lundi, 21 avril 2025
Samedi 24 mai, mobilisation européenne contre les éoliennes
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jeudi, 17 avril 2025
Fabien Bouglé, expert en politique énergétique: »C’est un comble que les éoliennes, censées sauver la planète, contribuent à la détruire. »
Un entretien avec Fabien Bouglé publié sur Entrevue.fr cliquez ici
Auteur du livre Éoliennes : la face noire de la transition écologique, Fabien Bouglé, expert en politique énergétique, dénonce depuis des années l’inutilité des éoliennes, mais aussi leurs nuisances. Selon lui, leur étiquette « écolo » n’est pas du tout justifiée. Arguments à l’appui, il nous dévoile la face cachée des éoliennes…
Selon vous, l’image verte qu’ont les éoliennes est-elle justifiée ou pas du tout ?
Elles sont partout, dans les livres d’école, sur Internet, dans les publicités. Les éoliennes sont devenues à tort, au fil des ans, une sorte de symbole ou de totem incarnant l’écologie. Et pourtant, quand on étudie en détail leur fabrication, du socle nécessitant 1.500 tonnes de béton jusqu’aux pales en fibre de carbone, on se rend compte qu’elles sont très loin d’être par elle-même écologiques. En effet, tous les éléments constituant les éoliennes sont soit très polluants pour les fabriquer, soit tout simplement pas du tout recyclables. C’est un comble que les éoliennes, présentées comme outils pour sauver la planète, contribuent en elle-mêmes à la détruire. Et c’est cette pollution éolienne que j’ai détaillée dans mon livre publié en 2019 puis réédité en 2022…
En termes de production d’électricité, les éoliennes sont-elles efficaces ?
Les éoliennes françaises ont produit l’année dernière 21,6% environ de leur capacité maximale de production. À titre de comparaison, imaginons une usine capable de construire 100 voitures pendant l’année, et bien c’est comme si cette usine ne fabriquait que 21 voitures en une année. Je ne suis pas certain que les propriétaires de l’usine seraient satisfaits d’un tel résultat. Et pourtant, l’État français a engagé des milliards d’argent des Français, prélevés sur leur facture d’électricité ou d’essence pour des éoliennes qui ne produisent qu’un cinquième de leur capacité. À titre de comparaison, une centrale nucléaire produit environ 80% de sa capacité. La production des éoliennes est donc dérisoire.
Sait-on aujourd’hui stocker de l’électricité produite par les éoliennes ?
Les solutions efficaces de stockages d’électricité en sont aujourd’hui à leurs débuts, quelle que soit la source d’électricité. Du reste, avec nos centrales nucléaires, si des solutions existaient, nous pourrions mettre en réserve des quantités importantes d’électricité produites la nuit pour les réutiliser le jour. Mais les éoliennes sont intermittentes, elles ne produisent que lorsqu’il y a du vent et de manière aléatoire. De ce fait, elles déstabilisent le réseau électrique, elles produisent souvent lorsqu’on n’a pas besoin d’électricité et sont à l’arrêt quand on en a besoin lors des grands froids. Le stockage d’électricité d’origine éolienne est donc un vœu pieux utilisé par les exploitants éoliens pour imposer leurs machines aux populations.
Vous faites partie de ceux qui accusent les éoliennes de polluer. En quoi les éoliennes sont-elles une source de pollution ?
La première source de pollution est l’atteinte au cadre de vie des riverains. Désormais, les éoliennes terrestres les plus grandes mesurent 250 mètres de haut ( 50 m de plus que la Tour Montparnasse et 80 de moins que la Tour Eiffel ), et la loi limite leur construction à 500m des habitations. Mettez-vous à la place des personnes ayant parfois plusieurs éoliennes de plus de 200m de haut au bout de leur jardin, c’est insoutenable et c’est une atteinte grave au droit de disposer d’un environnement sain et calme. De loin, à 20 km on peut les trouver « jolies » dans le paysage, mais quand on est confronté à côté de chez soi, cela devient carrément l’ENFER ! Sans parler des bruits qu’elles produisent, mais nous y reviendrons.
Quelle est la durée de vie d’une éolienne, et qu’advient-il des éoliennes «périmées» ?
Une éolienne a une durée de vie de 15 à 20 ans car sa production décroît avec son usure. Les pales produites avec des fibres de carbone et du balsa ne sont pas recyclables et sont enterrées dans des décharges ou laissées sur place. Même si les exploitants jurent qu’elles sont recyclées, nous disposons de photographies très claires aux USA de plus de 1.000 pales d’éoliennes qui sont enterrées dans un cimetière. Les socles en béton sont laissés sur place ( les exploitants disposant de la possibilité de les laisser sur place par dérogation préfectorale ), les métaux rares utilisés dans les moteurs ne sont pas recyclables. Bref, les éoliennes sont une véritable usine à pollution en fin de vie.
Les éoliennes sont censées produire de l’électricité sans émettre de CO2. Est-ce vraiment le cas ?
Oui, c’est tout à fait exact. La production d’électricité réalisée par le tournoiement des pales d’éoliennes ne produit effectivement pas de CO2. En revanche, il convient de tenir compte de deux aspects importants. Les éoliennes, par leur construction, leur déplacement et leurs matières premières, produisent indirectement des gaz à effet de serre. Ce CO2 est mesuré par ce que l’on appelle le bilan carbone. Or, les différents calculs du bilan carbone des éoliennes montrent qu’il est nettement supérieur à celui d’une centrale nucléaire, qui ne produit pas non plus de CO2.
Est-il vrai que des éoliennes ont besoin de centrales émettrices de CO2 pour fonctionner, à défaut de vent ?
Les éoliennes ne tournent pas tout le temps. Les Français le constatent lors de leurs déplacements pendant les vacances : les éoliennes sont souvent à l’arrêt. Il faut donc compenser l’absence de vent par des centrales au gaz ou au charbon qui viennent en support. Les centrales fossiles couplées aux éoliennes sont très polluantes. En Allemagne, ce sont les centrales au charbon qui compensent l’absence de vent. Ainsi, l’Allemagne, avec ses éoliennes couplées aux centrales au charbon, émet 10 à 15 fois plus de CO2 que la France avec ses centrales nucléaires et ses barrages.
Les éoliennes auraient un impact environnemental désastreux, notamment sur la biodiversité. Des agriculteurs se plaignent de pertes de performance de leurs élevages. Dites-nous en plus sur ce sujet…
De nombreuses études établissent que les animaux sont perturbés par les infrasons. Ce sont des sons non audibles à l’oreille humaine ou animale, mais qui produisent des vibrations imperceptibles. Ces infrasons diffusés à des dizaines de kilomètres des éoliennes en mer perturbent les cétacés et conduisent de nombreux échouages de baleines ou de dauphin. C’est le cas depuis les installations d’éoliennes en mer au large des côtes françaises. Sur terre, elles perturbent les vaches qui ont une moins bonne qualité de lait. En Loire Atlantique, une exploitation agricole a perdu 400 vaches depuis l’installation d’éoliennes à proximité. Des exemples reviennent de partout.
Les éoliennes seraient également des tueuses d’oiseaux. C’est vrai ?
C’est exact ! Une chercheuse indienne a réalisé une étude universitaire sur l’impact des éoliennes sur les rapaces. Elle a montré qu’il y avait en Inde, dans les régions où étaient installées des éoliennes, une disparition de 75% des rapaces. Cette étude est confortée par une autre étude sur l’Île de Man par des associations de protection des oiseaux. Depuis la construction d’éoliennes, des oiseaux marins ont disparu : entre 50% et 75% en fonction des espèces. Certains oiseaux en danger de disparition n’apparaissent plus. C’est une véritable hécatombe.
Autre scandale : les pales des éoliennes contiendraient du bisphénol A, une substance cancérigène, même si cela a été contesté par l’AFP. Qu’en est-il vraiment ?
Oui, on se souvient du problème qu’avait posé la présence de bisphénols A dans les biberons d’enfant, il y a quelques années. Cette matière est en très faible quantité hautement cancérigène, et avait progressivement été bannie des plastiques alimentaires en particulier. Les pales d’éoliennes sont réalisées en fibre de verre ou de carbone et nécessitent de l’Epoxy et du bisphénol A pour leur construction. Des études ont montré que les pales d’éoliennes libéraient avec leurs usures du bisphénol A dans la nature. L’AFP n’a pas contesté ce point, mais rappelé le fait que cette diffusion était infinitésimale. Or, un grand dossier du Monde expliquait bien que le problème sanitaire du bisphénol A intervenait justement pour les doses en infimes quantités. L’AFP jouait sur les mots…
Autres nuisances provoquées par les éoliennes : le bruit du moteur et les sifflements persistants, qui nuiraient aux riverains, et provoqueraient acouphènes et maux de tête… C’est avéré ?
C’est tout à fait avéré. En Normandie, un préfet a fait arrêter plusieurs éoliennes la nuit en raison de leur bruit. Cela a considérablement amélioré la vie des riverains. Après une pression des exploitants éoliens, l’administration a ordonné la relance des éoliennes la nuit. La vie est devenue un cauchemar pour les riverains qui ont des troubles du sommeil. À Toulouse, une cour d‘appel a condamné un exploitant éolien pour trouble anormal de voisinage, reconnaissant le dommage subi par les riverains en raison du bruit des éoliennes.
Autre nuisance des éoliennes : la pollution visuelle. Des paysages, jusque-là préservés, sont aujourd’hui défigurés, et des pressions seraient mises sur des propriétaires pour qu’ils cèdent leur terrain. Votre avis là-dessus ?
Entendons-nous, lorsque vous avez une éolienne de 200m de haut située à 500m de votre habitation, ce n’est pas de la pollution visuelle, c’est une véritable atteinte à votre cadre de vie. Aujourd’hui, les éoliennes terrestres installées peuvent mesurer 250 m de haut. Comme je vous le disais précédemment, quand vous avez ces monstres tournoyant à côté de chez vous, c’est un véritable supplice et une atteinte à votre propriété. Après, quand les éoliennes sont situées à 20 kilomètres, certains les trouvent jolies, d’autres non, mais une chose est certaines : les Français qui croisent des éoliennes situées au bord des autoroutes témoignent tous d’un véritable effarement voire d’un malaise face à leur gigantisme.
À propos de pollution visuelle, que pensez-vous des éoliennes en mer ?
Il est évident que plus les éoliennes sont éloignées, moins elles sont polluantes visuellement. Lors de la réforme des énergies intermittentes, j’avais proposé au Sénat une distance de 40 km des côtes. Cette proposition n’a pas été retenue par le Sénat qui a voté contre un éloignement notable des côtes. Aujourd’hui, les éoliennes en mer au large de la Baule sont situées à 15 km, et beaucoup se plaignent du barrage visuel qu’elles produisent.
Certains politiques prônent les éoliennes en mer, mais semblent peu disposés à les voir près de chez eux…
Oui, c’est très intéressant d’entendre le président Macron vouloir installer 5 000 éoliennes au large des côtes françaises. Mais lorsque Tiphaine Auzière, fille de Brigitte Macron, a mené la bataille contre un projet de centrales éoliennes au large du Touquet, elle a obtenu gain de cause très rapidement après son élection comme président. C’est la seule centrale éolienne en mer qui a été annulée. Si c’était si important pour la planète, le président Macron aurait dû mettre un point d’honneur d’en faire une priorité, voire un exemple. Imaginez quel symbole climatique une centrale éolienne face à la maison de famille de Brigitte : cela aura eu du panache ! Le président Macron a préféré ne pas utiliser cette opportunité électorale : on se demande bien pourquoi…
Au-delà de la pollution visuelle des éoliennes en mer, représentent-elles un danger pour les fonds marins ?
Tout à fait. Les anodes sacrificielles utilisées pour éviter la corrosion des supports dans la mer diffusent de l’aluminium et du zinc. Ce sont des tonnes de béton qui sont utilisées pour accrocher les éoliennes aux fonds marins. Dans le cas particulier de Fécamp, c’est une véritable forêt de 71 socles de 5000 tonnes chacun de béton et d’acier qui vont être immergés dans les fonds marins. Pour les autres, il faut réaliser d’énormes trous qui vont détruire les fonds marins et effrayer le monde aquatique.
Parlons du coût : les éoliennes seraient très coûteuses et tourneraient grâce aux subventions, compensations et prix garantis. Dites-nous en plus…
Effectivement, les exploitants éoliens bénéficient de deux grands avantages. Quel que soit le prix de marché, ils touchent un prix financé par les factures électrique ou sur les taxes sur l’essence. Ce prix est garanti sur 20 ans. Et surtout, ils ont une priorité de réseau. Cela signifie que même si on n’a pas besoin de leur électricité, elle est prise en compte prioritairement au nucléaire. On paie donc pour de l’électricité dont on n’a pas besoin. Un comble…
Pourquoi les éoliennes ont-elles une image aussi «verte», alors que c’est très loin d’être le cas ?
En fait, les éoliennes ont été utilisées dans les livres d’écoles, à la télévision ou dans les publicités comme un symbole d’écologie. Dès que l’on parlait d’écologie, on mettait une éolienne. C’est ce que l’on appelle un biais cognitif. Éolienne = écologie. Pendant des années, nous avons été abreuvés par cette propagande. C’était faux, mais cela assurait la possibilité pour les exploitants d’assurer le développement de leur business jusqu’au jour où la face sombre des éoliennes a été dévoilée. Les hommes et femmes politiques ont aussi été abreuvés par cette fausse idée, et c’est pour cette raison que nous en subissons les conséquences aujourd’hui.
Vous le dénoncez dans votre livre : le lobby de l’éolien est assez puissant. À qui profite le business des éoliennes, Que ce soit sur terre ou l’éolien offshore ?
Le business des éoliennes profite aux fabricants d’éoliennes, aux installateurs et aux exploitants. Ces derniers bénéficient, comme nous l’avons dit, d’un prix garanti. Nous avons des informations officielles qui montrent que la mafia italienne utilise les éoliennes pour blanchir l’argent sale.
La mafia ?
Oui. Vito Nicastri, le grand patron de la mafia dans les éoliennes, a été arrêté plusieurs fois, et ses centrales éoliennes saisies par la justice. Un juge anti-mafia expliquait sur Arte que la mafia des éoliennes avait des ramifications en Europe et en particulier en Europe de l’Est. L’argent considérable provenant de l’activité éolienne profite soit à la mafia soit à des grands groupes financiers gérants des fonds de pension. En clair, ce sont les Français avec la taxe sur les éoliennes qui financent la retraite des Canadiens par exemple.
Le business de l’éolien cache-t-il aussi une guerre de l’énergie entre l’Allemagne et la France ?
Différents rapports montrent que l’Allemagne a mis en place une guerre de l’énergie contre le nucléaire français pour vendre ses éoliennes couplées au gaz russe. Comme elle ne peut plus acheter de gaz russe, elle consomme du charbon très polluant. Dans les instances européennes, l’Allemagne fait tout pour empêcher la France de développer son énergie nucléaire pour faire en sorte de vendre sa technologie éolienne. C’est une vraie bataille dans les couloirs de Bruxelles. Fort heureusement, la France a enfin pris conscience de cette situation que je dénonce dans mes livres depuis des années.
Quelle est selon vous la meilleure solution, à l’avenir, pour produire de l’énergie ?
Aucun mode d’énergie n’est neutre en terme environnemental. Tous les modes de production d’électricité ont des conséquences sur notre environnement. Mais le nucléaire présente de nombreux avantages. Il ne produit pas de rejet dans la nature hormis de la vapeur d’eau, et aucun CO2. Il faut savoir que nos 27 centrales nucléaires sont installées sur seulement 27 km2. Les 40 ans des déchets les plus dangereux peuvent être installés dans un bâtiment mesurant 20m x 20m x 10m, cela représente 95% de la radioactivité totale. Il y a beaucoup de fake news diffusées par la filière éolienne pour dénigrer le nucléaire, mais la vérité commence à sortir. Même Greta Thunberg a dit que le nucléaire était une bonne chose pour le climat.
La France est une grande puissance nucléaire, mais le nucléaire est décrié par certains. Selon vous, les critiques contre le nucléaire sont-elles justifiées ?
Ces critiques contre le nucléaire sont pilotées par des fondations allemandes financées par le gouvernement allemand, qui sait que le nucléaire est un gros avantage pour nos ménages et nos industries. Le nucléaire a permis à la France de disposer d’une facture électrique parmi les moins chers d’Europe. Les Allemands, qui ont commis des grosses erreurs en matière énergétique, ne veulent pas que la France s’en sorte. Elle mène donc à tous les niveaux des opérations de guerre économique contre notre patrimoine nucléaire. Un rapport récent de l’École de Guerre économique est venu donner des preuves de cette situation.
C’est le sujet de votre nouveau livre ?
Oui, cette question de guerre économique avec l’Allemagne s’inscrit dans la guerre mondiale de l’Énergie qui s’exprime actuellement en Ukraine. En fait, la Russie et les USA veulent contrôler le marché du gaz et du nucléaire afin de rendre l’Europe dépendante politiquement. C’est un des principaux objectifs de la guerre en Ukraine. Comme l’Allemagne avait fait le choix de la Russie en construisant ensemble les gazoducs Nord Stream 1 et 2, le pays ne dispose plus du gaz russe. Son économie est donc très durement attaquée par ce problème d’approvisionnement énergétique. La troisième guerre mondiale, qui est officialisée désormais, est une guerre de l’Énergie, et c’est ce que j’explique dans mon nouveau livre, Guerre de l’Énergie au cœur du nouveau conflit mondial, disponible aux éditions du Rocher.
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jeudi, 23 janvier 2025
Côtes d'Armor (22) : sympathique réunion du Cercle Trégor et Goëlo mardi soir en présence d'Alban d'Arguin sur l'escroquerie écologiste actuelle...
Roland Hélie, Alban d'Arguin et Bernard Germain
Synthèse nationale
Mardi soir, 21 janvier, en Trégor (22), Alban d'Arguin, auteur de Éoliennes, un scandale d'État (Synthèse éditions cliquez ici) et de Réchauffement climatique, enquête sur une manipulation mondiale (Pardès éditions) était invité à une conférence organisée par le Cercle Trégor et Goëlo cliquez là.
Le 21 janvier, ne l'oublions pas, c'est le triste anniversaire de l'assassinat de Louis XVI. La conférence débuta donc par la lecture du magnifique testament laissé par celui-ci. Le Cercle Trégor et Goëlo étant aussi fort attristé par la disparition récente de Jean-Marie Le Pen, il fut lu son Appel de Mont Saint-Michel datant de 1987 et toujours d'actualité.
Après ces évocations, Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale, présenta la conférence au cours de laquelle, Bernard Germain, président du Cercle et auteur, en 2022 d'un livre consacré à la méthanisation cliquez là, et Alban d'Arguin purent expliquer au public venu nombreux l'escroquerie anti-nationale que représentent les écologistes actuels sur l'échiquier politique français. Il fut évidemment rappelé que l'écologie était, à l'origine, une valeur "de droite" et que, aujourd'hui, elle est totalement dévoyée par l'extrême gauche wokiste. S'en suivit un débat fort enrichissant.
Pour conclure la soirée dans une ambiance conviviale, tous se délectèrent autour de la traditionnelle Galette des Rois qui, qu'on le veuille ou non, fait encore partie de nos traditions identitaires.
Nous publierons prochainement des résumés des interventions et une nouvelle conférence du Cercle Trégor et Goëlo aura lieu en mars prochain...
13:58 Publié dans Combat anti-éoliennes | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 20 janvier 2025
RAPPEL : mardi 21 janvier 2025, en Trégor (22), une conférence d'Alban d'Arguin, auteur de "Eoliennes, un scandale d'Etat"
Le livre "Eolienne, un scandale d'Etat" cliquez ici
08:38 Publié dans Combat anti-éoliennes, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 04 juin 2024
Le combat exemplaire de Valérie Bernardaau contre les éoliennes
01:42 Publié dans Combat anti-éoliennes | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 17 mars 2024
RAPPEL : jeudi 21 mars, à Paris, Alban d'Arguin invité des Rendez-vous du Centre Charlier
Alban d'Arguin est l'auteur de Réchauffement climatique, enquête sur une manipulation mondiale (Pardès, 2022) et de Eoliennes, un scandale d'Etat (Synthèse nationale, 2017).
Pour le commander cliquez ici
23:40 Publié dans Combat anti-éoliennes, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 26 mai 2023
En Vendée : le Rassemblement vendéen lance une campagne contre l'implantation massive des éoliennes dans le département (et ailleurs bien sûr)
Pour sensibiliser les nombreux touristes qui se rendent cette fin de semaine en Vendée contre l'implantation massive d'éoliennes dans le département (et particulièrement en mer près de l'Ile de Noirmoutier), le Rassemblement vendéen, présidé par Éric Mauvoisin, a collé plus de 3 000 affiches ces derniers jours dans toutes les communes du littoral.
Lire le livre Éoliennes, un scandale d'État cliquez ici
16:27 Publié dans Combat anti-éoliennes | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 02 avril 2023
Vendée : Alban d'Arguin et Eric Mauvoisin-Delavaud nous parlent des ravages de l'Eolien
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lundi, 23 janvier 2023
Contre les éoliennes : le combat continue dans l'Aisne
Depuis près de 20 ans, les conséquences néfastes sur la santé des riverains des parcs éoliens industriels sont dénoncées par de nombreux auteurs et par la Fédération Environnement Durable. Ce mouvement d'opposition a pris un caractère particulièrement aigu dans le département de l'Aisne face aux dégâts engendrés par une invasion incontrôlée de mats éoliens. L'association SOS Danger éolien créée et menée activement par Madame Valérie Bernardeau et assistée de Jean-Louis Rémouit administrateur de la FED et membre d'Energie et Vérité ont, au fil de communiqués de presse successifs, mis en exergue les effets des éoliennes sur 359 patients caractérisés par plusieurs symptômes dont certains peuvent être réversibles (insomnie) ou irréversible ( maladies de cœur, cancers, troubles endocriniens). Ils ont établi la liste des villages du département les plus atteints. Ils ont lancé des actions auprès de la préfecture et sont à l'origine d’ inquiétudes de la part de l'Agence Régionale de Santé. Très offensive auprès des administrations et par ses communiqués de presse, l’association vient de marquer un coup de communication grâce à l'article du journaliste du Figaro Eric de la Chesnais.
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mercredi, 27 juillet 2022
Éolien terrestre : Mme la Ministre Pannier-Runacher annonce des chiffres faux pour justifier des décrets et court-circuiter les parlementaires
Un communiqué de la FED (Fédération Environnement Durable) cliquez ici :
Pour imposer de force des éoliennes rejetées par la majorité des français, Mme la Ministre Pannier-Runacher a déclaré qu’elle allait publier avant la fin de cette semaine, sans consulter ni l’Assemblée nationale ni le Sénat, un arrêté pour débloquer immédiatement 10 GW d’éolien terrestre.
Sa déclaration reprend pratiquement "mot pour mot" le programme voulu par le lobby des promoteurs éoliens, qu’ils ont dévoilé par leur avocats le 3 juin 2022 dans la revue Le Monde de l'Energie : "Le gouvernement doit agir pour mettre en service les 10 GW d’éoliennes terrestres en attente" (1)
Pour justifier ce programme madame la Ministre a annoncé des chiffes de production d'électricité frauduleux.
Elle a déclaré que 10 GW allaient fournir de l'électricité à une région comme les Hauts-de-France qui consomment annuellement 49,8 TWh. (2)
L’éolien ayant un rendement annuel de 23%, ces éoliennes produiraient 20,1 TWh c'est à dire 2,5 fois moins. (3)
Au-delà de ce mensonge, il faut souligner que, la France ne disposant pas des capacités de stockage suffisants pour rendre pilotables 10 GW d’éoliennes au fonctionnement intermittent, la production d’électricité éolienne est évidemment assujettie aux conditions météorologiques au moment où on veut la consommer.
La Fédération Environnement Durable condamne ce genre de pratiques destinées à tromper citoyens et les parlementaires pour les influencer de façon à ce qu'ils prennent des décisions contraires à l'intérêt général.
(1) Lire cet article paru sur Le Monde de l'Energie cliquez ici
(2) Source Terre et territoires cliquez là
(3) 10,1GW x 24 heures x 365 jours x 23% = 20,1 TWh
NDLR SN : Sur les éoliennes, lire :
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23:38 Publié dans Combat anti-éoliennes | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 16 juin 2021
Eoliennes : la révolte gronde
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mardi, 15 juin 2021
Eoliennes : les nouvelles raisons de la colère
Joël Cossardeaux
C’était joué d’avance. L’imminence des échéances électorales locales, celles des régionales et des départementales, ce dimanche et le 26 juin prochain, a ravivé un de ces inextricables débats dont la France a le secret. La question du développement de l’énergie éolienne, à l’instar de celle du bien-fondé d’interdire le port du voile dans certains lieux ou de limiter la vitesse à 80 km/h sur les routes, fait partie de ces controverses qui ont le don de ne jamais vraiment s’éteindre et de traîner en longueur, traversant les gouvernements successifs.
Qu’on en juge. Les premiers blocages remontent au milieu des années 1990, période marquée par le lancement d’Eole 2005. Un programme dont la modestie, avec ses 361 mégawatts de puissance installée répartie sur 55 sites, saute aux yeux comparés aux 38 à 40 gigawatts fixés à l’horizon 2028 par la programmation pluri-annuelle de l’énergie (PPE). Il n’en avait pas moins fini, en grande partie, aux oubliettes à cause, notamment, des quelques vents de contestation locale qui s’étaient levés ici et là. Souvent pour des raisons paysagères, mais aussi, on l’a oublié, pour des motifs environnementaux (protection des zones humides, de l’avifaune, etc.) que des associations écologistes ne s’étaient pas privées de défendre.
Près de trente ans plus tard, ces considérations ont toujours cours chez bien des opposants. Pour autant, elles n’ont jamais été les seules. Leurs critiques portent aussi depuis longtemps, et de plus en plus, sur les impacts de l’éolien d’un point de vue strictement économique. La plus « classique » vise ses conséquences réputées délétères sur les activités touristiques, essentielles à certains territoires comme la vallée de la Loire, dont la fréquentation du patrimoine historique aurait gravement à pâtir de la présence de mâts si d’aventure il s’en implantait.
Ce plaidoyer, récemment repris par l’animateur de radio et de télévision Stéphane Bern dans les colonnes « Figaro », s’est enrichi au fil du temps et de l’évolution des règles du jeu dans le secteur énergétique. Les détracteurs de l’éolien se privent de moins en moins de dénoncer son coût élevé, qu’ils imputent à l’obligation faite à EDF de racheter ses kilowatts heure à un prix environ deux fois supérieur à ce qu’il est sur le marché mondial. Et de dénoncer le hold-up exercé aux dépens des ménages, usagers et à laquelle s’apparente, selon eux, cette situation.
Certains avancent que cette contrainte imposée à l’opérateur historique sous le gouvernement de Lionel Jospin, pour faire émerger une nouvelle filière industrielle dans les énergies renouvelables, n’est pas étrangère à ses difficultés. Pourquoi s’acharner à imiter l’Allemagne quand la France, contrairement à elle et grâce au nucléaire, produit déjà une électricité presque totalement décarbonée et non intermittente, s’insurgent-ils.
A cette critique s’en ajoute une autre. L’obligation de rachat de l’énergie tirée du vent est accusée de faire surtout les beaux jours des investisseurs, notamment des fonds de pension, et des industriels étrangers, allemands en tête, qui trouvent en France un important relais de croissance. Car outre-Rhin le marché est saturé. Tandis que dans l’Hexagone, où le dernier espoir de voir une véritable filière nationale s’imposer réside désormais dans l’éolien off-shore, il resterait encore près de 7.000 mâts à planter, soit un millier de plus que le parc existant. Enfin, à entendre les opposants, l’éolien, qui puise son énergie au cœur des territoires, leur profiterait bien peu en termes d’emplois. Et il laisserait des traces, celles des friches à la réhabilitation lourde et coûteuse, qu’ils doutent fort de voir les opérateurs assumer.
On le voit, l’éventail des griefs imputés à l’éolien, quelle qu’en soit la pertinence, s’est considérablement élargi au fil de la montée des ambitions de la France dans ce secteur. Un tir nourri auquel les politiques de premier plan se joignent aujourd’hui plus franchement, alors qu’il y a quelques années, hormis quelques grandes personnalités dont Valéry Giscard d’Estaing, la circonspection était plutôt de mise chez eux. Les ténors de la droite, ceux du Rassemblement national (RN) et du parti Les Républicains (LR), s’affichent sans ambiguïté dans le camp des opposants.
Marine Le Pen, candidate RN à la présidentielle, qui ne cesse de promettre un référendum sur l’éolien, muscle de plus en plus ses déclarations sur le sujet. Plusieurs candidats LR aux régionales ont inscrit dans leur programme un moratoire sur les nouveaux projets envisagés dans leur région. Xavier Bertrand, qui brigue sa propre succession à la tête des Hauts-de-France, est hostile à toute nouvelle implantation. Le vent n’a pas tourné contre l’éolien. Mais il pourrait se mettre à souffler moins fort. Les scrutins à venir diront avec quelle ampleur.
Source : Les Echos 15/06/21
Eric Zemmour et les éoliennes :
Lire aussi :
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08:45 Publié dans Combat anti-éoliennes, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 13 mai 2021
La colère gronde en terre bretonne... et bientôt les élections régionales !
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samedi, 05 septembre 2020
CANDIDAT NATIONALISTE & IDENTITAIRE À L'ÉLECTION PARTIELLE DU MAINE-ET-LOIRE (3e circ.), JEAN-EUDES GANNAT S'EXPLIQUE
Source Breizh-infos cliquez ici
Militant identitaire et porte-parole de l’Alvarium, Jean-Eudes Gannat se lance dans la bataille des élections législatives. Il sera en effet candidat à l’élection législative partielle de Saumur Nord, les 20 et 27 septembre prochain.
Avec lui, l’élection législative partielle comptera sept candidats. Outre Daphnée Raveneau (EELV) et Patricia Peillon (LO), Anne-Laure Blin (LR), Guy Bertin (DVD), Adrien Denis (DVD), Patrice Lancien (RN) et Jean-Eudes Gannat (DVD) se disputeront le fauteuil laissé vacant par Jean-Charles Taugourdeau (LR), élu maire de Beaufort-en-Anjou fin juin. Il s’agit de la 3ème circonscription de Maine-et-Loire : Saumur-nord.
Nous l’avons interrogé alors que la campagne s’annonce brève.
Breizh-info.com : Pouvez vous vous présenter à nos lecteurs ?
Jean-Eudes Gannat : j’ai 25 ans, je suis marié et père de famille. Après un parcours professionnel riche en rebondissements (j’ai beaucoup voyagé puis été viré plusieurs fois pour mon engagement politique, et n’ayant pas fait de grandes études, j’ai enchaîné les boulots précaires ou temporaires, de serveur à vélo taxi en passant par l’assurance, l’usine, le métier de croque-mort etc) je suis désormais à mon compte.
Militant nationaliste depuis plusieurs années, je suis aussi le porte-parole de l’Alvarium, implanté en Anjou.
Breizh-info.com : Tout d’abord, qu’est-ce qui explique l’élection législative partielle à laquelle vous vous présenter ? Quel bilan du député sortant ?
Jean-Eudes Gannat : Cette élection législative partielle a lieu car le député sortant a préféré laisser son siège à l’Assemblée Nationale pour rester maire de sa commune, en application de la loi sur le non-cumul des mandats. En 15 ans de mandature et 40 années de vie politique, Jean-Charles Taugourdeau n’a fait parler de lui qu’une seule fois, en déposant en 2013 120 000 amendements lors des débats sur la loi pour la transparence de la vie publique. Hormis cela, il aura été un député parfaitement inutile que l’Histoire et les Français ne retiendront pas, à l’instar de 99% des membres de l’Assemblée Nationale, de droite comme de gauche.
Breizh-info.com : Qu’appelez vous « un choix de droite authentiquement nationale, sociale et populaire » ?
Jean-Eudes Gannat : J’appelle cela élire un député imperméable aux pressions des lobbies, qu’ils soient financiers, maçonniques, LGBT ou antiracistes. Un député qui se battra bec et ongles contre le fiscalisme, la bureaucratie et la corruption. Un député de droite pour qui la justice sociale est primordiale et n’est pas laissée à la gauche. Élire un homme de droite authentiquement nationale, sociale et populaire, c’est aussi élire député qui s’est fait tout seul et ne dépend d’aucun parti, un député enfin qui soit viscéralement attaché à l’identité française et à la liberté d’expression, et qui ne se gênera pas pour bousculer tous les dogmes assimilationnistes, immigrationnistes, antiracistes, antifascistes etc.
Breizh-info.com : Le Rassemblement national n’est-il pas un obstacle à cette droite que vous appelez de vos voeux ?
Jean-Eudes Gannat : Le Rassemblement National est en stagnation électorale. De vecteur d’espoir, il est devenu l’incarnation du mythe incapacitant de « la victoire dans 5 ans ». Or chaque année qui passe nous éloigne d’une victoire électorale en raison de la démographie et de l’africanisation de notre pays. En dehors des élections, le RN ne fait rien en dépit des talents et des bonnes volontés - de plus en plus rares - qu’il comporte ; ni manifestation, ni revues d’idées, ni alternative aux élections. Et ses élus ne sont même pas les trublions anti-systèmes que les électeurs espèrent ; ils se conforment toujours plus au politiquement correct, comme on a pu le voir - entre autre - lorsque Valeurs Actuelles a été attaqué de toute part pour son dossier sur l’esclavage et Danièle Obono et que le RN s’est refusé à soutenir massivement les journalistes attaqués.
À bien des égards le RN est donc devenu l’équivalent du Chiraquisme autrefois ; une rente électorale auprès du pays réel avec des postures dures et le ventre mou. À la différence que Chirac au moins a fini par prendre le pouvoir…
Comme le RN ne change rien au quotidien des français, malgré de très bons éléments à sa base et une myriade d’élus, les électeurs s’en détournent et retournent à l’abstention ; cela laisse je crois, avec beaucoup d’efforts et de sacrifices, une place électorale à la vraie dissidence..
Breizh-info.com : Vous êtes par ailleurs engagé auprès de l’Alvarium, parlez nous de vos actions à ce titre ?
Jean-Eudes Gannat : L’Alvarium est un centre communautaire d’action sociale et culturelle. Nous organisons des maraudes auprès des SDF et nous aidons des foyers en difficulté. Nous proposons également différentes activités culturelles, sportives et métapolitiques. Enfin, nous menons des campagnes ponctuelles contre l’immigration, la robotisation, la dictature sanitaire etc. Nous possédons un local à Angers, lieu de vie et de rencontre, qui nous permet d’exercer toutes ces activités et de rencontrer nos compatriotes qui le désirent. Ces derniers temps nous enregistrons une ou deux adhésions par semaine, preuve d’une forte dynamique.
Breizh-info.com : La presse locale ne vous a pas épargné ces dernières années. Fait-elle réellement son travail d’information ?
Jean-Eudes Gannat : À notre égard comme sur d’autres sujets, la presse fait plus souvent son travail de laquais du Système que d’information, en dépit de journalistes parfois sincères mais prisonniers soit de leur naïveté soit du manque de liberté d’expression. Globalement, les mots d’ordres ces derniers temps semblent avoir été de nous ignorer pour éviter notre progression et diminuer notre notoriété. Mais les différentes campagnes diffamatoires qui ont précédé cela ont laissé des traces dans l’imaginaire collectif ; nous nous efforçons au quotidien de démentir ces racontars, sans nous excuser pour ce que nous sommes, simplement par notre action et notre persévérance. Cette élection à laquelle je me présente est l’occasion de remettre les points sur les « i » et de tordre le cou à un certain nombre de fantasmes nous concernant.
Breizh-info.com : Vous évoquez un pays au bord de la guerre civile, n’exagérez-vous pas un petit peu ?
Jean-Eudes Gannat : J’exagère si peu que le socialiste Gérard Collomb lui-même a évoqué cette possibilité. La classe politique -RN compris- se berce d’illusion et refuse de parler de cette guerre civile vers laquelle nous allons, mais dans le peuple personne n’est dupe. Chez les immigrés non plus d’ailleurs. Attentats, affrontements ethniques, libanisation, agressions quotidiennes de la racaille immigrée, crise économique, corruption et explosion des fonctionnements mafieux ; comment pourrions-nous échapper à la guerre civile si nous continuons dans cette voie ? Ma plus grande crainte serait que cette guerre éclate et que nous sortions totalement de l’équation, comme à Dijon où Tchétchènes et Maghrébins se sont affrontés en sortant des armes de guerre sur le sol français sans que notre peuple fasse ou ne puisse faire quoi que ce soit…
Contrairement à ce que disent nos détracteurs, nous n’espérons pas cette guerre et nous sommes les seuls à pouvoir l’éviter par le retour à un régime propre et le recours à la remigration.
Breizh-info.com : Quelles sont, concrètement, les propositions que vous allez faire et mettre en oeuvre si vous êtes élu député à l’Assemblée nationale ?
Jean-Eudes Gannat : En tant que député non inscrit, je n’aurai pas la possibilité de faire voter beaucoup de lois. Cependant je pourrais déposer un maximum d’amendements sur les projets néfastes, alerter nos concitoyens sur ce qui se trame loin de chez eux, dénoncer les traîtres, être la voix de la France qui ne veut pas mourir, refuse les délires sociétaux, la culpabilisation ethnique et l’étouffement bureaucratique. Ces dernières années, Marion Maréchal Le Pen - quoique non inscrite - a été plus utile et marquante pour la mémoire collective que les centaines de députés jouissant de groupes parlementaires et de la complaisance médiatique depuis 30 ans.
Et bien j’ai le sourire moins charmant et la silhouette moins svelte que Marion Maréchal, mais je vous promets que si je suis élu, je saurais être aussi loyal qu’elle vis-à-vis de mes électeurs. Et n’ayant pas Marine Le Pen comme tante et chef de parti, je pourrais me montrer plus libre dans mes paroles et plus offensif contre les ennemis de la France.
Propos recueillis par YV
Lire aussi l'entretien avec Jean-Eudes Gannat dans le Salon beige cliquez ici
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lundi, 20 juillet 2020
L'association "Stop éolien 87" lance une campagne pédagogique sur les éoliennes
Imaginez la multiplication de ces matériaux et de leur impact écologique par 10, 20 ou 30 000 éoliennes comme la Programmation Pluriannuelle de l'Énergie nous l'impose et vous aurez un désastre écologique.
Et voici une seconde leçon qui résume simplement les principaux aspects destructeurs de l'environnement par des machines qui prétendent le sauver. Aucune infrastructure aussi imposante et développant des forces mécaniques sur des surfaces aériennes de presque 2 hectares n'a été implantée dans nos horizons et multipliée par 10, 20 ou 30 000 lieux de nuisances. Il n'y a que des idéologues fanatiques pour croire que cela n'a aucune incidence désastreuse sur l'environnement.
Troisième volet pédagogique sur les nuisances de l'éolien industriel pour les riverains de 500 m à 5 ou 6 kilomètres voire plus pour les effets des infrasons. Vous voudrez bien imaginer que compte tenu du mitage et de la multiplicité des éoliennes - aujourd'hui 10 000 et entre 20 et 30 000 dans 10 ans - l'ampleur des personnes touchées dont la vie est bousillée est considérable.
Quatrième petite leçon de choses sur l'énergie éolienne qui permet de mieux comprendre les enjeux climatiques et géopolitiques d'une technologie inutile, nuisible et dont on se demande à quoi elle sert ? Peut-être vous comprendrez mieux dans la suite de nos publications. Merci à tous ceux qui nous suivent. Même ceux, comme certains de nos contradicteurs, dont la passion remplace parfois l'argumentation.
Source Stop éolien 87 cliquez ici
Sur les éoliennes lire aussi le livre d'Alban d'Arguin "Eoliennes, un scandale d'Etat" cliquez là
09:05 Publié dans Combat anti-éoliennes | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 28 janvier 2020
Conférence de Mariana Alvès Pereira : "Eoliennes, Infrasons et Santé" ce samedi 1er février à Vervins (02)
Cliquez sur l'image pour l'agrandir
Venez nombreux à la conférence-débat animée par le professeur Mariana ALVES-PEREIRA. Cette conférence est organisée par l’Association « SOS DANGER ÉOLIEN ».
Mariana Alves Pereira étudie depuis plus de 30 ans la physiopathologie des basses fréquences et infrasons sur l'être humain. Ses études ont permis de faire reconnaitre les maladies vibro acoustiques (VAD) comme maladie professionnelle au Portugal.
Cette réunion permettra, de démontrer que les « alertes santé » que nous diffusons depuis des années ne sont pas des allégations partisanes mais ont une base scientifique avérée, d’éclairer les élus dans leurs prises de décisions quant à l’aménagement des parcs éoliens sur leur commune.
Samedi 1er février 2020, 14 h
Place Sohier (près de l’église – 02140 VERVINS)
Valérie Bernardeau - 06 89 09 98 99 – valerie.bernardeau@yahoo.fr
12:45 Publié dans Combat anti-éoliennes, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 17 janvier 2020
LE COMBAT CONTRE LES IMPLANTATIONS D'ÉOLIENNES, THÉORISÉ DANS LE LIVRE D'ALBAN D'ARGUIN, "ÉOLIENNES UN SCANDALE D'ÉTAT", SORTI EN 2017, S'AMPLIFIE...
COMMANDEZ LE LIVRE CLIQUEZ ICI
08:50 Publié dans Combat anti-éoliennes | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 29 octobre 2019
Fabien Bouglé: La face noire de la transition écologique
Fabien Bouglé publie un nouveau livre ICI
17:17 Publié dans Combat anti-éoliennes, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 16 septembre 2019
Energie éolienne, le vent de la colère
Armel Joubert des Ouches
Les projets d’implantation d’éoliennes se multiplient un peu partout en France. Parmi les derniers projets en cours, les Hautes-Alpes. Les Hautes-Alpes, c’est pourtant le lac de Serre-Ponçon, c’est un département à la nature préservée, c’est le parc naturel des Écrins, les parcs régionaux du Queyras, des Baronnies. Une centaine d’éoliennes sont prévues. Il y a les Pyrénées, le Maine-et-Loire, le Centre-Val de Loire.
Il y a Chartres. Même le site emblématique de la cathédrale de Chartres, premier site classé au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO, est menacé d’encerclement par des éoliennes. De nombreuses associations appellent à une manifestation, le 21 septembre prochain, pour s’opposer au projet.
Il y a l’Ille-et-Vilaine, en Bretagne, il y a aussi la Dordogne. Le 24 août 2019, près de 600 personnes ont défilé dans les rues de la commune de Saint-Aulaye. Dans le cortège, beaucoup d’élus. Des maires, des députés, des conseillers départementaux. Il y a aussi beaucoup d’associations de protection de l’environnement (la FED, la fédération Environnement durable, Association 3D, Forces Périgord 24, Stop Éolien 16, Vent du bocage). Il y a aussi l’association Chasse, pêche, nature et traditions. Le projet qui porte sur cinq éoliennes de 182 mètres de hauteur fait hurler une bonne partie de la population dispersées sur trois communes – 94 % des habitants concernés se sont prononcés contre.
« Une affaire d’argent »
Pour Jean-Louis Butré le président fondateur de la FED, l’association Environnement durable, « il s’agit d’une affaire d’argent. C’est subventionné ! À partir du moment où des promoteurs installent des éoliennes sur la France, ils gagent beaucoup d’argent qui est pompé sur la facture d’électricité des contribuables français. Les fonds financiers qui alimentent les sociétés éoliennes, il y en a partout ! Il y a des promoteurs d’éoliens qui sont partis avec un milliard d’euros ! »
Pour Julien Aubert, député LR de Vaucluse et rapporteur spécial sur le budget de l’énergie, « il y a des promoteurs qui ont des attitudes de cow-boys et qui ne disent pas toute la vérité sur la manière dont les choses se déroulent. Certains m’ont raconté qu’on leur avait proposé de l’argent pour régler un problème sans avoir à passer par des tribunaux… »
20.000 éoliennes prévues… pas aussi « propres » qu’ont le dit ?
Avec la loi sur la transition énergique, l’État prévoit la mise en place de 20.000 éoliennes partout dans l’Hexagone. Il en existe 8.000, actuellement, dans le pays.
ACHETER EN LIGNE LE LIVRE CLIQUEZ ICI
15:58 Publié dans Combat anti-éoliennes, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 18 août 2019
Samedi 24 août, en Dordogne : rassemblement contre l'implantation d'éoliennes...
Au centre géographique de la Nouvelle Aquitaine, une grande manifestation anti-éolienne est organisée par les associations locales. Ce rassemblement veut réunir le maximum d'opposants aux projets éoliens qui défigurent les paysages, détruisent le monde rural et ruinent les finances publiques.
Tous à Saint-Aulaye (24) samedi 24 août, on peut même se restaurer sur place. Tout est prévu, en Périgord la gastronomie c'est incontournable.
En savoir plus sur les éoliennes cliquez ici
13:37 Publié dans Combat anti-éoliennes | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 15 juillet 2019
Corruption dans l'éolien : Fabien Bouglé auditionné par l'assemblée nationale !
22:48 Publié dans Combat anti-éoliennes, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 22 juin 2019
Dans la Vienne, l'opposition aux éoliennes se radicalise
Source La Nouvelle République
Vendredi 14 juin, un groupe d’une vingtaine de personnes s’est rendu à Mouterre-Silly pour manifester au pied d’un mât de mesure de 120 m installé sur la commune par le groupe Valeco, au lieu-dit « Fontaine de Saint-Mesmin ». C’est là également que le mât a été saboté dans la nuit de dimanche à lundi, selon une source proche de la commune. « Il a complètement vrillé et est tombé dans le champ. »
Romy Bonnet, présidente de l’association A ContreVent, opposée à l’implantation d’éoliennes, affirmait vendredi que ce mât « sera le symbole de notre contestation ». Mais elle ne s’attendait certes pas à ça. Elle avait prévenu la gendarmerie avant le rassemblement afin que tout soit fait dans les règles, surtout avec la venue d’Eddie Puyjalon, conseiller régional venu de Gironde en soutien aux associations loudunaises.
Ce n’est pas la première fois qu’un projet éolien est victime d’un acte de sabotage. Au cours de la nuit du 11 au 12 février 2017, un mât de mesure du vent, implanté à Savigné dans le sud Vienne, dans le cadre d’un projet de création d’un parc de huit éoliennes, s’était retrouvé à terre. Les câbles qui le maintenaient depuis trois ans avaient été sectionnés. Notre rédaction avait été destinataire d’un courrier de revendication adressé par un mystérieux « Collectif dissident action vent de colère ».
La FED condamne de tels actes et déplore l'attitude du ministère :
La Fédération Environnement Durable condamne totalement et fermement ce type d’action illégale.
Elle a alerté à de nombreuses fois les pouvoirs publics et les ministres de l’Intérieur sur les risques majeurs de voir se développer des actions illégales anti éoliennes incontrôlables.
La FED déplore le refus systématique du ministre le l’Environnement François de Rugy d’écouter les citoyens victimes qui luttent légalement contre ces machines et elle constate que l'influence des promoteurs éoliens sur le ministre n'a cessé de progresser jusqu’à avoir réussi à obtenir qu'il signe des nouvelles dispositions administratives dérogatoires pour implanter à marche forcée ces éoliennes alors même que le rejet ne cesse de progresser dans la population (décrets de suppression des tribunaux administratifs notamment).
Cette volonté de faire taire toute opposition légale citoyenne, par tous les moyens est contraire aux principes même de la démocratie, ce qui ne peut conduire qu’à une situation de crise dont M. le Ministre portera la responsabilité.
Le commander cliquez ici
12:43 Publié dans Combat anti-éoliennes | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 18 juin 2019
Où sont les étude épidémiologique sur les infrasons , ondes électromagnétiques et sons basse fréquence ?
La France est le seul pays à ne pas avoir eu d’étude épidémiologique sur les infrasons, ondes électro-magnétiques et sons basse fréquence, pourtant réclamée depuis plusieurs années et où les câbles souterrains ne sont pas blindés ! (Cancers) . Câbles que l’on passe dans les villes et villages de nos campagnes sans même prévenir la population, parfois à 1 mètre des maisons, et où les documents des tracés ne sont accessibles nulle part. (comme c’est étrange)
La surdensification éoliennes entraîne des migraines, acouphènes, troubles de l’oreille interne, nausées, vertiges, tachycardies, problèmes cardiaques, problèmes artériels, eczémas géants, problèmes de thyroïde ... les câbles non blindés : un nombre impressionnant de cancers .
Tous à Montcornet samedi 22 juin à 14 h pour défendre notre droit de vivre en bonne santé . Nous exigeons l’arrêt des éoliennes et toute nouvelle construction de nouvelles machines, tant que nous n’aurons pas eu les résultats d’une étude épidémiologique.
16:35 Publié dans Combat anti-éoliennes, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 02 mai 2019
Eolien, une catastrophe silencieuse – Vers une France défigurée
Jean-Louis Butré, président de la Fédération Environnement Durable, invité d'Anne Brassié sur TVLibertés dénonce l'erreur stratégique concernant l'implantation d'éoliennes sur la France pour des raisons économiques, sociétales et environnementales et présente son dernier ouvrage “Eolien, une catastrophe silencieuse – Vers une France défigurée” édité chez L’Artilleur.
17:26 Publié dans Combat anti-éoliennes, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 28 mars 2019
Samedi prochain, 30 mars, Dr Merlin sera à la 3e Fête du Pays réel pour dédicacer son Cahier d'Histoire du nationalisme consacré à Corneliu Zelea Codreanu
A propos de ce Cahier cliquez là
Dr Merlin sera sur le stand de Synthèse nationale
En savoir plus cliquez ici
16:55 Publié dans Combat anti-éoliennes, Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 27 mars 2019
Éoliennes : l’affaire du siècle ?
Patrick Lallemand Boulevard Voltaire cliquez ici
Que va donner le grand débat ? Avec impatience, nous attendons le retour de nos revendications… et nous verrons alors comment nous avons été écoutés ou… enfumés ! Je prends l’exemple de l’éolien, devenu l’un – mais pas le seul ! – de mes chevaux de bataille… Amoureux des vieilles pierres, amoureux de nos paysages si divers et si majestueux, en un mot amoureux de notre pays et de ses habitants, nous avons été des centaines de milliers de Français à crier aux membres du gouvernement : halte à l’éolien !
Plus de quatre mille associations locales et nationales environnementales et plus d’une centaine d’associations départementales et nationales défendant le patrimoine immobilier et paysager ont demandé, avec force, l’arrêt d’installation des éoliennes sur notre territoire. Ces corps intermédiaires seront-ils un jour écoutés ?
Sans être exhaustives, voici les principales raisons de notre refus de ces « machines », installées à travers tout le pays par des centaines de promoteurs, menteurs, avides d’argent et manipulateurs auprès des pouvoirs publics et des propriétaires locaux… aidés par l’État français !
Avons-nous besoin de ce parc éolien ?
La France est excédentaire en production d’électricité car elle est contrainte d’exporter 11 % de sa production aux pays voisins et à des prix déficitaires ! Donc, nous n’avons aucunement besoin de cette source d’énergie.
Le parc coûte cher à l’économie française :
– pour un prix exorbitant de son installation, il n’est utile – ou soi-disant utile – que 25 % du temps (soit vent trop faible, soit vent trop fort !) ;
– de plus, l’éolienne est totalement fabriquée à l’étranger et les installateurs sont en majorité des étrangers, sous le régime de « travailleurs détachés ».
Le parc éolien coûte cher aux contribuables. En effet, sur chacune de nos factures d’électricité, la toute petite ligne CSPE (« contribution au service public de l’électricité », prélèvement fiscal sur la consommation d’électricité en France, créé au début des années 2000 et qui ne cesse d’augmenter) est faite pour engraisser les producteurs de ce type d’énergie. Arrêtons leurs éoliennes, cette ligne aura disparu et « notre pouvoir d’achat » sera meilleur !
Le parc éolien apporte un préjudice certain sur l’écologie des territoires :
– la pollution des sols : l’énorme socle de béton armé est coulé définitivement dans le sol (car sur les plans technique et financier, rien ne sera réalisable pour l’en sortir) ;
– l’environnement immédiat de ces « moulins à vent » est déformé : les haies sont arrachées, les bois supprimés et des routes sont créées en plein champ ;
– un massacre de la biodiversité en détruisant la faune (la chauve-souris, par exemple, espèce protégée car en voie de disparition, ne supporte pas les variations de pression au voisinage des pales).
Le parc éolien désertifie nos campagnes :
– La qualité de vie des riverains (jusqu’à 3.000 mètres des éoliennes) est brusquement altérée, touchant même la santé de certains (l’Académie de médecine regroupe tous ces aspects nocifs sous l’appellation « syndrome des éoliennes »). Il serait grand temps de mettre en avant le fameux principe constitutionnel « de précaution » contre ces machines assez monstrueuses au motif de la santé publique.
– Les biens immobiliers, dans un cercle de plus en plus grand, perdent leur valeur (40 %), le patrimoine naturel et culturel représenté par nos paysages et nos monuments historiques est attaqué. Ainsi, le cadre de vie de nos campagnes ne va plus attirer ce flot de touristes, ni ces familles françaises, vivant dans les villes, désirant se ressourcer durant les vacances dans de petites communes autrefois silencieuses et paisibles…
L’État saura-t-il prendre en compte l’appel de ces centaines de milliers de Français qui pensent que l’économie, l’énergie, la technique sont au service de l’homme et non l’inverse ? Le cadre de vie d’une famille française doit être en harmonie avec la nature et non déformé et altéré par ces machines bruyantes et anonymes. C’est bien ce qu’ont voulu et même osé dire au gouvernement un président de région (« Foutez-moi la paix avec les éoliennes ») ou un président de département (« Ras le bol, des éoliennes et de leurs promoteurs sans foi ni loi… »).
L’idéologie antinucléaire, fondée sur une réflexion sans lendemain, et la lâcheté de nos hommes politiques avides d’un électorat soi-disant écologique nous ont apporté cette arnaque financière, véritable saccage de notre pays, véritable désastre économique, véritable « affaire du siècle »…
NDLR SN, sur le scandale éolien, lire aussi :
Le commander en ligne cliquez ici
Bulletin de commande cliquez là
08:07 Publié dans Combat anti-éoliennes, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 12 février 2019
SAMEDI 16 FÉVRIER, ANGERS : CONFÉRENCE D'ALBAN D'ARGUIN SUR LE SCANDALE ÉOLIEN
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lundi, 21 janvier 2019
Réunion nationaliste de soutien aux Gilets jaunes samedi dernier près de Paris
Samedi dernier, Yvan Benedetti, porte-parole du Parti nationaliste français et directeur du site Jeune Nation, organisait une réunion de soutien aux Gilets jaunes en région parisienne cliquez ici. A cette occasion, il avait invité Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, l'écrivain Alain Soral (Egalité et réconciliation), l'essayiste Hervé Ryssen et l'avocat royaliste Maître Elie Hatem.
Dans le contexte actuel, cette réunion devait rassembler du monde et, de ce côté là, Yvan Benedetti peut être satisfait car la salle était pleine et les orateurs l'ont visiblement enthousiasmé.
Les nationaux et les nationalistes doivent multiplier les rencontres avec les Gilets jaunes afin de leur faire comprendre que la seule issue à leur révolte doit être, comme l'indique le dernier numéro de Synthèse nationale (n°50 cliquez ici), une véritable révolution nationale et identitaire.
S.N.
08:42 Publié dans Combat anti-éoliennes | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 15 janvier 2019
Face aux éoliennes, Vervins résiste toujours
Lire aussi cliquez ici
11:32 Publié dans Combat anti-éoliennes, Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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