Un communiqué d'Alain Escada, président de Civitas :
C'est la première fois que je m'exprime publiquement, en tant que président de CIVITAS, depuis le début du confinement, Jusqu'ici, j'ai voulu prendre le temps d'observer attentivement la situation en France et dans le monde afin que ce communiqué aborde à la fois les aspects géopolitiques, sanitaires, économiques et religieux de cette période trouble que nous subissons et propose également quelques perspectives pour la suite.
Je mesure que le message que je vous adresse ne va pas dans le sens de la pensée dominante et peut en ébranler certains, Je vous demande néanmoins de le lire entièrement. Il tient en six points énumérés ci-dessous :
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Pour votre santé, vous n'aurez plus de libertés
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Une épidémie qui cache une politique de santé calamiteuse et mortifère
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Hydroxychloroquine ou vaccin de Bill Gates ? Un enjeu totalitaire et mondialiste
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Un confinement qui ruine les Français
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L'échec d'une réponse sans Dieu à l'épidémie
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Dimanche 10 mai 2020 – Opération « Sainte Jeanne d'Arc, sauvez la France »
1. Pour votre santé, vous n'aurez plus de libertés
L'une des plus grandes réussites du Diable est de parvenir à faire croire à beaucoup qu'il n'existe pas, De même, la police de la pensée s'évertue à répéter que les complots et les mensonges d'Etat n'existent pas, Autorités politiques et médias serviles s'entendent pour discréditer quiconque remet en cause la version officielle des événements.
C'est une évidence, n'est-ce pas, toute l'histoire de l'humanité, particulièrement celle des dernières décennies, démontre que les politiciens, les représentants de la haute finance et les journalistes partagent tous une exceptionnelle probité et un formidable sens du bien commun qui devraient nous conduire à accorder une confiance aveugle à tout ce qu'ils nous affirment.
Les troupeaux bêlants ont la mémoire trop courte pour se souvenir des montagnes de mensonges qu'ils ont gobés un à un de la part des prétendues élites qui pensent pour nous, Amnésiques, les troupeaux bêlants ne tirent aucun enseignement du passé, hypnotisés par ce qu'ils ont vu à la télévision, entendu à la radio, lu dans la presse, sans comprendre que ces médias qui ne survivent que grâce aux subventions de l'Etat et aux annonces publicitaires pour des produits de multinationales sont naturellement redevables à leurs maîtres.
Pire, la force du mensonge est accrue par la puissance de l'image et la manipulation des émotions, Quoi de plus efficace que de susciter l'effroi planétaire pour obtenir la soumission aux consignes les plus totalitaires.
Par peur du coronavirus, les populations ont accepté les privations des libertés les plus élémentaires.
Nous n'avons plus le droit de voir les membres de nos familles autres que ceux qui partagent le même logement que nous. Le Premier ministre a promis ce dimanche du changement mais nous n'avions plus le droit jusqu'ici de rendre visite à nos malades s'ils sont hospitalisés ou en EHPAD, même s'ils sont mourants, Nous n'avons plus le droit d'accorder des funérailles dignes à nos défunts, Nous n'avons plus le droit d'assister aux célébrations religieuses.
Pour nous protéger du coronavirus, un Etat policier s'est mis en place, qui utilise des drones avec caméras de surveillance, des hélicoptères avec équipement thermique, Des policiers fouillent les sacs des clients sortant des magasins encore autorisés à ouvrir, des gendarmes verbalisent une dame qui faisait un signe affectueux à son mari enfermé en EHPAD ou un fils qui voulait se rendre au chevet de son père mourant, Des Français dénoncent d'autres Français qui vont se balader au bois ou en montagne.
Mais le ministère de l'Intérieur accorde un confinement « allégé » dans les banlieues et quartiers immigrés ; le gouvernement libère huit mille détenus – dont 130 islamistes condamnés dans des dossiers de terrorisme – pour ne pas qu'ils attrapent le coronavirus en prison ; et les forces de l'ordre fuient devant des hordes de racailles qui multiplient les guet-apens.