dimanche, 03 avril 2022
Charles-Henri d'Elloy, le procureur de Jupiter, est l'invité ce soir d'Epona sur la télévision du Parti de la France
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Eric Zemmour répond aux attaques d'Emmanuel Macron
Invité sur LCI, j'ai répondu aux questions d'Adrien Gindre.
Emmanuel Macron me cible parce qu’il sait que je suis son seul adversaire, son contraire idéologique et politique.
Je vous dis pourquoi il est du côté des délinquants, alors que je suis du côté des victimes.
Pourquoi dans le scandale Macron McKinsey les Français sont volés trois fois.
Pourquoi je suis le vote vital pour l'élection présidentielle, ces dimanches 10 et 24 avril.
Eric Zemmour
17:50 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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LA SALLE ÉTAIT LOIN D'ÊTRE PLEINE SAMEDI APRÈS-MIDI POUR LE MEETING DE MACRON... QUEL CONTRASTE AVEC LE TROCADÉRO D'ÉRIC ZEMMOUR !
Concrètement, le bide de Macron remet les idées en places sur la confiance que l'on peut accorder aux sondages publiés...
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10:53 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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J'ai rencontré cette France qui se lève avant tout le monde
Eric Zemmour
Ce matin (samedi matin - NDLR), j’étais à Rungis.
Ou plutôt : cette nuit, car Rungis se lève avant toute la France.
Ce marché qui alimente le pays entier est le symbole du travail courageux, généreux, qui ne recule devant aucun effort.
Ici, on nourrit le peuple.
Rungis est le plus grand marché d’Europe. 234 hectares, 1 200 grossistes, un chiffre d’affaires qui dépasse les 10 milliards d’euros : ce lieu unique démontre toute la puissance de l’agriculture française. Ce qui se vend à Rungis cette nuit se trouvera demain dans les assiettes des familles les plus humbles, comme dans celles des restaurants gastronomiques les plus réputés au monde.
Discuter avec les marchands de Rungis est une expérience politique saisissante.
Contempler cet univers si riche en produits de grande qualité et en si grand nombre, vendu par des passionnés, et songer à la misère où sont plongés nos agriculteurs, m’inspire de la tristesse et de la colère.
Comment l’État peut-il négliger tant de savoir-faire paysan et commercial, au point que toutes les filières du secteur peinent à boucler les fins de mois, et que les Français s’alimentent de plus en mal ?
Nous tenons là le résultat tragique de décennies de mépris pour le monde de la terre, sa fragilité et ses exigences.
Les technocrates ont toujours eu du mépris pour les paysans. Nous récoltons aujourd’hui les fruits amers de cette arrogance et de cet aveuglement. Dans nos campagnes, les suicides se multiplient. Chacun d’eux est le symptôme d’un drame national.
Où sont les coupables ?
- L’Europe et ses contraintes délirantes.
- L’effondrement de notre identité, qui saccage nos traditions agricoles.
- Les diktats de la grande distribution.
- La bureaucratie, qui taxe et impose toujours plus, et noie nos producteurs sous la paperasse et les règles injustes.
- La politique de la ville, qui fait passer les banlieues avant tous les autres territoires.
- Le refus étatique de prendre en compte la chute de la natalité et donc la désertification des campagnes qui pousse nos paysans à fuir leurs terres.
- Le gaspillage de l’argent des contribuables par des hauts fonctionnaires, gaspillage qui a des conséquences catastrophiques sur le pouvoir d’achat.
Tout cela est à changer d’urgence.
L’assistanat généralisé, qui accorde à ceux qui ne travaillent pas des privilèges qu’elle refuse aux Français qui travaillent. Et tout cela se retrouve, démultiplié, dans les problèmes que subissent les travailleurs de Rungis.
Je regarde la réalité en face, comme nos paysans, je dis la vérité sans aucune censure, comme nos paysans, j’exige des solutions claires et nettes, J’aime sincèrement le monde rural, je l’écoute, je le comprends, je veux enfin le favoriser parce que nous ne sauverons pas la France sans lui.
Je veux défendre le monde du travail et je veux que le travail paie enfin.
Pour nos paysans, comme pour nos commerçants, nos indépendants, nos forces de l’ordre et tous les autres : je ne veux plus de cet Etat qui prend le fruit de votre travail pour le dilapider dans des dépenses folles, pour être généreux avec le monde entier ou pour faire vivre à vos frais l’immense machine bureaucratique.
Je veux taxer moins pour gagner plus.
Et pour cela, je suis le candidat à cette élection qui propose le plus de baisses d’impôts, de charges et de taxes : 22 milliards d’euros de moins chaque année !
C’est 423 millions d’euros par semaine qui ne seront plus pris dans vos poches.
60 millions d’euros par jour que vous pourrez enfin garder pour vous et votre famille.
Cette nuit, j’ai rencontré la France qui se lève avant tout le monde.
Je la défendrai.
Vive la France !
10:53 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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"Sécession" : le premier livre de Yann Vallerie, rédacteur en chef de Breizh-info.com
La chronique flibustière de
Georges Feltin-Tracol
Collaborateur au site Novopress, puis rédacteur en chef à partir de 2013 du remarquable site d’information libre Breizh Info, Yann Vallerie signe son premier essai avec une préface de Piero San Giorgio. Explosif, son contenu ne se résume pas en une énième dissertation politico – géopolitico – métapolitico – philosophique pesante. Ce livre de 102 pages mesure 11 cm par 17,7; ces dimensions en font un ouvrage facile à lire n’importe où puisqu’il entre dans une poche quelconque. C’est un grand avantage à l’heure de l’effondrement de la lecture.
Tout curieux rétif au prêt-à-penser officiel peut découvrir Sécession de Yann Vallerie grâce à sa couverture. L’Hexagone français – sans la Corse – est repeint aux couleurs du drapeau de la Confédération sudiste pendant la Guerre de Sécession nord-américaine sans les treize étoiles remplacées par trois personnes (le père, la mère et l’enfant ?) entourées par un masque coronaviral barré, un fusil, un chapelet et un livre. La bannière à la croix de Saint-André est probablement un clin d’œil facétieux aux bâtons noueux de Bourgogne, principal symbole militaire de la Monarchie hispanique d’origine habsbourgeoise.
Par-delà ces considérations vexillologiques, le sous-titre pose une interrogation cruciale : « Comment vivre hors de la République française totalitaire ? » Yann Vallerie n’entend pas quitter sa chère Bretagne pour s’installer en Côte d’Ivoire ou en Afghanistan. Il propose au contraire de sortir du système mortifère. Il part d’un fait qu’il n’énonce pas, mais qui est flagrant : la mort de la France. Toutefois, au contraire d’un célèbre candidat-essayiste, elle ne s’est pas suicidée, mais elle a bien été assassinée. L’assassin se nomme la République dite française. Face à ce remplacement politico-idéologique presque achevé, l’auteur présente en quatre chapitres concis et percutants une méthode réaliste afin de rompre avec le Moloch républicain. Il estime en effet qu’il importe de se détourner du Régime et de poser les jalons d’un autre choix. Pragmatiques, ses propositions provoqueront certainement le mécontentement des éternels cocufiés de la politique française, à savoir les « nationaux – droitards ».
Sécession sort involontairement dans un contexte politico-médiatique favorable. En Corse, une jeunesse impétueuse et revendicative proteste et défile au cri d’« État français assassin ! »; « République française tueuse ! » aurait été mille fois plus juste. Et qu’observe-t-on ? Le gouvernement kleptocratique parisien si impitoyable envers les Gilets jaunes et les associations identitaires envisage des négociations. Les événements survenus sur l’Île de Beauté à la suite de l’odieuse agression d’Yvan Colonna par un détenu islamiste, confirment le point de vue de Yann Vallerie. « Si, sur le terrain, le rapport de forces est à l’avantage des locaux, alors, la République une et indivisible ou pas, l’État plie. » Quel formidable exemple pertinent pratiqué à Corte, à Bastia et à Ajaccio !
L’enraciné européen d’expression bretonne qu’est l’auteur appelle par conséquent à « faire sauter la déconstruction gauchiste qui est devenue l’essence de la République française depuis la fin des années 60 ». Il dénonce par ailleurs l’école soumise au conformisme pédagogique d’occupation mentale. L’« éducation nationale » n’instruit plus, elle déforme des esprits malléables qui subissent ainsi des dégâts irréparables. Certes, « niant son échec absolu, la République français entend à la fois soumettre à autorisation les réfractaires à ce système à broyer les enfants ». Le Régime cible l’instruction à domicile et les écoles hors contrat, encore préservées de l’idéologie des « gens des lettres » LGBTQIAXYZ+++ et d’un cosmopolitisme aux multiples facettes.
Ce sympathique plaidoyer pour la séparation, la rupture, la sécession emporte l’adhésion, sauf sur un point. « Le retour à la presse papier et au samizdat est un leurre, affirme Yann Vallerie. Une régression même, puisque ce serait un retour à la marginalité du départ. » Pourquoi alors veut-« on » (« qui ? ») étouffer l’hebdomadaire Rivarol ? Pourquoi Yann Vallerie a-t-il imprimé ce livre et non pas rendu disponible en format pdf sur Internet ? La hausse régulière du prix du timbre et des frais de port pénalisera les projets éditoriaux dissidents, ce qui n’est pas une coïncidence fortuite. Ne miser que sur le numérique alors que le CSA et HADOPI forment dorénavant l’ARCOM dont les employés suivent des formations inclusives, s’apparente à une mauvaise tactique. L’indispensable reconquête culturelle s’organise autour de deux axes complémentaires : une présence active sur Internet et une profusion, éventuellement clandestine, de samizdat, de journaux, de revues, de dazibao, de tracts et de livres. Il sera toujours plus difficile aux forces régimistes de localiser une imprimerie secrète, éditrice de pamphlets virulents ou d’enquêtes dévastatrices, que de censurer la Grande Toile virtuelle. D’ailleurs, Yann Vallerie applique déjà cette sécession dans le cadre factuel de cet ouvrage qui ne comporte pas d’ISBN et de code barre. Pourquoi ? La page pour le commander au prix de 15 € l’explique volontiers. Il s’agit d’abord de contourner les grandes plateformes de distribution qui asphyxient les éditeurs et les auteurs. L’auteur considère ensuite qu’il n’est pas normal qu’un éditeur doive, avant même d’éditer, s’acquitter d’une taxe supplémentaire prise par l’Etat (une cinquantaine d’euros pour avoir un ISBN). On peut donc se le procurer sur le site dédié ou par chèque bancaire à l’ordre de Breizh Information (BP 201, 29 834 Karaez/Carhaix PDC1) en précisant bien que c’est pour le livre Sécession.
Ce livre ouvre dans tous les cas de grandes perspectives de libération populaire et identitaire dans le cadre de communautés informelles soudées et structurées. Le temps presse. La survie des autochtones albo-européens passe par un choix crucial : soit l’infâme République hexagonale les écrasera, soit ils la chasseront de leur quotidien afin que leur retrait suscite finalement un salutaire renversement.
Salutations flibustières !
Pour le commander : cliquez ici
« Vigie d’un monde en ébullition », n°26, mise en ligne le 29 mars 2022 sur Radio Méridien Zéro.
10:50 Publié dans Georges Feltin-Tracol, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Mercredi 6 avril à 20 h : réunion de Reconquête à Marmoutier (67)
00:29 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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