mardi, 16 décembre 2014
15 000 personnes à Dresde hier contre l'islamisation de l'Allemagne
15.000 personnes ont pris part ce lundi 15 décembre 2014 à la manifestation de PEGIDA contre l’islamisation de l’Occident. [Une manifestation a lieu désormais à Dresde chaque lundi. La semaine précédente, ils étaient 10.000 manifestants.]
Source Lionel Baland cliquez là
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Virus Ebola : la Ligue du Midi dit “Non merci...”
Un communiqué de la Ligue du Midi :
Il ne se passe pas de semaine sans que de nouvelles populations, dans le monde, ne soient touchées par le virus Ebola. A ce jour, on dénombre 18.000 cas et près de 6.500 décès et la progression est alarmante. Des états africains mitoyens des pays infectés par le virus ont fermé les frontières avec ces territoires. De nombreux autres pays prennent des mesures draconiennes. Mais que fait la France ? Est-ce que le gouvernement va continuer longtemps à fermer les yeux et à faire l’autruche ?
La menace évidente générée par l’incroyable invasion d’illégaux par Lampedusa et Gibraltar doit déclencher chez nous une quarantaine stricte et sévère pour tous les clandestins provenant très majoritairement d’Afrique noire, zone touchée par le virus, ainsi que des mesures fortes pour stopper cette invasion. Les pays européens doivent se doter d’une flotte de garde-côtes avec mission d’arraisonner les embarcations de clandestins et les reconduire dans le pays de départ.
Bravant les intempéries une équipe de la Ligue du Midi est intervenue récemment sur le Port de Sète pour dénoncer ce scandale sanitaire dont nos gouvernants ne semblent pas prendre la mesure, car il ne suffit pas d’opérer des contrôles dans les aéroports à l’arrivée, mais également au départ et y compris dans les lieux concernés par la navigation maritime. Les militants, pour mieux souligner la gravité de la situation avaient revêtu la tenue de protection avec combinaisons, gants, masques, capuches avant de déployer une banderole non équivoque portant l’inscription “Ebola Non merci...”
A l’issue de cette démonstration, une distribution de tracts dans les boites aux lettres du port languedocien résumait pour la population les mesures préconisées par la Ligue du Midi : contrôles stricts aux frontières européennes, remigration des clandestins, suspension de l’adhésion de la France à la charte européenne des droits de l’homme.
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Le conseil régional a décidé ce matin, en accord avec le maire de Nantes, de donner au nouveau lycée le nom de Nelson Mandela
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lundi, 15 décembre 2014
Samedi dernier Gabriele Adinolfi était invité sur Radio Courtoisie au Libre journal de Pascal Lassalle pour nous parler de son nouveau livre "Années de plomb et semmelles de vent..."
19:37 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Allemagne : multiplication des manifestations du lundi contre islamisation/immigration
Medias Presse Info (cliquez ici) avait déjà diffusé quelques vidéos de ces manifestations organisées en Allemagne contre l’islamisation. Initialement, elles rassemblaient les milieux nationalistes radicaux. Désormais, elles se propagent dans toute l’Allemagne et des foules de plus en plus importantes s’y pressent, témoignant de sa réelle dimension populaire.
A Dresde, à Düsseldorf, à Berlin… Tous les lundis, des milliers d’Allemands descendent dans la rue. Les manifestations sont organisées par PEGIDA, abréviation de Patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident. Loin d’être un mouvement éphémère, ces manifestations s’étendent chaque semaine.
Le parti anti-euro AfD y participe. Mais la grande majorité des manifestants ne sont pas des militants politiques, simplement des citoyens excédés par l’islamisation de leur pays et par l’immigration incontrôlée. " Nous sommes le peuple ", crient-ils avec raison.
Les autorités politiques devraient d’urgence écouter cette clameur qui s’élève. Avant qu’il ne soit trop tard.
12:37 Publié dans Eric Miné | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Affaire de la Crèche de La Roche sur Yon : lettre d'un Vendéen au Tribunal administratif de Nantes
J'ai pris connaissance il y a quelques jours de votre décision d'interdire la crèche de Noël traditionnellement installée dans le hall du Conseil Général de la Vendée.
Quelle mouche vous a donc piqué ?
Vous avez fait des études je suppose. Peut-être savez vous donc que Noël vient du latin " Natalis" qui veut dire Naissance. Alors je vais vous livrer un secret que vous voudrez bien transmettre à vos confrères qui peut-être nagent avec complaisance dans la même ignorance que vous. La naissance dont-il est question est celle d'un certain Jésus de Nazareth né il y a un peu plus de 2000 ans. je dis ça parce qu'étant donné que vous n'avez pas interdit les illuminations de Noël, je suppose que vous ignoriez ce détail. Voyez-vous, Noël n'est pas l'anniversaire de la naissance du Père Noël ( je suis désolé si je casse ici une croyance ancrée en vous ) mais bien celle de ce Jésus. Interdire une crèche sans interdire toute manifestation publique de cette fête est aussi stupide que si vous autorisiez la fête de l'andouillette tout en interdisant la consommation d'andouillette le jour de la fête de l'andouillette.
La crèche c'est ce qu'on appelle une tradition. Et ne me faites pas croire, Monsieur le Tribunal, que le principe de la tradition vous est étranger. Sinon comment expliquer que les magistrats exercent leur métier dans un costume aussi ridicule si ce n'est parce qu'il est le fruit d'une tradition ?
Vous êtes un briseur de rêves Monsieur, vous êtes un étouffeur de sens. La crèche c'est Noël et Noël c'est la crèche. La crèche c'est aussi l'histoire d'une famille qui faute de droit opposable au logement est venue se réfugier dans une étable. C'est un signe d'espoir pour tous les sans logement. La crèche c'est aussi un roi arabe et un autre africain qui viennent visiter un juif. C'est un signe d'espérance et de paix en ces temps de choc de civilisations et de conflit au Moyen Orient. la crèche c'est aussi des éleveurs criant de joie et chantant dans une nuit de décembre. Connaissez vous beaucoup d'agriculteurs qui rigolent en cette période de crise? la crèche c'est un bœuf, symbole de la condition laborieuse de l'homme. Enfin, la crèche, c'est un âne, même si une rumeur court disant que cet âne a quitté la crèche en 2013 pour rejoindre le Tribunal administratif de Nantes.
Malgré le fait que vous allez sans doute, par souci de cohérence, vous rendre à votre travail le 25 décembre, je vous prie de croire, Monsieur le Tribunal, à l'expression de mes souhaits de bon et joyeux Noël.
Jean Pierre Santon
Cette lettre nous a été adressée par un lecteur rochelais.
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Pour défendre les crèches, Civitas organise un rassemblement mercredi à Paris
Mercredi 17 décembre à 20h, tous à Paris
place de l'Estrapade (5e arrondissement)
pour défendre la crèche de Noël
des attaques des ayatollahs de la laïcité
Civitas cliquez ici
10:46 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Réinfo, le mag télévisé du Parti de la France
10:29 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 14 décembre 2014
Le catalogue de fin d'année des publications de Synthèse nationale : achetez nos livres pour les offrir à vos amis.
Vous pouvez le télécharger en cliquant sur Catalogue SN noël 2014.pdf
Vous pouvez aussi les commander en ligne cliquez ici
19:36 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Steve Degoulet, assassiné à Evreux
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5 000 alsaciens hier dans les rues de Strabourg contre le fumeux projet de fusion régionale préconisé par la clique Hollande-Valls...
Des militants du GUD et des mouvements autonomistes et identitaires étaient présents.
Le conseiller général Christian Chaton résume la situation.
A propos des régions et de l'Alsace en particulier :
Nous mettons en ligne ici l'article que nous a donné en juin dernier pour le n°36 de Synthèse nationale Jacques Cordonnier, Président d'Alsace d'abord, sur sa conception des choses.
Europe, Nations, régions, quel avenir ?
Jacques Cordonnier
Au lendemain des élections européennes, et tandis que le gouvernement Valls prépare une fusion forcée des Régions, il est important de s’interroger sur la place des régions et des États-Nations au sein de l’Europe. Les appartenances à une région, à une nation et à l’Europe sont les trois composantes du sentiment identitaire de chaque Européen. L’importance relative de chacun de ces liens – région, nation, Europe – est variable selon les individus, mais que nous le voulions ou non, nous sommes tous déterminés par cette triple appartenance. La hiérarchie de ces appartenances varie selon les individus, mais aussi selon les pays. Certains pays comme l’Allemagne ou l’Espagne, ont fait le choix du fédéralisme depuis longtemps et les particularismes régionaux y sont plus forts que dans des États fortement centralisés comme la France.
Plus ou moins d’Europe ? Un débat faussé
Le débat fait rage aujourd’hui entre souverainistes et fédéralistes, entre nationalistes et européistes, entre jacobins et régionalistes, entre mondialistes et identitaires. Mais c’est un débat faussé auquel nous assistons, car les effets de la crise financière et économique ont, depuis 2008, introduit l’irrationnel et le subjectif dans ces controverses. Le déclin de l’Europe, entamé au début du XXè siècle, s’est accéléré au cours des dix dernières années. Le déclin est accentué à raison de l’émergence de nouvelles puissances, telle la Chine, l’Inde, les BRICS. Et au sein de l’Union européenne, la France a du mal à consolider son rang. Si rien ne change et si la France suit le chemin de plus grande pente dans laquelle elle est malheureusement engagée, d’ici quinze à vingt ans, elle ne fera plus partie du G8. Ceux qui pensent que le déclin n’est pas une fatalité doivent s’interroger sur la voie à emprunter pour conjurer ce destin. Faut-il donner vigueur aux régions, à l’Europe ou à l’État-Nation ?
Dissocier État et Nation
Au moyen âge, les "nations" existaient dans une acception totalement différente de celle "d'État-Nation". Le terme "nation" n'avait à l'époque aucune signification politique. Il désignait et traduisait l'appartenance communautaire et linguistique des différentes personnes qu'il regroupait. C'est ainsi que les "nations" bretonnes, picardes, normandes, toulousaines se réunissaient au sein du royaume de France. Toutes les "nations" acceptaient de cohabiter au sein du même État.
C'est la Révolution Française et le jacobinisme révolutionnaire qui vont inventer la "Nation", avec un N majuscule, telle que les Français la conçoivent aujourd'hui. La monarchie constituait l'élément fédérateur qui unissait au sein du royaume les "nations" et les "provinces". La Monarchie détruite, ce fut l'idée de Nation qui remplaça le Roi comme principe fédérateur. Les jacobins inventent la "Nation" une et indivisible, abstraite et théorique au sein de laquelle les nations et les provinces vont être forcées de se dissoudre et de disparaître au profit du département, autre invention de la Révolution. Aujourd’hui, plus de deux siècles plus tard, le gouvernement de Manuel Valls prépare une grande réforme de recentralisation en tentant de rayer d’un trait de plume les Régions que quarante années d’effort avaient commencé de façonner. Moins de compétences et de moyens pour les nouvelles circonscriptions régionales, beaucoup plus de pouvoirs pour les préfets et les services de l’État. Ce choix est une régression dramatique pour notre pays. Le paradoxe est qu’il satisfait le vœu des partis souverainistes qui voient avec plaisir le renforcement de l’État-Nation.
Plus forts par la subsidiarité
L'Allemagne, par exemple, a choisi le modèle fédéral où l'application du principe de subsidiarité donne à ses Länder et à ses villes une grande autonomie qui leur permet de gérer mieux, plus efficacement et plus démocratiquement que ne le ferait un État-Nation centralisé. Seule la France persiste dans le modèle dépassé d'État-Nation. Dès lors que nous abandonnerons ce modèle et que les deux concepts d'État et de Nation seront enfin dissociés, la France pourra s'engager dans une démarche harmonieuse de construction d'une Europe souveraine, respectueuse des nations et des régions qui la composent.
C’est Johannes Althusius (1557-1638) qui a été le théoricien majeur du principe de subsidiarité. Dans son acception contemporaine et politique, la subsidiarité implique que chaque entité – Europe, État, région, commune – soit maîtresse dans les domaines de proximité où sa compétence se révèle plus pertinente et efficace que celle de l’échelon supérieur ou inférieur.
Il est des domaines où, à l’évidence et d’expérience, la commune ou la Région est le niveau idéal de gestion et d’administration. Il faudrait par exemple transférer aux Régions la responsabilité du système éducatif dont le déclin continu est en train de se transformer en débâcle. De réformes en réformes, l’Éducation Nationale a tout essayé. Rien n’y a fait. Il faut donc transformer et régionaliser le système éducatif.
L’Europe face aux nouvelles puissances
À l’autre bout du spectre, c’est l’Europe qui est doit être considérée comme l’échelon efficace. Les Français comme les autres Européens prennent conscience que les menaces et les tensions qui se développent à l’échelle de la planète ne peuvent pas trouver de réponse à l’échelle d’un pays. La montée en puissance de la Chine et de l’Inde, les effets des dérèglements de la finance mondiale, la dépendance énergétique de l’Europe, l’augmentation continue de l’immigration non européenne sont au cœur de problématiques qui dépassent largement l’échelle de la France seule. Les récentes révélations sur l’espionnage des institutions françaises et européennes par les agences américaines de renseignement illustrent bien à quel niveau se déroulent les conflits et à quel niveau doit être organisée la riposte.
Mais pour convaincre les citoyens de la justesse du projet européen, il faudra trouver d’autres arguments que « d’assurer le bien-être et la paix sur le continent ». Discours bateau, ambitions de nains, objectifs trompeurs ! Comment parler de bien-être aux millions de chômeurs et de déclassés ? Comment invoquer la paix quand aux portes de l’Union on s’entretue en Ukraine ? Comment donner envie de l’Europe quand nos dirigeants choisissent l’OTAN ?
L’Europe de nos espoirs est une Europe souveraine, indépendante et puissante. Le chemin pour y arriver, c’est la voie fédérale qui seule permet de construire un ensemble politiquement cohérent tout en respectant les différences et les spécificités des peuples qui la composent. Car ne nous y trompons pas, l’Union européenne d’aujourd’hui est tout sauf fédérale. Elle n’est qu’une organisation interétatique dont le pouvoir en dernier ressort reste entre les mains des chefs d’États et de gouvernements des États membres. Le choix qu’ils font de déléguer – en toute opacité – leurs pouvoirs aux « experts » de Bruxelles ne change rien à l’affaire. L’Union est jacobine à l’extrême et très peu démocratique. Comme l’a préconisé le Pr. Gérard Dussouy dans son dernier ouvrage, il faut « contre l’Europe de Bruxelles, fonder un État européen ».
Souveraineté et puissance
La question de la souveraineté est la question fondamentale. Méditons cet étrange paradoxe : tout ce que les États membres ont perdu en souveraineté n’a pas profité à l’Europe ; celle-ci n’est pas devenue plus souveraine pour autant. Au contraire, nous la sentons ballotée entre les intérêts de la finance internationale et ceux des États-Unis, lesquels se confondent souvent. On aurait pu espérer que le Parlement européen s’empare instantanément de chaque parcelle de souveraineté abandonnée par les États. Malheureusement, les choses ne se sont pas passées ainsi. Le Parlement européen, seule instance théoriquement détentrice de la légitimité populaire, s’est privé à la fois de son pouvoir normatif et de son pouvoir de contrôle. Le Parlement européen n’est aujourd’hui qu’une chambre d’enregistrement pilotée par les chefs des partis nationaux.
Les États généraux de l’Europe
Et pourtant ! C’est peut-être au sein de l’Assemblée de Strasbourg que viendra la renaissance. Harald Greib, vice-président du Laboratoire Européen d’Anticipation Politique, suggère un scénario enthousiasmant. Étant donné qu’il ne faut rien attendre des pouvoirs nationaux, la prise de pouvoir ne pourra se faire qu’au sein de la seule enceinte transeuropéenne ouverte au scrutin démocratique, le Parlement européen. Harald Greib estime qu’un jour les députés européens, quand la crise existentielle de l’Europe aura atteint son paroxysme, devront se constituer en États généraux pour débattre enfin des vraies questions de fond. Et de ce débat pourra naître la volonté de s’ériger en assemblée constituante. Les députés européens, détenteurs de la légitimité démocratique, feront ratifier la nouvelle constitution par un référendum transeuropéen, constitution qui s’appliquera non pas à l’ensemble des 28 membres de l’Union, mais aux 18 membres de la zone Euro. Cette Europe à 18, homogène et démocratique, dotée d’une constitution et de sa monnaie, attribut de souveraineté et outil de sa puissance économique, se forgera ensuite sa diplomatie et son système de défense et d’intervention. Bien sûr, ce serait une révolution. Mais les situations extrêmes appellent les actions radicales. C’est une tâche immense. Mais ne pas la tenter équivaudrait à passer à côté de l’Histoire. Réussir serait servir les intérêts et la grandeur des peuples européens.
Pour commander ce numéro de Synthèse nationale cliquez ici
Lire aussi le remarquable ouvrage de Richard Roudier sur le redécoupage de la France cliquez là
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Petits frissons chez les bobos : le congrès du GUD revu et corrigé par l'Obs et Rue 89
Le jour où extrême droite et néonazis européens se sont réunis à Nanterre
Source cliquez ici
Samedi 22 novembre se tenait le meeting de l’extrême droite européenne. Intitulé Réveil des nations, il avait lieu à Nanterre, à quelques kilomètres à peine de la capitale.
Le document que nous publions montre comment l’internationale de l’ultra-droite, allant jusqu’aux néonazis d’Aube dorée en Grèce, tente de s’organiser pour profiter de la crise européenne.
Ce rassemblement a eu lieu à huis clos, théoriquement sans journaliste. Ce compte-rendu (écrit sous pseudo) nous est néanmoins parvenu, et la teneur des discours montre les obsessions de cette mouvance et sa stratégie de noyautage des mouvements populaires, y compris la suggestion que l’extrême droite infiltre les ZAD (zones à défendre).
A lire pour comprendre ce qui se joue dans cette frange située à la marge du système. Pierre Haski
Les principaux partis d’extrême droite du continent ont répondu présent à l’appel du GUD (Groupe union défense), comme les Grecs d’Aube dorée et les Italiens de CasaPound.
Aucun journaliste n’était accepté à l’entrée. Une équipe du « Petit Journal » de Canal+ a bien tenté le coup, mais sans succès. Seul journaliste présent, incognito, j’ai réussi à pénétrer à l’intérieur et à enregistrer les discours que je rapporte ici.
Une plongée dans un microcosme méconnu qui prend de plus en plus d’ampleur en Europe, mais aussi en France, et a pu se réunir en toute impunité en banlieue parisienne.
Le lieu du meeting n’a été communiqué que le matin même sur Internet, comme c’est d’usage pour ce genre de rassemblement.
En sortant du RER, je rejoins à pied le lieu du meeting, un petit quart d’heure de marche dans une zone semi-industrielle, située derrière les voies de chemin de fer. Devant moi, deux jeunes marchent, suivis par un homme seul, puis par un couple. Tous se dirigent vers le lieu du meeting.
Meeting de l’extrême droite européenne, le 22 novembre 2014 à Nanterre (DR)
Au bout d’une ruelle se trouve donc l’espace Jenny. Une salle connue il y a quelques années pour ses soirées de catch amateur. Aujourd’hui, elle abrite régulièrement des mariages : 300 places assises, une piste de danse, un podium…
Plus de 300 personnes (600 selon les organisateurs) s’étaient donné le mot : tout ce que l’Europe compte de nationalistes radicaux, nationaux révolutionnaires, identitaires, néofascistes ou encore néonazis avait donc rendez-vous à Nanterre pour une journée de discours, suivie d’une soirée de concerts.
A l’entrée, un petit portail qui ne laisse passer les gens qu’au compte-gouttes. Pas de fouille à ce stade, mais un regard appuyé qui n’incite pas à la camaraderie, ni aux échanges.
Sandwichs « garantis non halal »
Une petite cour où les fumeurs s’entassent pour en griller une dernière avant le début du « meeting européen 2014 » de l’extrême droite. Les cheveux sont souvent courts, voire rasés, les tatouages dépassent du col ou des manches, les habits sont noirs ou sombres, les chaussures en cuir sont renforcées au bout… De nombreux T-shirts, badges ou patches rappellent l’appartenance de ce petit monde à la culture d’extrême droite : croix celtiques, aigles, etc.
Devant la porte de la salle, un homme et une femme sont prédisposés à la fouille. Palpations réglementaires, je passe le contrôle sans trop de difficultés. Ils n’ont pas trouvé mon enregistreur, et je peux m’approcher de la caisse. 20 euros l’entrée, un bracelet bleu en souvenir. On peut aussi y acheter des tickets pour le bar, 10 euros les quatre tickets, que l’on échange contre des bières ou des sandwichs « garantis non halal », me glisse un participant.
Le tout est géré par le GUD, qui a dû, selon nos estimations, réaliser une belle recette pour le coup. Au passage, signalons qu’aucun récépissé d’achat n’est fourni, ni contremarque, rien. Toute la recette se fait donc visiblement au black.
Plusieurs partis ou groupes européens avaient répondu à l’appel du GUD Paris, et pas des moindres :
· pour la première fois, les Grecs d’Aube dorée, troisième formation politique du pays lors des dernières élections européennes, étaient de passage en France ;
· les Italiens de CasaPound, groupe néofasciste revendiquant 5 000 adhérents ;
· les Espagnols du MSR et de la Liga Joven qui, bien que d’une envergure moindre, commencent à trouver de plus en plus d’écho de l’autre côté des Pyrénées ;
· les Belges de Nation ;
· les Chypriotes d’Elam ;
· les Français du Mouvement d’action sociale et de Synthèse nationale, site web bien connu dans la fachosphère.
Dans la salle, les gens discutent, l’ambiance est bon enfant (« On est entre nous ! » entends-je à plusieurs reprises). Les « congressistes » parcourent les quelques stands où chacun des partis peut vendre des « goodies », chaque groupe de musique aussi.
« Yes we can »... avec Hitler
On y distribue des autocollants (« Manger halal nuit gravement à la santé »), on fait la promo de son association comme dans le cas de Martial Roudier (condamné en 2012 pour avoir poignardé un militant de gauche à six mois de prison) qui présente Réseaux Identités, dont le programme semble assez clair.
Un peu plus loin, un stand vend des autocollants reprenant l’imagerie de l’affiche et le slogan « Yes We Can » de Barack Obama… Sauf que le président des Etats-Unis est remplacé par Adolf Hitler.
Un stand pour Présent, un autre pour Synthèse nationale, qui proposent une littérature assez marquée : François Duprat, Dominique Venner, des livres négationnistes (NDLR : ???)... Tout le catalogue est présent sur Internet.
Au-dessus de la petite scène sur laquelle les orateurs vont prendre place, les banderoles des partis présents : Aube dorée, MAS, GUD, MSR…
Les banderoles des mouvements représentés à Nanterre, le 22 novembre 2014 (DR)
Aucune trace de celui de CasaPound, le mouvement néofasciste italien, dont le chef, Gianluca Iannone, est pourtant la grande star de ce meeting.
Mais ce mouvement qui prend beaucoup d’ampleur en Italie a toujours réfuté avoir des relations avec les groupes néonazis, encore plus aujourd’hui que le parti cherche à trouver un accord électoral avec le puissant parti de la Ligue du Nord.
Xénophobie, patriotisme et complotisme
Tout au long des interventions, je constate que si les idées sont diverses et variées, les références parfois surprenantes, les ennemis sont fréquemment les mêmes, bien qu’ils ne soient pas nommés directement. La langue est étrangement policée, comme si eux aussi cherchaient une sorte de dédiabolisation qui devrait leur permettre de gagner un peu plus les consciences.
Plus qu’une idéologie commune, c’est une culture qui associe xénophobie, patriotisme et vision complotiste du monde qui sera servie tout au long de l’après-midi.
La peur du « grand remplacement », thèse de l’idéologue d’extrême droite Renaud Camus, est une des thématiques fortes du jour. Les martyrs de l’extrême droite sont sans cesse cités, applaudis, comme pour mieux marquer encore la valeur de l’engagement pris par ces militants radicaux.
Les références sont parfois biaisées, dites sur le ton de la confidence potache, avec un clin d’œil. On moque les morts de Clément Méric ou de Rémi Fraisse sans les citer directement, on abjure le pouvoir des apatrides de la finance, on charge les sionistes et les francs-maçons…
Autre surprise, personne ne prend de notes. Personne. Tout le monde écoute dans le calme, presque religieusement, rigole quand il le doit, et applaudit quand il doit applaudir.
Et dans mon cas, il ne faut pas oublier de le faire, sous peine d’être découvert.
Logan Djian, chef du GUD Paris, le 22 novembre à Nanterre (DR)
Bienvenue au « réveil des nations » 2014
Celui qui prend la parole en premier est le chef du GUD Paris, Logan Djian. Militant d’extrême droite, il est le leader du Groupe union défense, ce groupuscule fasciste ultra-violent interdit pendant de nombreuses années.
Capture d’écran d’une photo de Logan Djian avec Marion Maréchal Le Pen (Compte Facebook de Logan Djian)
Sans être connu, il est une figure de ce microcosme d’extrême droite. On l’a vu notamment lors du procès contre Dieudonné, où on l’y a entendu crier « Shoananas » en défense de l’« humoriste ».
On le voit ci-contre sur sa photo de profil Facebook aux côtés d’une Marion Maréchal Le Pen tout sourire.
Aujourd’hui, il ne fera pas de discours, mais il va donner le ton :
« Ce premier congrès européen en France a pour premier but de créer des liens entre pays européens, entre Espagnols, Italiens, Grecs, Français et Belges.
Deuxième but, c’est évidemment de comprendre les problèmes qu’il y a en Europe, que ce soient des problèmes de répression, comme on le voit en Grèce en ce moment, que ce soient les problèmes économiques avec la crise sociale en Europe, et que ce soient aussi les problèmes liés à tout ce qui est immigration massive, et remplacement de la population. Tout ce qui est aussi d’un point de vue aussi délinquance. Car il n’y a pas qu’en France que c’est n’est pas drôle tous les jours. »
C’est parti pour deux heures de discours entrecoupées d’une pause. Au programme de l’acte 1 : les Belges de Nation, les Espagnols du MSR (Mouvement social républicain) et ceux de la Liga Joven, et Roland Hélie, de Synthèse nationale. Puis viendra l’entracte.
Des Belges proches de Civitas
Premier intervenant, le mouvement belge Nation : mouvement d’extrême droite belge francophone, Nation est fondé en 1999 par Hervé Van Laethem, une figure connue de l’extrême droite belge, condamné pour racisme par la justice de son pays à deux reprises, en 1997 et en 2006.
Proche du mouvement catholique intégriste Civitas, Nation se présente aux élections sans pour l’instant parveni au succès électoral. Après avoir fait l’éloge des martyrs de la cause d’extrême droite, et notamment de l’écrivain et ancien numéro deux du Front national François Duprat, le représentant de Nation va se lancer dans un plaidoyer en faveur de l’armée syrienne. Celle de Bachar el-Assad :
« En parlant de sacrifice, et même si ce n’est pas le thème du jour, je tenais à vous apporter, parce que l’on m’a demandé de le faire, partout où je vais en Europe, devons apporter le salut de l’armée syrienne. A Damas, où j’étais il y a trois semaines, c’est ce que l’on m’a demandé de faire. Dire aux Européens que cette guerre, c’est aussi la guerre de l’Europe. Si la Syrie tombe demain, les djihadistes se tourneront vers l’Europe.
D’ailleurs, ils sont déjà en Europe. Et quelque part, indirectement, l’armée syrienne se bat aussi pour l’Europe. C’est donc non seulement le devoir mais aussi l’intérêt des pays européens de soutenir le régime syrien. »
Suit une « private joke » d’extrême droite, en référence aux décès du militant antifa Clément Méric et du zadiste Rémi Fraisse :
« Pour l’anecdote, nous avons vu au mois d’avril nos militants qui se sont durement confrontés avec des militants antifas, qui ont pris la branlée de leur vie. C’est intéressant parce que j’ai cru comprendre que les vôtres, d’antifas, ils étaient un peu fragiles [rires dans la salle)…
Y a ceux qui meurent d’une claque, y a ceux qui meurent quand y a un gros pétard qui explose à côté d’eux [re-rires dans la salle], donc le conseil que je vous donne, en tant qu’étranger, c’est de bien les nourrir, parce que sinon, à terme... »
Espagnols mâtinés de franquisme
Après quelques applaudissements, les Belges passent la parole aux Espagnols du MSR, un petit parti d’extrême droite espagnol né en 1999. Partisan d’une idéologie nationale-révolutionnaire, il intègre des nationaux révolutionnaires, des phalangistes dissidents (partisans du dictateur Franco) et des anarcho-syndicalistes.
C’est le leader du mouvement, Jordi de la Fuente, qui a fait le déplacement :
« Ce sont vous, nous, camarades européens ici présents, avec le souvenir des camarades tombés au combat, qui sommes condamnés à vivre dans les ténèbres. Condamnés à vivre sous les menaces d’une “ vérité ” qui est fausse, et qui assassine. Condamnés à être écrasés par le lobby apatride, qui assassine les enfants syriens, palestiniens, ukrainiens, pendant qu’il adore son Dieu argent. Nous serons donc les méchants de l’Histoire.
Camarades, embrassez ces condamnations, embrassez vos chaînes, et levons-nous dans ce monde en ruines, faisons bouillir le sang européen qui coule dans nos veines pour écraser ce système. Nous avons en nous trois ingrédients que le système ne peut pas contrôler : la jeunesse, l’amour et la révolution ! »
A la fin de l’intervention du MSR, Logan Djian fait couper les caméras du GUD qui filment le congrès, afin que les « camarades » de la Liga Joven prennent la parole.
Ce petit groupuscule d’extrême droite, constitué de jeunes travailleurs et d’étudiants, est la section jeunesse du MSR, bien qu’ils gardent une organisation séparée et une certaine forme d’indépendance. Ils sont en plein milieu d’une investigation en Espagne pour association illicite et divers actes de violence.
Du coup, ils ne sont sur aucune des photos que l’on peut trouver sur les sites web de ces groupes ou sur leurs pages Facebook. Le nom de son représentant ne sera pas prononcé au micro. Ce dernier va s’en prendre à ses meilleurs ennemis, les syndicats espagnols de gauche, qui les « diabolisent » en les traitant de fascistes :
« En juin 2014, le syndicat étudiant de gauche en Espagne a porté plainte devant l’Etat espagnol contre la Liga Joven, pour se plaindre qu’à chacune de leurs manifestations, la Liga Joven venait pour tout foutre en l’air. Selon eux, notre objectif serait toujours de créer des problèmes.
Pourquoi ont-ils porté plainte en réalité ? Parce qu’ils ont peur de perdre leur monopole. Ils touchent des subventions de l’Etat, et ils ne veulent pas les perdre. Cela fait 30 ans qu’ils travaillent pour les étudiants, et malgré toutes leurs subventions, ils ne sont arrivés à rien. […]
Après cette plainte, en juin 2014, quinze membres de la Liga Joven ont été arrêtés pour les motifs “d’association illicite”, bien que la Liga Joven soit officiellement inscrite comme un parti. Ils disent que nous sommes toujours à la recherche du conflit, quasiment un groupe terroriste… Ils ont aussi porté plainte pour nous empêcher de manifester, car selon eux, notre présence serait une atteinte à leur liberté d’expression. Ce qui est ironique, car nous n’avons pas droit de manifester, ils nous expulsent. »
Roland Hélie : Nanterre, une « revanche »
La première partie sera clôturée par Roland Hélie. Figure de l’extrême droite radicale française, il a collaboré à de nombreuses revues (National Hebdo, Initiative nationale) de cette mouvance, avant de devenir l’animateur du site Synthèse nationale, quotidien d’informations nationalistes et identitaires.
Il est le plus âgé des intervenants de ce meeting, et il va rappeler une anecdote qui montre l’attachement des partisans du GUD à l’histoire du mouvement :
« Nous sommes aujourd’hui réunis à Nanterre. Certainement que les plus jeunes d’entre vous n’étaient pas encore là le 12 décembre 1980. Ce jour-là, le GUD est descendu à l’université pour distribuer des tracts. Ça s’est très mal passé. Il y a eu des dizaines de blessés, des dizaines d’arrestations, il y a eu une rame de RER détruite – ce n’est pas le plus grave, vous me direz –, surtout ça a été une défaite militaire pour le GUD. Aujourd’hui, nous sommes réunis à Nanterre, et bien je considère que c’est une victoire, une revanche sur cette défaite, que l’on peut applaudir [applaudissements]. »
Après la pause, c’est au tour d’Arnaud de Robert, le représentant du Mouvement d’action sociale (MAS), qui sera le plus applaudi de la journée.
Le MAS est un groupuscule qui cherche à aller sur les terrains sociaux, culturels, politiques et syndicaux pour convaincre le « peuple » de se réveiller face à ceux qui veulent « assassiner notre race ».
Arnaud de Robert, représentant du MAS, le 22 novembre à Nanterre (DR)
Après avoir salué les victoires électorales des mouvements nationalistes en Europe (« Les mouvements nationalistes marquent des points. C’est l’insurrection des peuples. C’est une sorte de protestation populaire, diffuse, multiforme, mais profonde et de grande ampleur, bien plus grande que l’on ne le croit. »), il a appelé les participants à une remise en question de la méthode de lutte. Les bonnets rouges, les coopératives agricoles, les nationalistes devraient aussi être présents dans les ZAD :
« J’irai même jusqu’à dire que les ZAD, les zones à défendre, sont issues en quelques sortes de ce mouvement.
Soyons bien d’accord, je n’ai aucune sympathie pour les clowns à dreadlocks qui dansent devant les forces de l’ordre. Mais je crois que j’ai encore moins de sympathie pour les forces du désordre que représentent les forces de l’ordre.
Et donc, en tout cas, en lieu et place de ces guignols dans les ZAD, on aurait peut-être dû y être, nous. Parce que qui sont les premiers défenseurs de la terre ? Qui sont les défenseurs de LEUR terre ? Qui sont les premiers défenseurs des racines qui fondent notre identité ? NOUS ! NOUS ! PAS EUX ! [...]
Eux veulent le chaos. Ils ont toujours voulu ça. Nous on veut un ORDRE NOUVEAU. C’est ce qui va nous différencier jusqu’au bout, et c’est ce qui nous empêchera de penser la même chose à la fin, mais sur certains points leurs analyses sont justes. Et notamment sur la désignation de l’ennemi. »
L’ennemi invisible
L’ennemi… Il a différents noms tout au long de la journée. Il est invisible, sournois, caché. Ce n’est ni un homme, ni une institution. C’est, à écouter les interventions, un « système » qui crée des boucs-émissaires.
« Je ne crois pas à cette jolie histoire poussée par le pouvoir de l’islam qui serait l’ennemi absolu. Non, je ne le crois pas. C’est un instrument, un instrument majeur de l’oligarchie pour nous détruire, ça c’est sûr. C’est certain. Pour nous remplacer, pour détruire l’ensemble des peuples européens. Avec la violence économique, avec le remplacement de population, ce sont les armes de ceux qui nous dirigent, encore aujourd’hui.
Notre ennemi, il est à peu près identifié depuis le milieu du XIXe siècle, c’est-à-dire qu’en fait, il n’a pas de visage. Il s’appelle Junker, il s’appelle Macron, paradoxe qu’un ministre de l’Economie socialiste soit issu de Rothschild, c’est dire qu’on arrive à des choses extraordinaires, c’est grandiose. Il s’appelle Rothschild, il s’appelle Lehman Brothers, il s’appelle FMI, il s’appelle BCE, il s’appelle comme vous voulez, ils sont interchangeables. »
« L’islam, un outil de ces gens-là »
« L’islam ! », crie un homme au crâne rasé assis dans la salle.
« L’islam est un outil de ces gens-là, monsieur, ne l’oubliez pas. On ne peut pas taper que sur les finalités, il faut aussi taper sur les causes. Un groupe de musulmans, s’ils arrivent à construire une mosquée, c’est qu’on leur a donné le droit, qu’un banquier a signé [applaudissements]. »
Enfin, il va faire l’éloge d’une mesure proposée par certains partis d’extrême droite en Europe, la « remigration », renvoyer les immigrés dans leur pays d’origine (« C’est excellent. Voilà une idée qui est un vrai contre-pied. »). Car l’heure est selon lui très grave.
Cette guerre menée contres les peuples « blancs » d’Europe est à une phase décisive :
« Et elle nous verra soit triompher, soit tout simplement disparaître en tant que civilisation, en tant que culture, en tant que peuple, en tant que race ! »
Après le MAS, qui remportera la victoire incontestée de la journée à l’applaudimètre, les deux vedettes de la journée vont s’exprimer. Gianluca Iannone, le président de CasaPound, et Konstantinos Boviatsis, du parti grec Aube dorée. C’est la première fois que CasaPound et Aube dorée sont invités en France, la première fois qu’ils vont prendre la parole publiquement.
CasaPound, en direct d’Italie
CasaPound est un parti d’extrême droite italien qui existe depuis le début des années 80. Se réclamant explicitement de l’idéologie et de l’histoire du fascisme, il opère une sorte de mélange entre idées d’extrême droite et références à un discours social. Il a pris de l’ampleur à Rome après avoir occupé un bâtiment dans le centre de la capitale fin 2003.
L’organisation revendique 5 000 adhérents et de nombreux sympathisants. Ciblant en particulier les 14-20 ans, le parti utilise un discours social pour s’attirer la sympathie de jeunes de gauche pour les rabattre à l’extrême droite, l’argument ultime étant de « s’opposer au système ».
Aujourd’hui, CasaPound cherche à passer à l’étape suivante et à transformer dans les urnes ses succès auprès de la population. L’organisation serait en discussion avec le parti de la Ligue du Nord en Italie.
Le président de CasaPound a le crâne rasé et une longue barbe. Il parle d’une voix de stentor, lentement, pour marquer chacun des mots qu’il utilise. Il a des airs de gourou devant cette salle conquise qui boit ses paroles.
Après avoir invité la salle à bannir le mot « impossible » de son vocabulaire, et à réintroduire celui de « volonté », il va faire une proposition : de créer un calendrier de commémorations des « camarades européens » martyrs de la cause nationaliste et identitaire.
« Ce serait magnifique que l’on puisse parler d’une Europe, d’une véritable Europe. Pour faire ceci, il est important de commencer par s’inspirer du sang de nos martyrs. D’établir un calendrier annuel avec plusieurs rendez-vous qui seraient l’occasion pour nous de nous rencontrer.
Le 7 janvier, pour nous à Rome, c’est la cérémonie de la via Acca Larentia. Le 7 janvier on a perdu deux camarades, tués par des fascistes, des commandos, et un autre assassiné par la police. Et c’est ce drame-là qui a commencé une longue lutte armée en Italie.
Le 9 mai, je ne vous apprends rien, c’est la mort de Sébastien Deyzieu à Paris. Le 1er novembre avec Emmanuel Kapelonis et Giorgos Foudoulis, nos camarades grecs qui ont été assassinés à Athènes, et le 24 octobre à Madrid. Alors, cela représente le sang versé par les martyrs.
Mais on y trouvera aussi notre futur. Une simple parole peut changer le sens de la volonté. Cette parole qui va signer notre destin, celui de la victoire. La même qui nous permet de forger une forme de camaraderie qui dépasse les frontières, qui dépasse le monde. Nous avons des camarades en prison en France, en Italie, en Grèce où toute la direction d’un parti a été enfermée sans raisons ni motifs. Alors nous devons trouver la force de déclarer devant la presse et qui que ce soit, pour défendre nos camarades sur le principe de la victoire. »
Sébastien de Boëldieu et Gianluca Iannone de CasaPound, Konstantinos Boviatsis d’Aube dorée (DR)
Aube dorée, néonazis grecs
De son côté, Aube dorée, de son vrai nom Association populaire Aube dorée, est un parti politique grec d’extrême droite né dans les années 80. Qualifié de néonazi par la presse et les spécialistes de l’extrême droite, ses membres en ont toujours rejeté l’appellation.
Sous le slogan « Pour une Grèce qui appartiendra aux Grecs », il défend le nationalisme, le droit du sang, les thèses xénophobes. Il effectue dans les quartiers populaires des actions sociales qui lui attirent le soutien de la population.
A la fin des années 90, il participe aux élections, gagnant peu à peu dans les années 2000 de plus en plus de suffrages dans les différents scrutins, tout en restant sous la barre des 5% de voix.
A partir de 2011, s’engouffrant dans les failles laissées par la grave crise que traverse le pays, Aube dorée va prendre encore plus d’ampleur à mesure qu’il enchaîne les succès électoraux. Cinquième force politique du pays avec 7% des voix aux législatives de 2012 (21 députés sur 300 au parlement grec), quatrième lors des municipales à Athènes en 2014, Aube dorée, avec 9,4%, est devenue la troisième force politique grecque aux dernières européennes.
L’assassinat par un militant d’Aube dorée du rappeur antifasciste Pavlos Fyssas et l’arrestation de plusieurs membres importants du parti (son fondateur Nikólaos Michaloliákos, quatre autres députés) en 2013 n’ont pas enrayé ses succès électoraux.
Aujourd’hui, les vingt-et-un députés du parti sont sous le coup de poursuites judiciaires pour appartenance à une organisation criminelle. Le procès doit se tenir prochainement.
Le représentant envoyé par Aube dorée aujourd’hui est Boviatsos Konstantinos, attaché parlementaire du député européen grec du parti, Georges Epitideios.
Il va s’exprimer en italien. Après avoir exprimé son dégoût pour son lieu de travail (en l’occurrence le Parlement européen, « une grande farce »), il s’est lancé dans un plaidoyer pour les membres de son parti qui sont derrière les barreaux pour des raisons « injustes » :
« Il y a encore huit députés et près de 60 camarades emprisonnés. Leur seule faute, c’est d’être nationalistes et d’aimer leur patrie. Mes camarades et frères de lutte ont dit qu’il n’y a pas de chef d’inculpation. Chaque jour, ils inventent des accusations sans preuves. Nous sommes accusés d’être une“bande criminelle”.
Ça fait dix-huit mois qu’ils sont en train de chercher dans la montagne les sous-marins, des bombes, des chars d’assaut… Ils n’ont rien trouvé pour le moment. La seule chose que nous avons comme arme c’est notre âme. Ils ont essayé de nous enlever notre âme. Ils ont essayé de nous corrompre. Mais ils n’ont pas pu empêcher le peuple. Nous sommes une force laïque, d’un nationalisme laïque.
Nous sommes un mouvement qui est né du peuple, pour le peuple, et qui mourra avec le peuple.
Ils ont peur de nous et chaque jour, ils mentent devant la presse. Nous ne pouvons plus écouter ni la radio ni la télé en paix. Car nous sommes des criminels, des assassins. 600 000 voix sont considérées comme des criminels. 10% des voix aux dernières élections européennes, sont considérées des criminels. Nous avons trois députés au Parlement à Bruxelles, donc, selon le système, ils sont des criminels. »
Du « rock contre le communisme »
A ce moment, mon enregistreur n’avait plus de piles, et il était impossible d’en changer sans révéler à mes voisins dans la salle la présence de cet appareil strictement interdit en ces lieux.
De mémoire, après avoir appelé la foule à applaudir les « frères russes » qui se battent en Ukraine, l’orateur d’Aube dorée a interpelé le skinhead qui avait crié « l’islam » lors du discours du MAS pour lui redire que les musulmans n’étaient « qu’une invention du système pour tromper le peuple, et le dévier de son vrai combat, contre son vrai ennemi invisible ».
Plus tard, alors que la nuit est tombée sur les tours de La Défense, les premiers accords de guitare résonnent, les concerts vont commencer. Au programme, les Français de Baignade interdite, les Italiens de Bronson et de Blind Justice.
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Vendredi 19 décembre, soirée de fin d'année du GUD à Paris
02:02 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 13 décembre 2014
Un ouvrage pédagogique à l'attention des musulmans de France...
L'association Riposte laïque, animée par Pierre Casen, vient de publier un ouvrage pédagogique à l'attention des musulmans. Son auteur, Hubert Lemaire, nous livre ici les raisons pour lesquelles il a écrit ce livre plein de bon sens et qui peut donner des arguments forts à ceux qui s'opposent à l'islamisation de notre pays et de l'Europe.
En savoir plus cliquez ici
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FN et culture gay
Présent cliquez ici
A force de donner des postes aux ennemis de nos valeurs, le Front national de Marine Le Pen risque d’y perdre son âme. La culture gay est assez répandue comme ça pour que le responsable culture au FN n’en soit pas. Le mouvement a-t-il vraiment besoin d’un Jack Lang bis ?
Plus que son homosexualité c’est bien l’homosexualisme de Sébastien Chenu qui pose un problème. Son profil d’ancien secrétaire national de l’UMP et fondateur de Gaylib (association LGBT de droite et de centre droit) fait grincer les dents de nombreux militants du Front dont plusieurs ont menacé de partir. Le bureau politique de ce vendredi promettait d’être chaud. A ceux qui lui objectent qu’il s’agit d’une spectaculaire prise de guerre, Bruno Gollnisch s’agace :
« Je suis extrêmement étonné, pour ne pas dire stupéfait. Le reste de mes réactions je les réserve à notre présidente. Il incarne tout ce que nous avons combattu. Il se déclarait européiste, militait contre le rapprochement de la droite avec le FN… Il incarne tout ce que nous avons combattu depuis des années. Je sais bien que saint Paul est subitement devenu un apôtre du christianisme sur le chemin de Damas… mais de là à lui confier un secteur aussi essentiel ! »
Pourquoi prendre le risque d’une telle erreur politique, morale et culturelle, s’interrogent plusieurs cadres et élus.
« Son ralliement est la preuve de l’ouverture du RBM et que de plus en plus d’anciens adhérents UMP nous rejoignent », se félicite pour sa part Gilbert Collard.
Sébastien Chenu rejoint donc le seul parti qui a annoncé qu’il abrogerait la Loi Taubira sur le mariage pour tous et qui est opposé à tout communautarisme. Il explique l’avoir fait d’abord à cause de la soumission totale de l’UMP à l’Europe technocratique mais aussi de sa position sur le mariage homosexuel, qu’il juge « consternante ».
« Chasse aux pédés »
Florian Philippot s’est pour sa part félicité que le Rassemblement des patriotes soit en marche. Lequel Florian Philippot a fort à faire de son côté avec les révélations du magazine Closer qui publie des photos volées de son « week-end amoureux à Vienne » et qui balance ainsi au grand public son homosexualité. Car quand il s’agit du Front national on peut faire la « chasse aux pédés ». Et lâcher les chiens. Dans la sphère politico-médiatique, il est préférable d’être un homo PS, de gauche ou d’extrême gauche, que du FN, forcément… Quant aux associations si promptes à se rebiffer, curieusement elles sont muettes.
13:15 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
NE DITES-PLUS « DE CHARYBE EN SCYLLA (1) », MAIS DE KABOUL A MOSSOUL.
Pieter KERSTENS
(écrit à Damas le 2 décembre 2014)
Il n’est plus un mystère pour personne que Oussama Ben Laden avait été recruté par le prince Turki al-Fayçal – chef des services de renseignements saoudiens – vieil ami de la famille des milliardaires Ben Laden. Au service des américains, la libération de l’Afghanistan, envahi par les infidèles communistes fin 1979, devient pour Oussama son djihad personnel, sa croisade anti-communiste pour laquelle il recrute sur fonds saoudiens et américains des centaines de moudjahidines, affluant de tous les pays arabes. Après la déroute des armées russes et l’effondrement de l’URSS en 1991, Ben Laden va s’allier à la cause des talibans du mollah Omar et mettre en place Al-Qaïda (la Base), dans différents pays du monde musulman, avec l’aval de la CIA.
Vingt ans après.
En avril 2006, Al-Qaïda en Irak forme avec 5 autres groupes djihadistes le Conseil des Moudjahidines en Irak, au sein de DAESH contraction de « ad-dawia al islamiyya fi-l Iraq wa-s-sam (2) ». Avec la prise de Mossoul au printemps 2014 et une intense propagande audio/vidéo sur Internet, DAESH acquiert une sinistre renommée mondiale et impose la terreur comme marque déposée. « La Base » a échappé à ses créateurs américanos-saoudiens et a implanté ses métastases au Proche et Moyen Orient. Après l’Irak et la Syrie, le Liban et la Jordanie sont également menacés. Parce que parmi les centaines de milliers de réfugiés, des centaines et sans doute des milliers de salafistes, takfiristes et wahabites se sont aussi infiltrés et recrutent en permanence au nom de DAESH, au grand désespoir des gouvernements concernés.
Et là où la situation devient franchement nauséabonde, c’est lorsque l’on apprend d’une part, que le calife de l’Etat Islamiste en Irak et au Levant - Abou Bakr al-Baghdadi - a séjourné quelques années dans les prisons américaines, avant d’être libéré, et que d’autre part la télévision israélienne montre des ministres du gouvernement Netanyahu visiter des blessés de Jabhat al-Nostra, soignés dans les hôpitaux de l’état hébreux, et les féliciter pour leur combat contre le régime syrien ! Et que l’Etat d’Israël cherche à envenimer la situation en incitant les djihadistes à ouvrir de nouveaux fronts à Koussaya et Arkoub …au Liban !
L’enjeu du pétrole et des gazoducs.
Si les USA voulaient vraiment couper les vivres à DAESH, ils bombarderaient les convois routiers de pétrole, facilement identifiables par les vols de reconnaissance aériens mis en place par la coalition en cours. La volonté des USA de destruction des pipelines syriens a en réalité rien à voir avec la volonté de tarir les sources de financement de DAESH, mais vise à détruire plutôt les infrastructures pétrolières syriennes. Car l’estimation suivant laquelle DAESH retire 2 millions de dollars chaque jour de la vente de pétrole, ne provient que d’une seule source d’information, non vérifiée par ailleurs, qui est la société IHS, compagnie de consulting, basée au Colorado. Ce chiffre a été repris tel quel par l’administration américaine et les autres agences de presse. Ce montant probablement surévalué masque aussi le fait que DAESH reçoit des fonds de la part d’autres acteurs du conflit, comme le Qatar, l’Arabie Saoudite, d’autres états du Golfe et de la Turquie et sert de prétexte au ciblage des infrastructures syriennes.
L’objectif américain serait plus vaste que l’exploitation future du pétrole syrien, parce que les USA essaient de contrôler les flux de pétrole et leur vente aux autres nations ce qui est primordial dans leur projet d’hégémonie globale. Cette stratégie tient compte également des réserves de gaz de la Russie et de l’Iran. Ainsi selon le journal The Guardian : « Le président Assad avait refusé de signer en 2009 un projet avec le Qatar qui prévoyait la construction d’un gazoduc de son champ le plus au nord, contigu du champ iranien South Pars et traversant l’Arabie Saoudite, la Jordanie, puis la Turquie, avec comme but d’alimenter le marché européen et de fait de concurrencer la Russie. L’opinion d’Assad fut de protéger ses alliés russes qui sont les premiers fournisseurs de gaz naturel vers l’Europe.
Par la suite, Assad a développé un ancien projet de gazoduc alternatif avec l’Iran pour un coût estimé à 10 milliards de dollars. Celui-ci devait connecter l’Iran à la Syrie en traversant l’Irak, ce qui permettait à l’Iran de donner à son gisement de South Pars, commun avec le Qatar, un débouché sur le marché européen. Les documents officiels et les accords pour ce gazoduc seront signés en juillet 2012 entre les différentes parties, en même temps que la guerre civile syrienne gagnait Alep et Damas. Ce projet Iran-Irak-Syrie constituait un véritable camouflet pour les plans du Qatar ».
Le but du Qatar, en payant les rebelles, consiste à renverser le gouvernement syrien et à installer une opposition inféodée à ses intérêts afin de mener à terme son propre projet de gazoduc. La Turquie, l’Arabie Saoudite et la Jordanie partagent aussi des intérêts dans cette réalisation. Celle-ci rejoint l’objectif des Etats-Unis d’affaiblissement de la position stratégique de la Russie vis-à-vis de l’Europe.
Constatant leur échec quant à renverser Bachar al-Assad, les USA ont décidé de détruire ce qu’ils ne pouvaient contrôler. Et quand les médias occidentaux titrent : « Les forces coalisées bombardent les pipelines et les installations pétrolières de DAESH », ils oublient que ces infrastructures n’appartiennent pas à DAESH, mais au peuple syrien !
Les Etats-Unis et l’Europe ont recruté, entrainé, armé et financé des milliers de rebelles (venus aussi d’Europe) pour abattre le président Bachar – désigné comme un ignoble monstre par des ministres européens – et ce, depuis 2011. Aujourd’hui, ces rebelles modérés ont disparu et certaines sources militaires constatent que les katibas de DAESH disposent non seulement de missiles sol-air portables de type Strela et Igla, mais également de missiles anti-aériens chinois FN6 (une arme moderne et bien plus puissante que les missiles russes) livré par le Qatar. Il a été constaté récemment que les « terroristes » de DAESH possèdent aussi quelques missiles Milan qui, eux, ont été livrés par la France à l’ASL….
Conférence internationale sur la lutte contre le terrorisme et l’intégrisme religieux.
Organisée par le ministre de la Justice syrienne, Najem Ahmad à Damas les 30 novembre et 1er décembre, cette réunion a rassemblé plus de 300 personnalités politiques, religieuses, culturelles et sociales de 25 pays arabes et occidentaux, dont plusieurs observateurs français, belges et …américains.
Dans son discours d’ouverture le président du Conseil des Ministres, le Docteur Waël Halaqi a affirmé que la Syrie, son peuple, son armée et son gouvernement devaient aujourd’hui faire face aux gangs terroristes les plus dangereux : Daesh, le front al-Nostra (3) et al-Qaïda qui peuvent tout se permettre comme la destruction des infrastructures et les crimes les plus atroces. Le Docteur Halaqi a précisé que le terrorisme international est un problème mondial dangereux qui menace la sécurité et la paix et qui implique que la communauté assume ses responsabilités, étant donné que le terrorisme international n’exclut pas un peuple ou une région, mais qu’il compromet le monde entier.
Les participants à la Conférence internationale sur la lutte contre le terrorisme et l’intégrisme religieux ont estimé que le terrorisme est un « système intégral basé sur le pensée wahhabite, takfiriste et extrémiste et parallèlement sur un terrorisme politique, économique, médiatique, psychique, militaire et électronique, pratiqué par les pays occidentaux et les ennemis de la Syrie, contre elle. » Ils ont ajouté que « le terrorisme est un projet impérialiste et sioniste qui vise les politiques, les esprits, les nations et les projets patriotiques et nationaux, au travers des organisations telles que al-Qaïda, le front al-Nostra et DAESH. »
« Le terrorisme sioniste est l’un des piliers les plus importants du terrorisme international et il vise à réaliser les ambitions sionistes et à mettre en œuvre ses plans dans la région » ont indiqué les participants. En ce qui concerne l’illégitimité des sanctions imposées à la Syrie, les personnes présentes ont bien relevé que les interdictions unilatérales imposées par les Etats-Unis et l’Europe envers la Syrie sont illégales et inhumaines et conduisent à de graves répercussions sur la vie des citoyens, notamment par les crimes commis sur la destructions des infrastructures et installations industrielles, réalisés par des mercenaires entrés en Syrie ; les participants appellent en conséquence à une levée totale des sanctions injustes imposées à la Syrie. »
En outre, les participants déclarent que « les pays occidentaux et les Etats-Unis utilisent les sanctions économiques comme moyen pour soumettre les nations et comme outil contre les civils, au nom de la liberté et de la démocratie. » et en conclusion : « Les sanctions injustes imposées par les Etats-Unis et l’Union européenne envers la Syrie constituent une grave violation de la Charte des Nations Unies, des lois et des règlements internationaux, des Droits de l’Homme, du droit des peuples à l’autodétermination ainsi que de la souveraineté nationale. »
Les participants à la Conférence internationale ont recommandé dans le communiqué final la création par le forum d’une cour onusienne et populaire dont les magistrats seront choisis en coordination avec les membres de la Conférence.
Les participants « ont condamné toutes les parties impliquées dans le financement du terrorisme, en soulignant la nécessité que la lutte anti-terroriste internationale se fasse au sein de l’ONU sans porter atteinte à la souveraineté d’un pays, ou sans ingérence dans les affaires intérieures d’un état sous prétexte de lutte anti-terroriste. » Ils ont aussi affirmé l’importance de la nécessaire révision de la prédication religieuse pour lutter contre la violence. Ils ont considéré que le blocus imposé à des pays comme la Syrie ou la bande de Gaza, pour des raisons politiques, comme des actes terroristes, relevant que les sanctions économiques unilatérales imposées par les Etats-Unis, l’Union Européenne et d’autres pays contre la Syrie sont illégales et transgressent le droit international.
Par ailleurs le ministre de la Justice, Najem Ahmad a suggéré la formation d’un forum onusien et populaire pour lutter contre le terrorisme, et dont le siège sera à Damas. Il a souligné la nécessité de lutter contre l’idéologie takfiriste qui n’a rien de commun avec les valeurs de notre société qui, elle, préconise l’esprit d’affection et de tolérance entre les différentes religions, imputant à certains médias la responsabilité de la déformation des faits et la provocation à la violence et la sédition.
Damas by night…
Durant les quelques jours passés à Damas, nous avons pu librement circuler (sans chaperon) dans les différents quartiers de la ville, fréquemment contrôlés par l’armée, mais sans voir ni entendre d’affrontements armés. Selon plusieurs témoignages, la situation serait tout à fait différente dans la grande banlieue. Il est à noter que le centre historique et les souks sont soumis à un couvre-feu, car la disposition urbaine et l’entrelacs des ruelles -sans oublier les souterrains centenaires- favorisent une insécurité permanente.
Le pays est en guerre, mais cela n’a pas l’air d’émouvoir grand monde dans la capitale où la circulation est trépidante et les commerces bien achalandés. Avec quelques camarades nationalistes nous nous sommes promenés à plusieurs reprises à pied, à plusieurs kilomètres de notre hôtel, entre 22 h et 1 h 30, pour se rendre compte, entre autres lieux, que dans la discothèque « UPstairs », la jeunesse damascène paraissait totalement déconnectée des réalités. Nous avons pu, par ailleurs, admirer à l’hôtel Four Seasons les derniers modèles d’ambulances blindées et de véhicules 4 x 4 au logo de l’U.N (Nations Unies) disponibles pour d’hypothétiques interventions, pendant que leur personnel noyait ses ennuis au bar…
OUI, Damas est une ville paisible, accueillante et vestige d’une civilisation multimillénaire. Il est lamentable que les médias européens occultent la réalité, propagent des mensonges et distraient leurs population avec des bluettes concernant Julie et Valérie.
Au lieu d’envoyer nos avions bombarder les barbus dans le désert, il vaudrait peut-être mieux d’abord rétablir l’ordre dans nos quartiers !
Notes
(1) Quitter un mal pour un autre encore pire.
(2) Dirigé par le prince Abdul Rahman al Faiçal, fils du roi d’Arabie Saoudite.
(3) Contrôlé par le Qatar.
12:52 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal du Chaos de cette semaine :
Pour télécharger, cliquez ICI
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Le JT de TV Libertés de vendredi soir :
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vendredi, 12 décembre 2014
Ce samedi, à Strasbourg, manifestation contre la fusion ! Alsace d'abord sera présente.
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Demain samedi 13 décembre à 14 heures
Rassemblement à Strasbourg, Place de Bordeaux
LE PEUPLE ALSACIEN CONTRE LA FUSION
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Une initiative intéressante pour les familles : L'Histoire du soir...
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Le JT de TV Libertés de jeudi soir :
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Ce vendredi soir, sur Méridien zéro
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Un cache-misère nommé Sarkozy
Le billet de
Patrick Parment
L’UMP est une valise vide. Certes. L’élection de Nicolas Sarkozy est un cache-misère qui obstrue la guérilla interner que se livrent quadras et candidats officieux à la primaire de 2016. Si François Fillon semble de plus en plus hors jeu, Alain Juppé est persuadé que son heure est enfin venue. Il est non seulement le candidat officieux du Système, tant à Bruxelles qu’à Washington, mais encore le mieux placé pour recueillir les voix désenchantées d’une gauche orpheline pour qui il représente le moindre mal. Ce n’est pas avec lui que Vladimir Poutine trouvera grâce à ses yeux. Bien au contraire. Ce n’est pas un hasard non plus si, au dernier congrès de la CDU, Angela Merkel n’a pas distribué de bon point au président russe.
Toutefois, c’est sans compter sur le avoir faire de Sarkozy qui a plus d’un tour dans son sac et qui a largement démontré un savoir faire politique qui fait cruellement défaut à Juppé. Juppé est un homme seul avec une poignée de fidèles là où Sarko tisse des réseaux. Nous savons bien que Sarkozy ne veut pas de ces foutus primaires. Raison pour laquelle la bagarre ne fait que commencer. Sarko va laisser les quadras s’entretuer au sein du Barnum UMP. Ca va les occuper. La guerre a d’ailleurs commencé entre Wauquiez et Kosciusko-machin. Bruno Le Maire ne va pas tarder à entrer dans la danse, fort de ses 30% d’électeurs. Largement de quoi amuser Sarkozy qui va faire semblant de jouer les Monsieur Loyal. Deux ans pour que tout ce petit monde s’entretue avant que Sarko ne sorte la machine à claques et mette tout le monde d’accord. Car, si Sarkozy s’est donné la peine de remettre la main sur le parti, c’est bien parce qu’il sait que sans l’appui d'une puissante machine électorale, il y a peu de chance d‘être élu. Là est l’erreur de Juppé qui manque singulièrement de gnaque .
Le seul et unique souci de Sarko, ce n’est pas la piétaille UMP, mais bien le Front national qui est la petite bête qui monte inexorablement au sein du désert français. Les prochaines élections de 2015, départementales et régionales, risquent fort de redessiner le paysage politique français si d’aventure le PS disparaît de la scène. Que va faire François Hollande ? Sera-t-il tenté de dissoudre d’Assemblée nationale ? Autant de questions aujourd’hui sans réponse.
La seule certitude que nous ayons, c’est que les Américains qui ont vassalisé l’Europe, ne veulent pas entendre parler d’un quelconque retournement géopolitique en faveur de la Russie. Washington a rallumé la guerre froide, ce n’est pas pour voir l’Europe lui échapper. C’est bien sur cette question que Sarkozy comme Juppé joueront leur avenir. Et les cocus seront toujours les mêmes : les peuples européens. Pour combien de temps encore ?
01:32 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 11 décembre 2014
Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
01:37 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 10 décembre 2014
Le JT de TV Libertés de mercredi soir...
22:27 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi 11 décembre, à 19 h, Gabriele Adinolfi présente son nouveau livre "Années de plomb et semelles de vent"...
19:57 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3166 du 4 décembre 2014
IL FAUT reconnaître que l’humoriste Patrick Timsit sait parfois (mais pas souvent) être quelque peu amusant, même s’il est très loin du talent d’un Desproges ou d’un Dieudonné. Il y a quinze ans, il avait eu quelques petits soucis avec la justice pour avoir comparé les trisomiques à des crevettes roses, déclarant dans un de ses spectacles : « Tout est bon, sauf la tête ». Il fallait oser… Le voici qui récidive dans la provocation. La Shoah ? « Hitler nous aurait adorés, nous les Sépharades (Timsit est juif d’Afrique du nord), on lui aurait dit de ne pas aller en Pologne, c’est bourré d’Ashkénazes (les Juifs européens) ». Quant aux handicapés, « On peut en rire, mais ça coûte cher. Pour les nains, l’amende est à moitié prix. » Et les Rroms ? « Ils peuvent pas t’attaquer, il faudrait rentrer dans un commissariat. » Mais qu’en est-il de l’adoption ? Réponse : « J’ai commandé un Chinois sur Internet, quand je lui ai donné le bain, il a rétréci de 20 cm ». Excellent !
ENCORE UN PRÉLAT CONCILIAIRE TRAÎTRE À SA PATRIE ET À L’EUROPE !
Les habitants des quartiers populaires de Rome n’en peuvent plus. Les centres d’accueil pour immigrés clandestins leur rendent la vie impossible. Ils manifestent, de plus en plus massivement, contre ces nuisances. Le site Novopress nous raconte les hallucinantes déclarations, de “Mgr” Francesco Montenegro, “archevêque” d’Agrigente, président de la commission de la Conférence épiscopale italienne pour les migrations et de la fondation “Migrantes” pour l’accueil des immigrés. L’animateur de l’émission religieuse Stanze Vaticane lui a posé la question suivante : « Il y a eu des affrontements ces jours derniers entre réfugiés [sic] et habitants de Tor Sapienza qui ont attaqué le centre d’accueil. Les migrants [sic] hébergés par l’établissement seraient auteurs de vols, d’actes de vandalisme, de tapage nocturne. » Réponse du personnage : « Qu’on pense à ces réfugiés, qui doivent rester dans des centres dans toute l’Italie des mois et des mois, certains même des années, avant d’avoir une réponse [à leur demande de statut de réfugié, N.d.T.]. Si moi, par exemple, j’étais un migrant de 20/30 ans, qui doit rester toute la journée sans rien faire, à attendre une réponse sur son propre avenir, après quelques jours moi aussi je deviendrais méchant ! Ce sont des “grands garçons”, qui auraient envie de faire quelque chose avec nos jeunes, et on ne le leur permet pas. Au lieu de ça, ils sont contraints de vivre dans un centre d’accueil sans rien faire pendant des mois, à regarder la route et le ciel. Et nous voudrions en plus qu’ils deviennent impeccables. Ça serait ça l’accueil ? » Le journaliste insiste : « A propos d’Agrigente et de Lampedusa, nous vivons aussi aujourd’hui le risque que, parmi les migrants qui arrivent sur les bateaux depuis l’Afrique du Nord, il y ait aussi des infiltrés de l’ISIS… » Le collabo Montenegro répond: « Nous ne pouvons pas vivre comme si nous étions dans une bulle de savon ». Relisons, histoire de répliquer à cet imbécile ou à ce félon, Le Camp des Saints de Jean Raspail…
TAUBIRA DÉFEND LES VOYOUS… NOIRS ÉVIDEMMENT
Taubira est folle de rage. Dans une série de tweets rageurs publiés au petit matin, mardi 25 novembre, le garde des Sceaux, “afro-française” s’est ému de l’affaire Mickael Brown, du nom de ce jeune voyou “afro-américain” (c’est-à-dire noir) abattu par un policier blanc à Ferguson aux États-Unis. Ces messages ont été écrits juste après que la justice américaine eut décidé que l’auteur des coups de feu ne serait pas poursuivi. Se mêlant de choses qui ne la regardent pas, mettant en cause les décisions de la justice américaine (un jury a acquitté un policier blanc qui avait abattu le fou furieux noir qui le menaçait. Le policier était en état de totale légitime défense), Christiane Taubira a osé twitter « Quel âge avait Mickael Brown ? 18 ans. Quel âge aura le prochain ? 12 mois ». Et elle reprit les paroles d’une chanson de Bob Marley : « Tuez-les avant qu’ils ne grandissent ». Du coup, malaise. Les tweets du ministre de la Justice ont plus que choqué les Américains, ce qu’on peut comprendre. On était proche de l’incident diplomatique. Du coup, Stéphane le Foll, porte-parole du gouvernement, a jugé nécessaire de la recadrer, déclarant au sortir d’un Conseil des ministres : « Les États-Unis ont des règles, il y a des procédures en cours. Il faut se garder de faire des commentaires sur ce qui est en train de se passer aux USA ».
« En général, les ministres doivent éviter les positions politiques. Je pense que, surtout avec ses outils qui sont dans l’immédiateté, il vaut mieux prendre son temps et réfléchir ». Oui, mais, pas facile pour Taubira de réfléchir quand il s’agit de questions raciales… Taubira a un comparse dans l’affaire : Obama qui vient de déclarer « la police a un problème ». Sous-entendu : « Cette police qui est aux mains des Blancs. » En attendant, Ferguson, cette ville de 21 000 habitants, est à feu et à sang. Les manifestants noirs défilent, brandissant des pancartes « Mort aux Whitey » — mort aux Blancs (voir l’article page 7 de Paul Sigaud).
EXIT LA CROIX SUR LE BLASON DU REAL MADRID
Le blason du célèbre club de football espagnol présentait une croix qui surmontait la couronne royale au-dessus des couleurs du club. C’est terminé. Le partenariat du club avec la Banque nationale d’Abou Dabi a sonné le glas de cette fantaisie. La banque de l’Etat musulman a tout simplement exigé qu’on la gommât, ce qui fut fait promptement. L’argent n’a pas d’odeur… La banque d’Abou Dabi devrait prendre à sa charge le projet de complexe immobilier à thème à la marque du club, chiffré à 1 000 millions de dollars. Le président du Real Madrid évoque une « alliance stratégique avec l’une des entités les plus prestigieuses au monde ». Isabelle la Catholique, au secours !
DELANEY, SANS DOUTE NAZI, ÂGÉ DE TROIS ANS
Cette ahurissante histoire s’est passée en Angleterre : un enfant de 3 ans a été interdit de photo de classe pour cause de « coupe de cheveux extrémiste ». La directrice de l’école maternelle lui a interdit de prendre part à sa première photographie de classe, jugeant que sa coupe de cheveux était trop courte. La responsable de l’école, madame Stocker, a expliqué à la mère de l’enfant que sa coiffure enfreignait les règles de l’école en étant considérée comme “extrême”.
MARINE LE PEN ET LA CULTURE, IL Y A UN PROBLÈME
Paul-Marie Coûteaux, qui fut député européen, proche de Marine Le Pen et président de son micro-parti associé au Rassemblement Bleu Marine, le Siel (Souveraineté, Indépendance et Liberté), dont il vient d’être éjecté, balance dans le registre « Elle n’a aucune culture ». Il raconte : « Je lui ai dit un jour que le Front national ne pourrait jamais arriver au pouvoir sans alliés », racontant qu’il avait fait la comparaison avec la marche sur Rome de Mussolini, en 1922. Elle lui avait répondu : « De quelle marche me parlez-vous, Paul-Marie ? ». Coûteaux raconte aussi qu’il lui avait établi, en 2010, une liste d’œuvres classiques incontournables. On comprend qu’elle l’ait fait virer de la présidence du parti qu’il avait fondé, au profit de Karim Ouchikh… Elle préfère entonner le générique d’Albator et lire les livres de la collection Harlequin !
POURQUOI SARKOZY AVAIT-IL NOMMÉ RACHIDA DATI, MINISTRE ?
En meeting, récemment, à Boulogne-Billancourt, Sarkozy a expliqué pourquoi il avait nommé, en 2007, Rachida Dati ministre de la Justice. Ses ascendances maghrébines avaient été déterminantes dans son choix : « Avec père et mère algérien et marocain, pour parler de la politique pénale, ça avait du sens ». Il laissait entendre, tout à fait involontairement, en passant, qu’il y a un petit lien entre immigration et délinquance. Sarkozy a toujours eu, lui qui s’était décrit en 2007 comme « un petit français de sang-mêlé », du fait de ses origines hongroises et juives, une forte fascination pour l’ouverture à l’“autre”. Il avait déjà dérapé dans le passé, louant lors d’une visite en 2007 à Washington, l’audace des Etats-Unis d’avoir nommé un ministre des Affaires étrangères « pas Américain, canal historique », alors que Condoleezza Rice était née aux Etats-Unis de parents américains… Fin 2011, il dérapa une fois de plus, lors d’un déjeuner à l’Elysée, où il évoqua son « copain Obama », le décrivant ainsi : « Il est noir, vraiment noir. D’ailleurs, il marche comme un Africain ».
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19:51 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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