dimanche, 26 janvier 2025
SORTIE FIN FÉVRIER DU CAHIER D'HISTOIRE DU NATIONALISME CONSACRÉ À JEAN-MARIE LE PEN
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Europe-Etats-Unis : le malaise ?
Depuis qu’il a quitté les bancs de l’Assemblée nationale, Pierre Lellouche n’a pas pris sa retraite et continue ses activités éditoriales, notamment à Valeurs actuelles. Spécialiste de géopolitique, c’est un pragmatique peu dominé par l’idéologie ambiante. Ses analyses sont souvent pertinentes. Excellent connaisseur des Etats-Unis, défenseur d’une Europe qu’il aimerait indépendante, il livre ici, pour Le Journal du dimanche, ses réflexions sur l’arrivée de Donald Trump à la présidence et ses conséquences non seulement pour l’Europe mais pour le monde. Et de prévoir quelques bouleversements géopolitiques.
Source Le JDD. Lire la suite ICI
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samedi, 25 janvier 2025
Le grand retour du Journal du Chaos
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vendredi, 24 janvier 2025
Les Démocrates américains ont souvent trahi leur pays : un livre passionnant et nécessaire : « Plaidoyer pour Joseph McCarthy » de Paul-Louis Beaujour
Michel Festivi
La dernière élection du Républicain Donald Trump, et ses premières décisions anti-immigration, anti-trans et anti-état profond, nous ravissent, nous nationaux français, mais ne doivent pas faire oublier, que souvent, les Présidents Démocrates américains, les élus Démocrates, ont soutenu et défendu ceux-là même qui voulaient abattre le monde libre, ceux-là même qui luttaient contre les communistes et les idéologies perverties et mortifères. De nos jours, les Démocrates sont et ont été les propagandistes du wokisme et de toutes les dérives totalitaires, nous en subissons en Europe les conséquences et singulièrement en France.
C’est Barak Obama qui avait fait disparaître Cuba de la liste des états terroristes, c’est de nouveau Joe Biden qui a agi de la même façon, quelques jours avant son départ du Bureau ovale. Trump vient de rayer d’un trait de plume cette décision scandaleuse. C’est sous la présidence de Carter, que les islamistes chiites avaient prospéré et les mollahs iraniens avaient humilié comme jamais les États-Unis, avant que Reagan ne redresse la barre. C’est aussi sous Joe Biden, que l’armée américaine a lâché piteusement l’Afghanistan, laissant les talibans maîtres du pays, avec à la clef, des milliers d’armements délaissés sur place par les américains. A contrario, c’est Ronald Reagan qui avait armé les milices anti-communistes, notamment au Nicaragua, et aussi lorsqu’il qu’il avait libéré l’ile de la Grenade, au début de son premier mandat grâce à une intervention rapide et efficace. Sa guerre des Etoiles a fini par pulvériser l’Empire du mal, l’Empire soviétique.
C’est pourquoi, le dernier livre de Paul-Louis Beaujour, Plaidoyer pour Joseph McCarthy, avec une préface d’Alain Sanders, qui vient d’être publié par les éditions Déterna, est particulièrement le bienvenu en ce momentum de la grandeur américaine retrouvée. Auteur de plusieurs biographies, Paul-Louis Beaujour, avec brio et documentations de première importance, nous retrace la vie de celui « qui fut l’homme le plus détesté de l’Amérique », pour avoir combattu l’idéologie et l’espionnage communiste qui se répandaient aux États-Unis comme une trainée de poudre, dans toutes les strates de la société.
Cinquième enfant d’une fratrie de sept, dans une famille modeste d’origine irlandaise, fermière dans le Wisconsin, McCarthy, qui toute sa vie sera considéré comme un « plouc », par l’intelligentsia de Washington, est l’archétype du self- made man américain. Il commence à travailler dès l’âge de 14 ans, multiplie les petits boulots, puis, tout en œuvrant durement, passe l’équivalent du baccalauréat, effectue ses études universitaires dont du droit, et devient avocat en 1935, à 27 ans. En 1939, il réussit, après une vigoureuse campagne électorale, à se faire élire Juge, il a à peine plus de 30 ans. En 1942, alors qu’il n’y était nullement contraint de par son âge et sa fonction, il s’engage dans le corps des Marines et ira se battre dans le Pacifique contre les Japonais. Après un premier échec en 1944, il est élu Sénateur du Wisconsin en 1946, il sera brillamment réélu en 1952.
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Telle Notre-Dame de Paris, LA FRANCE RENAÎTRA !
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Notre livraison du mois de septembre titrait « 7 ans de macronie : La France éclatée ». Nous étions alors quelques mois après la débâcle du pouvoir, aux européennes puis aux législatives anticipées (et improvisées). Le psychodrame autour de la formation du futur nouveau gouvernement atteignait son paroxysme. Une question agitait le landerneau politico-médiatique : quelle figure providentielle, capable de séduire ce qui restait de la "macronie" et de calmer les ardeurs des oppositions, le Mandrake élyséen allait-il sortir de son chapeau ? Les supputations, les manœuvres allaient bon train… Depuis, en fait d’éclatement, la France se révèle plutôt atomisée. Elle est de nouveau ingouvernable. Le régime des partis fait son grand retour. La IVe République se rappelle à notre souvenir…
Installé en septembre, le gouvernement Barnier n’a tenu qu’un peu plus de deux mois. La motion de censure du NFP, votée par les députés marinistes et ciottistes, a eu raison de lui. Au moment où j’écris cet édito, il n’est plus que le gouvernement démissionnaire. Il gère les affaires courantes en attendant la nomination des nouveaux Premier ministre et ministres. Nous voici revenus à la case départ et aux interrogations de cet été. Une seule chose est sûre : l’heureux élu ne sera pas issu de la droite nationale et identitaire ! Selon toute vraisemblance, un centriste progressiste européiste succédera à un progressiste européiste centriste…
La France est devenue une puissance secondaire. À force de brader son indépendance, de déléguer sa souveraineté, d’"eurobétifier", elle se retrouve sous le joug des instances de l’UE et l’épée de Damoclès des agences de notation anglo-saxonnes. Le vrai pouvoir n’est plus à Paris mais à Bruxelles, Pékin, Washington, Davos... Ursula Von der Leyen se fiche éperdument des rodomontades d’Emmanuel Macron lorsqu’elle sacrifie l’agriculture française sur l’autel du Mercosur. Aux yeux des technocrates européens, les paysans hexagonaux pèsent moins que l’industrie allemande et que les intérêts (mieux défendus que les nôtres) d’un certain nombre de nos "partenaires"… Pour la Commission, libre-échangisme et globalisation restent à l’ordre du jour…
Le discours aux forts accents patriotiques (une fois n’est pas coutume) lu par Jupiter lors de la cérémonie de réouverture de Notre-Dame, devant un parterre de chefs d’État, de têtes couronnées et de politicards has been ne saurait donc suffire. Les paroles ont leur importance mais seules la détermination et l’action sont décisives.
Comment en est-on arrivé là ?
La succession aux affaires, ces 50 dernières années, de dirigeants dénués de conscience véritablement nationale (et d’arrière-pensées) a conduit notre pays là où il en est. Refusant de voir ce qu’ils voyaient, pratiquant volontiers la politique du chien crevé au fil de l’eau (illustré à merveille par leur aveuglement volontaire et leur laisser-faire en matière d’immigration), ils ont tous, de Giscard à Macron, une part de responsabilité dans la chute du pays. Tous, plus ou moins, ont eu les yeux de Chimène pour l’Europe supranationale, accompagné l’américanisation, l’anglicisation, pris leurs distances avec notre passé, notre identité religieuse, culturelle, ou capitulé devant les oukases des minorités… Tous, plus ou moins, se sont laissé enfermer dans le funeste isolement de leur tour d’ivoire parisienne, instaurant du même coup une distance et une incompréhension délétères entre eux et le pays réel. Certes, dans le même temps, des hommes et des mouvements n’ont cessé de mettre en garde. Mais hélas, ils n’ont pas été écoutés suffisamment.
Pourtant, le déclin n’est pas une fatalité.
À maintes reprises, durant sa longue et tumultueuse histoire, la France s’est trouvée au bord du gouffre. À chaque fois, elle s’est relevée. Un jour viendra où la grande majorité de notre peuple finira par ouvrir les yeux. Il y a un demi-siècle, la droite nationale était totalement marginalisée. Dans ce numéro, je reviens sur la création du Parti des forces nouvelles, en novembre 1974. Nationaux et nationalistes, quels que soient leur mouvement, étaient alors loin de penser qu’un jour leur famille d’idées serait en position d’accéder au pouvoir. Cela ne les a pas empêchés de continuer le combat avec détermination, voire enthousiasme, sous des formes différentes, mais avec le même objectif, défendre la France. La fidélité en politique, ce n’est pas de faire toujours la même chose mais de faire des choses qui vont toujours dans le même sens.
Il y a un cinq ans, la cathédrale de Paris a failli disparaître, victime d’un incendie (à la cause officiellement inconnue) et de l’imagination délirante de quelques "modernistes" forcenés. Grâce à Dieu, la raison a fini par l’emporter. Les projets plus ou moins farfelus ont été écartés. La volonté politique, la levée des obstacles administratifs, une maîtrise d’œuvre efficace, le savoir-faire des échafaudeurs et des artisans d’art ont fini par triompher. La conjugaison de leurs efforts a permis à la nef blessée de renaître de ses cendres et de ses gravats, nous donnant à la voir, aujourd’hui, comme on ne l’a pas vue sans doute depuis fort longtemps. Ce monument emblématique de notre histoire a retrouvé sa majesté et sa splendeur. Il est ressuscité. Or ce qui s’est passé pour Notre-Dame peut très bien se passer, demain, pour notre patrie. C’est au moment où l’on croit tout perdu que surgit l’inattendu. Écartons le doute, le pessimisme, l’autoflagellation, la désespérance car, telle la cathédrale, la France renaîtra, par la volonté, le travail, les efforts de la plupart de ses enfants, pour peu qu’on sache impulser le mouvement et leur indiquer un cap !
Le 12 décembre 2024
Éditorial du n°68 de la revue Synthèse nationale
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Le nouveau numéro (n°102) de Terre & Peuple est sorti
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C Q F D :
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Manigances post-démocratiques aux USA
La tribune flibustière de Georges Feltin-Tracol
La momie de la Maison Blanche, Joe Biden, a prononcé dans la soirée du 15 janvier 2025 son ultime allocution télévisée. Au cours de cette intervention pathétique, il a dénoncé l’avènement d’une oligarchie. Il visait les soutiens de Donald Trump originaires de la Silicon Valley, en particulier Elon Musk et Peter Thiel.
En bon pantin de l’État profond yankee, Biden pratique l’inversion accusatoire. Son parti est depuis des décennies la marionnette de l’hyper-classe cosmopolite qui met en coupe réglée les États industriels de la planète. Son attaque insidieuse signale que la ploutocratie mondialiste à la tête de l’Occident global commence à s’inquiéter pour son avenir.
Le samedi 18 janvier, des anti-Trump manifestaient dans diverses villes contre l’investiture du 47e président des États-Unis. On lisait sur leurs banderoles : « Nous sommes le peuple ». Quelle prétention ! Ces manifestants ont perdu dans les urnes avec un écart de deux millions et demi de voix et ils persistent à croire qu’un nouveau Duce s’apprête à bâillonner la statue de la Liberté. Cette expression politique représente un autre symptôme de la post-démocratie dans l’Occident terminal.
En effet, la fin de l’année 2024 a connu de graves événements guère commentés par les officines médiatiques de grand chemin. Le 6 décembre, la Cour constitutionnelle roumaine fomentait un coup d’État en invalidant le premier tour de l’élection présidentielle deux jours avant le second tour et en annulant l’ensemble du scrutin. Tous nommés en alternance par les deux formations naguère hégémoniques du paysage politique roumain, les sociaux-démocrates et les nationaux-libéraux, les membres de cette instance justifient leur décision inouïe par la publication de rapports issus des services de renseignement de Bucarest, documents déclassifiés et autorisés par le président de la République, Klaus Iohannis alias la madone des aéroports internationaux.
Tout au long de ses deux mandats consécutifs de cinq ans, Iohannis a parcouru tous les continents aux frais des contribuables roumains. Populaire en 2014, il aurait dû quitter ses fonctions sous une impopularité record. Il renomme à la charge de premier ministre le social-démocrate Marcel Ciolacu pourtant arrivé troisième à la présidentielle avortée. Le succès inattendu d’une personnalité trouble, Calin Georgescu, ancien haut-fonctionnaire à l’ONU (22,94 %), s’accompagne, le 1er décembre suivant, d’une forte poussée nationale-populiste aux élections législatives (31,88 % pour l’AUR – Alliance pour l’union des Roumains -, SOS Roumanie et le Parti de la Jeunesse). Marcel Ciolacu dirige maintenant une coalition gouvernementale pro-européenne et pro-atlantiste avec les sociaux-démocrates, les nationaux-libéraux et les représentants de la minorité hongroise.
Le 12 janvier dernier, des milliers de personnes ont manifesté à Bucarest contre l’interruption du processus électoral présidentiel, la formation d’un gouvernement de vaincus et le maintien en place d’un chef de l’État illégitime. Il faut craindre que ces gigantesques démonstrations de force ne servent à rien. Il devient même plausible que Calin Georgescu ne puisse pas poser sa candidature pour les 4 et 18 mai prochains. Les autorités l’accusent de s’être servi des réseaux sociaux financés par la Russie. Or les dernières enquêtes démontrent au contraire l’intervention massive et discrète des nationaux-libéraux sur Internet dans les derniers jours de la campagne afin de contrecarrer le candidat national-conservateur George Simion. Mais Georgescu ne s’est-il pas inspiré de la campagne victorieuse de Barack Obama en 2008 ?
Depuis la pseudo-révolution de Noël 1989 marquée par la première grande opération de désinformation sur les charniers de Timisoara, la structure politique roumaine procède d’un puissant État profond. D’abord d’émanation gorbatchévienne, il s’est vite tourné vers l’atlantisme, l’occidentalisme et le financiarisme. Aujourd’hui encore, bien des politiciens roumains sont des pions de l’Occident globalitaire.
L’annulation de l’élection présidentielle roumaine indispose le premier ministre slovaque Robert Fico. Il n’oublie pas les réactions faibles et timorées des soi-disant démocraties de l’Ouest quand un illuminé, poète raté, lui tira dessus, le 15 mai 2024 à Handlova. Par chance, Robert Fico échappa à la mort malgré de graves blessures. Cet attentat concluait des semaines de campagne de presse violente orchestrée par des journaux, des radios et des télévisions inféodés au parti de la guerre contre la Russie. Bien sûr, si le déplorable Keir Starmer, premier ministre britannique de son état, avait reçu le moindre postillon de la part d’un fan d’Elon Musk, ce dernier aurait subi une tempête d’accusations maximales !
Les manigances post-démocratiques frappent un autre État européen au cœur du Caucase : la Géorgie. On assiste aux législatives du 26 octobre 2024 au triomphe du parti gouvernemental, Le Rêve géorgien fondé par le milliardaire Bidzina Ivanichvili (53,93 %). L’opposition pro-OTAN n’accepte pas sa défaite cuisante. Elle accuse la majorité de manipulations électorales, de corruption des électeurs et de trucages dans les urnes. Elle organise une révolution de couleur. Trump et Le Rêve géorgien gagnent les élections en 2016 et en 2024 grâce aux tricheries nombreuses et à l’ingérence numérique de Moscou selon cette opposition. En revanche, Joe Biden en 2020 et même Emmanuel Macron en 2017 accèdent à la présidence par le choix éclairé des électeurs hors de toute fraude ou de tout coup fourré médiatico-judiciaire. L’Occident global donne l’impression d’être très mauvais perdant. Du côté pile d’une pièce de monnaie, il gagne et, du côté face, son adversaire perd !
Dès le soir de l’élection parlementaire, des opposants protestaient à Tbilissi avec l’appui remarquée de la présidente de la République en fin de mandat, l’ancienne diplomate française Salomé Zourabichvili. Les psychiatres locaux devraient ausculter ces Géorgiens qui brandissent le drapeau de l’Union dite européenne. Il est rare d’observer des personnes prêtes à rejoindre un bagne à ciel ouvert et une prospérité économique illusoire qui masque l’endettement, la spéculation et le wokisme. Certes, la constitution géorgienne mentionne une obligation à moyen terme d’adhésion à l’OTAN et à l’UE. Mais le premier ministre géorgien ré-investi, Irakli Kobakhidze, ne goûte guère les mises en garde péremptoires et les sanctions économiques de la mafia de Bruxelles, d’où la suspension des négociations d’adhésion avec l’UE.
Le 14 décembre, le Parlement géorgien a élu un nouveau chef d’État, le premier au suffrage universel indirect, suite à une révision constitutionnelle adoptée en 2017. Le collège électoral compte 150 députés et 150 élus délégués des conseils municipaux et régionaux. Le nouveau président, Mikheïl Kavelachvili, est un ancien footballeur professionnel, d’abord passé au Rêve géorgien avant de fonder le mouvement Le Pouvoir au peuple. Cette élection a suscité un déluge de commentaires désagréables, expression d’un indéniable mépris de classe. Les manifestants conspuent Mikheïl Kavelachvili qui, faute de diplôme universitaire et incapable de parler l’anglais, n’aurait pas le niveau pour assumer sa charge. C’est du racisme de classe. Paris les encourage et oublie qu’en 1998, lors de la victoire douteuse des Français à la Coupe du monde de football, des milliers d’imbéciles beuglaient sur les Champs=Élysées « Zidane président ! »…
Salomé Zourabichvili prétend toujours être la seule présidente légitime. Elle a néanmoins eu la bienséance de libérer le palais présidentiel avant l’arrivée de son successeur, connu pour son franc-parler. Soutenue par le complexe occidental euratlantique, l’opposition aurait aimé renverser le gouvernement en place. Fort heureusement, la Géorgie possède d’excellents kinés de rue, de brillants ostéopathes casqués et d’exceptionnels masseurs en plein air. Sous le label générique de forces de police, ces spécialistes des chocs musculaires et osseux ont su avec dextérité, sang-froid et professionnalisme favoriser la circulation sanguine, l’assouplissement des articulations et la résistance du corps et du crâne de leurs compatriotes hypnotisés par l’eurofolie collective.
Tout en s’occupant des affaires intérieures roumaines et géorgiennes, le marécage politico-médiatique occidental s’indigne des supposées ingérences d’Elon Musk au Royaume Uni et en Allemagne. L’hypocrisie est totale. Les dernières semaines indiquent donc un moment où l’élection reste le prétexte futile pour travestir et détourner les justes aspirations populaires de changement radical. Jusqu’à quand cette mascarade institutionnelle va-t-elle durer ? Soeur
Salutations flibustières !
« Vigie d’un monde en ébullition », n°140, mise en ligne le 21 janvier 2025 sur Radio Méridien Zéro.
01:48 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jean-Yves Le Gallou publie la liste des décrets signés par Trump : que du bonheur... pour les Américains
Cette liste est une quintuple transgression : remise en cause des délires sociétaux de la gauche, suppression de crédits aux ONG militantes, indifférence aux oukases politiquement et écologiquement correctes, mise en œuvre immédiate des promesses électorales, utilisation de la diabolisation comme tremplin du changement.
Rien à dire, si le reste du mandat de Donald Trump est du même acabit que ces premières heures d’exercice du pouvoir, cela promet de secouer outre-Atlantique !
Polémia
Abrogation de 78 décrets de l’administration Biden : Annulation de mesures concernant la baisse du prix de certains médicaments, les programmes de lutte contre les discriminations et les sanctions contre certains colons en Cisjordanie.
Déclaration d’une urgence nationale à la frontière mexicaine : Autorisation du déploiement de troupes américaines pour renforcer la sécurité frontalière.
Retrait des États-Unis de l’Accord de Paris sur le climat : Marque une rupture avec les engagements environnementaux internationaux.
Retrait des États-Unis de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) : Coup d’arrêt à la collaboration avec l’OMS.
Grâce présidentielle pour plus de 1 500 personnes impliquées dans l’émeute du 6 janvier 2021 : Pardons accordés aux partisans impliqués dans l’assaut du Capitole.
Suspension du télétravail pour les employés fédéraux : Encouragement au retour au travail en présentiel.
Déclaration d’une urgence énergétique nationale : Augmentation de la production de pétrole et de gaz, retrait des subventions aux véhicules électriques et abandon de l’Accord de Paris.
Reconnaissance officielle de deux genres biologiques : Limitation des politiques de diversité et inclusion, reconnaissance uniquement des genres masculin et féminin.
Désignation des cartels de la drogue comme organisations terroristes : Renforcement des mesures contre les cartels et sanctions accrues.
Prolongation du délai pour TikTok : Suspension temporaire de l’interdiction de TikTok, accordant 75 jours supplémentaires pour se conformer aux réglementations américaines.
Fin des programmes de diversité, équité et inclusion dans les agences gouvernementales : Suppression des initiatives visant à promouvoir la diversité au sein des institutions fédérales.
Création du Service des Revenus Extérieurs : Établissement d’une nouvelle agence chargée de la perception des tarifs et droits de douane.
Renommage du Golfe du Mexique en Golfe d’Amérique : Changement symbolique de nom pour affirmer la souveraineté américaine.
Rétablissement du nom de Mont McKinley pour le Denali : Retour à l’appellation traditionnelle de la montagne en Alaska.
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Eric Zemmour invité de Pascal Praud jeudi soir sur C News
Le trumpisme est la volonté des peuples occidentaux de défendre leur identité et leur souhait d’utiliser le progrès technique pour faire avancer et grandir notre civilisation.
En 2020, la classe politique américaine disait : le Trumpisme, oui, mais sans Trump. Ils pensaient qu’il avait les bonnes idées, mais la mauvaise incarnation. On connaît la suite de l’histoire !
J’ai été très frappé par les images de l’inauguration de Notre-Dame, par les regards énamourés envers Trump et Musk. J’en ai tiré une conclusion : ce n’est pas la respectabilité et la dédiabolisation qui créent la victoire, mais la victoire qui crée la respectabilité.
Eric Zemmour
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Vendredi 7 février, au Mans : conférence de Christian Bouchet
01:05 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 23 janvier 2025
Côtes d'Armor (22) : sympathique réunion du Cercle Trégor et Goëlo mardi soir en présence d'Alban d'Arguin sur l'escroquerie écologiste actuelle...
Roland Hélie, Alban d'Arguin et Bernard Germain
Synthèse nationale
Mardi soir, 21 janvier, en Trégor (22), Alban d'Arguin, auteur de Éoliennes, un scandale d'État (Synthèse éditions cliquez ici) et de Réchauffement climatique, enquête sur une manipulation mondiale (Pardès éditions) était invité à une conférence organisée par le Cercle Trégor et Goëlo cliquez là.
Le 21 janvier, ne l'oublions pas, c'est le triste anniversaire de l'assassinat de Louis XVI. La conférence débuta donc par la lecture du magnifique testament laissé par celui-ci. Le Cercle Trégor et Goëlo étant aussi fort attristé par la disparition récente de Jean-Marie Le Pen, il fut lu son Appel de Mont Saint-Michel datant de 1987 et toujours d'actualité.
Après ces évocations, Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale, présenta la conférence au cours de laquelle, Bernard Germain, président du Cercle et auteur, en 2022 d'un livre consacré à la méthanisation cliquez là, et Alban d'Arguin purent expliquer au public venu nombreux l'escroquerie anti-nationale que représentent les écologistes actuels sur l'échiquier politique français. Il fut évidemment rappelé que l'écologie était, à l'origine, une valeur "de droite" et que, aujourd'hui, elle est totalement dévoyée par l'extrême gauche wokiste. S'en suivit un débat fort enrichissant.
Pour conclure la soirée dans une ambiance conviviale, tous se délectèrent autour de la traditionnelle Galette des Rois qui, qu'on le veuille ou non, fait encore partie de nos traditions identitaires.
Nous publierons prochainement des résumés des interventions et une nouvelle conférence du Cercle Trégor et Goëlo aura lieu en mars prochain...
13:58 Publié dans Combat anti-éoliennes | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ce jeudi soir, 20 h, Eric Zemmour sur C News
11:22 Publié dans Sur les ondes libres, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 22 janvier 2025
Francis Bergeron présente son roman "Le hussard remonte le temps" sur TV Libertés.
Un jour froid de novembre, Julien Ardant a délaissé un instant ses grands papiers et ses manuscrits précieux pour lire quelques pages de "A l’épreuve du temps" de Jacques Benoist-Méchin. Une visiteuse interrompt cette lecture pour lui exposer une affaire pressante. Installée au château berrichon de "La Petite Roche", son association, le Super Catholique, subit les mauvais agissements du chatelain voisin qui n’est autre que le président de l’Assemblée nationale, le docteur Beauchêne. Un ennemi plutôt coriace qui va obliger Ardant à endosser de nouveau les habits du Hussard, flanqué de ses acolytes habituels, le Lansquenet et sa sœur Alice. Une enquête qui va aussi le ramener dans le Berry de son enfance, et ranimer le fantôme de Sophie, son épouse assassinée le 14 novembre 2015 par des terroristes islamistes.
Ancien directeur du quotidien Présent, Francis Bergeron présente son premier roman policier "Le hussard remonte le temps".
Pour le commander, cliquez ici
20:26 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Où est notre Trump ?
Thomas Joly
Président du Parti de la France
Aux États-Unis, ils ont Donald Trump. Un chef qui a compris que la politique, c’est d’abord une question de volonté et de puissance. Trump est en train de secouer l’Amérique (et même le monde entier), il a réveillé les oubliés, les humbles, ceux qu’on appelle là-bas la « Rust Belt ». Il a dit non à la fatalité du déclin, non à la soumission aux modes du temps. Il a osé parler de frontières, d’immigration, de grandeur nationale, là où nos dirigeants balbutient des slogans creux et démissionnaires.
Et nous Français ? Nous avons des gestionnaires sans âme. Des comptables de l’effondrement, obsédés par leur image, prisonniers des logiques mondialistes, incapables de défendre ce qui fait la France. Ils détruisent notre Nation à coups de lois technocratiques et d’idées abstraites. Pendant que l’Amérique érige des murs, nous abattons les nôtres. Pendant que Trump défend son peuple, nos dirigeants encouragent la submersion migratoire, ce grand remplacement qu’ils feignent de ne pas voir.
Trump, avec ses outrances et ses provocations, m’inspire 100 fois plus de respect que nos gouvernants. Lui a compris que le rôle d’un chef d’État est de protéger son peuple, de le rassembler autour d’une fierté retrouvée. Ici, nous n’avons que des capitulards, des apprentis bureaucrates qui nous condamnent à disparaître dans un grand soupir résigné. Où est le Trump français ? Nous n’avons que des ombres.
16:25 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ploërmel (56), dimanche 9 février : banquet breton du Parti de la France
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Montpellier (34), mardi 11 février : projection du film "Silenced"
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mardi, 21 janvier 2025
La France s'enfonce, la classe politique regarde et bavasse...
Synthèse nationale
Au moment où Donald Trump vient d'entrer en fonction (avec la ferme intention de relancer vigoureusement l'économie américaine) et où la Banque de France vient de publier les (très mauvais) derniers chiffres concernant les défaillances d'entreprises (1), le visionnage de la dernière vidéo de l'économiste Marc Touati apparaît quasiment d'utilité publique, tant la gravité de notre situation appelle une prise de conscience urgente et une réaction nationale en conséquence...
Pour voir la vidéo, cliquez ici.
Le château brûle mais tout va très bien, Madame la marquise...
1. 65 764 défaillances d'entreprises, soit près de 11% de plus que pour la période 2010/2019 (mais une augmentation de 57% pour les transports et l'entreposage, de 47% pour les activités financières et l'assurance, de 34% pour l'information et la communication ou encore de 29% pour les activités immobilières....
18:29 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche dernier, à Paris : Philippe de Villiers à la Marche pour la Vie
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Sarah Knafo à Washington...
16:28 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
21 janvier 1793 : assassinat de Louis XVI
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lundi, 20 janvier 2025
Sortie prochaine d'un nouveau Cahier d'Histoire du nationalisme (le n°29) consacré à Jean-Marie Le Pen
Mardi 7 janvier 2025, décédait celui qui aura de fait le plus marqué, bien au-delà de l’histoire de la droite nationale, l’histoire de la vie politique française au cours de ces 70 dernières années, Jean-Marie Le Pen.
Réalisé à l’initiative d’Aristide Leucate, essayiste et chroniqueur réputé dans les milieux nationalistes, ce Cahier d’Histoire du nationalisme, le 29e, sortira début février 2025, quelques semaines après la disparition de celui que ses partisans appelaient, avec admiration et affection, en référence à sa qualité de Breton sans doute, « le menhir ».
Ce Cahier, essentiellement composé de témoignages de ceux qui l’ont suivi dans sa grande aventure salvatrice pour la France, raconte les différentes étapes de l’engagement de Le Pen. Il est aussi destiné à rappeler, ou à dévoiler, les aspects méconnus de cet homme de conviction et d’action qu’était Jean-Marie Le Pen.
Il s’agit, en plus, de réparer les injustices et les calomnies dont il a été, toute sa vie durant et au-delà de sa disparition, la victime.
Vous pouvez le commander dès maintenant.
CHN 29, 250 pages, 24,00 € (+6,00 € de port),
Sortie : 15 février 2025
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Le combat essentiel de la jeune Mila, une égérie française, pour les libertés françaises.
Michel Festivi
En Janvier 2020, Mila, alors âgée de 16 ans, qui comme beaucoup de jeunes discutent sur les réseaux sociaux, -elle disposait alors d’un compte sur un site qui totalisait plus de 9000 abonnés-, repousse vertement les avances graveleuses d’un musulman. Les propos tenus sur Mila étaient d’autant plus inadmissibles, que cette dernière n’avait jamais caché son homosexualité, ce qui est son droit le plus strict.
Le quidam musulman, ne fait pas mystère des fondements de sa religion et profère à son encontre de multiples injures homophobes et misogynes, se doublant d’appels au viol, à la violence, se référent en permanence au dieu de l’islam. Mila qui est tout sauf une poule mouillée, et qui n’a pas froid aux yeux, contre- attaque avec force, critiquant l’islam en des termes équivalents aux insultes et menaces qu’elle avait reçues. Les vidéos deviennent alors virales et l’affaire prend une ampleur nationale. Les politiques s’en mêlent, et les questions d’islamophobie, du droit au blasphème et de la liberté d’expression sont au cœur de cet évènement. Les Ségolène Royale, les Nicole Belloubet tiennent des propos infâmes sur Mila, justifiant les attaques qu’elle subit. L’une des réponses de Mila clairement anti-islam indique et je cite textuellement « Le Coran il n’y a que de la haine là-dedans, l’islam c’est de la merde...j’ai dit ce que j’en pensais, vous n’allez pas me le faire regretter », outre des propos encore plus scabreux. Cf l’article de Valentine Arama « L’affaire Mila : retour sur dix jours de polémiques, le point.fr 20 janvier 2020
Mila va recevoir plus de 50 000 appels au meurtre, des sortes de fatwas, l’obligeant à être déscolarisée, puis à obtenir une protection policière. Elle va maintenir à plusieurs reprises qu’elle s’est contentée de critiquer, voire dénigrer une religion, sans jamais ni insulter, ni menacer quiconque. De multiples condamnations judiciaires vont ensuite survenir, dans les mois et les années qui viennent, contre différents insulteurs. Les intimidations vont néanmoins perdurer. Les émissions de télévisions diffusent ses propos, la polémique s’enflamme encore plus. L’éducation nationale démissionne lâchement, totalement, de ses responsabilités, comme on pouvait s’en douter.
Un point capital doit être souligné, suite à une plainte contre Mila, pour appel à la haine, le Procureur de la république, le 30 janvier 2020, classe cette plainte sans suite, car énonce-t-il : « Mila a démontré que les propos diffusés, quelle que soit leur tonalité outrageante, avaient pour seul objet d’exprimer une opinion personnelle à l’égard d’une religion, sans volonté d’exhorter à la haine ou à la violence contre des individus à raison de leur origine ou de leur appartenance à cette communauté de croyance. » Autrement dit, on a le droit, en France, de critiquer même très sévèrement une religion, sans encourir les foudres de la loi, s’il n’y a pas d’appel à la haine ou à la violence, contre des personnes qui pratiqueraient cette religion. C’est particulièrement important à souligner. Je pense notamment à ce professeur qui avait affiché des sourates haineuses du coran et qui a été durement sanctionné en première instance. Espérons qu’en appel, les juges en reviennent au droit et à la liberté d’expression.
Mila, vient d’être interrogée par Le Figaro, le 17 janvier dernier, 5 ans après le début de cette affaire. Après avoir résumé ce qui a été sa vie, menaces, protection policière, déscolarisation, lâcheté des médias et des politiques, sauf de courageuses exceptions, harcèlement au travail, elle fait montre d’un courage et d’une volonté en tout point remarquable. Elle pratique la musculation, pour devenir coach sportif, elle suit des cours de sport de combat, elle sort désormais sans protection policière. Mais elle est contrainte d’éviter certains quartiers, certaines zones de non droit.
Elle blâme le silence coupable des soi-disant associations féministes, reconnaissant que les soutiens lui viennent plutôt de la droite. La loi dite « Schiappa » sur l’introduction dans le code pénal du délit de « harcèlement groupé », a permis certaines condamnations judiciaires, mais elle explique que les personnes non médiatisées contrairement à elle, qui subissent les mêmes dangers, sont loin de recevoir une réponse judiciaire appropriée et rapide. Elle est furieuse, et à juste titre, contre l’institution scolaire « qui a perdu la bataille face à l’obscurantisme islamiste qui s’est introduit depuis bien longtemps dans nos institutions. »
Judicieusement, elle pointe le fait que pour lutter contre l’islamisme, pour qu’il recule, il faut imposer notre culture, notre mode de vie, et ne pas avoir honte « d’être un petit blanc français ». Elle refuse de s’encarter dans un parti politique, même si elle estime retrouver certaines valeurs dans les discours de Reconquête, et elle apprécie Sarah Knafo. Elle clame à l’égard des jeunes, qu’il faut qu’ils la soutiennent et assument leurs idées, « la droite est majoritaire en France, comme les dernières élections législatives nous l’ont rappelé. »
Elle entend combattre ceux qui prônent la haine et la violence comme les députés LFI, les délinquants sous OQTF, qu’ils défendent, ainsi que les militants trans activistes qui menacent et ostracisent ceux qui ne pensent pas comme eux. Elle exhorte le peuple à ne pas rester statique « J’invite à choisir la vie et le combat, sans en avoir honte ». Ce qui l’inquiète aussi, ce sont des jeunes de plus en plus amorphes « biberonnés aux influenceurs et dépourvus de libre arbitre ou de sens critique ». Au contraire, elle est admirative « de ces jeunes qui ont le courage d’affirmer leurs idées et de muscler leur rhétorique face aux arguments, souvent bien vides, de l’extrême gauche, lesquels se résument à des accusations de racisme ou de fascisme. Tant mieux s’ils répliquent ».
Bien sûr, le journal Le Monde y voit « une égérie de l’extrême droite » (18 Janvier 2025), c’est bon signe, être attaqué par Le Monde est un gage de sérieux, et que l’on touche juste, là ou cela fait mal. Ce journal devenu le relais des thèses de LFI et des totalitaristes palestiniens, n’hésite pas d’ailleurs à reproduire les termes mêmes des paroles prononcées par Mila, le 18 janvier 2020, contre l’islam « je déteste la religion...le coran il n’y a que de la haine là-dedans, c’est de la merde....Votre religion, c’est de la merde. Votre Dieu, je lui mets un doigt dans le trou du cul », Le Monde l’ayant écrit, on peut donc en faire état, sans encourir les foudres de la loi, Le Figaro avait rapporté aussi les mêmes termes.
Comme l’invoque aussi Valeurs Actuelles, le 17 janvier 2025, Mila a écrit une chanson « Une ode à la France », contre les violences de l’extrême gauche, contre les députés LFI, les délinquants sous OQTF, contre les militants trans-activistes « ce sont eux que je considère comme des envahisseurs, qu’ils soient Français ou pas ».
Comme en miroir aux propos roboratifs de Mila, un Tribunal iranien vient de condamner à mort, un rappeur iranien de 37 ans pour « Blasphème, pour injure au Prophète ». Cet homme qui s’était refugié en Turquie en 2018, avait été remis à l’Iran, la Turquie ayant suivi un ordre du Tribunal des Mollahs de Téhéran, cela ne nous étonnera pas. Pourtant, Amir Tatalou, c’est son nom, avait été un temps, un soutien du régime. En tout cas, des jeunes comme Mila, il en faudrait des centaines, des milliers, en France et en Europe.
17:22 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : mardi 21 janvier 2025, en Trégor (22), une conférence d'Alban d'Arguin, auteur de "Eoliennes, un scandale d'Etat"
Le livre "Eolienne, un scandale d'Etat" cliquez ici
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Paris, vendredi 24 janvier : soirée Livr'arbitres
08:34 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 19 janvier 2025
Bruno Gollnisch évoque Jean-Marie Le Pen sur Boulevard Voltaire
13:46 Publié dans Jean-Marie Le Pen | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Après l'hommage à Jean-Marie Le Pen, une pensée pour Jean-Pierre Stirbois
Synthèse nationale
Vendredi 17 janvier, au lendemain de l'hommage à Jean-Marie Le Pen, Massimo Magliaro, ancien responsable national du Mouvement social italien et membre de la direction de la Fondation Giorgio Almirante, venu spécialement de Rome pour la circonstance, et Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, se sont rendus au cimetière de Montparnasse pour se recueillir devant la tombe de Jean-Pierre Stirbois, secrétaire général du Front national, décédé en novembre 1988. Chacun se souvient du rôle primordial joué par Jean-Pierre, au début des années 1980, dans la percée historique du FN et de Jean-Marie Le Pen.
Après cet acte symbolique, ils ont été reçus au Foyer breton Kervreizh, situé à proximité du cimetière, par notre ami Yann Ber Tillenon, son président.
Massimo Magliaro est l'auteur du Cahier d'histoire du nationalisme n°11 consacré au MSI cliquez ici
00:30 Publié dans Jean-Marie Le Pen, La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 18 janvier 2025
Espagne : le combat pour la vérité historique, le dernier livre de Miguel Platón
Michel Festivi
Les lecteurs qui me font l’honneur de lire mes articles, savent combien je suis attaché au combat des idées, notamment dans le cadre de la défense de la vérité historique, contre les pièges totalitaires des mémoires falsifiées, venant essentiellement des gauches. Dans le dernier ouvrage de l’universitaire argentin Marcelo Gullo, contre la légende noire espagnole et l’hégémonie anglo-saxonne (Ceux qui devraient demander pardon, Editions l’Artilleur, 2024), il se trouve une définition parfaite de cette dichotomie essentielle entre l’histoire et la mémoire : « la mémoire en effet, se moque éperdument de la vérité historique et fait de l’histoire une espèce de tribunal du passé, en fonction des idéaux que l’on souhaité défendre... et auprès duquel on cite les hommes ou les nations, afin qu’ils rendent compte de leurs actions, certains se voyant décerner une récompense, tandis que d’autres sont condamnés ». C’est le totalitarisme intellectuel, si bien dénoncé par Jean Sévillia.
Et bien, le dernier livre de l’historien et homme de médias espagnol, Miguel Platón, - La répression dans l’Espagne de Franco 1939-1975, De la propagande mémorielle à la réalité historique (Editions l’Artilleur 2024) -, s’inscrit totalement dans le combat contre les falsifications historiques. Depuis la fin du Franquisme (1975), et même bien avant, les chiffres les plus farfelus et les plus invraisemblables circulaient sur le nombre de personnes exécutées, dans le cadre des jugements après les exactions de la guerre civile espagnole (1936-1939). Chiffres bien sûr, diffusés par les médias de gauches, dont l’inévitable El Pais.
Certains historiens peu scrupuleux et surtout très idéologisés, avaient évoqué le chiffre de 200 000 exécutions après la victoire des nationaux espagnols le 1er avril 1939. Ce chiffre, voire parfois encore plus conséquent, avait été recopié de livres en livres, d’articles en articles, d’émissions en émissions, sans que personne n’ose venir soutenir son aberration, sauf quelques historiens combatifs mais vilipendés, comme Luis Pio Moa (Los mitos de la guerra civil) ou Ramon Salas Larrazàbal (Perdidas de la guerra).
Cela nous rappelle à nous français, les chiffres frauduleux inventés par le PC « F », sur le nombre de ses fusillés, 75 000, alors que désormais, les historiens s’accordent sur un chiffre d’environ 4 500 fusillés, toutes tendances confondues, communistes et non communistes. Cf, Les fusillés, dictionnaire biographique publié par les éditions de l’Atelier, sous la direction de Claude Pennetier et de Jean-Pierre Besse en 2015.
Miguel Platón, journaliste et historien espagnol chevronné, ayant occupé de très hauts postes comme notamment la direction de l’agence de presse EFE, ayant publié de très nombreux ouvrages, a repris toute l’affaire, de A à Z, et a pu consulter pendant plus de 5 ans les archives du Corps de Justice militaire des condamnés entre 1939 et 1975. Ce labeur considérable, le décorticage de plus de 22 000 dossiers, nous donne ce livre-enquête « résultat d’un travail patient, rigoureux et inédit », comme le souligne l’historien Arnaud Imatz, dans son introduction, membre correspondant de l’Académie royale d’histoire d’Espagne, qui a assuré la traduction du livre et a permis cette édition en France.
Après avoir rappelé pour le lecteur bien souvent ignorant de ces réalités historiques, compte tenu des propagandes auxquelles il est soumis, comment, la IIème république espagnole (1931-1936) avait fait sombrer le pays dans une période de violences, d’anarchies et de révolutions armées, l’auteur, après avoir clairement exposé sa méthodologie, nous énonce, qu’en réalité, ce furent 15 000 soutiens aux révolutionnaires espagnols qui furent exécutés, après jugement par des cours militaires de justice, et l’ensemble de tous les recours juridictionnels qui furent exercés. 90% de ces personnes avaient du sang sur les mains, de manière irréfutable, les autres étaient des chefs marxistes ou anarchistes qui avaient donné les ordres d’exécution, ou qui avaient laissé faire.
Mais ce qui est passionnant dans la lecture de cet ouvrage évènement, c’est la description minutieuse de tous les recours administratifs, qui s’appliquaient automatiquement, dès la sanction prononcée par la Cour de justice, et ce sans que le condamné n’ait nul besoin de faire la moindre démarche positive. C’est l’apport le plus important du livre, outre la vérité sur les chiffres. En effet, le cas du condamné était tout d’abord examiné par un ou des auditeurs de justice relevant de la juridiction, et qui donnaient leurs avis sur la commutation ou non de la peine prononcée. Ensuite, le dossier était transmis obligatoirement au Capitaine Général de la région militaire concernée pour nouvel avis. Puis, enfin, le dossier arrivait au ministère de la justice, pour une autre consultation, puis pour avis du conseiller juridique de Francisco Franco, et au final, le Chef de l’État prenait sa décision de grâce ou pas pour les condamnés à mort, ou de remises de peine pour les autres.
Autre point capital à souligner, les avis étaient souvent contraires, d’une strate juridique militaire à l’autre, et la condamnation à mort n’était effective, que si les preuves nécessaires étaient rapportées, que l’auteur des faits avait bien participé, effectivement, aux exactions criminelles qui lui étaient reprochées et ce directement. Franco a gracié énormément, et surtout les remises de peines étaient très importantes, puisque Miguel Platón démontre que pour une commutation de la peine de mort, la sanction passait automatiquement à 30 ans de prison, mais qu’en réalité, le condamné n’effectuait qu’une peine de 6 ans d’incarcération maximale, comme le décrivent les très nombreux exemples qui émaillent le livre. Pour les sanctions inférieures, les remises de peine étaient encore plus conséquentes.
Miguel Platon illustre son ouvrage par des lettres poignantes, d’épouses, d’enfants, de voisins du condamné, pour implorer la clémence du Chef de l’État, et l’on sait que ces lettres étaient lues et étudiées, parfois même les victimes, ou des adversaires politiques ont écrit pour demander la grâce. Derrière la sécheresse des chiffres, l’auteur met en exergue l’immense tragédie qu’a représenté cette guerre fratricide. Comme pour le livre de Marcelo Gullo précité, cette contribution historique rigoureuse, représente dans l’historiographie de la guerre civile, un apport essentiel, il y aura désormais, un avant et un après.
Aucun chercheur n’avait pris le soin d’effectuer ce travail de prospection, alors que les Archives générales du corps juridique militaire d’Avila étaient ouvertes depuis 2010, on comprend pourquoi. On doit la traduction et cette publication en France à Arnaud Imatz, grand spécialiste de la guerre civile. Dans sa préface, le plus grand historien américain de cette période, Stanley Payne, qualifie ce livre « de contribution à l’historiographie contemporaine de la plus haute importance ». J’en recommande ardemment la lecture.
12:24 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 17 janvier 2025
Petite mise au point à l'attention d'un journaliste de Libé qui réécrit quelque peu notre histoire...
Synthèse nationale
Notre directeur, Roland Hélie, présent à l'hommage public rendu à Jean-Marie Le Pen au Val-de-Grâce, a été malencontreusement rangé par Denis Allard, l'envoyé de Libération, parmi les "anciens militants du Front national époque Jean-Marie Le Pen" qui, selon ce journaliste, auraient "trahi" le président du FN. Cette interprétation toute personnelle d'une histoire qui remonte à 36 ans appelle de notre part une mise au point, en dépit de l'ancienneté et du caractère anecdotique de l'affaire, les contre-vérités non rectifiées ayant une fâcheuse tendance à devenir la "vérité"... Une virgule à sa place, c'est déjà une victoire contre le chaos... nous a enseigné Charles Maurras et les mots ont un sens.
En septembre 1984, après la percée du FN aux européennes, nous avons été un certain nombre, issus du Parti des Forces nouvelles (principale force de la droite nationale de 1974 à 1980), à rejoindre Jean-Marie Le Pen et Jean-Pierre Stirbois, à la suite de Roland Hélie. Pendant les cinq années qui ont suivi, aux côtés d'amis et de camarades venus d'horizons divers, nous nous sommes engagés activement et loyalement au sein de ce parti que nous avions choisi d'intégrer, librement et en conscience.
Malheureusement, notre passé militant au sein PFN n'a jamais vraiment été accepté par quelques-uns (d'autant que certaines maladresses involontaires, de notre part, ont pu entretenir leur méfiance initiale)... Après la mort accidentelle de Jean-Pierre Stirbois, aux yeux de ces sceptiques, de suspects, nous sommes devenus indésirables. Dès lors, plusieurs événements nous ont fait comprendre que nous n'avions plus notre place au Front national. Il y a donc eu divorce entre lui et nous, d'un commun accord en quelque sorte. Nous sommes partis, accompagnés vers la sortie... Une page s'est refermée et une nouvelle s'est ouverte : celle des comités Espace nouveau, du Mouvement d'initiative nationale, de l'Alliance populaire puis du Parti national républicain. Point de "trahison", donc, ni de notre part ni de celle des dirigeants du Front, mais seulement des désaccords, des malentendus, de l'incompréhension, comme cela arrive trop souvent dans toute communauté humaine en général, et dans nos milieux en particulier.
Depuis, les années ont passé, le temps et l'aggravation des problèmes auxquels la France se trouve confrontée ont fait leur œuvre. La conscience des priorités a favorisé des rapprochements, des réconciliations, des retrouvailles... Ainsi, la dernière réunion publique, en octobre 2019, au cours de laquelle Jean-Marie Le Pen a pris la parole a été le Rendez-vous Bleu Blanc Rouge annuel de Synthèse nationale cliquez ici organisé par Roland Hélie.
Il n'en reste pas moins que l'histoire est l'histoire, que les faits sont les faits, et qu'ils doivent être évoqués tels qu'ils ont été... Cette rapide mise au point n'a pas d'autre objectif.
10:33 Publié dans Editoriaux, Jean-Marie Le Pen | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |