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mercredi, 05 avril 2023

DIMANCHE 23 AVRIL, EN MAYENNE : ROLAND HÉLIE, DIRECTEUR DE SYNTHÈSE NATIONALE, INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS AVEC NOS CHÈRES PROVINCES

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À L'INITIATIVE DE "RECONQUETE !", SE TENAIT AUJOURD'HUI À PARIS UN COLLOQUE SUR LA VIOLENCE DE GAUCHE ET D'EXTREME GAUCHE

Face aux violences inouïes qui prennent aujourd’hui la France en otage, Reconquête ! organisait ce mercredi 5 avril 2023 une convention sur le thème : « Mélenchon, black blocs, antifas : en finir avec les violences de l’extrême gauche ».

Cette convention était destinée à faire la lumière sur le chaos organisé par l’extrême gauche, soutenu par la NUPES et permis par Emmanuel Macron. De nombreux invités sont venus apporter leur analyse, leurs témoignages et leurs solutions, sur les sujets des antifas, des black blocs, sur leurs liaisons dangereuses avec la NUPES, l’histoire de ces mouvements, leurs modes d’action et leurs cibles privilégiées.

Sont notamment intervenus : Thibault de Montbrial, avocat et président Centre de Réflexion sur la Sécurité Intérieure (CRSI), Patrice Gueniffey, historien, auteur de La Politique de la Terreur (2000) et Olivier Vial, Président de L’Union Nationale Inter-universitaire (UNI). Des policiers et des victimes de cette violence viendront également témoigner, ainsi que deux anciens black blocs repentis.

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La face cachée d’Humza Yousaf, le nouveau Premier ministre musulman de l’Écosse.

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Patrig Montauzier,
directeur de la revue War Raok
 
Mes amis indépendantistes écossais auraient-ils oublier cet art de la dissimulation tant prisée par les islamistes ? La taqîya !
 
Au début des années 2000, Humza Yousaf dirige la Scottish Islamic Foundation (SIF). En 2010, la fondation Quilliam (musulmans modérés) alerte les services de sécurité britannique en expliquant que le SIF propageait la radicalisation et des visions extrémistes. Source : cliquez ici
 
En 2008, avec son cousin Saeed et le SIF, Humza Yousaf organise une rencontre entre un Ministre écossais et 3 responsables islamistes : Mohammed Sawalha, Anas Altikriti et Ismail Patel.
 
Mohammed Sawalha est un commandant du Hamas. Le Hamas est l’organisation des Frères musulmans en Palestine qui prône le Jihad et la destruction d’Israël. Elle est classée comme terroriste.
 
Anas Altikriti est un islamiste des Frères musulmans (son père dirige les Frères musulmans en Irak). Il est le créateur de la Cordoba Fundation, façade des Frères musulmans en Grande Bretagne et classée également terroriste.
 
Ismail Patel est le fondateur du FOA (Friends of Al-Aqsa) une organisation britannique pro-Hamas, et antisémite. Ismaël Patel soutien le meurtre pour adultère. (Dans son livre « le choix des femmes pensantes » Londres 1997, pages 56/58).
 
Les ministres SNP ont versé 400.000£ de subventions au SIF dont le directeur est le cousin de Humza Yousaf, Saeed.
 
En 2013, Humza Yousaf qui était Ministre écossais des Affaires extérieures donne une subvention de 398000£ à Islamic Relief, ONG Frères musulmans classée terroriste car soupçonnée de financer le Hamas.
 
Quant à Osama Saeed, (son cousin directeur du SIF et également membre du SNP), ce dernier veut rétablir le califat, défend le chef d’Al-Qaida Anwar Al-Awlaki sur son blog, supporte Qaradawi… Source : cliquez là
 
Humza Yusaf avait défendu l’arrivée au pouvoir des islamistes frères musulmans en Egypte dans un tweet. On retrouve aussi Humza Yousaf comme un soutien régulier du Qatar et de sa chaîne islamique Al-Jazeera.
 
Enfin, le premier geste d’Humza Yousaf, en tant que Premier Ministre de l’Écosse : la prière islamique. Il est grand temps d’ouvrir les yeux avant qu’il ne soit trop tard !
 
Il n’est pas évident que le peuple écossais soutienne et apprécie les dérives du Parti National Écossais (SNP).
 
La démocratie écossaise est en danger !

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Soutien du Parti de la France aux militants de Reconquête ! de l'Aisne

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Un communiqué du PdF :
 
Le Parti de la France apporte son soutien à Romain Dumand, Délégué départemental de Reconquête dans l'Aisne, et à ses trois militants placés en garde à vue par la police d'État pour avoir affiché des banderoles à Saint-Quentin en octobre dernier faisant le lien entre le meurtre de Lola et la submersion migratoire.
 
Rappelons que la fillette de 12 ans a été violée et massacrée par une sorcière algérienne qui aurait du être expulsée du territoire depuis plusieurs mois.

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Vous avez dit « terrorisme de l’extrême-gauche » ?

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Michel Festivi

Notre fringuant ministre de l’intérieur, Monsieur Gérald Darmanin, vient récemment de défrayer la chronique dans un entretien au JDD en dénonçant le « terrorisme intellectuel d’’extrême-gauche », accusant aussi JL Mélenchon de vouloir faire la révolution. Sur Europe 1 il a même évoqué : « le rouleau compresseur d’une partie de l’extrême-gauche » qui fait preuve de « terreur intellectuelle », rajoutant : « l’extrême-gauche joue en rôle très dangereux aujourd’hui dans notre pays ».

Il attaque (enfin) la Nupes et son leader : « l’extrême-gauche essaie d’avoir par le désordre ce qu’elle n’a pas pu avoir dans les urnes… Monsieur Mélenchon est passé de pompier pyromane à pyromane tout court … Monsieur Mélenchon a un projet : c’est la Révolution. » (Cf le Figaro du 2 avril 2023).

Mr Darmanin a totalement raison dans son analyse, mais pourquoi alors, se tire-t-il en permanence une balle dans le pied, en réservant tous ses coups aux militants nationaux et aux mouvements qui refusent l’immigration sauvage et massive ? D’autre part, au sein même de l’exécutif, on ne semble pas apprécier ses propos, comme Clément Borne par exemple, le ministre des transports, qui a choisi lui de s’exprimer dans Libération, tout un symbole, et qui veut « continuer à travailler avec les forces politiques de gauche. » Fermez le ban !

Jean Sévillia, en réponse à Gérald Darmanin, apporte son expertise aux journalistes du Figaro le 4 avril sur cette notion du terrorisme intellectuel de l’extrême-gauche, lui qui a été l’auteur d’un livre remarqué en 2000 : « le terrorisme intellectuel. De 1945 à nos jours », chez Perrin. 

Jean Sévillia fait remonter ce terrorisme intellectuel des gauches à l’après-guerre et explique que la gauche s’est alors « assimilée au camp du bien », « reléguant la droite au camp du mal ». Car dit-il, tout ce qui n’est pas de gauche est susceptible d’être fasciste, et De Gaulle lui-même a été accusé d’être fasciste.

Sa démonstration est juste, mais largement insuffisante et incomplète. Tout d’abord, il n’insiste pas assez sur le fait qu’une grande partie de la droite et du centre s’est ralliée à la gauche en faisant sienne sa doxa de « l’antifascisme ». En France par exemple le « pas d’ennemi à droite », n’a jamais pu s’imposer, le contraire toujours, sur ce même fondement. Or le socialisme nazi et fasciste sont morts en 1945, pas le communisme.

Mais qui plus est, ce terrorisme intellectuel des gauches, sous le couvert de « l’antifascisme », remonte à bien plus loin. On peut le dater très clairement du mois de novembre 1933, où les droites espagnoles, regroupées dans la CEDA, ayant très largement remportées les seules élections législatives non frauduleuses d’alors, ce sont vues refusées par le Président de la République Niceto Alcala Zamora qui était plutôt centriste, et les gauches vaincues emmenées par Manuel Azaña et Largo Caballero, la possibilité d’obtenir la direction du gouvernement et même le moindre ministre, et ce en contradiction totale avec la constitution de décembre 1931.  Lorsqu’en désespoir de cause, en octobre 1934, José Maria Gil Roblès, le chef de la CEDA, réussit après moultes demandes pacifiques à décrocher trois sous-ministères, les gauches qui s’y étaient préparées, ont immédiatement enclenché la révolution armée dans tout le pays et singulièrement dans les Asturies pour liquider leurs opposants au nom justement de « l’antifascisme ». C’est ce que j’ai expliqué, documents à l’appui, dans mes trois livres publiés aux Editions Dualpha : Les trahisons des gauches espagnoles en 2021, l’Espagne ensanglantée en 2022, et Miguel Primo de Rivera, qui vient d’être publié.

D’ailleurs, dans les mois qui suivront, Staline décidera de changer radicalement de tactique, et ordonnera à tous les partis communistes, de pratiquer des politiques dites de « Front populaire », ce qui réussira en Espagne, puis en France. Il fallait « se cacher » derrière le vocable de « l’antifascisme » pour mieux tromper « les progressistes » ou les catholiques. En Espagne, trois as de la propagande communiste stalinienne, Willy Müzenberg, Otto Katz et Ilya Ehrenbourg réussiront, au-delà de toutes leurs espérances, à tromper les gogos des gauches dites modérées, pour faire croire aux démocraties occidentales que les communistes défendaient désormais la liberté et la république, et ce en plein procès de Moscou ! Cf, de l’auteur, L’Espagne ensanglantée pages 235 à 247. André Gide, grâce à un voyage dans la patrie des prolétaires, ouvrira les yeux et sera l’un des rares intellectuels de l’époque, avec George Orwell,  à critiquer vertement l’URSS et les ignobles procès qui s’y déroulaient, contrairement par exemple à la Ligue des Droits de l’Homme qui restera muette, pour ne pas désespérer Billancourt.

En réalité, les Nupes et autres organisations d’extrêmes-gauches, ne font que reprendre les mêmes techniques de leurs prédécesseurs léninistes et staliniens. Toujours cette constance dans l’histoire, qu’il faut impérativement connaître pour comprendre le présent. Comme l’explicitera courageusement l’Historien gallois de gauche Burnett Bolloten dans son livre magistral, La guerre d’Espagne-Révolution et contre-révolution (1934-1939) publié par les éditions Agone en 2014 : « Lorsque j’ai commencé à écrire sur la guerre civile et la révolution en 1936, en tant que correspondant britannique de l’United Press, j’étais très influencé par la propagande du parti communiste, de même que beaucoup d’autres journalistes qui soutenaient la République, et qu’il me fallut plusieurs années pour m’affranchir des désinformations et des mensonges qui encombraient ma pensée. »

Pendant combien de temps encore, notre droite molle et nos centristes amorphes, se mettront enfin à ouvrir les yeux sur la réalité politique et historique que je viens de décrire pour changer leur logiciel et se débarrasser du politiquement et historiquement correct ? C’est toute la question.

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mardi, 04 avril 2023

Van der Leyen et l’UE veulent tuer la propriété privée au nom de l’écologie

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Bernard Germain

Cela vous a sans doute échappé, mais l’Union Européenne vient de voter un texte qui pose la question de la disparition de la propriété privée.

Il s’agit d’une authentique révolution, motivée par un prétexte purement idéologique : la lutte pour le climat.

On notera juste au passage que cette théorie du réchauffement climatique est largement contestée. De multiples scientifiques remettent en cause cette théorie du GIEC, notamment parce que cet organisme a été pris la main dans le sac à plusieurs reprises à trafiquer les chiffres pour qu’ils disent ce que le GIEC prétend.

Sur ce thème, on peut lire par exemple le livre d’Alban d’Arguin « Réchauffement climatique. Enquête sur une manipulation mondiale. » (Pardes Editions).

On n’oubliera pas non plus d’avoir en mémoire que l’Europe ne représente que 9% des émissions mondiales de CO2. Quant à la France, c’est 0,9%.

Tandis que la Chine et les USA en produisent à eux deux près de 50 %.

Pourtant l’Europe agit comme si tout se jouait en Europe et impose une politique délirante à tout le continent.

Après cette brève introduction, revenons au texte voté le 14 mars 2023 au parlement européen.

Il s’agit d’une modification du texte « directive sur la performance énergétique des bâtiments ».

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N’est pas Machiavel qui veut !

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La chronique de Philippe Randa

Que Charles De Gaulle nomme à Matignon Georges Pompidou, personne n’y trouva à redire : fidèle du Général – le minimum gaullo-syndical – l’ancien directeur général de la banque Rotschild prouvera par la suite qu’il était capable de le remplacer à la tête de l’État, d’y tenir son rôle sans ridicule ni impopularité particulière avant que la maladie ne le fauche dans l’exercice de sa fonction.

Que Valérie Giscard d’Estaing, une fois élu, n’eût d’autres choix, à l’évidence, que de nommer Jacques Chirac à la tête du gouvernement, c’était à l’évidence le prix de sa trahison en bonne et due forme de Jacques Chaban-Delmas, candidat historique et naturel des Gaullistes, qui lui assura sa qualification au second tour de la Présidentielle. Matignon était en quelque sorte les « trente deniers » de récompense pour sa déloyauté qu’on découvrira par la suite congénitale.

Certes, deux ans plus tard, l’élu de Corrèze et pas encore de Paris, était remercié et remplacé par un Raymond Barre qui assura le « taf » (comme on ne parlait pas encore ainsi en cette époque-là), croyant (et pas que lui !) que son heure présidentielle arriverait ensuite avec un couronnement élyséen : ce ne fut pas le cas et c’est son « has-been » de prédécesseur – mais bête politique s’il en était – devenu Maire de Paris qui finalement arriva à ses fins, mais après avoir dû, à son tour, subir la trahison de son « ami de trente ans », Édouard Balladur, qu’il avait personnellement chargé d’assurer l’intérim à la tête d’un nouveau gouvernement de cohabitation avec François Mitterrand : Chirac ayant déjà joué dans le film, avait juré qu’on ne l’y reprendrait plus, mais cela aura bel et bien failli lui coûter sa présidentielle ambition.

Ces exemples de déloyauté plus ou moins payante ont probablement influencé plus que de raison les Président Sarkozy, Hollande et Macron dans le choix de leurs Premiers ministres respectifs : à une exception près (Manuel Valls qui ne tirera finalement aucun bénéfice de son passage à Matignon et sera même éliminé en 2011 à la primaire de la gauche), ils les auront choisis aussi insipides, incolores, inodores et sans saveurs que possible : François Fillon, Jean-Marc Ayrault, Bernard Cazeneuve, Edouard Philippe, Jean Castex et actuellement (mais pour combien de temps encore ?) Élisabeth Borne…

Certes, des sondages sont pour l’heure bienveillants envers Édouard Philippe, mais justement « pour l’heure » et « faute de mieux » (mais pour combien de temps, là encore ?).

L’obsession d’empêcher au sein de leur propre camp respectif la moindre rivalité potentielle qui compromettrait leur réélection aura ainsi obsédé les trois derniers présidents français au point qu’ils en aient oublié qu’ils se retrouvaient, de fait, en première ligne face à l’impopularité de leurs politiques, prenant nombre de coups écornant d’autant leur image présidentielle.

Ainsi, Nicolas Sarkozy sera battu en 2011 par le « capitaine de pédalo » (dixit Jean-Luc Mélenchon) François Hollande qui lui, n’osera même pas se représenter de peur d’un score par trop humiliant… et Emmanuel Macron – certes réélu en 2022 dans un ultime soubresaut d’un « front républicain » anti-Le Pen, mais dont l’avenir prouvera qu’il était déjà à l’agonie – perdra sa majorité parlementaire dans la foulée : une première sous la Ve République !

On prête souvent aux dirigeants politiques une intelligence quelque peu exagérée quand il ne s’agit bien souvent de leur part que de simples et dangereux calculs… bien mal calculés !

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Metz : un chanteur LGBT+ dans la basilique Saint-Pierre aux Nonnains

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Le collectif Lorraine catholique alerte au sujet du concert du chanteur promoteur du lobby LGBT+ Bilal Hassani dans la basilique Saint-Pierre aux Nonnains, ce mercredi 5 avril en pleine Semaine sainte, et appelle à un chapelet de réparation sur les lieux. Ladite basilique, qui date en partie du IVe siècle et est désacralisée depuis 1556, et est devenue ces dernières années une salle de concerts et d’évènements culturels.

Mercredi 5 avril, en pleine Semaine sainte, la basilique Saint-Pierre-aux-Nonnains de Metz, la plus vieille église de France, sera hideusement profanée par un spectacle du chanteur transsexuel Bilal Hassani.

N’y avait-il pas d’autre endroit pour accueillir cette prestation ?

Les salles des spectacles sont-elles toutes occupées en ce mercredi saint ?

Non bien sûr, mais il s’agit comme d’habitude de fouler aux pieds la religion chrétienne et de souiller tout ce qui ne l’est encore par des obscénités comme ce “tube” de l'”artiste”(attention images choquantes) :ICI

Chrétiens fidèles, soyons nombreux à défendre l’honneur de Notre Seigneur Jésus-Christ en cette fin de Carême !

Il ne sera pas dit que nous aurons laissé Ses ennemis cracher sur Lui sans réagir.

Soyons très nombreux à venir prier le chapelet, à 19 h 45ce mercredi 5 avril, devant notre basilique de Saint-Pierre-aux-Nonnains occupée.

Nous y implorerons le Ciel d’empêcher ce sacrilège, si telle est Sa volonté, et nous Lui demanderons pardon pour nos péchés et ceux des profanateurs.

Merci de faire circuler l’information.

En union de prières et de combat,

Lorraine catholique

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DERNI7RE MINUTE (05 04 2023) :

la détermination des

catholiques lorrains a payé !

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LUNDI 1er MAI, À SCRIGNAC (29) : 80e ANNIVERSAIRE DE L'ASSASSINAT DE L'ABBÉ PERROT

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Voici l'article de Youenn Caouissen consacré à l'Abbé Perrot publié dans le n°55 de la revue Synthèse nationale (automne 2020, cliquez ici).

L’ABBÉ YANN-VARI PERROT :

POUR LA FOI ET LA BRETAGNE

Youenn Caouissin

N’en déplaise à certains, l’abbé Yann-Vari Perrot (1877-1943) fut la plus grande personnalité du « Mouvement breton » de la première moitié du XXe siècle, et de nos jours il le reste, étant donné la pénurie d’élites authentiquement bretonnes, dans tous les domaines… 

L'abbé Perrot, fils d’une famille paysanne léonarde, très tôt orphelin, fut élevé par un oncle et une tante, avec leurs cinq enfants, dans l’amour de la foi et de la Bretagne, et bien évidemment, dans la langue bretonne. À l’âge de 12 ans, il entre à l’Institut des Frères des Écoles chrétiennes de Guingamp, où on lui fait comprendre qu’il ne doit plus parler breton, sinon c’est la punition. Il en est ainsi dans la plupart des écoles chrétiennes, et ce, malgré les recommandations des évêques de défendre et promouvoir la langue bretonne. Mais cette interdiction l’est plus encore dans les écoles de la République. Pour le petit léonard qui n’a jusque-là parlé que breton, c’est le choc. Très éveillé d’esprit, c’est de cette interdiction que va naître sa vocation de défendre sa langue maternelle dont il perçoit les immenses richesses. Après ses années de séminaire où sa personnalité « d’entraîneur d’hommes » est remarquée par ses supérieurs, il est ordonné en juillet 1903 en la cathédrale de Quimper. C’est aussi le temps des persécutions religieuses. Le gouvernement français aux mains des anticléricaux, des francs-maçons (dont les plus beaux spécimens sont Émile Combes ou Georges Clemenceau) rejoue la Révolution française en spoliant l’Église de ses biens, en chassant les congrégations religieuses de leurs couvents, de leurs monastères, en leur interdisant l’enseignement et toute action sociale. Parallèlement, le gouvernement mène une guerre acharnée contre la langue bretonne, aussi bien à l’école qu’à l’église. Il ne lui a pas échappé que combattre la foi et la langue en Bretagne participe d’un tout. Le jeune abbé Perrot, avec ses compatriotes qu’inquiètent ces persécutions, sont dès lors décidés à rendre « coup pour coup » à cette engeance jacobine, anti-bretonne, anti-chrétienne, qui entend détruire la Bretagne. Ce sont aussi les années qui voient, avec une nouvelle génération, naître le premier Parti nationaliste breton (PNB). Dès lors, le combat breton ne va plus se contenter d’être l’œuvre d’aimables cercles régionalistes de notables érudits, se consacrant exclusivement à l’Histoire, le culturel, l’archéologie. Désormais, il va investir le terrain politique est investi. L’abbé Perrot qui se défend de se mêler de politique, surtout en tant que prêtre, sait parfaitement que les combats pour la langue, la culture bretonne et la foi ne peuvent se soustraire à ce combat, car finalement tout est politique, car l’ennemi est politique et même idéologique.

Le Bleun-Brug, un Puy du Fou avant l’heure

En 1905, au château de Kerjean en Saint Vougay, dont il est recteur, l’abbé Perrot fonde la fête du Bleun-Brug (Fleur de Bruyère). Cet événement, pour lequel il reçoit les soutiens de l’Église, de tous les notables, dont la majorité appartient à la noblesse bretonne encore très influente, mêle, loin de tout folklore, le culturel et le spirituel. L’enjeu est d’importance, car par le festif intelligent, il s’agit de rendre aux Bretons leur fierté de… Bretons. Fierté de leur langue, de leurs traditions, de leurs costumes, de leur culture, de leur Histoire dont ils ignorent tout. Parmi les personnalités qui vont promouvoir et défendre l’œuvre naissante de l’abbé Perrot, le Comte Albert de Mun qui œuvre avec La Tour du Pin à l’application de lois sociales en conformité avec la Doctrine sociale de l’Église. Justement, le programme éminemment social catholique du Bleun-Brug le séduit au point d’en accepter la présidence d’honneur, et de le défendre jusque dans l’enceinte du Palais Bourbon. C’est ainsi que jusqu’en 1914, le Bleun-Brug va aller de succès en succès, et être un événement vraiment populaire.

Août 1914, c’est la guerre, la mobilisation générale. Un monde s’apprête à disparaître, mais personne ne le sait. Toute l’œuvre de reconquête de l’âme, de la culture bretonne qu’a suscité en 10 ans le Bleun-Brug est anéantie ; l’abbé Perrot est contraint de suspendre la publication de sa revue Feiz ha Breiz qui était « La Voix du Bleun-Brug et de la renaissance bretonne ».  

L’abbé Perrot est mobilisé. La République, qui n’a de cesse de diffamer, de persécuter les prêtres, est bien aise de les mobiliser pour sa défense, et le clergé breton paiera un lourd tribut du sang dans cette boucherie européenne. Comme beaucoup de ses confrères, l’abbé Perrot remplira sans hésiter, en tant qu’infirmier-brancardier, ses devoirs et sera le compagnon d’infortune de ses compatriotes si nombreux à se faire tuer pour les « valeurs de la République ». Il va même se comporter en héros, n’hésitant pas, au risque de sa vie, à prendre la place d’un père de famille qui était envoyé en mission au cœur du front et avait toutes les chances d’y laisser sa peau. Pour ce sacrifice risqué, mais réussi, l’abbé Perrot sera cité à l’Ordre de la Nation et recevra la Croix de guerre du combattant et la Médaille militaire Interalliée de la Victoire. Plus tard, à ceux qui l’accuseront par son militantisme breton de nourrir et diffuser un « esprit antifrançais », il n’hésitera pas à mettre sous le nez de ses accusateurs ses états de service au front.

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SAINT BRÉVIN-LES-PINS (44), SAMEDI 29 AVRIL : 4e MANIFESTATION CONTRE L'IMPLANTATION D'UN CADA (CENTRE POUR ÉMIGRÉS)

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Jean Lassalle : La France disparaît pour "les intérêts cachés d’une infime minorité"

Jean Lassalle : "Je persiste et signe, Macron n'a pas été vacciné"

L’ancien député n’est pas venu brasser de l’air, bien au contraire. Vous allez découvrir que sa voix grave porte des vérités que d’autres taisent. De la prétendue vaccination du président Macron à l’affaire du sang contaminé impliquant Fabius, les révélations chocs s’enchaînent par celui qui est issu d’une famille de bergers et qui voit ce peuple à qui l’on ment. 

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IGNACE, LE FAMEUX DESSINATEUR, SERA PRÉSENT LE DIMANCHE 23 AVRIL EN MAYENNE AU RENDEZ-VOUS AVEC NOS CHÈRES PROVINCES

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Face à l'immigration incontrôlée, l'Irlande aussi se réveille

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Un communiqué du Parti de la France

Depuis plusieurs semaines, des Irlandais battent le pavé pour protester contre l’arrivée massive de migrants dans leur pays. Après les villages français de Callac, Bélâbre et Beyssenac, le vent de révolte contre la submersion migratoire gagne progressivement l’Irlande.

Dans un pays gouverné par une alternance de centristes, la question de l’immigration a souvent été reléguée aux débats secondaires. Mais la crise du logement associée à des rumeurs sur de supposés viols et agressions commis par des réfugiés semble changer la donne. Aujourd’hui, ce sont ainsi 56 % des Irlandais qui considèrent qu’il y a « trop de réfugiés » sur leur île.

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Nicolas Dupont-Aignan : Macron, un dangereux déséquilibré à la tête de l’État ?

Le pays est à feu et à sang. Alors que la France était déjà affaiblie et que la population est étrillée par les crises économiques et énergétiques, Emmanuel Macron a fait le choix de passer en force avec la réforme des retraites. Une vexation de plus qui a mis le feu aux poudres. Après 10 manifestations nationales consécutives, les Français ont beau témoigner de leur opposition, mais aussi de leur désespoir, le président semble s’en désintéresser avec un certain mépris ou un mépris certain.

Des rassemblements virent à l’embrasement et les ordres donnés à la police paraissent de plus en plus souvent excessifs. De quoi jeter de l’huile sur le feu au point de faire penser que c’est le plan du pouvoir. Pousser aux violences pour réprimer toujours plus et s’imposer surtout ensuite comme le seul recours pour rétablir l’ordre.

Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France et député de l’Essonne, revient pour TVL sur cette période à hauts-risques où Emmanuel Macron va devoir faire le choix entre la rue, la destitution ou le compromis politique.

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Dresseur de tigre

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Philippe Gélie

En 2018, lors de son premier voyage présidentiel en Chine, Emmanuel Macron avait, tout feu tout flamme, proposé de jouer les médiateurs entre Xi Jinping et... le dalaï-lama. Nul ne l’avait sollicité et l’on sait ce qu’il en est advenu : rien. Cinq ans plus tard, c’est un chef de l’État nettement plus émoussé qui se lance dans un exercice diplomatique de haute voltige : établir, avec le meilleur allié de Vladimir Poutine et pire ennemi de Joe Biden, des relations équilibrées permettant à l’Europe et à la France de tirer leur épingle du jeu. Un jeu international de plus en plus brutal, dans lequel le Vieux Continent cherche à exister entre le bras de fer sino-américain et l’alliance « sans limite » russo-chinoise, attisés par la guerre en Ukraine.

Il a fallu trente ans à nos dirigeants pour sortir doucement du rêve d’un alignement des puissances dans l’orbite libérale et capitaliste de l’astre américain. Les règles du commerce mondial allaient normaliser la Chine comme l’irruption du capitalisme allait démocratiser la Russie. Raté. Nous voilà avec deux mastodontes décidés à s’associer pour instaurer un nouvel ordre mondial débarrassé des diktats moraux et politiques des Occidentaux. Un ordre international « à bas coût », selon la formule du sinologue François Godement, dans lequel les gros dévorent les petits. Dans la posture du dresseur, il est douteux qu’Emmanuel Macron, même flanqué de la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, impressionne beaucoup le tigre.

Le Français court au-devant de désillusions avec son homologue chinois tout juste revenu de Moscou. Soucieux d’affichage dans la cour des grands, le président pourrait tirer gloriole d’un coup de fil de Xi à Zelensky, du refus réaffirmé de livrer des armes à Moscou ou d’un simple engagement en faveur de la paix en Ukraine. Pour le reste, ce sera un cocktail d’endiguement là où Pékin menace nos intérêts et de coopération là où elle reste possible. L’empereur rouge veut amadouer l’UE pour ne pas se priver de son marché au moment où il subit déjà des sanctions américaines. Mais il ne déviera pas de sa trajectoire, qui vise à asseoir la domination de son modèle autocratique à travers le monde. Les Européens espèrent tout au plus en freiner la course.

Source : Le Figaro 4/4/2023

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lundi, 03 avril 2023

DIMANCHE 23 AVRIL, EN MAYENNE : BERNARD GERMAIN, ÉCRIVAIN, INTERVIENDRA LORS DU GRAND RENDEZ-VOUS AVEC NOS CHÈRES PROVINCES...

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La parole est au Mouvement Chouan...

Le Mouvement Chouan, récemment créé dans l'Ouest de la France, a organisé il y a quelques jours une action devant le ministère de l'Economie. Action relatée par le Nouveau Présent cliquez ici

L'un des responsables de ce jeune mouvement explique le sens de son engagement.

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dimanche, 02 avril 2023

"Sur les chemins noirs", un film à ne surtout pas manquer

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Je suis allé voir ce dimanche après-midi Sur les chemins noirs, le film de Denis Imbert, inspiré du récit éponyme de Sylvain Tesson, (Gallimard, 2016). Un vrai moment de bonheur...

Leçon à la fois de courage, de volonté et d'humilité, ce film, à travers le défi que s'est imposé le personnage central, Pierre (admirablement interprété par Jean Dujardin), nous fait découvrir, ou redécouvrir, la France profonde que nous aimons tant et que nos contemporains ont parfois, hélas, tendance à oublier, si ce n'est à mépriser.

Bien sûr, ce film n'a aucune ambition idéologique. Cependant, il souligne le contraste entre la vie parisienne, artificielle, et l'enracinement, plein de bon sens. Il remet aussi en cause la soif de "progrès"... si chère aux progressistes. Voilà deux bonnes raisons pour les esprits non-conformistes que nous sommes de l'apprécier. Ce d'autant plus que les donneurs de leçons patentés de la pensée dominante ne sont pas avares de critiques mesquines à son encontre. Ajoutons à cela une impressionnante succession de paysages, aussi grandioses que merveilleux, qui va du Mercantour jusqu'à la pointe du Cotentin, et nous sommes comblés.

Depuis quelques années, je dois le dire, j'étais plutôt fâché avec le cinéma français, à la fois prétentieux et totalement soumis aux poncifs du politiquement correct. Mais, force est de reconnaître que, avec Vaincre ou mourir en janvier et Sur les chemins noirs aujourd'hui, les bonnes surprises sont toujours possibles. Allez donc voir ce film, vous ne le regretterez pas.

Roland Hélie 

 

 

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Macron et Mélenchon complices de la libanisation de la France

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Bernard Germain

En 1943, sous l’occupation française, eut lieu un partage de la Syrie. Une grande partie resta la Syrie actuelle à majorité musulmane, l’autre partie devint le Liban à majorité chrétienne. Au fil des ans, le nombre de musulmans augmenta au Liban et les affrontements commencèrent à se développer. Dans les années 1970, le Liban bascula en devenant un pays à majorité musulmane.

À partir de ce moment, c’est une véritable guerre civile qui s’installa entre milices chrétiennes d’une part, et musulmanes et palestino-musulmanes d’autre part. S’en suivit une explosion de violences, un terrible appauvrissement et une tiers-mondisation du pays.

Aujourd’hui le Liban « n’existe plus ». Ravagé par les conflits inter ethniques, une inflation délirante, et une quasi absence de production. Ce pays qu’on appelait la « Suisse du Moyen-Orient », est devenu une sorte de chaos intégral dont la diaspora chrétienne a fui ce pays de venu cauchemardesque.

Cette triste évolution du Liban, amenant à sa destruction, devrait nous servir de leçon et nous devrions faire très attention à ne pas recréer dans notre pays les conditions ayant provoqué ce désastre.

Malheureusement, c’est exactement le contraire qui se déroule sous nos yeux.

Et nous sommes en passe d’aboutir à une « libanisation » de la France. C’est d’ailleurs ce que dénonce Eric Zemmour qui appelle tous les patriotes à se mobiliser pour empêcher cette évolution qui serait mortelle pour notre pays.

Dans le camps d’en face, un tandem infernal œuvre au contraire à la création de toutes les conditions qui aboutiront à cette destruction de notre pays. Ce tandem est constitué de deux personnes, en apparence opposées mais en fait entièrement complices : Macron et Mélenchon avec sa NUPES.

Le premier élément qui amena à terme à la destruction du Liban fut la transformation de sa population. La France est aujourd’hui menacée du même péril.

La France est un pays chrétien, de culture gréco-romaine.

Or, Macron, Mélenchon et l’Europe n’ont de cesse de favoriser une immigration qui à ce jour est totalement incontrôlée. Il se trouve que cette immigration, pour l’essentiel vient de pays africains qu’ils soient d’Afrique du Nord ou Sub-saharienne. Un nombre considérable de ces migrants sont musulmans et ont une culture fort différente de la nôtre.

Lorsque le nombre de migrants est faible, l’assimilation les transforment en français. Avec les millions de migrants de notre société actuelle cette assimilation n’est plus possible et comme cela s’est développé au fur et à mesure des années au Liban, on constate un développement séparé et des oppositions et conflits qui ne cessent de croître. Lorsqu’ils atteignent un certain niveau la coexistence des deux sociétés ne sera plus possible. La société musulmane s’imposera. Les «français» n’auront plus qu’un choix se soumettre ou partir. Sinon, ce sera la guerre civile. Comme ce fut le cas au Liban.

Macron est un mondialiste et un européiste. Sa volonté est de voir disparaître la France, son identité et sa culture. N’a-t-il pas dit « il n’y a pas de culture française » ? En fait ce qu’il veut, comme tous les mondialistes c’est que nous soyons de simples consommateurs pour lesquels leur situation géographique ne doit plus avoir de signification.

Mélenchon, à sa manière dit la même même chose et a le même objectif. Il affirme volontiers que nous sommes «citoyens du monde», donc sans pays, sans nation, et souhaite la « créolisation » de notre peuple. C’est à dire sa dissolution dans une espèce de «population mondiale».

C’est par là qu’a commencé la destruction du Liban. Nous en prenons dangereusement le chemin.

Ce qui explique l’importance primordiale du combat pour que la France reste la France et que chaque individu qui souhaite y venir affiche clairement sa volonté de faire partie du peuple français avec sa culture, ses us et coutumes et son identité.

Sinon, c’est qu’il s’agit d’une invasion et cela ne peut que finir très mal.

Le second élément qui fut constaté au Liban et que nous retrouvons en France est le développement de la violence dans toute la société. Ainsi, la violence d’extrême-gauche est omniprésente en France. Les médias bien pensants la cachent soigneusement mais quiconque veut bien voir la simple réalité ne peut que faire le constat de son existence. Par exemple, on ne compte plus les agressions contre les militants de « droite » et les patriotes, à l’occasion de réunions ou de conférences que les bien pensants veulent interdire. Les agresseurs justifiant leurs actions par le slogan «Pas de démocratie pour les ennemis de la démocratie». Ou encore les violences constatées dans les manifestations comme celles contre la réforme des retraites avec moult dégâts et agressions physiques.

Rien de cela n’est dénoncé dans les médias bien pensants, c’est même l’inverse.

Ils ne cessent de parler des «violences d’extrême-droite», alors qu’il n’y en a aucune, et du danger imminent de l’instauration du fascisme dans notre pays, délire qui est aussi un fantasme.

Enfin, on a pu les constater lors de manifestations interdites (Sainte-Solines) où des dizaines de gendarmes ont été blessés par des gauchistes à coups de cocktails Molotov, boules de pétanque, mortiers d’artifice… etc. Et les mêmes de se déclarer victimes de «violences policières».

Mélenchon approuve tout cela, lui qui a comme nouvel ami Andreas Malm, qui se déclare « Lénino-écologiste » prônant les actions violentes dans la lutte pour le climat.

Mais Macron ne s’inquiète pas du tout de cette situation, elle lui permet de faire peur aux gens les plus crédules qui lui demandent de «reprendre les choses en main» afin d’assurer l’ordre.

C’est bien pratique quand on a une bonne partie de la population opposée à sa politique. 

La plupart de ces actions violentes sont le fait d’antifas qui ne sont en réalité que des milices au service de Macron. Largement soutenues par Mélenchon et tous les médias bien pensants qui font l’opinion. Ajoutons que tout est fait par Mélenchon et la NUPES pour créer une ambiance inquiétante à travers tout le pays. C’est à cela que sert la « bordelisation » de la vie parlementaire. Avec violences verbales et non-respect des règles les plus élémentaires du fonctionnement parlementaire.

La NUPES, aux yeux de ses soutiens, peut ainsi se prévaloir à bon compte d’être intraitable face aux ennemis politiques.

Quant à Macron il doit jubiler puisque cela lui offre la possibilité d’appeler tous les autres parlementaires à serrer les rangs contre ces furieux de la NUPES. Et gare aux députés qui ne sont pas solidaires face à l’ennemi.

Un petit jeu de duettistes dont seuls les naïfs peuvent être dupes de cette mauvaise blague.

Enfin, il est important de souligner le troisième élément qui a signé le désastre libanais : la destruction de l’appareil de production. Depuis qu’il était ministre de Hollande jusqu’à nos jours, soit une bonne dizaine d’années, Macron n’a eu de cesse de détruire notre appareil productif. Pour dire les choses simplement, il convenait de faire de la France un pays de services (Tourisme…) et dans le cadre de la mondialisation de l’économie, accepter d’être dépendant des autres pays dans de nombreux domaines.

On a vu le résultat de cette brillante politique à l’occasion de la crise du Covid. Un authentique naufrage pour le pays.

Ajoutons la soumission aux oukases de l’Allemagne et de l’Europe, comme par exemple sur le nucléaire ce qui se traduit par une crise terrible pour notre parc nucléaire qui se double d’une crise énergétique que les français payent chaque mois avec des factures d’électricité ahurissantes. Tout comme ils subissent la flambée des prix des carburants.

Enfin, Macron d’un côté jette l’argent par les fenêtres, pour l’écologie en Afrique du Sud, vis à vis des pays du Maghreb ou encore pour l’Ukraine.

De même qu’il impose au pays un coût pharaonique pour l’immigration. Des sommes colossales en dizaines et centaines de milliards d’€. En revanche, il engage une réforme des retraites pour un déficit à venir de 15 milliards d’€. Provoquant à cette occasion une crise majeure.

Macron est donc, avec sa politique économique, en train de détruire l’économie de notre pays et un appauvrissement considérable de la population.

Au final, nous voyons que tous les éléments, qui ont conduit le Liban à sa destruction, sont aujourd’hui réunis pour que notre pays suive le même chemin.

En affirmant cela, il ne s’agit pas d’effrayer inutilement les gens, mais de faire prendre conscience de la réalité de notre situation et de l’avenir de notre pays.

L’histoire du Liban nous annonce ce que sera notre destin si nous ne prenons pas conscience de la réalité. Il est grand temps de réagir, de nous mobiliser et de nous battre pour sauver notre société et notre pays. Dans seulement quelques années, il sera trop tard...

16:34 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Interventions lors du Ve congrès du Parti de la France, samedi 25 mars à Paris (première série) :

Bruno Hirout

Jean-Claude Rolinat

Maxime Leroy

Eric Pinel

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Vendée : Alban d'Arguin et Eric Mauvoisin-Delavaud nous parlent des ravages de l'Eolien

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12:58 Publié dans Combat anti-éoliennes | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 01 avril 2023

L'Histoire d'un village breton qui refuse la grand remplacement...

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Une biographie de Miguel Primo de Rivera, père de José Antonio, signée Michel Festivi

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Un dictateur éclairé pour régénérer l’Espagne : 1923-1930

Le Régime politique de Miguel Primo de Rivera a duré du 15 septembre 1923 au 28 janvier 1930 ; il est singulièrement méconnu en France. Beaucoup d’historiens qui publient sur l’Histoire de l’Espagne ou sur la Guerre Civile espagnole, ne lui ont consacré que de trop brèves pages, parfois caricaturales. Et pourtant, ce fut une expérience politique des plus originales qui permit à l’Espagne de redresser la barre après des années de fiascos politiques, économiques, extérieurs et des désordres grandissants.

Non seulement Miguel Primo de Rivera rétablit l’ordre public, mais il réussit enfin la pacification du protectorat espagnol au Maroc, alors qu’il n’était pas partisan de conserver cette possession. Il impulsa d’importants travaux publics, de nombreuses réformes économiques, et tenta un changement institutionnel qui ne put néanmoins parvenir à son terme. Trop souvent négligé, voire brocardé, ce Régime ne fut ni un pronunciamiento de plus, ni un fascisme, ce que le livre démontre. Miguel Primo de Rivera accordera également la nationalité espagnole aux juifs sépharades, l’auteur revient sur cette séquence historique qui permettra durant la Seconde Guerre mondiale, le sauvetage de plusieurs milliers de juifs.

En matière sociale, et grâce à des hommes compétents, le Régime mit en place un corporatisme particulier qui se comprenait dans le cadre d’un catholicisme social, pour entreprendre la synthèse entre le capitalisme et le socialisme, et tenter d’éradiquer la pauvreté. D’ailleurs, le PSOE et son syndicat l’UGT collaborèrent à ces institutions corporatistes qui multiplièrent les avancées sociales en faveur des classes laborieuses.

Ce livre fait partie de la trilogie de l’auteur sur l’histoire contemporaine de l’Espagne, après les trahisons des gauches espagnoles soit l’histoire de la Seconde République, et les violences anarchistes et des milices révolutionnaires dans l’Espagne ensanglantée. Il n’hésite pas, à pourfendre les vérités imposées par la doxa des gauches et l’université française sur l’Espagne de ces années-là et revient aussi sur la révolution armée des Asturies, la pitoyable gouvernance de Manuel Azaña, la mainmise de Staline sur l’Espagne du Front populaire et les nombreuses contre-vérités que l’on peut malheureusement lire ou entendre à foison.

Miguel Primo de Rivera, un dictateur éclairé pour régénérer l'Espagne 1923 1930, Michel Festivi, préface d'Arnaud Imatz, Dualpha, 344 pages, 35,00 € cliquez ici

12:17 Publié dans Livres, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Danger imminent

Frédéric Michel * 

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L’homme est âgé, cheveux blancs, visage émacié, bouche grand ouverte. L’expression du regard souligne la violence du moment. Il est transporté manu militari par des policiers casqués. Le cliché illustre l’une des dernières manifestations en France contre la réforme des retraites. Il a suscité nombre de messages d’indignation. Et aussi, heureusement, quelques questions sur son authenticité. Car tout est « vraisemblablement » faux. 

C’est un fait : la preuve en images n’existe plus. Le doute est là. Tout le temps. Sur tous les sujets. Des plus graves (guerre en Ukraine, changement climatique, vaccination) aux plus insignifiants, ceux de notre quotidien. Mais pour un cliché repéré et dénoncé sur les réseaux sociaux, combien passeront sous les radars ? Combien viendront nourrir la bête de la désinformation, du complotisme et autres dérives constatées sur les réseaux sociaux ? Si le détournement d’une photo par le biais du numérique n’est pas nouveau, le phénomène explose. On parle ici d’intelligence artificielle (IA) générative, celle qui, à partir des informations qu’on lui donne, peut créer des images convaincantes pour appuyer n’importe quel discours. Avec une facilité déconcertante.

Et rien ne va vraiment s’arranger. Car avec l’IA (intelligence artificielle), tout va très vite, trop vite. Comment encadrer et réguler son développement ? Le temps long du législateur n’est pas le sien, mais on sent bien qu’il y a urgence. Lundi, c’est Europol qui avertit que les criminels sont prêts à en tirer parti pour commettre fraudes et cybercrimes. Mercredi, ce sont des centaines d’experts mondiaux qui signent un appel à « une pause de six mois » dans la recherche. Et ce vendredi, c’est l’Italie qui décide  de bloquer le robot conversationnel ChatGPT pour non-respect des données personnelles. Soulignant que ce service « expose les mineurs à des réponses absolument inadaptées ». Alors que le danger mériterait une règle de droit planétaire, ces initiatives éparses auront du mal à calmer les ardeurs des Gafa (Google, Amazon, Facebook, Apple), tous lancés dans une course effrénée pour dominer un marché qui va bouleverser l’économie mondiale.

(*) Frédéric Michel est rédacteur en chef au Parisien

Source : Parisien 1/4/2023

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Journal du chaos

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Des enclaves islamistes en France ? Allons donc, ne seriez-vous pas « islamophobe » ?

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Michel Festivi

On se rappelle la bonne ville de Lunel dans le haut-Hérault, qui avait vu une vingtaine de ses « habitants », partir faire le djihâd pour Daesch en Syrie au mitan des années 2010.

Selon une enquête que vient de publier le Figaro, le 30 mars 2023 : « le radicalisme islamique s’infiltre jusque dans les villages », dont Lunel justement.

Le Procureur de la République de Montpellier, le Préfet de l’Hérault, ont été saisis de faits de prosélytisme islamique avérés. Malgré l’interdiction de salles de cours dans une annexe de la mosquée par un arrêté municipal en novembre 2021, les forces de l’Ordre sur réquisition des autorités compétentes ont découvert que des endoctrinements islamistes persistaient sur des enfants, ce qui a été confirmé par une sous-commission départementale de sécurité.

Trois classes dédiées à l’apprentissage de la religion « et ce en toute illégalité » y perduraient.

Le Préfet vient de demander au Maire de : « procéder à la fermeture de toutes les salles d’enseignement coranique aménagées dans la structure. » L’aide aux devoirs s’était transformé en apprentissage de la haine.

Lunel serait-elle redevenue « Djihad City », comme le craignent les Lunellois qui aspiraient pourtant à tourner la page de cet islamisme échevelé. Car pour le Préfet : « il demeure à Lunel un foyer islamiste », et pour une fois, ce représentant de l’Etat dit clairement les choses et n’emploie pas la langue de bois si chère à son ministre de tutelle, monsieur Darmanin. Le Préfet annonce tout de go un : « régime d’apartheid genré à l’encontre des femmes ». Tiens, tiens, aurait-on lu à bon escient quelques sourates du coran place Beauvau ?

Le Représentant de l’Etat est sans équivoque : « l’accueil de mineurs dans certains lieux n’est pas anodin…. des associations délivrent un enseignement radical. Certains indices ne trompent pas. » On est satisfait que des hautes autorités s’en rendent enfin compte !

Des villes comme Gigean, Montagnac, ont vu aussi des associations islamistes être dissoutes, ou des salles de prières fermées pour avoir contrevenu à la loi sur la sécurité intérieure, à la lutte contre le terrorisme, rapporte le même article.

Sonia Backès Secrétaire d’Etat chargée de la Citoyenneté (j’avoue que son nom et sa fonction n’avaient totalement échappé), rappelle que 187 établissements ont été fermés provisoirement ou définitivement et que 8 millions d’Euros ont été redressés ou recouvrés. (Confer son entretien du 30 mars 2023 avec deux journalistes du Figaro) sous le titre dénué d’ambiguïté : « l’islam politique veut mettre la république à genoux ». Elle précise : « Notre adversaire est l’islam politique. Ce dernier n’a qu’un projet : l’établissement d’un régime théocratique ». Enfin une salutaire prise de conscience d’un phénomène qui se voyait comme le nez au milieu de la figure ?

Mais alors pourquoi agir si tard et si timidement ? Sonia Backès d’indiquer « nous avons des décennies de retard… on est passé d’une forme de déni… », car il fallait dit-elle « désinhiber l’administration », quel aveu explicite !

L’islamisme déjà avait gangréné et gangrène tous les rouages de l’Etat. Sur l’attitude islamo-gauchiste du maire de Grenoble, elle convient que : « on est là dans une communication d’une grande ville française qui reprend les poncifs de l’islam politique ». Que penser alors de la communication de nos autorités européennes, elles aussi totalement phagocytées par l’islam politique, et pourquoi notre Président ne monte-t-il pas au créneau à Bruxelles en dénonçant les campagnes de propagandes islamistes de Madame Von der Leyen ou de celles du Conseil de l’Europe ? La politique du « en même temps » sans doute ?

Car comme le relate avec justesse Laurence de Charette dans un éditorial du Figaro du 29 mars 2023 : « Séparatisme : La république est timorée ». Tous les islamo-gauchistes, les LFI, Nupes et autres entités de gauche ne voient dans la lutte salutaire contre l’islamisme ou l’islam politique que des manifestations de l’islamophobie, et ce pour récolter des voix. Ce vocable a été inventé justement par les tenants de l’islam politique, comme le sinistre Monsieur Plenel, ou encore en son temps par Tariq Ramadan, pour anesthésier les volontés de le contrecarrer.

Laurence de Charette l’exprime clairement : « Et tandis qu’à Sainte Soline, Rennes ou Paris sévissent, en marge des manifestations, des extrémistes qui ont trop souvent montré leur connivence intellectuelle et morale avec l’islamisme, on ne peut qu’espérer un véritable sursaut de clairvoyance et de fermeté ». Mais si notre Etat, notre gouvernement ne combattent pas fermement l’idéologie mortifère islamiste qui s’est emparée de nos institutions nationales et européennes, c’est voué à l’échec. Un sursaut vital est impératif.

Le combat est quotidien, tel celui d’élus de la droite tarnaise qui demandent au Préfet du Tarn l’interdiction d’un concert à Albi « du rappeur Médine » qui dans ses propos revendique le meurtre et l’assassinat « Crucifions les laïcards comme à Golgotha », « je hais les blancs… » etc… comme le rapporte Valeurs Actuelles le 30 mars. Imaginons un seul instant « un blanc » tenir les mêmes propos à l’égard de non-blancs ! Je rappelle que dans le coran, les sourates dites « médinoises » sont celles justement qui appellent au meurtre des mécréants, à la haine des juifs, des chrétiens et à l’infériorité consubstantielle des femmes.

01:17 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Incroyable fin de congrès : la CGT se tire une balle dans chaque pied...

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Bernard Germain

Je l’écrivais hier, la lutte entre les deux candidates à la succession de Philippe Martinez serait serrée, très serrée. Et ce fut le cas au-delà de l’imaginable.

La réunion de l’instance chargée d’élire le futur secrétaire général, commença à 23H00. 8H00 plus tard aucun nom n’avait obtenu une majorité. Il ne restait plus qu’une heure avant la reprise du congrès en séance plénière.

C’est alors que se produisit l’impensable, un 3e candidat sortit subitement du chapeau et ô miracle recueillit une majorité. Sophie Binet venait, à la surprise générale, d’être élue nouveau secrétaire général de la CGT. 

Comment cela a-t-il été possible ? Comme d’habitude, par la bêtise des uns et des autres.

Marie Buisson, la candidate soutenue par Philippe Martinez était jugée trop féministe et trop écologiste. Pendant des heures de multiples tractations eurent lieu pour trouver une majorité. En vain.

Du côté de sa concurrente, Céline Verzeletti souhaitant maintenir une CGT beaucoup moins en rupture avec son passé, une majorité était possible. À une condition : il fallait s’entendre avec l’aile la plus dure de la CGT incarnée par Olivier Mateu, le bouillonnant secrétaire général de l’Union départementale des Bouches du Rhône (Marseille).

Incapables de trouver un accord, les deux ont rendu impossible la constitution d’une majorité.  Et comme c’est souvent le cas, c’est un troisième larron qui, à la dernière minute, est venu tirer les marrons du feu. En l’occurrence une «larronne».

Et pas n’importe laquelle.

Ceux qui redoutait une rupture avec la CGT «historique» vont être servis. La personne qu’ils ont placée à la tête de la CGT est une gauchiste wokiste, féministe et écologiste. Pour une rupture, cela va être une sacrée rupture.

Afin de mesurer l’ampleur du désastre qui s’annonce pour cette organisation, il suffit de regarder cette petite vidéo tournée juste après la proclamation du résultat de l’élection du secrétaire général.

Il est intéressant de noter que la grande majorité de la salle est sidérée. On dirait que les délégués sont sonnés en découvrant ce qu’ils viennent d’élire comme secrétaire général. Ils ne tapent pas dans les mains, ne reprennent pas la chansonnette et sont très nombreux à rester assis sur leur chaise l’air dans le vague. Image frappante qui en dit bien plus qu’un long commentaire. 

Afin de préciser le profil de l’heureuse élue, il faut indiquer qu’elle est très liée à la féministe Caroline de Haas. Pour ceux qui l’auraient oublié, Caroline de Haas s’était rendu célèbre au moment des 1500 viols de Cologne le soir du réveillon 2015 – 2016, en répondant à ce sujet : « Allez déverser votre merde raciste ailleurs ». C’est la même de Haas qui, à propos des femmes importunées par des migrants dans le 18e arrondissement de Paris avait répondu : « Il faut élargir les trottoirs ».

Sophie Binet est également connue pour être co-auteur d’un livre « Féministe, la CGT ? Les femmes, leur travail et l’action syndicale ».

Au sein de la CGT elle était, avant le congrès de Clermont-Ferrand, en charge du secteur « Égalité Femme-Homme » et secrétaire général de l’Union des ingénieurs, cadres et techniciens, (Ugict), le syndicat des cadres de la CGT, depuis 2018.

Ajoutons qu’elle est aussi connue pour ses prises de positions écologistes, proches de celles de l’extrême gauche.

Avant de devenir permanente syndicale elle occupait un emploi de conseillère principale d’éducation (CPE) dans un Lycée à Marseille puis au Blanc-Mesnil dans le 93.

Étudiante, elle fut une dirigeante de l’UNEF, syndicat gauchiste à son l’époque, avant qu’il ne devienne carrément islamo-gauchiste aujourd’hui.

Georges Séguy et Henri Krasuki doivent se retourner dans leur tombe.

Du côté du gouvernement, ce sont des mines d’enterrement. Le Premier ministre, Elisabeth Borne, l’a félicitée pour son élection (ce qui est classique) ajoutant comme d’habitude la stupide affirmation : « c’est une chance pour les femmes bla bla bla ». Interrogés en « off », des ministres ne cachent pas leur inquiétude pour les futures négociations avec la CGT. Ils vont d’ailleurs être vite fixés puisque la 1ère négociation est prévue mercredi prochain, avec notamment comme thème les retraites.

Quant à la CGT proprement dite, et son avenir, c’est un énorme point d’interrogation. Comment les syndicats traditionnels et les piliers du syndicat vont-ils réagir à cette nomination ? Quelle politique va-t-elle conduire au sein de la confédération CGT ? Comment va-t-elle s’y prendre, par exemple, pour aller parler aux dockers en cas de conflit majeurs ?

Seule certitude: en élisant Sophie Binet à sa tête, la CGT a ouvert une période qui pourrait aisément se transformer en une crise d’identité dont on sait qu’elle vient de commencer mais pas où elle se terminera. Les mois à venir seront certainement cruciaux pour la CGT, son identité et son avenir.

00:55 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |