ans et qui préfiguraient la révolte par les urnes – est sortie du bois massivement.

Ce peuple a prouvé qu’il existait encore en faisant des choix contre toutes les injonctions des prescripteurs d’opinion, qu’ils soient journalistes, éditorialistes, sportifs ou artistes. Tous s’y sont mis, on a même eu droit à des vidéos des fans de Star Wars, des professionnels du tourisme, jusqu’aux joueurs de cartes Magic, pour nous dire à quel point la démocratie était en danger. Les Français ont placé en tête la liste RN malgré l’avalanche de tribunes alarmistes, de fake news, de manipulations, de montages vidéo mensongers avec extraits tronqués ou propos hors contexte, de mauvaise foi partisane annonçant l’apocalypse. Les médias et opposants ont rivalisé dans la surenchère en agitant des peurs toujours plus extrêmes et s’arrogeant le droit de mentir, manipuler et exagérer…

33% des Français ont donc transgressé les diktats et franchi la ligne rouge et sont de plus en plus nombreux à le faire. Peu importe le résultat de dimanche prochain, peu importe que le système politique français soit vérolé et pourri jusqu’à la racine, le grand enseignement de ce début d’été est que le peuple français est en train de refaire peuple.

Source : site Eléments

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Le mouvement catholique et identitaire Academia Christiana organise deux universités d’été en Provence et dans l’Ouest de la France

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Le mouvement catholique et identitaire Academia Christiana organise deux universités d’été en Provence et dans l’Ouest de la France

La première se déroulera du 15 au 21 juillet 2024 en Provence. La seconde du 12 au 18 août dans l’Ouest de la France.

En 10 ans Academia Christiana est devenu le rendez-vous incontournable d’une certaine jeunesse catholique qui cherche à s’engager dans la société. Plusieurs milliers de jeunes sont passés sur nos bancs. Venus de toute la France pour se former, ce sont des lycéens, des étudiants ou de jeunes familles qui se retrouvent à l’université d’été pour se former et réfléchir à leur avenir. Plus qu’une simple université d’été, c’est aussi un carrefour ou une plateforme de rencontre sur laquelle se croisent tous les milieux et toutes les écoles de pensées spirituelles ou politiques. Vous y croiserez des prêtres de différentes communautés mais aussi des acteurs politiques et associatifs (élus locaux, enseignants, écrivains, journalistes, militants…) issus de notre mouvance de pensée au sens le plus large qui soit.

Le programme définitif n’a pas encore été communiqué, mais nous vous tiendrons informé.

Pour vous inscrire, c’est ici

01:44 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le ministère de l’Intérieur confirme la montée des chiffres de l’invasion pour 2023

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André Posokhow

Le 27 juin 2024 le ministère de l’Intérieur a publié les chiffres clés, mis à jour après ceux provisoires produits en janvier 2024, de l’invasion migratoire.

Il confirme ainsi la montée en puissance de ces chiffres après « l’épidémie Covid » et le confinement.

1° la délivrance des premiers titres de séjour en 2023

En 2023 la primo délivrance de titres de séjour de ressortissants de pays tiers (c’est-à-dire non-ressortissants de l’UE Européens) hors Britanniques a été estimé à 327 000 contre 288 000 en 2019. Désormais ce sont les étudiants qui viennent en tête : 108 000, alors que l’admission familiale se trouve en légère baisse à 91 000.

2° Un nombre de titres et de documents provisoires de séjour (DPS) en forte hausse

En 2019 le stock de titres valides et de documents provisoires hors Britanniques était de 3 411 000 personnes (en 2022 de 3 833 000). Au 31/12/2023 ce nombre est monté à 4 004 000 soit une progression de 17 %.

Toutes les composantes de ce stock se trouvent en augmentation sensible. La plus significative est celle des DPS : 426 000, en hausse de 32 % par rapport à 2019.

Ce chiffre ne tient pas compte des Britanniques classés comme des tiers au même titre que des Nigériens moyens. Leur nombre : 166 000, est loin d’être négligeable.

3° L’asile : des chiffres de demande et de protection en hausse

En 2023, le nombre de demandes d’asile, toutes catégories confondues, s’élève à 187 000 personnes, en hausse sensible par rapport à 2022 : 168 000. On dépasse même le niveau de 2019.

Ce sont les Afghans qui sont tête avec 17 000 demandes en 2023. La France a-t-elle réellement besoin de l’entrée d’autant d’Afghans ?

Le total des attributions de l’asile aussi bien au titre des recours reçus par l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et des apatrides) et des recours auprès de la CNDA (Cour nationale du droit d’asile) s’est élevé en 2023 à environ 61 000 personnes contre 36 000 en 2019.

Il existe deux raisons à cette augmentation significative :
• tout d’abord une progression sensible des demandes d’asile et des protections accordées ;
• surtout il semble que désormais et contrairement à 2019, les statisticiens du ministère de l’Intérieur tiennent compte des mineurs accompagnants soit, si j’en crois la page 3 du document de l’essentiel de l’immigration, environ 20 000. Les mineurs accompagnants représenteraient donc environ un tiers de l’asile ce qui confirmerait le calcul de mon livre « Immigration, l’épreuve des chiffres ».

4° Des chiffres de lutte contre l’immigration irrégulière décevants

Le document de l’essentiel de l’immigration ose affirmer que les sorties du territoire des étrangers en situation irrégulière sont en hausse. C’est une blague de mauvais goût.

Effectivement ces sorties qui correspondent aux éloignements qu’ils soient forcés, aidés ou spontanés se sont élevés à 23 000 personnes en 2023 contre 19 000 en 2022. Mais en 2019 les éloignements se montaient à 31 000 personnes.

Ces chiffres montrent que la question des éloignements des étrangers en situation irrégulière demeure pendante et que ce grave problème n’est toujours pas résolu.

5° Des acquisitions de la nationalité française en forte baisse

Le nombre d’acquisitions de la nationalité française en 2023 : 97 000, se trouve en forte baisse par rapport aux années précédentes, notamment 2021 qui en avaient compté 129 000.

Le document du ministère explique avec tristesse que « cette baisse d’activité en 2023 doit s’analyser à travers des difficultés techniques ponctuelles liées à la dématérialisation de la procédure de naturalisation et à son déploiement, en 2023, sur l’ensemble du territoire national ». Il n’existe donc pas de volonté de ralentir l’accès à la nationalité française mais seulement les conséquences ponctuelles d’une réforme administrative.

Cependant rassurons-nous, « une fluidification du système et un rattrapage sont attendus pour 2024 ». Quel soulagement !

Conclusion

D’une manière générale, les chiffres de l’année 2023 de l’invasion migratoire tels que présentés par le ministère de l’Intérieur reflètent une pénétration accrue et continue de notre pays par de nouveaux arrivants. La seule exception est le nombre des naturalisations, mais nous avons vu que la raison en est simplement conjoncturelle.

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lundi, 01 juillet 2024

Le spectacle pitoyable de la patrouille des castors

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Bernard Germain

C’était prévisible et c’est ce qui s’est passé.

Entre juin 2022 et ce 30 juin 2024, le RN a multiplié par 3 son nombre de voix, passant de 4 millions de voix à plus de 12 millions. Peut-on montrer de manière plus claire l’exaspération des Français du fait de la politique de Macron qui est en train depuis 7 ans de consciencieusement détruire notre pays, soutenue par tous les bien pensants et même par une partie de la gauche ?

On remarquera que déjà 39 députés du RN sont réélus dès le 1er tour, comme Marine Le Pen, Julien Odoul, Sébastien Chenu,… etc. Ce qui montre sans équivoque leur enracinement local, et que leur élection n’a rien à voir avec un coup de colère des habitants de leurs circonscriptions. C’est un vrai vote d’adhésion.

Cela prouve aussi que les dénonciations et culpabilisations permanentes adressées aux électeurs du RN, ne fonctionnent plus. Une sorte de... mithridatisation.

Pour ceux qui l’aurait oublié cette expression vient du monde grec dans lequel le roi Mithridate (132 à - 63 avant JC) régnait sur un territoire constitué d’une partie de la Turquie actuelle. Ce roi, craignant d’être empoisonné, absorba chaque jour une très faible quantité de poison qu’il augmenta régulièrement afin d’habituer son corps à s’en préserver. Selon la légende, il serait parvenu ainsi à s’immuniser. Battu par Pompée, il aurait voulu se donner la mort en s’empoisonnant, mais ne put le faire car le poison n’eut pas d’effet sur lui. Il ne réussit à se donner la mort qu’en se faisant tuer par un mercenaire.

Comme le roi Mithridate hier, le peuple aujourd’hui semble immunisé contre le poison des dénonciations et accusations diverses venant du camp du bien.

En revanche, dans le camp d’en face chez les bien pensants, heureusement que le ridicule ne tue pas sinon ce serait une authentique hécatombe. Car la patrouille des castors a vraiment fait très fort.

Les scènes auxquelles nous assistons sont absolument surréalistes. Nous allons en voir quelques exemples, mais ils sont légions.

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Bilan de la Macronie : en marche vers un danger trop connu

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Bernard Plouvier

Il est évident que le bilan du séjour élyséen de notre Génial Grand Timonier ne peut qu’être provisoire. Constitutionnellement, notre moderne Attila conserve une capacité de nuisance, en dépit de ses déculottées électorales… à moins que par un beau geste – que l’on n’espère pas trop de Sa Suffisance –, il ne s’en aille comme le fit Charles de Gaulle en 1946 puis en 1969.

Même s’il nous réserve des surprises, il restera tristement célèbre pour deux évidences.

  • Non seulement, il n’a rien fait pour améliorer l’existant, mais encore il a aggravé les imperfections les plus criantes de notre République agonisante : Insécurité, Invasion d’éléments étrangers à notre continent et qui veulent changer notre organisation sociale et culturelle, Désertification industrielle – donc dépendance, singulièrement d’une Asie où, la richesse aidant, les potentats deviennent de plus en plus agressifs -, Effondrement de l’instruction publique et du système hospitalier, Chômage stable aux alentours de 6 millions de victimes, « pleines ou partielles ».
  • À quoi, notre Président-Dictateur-Général, par une touche très personnelle, vient ces deux dernières années d’ajouter un risque de guerre continentale. Même Chirac – certes coincé par ses compromissions antérieures avec Saddam Hussein – avait évité de nous emmener dans l’aventure d’une guerre avec les sunnites pour des armes de destruction massive que jamais nul ne trouva.

On ne sait trop combien de nos pièces d’artillerie, ni combien de milliers d’obus ont été expédiés en Ukraine pour un conflit bien moins clair dans ses motivations que ne le prétend la propagande estampillée OTAN. On ne sait même pas le nombre de « conseillers militaires » français qui y sont engagés, tant l’activité macronienne est de type Nacht und Nebel (une expression qui n’est pas « nazie », étant tirée des premier et quatrième épisodes de la Tétralogie de Richard Wagner).

On sait encore moins comment vont réagir les deux grands protagonistes : celui de Washington (soit l’entourage du sieur Biden, atteint de démence – on en a eu confirmation cette fin juin) et celui de Moscou. Vont-ils estimer que les terres entre Don et Dniepr, peuplées à l’Ouest d’Ukrainiens et à l’Est de Russes, peuvent être partagées selon le Droit des peuples ou, au contraire, vont-ils faire dégénérer un conflit d’intérêt purement régional en guerre continentale, voire en Armageddon nucléaire ?

À la limite, on s’en ficherait comme on est en droit de se désintéresser de la très longue guerre entre sionistes et antisionistes : ça se passe loin à l’Est, même si cet « Est », fort corrompu et fanatisé, emplit la planète de ses bruits de haine et de ses manifestations sanglantes de fureur idiote.

L’ennui est que notre Génial Timonier, incapable de régler quel que problème français que ce soit, est allé fourrer son nez dans une guerre qui ne nous concerne en aucun cas.

La bonne question à se poser est celle-ci : est-ce que notre Génial excité va ou non nous précipiter dans une guerre encore plus stupide que la Guerre pour Dantzig… dont on fêtera en septembre le 85e anniversaire ?  

12:53 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tragédie française

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Alexis Brezet, directeur de la rédaction du Figaro

Lorsque les historiens se pencheront sur la dissolution, ils n’auront qu’un mot : désastre ! On ne saurait l’imaginer plus complet. Emmanuel Macron avait tout, ou presque : l’Élysée, et trois ans devant lui ; une majorité, relative, certes, mais une majorité tout de même ; un parti en ordre de marche ; un socle électoral étroit, mais étonnamment solide ; une image personnelle écornée, mais une autorité indiscutable. Il perd tout, fors l’Élysée. Il voulait unir le bloc central, diviser la gauche, isoler le RN : tous ses calculs se sont révélés faux. Au fond, son pari était que les Français, d’une élection à l’autre, changeraient d’avis : non seulement ils persistent, mais le niveau élevé atteint par la gauche LFI vient, si besoin était, ajouter une touche très inquiétante au tableau.

Quel champ de ruines ! Le chef de l’État faisait profession de « barrer la route aux extrêmes » ; ils n’ont jamais été aussi hauts. Prise dans la tenaille de ce face-à-face mortifère, la France  perspective de l’aventure politique ou du blocage institutionnel : les deux facettes d’une crise de régime. Merci, Macron !

Ce désastre ne tombe pas du ciel. Dans le creuset d’une campagne trop brève pour que s’y décantent les passions, trois éléments portés à ébullition ont produit cet ahurissant résultat : l’insondable légèreté d’un homme qui, par dépit narcissique, a pris le risque de plonger son pays dans le chaos ; la logique folle d’une stratégie, celle de l’hypercentre, qui prétendait éradiquer la droite et la gauche, et qui y a trop bien réussi ; l’exaspération, surtout, de ce malaise démocratique qui depuis tant d’années se nourrit - immigration, insécurité, dette, déficits, crises des services publics, désindustrialisation... – de nos lâchetés et de nos abandons. C’est dans ce chaudron, désormais, que mijotent les tourments de notre crise nationale.

Face à ce désastre, le pire serait d’ajouter le déni au déni, de se réfugier dans la déploration, les excommunications, ces habituelles chansons de la bonne conscience drapée dans sa supériorité. C’est un point qu’on doit céder à Emmanuel Macron : il voulait donner la parole au peuple, le peuple a parlé - massivement : la participation n’a jamais été aussi forte. Il faudra l’entendre, dans toute sa brutalité. Après un scrutin européen escamoté au motif qu’il s’agissait d’un « vote défouloir », rien ne serait plus dangereux qu’une expression populaire législative moralement disqualifiée. Bien sûr, dans un scrutin à deux tours, la messe n’est jamais dite au soir du premier. Bien des choses peuvent encore advenir, et l’entre-deux-tours sera déterminant. Tout indique cependant que le cadre est fixé : la polarisation qui s’exprime à travers la multiplication vertigineuse des duels RN-LFI ou leur affrontement en triangulaire dessine à la hache un paysage politique radicalement nouveau. Il plonge les responsables publics, mais aussi les électeurs, dans les affres d’un dilemme politique et moral... Ce n’est pas un drame qui se joue – qui supposerait qu’un bien et un mal s’affrontent -, c’est, au sens propre, une tragédie, où le destin, qui vous somme de choisir, ne vous offre que des mauvaises solutions.

Les renvoyer dos à dos sera un refuge tentant pour les partis et les responsables politiques, désireux de se mettre en réserve en attendant un échec qu’ils estiment inévitable, sans pour autant faire injure à la liberté de vote, et de conscience, de leurs électeurs. Mais, au regard de la gravité des enjeux, les citoyens, sincèrement inquiets pour l’avenir du pays, se satisferont-ils - ici et maintenant - de cette habileté, dans laquelle il est difficile de ne pas voir une échappatoire ?

Entre Bardella et Mélenchon, qui, en conscience, voudra mettre un signe d’égalité ? Antisémitisme, islamo-gauchisme, haine de classe, hystérie fiscale... Placé, quoi qu’il en dise, sous la domination de LFI, le Nouveau Front populaire est, de fait, le vecteur d’une idéologie qui consommerait le déshonneur et la ruine du pays. Emmanuel Macron, que la gauche somme de consentir à cette abdication, ne devrait pas l’oublier. Notre chroniqueur Nicolas Baverez rappelait récemment cette phrase de Raymond Aron, grande figure du Figaro : «Le choix en politique n’est pas entre le bien et le mal, mais entre le préférable et le détestable. » Les temps troublés dans lesquels nous entrons s’annoncent éminemment aroniens.

Source : Le Figaro 1/07/2024

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Reconquête! appelle à voter pour les candidats de la Droite nationale au second tour

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dimanche, 30 juin 2024

Le Liban aspiré par le Hezbollah vers une guerre de plus en plus inévitable

Drapeau-Hezbollah.jpgSophie Akl-Chedid

Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, surfant sur la mollesse et la complaisance de la communauté internationale à son égard, la France en particulier, multiplie les attaques contre des cibles civiles et militaires du coté israélien de la frontière. L’escalade est là et les ruines qui s’accumulent au Liban Sud en témoignent, ainsi que le nombre croissant de responsables militaires de la milice chiite abattus dans des attaques ciblées d’une redoutable efficacité, ce qui met par ailleurs en évidence l’importante infiltration du Hezb par les renseignements israéliens. Tout indique que les antagonistes se préparent à passer à la vitesse supérieure en généralisant le conflit à l’ensemble du Liban, l’Etat-major israélien ayant déjà validé il y a quelques jours « des plans opérationnels pour une offensive au Liban ».

C’est dans ce contexte tendu que le secrétaire général du Hezbollah a ouvertement menacé Chypre, pays membre de l’Union Européenne, de représailles au cas où Nicosie déciderait « l’ouverture des aéroports et des bases chypriotes à l’ennemi israélien ». Côté libanais et face à ces menaces inédites formulées par une milice armée illégale sur un territoire supposé souverain à l’encontre d’un autre Etat souverain, le ministère des Affaires étrangères, qui mériterait amplement d’être rebaptisé ministère des affaires iraniennes et à qui sa pudeur interdit sans doute de citer le Hezbollah, s’est fendu d’un communiqué de quelques lignes soulignant que « les relations libano-chypriotes reposent sur une longue histoire de coopération diplomatique et que le dialogue bilatéral se poursuit au plus haut niveau pour discuter des questions d’intérêt commun ».

Alors que les rumeurs de guerre imminentes s’amplifient, certaines ambassades et missions diplomatiques comme le Koweït, le Canada et un certain nombre de pays européens recommandent à leurs ressortissants ou employés de quitter le Liban ou de s’abstenir de s’y rendre, tandis que d’autres envisagent des mesures d’évacuation en cas d’escalade du conflit.

Quant aux États-Unis, un rapport de CNN confirme que Washington est « pleinement déterminé à soutenir Israël si une guerre généralisée éclatait » et les américains auraient déjà donné l’ordre au porte avion Dwight Eisenhower de quitter la Mer Rouge pour venir en Méditerranée en appui de son allié israélien.

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Journal du chaos

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samedi, 29 juin 2024

Des Vaccins et des Fous : les conséquences délétères de la covidiomania

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Bernard Plouvier

Moins d’un lustre après la pleine période de covidio-folie, soit les années 2020-22, l’on constate une recrudescence de deux maladies, souvent bénignes, mais parfois très graves, qui avaient très fortement régressé, des années 1975 à nos jours : la coqueluche et la rougeole.

Lassés, voire furieux, de l’inefficacité réelle des vaccins anti-Covid 19 (et variantes) et de leurs effets secondaires – réels ou supposés, car le recul est trop faible pour en apprécier la réalité et la durabilité -, de très nombreux parents n’ont pas fait ou renouvelé les vaccins de leurs enfants concernant ces deux maladies… sans compter que les innombrables immigrés venus de pays exotiques en ont multiplié les cas inutilement et dangereusement importés. 

Certains vaccins sont à la fois très utiles et peu dangereux. Il serait dommage de s’en priver, par réaction exagérée au scandale des vaccins anti-Covid mis sur le marché dans la hâte, sans longue étude préalable, par refus, orchestré par les politiciens démagogues et les directeurs de grands laboratoires pharmaceutiques, de respecter le principe de précaution… singulièrement nécessaire quand on se propose d’injecter à un humain de l’ARN messager viral !

Renoncer à prévenir tétanos, diphtérie, poliomyélite, coqueluche, hépatite B, rougeole-rubéole-oreillons, méningococcie ou papillomavirus est très stupide : c’est annihiler les progrès du précédent siècle, où les politiciens n’osaient pas trop jouer à l’apprenti-sorcier en matière de médecine.

Il est nécessaire de réutiliser massivement le BCG qui, s’il ne protège de la tuberculose que chez environ 75% des vaccinés, en évite au moins les formes graves, tout en stimulant l’immunité cellulaire, ce qui est excellent en prévention de nombreuses maladies virales et, peut-être, dans la lutte anticancéreuse.

Il est stupide de ne pas reprendre la vaccination jennérienne qui immunise contre les diverses formes de variole, en respectant bien sûr ses contre-indications et en surveillant les vaccinés : c’est aussi un vaccin qui stimule de façon efficace l’immunité cellulaire.

Ce n’est pas parce que des politiciens affolés et totalement incompétents, entourés de conseillers soit apeurés soit inexperts, ont fait réellement n’importe quoi durant les tristes années perdues - 2020, 2021 et 2022 – qu’il faut abandonner les bonnes pratiques de l’époque d’avant la covidio-folie.

Enfin, si les cas de tuberculose et de maladies vénériennes prolifèrent de nouveau en Occident, c’est à l’évidence pour deux raisons :

1 - Les Occidentaux ont abandonné les habitudes de prophylaxie entrées dans les mœurs lors de l’irruption épidémique du SIDA dans les milieux sexuellement dépravés… qui sont devenus, en nos tristes jours, des vedettes médiatiques.

2 – Il n’existe aucun contrôle sanitaire aux frontières, alors que les immigrés exotiques - « réguliers » ou non, mais toujours illégaux puisqu’aucun peuple souverain n’a été consulté sur l’intérêt de leur accueil - amènent avec eux des maladies infectieuses ni dépistées ni traitées.  

La médecine est une science qui n’a pas à subir les conséquences de l’irrationnalité des opinions publiques et des tristes sires qu’elles élisent.    

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Élection présidentielle américaine 2024 : Donald Trump remporte le 1er débat face à un Joe Biden sénile

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Source Breizh info cliquez ici

Le premier débat entre Joe Biden et Donald Trump s’est déroulé dans la nuit de jeudi à vendredi dans les studios de CNN à Atlanta. Le président en exercice a paru en difficulté, ne parvenant pas à tirer profit de thématiques pourtant favorables, telles que l’avortement, en raison de réponses souvent floues et peu persuasives.

Donald Trump, fidèle à son style offensif, a multiplié les attaques face à un Joe Biden à la voix enrouée, hésitant et peinant à conclure ses phrases. Les deux prétendants à la présidence américaine ont offert un spectacle peu convaincant sur le plateau de CNN à Atlanta, en Géorgie. Ce débat inaugural, censé lancer la campagne, n’aura probablement pas apaisé les inquiétudes des démocrates, alors que Joe Biden accuse un retard dans les sondages face à son rival.

L’âge des candidats, l’une des principales préoccupations des électeurs, a été au centre des débats. Joe Biden, 81 ans, et Donald Trump, 78 ans, ont tous deux cherché à rassurer sur leur aptitude à gouverner malgré leur âge avancé. Si le républicain a fait preuve d’une certaine discipline, le démocrate a régulièrement trébuché dans ses propos, cherchant ses mots et semblant parfois perdu. Après une entrée marquée par une démarche raide, Joe Biden a pris la parole avec une voix cassée et a semblé manquer d’énergie. Son équipe de campagne a ensuite expliqué qu’il souffrait d’un rhume.

Tout au long de la soirée, Joe Biden a éprouvé des difficultés à faire passer ses messages, bégayant et s’égarant à plusieurs reprises. Dans un moment de confusion, il a même affirmé : “Nous avons enfin vaincu Medicare [programme d’assurance santé pour les seniors].” Même sur la question de l’avortement, considérée comme un point faible de Donald Trump, Joe Biden n’a pas réussi à prendre l’ascendant.

La performance décevante de Joe Biden a poussé la vice-présidente Kamala Harris à admettre sur CNN que le président a eu “un démarrage lent, mais a fini fort”. Plusieurs analystes de CNN ont même évoqué des inquiétudes au sein du Parti démocrate quant à la capacité de Joe Biden à mener la course à la Maison Blanche.

De son côté, Donald Trump a remis en cause les capacités intellectuelles de Joe Biden, déclarant : “Je ne sais même pas pourquoi nous débattons. Cet homme n’est pas capable de gouverner, je le sais, vous le savez.” Le candidat républicain a également mis l’accent sur la menace que représenteraient, selon lui, les immigrés clandestins pour la sécurité des États-Unis.

En matière de politique étrangère, Donald Trump a affirmé que la guerre en Ukraine n’aurait jamais eu lieu si les États-Unis avaient eu un “leader”. Il a également critiqué les milliards de dollars dépensés par les États-Unis pour soutenir l’Ukraine dans son conflit avec la Russie. Trump a aussi accusé son rival démocrate de se comporter “comme un Palestinien” dans le conflit israélo-palestinien.

Un second débat entre les deux candidats est prévu le 10 septembre.

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vendredi, 28 juin 2024

Guingamp (22) : agression contre les militants de Reconquête! et contre Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, venu les soutenir.

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Tout avait bien commencé...

Ce vendredi matin se déroulait à Guingamp, dans les Côtes d'Armor, le grand marché hebdomadaire. Danielle Le Men, candidate de Reconquête! dans la circonscription, et son suppléant Patrice Riou, avec une dizaine de militants, avaient organisé un tractage dans le cadre légal de la campagne électorale. Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, accompagné de quelques amis, est venu pour les soutenir. Rappelons que Danielle Le Men est l'une des initiatrices de la révolte contre le projet de grand remplacement qui menaçait, en 2022, Callac, ville voisine.

Au début, tout se déroulait dans une ambiance plutôt bon enfant, les militants de chaque parti présent gardant leurs distances avec les autres. Mais, tout à coup, un histrion antifa surgi d'on ne sait où, agressa notre directeur, lui arrachant ses tracts et les jetant haineusement par terre. Notre "courageux" gaillard, son méfait accompli, s'est enfui aussi vite qu'il était arrivé. Intervention de la Police municipale et tout aurait pu s'arrêter là.

Un quart d'heure plus tard, nouvelle agression contre les patriotes. Roland Hélie est à nouveau violemment pris à parti par un groupe de personnages, dont l'un visiblement sous une quelconque emprise, tenta de le pousser. L'inconscient ne savait pas qui il agressait et, surtout, il ne connaissait pas la capacité de réaction des camarades qui l'entouraient. Complètement ivre de haine, éructant des menaces insultantes, il finit par abandonner la partie après avoir blessé et jeté à terre l'un des nôtres. Très vite, de nombreux Guingampais présents, horrifiés par la violence de l'agression, se sont solidarisés avec les militants de Reconquête!.

Deux plaintes ont été aussitôt déposées par Roland Hélie et par le militant blessé à la gendarmerie de Guingamp. Affaire à suivre...

S N 

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...puis survinrent les agresseurs 

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qui jetèrent à terre un militant de Reconquête! avant de s'enfuir lamentablement.

21:16 Publié dans Législatives 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tribune libre : Notre candidature malgré tout

lemend - copie 2.jpgPatrice Riou

responsable Reconquête!

dans la 4e circonscription

des Côtes d'Armor

Sollicité et encadré par une patriote chevronnée, j'avais assisté en 2021 à la naissance de Reconquête! dans mon département, sous l'impulsion de gens très bien que j'estimais particulièrement. Adhérant totalement à la démarche d'Eric Zemmour et militant alors sur ma circonscription, j'avais participé de façon très active à la campagne pour l'élection présidentielle de 2022, puis aux élections législatives qui ont suivi en tant que suppléant de la candidate retenue (quatrième circonscription des Côtes d'Armor).

Le groupe local que nous formions avait continué la lutte ensuite, avec l'aide inestimable de Riposte Laïque notamment (mais aussi Breizh Info et de Synthèse nationale...), en s'opposant victorieusement, à Callac, au projet Horizon, soutenu par l'équipe municipale en place, d'implanter des dizaines de familles de migrants.

Parce que cela correspondait tout à fait à l'ambition de Reconquête! de stopper le flux migratoire qui menace d'extinction notre pays, notre civilisation, nous avions soutenu « l'Association des amis de Callac et des environs », ainsi que son inspiratrice et Présidente actuelle Danielle Le Men.

À ce jour, je suis très présent dans cette association, où, seul maintenant de Reconquête!, je contribue à bâtir la candidature de Danielle aux prochaines élections municipales, pour faire sens à notre action et lui donner une continuité.

Ainsi, quand à la suite des élections européennes, où nous nous sommes fortement mobilisés dans ma circonscription, la surprenante dissolution par Macron de l'Assemblée nationale nous a plongé soudainement dans une autre campagne, mon délégué départemental m'a demandé : « y-a-t-il un candidat possible sur ton secteur ? », il pensait naturellement à Danielle... et à moi comme suppléant pour l'épauler cliquez ici. Parce que Callac est un symbole dans toute la France et doit le rester.

Ceci dit, moins Danielle que moi d'ailleurs car elle n'est pas encartée (mais reste fidèle par reconnaissance à Reconquête!), nous avions aussi à nous déterminer par rapport à un autre événement, à savoir la scission entre Marion Maréchal et Eric Zemmour qui était survenue entre-temps comme un tremblement de terre et qui me posait évidemment un dilemme.

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20:53 Publié dans Législatives 2024, Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un jour, il faudra qu’ils payent pour tout cela !

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Bernard Germain

Némésis… vous connaissez ?

Dans la mythologie grecque c’était la déesse de la vengeance et de la justice divine, la personnification grecque du châtiment.

Aujourd’hui, c’est une association féministe composée de jeunes femmes fort courageuses qui défendent la cause des femmes, sans limiter leurs actions à ce qui est acceptable pour les bien pensants et la gauche.

Cela veut dire que contrairement à tant de mouvements féministes, si des membres de la diversité sont responsables d’agressions contre des femmes, Némésis les dénonce impitoyablement et sans état d’âme contrairement à toutes les « féministes » style Caroline de Haas qui font silence dans ce cas. Caroline de Haas... vous savez celle qui disait à ceux qui s’étonnaient de son silence suite à tous les viols commis par des migrants à Cologne (2015-2016) «  Allez déverser votre merde raciste ailleurs ». C’est elle aussi qui déclara à propos des agressions sexuelles commises par des migrants dans le XVIII° arrondissement à Paris, « il n’y a qu’à élargir les trottoirs ». Et la quasi totalité des mouvements féministes sont à cette image en matière de « violences faites aux femmes ». Leurs indignations sont à géométrie variable. Si l’auteur est un migrant membre de la diversité, c’est raciste de le dénoncer et il convient de taire ce que leurs victimes ont subi. Par contre si c’est un blanc, là c’est l’hystérie et une nouvelle preuve qu’il faut détruire cette société patriarcale, ce qui provoque un déchaînement délirant de ces mouvements et de leurs adhérentes.

Alice Cordier qui a 26 ans, est la fondatrice (en 2019) et la directrice du collectif Némésis. Elle est présentée dans la quasi totalité des médias bien pensants comme une militante « d’extrême droite ».

Raphaël Arnault, le chef des antifas de Lyon (Jeune Garde) grand ami de Mélenchon et candidat du Nouveau Front Populaire à Avignon sous l’étiquette LFI, a prévenu Alice Cordier : « Si elle vient à Lyon, ce sera une balle dans la tête ». La gauche aussi déteste Alice Cordier et les militantes de Némésis.

Ainsi, à peu près à chacune de leurs actions, elles subissent des insultes et presque à chaque fois des coups donnés généreusement par de courageux hommes qui leur tombent dessus en prenant soin d’être masqués pour ne pas être reconnus.

La seule fois où Némésis n’a pas subi de violence, c’était en novembre 2022, lors d’une manifestation du groupe féministe « NousToutes ». Et pourquoi furent-elles acceptées ce jour là ?

Parce que les militantes Némésis étaient présentes dans le cadre d’une opération « troll ». Elles étaient voilées comme de bonnes musulmanes et portaient des pancartes indiquant : « Ma burqua, mon choix », « Féministe ET islamiste », « Que la race blanche s’éteigne »,… etc.

Tout s’était très bien passé. Personne n’était venu les inquiéter pour ces pancartes pourtant inacceptables.

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18:26 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le grand bazar hexagonal

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La tribune flibustière de Georges Feltin-Tracol

La déflagration des législatives anticipées décidées au soir du 9 juin recompose un paysage politique hexagonal désormais électrisé. Se confirme aussi l’existence de trois ensembles électoraux antagonistes aux contours mouvants et inégaux.

La « coalition nationale » aimantée par le Rassemblement national (RN) accélère la décomposition des Républicains (LR), ce centre-droit progressiste chiraco-sarkozyste. LR sont depuis longtemps divisés en écuries présidentielles rivales : Nous France de Xavier Bertrand, le président du conseil régional des Hauts-de-France, Nouvelle Énergie du maire de Cannes, David Lisnard, Soyons libres ! de Valérie Pécresse, la présidente du conseil régional d’Île-de-France ou Du  courage ! du député du Lot Aurélien Pradié. L’alliance conclue entre Éric Ciotti, toujours président LR, et le RN a provoqué la colère de ces personnalités ainsi que celle de Gérard Larcher, le président du Sénat, de Laurent Wauquiez, le président du conseil régional Auvergne – Rhône-Alpes, et de Bruno Retailleau, le président du groupe des sénateurs LR. Tous ces critiques adoptent un comportement suicidaire digne de la secte de l’Ordre du Temple solaire.

Ils se pensent toujours en quatrième force à la fois opposée au RN, à la gauche et au macronisme. En réalité, dans des départements (Hauts-de-Seine, Yvelines, etc.), se nouent entre les caciques LR ou centristes et les cadres de la Macronie des accords électoraux favorables tantôt aux uns, tantôt aux autres. Marqués par un anti-lepénisme primaire et obsessionnel, les dirigeants LR anti-Ciotti s’illusionnent sur leur audience véritable. Certes, ils gardent une emprise notable sur les collectivités territoriales, mais ils n’intègrent pas que les élections européennes sont le troisième gadin consécutif après 2017 et 2022 sur quatre élections nationales.

Les temps changent. Le RN a acquis un poids électoral indéniable. En dépit de sa ligne sociale-populiste « ni gauche, ni droite », il bouleverse les équilibres politiques et entreprend la satellisation des « droites » conservatrice et identitaire. Il y aurait eu « union des droites » si ces forces s’équivalaient à peu près aux élections. Or, entre les 31,37 % de Jordan Bardella aux européennes, les 7,25 % du LR François-Xavier Bellamy et les 5,47 % de Marion Maréchal, le RN transforme son nouveau partenaire LR en aile gauche du marinisme, et Reconquête !, en aile droite, sans oublier la frange souverainiste.

La période repoussoir est finie. Dans cette coalition nationale se présente dans la 2e circonscription du Territoire de Belfort l’ancien chroniqueur de CNews et ex-chevènementiste Guillaume Bigot. Sociétaire de l’émission « Bistrot Libertés » aux premiers temps de TVLibertés alors qu’il suivait des cours de droit à l’université, Pierre Gentillet, l’avocat qui défend Academia Christiana, est candidat dans la 3e circonscription du Cher. Rédacteur trentenaire à Éléments, auteur de quelques essais et invité régulier à Radio Méridien Zéro, Rodolphe Cart est candidat suppléant dans la 2e circonscription de Paris.

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Dans le camp d’en face, c’est… panique totale à bord !

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Bernard Germain 

À trois jours du premier tour des législatives, les déclarations fusent dans tous les sens. Et certaines valent vraiment leur pesant de cacahuètes.

Par exemple celle de François Hollande, le revenant, qui pense sans doute que les Français ont oublié l’œuvre qu’il a réalisée à l’Élysée, en commençant par déclarer « mon ennemi c’est la finance » pour en réalité mener une politique totalement inverse et finir son parcours en étant tellement détesté qu’il n’a même pas pu se représenter pour un second mandat.

Qu’importe, ce monsieur, qui visiblement rêve éveillé, se croit autorisé à se poser en alternative à l’encombrant Mélenchon pour le poste de Premier ministre. À mon avis, l’affaire risque de ne pas être simple pour Hollande.

Il ne faut pas oublier que Mélenchon voue à François Hollande une haine qui ne s’éteindra jamais, depuis que Hollande avait fait une promesse à Mélenchon au congrès du PS à Brest en 1997 et qu’il n’a pas tenue. La promesse était que le courant de Mélenchon devait avoir 15 % des suffrages lors du vote au poste de Premier secrétaire du PS. Mais il n’a eu que 10,21 %. On notera à cette occasion que les résultats sont convenus d’avance entre les courants, donc avant le vote, chez les socialistes. Belle confirmation d’un attachement sans faille à la démocratie chez ces grands donneurs de leçons démocratiques.

Donc Hollande prétend que le reste de la gauche (PS, Verts, PCF) va pouvoir se passer de Mélenchon et l’écarter si au sortir des élections le Nouveau Front Populaire avait la majorité absolue.

Hollande ayant bien sûr en tête qu’un homme de son calibre serait tout désigné pour occuper le fameux poste de Premier ministre. Mais Hollande prend ses désirs pour des réalités.

Avec la NUPES, devenue Nouveau Front Populaire, celui qui a le fouet, c’est Mélenchon. Et ce sont les autres (PCF, PS et verts) qui courent et filent doux.

Qu’Hollande le veuille ou pas, si la LFI tourne le pouce vers le bas, c’est la fin pour eux. En effet, tous les résultats électoraux récents le démontrent si chaque parti de gauche va seul aux élections, ils n’ont aucune chance, sauf LFI d’avoir des élus.

C’est d’ailleurs pourquoi, alors que ces partis détestent cordialement LFI, et qu’ils se jettent à la figure des noms d’oiseaux, dès le lundi 11 juin au soir, en moins d’une heure de « négociations » ils ont trouvé un accord et créé le Nouveau Front Populaire. Même avec Glucksmann qui pourtant avait essuyé de nombreuses réflexions antisémites venant de LFI et même une quasi agression physique à Saint-Étienne le 1er mai. Il était présenté comme une nouvelle voie possible sans LFI du fait de son résultat à l’élection européenne (13,80%). Pour finir, il a sagement rejoint le troupeau et accepté d’être conduit par le berger LFI.

Mais Hollande semble indiquer que ces gens pourraient à l’avenir s’unir sans LFI pour les prochaines élections. Effectivement c’est une possibilité mais je n’y crois pas un instant. Parce que faire cela serait prendre un aller simple sans retour possible. Et si un parti s’amusait à faire cela, s’il se loupe, ce serait la fin pour lui. Or, les chefs de ces partis de gauche autres que LFI ont largement montré ces derniers temps qu’ils n’ont aucun courage politique, aucune conviction et que seule compte leur gamelle. Donc ils se sentent bien plus à l’abri dans le Nouveau Front Populaire qu’en se lançant dans une aventure qui serait très probablement sans lendemain. 

Au plan des arguments pour détourner les Français d’un vote RN, c’est un festival de déclarations plus stupides les unes que les autres. On pourrait en noircir des pages.

Mais il y en a une qui m’amuse beaucoup. Elle concerne la « préférence nationale » qui serait une mesure « fasciste », parce que discriminatoire et surtout parce qu’elle a été vantée et réclamée par Jean-Marie Le Pen, le grand Satan.

Les gens de gauche sont, du moins tant d’entre eux, connus pour leur ignorance absolument sidérante. Avec cet argument de la « préférence nationale » ils en font une nouvelle démonstration. En effet, la gauche fut pour la préférence nationale depuis sa création et pendant des dizaines d’années. Il n’est qu’à reprendre les publications des syndicats et des partis de gauche pour constater qu’ils étaient contre l’immigration qui « volait le travail des Français ». Le dernier qui a défendu ces positions fut Georges Marchais durant la campagne présidentielle de 1980–1981 au cours de laquelle il demanda « l’arrêt immédiat de toute immigration légale et illégale » notamment parce que lorsqu’il y a du chômage qui frappe les travailleurs Français, il est inacceptable d’aller chercher des travailleurs à l’étranger. Travailleurs immigrés qui de plus acceptent des salaires inférieurs à ceux des Français ce qui tire tous les salaires vers le bas.

Ceux à gauche qui ont quelques connaissances reconnaîtront sans doute ces faits, mais rétorqueront peut-être que tout cela c’est le passé et qu’aujourd’hui c’est « fasciste » de souhaiter cela.

Ah oui… vraiment ?

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jeudi, 27 juin 2024

Parution du livre sur Les Brigandes différée de quelques jours

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Vous êtes très nombreux à nous avoir commandé le livre de Thierry DeCruzy Les Brigandes phénomène musical de la dissidence cliquez ici. Sa parution était programmée pour la mi-juin. Mais la dissolution de l'Assemblée et les élections anticipées imprévues compliquent la tâche de notre imprimeur, surtout lorsque le papier vient à manquer. Voilà pourquoi l'édition de ce livre a été différée de quelques jours.

Soyez rassurés, vous n'allez pas tarder à le recevoir. Nous vous remercions pour votre compréhension et pour votre patience.

Synthèse éditions

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Tribune libre : Bernard Germain a raison, il faut dimanche 30 juin, voter en masse pour le Rassemblement des droites 

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Michel Festivi 

Sans polémiquer aucunement bien au contraire, je considère tout comme Bernard Germain cliquez ici, que dimanche 30 juin, dès le premier tour, il faut absolument voter en masse pour le Rassemblement des droites, soit pour le RN et ceux de Reconquête et des LR avec Éric Ciotti, qui le soutiennent, et ce nonobstant tous les élans de sympathie que l’on peut avoir pour Reconquête et ses électeurs.

Pourquoi ? Premièrement car les dangers sont immenses voire mortels pour la France. Ce ne sont plus des élections européennes, il en va de la survie du pays. Il faut écarter résolument ce ramassis antisémite, islamogauchiste, wokiste, fiscaliste et pro-immigrationniste que représente ce « Nouveau Front populaire », qui va des socialistes qui sont allés à la soupe, en passant par les communistes, les ultragauchistes de LFI et du NPA, avec même des fichés S et des racialistes. Ce bloc doit subir une défaite magistrale, et pour ce faire, il plus que capital que le bloc opposé soit très largement en tête dimanche, dès le premier tour. La macronie doit également par ce vote mordre sévèrement la poussière, ainsi que ce qui reste des LR, les Larcher, Retailleau, Pécresse et autres Bertrand, qui depuis 40 ans ont trahi sans vergogne leur électorat, ils doivent disparaître politiquement dans l’intérêt de la France et d’une vraie droite de conviction.

Deuxièmement, en politique électorale, ce qui compte c’est le nombre que l’on le déplore ou pas, c’est ainsi. Tout le reste n’a strictement aucune importance. C’est pourquoi, quand on est plutôt de droite, ne pas voter, voter blanc ou nul, c’est criminel, c’est donner deux voix à son pire ennemi. Une voix pour ne s’être pas exprimé pour son camp, et une autre voix car à gauche, ça vote et en masse et sans état d’âme. Donc dimanche, même si on n’est pas toujours d’accord sur tout loin s’en faut, et en politique c’est impossible, il faut voter et dès le premier tour pour le Rassemblement des droites.

Troisièmement, les candidats Reconquête, ne feront au mieux qu’un voire deux pour cent des voix, c’est-à-dire rien. J’espère que tous leurs électeurs se reporteront massivement au deuxième tour sur le candidat du Rassemblement des droites. Mais, en politique électorale, ce qui importe c’est le vote des indécis, des tièdes, des mous, qui n’ont pas d’idées préconçues, mais qui ne sont pas des idéologues de gauche. Ces derniers se reporteront en masse, au second tour, sur le Parti arrivé largement en tête, pour qu’il ait une majorité absolue, c’est une leçon de l’histoire politique électorale de la France de ces dernières décennies. Pour cela, il est donc très important qu’au premier tour, le Rassemblement des droites dispose d’une avance considérable qui le légitime définitivement. C’est de la psychologie politique évidente. Quand on hésite, on vote pour celui qui apparaît être le vainqueur, on l’a vu en 1978, en 1981 et à bien d’autres occasions. 

Enfin, parce que pour que la France s’en sorte, il faut une majorité absolue au Parlement. Or si par malheur « le Nouveau Front populaire » obtenait une majorité relative ou pire absolue, le chaos fiscal, social, économique, immigrationniste, s’installerait partout. En cas de majorité relative, le « Nouveau Front populaire » trouverait des alliés pour gouverner, on l’a vu avec les traitrises de François Hollande, Raphaël Glucksmann, Carole Delga etc. Le pire de tous c’est Raphaël Glucksmann qui a trahi son électorat des européennes, lui qui disait pis que prendre de LFI.  En se reniant, -alors que son père, André, avait dénoncé en son temps, en 1975, dans la cuisinière et le mangeur d’homme, le communisme stalinien à la mode Mélenchon ou Fabien Roussel-, il s’est déconsidéré à jamais.

Jérôme Jaffré, ancien président de la Sofres, directeur du Cecop et chercheur associé au Cevipof, qui ne passe pas pour un droitier conséquent, mais qui connaît très bien la vie politique et électorale française, vient d’écrire dans le Figaro ce 25 juin, « Le RN a des chances réelles d’obtenir une majorité absolue », cela passe incontestablement par un vote massif pour lui dès le premier tour. Ainsi nous ferons taire les DSK et les Anne Sinclair, traitres à leur communauté, qui ont appelé à préférer le « Nouveau Front populaire » comme Dominique de Villepin, et donc à soutenir le Hamas et tous les terroristes islamistes. La joie de voir les figures décomposées de la caste politico-médiatico-artistico- sportive dimanche soir doit nous inspirer. Ne vous laissez par faire !

11:09 Publié dans Législatives 2024, Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Eric Zemmour présente le programme de Reconquête sur RYL

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Du 8 au 14 juillet : camp annuel de Jeune Nation

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Renseignements au : 07 81 72 58 81

Inscription obligatoire sur : Camp Jeune Nation 2024

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mercredi, 26 juin 2024

Vendredi 5 juillet : soirée Livr'arbitres à Paris consacrée à Raymond Abellio

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DSK, UNE EMINENCE GRISE QUI EN PINCE POUR LES ROUGES !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Dominique Strauss-Kahn, cette « grande conscience de gauche », y est allé de son  petit « crachat » » : lors d’un second tour, en cas de face à face  LFi/RN, notre sémillant ancien directeur du Fmi  irait voter pour le néo Front populaire, sans hésitation. Au lieu de rester discret après ses nombreux exploits « d’athlète du sexe », ce grand bourgeois de gauche, comme il se doit, la ramène, sans aucune honte, sur le front politique. La honte, pourtant, il en a éclaboussé indirectement  sa communauté, par ses frasques new-yorkaises qui sont dans toutes les mémoires, ainsi que ses « galipettes » à Lille…

Ainsi lui, DSK pour les intimes, réhabilité après ses incartades, continue sa cavalcade mondialiste, et dispense ses conseils avisés ou non - sorte de « Père Joseph » de la finance internationale -, notamment auprès de gouvernements étrangers, comme celui de la Serbie par exemple,  ou de potentats africains, tel le président Faure Gnassinbé  Eyadema junior, du Togo. Et combien d’autres, moins connus.

Décidément, la politique semble rendre insubmersible ceux qui en ont tâté. La preuve par François Hollande qui, lui aussi, toute honte bue mais pour d’autres griefs, veut  relancer sa carrière. Se verrait-il vizir auprès du grand vizir, après que celui-ci l’ai traitreusement doublé ?

On vit, décidément, une époque é-pa-tan-te !

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La dernière abjection darmanesque : la dissolution du GUD

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En prononçant la dissolution du GUD (Groupe union & défense), le syndicat des étudiants nationalistes né en 1968, le gouvernement de paranos névrosés en fin de parcours qui dirige encore la France, sans doute pour bien peu de temps, se livre à un ultime et mesquin règlement de compte.

Le GUD fut à l'origine d'Ordre nouveau à la fin des années 1960 ; Ordre nouveau, au début des années 1970, fut à l'origine du Front national ; le Front national, en 2017, est devenu le Rassemblement national et, dans quelques jours, il est possible que le RN accède au pouvoir... C'en était trop pour la clique gouvernementale en débâcle. Il leur restait une dernière balle, ils l'ont tirée ce matin en dissolvant le GUD. C'est petit... mais ces gens sont minuscules.

Le GUD, dans sa tumultueuse et héroïque histoire, s'est retrouvé à maintes reprises face à l'adversité violente. Qu'il s'agisse des bandes armées gauchistes, des milices sionistes des années 1980 ou de l'appareil répressif des différents pouvoirs qui se sont succédés. Il s'en est toujours sorti. Ce n'est donc pas les rodomontades darmanesques, qui vont l'éliminer. 

Ce qui est le plus révoltant dans cette affaire, c'est que, il y a quelques jours, un homme politique de droite (par charité, nous vous laisserons deviner de qui il s'agit), s'est cru autorisé, lui aussi, alors que personne ne lui en demandait autant, de réclamer la dissolution du GUD à qui il doit tant - mais cela, il ne le sait probablement pas. Cependant, nous ne lui en tiendrons pas trop rigueur... Disons que nous mettrons cette intervention sur le compte de l'inexpérience pardonnable... 

Suite au prochain épisode...

Roland Hélie

directeur de Synthèse nationale

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Basique…

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Jarente de Senac 

A quelques jours du premier tour, les programmes des uns et des autres, la plupart des Français s’en foutent. Demander au Pékin moyen ce qu’il pense des dispositions – démagogiques – du PS, de Renaissance ou du RN, il serait bien en peine de vous répondre. Car la question n’est pas là. Les économistes s’affolent et De Gaulle répondait qu’il avait un ministre pour ça ! En réalité, en économie comme ailleurs, c’est toujours la volonté politique qui prime. Or, depuis des décennies, c’est bien la volonté politique qui nous a fait défaut. Aveuglement d’une classe politique qui a toujours refusé d’écouter le peuple. Et dans ce mot peuple, il n’y a pas d’un côté la ville, de l’autre les campagnes… il y a la France et les Français, des paysans qu’on maltraite, des ouvriers qu’on sous-paie, des classes moyennes qu’on pressure et une immigration qui pompe une bonne partie des forces vives de cette nation. La conscience des Français que nos gouvernants d’hier et d’aujourd’hui ont renvoyé aux calendes grecques la réforme de l’école, la justice, la police, la santé, les transports, on comprend mieux pourquoi ils donnent leur préférence au Rassemblement national. Fera-t-il mieux s’il arrive au pouvoir. Nul ne le sait. Mais une chose est sûre, un grand ménage s’annonce. Et si la rue doit parler, ce ne sera pas celle de Méchancon, Faure, Wauquiez, j’en passe et des meilleurs… Le problème majeur : il n’y a personne !

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Guerre civile : ERIC ZEMMOUR RÉPOND À MACRON

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Tribune libre : Je ne partage pas l’analyse de mon ami Pierre Cassen

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Bernard Germain

Dans l’article « Non, Marion, voter Reconquête au 1er tour ne menace pas la victoire du RN au 2e tour », Pierre nous explique, pour le dire en peu de mots, qu’il faut voter Reconquête au 1er tour des élections ce 30 juin car cela n’enlèvera rien au RN. Je ne partage pas cet avis pour de nombreuses raisons.

Je me dois de commencer par dire une chose qui me paraît essentielle : Eric Zemmour a l’inestimable avantage d’avoir, par son entrée en politique, obligé tous et chacun à se positionner sur des sujets que tant de gens voulaient éviter ou enterrer. Je parle principalement de l’immigration et de ses conséquences.

C’est grâce à son action politique courageuse, que la réalité de la submersion migratoire a été reconnue et que tous les complices de cette entreprise pour détruire la France ont été identifiés et dénoncés.

C’est grâce à son action politique courageuse, qu’il paye notamment par une présence presque ininterrompue devant les tribunaux, que le lien a été reconnu entre immigration et délinquance.

C’est aussi grâce à son action politique courageuse, que toutes les agressions contre les Français ont été reconnues alors qu’elles étaient soigneusement cachées.

C’est aussi grâce à son action politique courageuse, que beaucoup de gens ont compris le danger que représente l’islam en sa qualité d’orthopraxie qui menace notre culture, notre identité et notre civilisation, car comme le disait en 1990 à Villepinte la droite (quand elle était la droite) « l’islam est incompatible avec la république ». Et à l’époque toute la droite, oui toute la droite, avait ce point de vue.

Tous ces éléments et tant d’autres ont fait naître un immense espoir et fait converger un nombre considérable de Français vers Reconquête pour atteindre des objectifs que peu de parti peuvent se vanter d’avoir réalisés. Ainsi en est-il du rassemblement du Trocadéro qui fut un magnifique rassemblement et un extraordinaire pourvoyeur d’enthousiasme et d’énergie militante. 

Malheureusement, Eric Zemmour semble ne pas comprendre qu’en politique c’est une terrible erreur de critiquer voire d’insulter les autres publiquement. Surtout quand on prétend vouloir faire l’unité avec eux.

Ainsi, lorsqu’il déclare que Marine a été en dessous de tout lors de son débat de l’entre deux tour en 2017, peut-il attendre de Marine en retour autre chose que de la rancœur ? Toute vérité n’étant pas bonne à dire...

Tout comme lorsqu’il dit « pour la 7° fois, le nom de Le Pen est associé à la défaite » ou encore « Marine aime les chats, moi c’est les livres ».

Autant de déclarations aux conséquences ravageuses. Et comme l’intéressée est connue pour être rancunière, cela travaille à l’évidence contre la possibilité de pouvoir réaliser l’objectif principal : l’union des droites.

Il est normal d’afficher des divergences, sinon on serait tous dans le même parti, mais les critiques doivent avoir certaines limites et l’une d’elles est de ne pas volontairement blesser publiquement les individus. Sinon il faut s’attendre un jour ou l’autre à ce qu’on vous rende la monnaie de votre pièce. 

Eric Zemmour aura en très peu de temps construit un parti avec de nombreux militants, obtenu un score de 7,5 % à la présidentielle en moins d’un an d’existence -ce qui est absolument exceptionnel- et obtenu 2 ans plus tard 5 députés européens avec sa liste conduite par Marion qui a dépassé les 5 % (5,3%). Ce qui est également remarquable.

Par contre il s’est isolé politiquement, notamment vis à vis du RN, à cause de ses déclarations à l’emporte pièce vis à vis de Marine.

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09:14 Publié dans Bernard Germain, Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 25 juin 2024

Tribune libre : Non, Marion, voter Reconquête au 1er tour ne menace pas la victoire du RN au 2e tour

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Pierre Cassen Riposte laïque cliquez ici

J’ai de nombreuses conversations avec des électeurs de Reconquête, parfois des militants de ce parti, qui me disent leurs doutes, voire trop souvent leur choix, dans les 330 circonscriptions où il y a un candidat Reconquête et un candidat RN, de voter utile pour le RN même s’ils préfèrent Reconquête.

Marion Maréchal, dont je continue à penser qu’elle a fait une excellente campagne, tout en déplorant une scission hélas guère surprenante – ce que j’explique dans cette vidéo – affirme souvent, pour justifier ses choix, que les candidatures Reconquête seront des messages de division qui seront nuisibles au camp patriote, voire qu’ils risquent de faire perdre l’alliance RN-LR.

Je tiens d’abord à préciser qu’il ne faut pas inverser les rôles. La principale responsable de cette division s’appelle Marine Le Pen, c’est elle qui n’a qu’un seul objectif, depuis 2021 : éradiquer Reconquête par tous les moyens, pour conserver le monopole de la représentation du camp patriote.

Cela dit, je pense que lors des élections européennes, la stratégie de Marion qui consistait, tout en affirmant sa différence avec le Rassemblement national, à ménager l’avenir sans en faire de trop dans les critiques était plus pertinente que la virulence des attaques contre le RN d’Éric Zemmour et de Sarah Knafo. J’ajoute que j’ai trouvé Marion exceptionnelle dans les débats avec ses opposants ou dans ses entretiens avec les journalistes, et j’ai été impressionné par les progrès qu’elle a réalisés.

Je prends acte de la scission et suis convaincu que Marion Maréchal va créer son parti ou son mouvement, et qu’elle sera, tout en restant fidèle à ses idées, une partenaire privilégiée pour le RN. Je ne la considère pas pour autant comme une traîtresse à la France. Je regrette la dureté de certains mots employés, mais dans les scissions, en général, on ne s’envoie pas que des fleurs, surtout quand on s’est beaucoup aimé et qu’on se sépare…

Je continue de penser, moi qui avais rejoint Reconquête par fidélité aux idées d’Éric Zemmour, et pour la personne qu’il incarne, que la France a besoin de ce parti et qu’en cas de victoire du RN – que je souhaite malgré toutes les réserves et les méfiances que m’inspire ce parti – il est encore plus nécessaire que ce R! ait les moyens de fonctionner comme un aiguillon du camp patriote, en espérant qu’un jour les Français lui donnent davantage de place.

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21:06 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |