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samedi, 20 novembre 2021

DIMANCHE 5 DÉCEMBRE : TOUS À PARIS !

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20 NOVEMBRE 1936 : ASSASSINAT DE JOSE ANTONIO PRIMO DE RIVERA, 20 NOVEMBRE 1975 : DÉCÈS DU GÉNÉRAL FRANCO

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Mieux connaître Jose Antonio et la Phalange cliquez là

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Journal du chaos

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vendredi, 19 novembre 2021

Quel possible pour demain ?

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Le billet de Patrick Parment

 La politique n’est pas une science exacte. Au regard de ce que nous propose le paysage politique d’aujourd’hui, le fait saillant reste la montée inexorable de l’abstention. Ce qui veut tout simplement dire que les politiques ne sont plus en phase avec les attentes du peuple. Un déni de réalité en quelque sorte et dont la conséquence directe est que nos élus ne le sont que par des minorités. Ce qui remet en cause la notion même de démocratie qui veut que les gouvernants soit l’expression des désirs et des aspirations du peuple. On est loin du compte depuis des décennies.

L’autre fait marquant est que le peuple est nettement plus conservateur que ne l’imaginaient les tenants d’un soi-disant « peuple de gauche ». Ce qui a amené la gauche au pouvoir, c’est bien la lassitude d’un peuple qui ne se reconnaissait plus dans le discours et les actes d’une droite qui se veut libérale d’un côté mais soumise aux diktats idéologiques de la gauche, de l’autre. De Mitterrand à Chirac, la messe est dite et c’est une France déboussolée – et minoritaire - qui se lancera dans l’aventure d’un Sarkozy, d’un Hollande et au final d’un Emmanuel Macron. La grande leçon est que les Français ne croient plus en ses politiques qui les baladent sur l’air de « demain on rase gratis ». Ils ne croient surtout pas en un Etat qui rend chaque jour la vie quotidienne plus difficile. L’état lamentable dans lequel se retrouve la France aujourd’hui est le résultat de nos responsables politiques manipulés par les hauts fonctionnaires issus de l’Ena. La France désindustrialisée, c’est eux. Souvenez-vous d’Alain Juppé évaluant Thomson à guère plus d’un euro et qu’il voulait refourguer aux Coréens. Que dire d’Alstom bradé à General Electric ! Nos politiques s’en sont même pris à ce que les Français avaient de plus précieux : l’éducation nationale et notre système de santé. Les exemples sont nombreux… trop !

Le peuple est plein de bon sens. Il n’est pas dupe. Mais nulle voix ne porte à ses yeux ce à quoi il aspire. C’est la raison pour laquelle, le coup de grisou que vient de déclencher Eric Zemmour dans le Landerneau est sain parce qu’il met nos politiques face à leurs responsabilités, leurs lâchetés, leur propension à mettre sous le tapis tous ce qui les dérange.

Eric Zemmour met en lumière le fait que nous arrivons au bout d’un cycle et que les promesses des uns et des autres ne suffisent plus. Le résultat de cette opération est que la gauche a littéralement explosé façon puzzle et que tout ce petit monde du mensonge qui se dit de droite se retrouve confronté à la cruelle réalité. Celle-là même qu’énonce Eric Zemmour.

On sait désormais que la présidentielle se jouera à droite, le peuple de gauche a disparu dans les limbes. Sauf qu’à droite, le paysage n’est pas réjouissant : Xavier Bertrand, vrai représentant de commerce, Valérie Pécresse, énarque sans cervelle (dixit Edouard Balladur), Michel Barnier, « le plus con d’entre nous" dixit Pierre Mazeau, Eric Ciotti, la grenouille qui veut se faire plus grosse que Sarkozy et enfin Philippe Juvin, grand médecin, maire de son village mais inconnu de tous. Et pour parachever le tout, Christian Jacob en figure du laboureur !

A droite toujours, Marine Le Pen et son Rassemblement national. Elle a tellement dévalué l’édifice élaboré par son père qu’on ne sait plus très bien ce qu’elle représente désormais. Un chose est sûre, les Français ne miseront pas un kopeck sur elle. Reste Eric Zemmour. On craint fort que la véracité de son propos ne colle la trouille à tout le monde. Les Français, cette majorité silencieuse qui a tonné avec les Gilets jaunes, est-elle disposée à renverser la table ?

Une chose est sûre – enfin presque – c’est que la recomposition de la droite aura lieu la présidentielle passée. Qu’on en finisse avec ce gaullisme de pacotille, la guimauve centriste, cette allégeance au libéralisme mondialisée, cette soumission à Bruxelles, etc… etc. Retour au réel pour traiter enfin des vrais sujets : l’immigration et l’islamisation de notre société. Cette immigration qui est au cœur de la fragmentation sociale et de la violence qu’elle engendre et cet islamisme totalement incompatible avec les valeurs de la République. Et surtout, les Français rendus enfin à leur reconnaissance et à leur dignité.

09:53 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 18 novembre 2021

Crise migratoire : le bal des hypocrites

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Pourquoi les images où l’on voit des migrants du Moyen- Orient tenter de passer en force en Pologne à partir du territoire de la Biélorussie sont-elles pour nous si  troublantes ? Seraient-elles significatives d’une triple impuissance de l’Union européenne (UE) ? Renaud Girard tente ici de répondre à cette question.

Lire la suite ICI

Source :Le Figaro 17/11/2021

11:36 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 16 novembre 2021

Immigration : la Biélorussie a bien raison !

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Pieter Kerstens

La République Socialiste et Soviétique de Biélorussie a été proclamée indépendante en 1919, puis adhérente à l’URSS en 1922. C’est en Août 1991 que le Soviet Suprême proclame à nouveau l’indépendance du pays qui rejoint la CEI.

Depuis 1994, Aleksandr Loukachenko est élu président de la République à six reprises, en exerçant un pouvoir autoritaire, soutenu par la Russie.

Membre de l’ONU depuis le 24 octobre 1945, la Biélorussie adopte le nom de Bélarus en septembre 1991. C’est un état souverain reconnu par la communauté internationale au même titre que la Suisse, le Vanuatu, la Chine, la Turquie, la France, la Belgique ou le Myanmar entre autres.

Seuls les naïfs ou les inquisiteurs de la nouvelle religion « Droits de l’hommiste » s’étonnent maintenant du chantage à l’immigration exercé par la Biélorussie alors même que l’ensemble de l’Union Européenne avait cédé à celui imaginé par Recept Erdogan en juillet 2015. Notre devoir de mémoire nous rappelle que depuis octobre 2020, l’U.E a imposé des mesures restrictives à l’encontre de la Biélorussie, pour contester les résultats de l’élection présidentielle du mois d’août 2020 qui, selon les eurocrates, ne répondraient pas aux critères et aux canons de la beauté de la « Démocratie ».

Par communiqué de presse du 24 juin 2021, le Conseil de l’Union Européenne avait instauré un 4e train de nouvelles sanctions économiques et financières à l’encontre du régime biélorusse. Et si des milliers de clandestins se trouvent aujourd’hui bloqués par les barbelés à la frontière de la Pologne, il faudrait savoir QUI les a poussés à embarquer dans des charters au départ du Qatar et de la Turquie ? Ceux-là doivent rapidement être rapatriés dans leur pays d’origine. L’Europe n’a pas vocation « à accueillir toute la misère du monde » ni les centaines de millions de personnes vivant avec moins de 2 Euros par jour partout sur notre planète.

La démocrature est un régime dévoyé du suffrage universel.

Depuis 1972, plusieurs pays ont voté par référendums contre les textes sur l’Europe. La Norvège en 1972 et 1994 ; le Danemark en 1992, 2000 et 2015 ; l’Irlande en 2001 et 2008 ; les Pays-Bas en 2005 et 2016 ; la Suède en 2003 ; la France en 2005 ; le Royaume-Uni en 2016 (Brexit), sans oublier le Groenland en 1982 (retrait de l’U.E).

Le Conseil Européen des chefs d’Etat et de Gouvernement a toujours fait en sorte que les directives de la Commission Européenne soient imposées aux récalcitrants, en faisant revoter les peuples rebelles, afin de poursuivre son œuvre de destruction des souverainetés nationales, de suppressions des identités respectives et des traditions ou coutumes nationales. Selon un rapport de Joseph Chamie, directeur de la division population à l’ONU, publié le 20 mars 2000 « le nombre annuel moyen net des immigrés nécessaires au maintien, entre 2000 et 2050, du niveau de la population active (18-64 ans) devrait être en Europe, à partir de l’an 2000, de 2.100.000 individus. » Soit plus de 100 millions d’immigrés en 50 ans !

OUI, on peut donc bien constater, à la lecture de ce document, que les mondialistes ont imaginé, planifié et imposé un « Grand Remplacement » des peuples blancs européens, en refusant toutes nouvelles mesures en faveur de la natalité ou du développement des familles.

Cela pourrait aussi expliquer l’intense propagande et l’expansion des lobbies LGBTQI+.

11:55 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pierre Cassen invité par Martial Bild sur TV Libertés au sujet de son livre "Eric Zemmour aura le dernier mot"

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10:00 Publié dans Livres, Présidentielle 2022, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les Bisounours jettent le masque

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Xavier Eman

Les assassins islamistes « n’auront pas leur haine », Zemmour, lui, l’aura. C’est la conclusion que l’on peut tirer de la polémique suscitée par la prise de parole du journaliste et probable candidat à l’élection présidentielle Eric Zemmour sur les lieux de l’abominable massacre, samedi dernier, à la date commémorative de l’attentat. Toutes les grandes âmes humanistes et non-amalgamistes, les grands amateurs de bougies et d’ours en peluche, embrasseurs empressés de leurs « frères » musulmans, perpétuels organisateurs d’impuissantes et compassées marches blanches, n’ont en effet pas supporté d’entendre autre chose qu’un discours geignard et candide : un discours les forçant à regarder en face ce drame et ces crimes qui n’ont rien d’une « fatalité », dont personne ne serait véritablement responsable, pas même leurs auteurs, brebis égarées par l’obscurantisme et qu’il serait possible de « dé-radicaliser » par injections intensives de « valeurs républicaines ».

Il est vrai que, durant son allocution, le polémiste a notamment attaqué François Hollande, coupable d’avoir permis à des terroristes d’entrer en France en n’interdisant pas l’entrée du pays aux migrants parmi lesquels ils se dissimulaient alors qu’il a reconnu avoir pleinement eu connaissance et conscience de ce danger. Des rappels évidemment insupportables pour l’armada des Bisounours, allergiques au réel, qui refusent, contre toute évidence, d’établir un quelconque lien entre l’immigration incontrôlée et le développement exponentiel du terrorisme sur notre sol.

C’est sans doute pour cela que la virulence des réactions anti-Zemmour a été inversement proportionnelle à la mièvrerie indulgente teintée de niaiserie masochiste de la quasi-totalité des propos tenus au lendemain de la boucherie du 13 novembre 2015, aussi bien par les médias que par les proches (instrumentalisés ?) des victimes ou des survivants. Ainsi, le président de l’association Life For Paris, Arthur Dénouveaux, est allé jusqu’à traiter Eric Zemmour de « profanateur de sépulture », ayant « abîmé la mémoire des 90 personnes décédées au Bataclan », tandis que Georges Salines, père d’une victime, devenu l’une des « figures » (officielles) de la « mémoire » du Bataclan, a parlé d’« une ignominie de plus », concluant d’un menaçant : « Nous n’en oublierons aucune. »

Comment en est-on arrivé là ? Comment a-t-on pu atteindre un tel degré d’inversion morale, d’abêtissement, d’aveuglement, d’ahurissement idéologique pour qu’un homme politique – dont on peut par ailleurs bien sûr contester les analyses et les positions –, qui prône simplement la défense de nos frontières et le contrôle de l’islamisation, puisse susciter davantage de rejet, de hargne, de colère et de détestation haineuse que des fanatiques barbares qui ont ensanglanté nos rues et ne manqueront pas de semer à nouveau la mort ?

En tout cas, les Bisounours ont, à cette occasion, tombé le masque. Ce ne sont nullement des êtres éthérés, emplis d’amour béat et de doux et généreux sentiments, mais des gens profondément malades, dévorés par la haine de soi et l’ethno-masochisme, et qui ne sont capables de réaction virulente et même de violence qu’envers ceux qui osent encore contester leurs utopies infantiles et collectivement suicidaires.

Source : Présent 16/11/2021

10:00 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, était à Madrid samedi aux Journées de la dissidence

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En fin de semaine dernière, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, était invité par les Editions Fides à prendre la parole lors des 15es Journées de la dissidence (12, 13 et 14 novembre) organisées à Madrid.

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Notre ami Gabriele Adinolfi (à gauche sur la photo), directeur de l'Institut Polaris de Rome et inspirateur des Lansquenets d'Europe, était présent à ces journées.

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Samedi après-midi, Roland Hélie exposa la situation actuelle de la droite nationale et identitaire en France devant un public espagnol attentif et nombreux.

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Cette réunion fut aussi l'occasion de rencontrer de nombreuses personnalités ibériques parmi lesquelles le général Piñar (au centre), fils de Don Blas Piñar, décédé en 2014, fondateur dans les années 1970 de la revue et du mouvement Fuerza nueva.

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Samedi soir, un sympathique diner était organisé par la Phalange madrilène. Nous remercions les Editions Fides pour leur invitation.

Cette réunion a permis de resserrer les liens entre Synthèse nationale et Fides edicion qui, depuis quelques années, coopèrent régulièrement en vue de constituer au niveau européen un vaste réseau de diffusion des idées nationalistes, identitaires et non-conformistes.

01:02 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 15 novembre 2021

Offensive migratoire contre la Pologne

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La crise diplomatique entre l’Union européenne et la Biélorussie a pris une nouvelle ampleur au début du mois de novembre. Les migrants amenés par les autorités biélorusses qui tentent de franchir clandestinement la frontière entre la Biélorussie et la Pologne se comptent par milliers. Dans ce conflit d’un nouveau type, l’opinion publique est prise à témoin par de nombreux médias de grand chemin afin de mettre le gouvernement polonais en accusation et de faire céder l’Union européenne. Nous revenons sur cette incroyable manipulation qui transforme le pays agressé en agresseur.

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dimanche, 14 novembre 2021

Vaste mouchardage d’Est en Ouest

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Les journaux radio-télévisés ont confirmé l’information : le coupon papier de la RATP nécessaire pour prendre le bus, le métro ou le tram ne se vend déjà plus à l’unité dans de nombreuses stations. À terme, il doit disparaître définitivement et se faire remplacer par des équivalents dématérialisés. Le plus courant consiste dès à présent à régler depuis un téléphone portatif intelligent à l’instar du QR-code de l’Ausweis sanitaire.

Sous prétexte de combattre à la fois la fraude, le réchauffement climatique, les coûts d’impression et peut-être la nuit, cette mesure restreint encore plus la liberté de circulation déjà bien malmené par le covidisme politique. Autorité de tutelle sur la RATP et les Transiliens de la SNCF, Île-de-France Mobilités qui dépend du conseil régional présidé par Valérie Pécresse alias Madame « deux tiers Merkel un tiers Thatcher », soit la quintessence de la droite libérale autoritaire atlantiste globalitaire, ignore volontiers les usagers âgés qui ne disposent pas de smartphone ou qui ne sont que des voyageurs occasionnels.

La numérisation des titres de transport à l’heure de la hausse des prix du carburant automobile contribue au flicage généralisé de la population. Associé à la télé-surveillance qui scrute la voie publique, aux signaux émis au passage de chaque antenne-relais de la téléphonie mobile et aux billets de train sur longue distance nominatifs, le ticket virtuel va faciliter la reconstitution des déplacements de Monsieur Bidule, leurs durées, leurs fréquences, leurs arrêts, voire d’éventuelles rencontres.

Cette tendance inquiétante n’appartient pas au seul Hexagone. Londres infesté de milliers de caméras transforme le quotidien de ses habitants en une indécente émission de télé-réalité permanente. Quitte à indisposer les poutinolâtres les plus obtus, Moscou rivalise dans ce domaine avec la capitale britannique. Pire, depuis quelques semaines, le métro moscovite accepte une nouvelle manière d’emprunter ce moyen de transport. Finis le ticket-papier, la carte magnétique et le téléphone ! Bonjour la reconnaissance faciale !

L’utilisateur russe télécharge l’application, se prend en photographie et l’envoie à l’unité centrale. Quelques minutes plus tard, il se présente devant un portique spécial qui filme son visage, lui ouvre ensuite la porte et débite à l’instant sur son compte bancaire le montant prévu. Le suivi en direct de millions de personnes tous les jours alimente des bases de données gigantesques et aide les algorithmes de l’intelligence artificielle à cribler
statistiquement les cas problématiques.

Le groupe Auchan vient de commencer en banlieue parisienne une expérience inouïe au sein d’une école d’ingénieurs. Il a en effet inauguré un magasin d’alimentation ouvert vingt-quatre heures sur vingt-quatre et sept jours sur sept en libre-service sans aucune caisse enregistreuse. On entre dans le magasin. La reconnaissance faciale enregistre et comptabilise tout ce qu’on prend. On sort sans payer. Le total des achats est débité automatiquement du compte. Vantées comme des gages de rapidité, ces initiatives participent à la raréfaction volontaire des espèces monétaires. Pièces de monnaie et billets de banque circulent moins.

La pandémie a favorisé le paiement sans contact et les achats en ligne. Les établissements bancaires ferment de nombreux distributeurs, officiellement pour des motifs de rentabilité, surtout dans les zones rurales et péri-urbaines. Jacques Attali préconise, pour sa part, la fin de l’argent liquide dans les cinq prochaines années. Pourquoi cet empressement suspect ? Ne faudrait-il pas que les candidats à l’élection présidentielle proposent d’inscrire dans la Constitution le droit inaliénable de payer en espèces ? Sinon il faut s’attendre à voir bientôt le banquier exiger qu’on lui justifie ses dons militants avec la menace réelle de fermer le compte bancaire sans donner la moindre justification…

Cependant, la fin des espèces ne sera pas complète en raison du trafic de drogue. Les toxicomanes préféreront toujours acheter leur dose en cash. Maints réseaux criminels financent sections locales de certains partis politiques, édiles et fonctionnaires municipaux. Il serait difficile aux clients d’utiliser des cryptomonnaies, fort volatiles du point de vue de la valeur, dont la conversion en monnaie légale nécessiterait d’expliquer la provenance des sommes. Le Système ne veut surtout pas scier la branche sur laquelle il est assis...

Oui, le constat avancé n’est guère optimiste. Le summum du contrôle cybernétique concerne la Chine. L’usage privilégié du code social permet l’impensable : domestiquer un milliard et demi d’habitants. Autrefois, on fuyait la campagne et son village pour trouver un doux et plaisant anonymat en ville.

Aujourd’hui, c’est dans les métropoles que le Système surveille nos moindres faits et gestes en attendant d’écouter nos conversations. Des municipalités françaises ont tenté l’installation de « capteurs sonores » dans des quartiers dits « sensibles ». Il s’agit d’enregistrer tous les bruits jugés « anormaux » (carambolages automobiles, cris pendant une agression, klaxons lors d’un embouteillage). Ces capteurs peuvent aussi analyser les slogans qui fusent au cours d’une manifestation ainsi que des discussions tenues sur le trottoir entre particuliers. La justice administrative a néanmoins considéré ce procédé trop intrusif par rapport à la vie privée. Remarquons que les enceintes connectées à son domicile effectuent le même travail de compilation des données.

En Corée du Sud, dans les villes nouvelles à haute technicité, on entre dans son appartement, on conduit sa voiture, on paie ses commissions avec une seule et même carte qui transmet en permanence à l’ordinateur central des centaines d’actions amassées et répertoriées. L’ordinateur sait par exemple que le résident de l’appartement MZ du 10 e étage est rentré à 20 h 15, qu’il a pris une douche de sept minutes trente-sept secondes, qu’il a regardé un épisode sur Netflix, qu’il a utilisé son micro-onde pour chauffer un produit surgelé acheté la vieille et qu’il s’est couché à 23 h 04.

À l’ère de l’hyper-(inter)connexion globale, la vidéo, le numérique et l’intelligence artificielle deviennent des mouchards zélés. En 1951, Ernst Jünger publiait son traité du rebelle intitulé Le recours aux forêts. Un tel recours intérieur est-il encore possible ?

 Salutations flibustières !


• « Vigie d’un monde en ébullition », n°9, mise en ligne sur Radio Méridien Zéro, le 9 novembre 2021.

23:28 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Erga reçue par Epona aux Entretiens du Parti de la France

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19:18 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dans son Journal de bord de cette semaine, Jean-Marie Le Pen défend l'Alvarium d'Angers...

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Sujets abordés : la menace de dissolution de l'Alvarium, l'afflux de migrants à la frontière polonaise, les tensions entre le Maroc et l'Algérie, l'allocution d'Emmanuel Macron, la 3e dose de vaccin pour conserver son pass sanitaire, Macron contre le nationalisme, le 11 novembre.

19:02 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ne la laisse pas tomber, elle est si fragile...

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18:32 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

DEVANT LE BATACLAN, ÉRIC ZEMMOUR ACCUSE FRANÇOIS HOLLANDE D'AVOIR PRIS "UNE DÉCISION CRIMINELLE EN LAISSANT LES FRONTIÈRES OUVERTES"

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Didier Gandossi Vox Populi cliquez ici
 
Le polémiste estime que l'ancien président de la République n'a "pas protégé les Français" en amont des attentats de 2015.
 
Éric Zemmour persiste et signe. Venu devant le Bataclan afin de rendre hommage aux victimes du 13-Novembre ce samedi en début de soirée, le polémiste Éric Zemmour a de nouveau attaqué le président de la République en fonction au moment des attentats, François Hollande.
 
"J’ai simplement repris ce qu’avait dit l’ancien président qui a dit lui-même qu’il savait que des terroristes seraient infiltrés parmi les migrants, et il n’a pas arrêté le flot. J’ai simplement dit que c’est ce qui est arrivé. François Hollande qui ne l’ignorait pas, n’a pas protégé les Français.
 
Il a pris une décision absolument criminelle de laisser les frontières ouvertes alors que pour une fois accords de Schengen permettaient de laisser fermées les frontières", a-t-il dit.
 
"J'aurais préféré me tromper"
 
Interrogé sur le fait que plusieurs terroristes ce soir-là étaient nés surf le continent européen, Éric Zemmour estime que ceux-ci n'auraient pas du revenir en France car "ils sont allés en Syrie."
 
"Ils sont passés par des flots de migrants, c‘est bien une affaire de migration, une affaire de guerre de civilisation, avec ce massacre du Bataclan, vous avez vu leurs photos, des jeunes qui viennent s’amuser, charriés par le fleuve de l’Histoire sanglante, qui redevient tragique.
 
Cela fait des années que je l’annonçais, une guerre de civilisation sur notre sol, j‘aurais préféré me tromper", ajoute encore l'écrivain, qui n'est pas candidat officiel à la prochaine élection présidentielle.
 
Vendredi, Éric Zemmour avait déjà critique François Hollande lors d'un rasemblement à Bordeaux.
 
Il avait alors affirmé que l'ancien chef d'Etat "savait qu'il y aurait des terroristes" et a "préféré que des Français meurent plutôt que d'empêcher des migrants de venir en France".
 

14:37 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Hollande est responsable de la mort de ma fille et ce con n’a aucun regret !

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Patrick Jardin Riposte laïque cliquez ici

Ce n’est pas facile d’écrire le jour de ce triste anniversaire de l’assassinat de sa fille ! Mais comme il est hors de question pour moi d’aller faire le clown avec tous ces salopards de politiques qui vont venir faire des commémorations avec des têtes d’enterrement, avant de tous aller se goinfrer ensemble dans un très bon restaurant, puisqu’il est évident que nos morts, nos blessés, ils s’en foutent complètement, je vais essayer de m’y risquer !

Voilà, depuis le 8 septembre, un peu plus de deux mois de procès, nous n’avons pas appris grand-chose. Nous avons eu plutôt des confirmations, à savoir que :

1) C’est maintenant certain, il ne ressortira RIEN de ce procès ;

2) L’État français est un État pourri, incapable d’indemniser les victimes qui ont subi les pires sévices et les pires actes par leur faute et leur incompétence ;

3) Hollande, à égalité avec Macron, est bien le pire président de la République depuis que cette République existe ;

4) Il est désormais certain que cela recommencera dans l’indifférence nationale ;

5) Mis à part les 16 ou 17 décérébrés barbus, personne ne sera puni, même si nos politiques sont plus que compromis dans ces attentats ! Et quand j’entends Hollandouille à l’audience et Samia Maktouf sur CNews se réjouir que ce procès puisse avoir lieu et que c’est une preuve de démocratie, je pense sincèrement qu’ils se foutent de nous !

En fait, je ressens cela comme une double peine qu’on m’inflige. Premièrement, on me tue ma fille et deuxièmement, on va punir les coupables qui ne sont pas morts, mais les responsables de ces crimes continueront leur petite vie de politicards de merde. Ils continueront à se pavaner sur les studios de télé ! ELLE EST OÙ LA JUSTICE DANS CE PAYS, BORDEL ? C’est quoi la démocratie qu’ils veulent nous infliger ?

J’ai examiné à la suite des déclarations du scootériste de l’Élysée les possibilités d’engager une procédure comme quoi il savait mais n’a pas levé le petit doigt, n’a pas bougé son cul, car j’estime que c’est un criminel pour non-assistance à personne en danger et bien tenez vous, bien IL EST INTOUCHABLE !

Désormais, l’article 67(nouvelle fenêtre) de la Constitution fixe le statut pénal du Président.

Concernant les actes accomplis par le Président dans le cadre de sa fonction, la révision de 2007 confirme le principe de l’irresponsabilité du chef de l’État. Aucune action ne peut être engagée contre lui pour des actes accomplis en sa qualité de Président, même après la fin de son mandat. Cette immunité est valable à la fois dans les domaines pénaux, civil et administratif. Elle vise à protéger la fonction présidentielle et non son titulaire, selon le rapport de la commission Avril.

Voilà, fermez le ban, circulez, il n’y a rien à voir ni à faire, en voilà une démocratie qu’elle est bonne comme disait Coluche !

Je ne sais pas ce qu’en pensent les autres parties civiles ni comment ils réagissent face aux aveux de cet abruti, mais moi j’avoue que depuis j’ai bien du mal à dormir. Je ronge mon frein et comme si cela ne suffisait pas, ce CON a ajouté que si c’était à refaire, il referait exactement la même chose. 131 morts, il pense que c’est un bon chiffre qui lui va bien. M. le Président, pour dire de telles conneries, vous auriez dû vous dispenser de venir et nous faire grâce de vos imbécillités. Déjà cela vous aurait évité de rappeler aux Français à quel point vous êtes limité intellectuellement et incompétent, et nous les victimes, cela nous aurait évité, même si nous le savions déjà, que vous et votre gouvernement de baltringues êtes complètement fautifs dans ces attentats. On est à la limite de la compromission avec l’ennemi, car si je me souviens bien, après Charlie, vous avez bien dit que nous étions en guerre. Mais pour faire la guerre, il faut un chef, pas un clown qui va porter des croissants le matin en scooter !

Alors oui, ce procès est une mascarade tenue par des gens qui restent persuadés de rendre la justice au nom du peuple français, mais je suis certain que si on pouvait faire une très large consultation auprès des Français, d’une part les accusés seraient tous condamnés à la peine capitale et les politiques seraient également condamnés pour non-assistance à personne en danger : président de la République, Premier ministre, ministre de l’Intérieur et ministre des Armées. Bien sûr, cela ne nous rendra pas nos chers disparus, mais au moins, peut-être que dans l’avenir nos politiques penseraient plus à protéger le peuple dont ils ont la charge, plutôt qu’à leur réélection !

samedi, 13 novembre 2021

Journal du chaos

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vendredi, 12 novembre 2021

Montebourg avait raison !

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A la lumière de son expérience personnelle, l’enseignante et essayiste Fathia Agag-Boudjalah* juge que la proposition de l’ancien ministre socialiste, Arnaud Montebourg, vite reniée par l’intéressé devant le tollé à gauche, avait le grand mérite de dire des réalités passées sous silence. A savoir l’arrêt des transferts d’argent des immigrés à destination de leur famille et leur pays d’origine.

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(°) Dernier ouvrage paru, Les Nostalgériades. Nostalgie, Algérie, Jérémiades (ed. du Cerf)

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jeudi, 11 novembre 2021

Samedi 13 novembre : Roland Hélie interviendra lors des 15e Journées de la dissidence organisées à Madrid

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Le site de "Fides ediciones" cliquez ici

Eric Zemmour sur Sputnik :"Jean-Marie Le Pen est le seul à avoir annoncé le drame que nous vivons aujourd'hui !"

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Remarquable entretien avec Pierre Cassen sur la situation politique actuelle

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Le nouveau livre de Pierre Cassen

et de Jacques Guillemain cliquez ici

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FACE à FACE  POLOGNE/BIELORUSSIE : UN SEUL COUPABLE, L’UNION EUROPÉENNE !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

La crise migratoire à la frontière polono-biélorusse aujourd’hui, demain peut-être, à celle de la Lituanie et de la Lettonie, est artificiellement provoquée par les autorités de Minsk, toutes les preuves sont-là : visas généreusement accordés par les consulats de Biélorussie en Afghanistan, Syrie et Irak, facilités aériennes et logistiques pour amener tous ces candidats au droit d’asile européen, à côté du territoire polonais. Et devant les images qualifiées par la grosse presse occidentale « d’insupportables », on cherche à influencer les opinions publiques et à faire « pleurer Margot dans sa chaumière ».

Or, il semble pour l’instant que l’héroïque Pologne, - comme hier face aux Nazis et aux Bolchéviques -, se « dépatouille » seule, Bruxelles la soutenant du bout des lèvres en rappelant, cyniquement, qu’elle ne respecterait pas le droit du « non refoulement ». De qui se moque-ton ? En urgence, l’État polonais a mobilisé 10 000 de ses soldats pour renforcer ses gardes-frontières chargés de surveiller pas moins de 400 km, et a déroulé dans l’urgence une barrière faite de fil de fer barbelé avant d’édifier un mur. Cela prend du temps et, surtout, coûte de l’argent.

L’inqualifiable hypocrisie de la Commission européenne

Or, l’Union européenne parle plutôt de rétorsion à l’encontre de Varsovie, en prétextant que ce gouvernement ne remplirait pas les conditions du droit, notamment à l’égard des minorités LGBT. De qui se moque-ton ? La Pologne garde les frontières extérieures de l’espace Schengen,* elle fait avec son droit régalien ce que les jeunes de Génération identitaire ont voulu faire, d’une façon symbolique, dans deux cols alpins et pyrénéens.

Macron, avec un culot monstre, avait annoncé que la France allait renforcer la surveillance, justement, de ces points de passage montagnards. J’ai pu vérifier de mes yeux, au col du Somport par exemple, qu’il n’en était rien ! Que nenni, pas un képi, pas une casquette de douanier, de gendarme, de CRS ou de guardia-civil, des deux côtés de la frontière ! Dans les Alpes, Il s’est même trouvé la Sous-préfète de Briançon pour dénoncer, justement, un certain laxisme dans les contrôles (probable qu’elle va être mutée en Terre Adélie !).

Comble de l’hypocrisie, Bruxelles, pour se défausser, accuse Vladimir Poutine d’être à la manœuvre derrière son protégé Loukachenko, le président biélorusse, qui n’a rien à lui refuser. Oui, la Biélorussie se venge des sanctions édictées par l’U-E, - comme quoi, entre parenthèses, si on voulait les appliquer aux pays qui nous refusent les laisser-passer consulaires pour rapatrier les OQTF, ça marcherait ! -, pour punir Minsk de violations supposées des droits de l’homme dans ce pays, et condamner la fraude électorale qui a accompagné l’élection de Loukachenko.

Mais en quoi la politique intérieure d’un État, - certes, aussi déplorable soit-elle -, nous concernerait-elle ? C’est de l’ingérence pure et simple. En revanche, condamner et punir la Biélorussie pour le rapt, - en plein ciel ! -, d’un avion de ligne, se conçoit tout à fait, mais dans un cadre diplomatique. Aller au-delà d’avertissements et punir par des sanctions commerciales tout un pays, relève de la mauvaise foi. Maintenant, face aux morsures frigorifiques de l’hiver qui arrive, on nous parle d’un « corridor humanitaire ». Il faut dire « non », - No Way ! -, lancer un message fort à tous les candidats à l’exil : « Vous n’avez pas d’avenir chez nous ! ». Et, dans un second temps, oui, rassembler à la frontière polonaise les moyens matériels de faire face à une crise sanitaire, mais en territoire Biélorusse et non polonais. En cas de refus, hélas, disons à tous ces « réfugiés », et bien… « à la grâce de Dieu ». Vive la Pologne !

* L’agence européenne FRONTEX est, en principe, chargée d’assurer la surveillance et la sécurité  des frontières extérieures de l’espace Schengen. Pour moi, c’est plutôt « l’agence Spontex », qui absorbe plus qu’elle ne refoule !

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Sanglots post-apartheid en Afrique du Sud

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La chronique de Philippe Randa

L’apartheid a été officiellement aboli en Afrique du sud en février 1991 par le président (blanc) Frederik De Klerk. Nelson Mandela prenait alors les rênes du pays à la tête de son parti l’ANC (Congrès national africain)… et on allait voir ce qu’on allait voir, n’est-ce pas !

Après la disparition de son leader historique, l’ANC a toujours conservé le pouvoir, mais peut-être plus pour très longtemps. Il pourrait devenir minoritaire lors des élections municipales de ce début de mois.

Usure du pouvoir ? Pas seulement… Miné par la corruption, son bilan est explicite : selon Le Monde, « le chômage atteint des records à plus de 30 %, dans une économie déjà en récession avant la crise du Covid-19 (…) En juillet, le pays a connu une vague d’émeutes et de pillages qui ont fait plus de 350 morts (…) Des années de mauvaise gestion et de corruption généralisée ont laissé à l’abandon de nombreux services publics en Afrique du Sud, où se multiplient les délestages de courant ou de fourniture d’eau, au point d’en affecter même la campagne électorale. »

Situation que l’encyclopédie Wikipedia résume assez brutalement : « En 2019, l’économie sud africaine est à bout de souffle. Les indicateurs économiques sont dans le rouge. Les raisons sont une croissance économique nulle et des passifs considérables. Le chômage est au plus haut à 27,7 %. La monnaie est dévaluée et l’endettement croissant (à plus de 60 % du PIB). »

On se doute que si la situation devait continuer de se dégrader – et rien ne laisse supposer le contraire –, certains n’hésiteront sans doute pas à en rejeter la responsabilité sur les Blancs.

Et il sera sans doute vain de faire remarquer qu’ils ne dirigent plus le pays depuis trois décennies et que 800 000 d’entre eux l’ont quitté entre 1995 à 2005 (« Ces chiffres sont encore plus impressionnants si on les rapporte à la population sud-africaine : seulement 10 % des 49 millions de Sud-africains sont blancs », rapporte le site slate.fr).

Ils ne sont certes plus que 8,4 % de la population, mais ce sera sans doute amplement suffisant pour porter le chapeau… Comment pourrait-il en être autrement en ce XXIe siècle où l’homme blanc est coupable, forcément coupable, de tous les maux…

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mercredi, 10 novembre 2021

L’enfer bureaucratique : les racines de la colère

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Pascal Pogam

Je suis dans l’obligation de réussir, parce que le pays ne peut plus attendre. »Le 28 mars 2013, voila comment Francois Hollande avait résumé l’urgence et l’enjeu du « choc de simplification », appelé selon lui a déverrouiller le pays et 4générer un surcroit de croissance. Dans la foulée, le gouvernement était censé prendre « les premières mesures pour alléger les procédures administratives, diminuer les normes et raccourcir les délais des démarches au bénéfice des collectivités locales des entreprises et des particuliers ».Une vraie révolution, sur le papier. Mais une révolution qui n’a jamais eu lieu. Pas plus que ceux qui l’ont précédé, pas plus que son « disruptif »successeur, le président socialiste n’a tenu la promesse du grand élagage. En la matiére, le dernier état des lieux dressé par le secrétariat général du gouvernement s’avére méme proprement stupéfiant : en seulement deux décennies, notre droit s’est encore enrichi de près de 120 000 articles législatifs ou réglementaires ! Une illustration, parmi d’autres, de cet enfer bureaucratique, ces mille et une tracasseries qui empoisonnent les Frangais, les ulcérent et, bien souvent, les paralysent.

Il est trés peu probable que Gaspard Koenig soit notre prochain président de la République. Mais le philosophe libéral, qui songe désormais sérieusement a se lancer dans la course a l’Elysée, a l’immense mérite de replacer la simplification au coeur du débat public. Le sujet est tout sauf anecdotique. Tirer ce fil, c’est dérouler une pelote de problémes éclairant tout à la fois l’inefficacité del’Etat, sa perte de légitimité, la défiance généralisée, les travers du centralisme, les inégalités et ces innombrables obstacles qui pénalisent nos entreprises – car une France plus simple sera aussi plus compétitive. Curieusement, alors que les pesanteurs de notre bureaucratie étaient dénoncées de toutes parts au plus fort de l‘épidémie de Covid, cette thématique a disparu des radars, et aucun des principaux candidats à l’élection présidentielle ne semble aujourd’hui mesurer les attentes des Français à cet égard. Pour ne pas dire leur exaspération.

Source : L’Express, 11/11/2021

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Le baromètre du jour

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Jarente de Senac

Un certain… Sarkozy

 Nicolas Sarkozy, s’en est pris à Eric Zemmour alors qu’il était invité par le Chinese Businness Club, déclarant : « Quand on n’a pas beaucoup de racines, on essaye de s’en donner. Et plus on est hors sol, plus on essaye de se raccrocher à un courant politique (…) Je ne suis pas sûr sur le général De Gaule aurait forcément apprécié ce que Zemmour a dit de Pétain ». Côté racines, Zemmour en a sûrement plus que le dénommé Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa, fils d’immigré hongrois. Et on ne peut pas dire que Sarko ait défendu avec vigueur la culture et l’identité française durant son quinquennat. Pour ce qui est de Pétain, Zemmour n’a certainement pas de leçon à recevoir de Sarko, ignare notoire. D’autant que Zemmour n’a dit qu’une seule chose : que le maréchal Pétain avait protégé les juifs français. Ce que corrobore nombre d’historiens et pas des moindres. Tandis que De Gaulle rêvait sa France à Londres avec la bénédiction de Staline, c’est bien le maréchal Pétain qui avait les pieds dans le bourbier allemand à défendre les intérêts des Français. Sarko, l’égérie de cette fausse droite ripoux aux remugles chiraquiens.   

Un spectacle consternant

 La grande majorité des Français, après laquelle courent tous les candidats de droite comme de gauche, regardent avec consternation les invectives que nos hommes et femmes politiques se balancent à la figure les uns contre les autres – et Eric Zemmour est le premier à déguster. Sauf qu’Eric Zemmour n’attaque personne et s’en tient à son discours sur l’identité française et le trop plein d’immigrés. Et s’ils s’en prennent tous à lui, c’est bien parce qu’il pose les vraies questions face à une classe politique qui n’a rien à proposer aux Français en accord avec leurs attentes et que leur unique mot d’ordre est : demain on rase gratis. De Mitterrand à Chirac, de Sarkozy à Hollande, la litanie est toujours la même. Quant à Macron, lui, il fait joujou avec le carnet de chèque des contribuables, s’imaginant, en bon libéral qu’il est, que l’argent peut tout résoudre. Les Français ne veulent qu’une chose, que cette démocratie soit réellement l’expression de la voix du peuple. Ils ne veulent pas d’une France divisée, archipellisée par ses gouvernants et ses fausses élites. Une France à trois vitesses : celle des politiques, celle d’une élite hors sol et celle des immigrés. Mais les Français sont-ils prêts à renverser la table ?

 Emmanuel Macron… et les sains vaccins !

A la télévision, Emmanuel Macron a défendu son bilan. C’est de bonne guerre, sauf que l’on retiendra surtout de son quinquennat, qu’il a déclenché la colère des Gilets jaunes et qu’il s’est pris de plein fouet, à l’image de beaucoup d’autres chefs d’Etat, la crise du covid. On retiendra également qu’il a engagé un bras de fer avec les syndicats sur le dossier des retraites. Il y a beaucoup à dire sur le sujet. Il l’a renvoyé à plus tard. On retiendra aussi de son discours, l’heureuse reprise du nucléaire. Il était temps. C’est de loin l’énergie dont l’industrie a besoin et les ménages tout autant. Le nucléaire offre une énergie puissante, non polluante et surtout bon marché. N’en déplaise à nos tocards d’écolos.

Pour ce qui concerne le covid, après quelques ratés, une majorité de Français sont désormais vaccinés. Mais on a soigneusement mis sous le tapis tous les dommages de santé collatéraux que ces foutus vaccins ont engendré. Elaborés dans l’urgence, on n’en sait pas plus sur ce foutu virus et on vient nous dire qu’une troisième dose est nécessaire. Ce qui est bizarre dans cette affaire, c’est l’échelle des âges que l’on met en avant : les moins de 65 ans, les 65 ans et plus, les 12 ans et plus, etc., et on s’interroge sur la vaccination des enfants. Où les vaccins valent pour tout le monde, où ils ne valent rien, enfin presque. A ce sujet d’ailleurs, on a curieusement aucune statistique. On cite en exemple Israël, mais là où toute une population a été vaccinée, le covid repart de plus belle. Ca tourne à l’histoire sans fin et l’efficacité des vaccins n’est pas totale mais bien provisoire pour ne pas dire éphémère. Autre question : pourquoi trois doses ? Une chose est sûre, ces vaccins n’offrent, a priori, qu’une protection limitée. D’où ma question : va-t-on devoir vivre avec les masques et les gestes barrières ad vitam eternam ? Va-t-on devoir, à l’image de la grippe, se faire vacciner tous les ans ? Or, ça pose problème avec les vaccins actuels sujets à effets secondaires de gravité variable. Que dire enfin de la noria de toubibs, dénichés on ne sait où, spécialistes ou pas, qui passent leur temps à se contredire ? Face à ce flot ininterrompu d’informations contradictoires, on a tout lieu d’être dubitatif.

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mardi, 09 novembre 2021

Révélations importantes du docteur Astrid Stuckelberger

Il  faut absolument écouter de minute 13,30 à 52,30

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Nous sommes bel et bien en guerre !

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Quand Eric Zemmour clame avec raison que « nous sommes en guerre ! », tout le Landerneau politique, mais pas que, pousse des cris d’orfraie. Et pourtant les chiffres sont accablants. Jean-Marc Leclerc du Figaro (9/11) dresse un bilan qui fait froid dans le dos et qui pose la question : mais que fait ce gouvernement qui nous casse les pieds avec le passe sanitaire quand policiers, gendarmes, pompiers sont constamment agressés au quotidien mettant d’autant la sécurité des Français en danger. L’aveuglement a ses limites que la macronie est en train de dépasser.

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Maoïsmes d'hier et d'aujourd'hui

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Jean-Gilles Malliarakis L'Insolent cliquez là

Ce 7 novembre, Le Monde mettait en ligne un important article signé de Julien Bouissou, qui vaut le détour. Il est intitulé : "Le spectre d’un ralentissement de la Chine pèse sur l’économie mondiale". (1). L'auteur se réfère à de nombreux avis de professionnels de la finance, tous dans l'attente des décisions du gouvernement de Pékin, dont les orientations sont maintes fois citées. Xi Jinping est ainsi présenté comme le vénéré maître des horloges du capitalisme mondial. De ce qu'il va décider ou ne pas décider semble dépendre la prospérité de nos foyers. De cette réserve d'esclaves que contiennent les provinces de l'Empire du Milieu on se préoccupe seulement que de la quantité démographique, certes rongée par la dénatalité. Il est né l'an dernier sur le continent chinois "seulement" 12 millions d'enfants ce qui, comparé à la France où 736 000 enfants vivants ont vu le jour en 2020, représente quand même un multiplicateur de 16.

Mais en 8 400 signes, n'apparaissent pas une seule fois des mots tels que "parti", "communiste" ou "Mao". Le parti unique le plus important du monde, fort de 89 millions de militants, gouverne pourtant ce pays sans partage depuis 1949 et l'arrivée dans la capitale du Grand Timonier à la tête de son armée rouge, développée à partir d'une guérilla dans les montagnes du Jiang Xi, cocassement appelée, encore aujourd'hui Armée populaire de "libération".

Depuis plus de 15 ans, aux États-Unis, au Japon ou en Inde, par exemple, la conscience du danger que représentent les ambitions expansionnistes du régime communiste chinois est, progressivement, devenue la préoccupation centrale des stratèges et autres responsables géopolitiques.

Dans la bobocratie parisienne, truffée d'ex-maoïstes, mais aussi chez les bien-pensants européens, on ne veut donc toujours voir dans cette prise de conscience, qu'une rivalité entre les méchants impérialistes américains, d'une part, et d'excellents dirigeants préoccupés du bien-être de leur peuple, regardés, d'autre part comme d'indispensables partenaires de notre société de consommation.

Les racines maoïstes du régime de Pékin, ses pratiques totalitaires, comme ses conditions de travail esclavagistes, sont perpétuellement occultées.

Dès son ascension, repérable en occident à partir de 2012, comme président du Comité militaire et comme secrétaire général du Parti, Xi Jinping a su s'affirmer pourtant au grand jour comme un restaurateur de Mao et du culte maoïste.

À vrai dire le culte du Grand Timonier n'avait jamais été aboli.

Sa mort est intervenue en 1976. Après quelque 10 ans de l'abominable subterfuge meurtrier soi-disant révolution culturelle annoncée en 1966, et en dépit de l'intermède dit de la Bande des Quatre, le pays, ou plutôt le régime communiste lui-même, devait sans doute, à l'instar de la NEP du camarade Lénine, s'imposer une cure.

Mais le mausolée et l'immense portrait du fondateur trônait, et il domine toujours la place centrale de Pékin, à l'entrée de la Cité interdite résidence des anciens empereurs.

Une fois pour toutes, Deng Xiaoping lui-même a tracé la ligne rouge : "nous ne ferons jamais à Mao, ce que les Soviétiques ont fait à Staline." Ainsi pas question de déboulonner sa statue, ou de dénoncer le culte de la personnalité.

Il importe donc d'abord de comprendre ce que c'est que le maoïsme.

Stalinisme à la sauce chinoise il est assaisonné selon les principes traditionnels de l'Empire du Milieu, à cinq saveurs. Un peu plus subtil par conséquent que l'archétype soviétique.

Beaucoup de choses marchent systématiquement par cinq : cinq griffes dans la patte du dragon, cinq saveurs, dont celle du gingembre, et dans le code pénal cinq châtiments cruels. Une fois évacué ses colorations locales, on doit bien se persuader que, malgré qu'il en ait, le maoïsme représente aussi à sa manière une forme d'occidentalisation paradoxale. Il a transformé, et il a dénaturé, de façon partiellement irréversible du génie du peuple chinois et sa culture millénaire, y compris à partir de 1954 par la révision de son écriture.

Il faut relire à ce sujet les chroniques que, dès 1956, c'est-à-dire 10 ans avant la soi-disant révolution culturelle, Robert Guillain, observateur attentif et non dénué d'indulgence publiait dans Le Monde. On les retrouve dans les archives du journal. L'auteur en a tiré un petit livre de la collection Points au Seuil. Lui qui avait connu ce pays dès les années 1930, pouvait déplorer la disparition de deux choses d'autrefois : celle, disait-il, du "Chinois intelligent" et celle de "la jolie Chinoise". Il n'avait pas entièrement raison. On peut croiser dans la rue, à Pékin ou à Shanghai, pas mal de fort jolies femmes. On me pardonnera j'espère cette réflexion masculine. Et les Chinois en général sont tout sauf des imbéciles. Mais il signifiait par là que tout un monde a disparu, et ceci dès les premières années de la dictature maoïste : le monde du Lotus bleu, seul album de Tintin interdit en Chine, l'univers des innombrables récits de voyageurs européens admiratifs dans la Chine d'autrefois.

Car, comme le bandit caucasien Staline en Russie, Mao était d'abord et avant tout un révolutionnaire marxiste, un disciple de Engels et de Lénine, un zélateur du matérialisme historique se revendiquant d'un socialisme se voulant scientifique. Il n'a jamais cessé d'être un ennemi de toutes les religions. L'expression opium du peuple est prise au pied de la lettre, et le christianisme est tout particulièrement considéré comme un instrument des très méchants diables étrangers. Tout son ressentiment révolté, y compris celui de l'humble bibliothécaire qu'il fut, affublé d'un accent du sud dans la capitale du Nord, humilié par les experts et les lettrés, qu'il n'a cessé de détester, se trouvait réinvesti dans la cause mondiale du Komintern dont il devint le représentant dans l'Empire du Milieu.

Les étapes de son ascension méritent d'être revisitées si l'on veut comprendre les ressorts, aujourd'hui encore de sa révolution et de son régime.

Le parti communiste, apparu en 1921, n'est dans les premières années qu'une tendance au sein du parti nationaliste, le Kouo Min Tang de Sun Yat Sen, et ses principaux dirigeants siègent au comité central du KMT, ceci jusqu'au virage de 1927. L'épuration entreprise alors par le "généralissime" Chiang Kaï-shek recevait le blanc seing du Komintern siégeant à Moscou, pour des raisons stratégiques. Celles-ci remontent au congrès de Bakou de 1920, elles avaient conduit Lénine à soutenir le kémalisme turc contre le traité de Sèvres, à se partager le Caucase avec lui en 1921 et à fournir des armes aux Turcs contre les Grecs en 1922.

Il faut donc une bonne dose de candeur à l'historiographie d'inspiration trotskiste pour n'y voir que la "Tragédie de la révolution chinoise" titre du livre considéré comme "classique" de Harold Isaacs, écrit en 1938 et qui relate les événements dont Malraux a tiré sa "Condition humaine".

Nous nous trouvons confrontés à une froide logique, celle de la révolution mondiale. Les divergences ne portent que sur le "tempo" : pour Mao hier, pour Staline avant-hier, pour Xi Jinping aujourd'hui, le but ultime reste ce que Jules Monnerot appelle "l'Imperium mundi", titre du dernier tome de son irremplaçable Sociologie du communisme.

(1) cf. "Le spectre d’un ralentissement de la Chine pèse sur l’économie mondiale" Publié le 7 novembre à 05h01, il rebondit par rapport à l'intervention de Xi Jinping lors de la cérémonie d’ouverture de la China International Import Expo (CIIE), à Shanghaï, le 4 novembre 2021

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La minute de vérité : Eric Zemmour rend hommage aux militants du Front national

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François Floc'h

Le jeudi 4 novembre, sur C-News, Christine Kelly avait invité Eric Zemmour pour un entretien exceptionnel. Exceptionnel ? Cet entretien le fut par la teneur des propos de Zemmour, sa fougue, son courage, sa sincérité. Mais aussi par l'audience atteinte par la chaîne, ce soir-là. Plus d'un million pour le direct, sans compter les replays et autres réseaux dits sociaux. L'effet Zemmour ne s'érode pas...

L'émission complète est à revoir sur Youtube :

Revenons sur un passage qui nous va droit au cœur. C'est à la minute 34:23 En voici la transcription, en style parlé pour en conserver la spontanéité…

Minute 34:23, Christine Kelly, sans détour, pose une question épineuse concernant le RN : Votre stratégie de taper sur le Rassemblement national, alors que vous prônez l'union des droites… Certains disent que l'on ne comprend pas cette stratégie alors que le Rassemblement national était le premier à vous défendre pour la liberté d'expression.

Lorsque vous ne parliez pas, qu'on voulait vous faire taire. Et l'on ne comprend pas. Et l'on a l'impression d'une petite trahison. Vous allez réussir à faire l'union des Droites ?

Eric Zemmour : Certains du Front national m'ont défendu, pour défendre ma liberté d'expression. C'est vrai ! Ils n'étaient pas les seuls, d'ailleurs. Il y a beaucoup de gens qui m'ont défendu à ce propos. Il y a beaucoup de gens qui sont venus témoigner à mes procès et qui n'étaient pas du Front national.

Je voudrais dire deuxièmement que, moi, j'aime les gens du Front national, ses militants, les électeurs évidemment. Mais, les militants. Ce sont eux qui, en partie, regardaient mes émissions.

Ce sont eux qui achètent mes livres, qui viennent dans mes conférences, ce sont eux qui m'aiment. Et moi, je leur rends cet amour. Je pense qu'ils…, vous savez, ça n'a pas été facile pour eux depuis 20 ans, depuis 30 ans, depuis 40 ans… Ils ont été ostracisés, virés de leurs boulots parfois… Obligés de se cacher comme si c'était des pestiférés… Uniquement parce qu'ils voulaient défendre la France.

Christine Kelly : Maintenant, c'est l'extrême droite décomplexée ?

Eric Zemmour :  Non, non. Je vous dis… Moi, ces gens-là je les aime et je les défends. C'est justement, justement pour ceux-là que je fais ce que je fais ! Si vous voulez bien comprendre la situation politique, le Front national est à la fois la victime et l'acteur d'un piège mortel tendu par Mitterrand, il y a 40 ans. Et qui a fait des idées nationales, patriotiques, l'exclusivité, le monopole de ce parti pour mieux l'enfermer dans un statut de paria.

Christine Kelly : Et vous voulez les libérer ?

Eric Zemmour : Exactement !

Christine Kelly : Vous allez y arriver ?

Eric Zemmour : Dieu vous entende ! Mais, c'est ça mon objectif : c'est les libérer pour leur  donner enfin la possibilité de défendre leur pays efficacement. C'est tout le drame malheureusement du Front national. Alors, oui ! Il faut rassembler les gens de LR, les gens de la Droite qui ne se reconnaissent plus dans leurs candidats… Fin de citations

Les hésitations, les états d'âme ne sont plus de mise…

Retrouvons l'enthousiasme de notre jeunesse. Et repartons au combat politique, en chantant...

Les héros d’autrefois nous convient à leur foi. Camarades, groupons-nous en avant !

09:59 Publié dans François Floc'h, Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Marc Rousset présente son nouveau livre "Comment sauver la France" sur TV Libertés

La France est menacée de disparition. Après 40 années de gabegies et de soumissions, il est grand temps d’engager une « révolution conservatrice », anti-mondialiste. C’est le projet de Marc Rousset, diplômé des universités de Columbia et Harvard et ancien haut dirigeant d’entreprise. Pour l’invité de « Politique & Eco », une dette publique, actuellement irremboursable, couplée à des taux d’intérêts qui remonteront inévitablement, condamnent l’économie nationale et même l’euro qui explosera après la faillite de la France. Pour faire face au cataclysme, Marc Rousset lance quelques pistes de réflexions dans un ouvrage intitulé « Comment sauver la France – Pour une Europe de nations avec la Russie ». Parmi ses propositions : faire économiser 200 milliards d’euros par an à l’Etat en s’attaquant à l’immigration, la fonction publique et les retraites, quitter l’euro et créer une union latine, libre-échangiste en interne et protectionniste en externe. Pour mettre en place un tel programme, Marc Rousset ne s’opposerait pas à l’établissement d’une dictature, au sens romain du terme, emmenée par un homme en qui le peuple aurait confiance.

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