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lundi, 09 mai 2016

En attendant leur nouveau CD (avant l'été) et malgré une campagne de dénigrement lancée par l'extrême gauche, "Les Brigandes" font un tabac...

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Un franc succès ! Depuis quinze jours, tous le monde le réclame. Il est à nouveau disponible, vous pouvez commander le CD des Brigandes en ligne cliquez ici

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Lundi 9 mai à 20 h : hommage parisien à Sébastien Deyzieu

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Sébastien Deyzieu était un militant nationaliste. Il est mort le 9 mai 1994 à la suite de la dispersion d'une manifestation anti-impérialiste par les forces de police à Paris.

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3e congrès du Parti de la France : le discours de clôture de Carl Lang

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SECTARISME ET MILITANTISME

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Pierre-Marie Bonneau Jeune nation cliquez ici

« Sois radical, aie des principes, sois absolu, sois ce que les bourgeois appellent un extrémiste ; donne-toi sans compter ni calculer, n’accepte pas ce que l’on appelle la “ réalité de la vie ” et fais en sorte que tu ne sois pas accepté par cette “ vie ”, n’abandonne jamais le principe du combat. »

Julius Evola

Cette courte citation de Julius Evola (Rome 19 mai 1898 – 11 juin 1974) poète, peintre, penseur, philosophe et « métaphysicien » italien, mais surtout contre-révolutionnaire marqué par l’ésotérisme, souvent reprise mais plus rarement comprise, a nourri à l’encontre des défenseurs de la pensée politique fasciste l’accusation de vouloir étendre à tous les domaines de la vie celui de la politique. Il s’agit là d’une erreur fondamentale qu’il faut expliquer.

Tout d’abord, il convient de poser la question de la définition du militantisme politique : est-ce un loisir ? Selon le dictionnaire, un loisir est « un temps libre dont on dispose en dehors des occupations imposées, obligatoires, et qu’on peut utiliser à son gré. » D’évidence, le militantisme politique n’est pas un loisir, puisqu’il peut s’imposer à chacun et surtout exiger de chacun tous les sacrifices. Alors est-ce une passion ? Toujours selon le dictionnaire, une passion est « un mouvement affectif très vif qui s’empare de quelqu’un en lui faisant prendre parti violemment pour ou contre quelque chose, quelqu’un », et même, dans la philosophie scolastique et classique, « ce qui est subi par quelqu’un ou quelque chose, ce à quoi il est lié ou par quoi il est asservi, par opposition à l’action. »

Or le militantisme, et tout particulièrement le militantisme nationaliste, est action, parce que voulu de manière réfléchie. Le militantisme est la conséquence raisonnée du constat de l’état de déliquescence de la société française et procède de l’acceptation, voulue par celui qui s’y consacre, des sacrifices nécessaires au rétablissement d’une société pérenne et conforme à la tradition française. Il constitue pour chacun un impérieux devoir, c’est à dire, toujours selon le dictionnaire, une « obligation morale, considérée sous sa forme la plus générale. »

Il consiste avant tout, pour nous, nationalistes, à mettre tout en œuvre afin que la France redevienne un territoire, non pas un terrain de camping, un drapeau, non pas un pavillon de complaisance, un visage, non pas un masque de carnaval. Pour cela, il exige de tous discipline, dévouement, courage et persévérance. Il se développe dans un cadre nécessaire à son efficacité, sans quoi il dégénère en un activisme aussi vain que désordonné. il obéit en quelque sorte au principe de triple unité du théâtre classique français, transposé à l’action politique : l’unité de doctrine, l’unité de direction et l’unité d’action.

Il est le fruit d’une réflexion et relève de la raison, de cette faculté propre à l’homme, par laquelle seul celui-ci peut connaître, juger et se conduire selon des principes, par opposition à l’instinct. Le domaine de l’action militante, de l’action politique est donc nécessairement borné par celui de la politique elle-même, c’est à dire, dans ses trois acceptions classiques, de ce qui est relatif à l’organisation du pouvoir dans l’État, à son exercice, soit les institutions politiques, de ce qui est relatif à une conception particulière du gouvernement, des affaires publiques, soit les opinions politiques, les partis politiques, et enfin de ce qui est relatif à ceux qui détiennent ou qui veulent détenir le pouvoir dans l’État, l’exercer, soit les carrière politiques, les milieux politiques. Cela ne fait que reprendre la vieille locution issue de la traduction d’une partie d’un passage du Nouveau Testament (Marc, XII, 13-17; Matthieu, XXII,21; Luc, XX, 25) : « Rendez à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu » (En grec : Τὰ Καίσαρος ἀπόδοτε Καίσαρι καὶ τὰ τοῦ θεοῦ τῷ θεῷ).

Ainsi, nécessairement, le domaine particulier de la foi n’entre jamais dans celui de la politique. Certains, à tort, voyaient le fascisme construire une doctrine globale pour un État totalitaire, dans lequel temporel et spirituel eussent été confondus. C’est cependant là une fausse interprétation que Mussolini lui-même, (Doctrine du fascisme) démentait : « L’État fasciste n’a rien de commun avec les états absolutistes d’avant ou d’après 89. L’individu dans l’État fasciste n’est pas annulé, mais bien plutôt multiplié… L’État fasciste organise la nation, mais il laisse cependant aux individus une marge suffisante, il a limité les libertés inutiles ou nuisibles, mais il a conservé les libertés essentielles.»

C’est également ce que précise le Point VIII du manifeste nationaliste du PNF : « La loi doit garantir les libertés cultuelles pour autant que les activités religieuses ne portent pas atteinte à l’ordre public. »

C’est enfin ce qui distingue une organisation politique, pour exigeante qu’elle puisse être, par souci d’efficacité et de réalisation du but poursuivi, d’une secte : les croyances de chacun appartiennent au domaine privé et tant qu’elles n’empiètent pas sur le domaine politique, public, elles n’ont pas à être contrôlées, censurées.

C’est ce souci permanent, maurrassien, de distinction attentive et vigilante du domaine politique et du domaine religieux qui permet de considérer que la tradition française ne peut et ne pourra jamais accepter des religions d’importation ou d’influence massives récentes, qui, avant d’être un message de foi, sont des affirmations identitaires ou des projets politiques, parce que justement, foi et politique appartiennent à des domaines distincts.

Qu’on le déplore ou non, c’est un constat : actuellement, après plus de deux siècles de politique anti-chrétienne et singulièrement anti-catholique, la tradition chrétienne est sécularisée au même titre que le corpus juridique et intellectuel gréco-romain, le vieux fond ethnique celte ou gaulois et l’influence franque et germanique.

Nous pouvons considérer nécessaire pour la France sa rechristianisation et la dénonciation de la maçonnerie et autres sectes d’Anti-France, nous pouvons la soutenir, l’encourager. Cependant, cela ne relève pas du combat politique mais est du ressort de l’Église et de son clergé non renié.

Ainsi, sauf à trahir involontairement la tradition politique française elle-même par un excès de zèle inquisiteur, sauf à dénaturer le message religieux en lui donnant une place qui n’est pas, dans la France éternelle, la sienne, l’organisation politique n’a à contrôler, dans un État nationaliste, chez le militant et chez tous, que la conformité, dans la vie privée, aux principes de normalité. Si les extravagances, les scandales, les perversions doivent évidemment être combattus, le mode de vie, la foi, doivent rester du domaine de la conscience.

Seule doit être prise en compte, dans l’Amitié qui unit les militants, la sincérité de l’engagement politique : « venus de tous les horizons, la Patrie est notre raison. »

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dimanche, 08 mai 2016

Le Parti de la France a tenu son 3e congrès samedi à Bagnolet près de Paris

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Le Parti de la France a tenu samedi 7 mai à Bagnolet, près de Paris, son troisième congrès national. Plus de 400 délégués venus de toutes les régions ont participé à cet événement.

Il s'agissait, un an avant les échéances électorales de 2017, de définir la ligne et la stratégie du parti qui se revendique fièrement comme étant l'incarnation politique de la Droite nationale, populaire, sociale et européenne. Ce congrès devait aussi renouveler les instances dirigeantes. Carl Lang a bien sûr été réélu à la présidence et Thomas Joly au poste de secrétaire général du parti.

La matinée fut consacrée à l'organisation interne du PdF. Plusieurs cadres locaux ou nationaux, comme Myriam Baeckeroot (Yvelines), Pierre Deplanque (Charente), Christophe Devillers (Haute-Saône), Dominique Morel (Puy-de-Dôme), Dominique Slabolepszy (Nord), Mattieu Mautin (Mayenne), ainsi que notre ami et collaborateur Jean-Claude Rolinat intervinrent lors des tables rondes prévues à cet effet. Notons aussi la passionnante intervention de Franck Timmermans, fin connaisseur des questions électorales, qui vint éclairer les congressistes de sa grande expérience.

L'après-midi, ce sont les questions programmatiques qui furent abordées. De nombreuses interventions de qualité se succédèrent. Nous citerons celles de Martine Lehideux, de Katel Mautin sur la famille, de Christian Baeckeroot, Eric Pinel sur l'écologie, Roger Holeindre, Fernand Le Rachinel qui parla des difficultés des entreprises françaises dans le contexte actuel. Une révélation : Nicolas Goas, le jeune délégué national des étudiants du PdF, qui fit une intervention remarquable sur la nécessité de l'engagement de la jeunesse française. Intervention faisant appel à de nombreuses références allant de Charles Maurras à Dominique Venner. Une vraie synthèse...

Justement Synthèse nationale était aussi invitée à ce congrès. Notre stand reçu un grand nombre de visiteurs qui purent, pour certains d'entre eux, découvrir nos revues et nos éditions. Ce fut aussi l'occasion de retrouver de vieux amis.

Dans son discours de clôture, Carl Lang se livra à un véritable réquisitoire contre la classe politique française, il dénonça aussi les leurres qui mènent notre famille politique dans une impasse et il présenta des propositions concrètes pour reconstruire une France forte dans une Europe libérée. Ce sont ces propositions que la centaine de candidats annoncés du Parti de la France aux élections législatives prévues en juin 2017 défendront.

Après cinq ans d'existence et vue la réussite de ce troisième congrès, force est d'admettre que le Parti de la France devient, petit à petit, une force avec laquelle il faut maintenant compter.

Dans quelques jours, vous pourrez voir sur ce site les différentes interventions filmées.

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Roger Holeindre

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Carl Lang

11:11 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

David Martin, cadre historique du FN de la Somme, rejoint le Parti de la France

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David Martin avec Carl Lang et Thomas Joly

Chaque jour de nombreux cadres et militants du FN, en rupture avec la dérive de ce mouvement, rejoignent le Parti de Carl Lang. Ainsi, lors du congrès de samedi dernier, David Martin, dynamique candidat à de nombreuses reprises du FN dans la Somme, a annoncé son adhésion au Parti de la France.

David Martin et son équipe étaient présents à Nieppe (59) dimanche 24 avril lors de la 3e Journée nordiste de Synthèse nationale.

11:11 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 07 mai 2016

La 4e Journée régionale de Synthèse nationale à Lille, dimanche 24 avril dernier...

 Interventions de Roland Hélie, de Luc Pécharman

et de Robert Spieler

Comment empêcher la construction d'une mosquée en toute légalité.

Intervention de Guy Hamon (Riposte laïque)

Suite en début de semaine

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de Lille cliquez ici

23:02 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un muslim maire de Londres

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Dr Bernard Plouvier

Qu’il soit d’emblée évident pour tout lecteur qu’il ne s’agit nullement de mettre en doute l’honorabilité du nouvel élu, avocat et politicien professionnel (engagé dès l’âge de 15 ans dans le Parti travailliste). Très loin d’être une affaire de personne, le titre de cet article sous-entend une triple réalité : ethnique, religieuse et morale.

Les rues de Londres, de Birmingham et d’une foule d’autres villes britanniques (Irlande du Nord presque exclue) sont aussi pittoresques que les nôtres : on y croise énormément de têtes non-européennes, de voiles islamiques, de souks… et lors de son premier voyage en Grande-Bretagne, l’année 1981, François Mitterrand avait constaté ce qui n’existait pas encore en France à cette époque : une émeute raciale, dominée par les Jamaïcains (pour amateurs, lire Verbatim I, de Jacques Attali, témoin de première main).

Il faut reconnaître que depuis cette époque, nous avons rattrapé le temps perdu, grâce à une immigration massive en provenance d’Afrique noire et maghrébine et à sa natalité exubérante. En Grande-Bretagne, en plus d’Antillais et d’Africains assez émotifs et instables, l’on jouit d’une immigration asiatique, notamment indo-pakistanaise, composée de gens beaucoup plus calmes, talentueux et travailleurs (le nouveau Lord-Maire est un islamo-pakistanais).

Le recensement de l’An 2011 a démontré que le nombre de musulmans (muslims) avait doublé en dix années. Certes, Mohamed est le premier prénom attribué à des nouveau-nés dans la ville de Londres, mais les muslims n’y sont qu’un million sur les 8,4 millions d’habitants. Le problème est donc double.

Tout le monde le sait, il existe un défaut de natalité des Britanniques de souche européenne (c’est, en réalité, le cas de tous les pays d’Europe, occidentale, scandinave, danubienne et orientale) : le différentiel de natalité entre chrétiens (55% des Britanniques), athées déclarés (25%) et les muslims et hindous varie du simple au double ou au triple selon les quartiers des grandes villes.

La seconde partie du problème est évidente : il n’y a pas ou plus de conscience raciale chez les Européens. On avait déjà observé le phénomène aux USA lors des deux élections de Barak-Hussein Obama : il avait récolté 95% des voix de Noirs, mais aussi 40% des voix de Blancs.

Quels que soient ses mérites intrinsèques, le nouveau maire ne pouvait l’emporter par les seules voix musulmanes, même additionnées des voix de sujets non-musulmans provenant de l’immigration asiatique. À Londres, résident encore une majorité d’Européens de souche.

Il ne s’agit pas, dans ces considérations, de racisme : aucune race n’est supérieure à une autre. Il ne s’agit même pas de xénophobie : les non-Européens sont toujours les bienvenus comme étudiants, stagiaires ou touristes. Il s’agit de réfléchir à un simple phénomène de continentalisme : les Européens veulent-ils ou non demeurer les maîtres en Europe ?

Tant que cette question n’aura pas été résolue par l’affirmative, le continent ira dans le sens souhaité par les maîtres du métissage universel. Il est des moments, dans une civilisation, où la bêtise et l’irréflexion peuvent devenir suicidaires.

22:53 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jean-Marie Le Pen appelle à manifester dimanche prochain en honneur de Jeanne d'Arc :

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AUTISME, DOGMES, MENSONGES & UTOPIES

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Pieter Kerstens, notre correspondant à Bruxelles

Durant des décennies, le Royaume-Uni avec l’IRA et l’Espagne avec l’ETA ont connu un terrorisme ayant pour obectif essentiel l’avènement d’Etats indépendants.

Si les attentats commis par ces deux organisations avaient pour cibles des objectifs militaires dans leur grande majorité, nombreux furent les civils, victimes innocentes de tueries ou d’explosions aveugles dont le but était de mettre en péril les institutions des états.

La France a été confrontée elle aussi à d’innombrables attentats durant la période 1956-1963 lors de la guerre d’Algérie et ensuite 30 ans plus tard à ceux commis par le FIS et le GIA.

On ne peut donc pas prétendre que ces Etats et leurs gouvernements successifs ignorent les causes et les conséquences du terrorisme, d’autant plus que les services de renseignements, de l’armée et de la police avaient été mobilisés de longues années contre ce fléau. En outre, et depuis longtemps, différents systèmes de protection et de sécurité ont été installés dans le domaine public.

Tout ceci n’a pas empêché les attentats de Madrid à la gare Atocha en 2004, ni ceux du métro de Londres en 2005, capitale qui comptait plusieurs dizaines de milliers de caméras.

Le mensonge et la crédulité s’accouplent pour former l’opinion

Alors, malgré ces mesures prétendues « sécuritaires », la France a vécu les assassinats de Mohammed Merah en 2012, puis à Bruxelles ce fut la tuerie du musée juif par Medhi Nemmouche en juillet 2014, ensuite le massacre de Charlie Hebdo à Paris en janvier 2015, suivi de différents assassinats en province, pour aboutir au vendredi « noir » 13 novembre 2015 à Paris qui totalisa 130 victimes et des centaines de blessés.

Pourtant, des dizaines de milliers de policiers, CRS et militaires étaient mobilisés par les plans « Vigipirate » et « Sentinelle », sans compter les milliers de vigiles chargés de fouiller les sacs et colis suspects. Et que dire de la multitude de caméras installées partout entre 2005 et 2015 ? Tout ça pour ça ?

Le point d’orgue de cette succession macabre fut atteint le 22 mars 2016 à Bruxelles avec les attentats à l’aéroport et dans le métro : 35 morts et plus de 300 blessés, dont 25 sont toujours en soins « intensifs ».

Mais comment expliquer cette litanie de massacres d’innocents civils, alors même que ni l’armée ni la police présentent en tous lieux n’ont pu empêcher ceux-ci ?

A quoi servent toutes ces caméras, yeux virtuels de Big Brother ?

Quel fut le rôle des services de renseignements et d’espionnage ? Où est donc resté le principe de « précaution » ?

A posteriori, on pourrait dire : « Police partout, sécurité nulle part ! » et un observateur attentif de l’évolution de la délinquance et de la criminalité de conclure : « la Justice baisse les bras, la Police ferme les yeux… »

Niqabs, burqas, qamis et tutti quanti

On remarquera que les assassinats, les tueries et les attentats commis ces dernières années en Espagne, au Royaume-Uni, en France et en Belgique (où 23 suspects sont encore dans la nature) ont été revendiqués au nom de « Allah le Tout-Puissant ».

Pas de revendication pour l’indépendance de la Catalogne, de l’Ecosse, de la Bretagne ou de la Flandre…

Ces massacres sont destinés à répandre la terreur parmi les populations décadentes, afin qu’elles fassent pression sur leurs gouvernements respectifs pour faire cesser les actes hostiles et les campagnes militaires en terre d’ISLAM.

Et la réponse à ces attentats, des ministres qui nous gouvernent, se résume à des marches imbéciles au nom de « Charlie », à des attroupements de moutons en larmes, aux dépôts de gerbes répétitives, à des manifestations graphiques et à l’implantation de milliers de bougies (face au temple bruxellois du capitalisme apatride)… Toutes sortes d’expressions de peuples en déclin, soumis et incapables de sursaut, car décérébrés et manipulés par un Pouvoir impotent et incompétent.

Une nation qui se respecte, venge ses morts et ne pleurniche pas !

On ne fait pas la guerre en dentelle, ni avec des Kleenex

Cela fait déjà de nombreuses années que des criminologues et des experts du terrorisme rédigent des notes de synthèse à l’usage des ministres et des administrations en charge de la sécurité publique. Des milliers de rapports ont été transmis depuis les attentats du RER en 1995. Différents diagnostics ont été établis. Des décèlements précoces et des « modus operandi » ont été proposés.

Malgré tous ces avertissements, les Pouvoirs (de droite ou de gôche) n’en ont pas tenu compte, ont opéré des bouleversements dans les services concernés, ont multiplié les strates administratives et opérationnelles au point d’en arriver –en France comme en Belgique- à un véritable mille-feuille pour ce qui concerne la sécurité intérieure, impliquant des dizaines de hauts responsables pour chaque réunion majeure.

Et ces politiciens abrutis voudraient maintenant créer un organe regroupant l’ensemble des 28 pays d’Europe, ce qui pour un Etat-Major ayant « déclaré  la guerre à DAESH », reviendrait à convoquer des centaines de participants pour chacune de leurs palabres ! Les djihadistes doivent en pleurer de rire.

Ces pourriticards n’ont pas pu, pas su ou pas voulu anticiper, prévenir et déjouer ces massacres, dont le sang tache leur conscience. Leur suffisance n’égale que leur impéritie.

Les terroristes ont de beaux jours devant eux, d’autant plus que la majorité des chefs d’Etats et de gouvernements européens évoluent encore dans leur bulle droits-de-l’hommiste, persuadés que les chimères multiculturelles de la société du « Vivrensemble » et du « Padamalgam » sont l’alpha et l’oméga de notre société ! Totalement déconnectés de la réalité, ces éminences qui nous dirigent nous conduisent vers le chaos et un choc sanglant de civilisations.

Il est grand temps de porter le fer et le feu dans les tanières de l’Islam des wahhabites et des takfiristes, de rétablir l’ordre public dans les Zones de Sécurité Prioritaires et de stopper l’immigration/invasion.

Il n’est pas trop tard pour modifier une législation inadaptée à l’état de guerre et de réinstaurer une Cour de Sûreté de l’Etat.

Il est urgent de réactiver des services de contre-terrorisme et de rétablir la peine de mort.

Sinon, on n’en terminera pas avec le cancer islamiste qui propage ses métastases de plus en plus mortelles au fil du temps qui passe.

La mort pour les assassins. La vie pour les innocents !

01:55 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 04 mai 2016

Samedi 7 mai : 3e congrès du Parti de la France à Bagnolet (93)

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Samedi 7 mai, au Novotel de Bagnolet (1, avenue de la République à Bagoolet - 93), se tiendra le 3e Congrès du Parti de la France. Profitez de cet événement pour venir découvrir le Parti de la France et ses cadres. Le matin sera consacré aux élections et aux travaux internes du PdF et à partir de 14h, le Congrès est ouvert à tous.

Afin de faciliter l'organisation, merci d'annoncer votre présence au 06 38 73 25 61

Un stand de la revue Synthèse nationale

sera ouvert sur place.

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L'Aristoloche n°27 est paru

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Le lire cliquez ici

14:33 Publié dans L'Aristoloche (Pierre de Laubier) | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Plusieurs rendez-vous dimanche à l'occasion de la Fête nationale de Jeanne d'Arc

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10:23 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A Buzançais (36) les militants du Parti de la France s'opposent à l'arrivée des "clandestins"

Emmenés par Nicolas Goas, nouveau Délégué des étudiants du Parti de la France, militants du PdF et du FdF, ont organisé une action militante surprise à Buzançais (36), paisible cité où le gouvernement socialiste veut implanter un « centre d'accueil pour les demandeurs d'asile » (Cada) dans le but d'accueillir une centaine de clandestins dès l'été prochain.

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Il ne faudrait pas prendre nos maîtres pour des imbéciles

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Dr Bernard Plouvier

Sauf quelques Pygmées et deux ou trois Papous, tout le monde semble avoir compris qu’hormis la Chine, la Russie et leurs rares amis, la planète est dirigée par de richissimes personnages, inconnus pour la plupart, et dont la seule hantise est le réveil des nationalismes.

Lorsqu’on a beaucoup d’argent et que l’on domine l’essentiel des media, il est aisé d’inonder le grand village mondial de sa propagande. Celle-ci est fondée sur une très artificielle joie de vivre, procurée par la consommation - à crédit pour beaucoup -, rehaussée d’un pseudo-humanisme planétaire (autrefois, on eût employé l’adjectif de tiers-mondiste), teinté d’écologisme de pacotille – car sans assise scientifique - et de bons sentiments. En bref, pour singer le monde du Net, où l’on veut faire vite et se débarrasser de toute syntaxe : le bling-bling & le gnangnan.

L’Europe, par l’ancienneté de sa civilisation et le dynamisme de ses Nations, est, pour nos maîtres, un obstacle à la paisible jouissance de leur fortune et de leur toute-puissance. C’est la raison pour laquelle on lui impose une immigration massive d’individus exotiques et l’implantation de l’islam.

Venus de pays où le goût de la palabre et les rythmes de travail sont à l’opposé de nos conceptions, les immigrés (variante politiquement correcte : réfugiés en provenance de pays où nos bons maîtres ont semé haines tribales, chaos économique et guerre civile) ne peuvent qu’être – au moins pour longtemps – un boulet économique en plus d’être une plaie sociale. Quant à l’islam, seuls des sourds, des aveugles et des illettrés peuvent en méconnaître l’extrême dangerosité.

Face à l’éveil (tardif) en Europe occidentale et scandinave, de la fraction la moins abrutie par l’excès de jouissances et par la niaiserie, nos bons maîtres vont jouer la carte maîtresse, dont l’efficacité est connue depuis l’Antiquité, voire peut-être depuis la préhistoire : diviser pour régner.

Grâce à leurs fonds, d’autant plus illimités qu’ils manœuvrent à leur guise la planche à billets verts, et à l’omniprésence de leurs media, les maîtres de la société globalo-mondialiste vont, dans chaque grande élection, susciter une multitude de candidatures pour affaiblir leurs véritables ennemis : les populistes.

Car, de ce côté, il y eût toujours et partout, un excès de Divas et de francs-tireurs… si l’on préfère, un défaut de Chef et d’obéissance. Les sondages d’opinions, outre qu’ils sont souvent biaisés (voire truqués), oublient – volontairement ou non - de prendre en compte l’addition des candidats potentiels du même bord. Or cette addition apparente est une véritable soustraction qui se traduit quasi-automatiquement par l’élimination du scrutin final.

S’il est probable que – pour la présidentielle française de 2017 -, on procède à des primaires à l’américaine dans la droite-centre-marécageux et dans la gauche-bobo-caviar, il est beaucoup moins évident qu’on le fasse chez les populistes (ou nationalistes, comme on voudra)… faute d’unité, il est absolument évident que les patriotes ne seront pas représentés au tour final.

Plutôt que de s’intéresser aux prédictions des uns et des autres, il serait bon de se pencher sur le meilleur chemin d’aller à la défaite… et, par antithèse, sur l’unique condition d’une victoire : l’Unité.

00:23 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 03 mai 2016

En France, mieux vaut casser du flic que critiquer l'islam

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Pierre Cassen, Président de Riposte laïque

Dans un excellent article paru sur Boulevard Voltaire, Floris de Bonneville imaginait le discours que tiendrait François Hollande s’il se comportait vraiment en président de la République, suite aux agressions graves des forces de l’ordre qui se déroulent en France depuis plusieurs semaines.

Récemment, après la publication d’une affiche anti-flics de la CGT, le ministre de l’Intérieur s’était senti obligé de défendre ses hommes en rappelant qu’en 2015, 18.000 policiers et gendarmes avaient été blessés en service. Cela représente tout de même 50 membres des forces de l’ordre mis hors de combat chaque jour.

Sans doute par pudeur, Cazeneuve n’a pas ajouté que les seules forces organisées qui attaquaient la police étaient les racailles islamisées et les milices gauchistes.

On pourrait attendre, quand 150 des nôtres ont été exécutés par des soldats d’Allah en 2015, que l’appareil d’État, sa police, sa justice, son armée mettent toutes leurs forces pour éradiquer la menace islamiste. Pour cela, le gouvernement devrait permettre aux forces de l’ordre de protéger efficacement les Français, en arrêtant d’avoir 50 blessés tous les jours. Il devrait, d’autre part, donner des consignes à la justice pour qu’elle cesse de persécuter ceux qui, en expliquant ce qu’est réellement l’islam, permettent aux Français de comprendre pourquoi, depuis le 11 septembre 2001, 29.000 attentats mortels ont été commis au nom de ce dogme.

Mon expérience m’amène à constater qu’on est loin de ces priorités, dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve. Depuis deux mois, qu’ai-je vu, dans la mouvance du combat contre l’islamisation de la France à laquelle j’appartiens ?

Caroline Alamachère, rédactrice d’un site de réinformation, a été condamnée, le 10 mars dernier, par la 17e chambre, à 8.000 euros de dommages et intérêts à verser à une directrice d’école catholique, et à une amende de 1.500 euros. Son crime : avoir protesté contre le fait que, dans cette école, les élèves avaient dû apprendre par cœur une sourate du Coran.

Alain Jean-Mairet, président (suisse) d’un site répondant du droit helvétique, a été condamné par la même instance à 5.000 euros d’amende et à payer 3.000 euros à la LICRA. Son crime : avoir, sur ce site, autorisé un apostat de l’islam, tunisien, à publier un texte très critique sur les dérives sexuelles qu’autorisent les textes sacrés de l’islam. L’argument avancé : à cause d’Internet, l’article était disponible en France ! Notre pays s’est donc autoproclamé police mondiale contre l’islamophobie.

Le 14 avril dernier, j’ai été victime d’une perquisition en mon domicile. Sur commission rogatoire d’un juge parisien, les policiers m’ont « confisqué » mon téléphone portable et mon ordinateur. Mon crime ? Je suis suspecté (sans le début de la moindre preuve) d’être le misérable qui aurait envoyé un tweet représentant Anne Hidalgo, à genoux, en train de lécher une babouche musulmane, le jour où elle commémorait le ramadan, dans sa mairie. J’ai donc dû puiser dans mes économies pour me rééquiper au plus vite.

Quelques jours après, la dessinatrice Ri7 était convoquée par la même juge, et se voyait mise trois fois en examen ! Son crime : avoir été l’auteur du dessin incriminé, et qu’il ait été repris dans trois articles sur Riposte laïque !

Je conclus donc de tout cela que, dans la France socialiste, c’est bien d’être Nuit debout ou antifa. On peut casser du flic, on peut manifester, même pendant l’état d’urgence, on peut occuper la place de la République trois semaines durant en toute impunité, la transformer en dépotoir et en urinoir géant, vandaliser les boutiques, symboles du capitalisme et de l’exploitation, et aller se coucher tranquillement, à l’aube, sans être inquiété, en retrouvant son ordinateur à la maison.

Et en plus on est bichonné par les médias et invité sur les plateaux de télévision.

Je crois bien que je vais redevenir gauchiste : c’est nettement moins dangereux que de lutter contre l’islam !

Source Boulevard Voltaire cliquez ici

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Á son tour, Valls en colliers de fleurs en Nouvelle-Calédonie

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Michel Lhomme

Manuel Valls est venu ce jeudi à Nouméa, où il a annoncé des mesures conséquentes pour venir en aide au secteur du nickel en plein marasme, et évoquer l’avenir institutionnel de l’archipel, qui doit se prononcer par référendum en 2018 sur son indépendance.

Á Matignon, on est resté cependant des plus discrets sur les mesures décidées pour soutenir la principale activité minière calédonienne, le nickel étant victime d’une forte chute des cours, consécutive notamment au ralentissement de l’économie chinoise. La situation est grave et il s’agit même maintenant de sauver à la fois l’infrastructure économique, c’est-à-dire les investissements, et les emplois. L’État veut éviter toutes tensions sociales sur le territoire, tensions qui auraient finalement aussi un effet boule de neige sur la Polynésie française encore plus fragilisée et endettée vue l’importance de la main d’œuvre tahitienne présente en Nouvelle Calédonie. Le nickel, c’est 20 à 25% des emplois de l’archipel.

L’État est donc venu prêté main forte à la famille Duval, le deuxième actionnaire de la société minière Eramet, dont la filiale SLN, Société le nickel, opérateur historique du nickel calédonien, bat fortement de l’aile. Premier employeur privé en Nouvelle-Calédonie, la SLN est dans une situation financière catastrophique, accusant une perte opérationnelle courante de 261 millions d’euros en 2015. On parle pour sauver Eramet d’un prêt de 300 millions d’euros répartis entre l’État et la maison-mère.

Concernant l’avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie, avec le référendum prévu par les accords de Matignon (1988) et de Nouméa (1998), au plus tard en novembre 2018, on est aussi un peu dans le brouillard. L’indépendance sans argent c’est moins tendance et comble, on ne la souhaite carrément plus chez les Kanaks ! Qu’on soit indépendantiste ou non-indépendantiste, on se retrouve toujours sur la question de la monnaie.

Dans ce voyage, le Premier ministre était accompagné comme il se doit de la ministre des Outre-mer, George Pau-Langevin, de trois parlementaires et du footballeur Christian Karembeu, originaire de Nouvelle-Calédonie. Pour illustrer le nécessaire « rééquilibrage territorial » entre Nouméa et le reste de l’archipel, le Premier ministre s’est rendu samedi à Koné, dans la province nord, pour y visiter le chantier de construction d’un hôpital, puis à Hienghène, où il s’est recueilli devant la tombe de Jean-Marie Tjibaou, le père du nationalisme kanak. Il prendra la parole, dimanche, devant l’assemblée de la province des Iles Loyauté, avant de commencer, quelques heures plus tard une visite officielle à Auckland (Nouvelle-Zélande) qui, relève-t-on à Matignon, s’intéresse de très près à l’avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie.

A la fin, on peut vraiment s’interroger et se demander si toutes ses visites outre-mer du gouvernement seront payantes dans les urnes ? En fait, on n’y croit pas trop.

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Deux livres en Français pour mieux connaître Donald Trump et son programme

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Source Breizh infos cliquez ici

La presse française subventionnée déteste Donald Trump, trublion républicain qui affole la bien-pensance américaine. Mais les journalistes qui lynchent le milliardaire américain ont-ils seulement lu son programme politique ? Connaissent-t-ils Donald Trump ou se contentent-t-ils de réécrire ce qu’en disent leurs confrères d’outre-Atlantique ?

Il n’y aura bientôt plus la possibilité de raconter « n’importe quoi » en français dans le texte sur Donald Trump puisque deux livres à son sujet vont sortir. Le premier, « L’Amérique paralysée », est la traduction du livre programme de Donal Trump, sorti à la fin 2015 aux USA. Il sortira le 2 juin prochain aux Éditions du Rocher. Car pour comprendre Donald Trump, rien ne vaut sans doute la lecture de Trump lui même et de son programme lorsqu’il aborde tour à tour les thèmes de la politique extérieure et intérieure ainsi que sa vision de l’homme américain.

Un second ouvrage, plus partisan celui-ci, est déjà disponible aux éditions Dualpha. Il s’agit de « Donald Trump, le candidat du chaos », écrit par Nicolas Bonnal. Il est présenté comme suit : « La campagne des primaires pour l’élection présidentielle américaine affole tous les médias. Le républicain Donald Trump, tout comme le démocrate Bernie Sanders reflètent la rage patriote et la souffrance sociale du peuple américain trahi par ses élites. Populiste argenté, provocateur patenté, Donald Trump est certainement le plus révolté des deux, soumettant l’édifice planétaire du puritanisme verbal à rude épreuve. Cette parole sauvage débouchera-t-elle sur une présidence hérétique tant redoutée ? L’important n’est pas là. Elle permet de retrouver le génie rebelle du populisme américain, qui défend des thèmes aussi controversés qu’en France avec le refus d’une immigration incontrôlée – déjà critiquée vers 1900 –, des guerres inutiles ou du messianisme humanitaire, du libre-échange et de la désindustrialisation qui en découle. Le combat héroïco-comique et chaotique de Donald Trump contre le lobby technocratique américain finit ainsi par revêtir une dimension mythologique. Il manifeste aussi, alors que l’Europe sombre dans un nihilisme obtus, le grand réveil américain.

Ce livre décrit la lutte de Donald Trump et la revanche du peuple américain contre sa propre matrice.»

Essayiste et chroniqueur politique entre autres sur le site EuroLibertés, Nicolas Bonnal est l’auteur d’une quinzaine de livres sur la politique, l’identité, l’initiation et le cinéma et notamment récemment du « paganisme au cinéma » que nous avions recensé ici. Il évoque son livre ci-dessous avec son éditeur.

Entretien avec Nicolas Bonnal, auteur de Donald Trump, le candidat du chaos (éditions Dualpha, propos recueillis par Fabrice Dutilleul).

Pourquoi un livre sur Donald Trump ? Pour profiter de son succès ?

Pour deux raisons essentielles, en fait… D’une part, cette campagne présidentielle américaine est la plus intéressante de ces dernières décennies. C’est ce que dit le célèbre animateur de radio et de télévision américain Larry King qui a aussi déclaré que Donald Trump est un « moghol », un grand du monde médiatique et charismatique. Bernie Sanders est d’extrême-gauche et Hillary Clinton, candidate officielle de « l’empire humanitaire », est très impopulaire. Cet « empire » est en crise, comme le reste du monde. Le programme chaotique et contradictoire de Trump reflète ce malaise et cette folie américaine.

Ensuite, parce que je voulais depuis longtemps écrire un livre sur les USA, qui traite de sujets politiquement incorrects.

C’est-à-dire ?

Du refus de l’immigration par exemple. L’Amérique de souche s’est fait imposer la conception du Melting Pot et la notion de refuge pour masses opprimées. Au début du XXe siècle, un grand mouvement antimigratoire se dessine, qui aboutit aux lois Harding et qui refuse en Amérique les immigrés balkaniques, italiens, slaves ou autres. Les Américains de souche, soit les descendants des coloniaux, n’ont jamais été tous contents de se voir peu à peu remplacés sur leur sol, surtout après la suicidaire et humanitaire Guerre de Sécession. Il y a donc depuis un malaise perpétuel et Donald Trump le reflète presque involontairement – mais messianiquement –, d’où la haine qu’il inspire.

Le sujet Trump évoque pour vous les sites libertariens et la théorie de la conspiration…

Les sites américains comme zerohedge.com, economiccollapse ou prisonplanet, sont riches et bien informés. Il y a une forte tradition anti-système dans ce pays, alors que, chez nous, tout reste bloqué à droite par le culte républicain de l’État-nation ou du Moyen Âge chrétien ! Trump surfe sur le mécontentement social et politique, intellectuel même. « On » ne veut pas de politiquement correct, et on argumente beaucoup mieux qu’en France où l’on ne comprend pas que l’État-nation en France est une entité hostile depuis longtemps, mais caricaturalement, surtout depuis 1793 et surtout 1870. La république dévore la France comme Saturne ses enfants…

On s’éloigne de Donald Trump…

Pas du tout. Par son rayonnement mondial et la haine imbécile suscitée, Donald Trump incarne le dernier sanglot de l’homme blanc, peu à l’aise dans un monde qui n’est plus le sien. Cela m’a poussé à écrire ce livre pour expliquer les raisons de la colère américaine, où le téléspectateur chauve a remplacé le paysan blond de Steinbeck. Les chiffres de la santé, de la sécurité, du chômage sont cachés dans ce pays encore donné en exemple.

Vous ne le prenez pas toujours au sérieux !

Attendez, on est en Amérique, c’est un nabab entouré de belles slaves et un présentateur télé, et c’est son émission dénommée L’Apprenti qui en a fait une star, avec son train de vie à la Ronaldo ! Trump est un riche mondialisé, cosmopolite qui joue au populiste casanier. D’où ses contradictions (plus ou moins de guerres ?), son manque de sérieux (la guerre à l’Iran, mais pas à l’Irak ?), le vague de ses cibles (la Chine ? le Mexique ?), la provocation stérile (construire un mur avec le Mexique ?). Mais tout cela fait partie de cette atmosphère de chaos que nous évoquons dans notre titre.

Vous évoquez la notion d’État profond…

Trump en parle peu et il a tort. Car il incarne le recours contre l’État pour ses électeurs révoltés par leur pauvreté soudaine, la répression idéologique et physique, la barbarie médiatique et humanitaire. Aussitôt, Apple, Lady Gaga, le pape François et la Fed se sont levés comme un seul homme (ou comme un seul androïde) contre The Donald soudain revêtu de la personnalité de Daniel Boone ou John Wayne (d’ailleurs les enfants Wayne le soutiennent, tout comme Clint Eastwood). Trump a toujours eu un côté franc-tireur et grande gueule. Par exemple il a dit récemment qu’il n’avait pas besoin des gens de Wall Street ; qu’il les connaissait, mais qu’il n’en avait pas besoin. Dans un pays contrôlé par l’argent, cette confession est appréciable. C’est pourquoi il ne faut pas jeter l’eau du bain avec le bébé !

Et ses provocations ?

Elles font partie de la panoplie du populiste et elles n’étaient même pas nécessaires pour faire parler de lui. Mais quand il ne provoque pas, il est très bon. Il dit que les négociateurs iraniens sont les meilleurs du monde, parce qu’ils sont perses : quel bel hommage ! Il dit aussi que les négociateurs chinois ridiculisent les négociateurs américains lors des traités de commerce : il est évident qu’il a raison. Et on se retrouve dans une société avec soixante multimilliardaires et cent millions de crève-la-faim. 47 % des Américains n’ont pas 400 dollars de cash devant eux !

On pense là au chercheur en sciences politiques américain Francis Fukuyama…

J’aime beaucoup Fukuyama qui mérite d’être lu et relu ! Il a insisté sur la mégalothymie ; cette puissante ambition guerrière et politique à notre époque de tyrannie humanitaire est ce qu’on reproche à Donald Trump. Il dégage une aura de grand blond macho, de mâle alpha sorti du meilleur des mondes, et cela rend fou le système. On verra ce qu’en pense l’électeur même s’il a été suffisamment abruti comme ça.

Donald Trump, le candidat du chaos de Nicolas Bonnal, 202 pages, 25 euros, éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire », dirigée par Philippe Randa. Pour le commander, cliquez ici.

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lundi, 02 mai 2016

COMPRENDRE CE QUI SE PASSE EN SYRIE !

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Un livre incontournable pour ceux qui veulent comprendre le conflit importé qui ravage la Syrie.

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Une nouvelle série de CD historiques

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Pour celles et ceux qui refusent que la mémoire s'éteigne, une nouvelle collection de CD : "Les pages oubliées de l'histoire de France".

Jean-Pax Méfret écrit,

raconte et chante Camerone

Camarón au Mexique. Le 30 avril 1863. Une bataille héroïque dans une hacienda en ruines Soixante-deux légionnaires et leurs trois officiers face à plus de deux mille combattants mexicains. Neuf heures de combats. Le refus de se rendre. Une leçon de bravoure. Qui étaient ces soldats ? Que venaient-ils faire au Mexique ? Jean-Pax Méfret associe son professionnalisme d’ancien grand reporter à son talent de conteur pour retracer avec précision cette page oubliée de l’histoire de France.

Le CD est présenté dans un boîtier cartonné (digipak) avec un livret de 16 pages.

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Dimanche prochain, 8 mai, défilé en honneur se Jeanne d'Arc

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Réinfo, le mag du Parti de la France de cette semaine

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Le discours de Jean-Marie Le Pen du 1er mai 2016

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dimanche, 01 mai 2016

REFLEXes est-il hitléro-trotskyste ?

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Max Hime & ses amis

Depuis des décennies, le site d'information REFLEXes sévit à l'encontre de tout ce qui lui paraît relever de "l’extrême droite". Son activité consiste pour beaucoup, suivant les critères de ces grands démocrates, à compiler des données sur les individus jugés "dangereux", leurs activités, leurs proches. Ce travail de taupe est généralement suivi de délations publiques via ledit site. On peut imaginer que ces renseignements sur les personnes ainsi suspectées d'idées ou d'activités fascistes puissent être communiquées à d'autres réseaux actifs dans les administrations, la justice … REFLEXes semble aussi avoir inspiré de nombreux organes similaires comme LA HORDE, FAFWATCH, LES ENRAGES, etc … Après des décennies de publication, le site n'affiche toujours aucun directeur de publication, aucune adresse physique, et il n'y a pas la possibilité d'y exercer un quelconque droit de réponse. Des gens peuvent donc être mis au pilori, dénoncés de diverses manières, leur carrière menacée, leurs proches atteints, et cela sans qu'ils puissent se défendre.

Cette situation est illégale et punie par la Loi en la confiance en l'économie numérique. A l'évidence, REFLEXes s'apparente bien plus à une publication professionnelle structurée, soumise de fait au droit de la presse, qu'à un blog de collégiens qui pourrait effectivement prétendre légalement à garder l'anonymat. La chose, cependant, n'a jamais semblé émouvoir nos gouvernements de droite comme de gauche ! De la même façon que les revendications d’agressions à l'encontre des supposés mal pensants, comme par exemple les paisibles Antigones ce 14 avril dernier, et publiées sur LA HORDE. Elles constituent pourtant autant d'aveux que d'incitations à la violence ! Cette incroyable impunité, ainsi que sa longévité, a contribué petit à petit à ce que REFLEXes devienne pour les médias une sorte de référence en matière d’extrême droite, ou de quoi que se soit de prétendue comme tel, comme si ces informations venaient d'un média ordinaire, voire institutionnel.

Cette attitude est d'autant plus curieuse pour des journalistes professionnels que l'équipe de REFLEXes n'a jamais caché son hostilité envers les démocraties occidentales. C'est fort bien expliqué par la plate forme « antifa-net » , créée par la même équipe  : « dans cette guerre qui nous oppose en premier lieu à la société marchande, à l’état sécuritaire et à l’ordre moral, les fascistes et les nazi sont  nos ennemis et ceux du mouvement social comme le sont la police, l’armée, les juges, les procureurs et tous les représentants de l'ordre social et moral actuel …  »

Il n'y a donc rien d'étonnant à ce qu'une récente plainte à l'encontre de REFLEXes, ait pu révéler comme directeur de publication un certain Monsieur Yves PEIRAT. Cet individu pourrait bien être le « Don Quichotte poseur de bombes », selon les termes du journal Libération en février 2001. Il avait été condamné à l'époque à un peu de prison pour des attentats à l'encontre, pèle mêle, du consulat d'Italie, de permanences du FN, du garage d'un cadre du même parti, d'un transformateur électrique de la ville de Vitrolles ou de la direction départementale du travail et de l'emploi … Monsieur PEIRAT avait alors déclaré en être venu là de par l'exemple et l’influence de son grand père antifranquiste, ancien cadre du parti ouvrier ouvrier d'unification marxiste - le POUM pour les intimes. Mais est-il au courant que le POUM et ses dirigeants, à l’exception de quelques-uns dont son grand père, ont été liquidés en 1937 par les staliniens espagnols, et non par les franquistes ? Selon la Pravda de l'époque, il s'agissait de dangereux « hitléro-trotskystes. »

En tous cas, la Direction Départemental du Travail et de l'Emploi de Marseille, le FN, ou les transformateurs de la ville de Vitrolles, n'y sont vraiment pour rien …

Quand aux journaleux de la presse bourgeoise en quête d'informations, puissent-ils comprendre que ce ne sont pas les ennemis déclarés de la société actuelle, de ses valeurs et de ses institutions, qui soient les mieux placés pour donner le la de ce qui bien ou pas en politique.

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Samedi 7 mai : forum de l'Europe nationaliste à Paris

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