Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 09 novembre 2021

Révélations importantes du docteur Astrid Stuckelberger

Il  faut absolument écouter de minute 13,30 à 52,30

Capture d’écran 2021-11-09 à 11.42.45.png

11:45 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nous sommes bel et bien en guerre !

agression.jpg

Quand Eric Zemmour clame avec raison que « nous sommes en guerre ! », tout le Landerneau politique, mais pas que, pousse des cris d’orfraie. Et pourtant les chiffres sont accablants. Jean-Marc Leclerc du Figaro (9/11) dresse un bilan qui fait froid dans le dos et qui pose la question : mais que fait ce gouvernement qui nous casse les pieds avec le passe sanitaire quand policiers, gendarmes, pompiers sont constamment agressés au quotidien mettant d’autant la sécurité des Français en danger. L’aveuglement a ses limites que la macronie est en train de dépasser.

Lire la suite ICI

11:43 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Maoïsmes d'hier et d'aujourd'hui

6a00d8341c715453ef026bdefe832a200c.jpeg

Jean-Gilles Malliarakis L'Insolent cliquez là

Ce 7 novembre, Le Monde mettait en ligne un important article signé de Julien Bouissou, qui vaut le détour. Il est intitulé : "Le spectre d’un ralentissement de la Chine pèse sur l’économie mondiale". (1). L'auteur se réfère à de nombreux avis de professionnels de la finance, tous dans l'attente des décisions du gouvernement de Pékin, dont les orientations sont maintes fois citées. Xi Jinping est ainsi présenté comme le vénéré maître des horloges du capitalisme mondial. De ce qu'il va décider ou ne pas décider semble dépendre la prospérité de nos foyers. De cette réserve d'esclaves que contiennent les provinces de l'Empire du Milieu on se préoccupe seulement que de la quantité démographique, certes rongée par la dénatalité. Il est né l'an dernier sur le continent chinois "seulement" 12 millions d'enfants ce qui, comparé à la France où 736 000 enfants vivants ont vu le jour en 2020, représente quand même un multiplicateur de 16.

Mais en 8 400 signes, n'apparaissent pas une seule fois des mots tels que "parti", "communiste" ou "Mao". Le parti unique le plus important du monde, fort de 89 millions de militants, gouverne pourtant ce pays sans partage depuis 1949 et l'arrivée dans la capitale du Grand Timonier à la tête de son armée rouge, développée à partir d'une guérilla dans les montagnes du Jiang Xi, cocassement appelée, encore aujourd'hui Armée populaire de "libération".

Depuis plus de 15 ans, aux États-Unis, au Japon ou en Inde, par exemple, la conscience du danger que représentent les ambitions expansionnistes du régime communiste chinois est, progressivement, devenue la préoccupation centrale des stratèges et autres responsables géopolitiques.

Dans la bobocratie parisienne, truffée d'ex-maoïstes, mais aussi chez les bien-pensants européens, on ne veut donc toujours voir dans cette prise de conscience, qu'une rivalité entre les méchants impérialistes américains, d'une part, et d'excellents dirigeants préoccupés du bien-être de leur peuple, regardés, d'autre part comme d'indispensables partenaires de notre société de consommation.

Les racines maoïstes du régime de Pékin, ses pratiques totalitaires, comme ses conditions de travail esclavagistes, sont perpétuellement occultées.

Dès son ascension, repérable en occident à partir de 2012, comme président du Comité militaire et comme secrétaire général du Parti, Xi Jinping a su s'affirmer pourtant au grand jour comme un restaurateur de Mao et du culte maoïste.

À vrai dire le culte du Grand Timonier n'avait jamais été aboli.

Sa mort est intervenue en 1976. Après quelque 10 ans de l'abominable subterfuge meurtrier soi-disant révolution culturelle annoncée en 1966, et en dépit de l'intermède dit de la Bande des Quatre, le pays, ou plutôt le régime communiste lui-même, devait sans doute, à l'instar de la NEP du camarade Lénine, s'imposer une cure.

Mais le mausolée et l'immense portrait du fondateur trônait, et il domine toujours la place centrale de Pékin, à l'entrée de la Cité interdite résidence des anciens empereurs.

Une fois pour toutes, Deng Xiaoping lui-même a tracé la ligne rouge : "nous ne ferons jamais à Mao, ce que les Soviétiques ont fait à Staline." Ainsi pas question de déboulonner sa statue, ou de dénoncer le culte de la personnalité.

Il importe donc d'abord de comprendre ce que c'est que le maoïsme.

Stalinisme à la sauce chinoise il est assaisonné selon les principes traditionnels de l'Empire du Milieu, à cinq saveurs. Un peu plus subtil par conséquent que l'archétype soviétique.

Beaucoup de choses marchent systématiquement par cinq : cinq griffes dans la patte du dragon, cinq saveurs, dont celle du gingembre, et dans le code pénal cinq châtiments cruels. Une fois évacué ses colorations locales, on doit bien se persuader que, malgré qu'il en ait, le maoïsme représente aussi à sa manière une forme d'occidentalisation paradoxale. Il a transformé, et il a dénaturé, de façon partiellement irréversible du génie du peuple chinois et sa culture millénaire, y compris à partir de 1954 par la révision de son écriture.

Il faut relire à ce sujet les chroniques que, dès 1956, c'est-à-dire 10 ans avant la soi-disant révolution culturelle, Robert Guillain, observateur attentif et non dénué d'indulgence publiait dans Le Monde. On les retrouve dans les archives du journal. L'auteur en a tiré un petit livre de la collection Points au Seuil. Lui qui avait connu ce pays dès les années 1930, pouvait déplorer la disparition de deux choses d'autrefois : celle, disait-il, du "Chinois intelligent" et celle de "la jolie Chinoise". Il n'avait pas entièrement raison. On peut croiser dans la rue, à Pékin ou à Shanghai, pas mal de fort jolies femmes. On me pardonnera j'espère cette réflexion masculine. Et les Chinois en général sont tout sauf des imbéciles. Mais il signifiait par là que tout un monde a disparu, et ceci dès les premières années de la dictature maoïste : le monde du Lotus bleu, seul album de Tintin interdit en Chine, l'univers des innombrables récits de voyageurs européens admiratifs dans la Chine d'autrefois.

Car, comme le bandit caucasien Staline en Russie, Mao était d'abord et avant tout un révolutionnaire marxiste, un disciple de Engels et de Lénine, un zélateur du matérialisme historique se revendiquant d'un socialisme se voulant scientifique. Il n'a jamais cessé d'être un ennemi de toutes les religions. L'expression opium du peuple est prise au pied de la lettre, et le christianisme est tout particulièrement considéré comme un instrument des très méchants diables étrangers. Tout son ressentiment révolté, y compris celui de l'humble bibliothécaire qu'il fut, affublé d'un accent du sud dans la capitale du Nord, humilié par les experts et les lettrés, qu'il n'a cessé de détester, se trouvait réinvesti dans la cause mondiale du Komintern dont il devint le représentant dans l'Empire du Milieu.

Les étapes de son ascension méritent d'être revisitées si l'on veut comprendre les ressorts, aujourd'hui encore de sa révolution et de son régime.

Le parti communiste, apparu en 1921, n'est dans les premières années qu'une tendance au sein du parti nationaliste, le Kouo Min Tang de Sun Yat Sen, et ses principaux dirigeants siègent au comité central du KMT, ceci jusqu'au virage de 1927. L'épuration entreprise alors par le "généralissime" Chiang Kaï-shek recevait le blanc seing du Komintern siégeant à Moscou, pour des raisons stratégiques. Celles-ci remontent au congrès de Bakou de 1920, elles avaient conduit Lénine à soutenir le kémalisme turc contre le traité de Sèvres, à se partager le Caucase avec lui en 1921 et à fournir des armes aux Turcs contre les Grecs en 1922.

Il faut donc une bonne dose de candeur à l'historiographie d'inspiration trotskiste pour n'y voir que la "Tragédie de la révolution chinoise" titre du livre considéré comme "classique" de Harold Isaacs, écrit en 1938 et qui relate les événements dont Malraux a tiré sa "Condition humaine".

Nous nous trouvons confrontés à une froide logique, celle de la révolution mondiale. Les divergences ne portent que sur le "tempo" : pour Mao hier, pour Staline avant-hier, pour Xi Jinping aujourd'hui, le but ultime reste ce que Jules Monnerot appelle "l'Imperium mundi", titre du dernier tome de son irremplaçable Sociologie du communisme.

(1) cf. "Le spectre d’un ralentissement de la Chine pèse sur l’économie mondiale" Publié le 7 novembre à 05h01, il rebondit par rapport à l'intervention de Xi Jinping lors de la cérémonie d’ouverture de la China International Import Expo (CIIE), à Shanghaï, le 4 novembre 2021

10:31 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La minute de vérité : Eric Zemmour rend hommage aux militants du Front national

Unknown.jpg

François Floc'h

Le jeudi 4 novembre, sur C-News, Christine Kelly avait invité Eric Zemmour pour un entretien exceptionnel. Exceptionnel ? Cet entretien le fut par la teneur des propos de Zemmour, sa fougue, son courage, sa sincérité. Mais aussi par l'audience atteinte par la chaîne, ce soir-là. Plus d'un million pour le direct, sans compter les replays et autres réseaux dits sociaux. L'effet Zemmour ne s'érode pas...

L'émission complète est à revoir sur Youtube :

Revenons sur un passage qui nous va droit au cœur. C'est à la minute 34:23 En voici la transcription, en style parlé pour en conserver la spontanéité…

Minute 34:23, Christine Kelly, sans détour, pose une question épineuse concernant le RN : Votre stratégie de taper sur le Rassemblement national, alors que vous prônez l'union des droites… Certains disent que l'on ne comprend pas cette stratégie alors que le Rassemblement national était le premier à vous défendre pour la liberté d'expression.

Lorsque vous ne parliez pas, qu'on voulait vous faire taire. Et l'on ne comprend pas. Et l'on a l'impression d'une petite trahison. Vous allez réussir à faire l'union des Droites ?

Eric Zemmour : Certains du Front national m'ont défendu, pour défendre ma liberté d'expression. C'est vrai ! Ils n'étaient pas les seuls, d'ailleurs. Il y a beaucoup de gens qui m'ont défendu à ce propos. Il y a beaucoup de gens qui sont venus témoigner à mes procès et qui n'étaient pas du Front national.

Je voudrais dire deuxièmement que, moi, j'aime les gens du Front national, ses militants, les électeurs évidemment. Mais, les militants. Ce sont eux qui, en partie, regardaient mes émissions.

Ce sont eux qui achètent mes livres, qui viennent dans mes conférences, ce sont eux qui m'aiment. Et moi, je leur rends cet amour. Je pense qu'ils…, vous savez, ça n'a pas été facile pour eux depuis 20 ans, depuis 30 ans, depuis 40 ans… Ils ont été ostracisés, virés de leurs boulots parfois… Obligés de se cacher comme si c'était des pestiférés… Uniquement parce qu'ils voulaient défendre la France.

Christine Kelly : Maintenant, c'est l'extrême droite décomplexée ?

Eric Zemmour :  Non, non. Je vous dis… Moi, ces gens-là je les aime et je les défends. C'est justement, justement pour ceux-là que je fais ce que je fais ! Si vous voulez bien comprendre la situation politique, le Front national est à la fois la victime et l'acteur d'un piège mortel tendu par Mitterrand, il y a 40 ans. Et qui a fait des idées nationales, patriotiques, l'exclusivité, le monopole de ce parti pour mieux l'enfermer dans un statut de paria.

Christine Kelly : Et vous voulez les libérer ?

Eric Zemmour : Exactement !

Christine Kelly : Vous allez y arriver ?

Eric Zemmour : Dieu vous entende ! Mais, c'est ça mon objectif : c'est les libérer pour leur  donner enfin la possibilité de défendre leur pays efficacement. C'est tout le drame malheureusement du Front national. Alors, oui ! Il faut rassembler les gens de LR, les gens de la Droite qui ne se reconnaissent plus dans leurs candidats… Fin de citations

Les hésitations, les états d'âme ne sont plus de mise…

Retrouvons l'enthousiasme de notre jeunesse. Et repartons au combat politique, en chantant...

Les héros d’autrefois nous convient à leur foi. Camarades, groupons-nous en avant !

09:59 Publié dans François Floc'h, Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Marc Rousset présente son nouveau livre "Comment sauver la France" sur TV Libertés

La France est menacée de disparition. Après 40 années de gabegies et de soumissions, il est grand temps d’engager une « révolution conservatrice », anti-mondialiste. C’est le projet de Marc Rousset, diplômé des universités de Columbia et Harvard et ancien haut dirigeant d’entreprise. Pour l’invité de « Politique & Eco », une dette publique, actuellement irremboursable, couplée à des taux d’intérêts qui remonteront inévitablement, condamnent l’économie nationale et même l’euro qui explosera après la faillite de la France. Pour faire face au cataclysme, Marc Rousset lance quelques pistes de réflexions dans un ouvrage intitulé « Comment sauver la France – Pour une Europe de nations avec la Russie ». Parmi ses propositions : faire économiser 200 milliards d’euros par an à l’Etat en s’attaquant à l’immigration, la fonction publique et les retraites, quitter l’euro et créer une union latine, libre-échangiste en interne et protectionniste en externe. Pour mettre en place un tel programme, Marc Rousset ne s’opposerait pas à l’établissement d’une dictature, au sens romain du terme, emmenée par un homme en qui le peuple aurait confiance.

image_1421009_20211108_ob_ed43f1_couverture-premiere-page-livre.jpeg

02:01 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |