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mardi, 10 avril 2018

Tribune libre : Pourquoi nos dirigeants mondialistes haïssent-ils leur peuple à ce point ?

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Victor Hallidée Riposte laïque cliquez ici

Nombre de personnes se posent cette question qui revient de façon sporadique, obsédante :

Pourquoi cet acharnement à détruire l’avenir des générations futures et à faire de la France  un futur Liban ?

Pourquoi les dirigeants des pays d’Europe de l’Ouest ont-ils opté pour le suicide… celui des peuples et des pays dont ils ont la charge ?

Autre modalité de formuler la question : pourquoi les pays de l’Est résistent-ils ? Pourquoi ont-ils encore l’amour de leur pays et de leur culture chevillé au corps ?

Ce qui sauve les pays d’Europe de l’Est, c’est qu’ils n’ont pas connu Mai 68, qu’ils n’ont pas été décérébrés par l’idéologie libertaire.
Tandis qu’en Europe de l’Ouest, la génération soixante-huitarde a déstabilisé notre édifice anthropologique : destruction des valeurs chrétiennes ; destitution du père et de toutes les figures représentatives de l’Autorité ; destruction de la famille ; déni de la différence  sexuelle ; frustrations homosexuelles et post-féministes ; retour du refoulé chrétien : culpabilité, haine de soi.

On ne peut rien comprendre si on ne prend pas en considération que cette génération parricide soixante-huitarde et post-soixante-huitarde, aux affaires depuis plus de trente ans, constituée en oligarchie euromondialiste, s’est fixée un but qui ne peut être avoué aux populations.

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09:26 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pour un syndicalisme réellement national

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Arnaud Malnuit

Pour les amateurs de comptes ronds, surtout s’agissant des anniversaires de la droite nationale, on peut effectivement signaler qu’en 2018 on célèbre les 45 ans de la première participation du Front National à des élections (en l’espèce les élections législatives), les 40 ans de l’assassinat de François Duprat, les 30 ans du décès accidentel de Jean-Pierre Stirbois.

C’est-à-dire lors que la droite nationale se dotait de sa propre structure et qu’elle affirmait qu’elle était aussi la droite populaire et sociale.

Mais les souvenirs ne s’arrêtent pas là, en effet, à la lecture du numéro de Pour un ordre nouveau datant de décembre 1972 (et dont certains exemplaires ont été disponibles à nouveau la vente grâce à nos amis de Synthèse nationale), au-delà de l’annonce de la création du Front Nationale est évoquée l’Union Générale des Travailleurs (UGT) qui se voulaient une réponse aux syndicats marxistes (la CGT étant sous le contrôle du PCF, FO abritait des trotskistes et la CFDT défendait l’autogestion version Yougoslavie titiste), s’inspirant des syndicats créés en Italie à l’instigation du Mouvement Social Italien. Cette UGT n’eut jamais de réelle existence et il fallut attendre les tentatives de création de syndicats par le FN au milieu des années 1990 pour voir la droite nationale retenter de créer un syndicalisme alternatif. Tentatives tuées dans l’œuf grâce à des lois votées en faveur des bureaucraties syndicales, avec le concours conjoint de la droite et de la gauche.

Ces dernières années, le FN canal officiel a préféré défendre les centrales existantes et pire les soutenir, alors que ces dernières n’ont de cesse de proclamer qu’elles excluent leurs membres et responsables défendant des idées patriotiques…

N’oublions pas non plus que ces centrales syndicales vivent de ce modèle social antifrançais que j’ai évoqué dans une précédente chronique.

Sans parler de la CGT soutenant la régularisation des clandestins…

Alors oui, il importe de créer un vrai syndicalisme national dont le premier mot d’ordre serait la préférence nationale à l’embauche et l'exclusivité nationale pour les prestations sociales. Un syndicalisme qui ne s’opposerait pas aux petits patrons, aux dirigeants de PME, aux indépendants. Mais qui au contraire les soutiendrait contre les multinationales et nos gouvernants qui bradent notre pays… Un syndicalisme qui proposerait d’autres modes d’actions que la grève pour ne pas nuire à ces PME et aux salariés pleinement touchés par ces conflits sociaux.

Source Parti de la France cliquez ici

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Jeudi 19 avril à Strasbourg : Bruno Gollnisch invité du Bastion social

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09:02 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 09 avril 2018

Hervé Van Laethem (Nation Belgique) prendra la parole le 13 mai à 10 h lors de la Jeanne d'Arc de la Dissidence française

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18:20 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 28 avril, commémoration de la naissance du Maréchal Pétain

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Réinfo, le magazine du Parti de la France

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Victoire écrasante de Viktor Orbán en Hongrie

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Source Visegrad Post cliquez ici

Dimanche 8 avril, Viktor Orbán et sa coalition Fidesz-KDNP ont remporté les élections générales et atteint la majorité constitutionnelle des deux-tiers du parlement. Viktor Orbán commence ainsi un troisième mandat consécutif qui durer jusqu’en 2022.

Après une campagne longue, lourde et très violente (verbalement et symboliquement), les Hongrois ont voté dimanche 8 avril pour choisir de nouveaux représentants au parlement national – monocaméral, qui élit le Premier ministre.

Malgré la réorganisation de l’opposition, les tentatives de coopération des divers partis, la mise en place de tactiques électorales visant à se désister en faveur du candidat d’opposition favori contre le Fidesz… malgré les appels de résistance à la dictature, et malgré les appels à aller voter de la part des anti-Orbán, l’opposition dans son ensemble n’a pas améliorée la somme de ses scores et son nombre de députés.

Alors que normalement, Budapest favorise les partis libéraux, le Fidesz a fait de bons résultats à Budapest : et les circonscriptions budapestoises où l’on a le plus voté sont celles gagnées par le Fidesz. En plus de cela, la forte participation a également été due à la mobilisation des petites villes de province, presque toutes acquises au Fidesz.

Résultats 

Les Hongrois ont deux votes. L’un pour un député local – dans chaque circonscription, le gagnant du tour unique devient député – et l’autre pour une liste nationale, autrement dit, un parti politique.

Pour les votes de listes, le Fidesz fait 49,51% (44,37 en 2014), et récupère 135 sièges pour le moment, dont 91 sur 106 de gagnés dans les circonscriptions). Le Jobbik, deuxième avec 19,61% des votes de liste, obtient 27 députés, alors que les socialistes du MSZP-P arrivent à 12,3% sur les listes, et gagnent 20 députés. Le DK de l’ancien Premier ministre socialiste Ferenc Gyurcsány a fait 5,55%, et gagne 9 députés et le LMP avec 6,87%, récupère 7 sièges. Le président du Jobbik, Gábor Vona, démissionne, ainsi que la direction du MSZP. Un candidat indépendant et un député de la minorité allemande entrent également au parlement, ainsi qu’un député du micro-parti libéral-libertaire Együtt (dont la direction démissionne).

L’opposition voyait la forte mobilisation comme un signe fort d’une vague anti-Orbán : au final, il s’agit en effet du plus haut taux de participation depuis 2002. Pour le Fidesz, il s’agit d’un “soutien incontestable, et d’une légitimité énorme”. Le Fidesz récupère la majorité constitutionnelle des deux-tiers du parlement.

“Nous avons gagné,” a dit Orbàn. C’est un véritable plébiscite pour Orbàn et sa politique économique à succès et son opposition à la vision cosmopolite de Bruxelles (migrants, métissage, multiculturalisme, destruction des identités et rejet de la religion).

Dans la circonscription de Péter Márki-Zay, le candidat sans étiquette devenu maire avec le soutien de l’opposition unie, la participation a été plus forte que la moyenne et s’est soldée par une victoire écrasante du Fidesz, en élisant János Lázár.

“Une grande bataille est derrière nous,” a déclaré le Premier ministre durant son discours de victoire tout juste avant minuit. “Nous avons remporté une victoire décisive. Nous nous sommes généré la possibilité de protéger la Hongrie”. Mais le Fidesz voit plus loin et très vite, dans la presse, on entend que “cette élection ne concerne pas que la Hongrie, mais aussi toute l’Europe”.

“Aujourd’hui, la participation ne laisse aucun doute,” a-t-il dit en taclant ceux qui prophétisaient un coup dur pour le Fidesz du fait d’une importante participation.

“Aujourd’hui, la Hongrie a connu une grande victoire”, a dit Viktor Orbán, avant de rappeler, à l’issue d’une victoire à plates coutures, que “l’on doit être humble care il y a de quoi être humble”.

“J’aimerais aussi remercier ceux qui ont prié pour nous…pour moi. Soli Deo Gratia!” a conclu le Premier ministre avant d’inviter la foule à chanter la marche de Kossuth, suivie par l’hymne national.

Et maintenant ?

Avant toute chose, il faut noter que plusieurs porte-paroles de l’opposition estiment que l’élection n’a pas été libre. Des observateur de l’OSCE ont prévu pour lundi 9 avril une conférence de presse pour parler des irrégularités qu’ils ont enregistrées. Une vingtaine d’étudiants ont tenté de bloquer un carrefour de Budapest pour protester contre les résultats. Mais aucun heurt ou trouble sérieux n’est à déplorer.

Le Visegrád Post publiera dans les jours qui viennent une analyse plus poussée des perspectives de ce début de mandat. Ce qui est certain, c’est que Viktor Orbán jouit d’une légitimité incontestable et que cette victoire va démoraliser encore plus une opposition désunie, épuisée par sa lutte longue et tenace durant des mois durant, et saignée par les démissions en série suivant les résultats du 8 avril.

10:31 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pour comprendre la Hongrie : lisez le dernier livre de Jean-Claude Rolinat

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10:30 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 08 avril 2018

Le Sixième Œil

Echelon-216x300.jpgGeorges Feltin-Tracol

Certaines nouvelles passent inaperçues. Dans quelques mois, le premier niveau d’habilitation de sécurité nationale, le « Confidentiel Défense », sera supprimé. Il est pour l’instant encore accordé aux détenteurs d’informations dont la divulgation nuirait à la défense nationale ou favoriserait la découverte d’un fait classé « Secret Défense » ou « Très Secret Défense ». En pratique, il porte sur les opérations militaires extérieures, la lutte anti-terroriste, la traque des réseaux criminels transnationaux, la protection d’installations sensibles (les sites nucléaires) ainsi que les études en matière stratégique.

Le motif officiel de cette suppression est une meilleure rationalisation des critères de confidentialité. Or, le n° 447 de la lettre fondée par Emmanuel Ratier, Faits et Documents (du 15 au 28 février 2018) donne la véritable raison. Le retour de la France dans l’OTAN voulue par Nicolas Sarközy et poursuivie par François Hollande implique l’alignement des services secrets de l’Hexagone aux normes et coutumes de leurs homologues anglo-saxons. Faits et Documents explique qu’en décembre 2015, Paris a signé un accord à Washington qui associe la France au système des « Cinq Yeux » bien connu depuis l’affaire Echelon au milieu des années 1990.

En 1946, les États-Unis et la Grande-Bretagne adoptaient un accord de communication des renseignements : le traité UKUSA. Y adhérèrent ensuite le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Ainsi le monde anglo-saxon a-t-il pu espionner tous les continents au moyen d’une surveillance électronique généralisée. Les « Cinq » deviennent les « Six Yeux » avec l’arrivée de la France dans l’« Anglosphère » planétaire. Ainsi l’Hexagone perd-il toute liberté nationale effective. Quant à son indépendance nationale, elle est déjà bien évanescente, voire ectoplasmique.

Cette intégration risque toutefois de poser quelques problèmes dans la transmission prochaine de renseignements essentiels avec des États exclus de cette coopération renforcée. La France a en effet conclu une quarantaine d’accords avec les États-Unis, l’OTAN et ses membres (hormis le Canada et l’Islande), mais aussi avec l’Australie, le Japon, le Brésil et la Russie. Jusqu’à présent, la France gardait une relative latitude avec ses partenaires. Ce ne sera désormais plus le cas. Le principal risque de cette inclusion est que les terroristes islamistes soient moins ciblés que les opposants au CETA, au TAFTA, à l’atlantisme et au mondialisme.

Si cette collaboration touche en priorité les forces armées, il faut enfin craindre que se renforcent les connivences étroites entre les États profonds hexagonal et yankee au moment où Washington met son veto à la vente de Rafales à l’Égypte. La minable classe politicienne française a choisi l’appel de l’Atlantique. Cela ne présage rien de bon pour l’avenir des Européens.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°73, diffusée sur Radio-Libertés, le 6 avril 2018.

23:31 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce que les mots veulent dire...

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Claude Bourrinet

Des néologismes tels qu'islamo-fascisme, ou islamo-nazisme, outre qu'ils peuvent rendre un grand service, par amalgame avec la résistance palestinienne, à la civilisation de garde-frontière qui s'est imposée entre le Jourdain et la Méditerranée, jettent sur une partie de la survie politique de ce qui reste de notre nation, si pénible, une lumière flageolante. Il est vrai que ces vocables, comme il est normal dans le champ sémantique de la propagande, servent à empêcher de penser, et sont utilisés comme des armes d'anéantissement de l'adversaire, réduit à l'infâme, avec qui on ne discute pas – si tant est qu'il soit susceptible de dialogue.

On ne tentera pas ici de répondre à cette manipulation linguistique par une enquête sur l'histoire de l'islam, et de son face à face avec un Occident chrétien dont le moins que l'on puisse dire est qu'il n'eut pas toujours la main légère. La prise de Jérusalem, par exemple, en 1099, se termina par le massacre intégral de ses habitants, en comptant les femmes et les enfants, cela va sans dire. Soulignons au passage que là où les musulmans accordaient aux chrétiens un statut de dhimmi, qui est toujours mieux que celui de mort, les Européens interdisaient intégralement sur les territoires qu'ils occupaient toute autre religion que la chrétienne, à l'exception du judaïsme, que l'on tolérait à peine, pour des raisons religieuses (sauf à expulser les Juifs, comme en Espagne, où ils soutinrent jusqu'au bout le colonisateur musulman).

Nous pèserons plutôt ce que l'on entend par « fascisme » ou « nazisme », ce qui n'est pas exactement la même chose.

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23:28 Publié dans Claude Bourrinet, Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

JEAN-VINCENT PLACÉ (BELLE FIGURE DE LA RÉPUBLIQUE) : FAITES CE QUE JE DIS ET PAS CE QUE JE FAIS...

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11:42 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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03:06 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 07 avril 2018

Le Pen, c’est un peu de notre patrimoine. C’est la dernière bête (immonde, bien sûr) de scène.

Arnaud Florac Boulevard Voltaire cliquez ici

Tout ou presque a été dit, écrit, raconté sur lesdits Mémoires, que ce soit avant, pendant ou après la sortie. Souvent, l’auteur s’est lui-même chargé de la promotion de son ouvrage, avec le talent (immense) qu’on lui connaît : c’est toujours, sur les plateaux de télévision, la même silhouette d’ours érudit, la même gourmandise visible à incarner le diable en personne, la même rhétorique fluide et robuste ; l’homme et son masque n’ont pas pris beaucoup de rides. On commence même à le laisser parler quand il est interrogé : il faut dire qu’avoir eu raison avant tout le monde, cela vous pose un homme, fût-il nonagénaire. Reconnaissance tardive, mais c’est déjà ça.

Ses Mémoires surprennent. Bien sûr, il y a une quantité de choses que l’on s’attendait à y trouver, et pour lesquelles on peut acheter le livre. Les pages de Jean-Marie Le Pen sur l’amour de la France, sa condition de pupille de la Nation, son engagement en Algérie et sa vie étudiante dans le quartier Latin relèvent maintenant du chromo, et elles sont à ses discours ce qu’une cascade en hélicoptère était à un film de Belmondo : on l’attend, on ne s’en lasse pas et c’est même pour ça qu’on paie sa place.

On s’attend aussi à un exercice de sincérité ; là encore, on en a pour son argent. Sur De Gaulle (hautain, moche, narcissique, menteur etc.) et Pétain, sur les communistes français (leur lâcheté, leur omniprésence dans les médias du temps, leur aveuglement), sur la presse en général, Le Pen travaille au scalpel, avec beaucoup de justesse et une froideur clinique. À mon humble avis, tout est vrai.

Mais, au-delà de ce que l’on s’attendait à trouver, il y a aussi et peut-être surtout un ton, une voix, un véritable style d’écrivain (eh oui !). L’éducation des jésuites, me direz-vous, qui obligeaient les petits Vannetais du collège où étudiait le jeune Le Pen à apprendre des centaines de vers grecs, latins et français chaque trimestre. Cela forge, certes, davantage que les Pokémon. Mais, à mon sens, cela ne suffit pas à expliquer la richesse et la finesse de ces Mémoires : tour à tour lyrique, grandiose, tendre, émouvant, truculent ou rigolard, le vieux briscard de la droite est incroyable. Tout bonnement. Il ne semble pas y avoir de recomposition, de réinvention des faits dans ces pages. On ne voit pas les coutures, tout est parfaitement exécuté ; on partage son émotion (à son départ de l’Indochine par exemple), ses emportements, ses joies et ses admirations. Ne serait-ce que pour le style, ces Mémoiresméritent déjà amplement d’être lus.

Et puis, enfin, Le Pen, c’est un peu de notre patrimoine. C’est la dernière bête (immonde, bien sûr) de scène. Avant le triomphe des loukoums de sous-préfecture et des petits banquiers gommeux, il y avait des tribuns et nous l’avons oublié. Ca cognait dur, ça buvait apparemment ferme, on s’emportait avec des formules à la française (l’éloquence et la gouaille, l’argot, la métrique et la culture classique : comme un Audiard, quoi) ; la politique était un métier d’excessifs, le genre dangereux, du brutal.

En refermant ce premier tome, on attend impatiemment le deuxième, bien sûr, sonné par le destin et la faconde du vieux chef. Clou du spectacle, une discrète métaphore nous est peut-être livrée à la page 55 : « J’ai même persuadé ma mère que nous avions découvert un trésor et, de guerre lasse, pour ne plus m’entendre, pour me confondre (ou l’avais-je à moitié convaincue ?), elle m’a accompagné le chercher. Il n’y avait rien, bien sûr. »

Eh non, chers électeurs, il n’y avait rien. Peut-être. Mais c’était rudement bien raconté.

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vendredi, 06 avril 2018

Le témoignage vibrant d’Hubert de Mesmay contre le néo-FN marino-philippotiste

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Jérôme Bourbon

HUBERT de Mesmay, ancien conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, militant du Front national pendant plus de trente ans, est un homme d’honneur et de fidélité. Fidélité à ses engagements, à la parole donnée, à ses convictions, à ses amis, au combat national. Aussi a-t-il vécu très douloureusement la révolution copernicienne qu’a connue le Front national sous l’ère de Marine Le Pen. L’abandon des fondamentaux, le mépris de la base, des militants sincères et désintéressés l’ont choqué, l’odieux parricide exécuté par Marine Le Pen envers un père auquel elle doit tout a achevé de l’ulcérer, de l’écœurer. Pour Hubert de Mesmay le Front était une grande famille et Marine Le Pen, cornaquée par Philippot, en a changé l’âme et le cœur nucléaire : gauchisme économique et sociétal, démagogie à tous les étages, promotion d’arrivistes et d’invertis, incompétence totale sur le plan technique, souverain mépris des militants et des cadres qui sont traités comme de la piétaille et qui n’ont qu’un droit : se taire, obéir inconditionnellement sans se poser (ni poser) de questions.

Ce sont toutes ces dérives programmatiques et doctrinales, toutes ces trahisons politiques, humaines et morales qui expliquent pour l’auteur l’échec à la présidentielle et aux législatives de 2017 et singulièrement le crash du 3 mai. Si l’on veut faire le bien autour de soi, en politique, comme dans la vie, il faut avoir non seulement des principes, mais il faut avoir du cœur, il faut aimer les gens, être à l’écoute, ne pas se montrer méprisant et arrogant, ne pas croire que l’on sait tout et que l’on n’a besoin de personne. Pour l’auteur Marine Le Pen a péché par démesure, par hybris : elle a pensé qu’elle pouvait tirer un trait sur quarante ans de Front national, se comporter en infirmière politique qui, avec quelques brancardiers, Aliot, Philippot, Collard, euthanasie le père, lui administre la piqûre létale sans en subir à un moment ou à un autre les conséquences politiques, humaines et spirituelles. Mais l’homme est responsable de ses actes et toutes les fautes, surtout lorsqu’elles sont lourdes, tous les crimes, surtout s’ils sont affreux, se payent cher un jour ou l’autre. On n’a pas assez noté que le débat calamiteux du 3 mai 2017 arriva jour pour jour deux ans après la suspension de Jean-Marie Le Pen par le bureau exécutif. Les sept mercenaires avaient agi en mai 2015 tel un peloton d’exécution, deux ans plus tard Marine Le Pen s’est elle-même exécutée. Après avoir voulu suicider le père, elle s’est suicidée elle-même. Il y a dans tout cela l’expression d’une justice immanente.

DU PARRICIDE AU “PARTICIDE”

En homme sincère, passionné et désintéressé, soucieux d’avoir pour seule boussole la recherche de la vérité, désireux de donner un témoignage authentique, de raconter ce qu’il a vu et entendu, Hubert de Mesmay retrace minutieusement, en entomologiste avisé, les étapes successives de ce grand remplace- ment à l’intérieur du Front national : grand remplacement des idées, des hommes, des âmes. Il relate en détails, avec une plume sûre et des propos clairs et incisifs, tous les événements qui se sont succédé depuis l’arrivée de Marine Le Pen à la présidence du FN lors du congrès de Tours en janvier 2011 et qui ont conduit au désastre de 2017 et à l’élimination d’une formation vieille de près d’un demi-siècle puisque la benjamine de Jean-Marie Le Pen veut en changer le nom. Ce qui est somme toute logique, c’est la dernière étape de son œuvre de liquidation. Après avoir voulu euthanasier le père, elle entend liquider le parti. Après le parricide, le “particide” !

Hubert de Mesmay retrace toutes les purges, les exclusions et épurations de militants valeureux et honnêtes, l’abandon du combat pour la famille et l’accueil de la vie, l’absence du Front national et de ses principaux dirigeants dans le combat contre le “mariage“ homosexuel, contre le lobby LGBT, contre la théorie du genre. Comment peut-on prétendre défendre la civilisation si l’on ne défend pas le principe du mariage entre un homme et une femme, si l’on n’affirme pas clairement qu’un enfant doit avoir un père et une mère ? L’auteur stigmatise également le renoncement au combat contre l’immigration et l’islamisation, l’islam étant pour Marine Le Pen compatible avec la France qu’elle confond avec la République.

Il faut lire ce témoignage poignant et authentique d’un valeureux soldat du FN canal historique, canal honoraire qui démontre qu’il n’a rien à voir avec un néo-FN canal hystérique et canal “déshonoraire”.

Autopsie d’un crash annoncé, par Hubert de Mesmay, 276 pages avec appareil de notes, plusieurs annexes et un glossaire. Editions Synthèse nationale, décembre 2017.

RIVAROL numéro 3323 du 28 mars 2018, page 10. Editions des Tuileries, 19 avenue d’Italie, 75 013 Paris.

Le site de Rivarol cliquez ici

Le livre d'Hubert de Mesmay :

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18:09 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les Brigandes interdites en Allemagne

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Les Brigandes étaient invitées à présenter deux concerts à Arnstadt en Allemagne devant plusieurs centaines de personnes le week-end du 13-14 avril. Le concert était organisé dans une salle municipale. Récemment, la ville a prévenu l’organisateur que, sur « conseil » de l’Office Fédéral de Protection de la Constitution (plus ou moins l’équivalent de la DGSI en Allemagne), les Brigandes ne pouvaient pas se produire dans une salle municipale ! Les concerts sont donc annulés.

En quoi Les Brigandes menacent la Constitution de l’Allemagne, nous ne le savons pas. La municipalité d’Arnstadt ne s’est pas encombrée de justifications. La seule chose que nous pouvons en déduire est que Les Brigandes sont de facto interdites sur le territoire allemand.

Le blog des Brigandes cliquez ici

Les CD des Brigandes cliquez là

18:08 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

DIMANCHE 13 MAI à 10 h : ROLAND HÉLIE À L'HOMMAGE À JEANNE D'ARC DE LA DISSIDENCE FRANÇAISE

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L'émission Synthèse de jeudi dernier avec Fabrice Grimal

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Michel Geoffroy : Qu’est-ce que la Super Classe Mondiale qui nous dirige ? Réponse en 10 points

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Michel Geoffroy Polémia cliquez ici

1/ La Super Classe Mondiale (SCM)n’est pas un fantasme : elle existe bien et elle a pris le pouvoir en Occident et notamment en Europe Occidentale.

Elle est propriétaire des médias, elle finance le microcosme culturel, les ONG et les groupes de pression et elle impose partout une politique qui va à l’encontre de la volonté du corps électoral. En France elle a réussi à faire élire son candidat lors de la présidentielle de 2017 : Emmanuel Macron

2/ La SCM correspond à la domination sans limite de l’économie et de la finance sur la société et sur la souveraineté politique, qui s’est produite à la fin du XXème siècle.

La SCM regroupe les super riches qui veulent s’enrichir toujours plus, grâce notamment à la dérégulation économique et financière. Grâce aussi à la modification des lois fiscales à leur profit. Grâce enfin au « socialisme des riches » qui consiste à mettre à la charge de la collectivité les charges induites par la mise en œuvre des politiques libre-échangistes, pendant que ses bénéfices reviennent à la seule oligarchie

La SCM incarne la domination sans partage de la loi de l’argent, donc la réduction des hommes à l’état de simple ressource au service des plus riches.

Pour cette raison on ne pourra remettre à sa place la SCM, si on ne régule pas l’économie et la finance mondiales

3/ La SCM incarne aussi le retour d’une vieille eschatologie: la prétention hérétique de bâtir le paradis sur terre et d’unifier le genre humain, sans attendre la venue ou le retour du Messie, prétention qui a été reprise par le messianisme protestant et sa croyance en la destinée manifeste des anglo-saxons. Cetteeschatologie fonde le projet cosmopolite ou mondialiste de la SCM, qui se prétend éluepour ce faire.

Ce projet est bien un complot contre la liberté, la souveraineté et l’humanité de l’homme. Car le gouvernement mondial n’ouvrirait pas la voie à une « démocratie planétaire » mais au contraire à la dictature mondiale de l’oligarchie.En accusant les autres de complotisme la SCM pratique en réalité l’inversion accusatoire.

4/ La SCM est une classe sociale : c’est une oligarchie transnationale qui partage plus de traits communs qu’avec sa population d’origine. C’est une classe qui se croit suffisamment éclairée pour prétendre faire le bien des gens malgré eux.

Elle correspond au parti de Davos : de ceux qui se rencontrent tous les ans lors du World Economic Forum de Davos, qui partagent la même vue du mondelibérale/libertaire et cosmopolite et qui l’imposent aux gouvernements.

5/ La SCM a pris le pouvoir en Occident grâce à la conjonction de trois changements historiques majeurs au cours du XXème siècle : l’avènement de la surpuissance anglo-saxonne, la fin du socialisme et du communisme et enfin la mondialisation de l’économie. La fin du socialisme et du communisme a notamment provoqué le grand soulagement des super-riches qui n’ont plus à craindre en Occident une révolution qui menacerait leurs privilèges et leurs intérêts : avec l’immigration, les délocalisations et bientôt l’intelligence artificielle, ils pensent même avoir trouvé le moyen de remplacer les peuples puis de se passer d’eux. Et la mondialisation a donné aux grandes entreprises transnationales plus de pouvoirs que de nombreux Etats, de plus en plus paupérisés.

Les milliardaires anglo-saxons ont toujours eu la prétention de gouverner le monde. Mais à la fin du XXème siècle, ils ont fini par croire qu’ils en avaient désormais la possibilité.

6/ La SCM fonctionne par la mise en synergie de 4 cercles ou engrenages: le cercle de la richesse financière et économique transnationale, le cercle des médias et de la culture, le cercle des organisations non gouvernementales et de la société civile, enfin le cercle des élites publiques. Le cercle de la richesse financière et économique transnationale est celui où la puissance est la plus concentrée et la plus opaque : il dirige, influence et achète tous les autres cercles.

Le premier cercle ne comprend que quelques milliers d’individus, mais les autres cercles sont plus nombreux, en particulier parce qu’ils regroupent des idiots utiles.

La SCM repose pour cette raison sur un pouvoir impersonnel, désincarné et collégial donc insaisissable (par opposition à la tradition de l’incarnation du pouvoir en Europe)

7/ La SCM est une oligarchie et non pas une élite : elle préfère toujours l’influence des autres à l’engagement personnel direct.

C’est pourquoi on peut assimiler son action et son projet à un complot, car elle refuse de le soumettre au verdict démocratique : elle veut au contraire l’imposer subrepticement en le rendant inéluctable. Pour cette raison elle s’est rendue maîtresse du pouvoir médiatique en Occident, qui sert à ahurir la population, à diffuser l’idéologie libérale/libertaire et cosmopolite et à diaboliser tous ceux qui s’opposent au projet de la SCM.

8/ La SCM fait avancer son projet et son agenda selon une dialectique du chaos et du contrôle. Elle sème le chaos partout comme moyen de détruire la résistance psychologique et l’homogénéité des peuples : c’est principalement le rôle dévolu au chaos migratoire en Europe. Mais aussi au chaos économique, conséquence de la dérégulation systématique, qui place les populations en insécurité économique et sociale croissantes. Ou au chaos moral qui sert à déstructurer les personnalités. Enfin la SCM ne répugne pas à la guerre comme moyen chaotique.

Le chaos sert ensuite de prétexte à l’instauration du contrôle : la SCM substitue à la souveraineté nationale, le contrôle de la population, qui correspond à l’instauration de la post-démocratie en Occident. La post-démocratie illustre le caractère totalitaire du gouvernement mondial que la SCM voudrait instaurer à son profit : un système où les peuples se voient retirer le pouvoir de changer de politique, où les juges supplantent les législateurs et dont l’Union Européenne constitue le laboratoire

9/ L’idéologie libérale/libertaire et cosmopolite a été le principal vecteur de l’instauration du chaos au service de la SCM en Occident. Parce qu’elle a contribué à détruire toutes les régulations qui faisaient obstacle à l’instauration du règne de l’argent. Et parce qu’elle a contribué à diffuser un individualisme radical qui détruit tout ordre social et qui ouvre la voie à la marchandisation du monde et finalement de l’homme lui-même.

Mais la SCM pratique le double standard permanent : dans son comportement interne elle fait tout le contraire de la doxa libérale/libertaire qu’elle préconise pour le reste de la population : elle est hiérarchique, patriarcale et elle aspire au monopole, au pouvoir opaque et au contrôle, non pas à la liberté, à la transparence et à la concurrence

10/ La SCM a réussi à mettre l’Europe en servitude et à s’enrichir démesurément. Par contre elle va échouer au XXIème siècle à contrôler le monde. La SCM n’est donc pas omnipotente: en fait le monde est en passe d’échapper aux mondialistes, en particulier parce que le cœur nucléaire de la SCM -les pays anglo-saxons- est entré en déclin, et parce que le monde devient multipolaire. L’idéologie de la SCM peine à s’imposer partout et en Europe même, elle soulève une opposition croissante.

L’oligarchie en a bien conscience et il ne faut donc pas exclure que la SCM ait recours à la guerre mondiale pour tenter de garder son leadership coûte que coûte.

C’est aussi pourquoi les Européens doivent se libérer de la tutelle de la SCM, qui ne peut que conduire à leur destruction, et pour cela, s’ériger en pôle de puissance autonome.

La Superclasse mondiale contre les peuples, Michel Geoffroy, Editions Via Romana, 475 pages, 24 €

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Dimanche 13 mai à 14 h : l'hommage à Jeanne d'Arc de Civitas

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09:16 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 05 avril 2018

Et que l'on ne vienne pas nous dire que nous faisons dans le racisme... Adressez-vous à Jean-Vincent Placé, belle figure de la bien-pensance institutionnalisée

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Merci Marsault cliquez ici

19:36 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 04 avril 2018

Jeudi 12 avril, Gabriele Adinolfi interrogé par Philippe Randa lors du dîner mensuel des Lansquenets à Paris

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23:16 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’ITALIE BIEN PLACÉE POUR DÉCLENCHER UN KRACH FINANCIER

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Marc Rousset

Le LIBOR, le taux de référence interbancaire pratiqué à Londres pour plus de 350.000 milliards de dollars de produits financiers et d’emprunts, vient d’atteindre son niveau le plus élevé depuis huit ans, à 2,2 %. Entre 2010 et 2015, il n’était que de 0,15 %. Lors de la dernière crise financière en janvier 2008, il s’était élevé jusqu’à 5,5 %.

De son côté, le président Jens Weidmann, de la Bundesbank, a déjà prévenu, le lundi 26 mars, que « les anticipations d’une hausse des taux par la BCE à la mi-2019 n’étaient pas complètement irréalistes ». L’italien Draghi est sur le départ. Les faucons ont déjà pris le pouvoir à la BCE. La hausse des taux pourrait faire dérailler les coûts de la dette de pays comme la France et l’Italie.

La fin, qui approche, de la politique monétaire d’assouplissement quantitatif va ôter son bouclier protecteur à l’Italie, en pleine convulsion « populiste », avec une dette publique qui représente 132 % du PIB. Les achats obligataires de la BCE devraient cesser fin septembre 2018. Le bilan de la BCE atteint, en effet, le chiffre démentiel de 44 % du PIB de la zone euro, soit le double du ratio de la Fed aux États-Unis.

Jusqu’à présent, la BCE achetait la moitié (environ) de l’offre brute des obligations italiennes, soit 17 % du PIB, un des ratios les plus élevés au monde. Les banques italiennes ont même souvent vendu des obligations de leur pays pour acheter des obligations allemandes. Qui, à l’avenir, va vouloir encore acheter des obligations italiennes ?

Les créances douteuses du système bancaire sont très élevées, de l’ordre de 13 %. Le sauvetage de Monte Paschi montre le coût énorme de la tâche. Banca Carige et Credito Valtellinese sont aussi dans une situation désespérée. De plus, avec un taux de 20 % du capital alloué, l’Italie est le champion d’Europe des entreprises « zombies » mort-vivantes incapables de faire face à la montée des taux d’intérêt, alors que la moyenne européenne est de 9 %.
 
La crise de l’Italie est non seulement financière, mais économique et structurelle. Le PIB de 2018 est inférieur de 6 % à celui de 2007. Les entreprises peinent face à la mondialisation et à la révolution numérique. Le niveau de vie italien a diminué de 9 % pendant la dernière décennie. Les impôts augmentent, la dette aussi. Le pays est fracturé sociologiquement ainsi qu’entre le Nord et le Sud. Avec l’euro, il est pris au piège et ne peut plus dévaluer.

Le choc démographique et l’invasion migratoire ont été le coup de grâce, d’où la montée victorieuse du populisme de droite et de gauche. La population diminue de 160.000 personnes par an, tandis que 50.000 jeunes quittent chaque année le pays, qu’environ 600.000 immigrants clandestins d’Afrique et du Moyen-Orient viennent de s’installer.

Pendant ce temps, le bitcoin à 19.511 dollars en décembre 2017 n’en finit pas de chuter (6.700 dollars, le vendredi 30 mars). Tesla et Uber sèment le doute en Bourse ainsi que sur la technologie de la voiture autonome. À Hong Kong, une bombe immobilière qui repose sur l’emprunt est prête, elle aussi, à exploser avec la hausse des taux de la Fed et du LIBOR. Alors que le pourcentage de l’or mondial détenu par les personnes privées, en 1966, était de 49,66 %, il est aujourd’hui de 91,35 %, et 8,65 % seulement pour les banques centrales et le FMI, qui s’entêtent à manipuler le prix.

Tout cela sent la poudre, l’Italie pouvant être l’étincelle.

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19:49 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les interventions de Carl Lang et de Jean-Marie Le Pen au banquet de Synthèse nationale le samedi 24 mars dernier à Paris


 


Sur le banquet cliquez ici

Le message de Roland Hélie cliquez là

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12:04 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Manifestation de Riposte laïque hier soir à Bordeaux devant l'Ecole nationale de la Magistrature

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Hier soir à Bordeaux, Riposte laïque et Résistance républicaine avaient appelé à un rassemblement devant l'Ecole nationale de la Magistrature, véritable pépinière de juges gauchisants pour ne pas dire gauchistes. Il s'agissait de protester contre la véritable inquisition dont sont victimes les forces patriotiques cliquez ici.

INTERVENTION DE THOMAS JOLY, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DU PARTI DE LA FRANCE, DEVANT L’ECOLE NATIONALE DE MAGISTRATURE

Chers amis,

Fidèle à sa volonté de rassemblement des patriotes, le Parti de la France soutient cette initiative de lutte contre l’utilisation de la répression judiciaire à des fins politiques.

En effet, il paraît clair que, comme ses prédécesseurs, le locataire de l’Élysée semble prêt à toutes les manipulations pour faire taire ceux qui disent la vérité, ceux qui disent tout haut ce que les Français pensent tout bas, ceux qui refusent la colonisation migratoire et l’islamisation de la France et de l’Europe, ceux qui ne veulent pas de la charia ni des mosquées, ceux qui refusent de courber l’échine devant les communautés étrangères et les lobbies de l’invasion, ceux qui veulent une France française dans une Europe européenne.

Pour nos gouvernants, nos idées, et nous-mêmes, devons disparaître pour laisser place au Grand Remplacement et à la destruction de notre civilisation pluri-millénaire. Ils sont effrayés par le fait que nous puissions réveiller l’instinct de survie de notre peuple qui, jusqu’alors, semblait accepter d’aller docilement à l’abattoir en chantant. Mais les atrocités commises par ceux qu’on nous a imposés de force rappellent à nos compatriotes, même les moins lucides, quel sort nous attend dans une France qui sera aux mains d’afro-musulmans toujours plus revanchards, toujours plus islamisés, toujours plus agressifs, toujours plus gourmands et surtout toujours plus nombreux.

La répression judiciaire est un moyen efficace de faire taire ses opposants politiques. C’est pour cela qu’il ne faut pas applaudir les condamnations pénales de l’infâme communiste Stéphane Poussier qui s’était réjoui de la mort du Colonel Beltrame, ou bien de cette militante Vegan dégénérée qui elle s’est félicitée de la mort du boucher du Super U de Trèbes. Car c’est par le biais de cette même jurisprudence qu’ils condamnent et condamneront les combattants politiques que nous sommes.

Tous les prétextes sont bons pour nous traîner devant les tribunaux et nous condamner à des peines et des amendes sidérantes que parfois les racailles les plus violentes n’encourent même pas !

A titre d’exemple, Boris Le Lay, blogueur nationaliste exilé à l’étranger, a récemment été condamné à deux ans de prison ferme par le tribunal de Lorient pour avoir diffusé une photo de classe d’une école publique de Pontivy, afin de démontrer la réalité du remplacement de population même au fin fond du Morbihan. Sachant qu’il avait trouvé cette photo dans la presse locale !

Cet acharnement judiciaire, s’il est certes insupportable, démontre que nous dérangeons, que nos analyses, nos constats et notre combat de résistance nationale ont un impact sur les Français.

Alors ils pourront nous condamner, nous ruiner, nous priver pourquoi pas de notre liberté, mais ils ne pourront endiguer encore très longtemps le réveil du peuple français. Et lorsqu’il adviendra, le plus tôt possible souhaitons-le, tous ces traîtres à la Nation seront balayés par cette vague de fond que sera la reconquête nationale et européenne.

Nous reprendrons ce qui nous appartient, nous rendrons la France aux Français, l’Europe aux Européens, et renverrons le cancer islamique d’où il vient en organisant la remigration salvatrice de toutes ces populations qui n’ont strictement rien à faire chez nous !

Au diable les juges collabos ! Haut les cœurs ! Vive la France française !

Texte lu par le militant local Thomas Bègue

Source Riposte laïque cliquez là

10:20 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Justiciables comme les autres, mais pas pour tous !

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La chronique de Philippe Randa

Les tentatives du chanteur Bertrand Cantat – criminel condamné et ayant purgé sa peine – pour se produire de nouveau sur scène puis, la semaine suivante, l’intervention sur une plateau de télévision de l’ancien président de la république Nicolas Sarkozy – après ses 20 heures de garde à vue suivies de sa mise en examen, mais donc toujours présumé innocent – ont soulevés, chacune de leurs côtés, des réactions controversées.

Outre la perturbation des spectacles annoncés de l’ex-leader du groupe Noir Désir par des groupes féministes, Nadine Trintignant a estimé dans l’émission Stupéfiant ! sur France 2, que le retour sur scène de l’assassin de sa fille est « honteux, indécent, dégueulasse » et qu’il n’aurait plus le droit, selon elle, que d’« écrire pour des chanteurs, qui eux n’ont pas tué… »

On pourrait lui répondre que personne n’est forcé d’aller l’écouter et l’applaudir et même penser que de telles manifestations d’hostilité et de haine ne soient perçues comme du harcèlement et produisent paradoxalement à son égard quelque élan de compassion.

De son côté, l’ancien candidat PS à l’élection présidentielle Benoit Hamon a dénoncé le « deux poids, deux mesures » concernant l’invitation de Nicolas Sarkozy à se défendre sur un plateau de télévision de l’accusation de financement libyen de sa campagne électorale en 2007 : « Celui qui vole un saucisson n’a pas le droit de se défendre au 20 heures de TF1. »

C’est vrai, mais on pourrait lui rétorquer que la garde à vue d’un voleur de saucisson monopolise rarement la Une des médias comme cela a été le cas pour celle de Nicolas Sarkozy : que ces mêmes médias lui permettent de s’exprimer rétablit donc une certaine équité.

Les gens célèbres sont évidemment des justiciables comme les autres, mais leurs traitements médiatiques n’en font pas, à l’évidence, les mêmes citoyens !

Source EuroLibertés cliquez ici

10:04 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

JEUDI 5 AVRIL, L'ESSAYISTE FABRICE GRIMAL INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

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Ecoutez Radio Libertés cliquez ici

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09:12 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 03 avril 2018

Entretien entre Jean-Marie Le Pen et RéinformationTV

22:12 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Parti de la France s'implante dans les Côtes d'Armor

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16:56 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Minute change sa présentation

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

12:49 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 7 avril : Ve colloque de l'Institut Iliade à Paris

 

Pour en savoir plus sur le colloque annuel : cliquez ici

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09:56 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |