mardi, 20 septembre 2011
Tribune libre : Désaccord avec Christine Tasin sur la France blanche et chrétienne...
Par Eric Didelon
Source Le Gaulois cliquez ici
Je souhaiterais réagir à l’article de Christine Tasin « Non, La France blanche et chrétienne, ce n’est pas la France ». (Voir Riposte Laïque)
Comment ça, La France n’est pas blanche et chrétienne ? Mais comment peut-on écrire une chose pareille… à part en France ? Allez faire un tour dans n’importe quel pays d’Asie ou d’Afrique et dites-leur que vous êtes de leur pays parce que vous y vivez et vous aimez leur terre, leur culture et leurs valeurs. Vous ne rencontrerez au mieux que des sourires gênés, mais surtout beaucoup d’incompréhension et même de la colère et de l’hostilité.
Car il ne suffit pas de vivre dans un pays et de l’aimer pour en faire partie. Allez dire à un Indien ou un Chinois que comme vous vivez dans son pays et l’aimez, vous en faites autant partie que lui… Allez aux Antilles et dites aux gens que vous êtes antillais, alors que vous êtes blanc et observez les réactions !
C’est justement à cause de cette négation du caractère blanc et chrétien de la France que tous les débordements que vous dénoncez ont lieu en France de nos jours. Si la France n’est pas un pays blanc et chrétien, alors n’importe quelle personne d’origine étrangère peut arriver et imposer ses croyances et sa vision du monde.
La grosse erreur est de croire que revendiquer l’origine blanche et chrétienne serait la porte ouverte a la discrimination et au racisme. C’est complètement faux. Il suffit d’observer la situation ailleurs qu’en Europe. De nombreux pays d’Asie ont une forte présence étrangère : a Hong Kong par exemple, des lors qu’un étranger a un visa de travail, il dispose d’une carte d’identité locale d’apparence identique a celle des autochtones, qui lui donne pour ainsi dire les mêmes droits qu’un natif. Il n’y a aucune discrimination et tous les rapports avec l’administration, les services publics et la population sont courtois et bienveillants. Mais a aucun moment vous n’entendrez a Hong Kong que vous êtes chinois parce que vous vivez a Hong Kong et que vous aimez Hong Kong et son mode de vie. Il n’y a pas non plus de droit du sol a Hong Kong : un enfant de parents étrangers ne sera jamais hongkongais. Car être hongkongais c’est être de race « jaune », avoir un nom a consonance chinoise etc etc. Ca peut paraitre « raciste » mais au moins, les choses sont claires et du coup, on ne déplore pour ainsi dire jamais d’actes « racistes ».
Si les valeurs « républicaines et laïques » ne font pas recette auprès des allogènes de France, demandez-vous pourquoi ? De mes voyages de par le monde, j’en suis venu a la conclusion que l’être humain a besoin d’appartenir a quelque chose de concret, de l’ordre du sang et de la terre. Les tentatives de fonder une nation sur une appartenance a un principe supérieur, supra-ethnique n’ont marche nulle part en Eurasie. L’homo sovieticus n’existe plus, la nation « yougoslave » s’est dissoute dans la violence et les massacres.
Les Français sont en train de se faire bouffer par l’islam parce qu’ils ont honte d’affirmer leurs origines: blanche et chrétienne précisément. Toute l’erreur (et c’est une erreur commise UNIQUEMENT dans l’Union Européenne) est de croire que si les Français affirmaient leurs origines ethniques et religieuses, ce serait la porte ouverte au racisme et « aux-plus-sombres-pages-de-notre-histoire ». Et si c’était le contraire ?
Les Émirats Arabes Unis sont des territoires musulmans et arabes… Et pourtant 80% au moins de leurs populations sont des travailleurs étrangers qui très souvent ne sont pas musulmans (Indiens, Philippins, Chinois etc). Les Indiens hindous fêtent en toute liberté leurs fêtes, dans la rue, comme ils feraient en Inde. Mais à aucun moment, les arabes ne leur ont dit qu’ils étaient comme eux et qu’ils acceptaient de partager leur territoire avec eux. Les seuls maitres à bord à Dubaï, ce sont les émiratis … point barre !
En France c’est devenu un crime honteux que de revendiquer ses origines à savoir… blanche et chrétienne. Les peuples de la terre entière ont le droit d’affirmer le caractère ethnique de leur nation, les Tibétains, les Palestiniens et tous les autres. Mais un Français non, il est sommé de minimiser et d’effacer toute référence à caractère ethnique et si cela ne lui plait pas, c’est qu’il est un « franchouillard », un fasciste, bref quelqu’un de honteux et haïssable. Pourtant si les Français s’aimaient à nouveau en tant que peuple blanc et chrétien, d’abord ils se feraient mieux respecter, ensuite ils n’auraient pas honte de poser des limites à ceux qui ne sont ni blancs ni chrétiens et pourraient ainsi, à l’intérieur de ces mêmes limites, accepter et accueillir tous ceux qui viennent d’ailleurs et aiment la France.
En attendant si la France n’est ni blanche ni chrétienne, alors n’importe qui peut arriver et dire aussi bien qu’elle est musulmane... depuis 3000 ans* (sic).
*Ndlr. legaulois.info : c’est Djamel Debbouze, l’inénarrable intellectuel de haute volée, qui a déclaré devant les caméras que « l’islam est en Europe depuis 3000 ans »
16:30 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi soir, au Local...
16:03 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Que penser des élections pour le Parlement du Land de Berlin de dimanche dernier ?
Par Lionel Baland
Source cliquez ici
Allemagne. Berlin. Une analyse des résultats obtenus par les partis politiques est très compliquée, car différents phénomènes influent sur les résultats des partis.
Berlin est un des 16 Länder d’Allemagne. Le Land de Berlin est une ville et est entouré d’un autre Land, celui de Brandebourg.
La ville a été coupée en deux par le Mur et, bien que réunifiée depuis plus de 20 ans, la scission de la cité reste toujours visible. Le Mur est toujours présent dans les têtes. Les résultats obtenus par les partis radicalement opposés au système sont nettement plus élevés dans l’Est de la ville que dans l’Ouest. Par exemple, die Linke (le Parti postcommuniste) décroche 24,8% des voix dans l’Est de Berlin et 4,4% dans l’Ouest. Le Parti ultranationaliste NPD obtient des élus au sein de 3 conseils de quartier de l’Est de la cité et aucun à l’Ouest. Cette différence s’explique par le fait que dans l’Est de la ville, la population a grandi dans le système communiste et n’a donc pas subi la propagande scolaire massive du régime actuel. De plus, à l’Est, la population a une vision plus sociale.
Dans le centre de Berlin, les lieux habités autrefois par des anciens apparatchiks du Parti communiste de la République Démocratique allemande attirent une population plutôt jeune, branchée, aisée financièrement et bobo. Les électeurs du Parti écologiste prennent, au sein de ces quartiers, de l’ampleur au détriment des électeurs communistes.
Le Parti libéral centriste FDP, en déroute électorale, a tenté de donner un tournant eurosceptique à sa fin de campagne électorale. L’échec cuisant du parti lors des élections du Land de Berlin, peut conduire à la fin de la coalition CDU-FDP au niveau national.
Les partis patriotiques se présentaient de manière dispersée. Die Freiheit, soutenu par le Président du PVV néerlandais Geert Wilders, a obtenu un score misérable. C’est probablement la fin du soutien de Geert Wilders à ce parti dirigé par l’ancien représentant de la CDU René Stadtkewitz. Pro Deutschland, dont la base (constituée de pro Köln et pro NRW) est située en Rhénanie du Nord - Westphalie, n’a pas réussi son implantation. Quant au parti die Konservative, il reste à l’état de groupuscule.
Le seul parti qui arrive à obtenir des scores similaires au sein des deux parties de la ville, est le Parti social-démocrate SPD. Le challenge a relevé pour un parti patriotique, est de percer dans les deux parties de la ville. La scission entre l’Ouest de l’Allemagne, où évoluent des partis patriotiques modérés, et l’Est du pays, où se développent les ultranationalistes aux idées plus sociales, se reproduit à Berlin.
De plus, au vu du « poids du passé » qui pèse sur l’Allemagne, les électeurs qui ont voulu exprimer un ras-le-bol ont préféré voter pour Les Pirates, un parti dont les valeurs sont celles de la gauche libertaire et qui prône la démocratie directe via Internet :
http://www.europe1.fr/International/Des-pirates-politiques-a-Berlin-725755/
Détail des résutats de la droite nationale allemande :
Patriotes :
Die Konservative : 2.334 voix, soit 0,2%
Pro Deutschland : 17.829 voix, soit 1,2%
Die Freiheit : 14.019 voix, soit 1%.
Ultranationalistes :
NPD : 31.243 voix, soit 2,1%
01:00 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 19 septembre 2011
Sénatoriales : plusieurs listes d'Union de la Droite nationale ont été déposées...
Trois listes d'Union de la Droite nationale (PdF-MNR-NDP) ont été déposées pour les élections sénatoriales qui doivent se dérouler le 25 septembre prochain dans 1/3 des départements français.
Dans le département du Nord, la liste de rassemblement des forces nationales sera conduite par Dominique Slabolepszy, conseiller régional honoraire.
Dans le Pas-de-Calais, c'est Mme Dominique Delevallet qui conduira la liste des nationaux.
Enfin, dans l'Oise, comme nous vous l'annoncions la semaine dernière, le jeune et dynamique Thomas Joly a aussi déposé une liste d'union.
Ces élections qui concernent "les grands électeurs" seront l'occasion pour les forces nationales, nationalistes et identitaires rassemblées de faire aussi connaître aux élus de leurs départements resêctifs la candidature de Carl Lang à l'élection présidentielle de 2012.
22:02 Publié dans Pour l'union de la Droite nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Franck Abed reçoit Yvan Blot au sujet de la démocratie directe...
16:34 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LE FN AUX ORDRES DU GRAND ORIENT ?
Court reportage réalisé par des journalistes de Canal + sur la francmaçonnisation des esprits au néo-Front national. Les nouveaux dirigeants du parti fondé autrefois par François Duprat, Léon Gaultier, Roland Gaucher, Pierre Bousquet, François Brigneau, Victor Barthélémy, et y ont fait entrer des membres de la secte maçonnique qui ont accédé aux plus hautes responsabilités (Gilbert Collard étant président d'un comité de soutien à Marine Le Pen, Valéry Le Douguet étant chargé du dossier "justice" du FN, Richard Sulzer, conseiller de Marine Le Pen, etc).
Depuis plus de 200 ans, les francs-maçons ont été en France à l'origine de toutes les lois anti-nationales : propagateurs du libéralisme et de l'individualisme, promoteurs de l'immigration et de l'ouverture des frontières, instigateurs de la monnaie unique, ce sont les mêmes qui ont activement lutté pour l'instauration de l'avortement de masse, instrument du génocide français, l'abolition de la peine de mort et qui aujourd'hui se mobilisent pour la légalisation des drogues, la régularisation des clandestins et la dissolution de la France dans l'Union européenne.
Les journalistes passent rapidement sur l'indécent étalage de luxe de la famille Le Pen comme sur les reniements du patriarche concernant les éléments fondamentaux du combat contre le système.
Le secrétaire général du Parti de la France, Thomas Joly, intervient durant ce reportage pour réaffirmer quelques vérités.
Source cliquez ici
09:24 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 18 septembre 2011
Appel à nos lecteurs de la région parisienne :
Comme vous le savez les vendredi 11 (5ème journée de Synthèse nationale), samedi 12 (conseil national de la NDP) et dimanche 13 novembre (Table ronde de Terre et peuple) seront des journées chargées pour les militants et sympathisants de la Droite nationale, nationaliste et identitaire.
De nombreux amis de province nous font part de leur intention de venir à Paris pour assister à ces différents événements et certains sont à la recherche d'un éventuel hébergement gratuit afin de limiter leurs frais de séjour.
Peut être que parmi vous tous, quelques'uns auraient la possibilité de recevoir chez eux (ou ailleurs) des camarades pour une ou plusieurs nuits. Si c'est le cas, nous vous serions reconnaissants de nous le faire savoir afin de pouvoir vous mettre en rapport avec nos amis provinciaux.
Vous pouvez, pour cela, écrire à synthesenationale@club-internet.fr, ou retourner le document en PJ cliquez ici à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris.
Par avance, nous vous remercions pour votre aide éventuelle.
17:06 Publié dans 05 - La 5e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les faux calculs de l’ingérence...
Par Aymeric Chauprade
Une nouvelle fois, l’incantation à la religion des droits de l’homme a fait pleuvoir les bombes de l’Otan. Comme toutes les guerres de l’“Empire” auxquelles la France apporte son tribut, l’intervention en Libye a été menée au nom du devoir humanitaire de protection des populations civiles. Tous les ingrédients classiques de la guerre d’ingérence rêvée par Kouchner et ses amis furent au rendez-vous ...
Les donneurs de leçons indignés (hier Glucksmann, aujourd’hui BHL), le conte pour « enfants de la télé » qui fait fi de toute réalité géopolitique (“un peuple entier dressé contre son dictateur”, alors qu’il s’agit d’une guerre civile Cyrénaïque contre Tripolitaine), l’absence d’esprit critique de la presse occidentale face à la propagande de l’Otan (diffusion de fausses scènes de liesse à Tripoli tournées au Qatar alors que les rebelles ne sont pas encore dans la capitale; chronique de la cruauté du Guide), la contradiction permanente avec les principes affichés (quid de la chasse aux Noirs pratiquée par les rebelles et plus largement de l’épuration massive en cours contre les tribus restées fidèles à Kadhafi ?)
Et la realpolitik dans tout cela ? Si, en effet, le masque de l’hypocrisie servait un but géopolitique tangible, nous pourrions parler de realpolitik et accepter celle-ci au nom de l’intérieur supérieur du pays. Mais, pour au moins trois raisons géopolitiques fondamentales, l’ingérence en Libye (comme le furent celles en Yougoslavie, en Afghanistan et en Côte d’Ivoire) est l’ennemie des intérêts géopolitiques français.
La première raison est que l’opposition que nous soulevons n’est plus celle d’un tiers-monde impuissant. Le monde est devenu multipolaire ; les pays émergents n’ont qu’une envie, arracher à l’Occident ce masque humanitaire qui dissimule sa politique de terreur contre la souveraineté des peuples. Russes, Chinois, Indiens, Brésiliens, Sud-africains : ces gens n’ont aucune illusion quant au but réel de guerres que leurs médias qualifient de néocoloniales et prédatrices (pétrole, gaz). En s’alignant sur les États-Unis, la France détruit son capital principal en politique étrangère : sa position d’équilibre, qui était respectée et demandée. Le monde change aussi chez nous, en Europe. Avec un double « non » (Irak, Libye), l’Allemagne s’est écartée de la géopolitique états-unienne comme elle rompra demain avec le capitalisme financier anglo-saxon. C’est elle qui demain ajoutera à son prestige industriel international une position d’équilibre qu’elle nous aura ravie.
La deuxième raison est que la chute de Kadhafi aggrave le chaos dans le Sahel. Le pillage des dépôts de l’armée libyenne dès le début de la guerre civile (comme en Irak en 2003), augmenté de nos parachutages d’armes et de munitions, transforme de fait le territoire libyen en une poudrière. Les tribus sont surarmées, à l’image des Touaregs pro-Kadhafi repliés vers leurs bases arrière nigériennes et maliennes et qui préparent déjà la revanche. Le Tchad ne sera pas épargné. Les trafics en tout genre (drogue, cigarettes, immigration), jusque-là endigués par les régimes autoritaires de Kadhafi et Ben Ali, vont exploser. Quant à nos “amis” rebelles, ce sont presque tous des islamistes radicaux ; les plus aguerris (les chefs) ont gagné leurs “lettres de noblesse” dans le djihad irakien… contre l’armée américaine (ce qui ne veut pas dire contre la CIA). L’assassinat, en juillet dernier, du ministre de l’Intérieur de Kadhafi rallié aux rebelles de l’Est ne s’explique que par la vengeance des islamistes contre leur ancien tortionnaire.
En favorisant l’effondrement des régimes autoritaires qui formaient le dernier écran protecteur de l’Europe face à la misère africaine, nous avons libéré des énergies qui vont travailler au service de trois buts : davantage d’immigration vers l’Europe, davantage de trafics, davantage d’islamistes.
Enfin, il existe une troisième raison pour laquelle un éventuel calcul stratégique français était par avance voué à l’échec. L’État libyen était déjà faible sous Kadhafi (lorsque les esprits seront apaisés, il faudra un jour mieux comprendre la nature du rapport entre le Guide de la révolution et son peuple), mais désormais et pour plusieurs années, il faudra parier sur l’absence quasi totale d’État libyen. Malheureusement, les Français, à la différence des Britanniques, n’excellent guère dans la manœuvre politico-économique (obtention des marchés) lorsqu’ils ne disposent pas de partenaire étatique clairement identifié. Les clés des marchés libyens se trouveront sans doute davantage au cœur des tribus que dans l’exécutif officiel. Si le président et son entourage voient dans les chefs rebelles auxquels ils ont déroulé le tapis rouge à l’Élysée l’incarnation de l’État libyen de demain, la désillusion risque d’être forte. Car il se pourrait bien que, cette fois, les Américains ne fassent pas l’erreur qu’ils ont faite en Irak en détruisant l’État baasiste et qu’ils cherchent au contraire à s’appuyer sur les anciens de Kadhafi plutôt que sur cette étrange « variété modérée de djihadistes démocrates » (!) dont l’entourage de Sarkozy nous vante les mérites.
Source Valeurs actuelles 15/09/2011 via Le Journal du Chaos cliquez ici
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samedi, 17 septembre 2011
Retour sur le 8 mai 2011 : un film de Troisième voie...
20:23 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Présidentielle : Carl Lang, candidat canal historique...
Source Préférence nationale cliquez ici
Passer au concret. Depuis plusieurs mois, Parti de la France (PdF), Nouvelle droite populaire (NDP) et Mouvement national républicain (MNR) faisaient miroiter leur union prochaine au sein d’une confédération, sorte "d'UDF de l'extrême droite" cliquez ici. Les trois petits partis ont confirmé leur fiançailles mardi 13 septembre. Ils ont également posé un nom sur celui qui portera leurs couleurs en 2012 à la présidentielle, en confirmant le candidat pressenti, Carl Lang. Ils souhaitent prolonger l’accord aux législatives et, au-delà, que l’initiative se pérennise, voire dure «plus longtemps que l’UDF» des centristes. Laquelle, pour information, a vécu 29 ans.
Fernand Le Rachinel sera directeur du comité de soutien, en charge de la collecte des 500 signatures. Mission impossible? «La plupart des maires se décident au dernier moment, assure l’ancien imprimeur du FN. J’ai une longue expérience de ce genre d’exercice, avec cinq campagnes présidentielles derrière moi.» Pour mener la sienne, Carl Lang disposera de peu de moyens. On compte sur les militants des formations associées -mais ils sont peu nombreux- et sur une campagne Internet: «Je suis un cyber-candidat», lance Lang.
Derrière la présidentielle, les législatives
De cette union, on n’en sait pas plus pour le moment. Ni slogan, ni logo, ni organigramme. Non, l’important était mardi de présenter un candidat, dans l’esprit gaulliste (sic!) «de la rencontre d’un homme et d’un peuple», selon le délégué national de la NDP, Robert Spieler. Ce dernier s’est limité à confirmer que la plate-forme électorale aurait une structure fédérale. Et Carl Lang d’en esquisser un portrait en creux de l’actuel Front national (FN): il s’agit pour le candidat de tourner le dos à un fonctionnement «basé sur les pleins pouvoirs d’une personnalité autoritaire». Entre les lignes, comprendre Marine Le Pen. Le président du PdF précise que la structure «respectera les différences et les sensibilités», de manière à ce que «tous les courants puissent s’exprimer».
L’alliance devrait également valoir pour les élections législatives. En réalité, là est peut-être son véritable objectif. Car si Lang est voué à une candidature de témoignage à la présidentielle, l’objectif de placer 50 candidats au-dessus de la barre des 1% semble plus réaliste – et il est synonyme de financement public pendant cinq ans. Une mane vitale pour la jeune confédération.
Est-là l’explication de la porte ouverte aux militants du Bloc identitaire (BI) ? Le désistement d'Arnaud Gouillon cliquez ici a laissé ceux-ci sans candidat présidentiel. «Si un certain nombre de militants veulent participer à la campagne, ils sont les bienvenus», a affirmé Carl Lang. Pourtant, il y a encore quelques mois, certains membres de la confédération ne voulaient, au pire, pas en entendre parler, au mieux, évoquaient, déjà, un éventuel accord secret passé avec FN. Toujours pas, donc, de discussion de parti à parti pour la présidentielle. En revanche, avec une cible électorale non extensible à se partager pour les législatives, les potentiels ralliements personnels locaux pourraient valoir de l’or aux législatives. Pour le FN comme pour la «confédération».
«Je ne suis pas à la gauche d’Obama»
Aussi, et bien qu’il s’en défende, l’actuel FN et sa présidente se retrouvent une nouvelle fois dans le viseur de Carl Lang. Ce dernier, depuis qu’il s’est fait déposséder de ses fiefs électoraux par Marine Le Pen, entretient un contentieux personnel avec elle. Un contentieux qui se double d’une fracture politique, Lang essayant d’incarner une sorte de canal historique hors du FN, là où Gollnisch l’incarnerait de l’intérieur. «Je n’ai pas besoin de dédiaboliser, moi», s’amuse-t-il. «Je ne suis pas à la gauche d’Obama, ni proche d’Arnaud Montebourg sur la démondialisation.» Le président du PdF s’efforce de souligner ces différences dans ses discours depuis le mois de janvier, et jusque sur la carte de visite du Parti de la France, posé en seul représentant de la «droite nationale, identitaire et européenne».
Simple convenance que cette expression à rallonge? En réalité, chaque terme est soigneusement pesé, pour se démarquer d’un FN auquel Carl Lang s’agace d’être constamment ramené. Ainsi, il n’est pas anodin de s’identifier d’emblée à la «droite», quand Marine Le Pen a repris et renforcé la ligne «ni droite, ni gauche» de son propre parti. Pour Lang, ce terme de droite englobe, outre l’attachement à «l’ordre», une dimension économique (la promotion de l’entreprise contre l’étatisme promu par le FN depuis son virage social), religieuse (identité chrétienne contre le laïcisme sauce Marine) et intellectuelle (rigueur des principes contre patchwork programmatique empruntant à tous les bords).
Réaffirmer les fondamentaux
Une droite, donc, «nationale». Avec ce terme, c’est plutôt de la droite dite «classique» -UMP et alliés- qu’il s’agit de se distinguer: celle du «mondialisme», du libre-échange global et dérégulé, celle qui, selon Carl Lang et ses amis, renonce chaque jour à faire valoir les intérêts spécifiques de la France. En outre, les partis dits d’extrême droite, FN en tête, préfèrent être classés dans la catégorie, moins immédiatement suspecte, de «droite nationale». Encore faudrait-il accorder tous les violons de la «confédération». En juin dernier, Robert Spieler affirmait: «Je suis un extrémiste de droite et j’en suis fier» cliquez ici. Lang, lui bottait en touche, expliquant être «radicalement patriote» en soulignant qu’il s’inscrivait dans le jeu électoral et démocratique. Une étiquette d’extrême droite qu’il vient à nouveau de rejeter devant la presse.
National, le programme de Carl Lang sera aussi «identitaire», c’est-à-dire attaché à défendre l’identité. Ou les identités? Car le terme évoque immédiatement le Bloc identitaire, qui s’attache à placer un accent particulier sur les identités régionales. Or, dans l’attelage qui doit porter Lang à la présidentielle, le NDP de Robert Spieler -ex-tête de file du mouvement régionaliste Alsace d’abord- s’est souvent positionné sur la question. Peut-être s’agit-il également de profiter de la notoriété que les actions du Bloc commencent à donner au terme «identitaire». La notion renvoie enfin à une identité débordant le cadre national: celle de la «civilisation européenne» chère à Lang et à ses amis, moins prisée au FN.
Précisément, l’adjectif «européen» vise à souligner la distance entre FN et PdF quant à la question continentale. Certes, les deux partis se déclarent opposés à «l’Europe de Bruxelles», technocratique, anti-nationale – «totalitaire», avait un jour osé Marine Le Pen. Mais, alors que le FN semble vouloir engager la France dans un cavalier seul, Lang assimile cette tentation à un suicide national. Le patron du PdF affirme la nécessité d’intégrer les démarches nationales et européennes, et rejette l’idée d’une sortie unilatérale de l’euro.
Les associés en sont persuadés: l’affirmation de ces fondamentaux leur permettra d’occuper le créneau de la «vraie» droite nationale, laissé vide selon eux par les écarts doctrinaux de Marine Le Pen. Tous misent sur son prochain échec, qui, en invalidant sa stratégie, permettrait de récupérer les fruits de la leur. Reste à savoir combien de temps ils sont prêts à attendre.
Julien Licourt et Dominique Albertini
12:20 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 16 septembre 2011
Mercredi dernier : Carl Lang était sur Radio Courtoisie...
Pour écouter Carl Lang, candidat d'union de la Droite nationale à la Présidentielle de 2012, invité à l'émission de Martial Bild, mercredi dernier sur Radio Courtoisie, cliquez ici
Photo Le nouveau NH cliquez là
23:59 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Carl Lang, candidat d'union de la Droite nationale à la Présidentielle, nous parle de l'Euro...
23:42 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 15 octobre, à Lyon :
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TROP DROLE : les arroseurs arrosés ! Ils venaient pour casser du fachos et ils se font caillasser par des immigrés...
Dimanche dernier, 11 septembre, pas moins de 30 organisations "démocratiques" avaient appelé à contre manifester à Forbach (Moselle) pour exiger l'interdiction de la commémoration de la bataille de Vienne, en 1683, bataille à l'issue de laquelle les Turcs qui envahissaient l'Europe furent refoulés par les armées catholiques auxquelles appartenaient Charles V, Duc de Lorraine. Cette commémoration entendait aussi rendre hommage aux victimes de la tragédie du 11 septembre 2001 à New York. Elle était organisée par la délégation départementale de la Nouvelle Droite Populaire..
Finalement, le préfet de Moselle céda aux injonctions de l'extrême gauche et la manif de la NDP fut interdite alors que la contremanifestation de gauche fut, elle, autorisée. Il en va ainsi dans le France du terrible Sarkozy.
Le soir même, l'ensemble des collabos mosellans indignés était donc au rendez-vous. C'est à dire 60 personnes ! Parmi elles, une poignée de lycéens venue en autocar de Metz (on ne recule pas devant les dépenses lorsqu'il s'agit de sauver la démocratie...) et rameutée par une officines, la CNT FAI, qui se croit encore aux beaux jours de l'anarcho-syndicalisme dans la sanguinaire république espagnole de sinistre mémoire (entendez une bande de ringards qui se donne des frissons en jouant aux Brigades internationales...), quelques permanents patentés des assocs antiracistes du coin, et la demi-douzaine de figures dégénérées de la LCR, pardon du NPA lorrain.
Les héros de l'antifascisme, c'est bien connu, savent user de l'art de la symbolique. Persuadés qu'ils étaient qu'ils allaient entrainer derrière eux les masses opprimées issues de l'immigration, ils s'étaient donc fixés rendez-vous au cœur d'un quartier de Forbach, le Wiesberg, où résident de nombreux étrangers. Prolétaires de tout pays unissez-vous... on connait la rengaine : souvenez-vous du paradis soviétique. Une expérience globalement positive qu'ils disaient...
Mais revenons à nos courageux amis de la diversité. A peine ceux-ci descendus de leur autocar et de leurs voitures, ils furent accueillis par les "jeunes" du quartier de façon, dirons-nous, plutôt mitigée (*). Pour ne pas dire franchement hostile. Les invectives et les pierres commencèrent à voler et nos grandes consciences durent se dépêcher de quitter les lieux pour détaler vers la gare, située 4 kms plus bas et... à 25 m. du commissariat de police (on ne sait jamais...). Ridicule absolu ! Ces imbéciles ne savaient sans doute pas que les dealers n'aiment pas que l'on vienne troubler l'ordre qu'ils ont imposé dans les quartiers qu'ils dominent. Même s'il s'agit de défenseurs des présumées victimes potentielles du fascisme renaissant. Quelle bande de pauvres cons.
Cette mésaventure est quand même trop drôle et à la NDP Lorraine, nous dit-on, on en rigole encore...
(*) Lisez sur ce sujet le compte rendu savoureux (et extrêmement modéré) de Républicain lorrain de lundi dernier cliquez ici.
00:58 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 14 septembre 2011
Manif interdite à Forbach : la NDP dépose un recours....
11:37 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ce soir, à 18 h 00, sur Radio Courtoisie...
Martial Bild reçoit Carl Lang
Radio Courtoisie cliquez ici
11:21 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La conférence de presse de Carl Lang, candidat d'union de la Droite nationale à l'élection présidentielle, mardi matin à Paris....
00:14 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 13 septembre 2011
CARL LANG CANDIDAT !
Source Reuters cliquez ici
Carl Lang a annoncé mardi sa candidature à la présidentielle de 2012 au nom d'une coalition de petits partis d'extrême droite pour qui Marine Le Pen n'est plus à même de représenter "la droite nationale."
20:35 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Présidentielle 2012 : LA DROITE NATIONALE ET IDENTITAIRE A SON CANDIDAT :
CARL LANG !
Carl Lang a annoncé ce mardi 13 septembre, au cours d'une conférence de presse à laquelle participèrent une quarantaine de media tant français qu'internationaux, qu’il se présente à l’élection présidentielle de 2012. Il souhaite réunir autour de sa candidature, une « confédération » politique, réunissant toutes les forces vives de la Droite nationale : le Parti de la France qu’il préside, le Mouvement national républicain fondé par Bruno Mégret, et la Nouvelle droite populaire de Robert Spieler, ont répondu présents.
Synthèse nationale, pour sa part, apporte aussi son soutien total à la candidature de Carl Lang. Tout au long de cette campagne, nous vous tiendrons informés de l'évolution de celle-ci.
Aussi, Carl Lang prendra la parole le vendredi 11 novembre prochain à Paris au cours de la 5ème journée nationale et identitaire organisée par Synthèse nationale.
19:59 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sénatoriales 2011 : une liste d'Union de la Droite nationale dans l'Oise menée par Thomas Joly...
Le 25 septembre prochain se dérouleront les élections sénatoriales dans l'Oise. Celles-ci concerneront plus de 2 000 grands électeurs. Dans le cadre de l'Union de la Droite Nationale, le Parti de la France, le Mouvement National Républicain et la Nouvelle Droite Populaire ont décidé d'offrir une alternative nationale face aux listes des vieux partis du Système (UMP - PS - FN mariniste) qui n'ont pas d'autres objectifs que l'élection ou la réélection de professionnels de la politique.
Cette liste répond à la nécessité d’offrir à nos concitoyens un projet économique, social et politique de reconquête régionale, nationale et européenne.
Voici la composition de la liste d'Union de la Droite Nationale :
1. Thomas JOLY Ancien conseiller régional de Picardie, Secrétaire général du PDF, fonctionnaire de l'Éducation nationale.
2. Annie FOUET Ancienne conseillère régionale de Picardie, commerçante retraitée.
3. Johnny LE BRUN Conseiller municipal de Goincourt, commercial
4. Monique CHAPEL Ancienne conseillère régionale de Picardie, intendante de lycée privé
5. Jean-Francis BOCQUILLET Secrétaire régional du MNR, commercial retraité.
6. Solange REUZEAU Cadre de la NDP, infirmière retraitée.
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Dimanche 13 novembre, XVIème table ronde de Terre et peuple...
08:40 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 12 septembre 2011
DSK ET LA PAUPERISATION...
Par Michel de Poncins
Les signes de la paupérisation du peuple français s'accumulent de plus en plus. Les statistiques officielles montrent qu'en 2009 8,2 millions de personnes, soit 13% de la population, vivaient en dessous du seuil de pauvreté. En 2008, c'était moins : 7,84 millions. Un Français sur deux vit avec moins de 1580 € par mois. Certes ces statistiques doivent être lues avec prudence : il est plus évident d'être pauvre à Paris lorsque l'on a peu de revenus qu'en province avec les mêmes revenus, si par ailleurs on dispose d'une maison et d'un jardin.
Des indices plus sûrs et évidents existent comme la « prospérité » des restos du cœur et celle du secours catholique. Les politiques qui pilonnent l'économie française, soit pour détruire les industries et services, soit pour les chasser ailleurs, ont au moins une production qui marche bien c'est justement celle des restos du cœur.
Au même moment, DSK fait un retour quasi triomphal à Paris et les médias le montrent avec gourmandise pénétrant dans son magnifique logis de la place des Vosges. Ses innombrables camarades et amis de la fausse droite et de la vraie gauche sont, certes, fort embarrassés par ce retour. La présomption d'innocence existe dans le domaine pénal, ce qui n'empêche pas les rumeurs et les chuchotements.
UNE INCOMPETENCE MANIFESTE
Pour sauver l'honneur, les voici chantant ses prétendus talents et sa prétendue compétence. Mais il se trouve que la présomption d'innocence n'existe pas dans le domaine économique.
Dans les multiples fonctions qu'il a rempli au plus haut niveau en France, il a décidé et orchestré les plus grandes calamités : semaine de 35 heures, retraite à 60 ans, enrichissement fabuleux des politiciens, déluge fiscal, dépenses publiques illimitées, endettement en folie. Le résultat pitoyable est connu : chômage, crise du logement, délocalisations des entreprises, retraites insuffisantes, panne de la croissance et bien d'autres manifestations qui ont conduit précisément à la paupérisation rappelée ci-dessus.
Certes, pour sa défense, il pourrait dire qu'il n'était pas le seul et que ses amis sont étroitement solidaires de la catastrophe générale. Il ajouterait que la fausse droite, en dehors de quelques aménagements, a poursuivi la course folle et n'a nullement arrêté le double bolide des impôts et de l'endettement.
S'il avait, au tribunal de l'histoire, un avocat aussi talentueux que celui qui lui a permis d'éviter d'être jugé, il pourrait aussi affirmer qu'il était ignorant du mal qu'il créait par ses actions. Étant donné le degré élevé d'intelligence de ces gens, la présomption d'ignorance n'a aucun sens. Il y a eu agression contre l'économie française et agression volontaire.
Une autre ligne de défense pourrait être d'évoquer le consentement du peuple français s'exprimant par les votes ; cela voudrait dire qu'il n'y a pas eu de viol, comme cela aurait pu se produire dans la suite 2806 du Sofitel de New-York, si la victime n' était pas consentante.
L'ORCHESTRE MEDIATIQUE
Que se passe-t-il dans l'isoloir ? C'est là qu'intervient dans l'analyse un autre facteur, à savoir l'orchestre médiatique. Les médias en France sont à la fois créateurs et complices des calamités publiques ; ils sont étroitement imbriqués avec les politiques et forment avec ces derniers un ensemble cohérent, imposant une censure d'autant plus impitoyable qu'elle est apparemment douce. La situation est donc étrange : il n' y pas eu viol puisque le peuple a voté. Mais le consentement a été obtenu grâce à la complicité de l'orchestre médiatique, lui-même arrosé généreusement par les impôts arrachés aux victimes-contribuables-électeurs.
La même propagande célèbre le rôle de DSK à la tête du FMI. Les tribulations récentes ont permis d'admirer sur les écrans la magnificence de cette organisation qui, avec ses 14 000 employés, n'est que l'une des multiples et luxueuse succursales du pouvoir totalitaire mondial en voie d'édification rapide.
Au même moment, nous avons le spectacle de la misère que ce FMI impose cruellement au peuple grec, soi-disant pour le « sauver ». C'est une pratique courante de cette organisation. Là aussi la présomption d'ignorance n'existe pas.
Comment ce personnage incompétent est-il arrivé à la tête du FMI ? Peu de gens se souviennent que pendant plusieurs mois les affaires étrangères de la France ont été mises au service de sa nomination et, de même, récemment de celle de Madame Christine Lagarde. Dans les affaires étrangères rien n'est gratuit et tout se paye ; personne ne peut connaître les contreparties que la France a du donner pour ces deux nominations correspondant aux caprices et intérêts du pouvoir en place.
LES IMPOTS FRAPPENT SURTOUT LES PAUVRES
La paupérisation évidente du peuple français met en évidence un fait que peu admettent, à savoir que les impôts frappent en priorité les pauvres. En effet, ces derniers deviennent pauvres précisément à cause des impôts qui détruisent les créateurs de richesse, ceux qui font tourner la machine.
Les simples précaires, qui arrivent seulement à vivoter risquent à leur tour de tomber dans la trappe de la pauvreté. A mesure que les gens s'élèvent dans la richesse, l'impôt devient de moins en moins pesant. S'ils accèdent à la grande richesse, l'impôt n'existe plus puisqu'ils peuvent s'évader parfaitement légalement pour échapper à l'enfer fiscal.
La France en ruine, le désastre du FMI : décidément les camarades ont bien de l'audace à essayer de redonner du lustre à leur encombrant ami. En fait, ce n'est que le reflet de leur propre solidarité à la fois dans l'incompétence et dans ses résultats.
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Vendredi 11 novembre : 5ème Journée nationale et identitaire de Synthèse nationale à Paris :
11:22 Publié dans 05 - La 5e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La rentrée de Marine Le Pen entre espoirs et angoisses...
Source Media libre cliquez ici
Les « Journées d’été » de Marine Le Pen, variante des « universités d’été du FN » permettant une prise en compte dans les frais de campagne, ont démarré samedi à Nice, dans un climat pour le moins tendu. La ligne laïcardo-sioniste de sa fille, ainsi que le comportement de certains de ses proches, qu’il s’agisse de Louis Aliot ou « du » Secrétaire Général Steeve Briois n’ont en effet pas l’heur de plaire au Président d’Honneur, ni à nombre de cadres.
L’affaire Ozon est encore dans tous les esprits, d’autant que les raisons de son départ sont connues de tous en haut lieu, tant en privé l’ex conseiller de Marine ne fait pas mystère des véritables raisons qui l’ont conduit à démissionner. Parmi celles-ci, l’omniprésence autour de Marine d’éléments maçonniques selon lui à la solde de la CIA, mais aussi le travail de sape de Louis Aliot qui n’a de cesse que d’éloigner tout élément un tant soit peu talentueux et influent.
Autre sujet de brouille, donc, habituel, le travail du Secrétaire Général Steeve Briois, désormais totalement carbonisé. Unanimement décrié comme incompétent, celui-ci ne doit son salut qu’à l’obstination de la Présidente, qui se sent sécurisée par son réseau hétérophobe.
Les derniers sondages, assez contradictoires et situant la candidate à l’élection présidentielle entre 11 et 17 %, contre 20 à 24 il y a quelques semaines, inquiètent par ailleurs les cadres. Difficile de dire en effet, dans un contexte aussi favorable, si cette décrue est conjoncturelle ou liée à un déficit de présidentialisme de la fille du fondateur du parti.
Ambiance maussade donc, sans jeu de mot, pour l’ouverture de ces journées d’été qui n’ont accueilli que 4 à 500 personnes, performance particulièrement faible pour une rentrée de campagne présidentielle. D’autant que l’université des jeunes, qui précédait, n’avait accueilli qu’une quarantaine de clampins. Sans qu’aucun média officiel ne le souligne…
Mais la présidente du Front national et ses afficionados se réjouiront de son petit coup médiatique puisqu’elle a reçu les compliments de l’ancien patron des Renseignements généraux, Yves Bertrand, ce qui constitue un pas de plus vers la normalisation rêvée.
Dans un entretien avec la journaliste Elisabeth Lévy (!) sur le site Causeur.fr, l’ancien patron des RG, figure de la « chiraquie », estime que la droite doit « en finir avec la diabolisation » de Marine Le Pen et conclure aux législatives des accords avec le FN. En d’autres termes, la « fin du cordon sanitaire » dont Jacques Chirac était l’un des plus fervents défenseurs.
Patron des RG de 1992 à 2004, en froid avec Nicolas Sarkozy qui l’a soupçonné d’avoir joué un rôle dans l’affaire Clearstream, Yves Bertrand qualifie la fille de Jean-Marie Le Pen de « respectable », « républicaine » et appelle à réintégrer le FN « dans la famille » de droite.
Marine Le Pen s’est vivement félicitée de ces propos, manifestement attendus et préparés. Il semble que certains réseaux maçonniques roulent désormais pour la patronne du FN. « Je vais demander à Gilbert Collard », « de solliciter Yves Bertrand pour entrer au comité de soutien de ma candidature », a d’ailleurs proposé la candidate. Une des personnes jouant un rôle clé dans ces nouveaux réseaux, où l’on retrouve maçons laïcards et sionistes de droite, semble être Shana Aghion, laquelle travaille pour le compte d’une agence israélienne de sécurité, chargée notamment de la sécurité et de la garde rapprochée de personnalités du monde entier. Elle est bien entendu accréditée par le ministère de la Défense israélien, donc par le Mossad.
Les dossiers du Canard enchaîné évoquent des rencontres régulières dans une récente livraison consacrée à Marine Le Pen, sous le titre « Les dégâts de la Marine ». D’autres recrues du même tonneau sont annoncées dans les semaines qui viennent sur le comité de soutien de la candidate.
Entre parti exsangue et profondément divisé, sondages flageolants d’un côté, et contexte ultra-favorable de l’autre, difficile de dire de quel côté va pencher la balance, qui, lorsqu’elle penchera, risque de pencher fort. Le choix du candidat socialiste, l’évolution des enquêtes d’opinion dans les deux prochains mois, nous permettront d’y voir plus clair.
La Présidente devrait prononcer un discours demain, lequel sera scruté de près par les observateurs. Ce discours ayant lieu le 11 septembre, il sera intéressant de noter ce qu’en dira la candidate, mais aussi si les médias décident ou non de l’interroger sur ce sujet brûlant…
10:02 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mercredi 28 septembre, Carl Lang sera dans l'Oise...
09:47 Publié dans Pour l'union de la Droite nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 11 septembre 2011
11, 12 et 13 novembre 2011 : retenez ces dates...
Vendredi 11 novembre, de 11 h à 18 h, à Paris :
5ème journée nationale et identitaire de Synthèse nationale
Samedi 12 novembre, de 14 h à 18 h, à Paris :
5ème Conseil national de la Nouvelle Droite Populaire
Dimanche 13 novembre ; de 10 h à 18 h, à Villepreux (78) :
16ème Table ronde de Terre et peuple
16:40 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Forbach : Fouad s'agite, Guéant acquiesce, la racaille islamo-anarcho-stalinienne a le droit de manifester et les forces patriotiques sont interdites de paroles...
Le Républicain Lorrain
La manifestation contre « l’islamisation de la Lorraine » prévue, demain soir à Forbach, a finalement été interdite par le préfet de région en raison de risques importants de trouble à l’ordre public.
Après avoir, dans un premier temps autorisé la manifestation anti-islam appelée par la Nouvelle droite populaire (NDP), demain à Forbach, le préfet de Région a publié, hier, un arrêté d’interdiction. La décision est tombée tôt dans la matinée sur intervention du ministère de l’Intérieur. « Tant qu’il n’y avait pas menace de trouble à l’ordre public, nous respections le droit constitutionnel à manifester », précisait-on, hier, en préfecture où l’on ne souhaitait pas faire de publicité à un rassemblement jugé marginal qui avait réuni, le 11 septembre 2010, une quinzaine de personnes. Mais la mobilisation des organisations de gauche, avec en première ligne les arnarcho-syndicalistes de la CNT (Confédération nationale du travail), qui ont mis en place une cellule de veille sur les sites et blogs de l’extrême droite, a changé la donne.
« Nous avons su créer un rapport de force », note Fouad, membre de la CNT qui a très tôt appelé à une contre-manifestation à laquelle s’était invitée la FAO, équivalent allemand de la CNT. Depuis plusieurs jours, la presse Outre-Rhin s’est fait l’écho du rassemblement des militants de la Nouvelle droite populaire qui, depuis deux ans, tente d’installer ce rendez-vous chaque 11 septembre. Ce dernier est censé rappeler les attentats de New-York en 2001 et plus anciennement une bataille du XVIIe siècle aux portes de Vienne entre les troupes du roi de Pologne et les Ottomans. Mais le vernis commémoratif ne fait pas illusion. L’objectif est clairement ailleurs : dans une stigmatisation clairement exprimée dans le slogan phare de la marche annoncée comme silencieuse : « Non à l’islamisation de la Lorraine ».
Risque de contagion
À l’extrême-droite, le parti identitaire « pro Deutschland » avait également assuré la NDP de son appui logistique. La mobilisation de plus en plus forte, le radicalisme des groupuscules allemands, le risque de contagion au quartier populaire du Wiesberg, lieu de rendez-vous des contre-manifestants et l’inquiétude formulée par les sénateurs socialistes ont convaincu les autorités d’interdire le rassemblement. Dans son arrêté, Christian de Lavernée, préfet de la région Lorraine, fait état « d’un risque réel de troubles à l’ordre public susceptibles de se produire et de se propager dans la commune ». Laurent Kalinowsli, maire socialiste de Forbach, se dit « satisfait de cette décision » qu’il a appelée de ses vœux par courrier. « Notre cité doit retrouver sa sérénité, elle ne pouvait être l’otage de l’instrumentalisation par un groupuscule d’extrême droite ». « C’est scandaleux que les Français n’aient pas le droit d’exprimer leur droit à la résistance nationale », s’emporte Robert Spieler, ancien député FN originaire de Sarreguemines et aujourd’hui délégué général de la NDP. Il demande néanmoins à ses militants de respecter la décision préfectorale et de renoncer à cette commémoration de façade. La contre-manifestation est, en revanche, maintenue. Elle pourrait contrarier « le retour à la sérénité » souhaitée par le maire de la ville.
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CRISE FINANCIERE OU FAILLITE DEPENSIERE...
Par Pierre Descaves
Nos dirigeants, de droite comme de gauche, ont élevé le mensonge, la désinformation, à la hauteur d'une institution.
Durant tout l'été ils nous ont accablés de la démonstration de leur gabegie, de leur incompétence, de leur incapacité de faire face aux réalités.
Réunis au sein de cette Europe funambulesque, gérée par des eurocrates aussi incompétents qu'irresponsables, ils avaient considéré que certains critères de gestion devaient être respectés.
Le traité de MAASTRICHT, voté par la France grâce à la prostate providentielle du Président François MITTERRAND, avait fixé à 3 % le déficit maximum du budget annuel des Etats, et à 60 %, le maximum de l'endettement public à ne pas dépasser.
Cela démontrait déjà une incompréhension des obligations naturelles, destinées à présenter une gestion responsable, aux contribuables.
Le déficit tolérable en économie ne saurait concerner le règlement des dépenses courantes. Celles-ci doivent être couvertes par les recettes annuelles courantes.
Un déficit n'est justifiable que s'il s'agit de couvrir des dépenses d'investissements dont les fruits, à venir, sont répartis sur plusieurs années.
Le critère du déficit budgétaire de 3 %, était déjà une hérésie, en bonne gestion économique.
Mais ce que l'on a constaté, seulement au moment de la récente crise, c'est que ce critère déjà anormal, n'avait pas été observé et que, la plupart des Etats de l'Europe, l'avaient très largement dépassé.
Les déficits budgétaires se sont échelonnés de 3,3 % pour l'Allemagne, le bon élève, à 14 % pour la Grèce, le très mauvais élève et à 7 % pour la France, le mauvais élève.
Bien évidemment ces déficits ne pouvaient être couverts qu'au moyen d'emprunts publics devenant, d'année en année, de plus en plus lourds.
Et l'on en est arrivé, au lieu des 60 % fixés par le Traité de MAASTRICHT à des déficits de 85,6 % pour la France, 100 % et plus pour l'Italie, l'Espagne, le Portugal notamment et 139 % pour la Grèce championne en la matière.
Ces dettes, appelées « dettes souveraines » car dettes des Etats, doivent, chacun peut le comprendre, être remboursées et les emprunts le sont sur un certain nombre d'années. Chaque année, l'Etat endetté, doit payer une échéance comprenant capital et intérêt.
Plus le crédit est étalé, dans le temps, moins l'échéance annuelle est élevée. Ceux des particuliers qui ont emprunté savent de quoi il s'agit.
Voilà les principes, mais, ce qui a dérapé, ce sont les applications pratiques.
Les emprunts d'Etat sont souscrits, depuis la disparition volontaire des banques d'Etat, chez nous la « Banque de France », auprès des banques privées et des organismes de crédit. Cela a un coût, c'est l'intérêt du prêt dont le taux est apprécié en fonction du risque encouru.
Ainsi, d'année en année, avec l'accroissement du risque d'insolvabilité, les taux des intérêts ce sont accus, pour atteindre des sommets de plus de 10 % et parfois de plus de 20 % (Grèce).
Il est facile de comprendre que l'accumulation du déficit annuel et de l'augmentation de la charge de l'emprunt rendaient le redressement financier du pays illusoire.
D'où l'affolement estival des responsables de cette situation, qui durent mettre en œuvre des solutions de pure façade, destinées à dissimuler leur incompétence.
Les mesures décidées n'ont pas consisté à revenir à des principes de saine gestion budgétaire de « père de famille », mais à trouver de simples palliatifs, afin de donner l'illusion aux peuples, que la situation était rétablie et que le spectre du « défaut de paiement », c'est-à-dire, en terme usuel, de la « faillite » avait été écarté.
Il fut décidé que les Etats de l'Europe de l'euro (17 Etats) prendraient en charge une partie des dettes de la Grèce, au moyen de prêts consentis par la « Banque Centrale Européenne », sous la garantie des autres Etats.
Le taux de ces prêts fut ramené de 4,5 % à 3,5 % et vous verrez que, rien n'étant au fond résolu, on en viendra au taux zéro qui était celui de la « Banque de France », pour les emprunts de l'Etat.
Parallèlement, la durée des prêts passa de 7 ans à 15 ans et, pour la Grèce, à 30 ans. La fin du cycle sera atteint lorsque la durée sera fixée à 100 ans.
Vous comprenez que, globalement, rien n'est résolu car le poids des emprunts est resté inchangé, même si les créanciers ne sont plus les banques privées, mais la B.C.E.
La charge annuelle est allégée au détriment de la communauté. Une partie de la dette Grecque, envers les banques privées, a été rachetée, à 60 % de sa valeur, par la B.C.E. Cette perte financière de 12,7 milliards d'euros, sera sans doute récupérée par les banques (dividende oblige) auprès de leur clientèle privée, donc des contribuables.
L'Allemagne a évalué sa perte de trésorerie à 43 milliards d'euros et la France à 15 milliards d'euros. Devinez qui va devoir compenser cela ?
Déjà le Gouvernement étudie, un accroissement des recettes fiscales, pour couvrir ces pertes et pour réduire son déficit annuel. Ce sont donc les contribuables qui devront encore payer.
Il n'est pas venu à l'idée de nos dirigeants de réduire les dépenses de l'Etat, en s'attaquant par exemple aux 70 milliards d'euros que nous coûte l'immigration ou aux si nombreux autres milliards de subventions distribuées, à tort et à travers, à tout demandeur bien introduit.
Il n'a pas été prévu, non plus, de dissoudre ces multiples organismes, aussi inutiles que malfaisants (il y en a plus de 1.000) qui servent à placer les petits copains dont les électeurs n'ont plus voulus.
Alors citoyens criez avec moi : ASSEZ de Gabegie. DEHORS les incapables.
Source France Résistance cliquez ici
11:02 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sarkubu : la guerre pour faire oublier l'austérité !
Par Yves Darchicourt
On sait bien que le plan de rigueur qui vient d'être imposé par le Gouvernement Sarközy à ses godillots n'est en fait qu'un premier volet "pédagogique" pour mettre le citoyen en condition, pour le préparer psychologiquement à subir un plan bis que l'on sera bien obligé cette fois d'appeler plan d'austérité et qui frappera durement les Français notamment et probablement par une hausse sensible de la pression fiscale en général et de la TVA en particulier.
Or, Sarközy mise évidemment sur une ré-élection acquise gràce au grand guignol des rivalités au sein de la Gauche où l'on a plus tendance à sodomiser les diptères qu'à proposer des mesures salvatrices crédibles, gràce à sa victoire en Libye - acquise sans gloire par une forte coalition à l'armement ultra-moderne sur un pays de 8 millions d'habitants en proie à la guerre civile - qui fait oublier l'enlisement mortel en Afghanistan et, gràce à la venue prochaine de l'héritier du trône : les Te Deum médiatico-people qui glorifieront la divine naissance pouvant faire eux oublier le bilan désastreux de l'élyséen.
Et c'est sans doute en prévision de lendemains difficiles sur le plan intérieur que Sarközy croit bon de donner allègrement dans le va-t-en-guerre. On a ainsi pu l'entendre dire que le "président syrien Bachar al-Assad a commis l’irréparable. La France, avec ses partenaires, fera tout ce qui est légalement possible pour que triomphent les aspirations du peuple syrien à la liberté et à la démocratie" et assurer que l' Iran a des "ambitions militaires, nucléaires et balistiques qui constituent une menace croissante qui pourrait conduire à une attaque préventive contre les sites iraniens, qui provoquerait une crise majeure" *. Bref, l'ubuesque n'hésitera pas à envoyer les soldats de notre armée financièrement exangue (paraît-il en rupture de stock pour certaines munitions) en Syrie et en Iran où on sait bien que l'épreuve sera infiniment plus dure qu'en Afghanistan.
Rien ne vaut une crise internationale gravissime et mieux encore un engagement militaire d'importance pour que le citoyen se sente tenu de faire corps avec son Gouvernement même s'il le voue aux gémonies par ailleurs. C'est sans doute le pari dangereux de notre petit chef des armées dont on peut pourtant craindre que les compétences en matière stratégique ne dépassent pas niveau des mômeries style guerre des boutons. On pourrait s'en gausser si ce n'était là faire bon marché de la vie de jeunes français et de l'avenir de notre pays.
* déclarations du 30 août dernier, sources : Infoguerilla (cliquez là) via Contre-Info.fr (cliquez ici)
10:33 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 10 septembre 2011
Les 11 et 12 septembre 1683 : la bataille et la libération de Vienne...
Par Renato Cirelli
Traduction de l’espagnol par Angel Esposito
Le 12 septembre 1683, la civilisation européenne, combattante, se sauvait du péril ottoman. L’union des princes européens a sauvé notre civilisation du danger mortel que constituait l’Empire ottoman en reprenant Vienne, encerclée par les troupes innombrables de Kara Moustapha. Un siècle et demi auparavant, Vienne avait été assiégée une première fois. Le Roi d’Espagne s’était rangé du côté des Autrichiens. De même à l’époque de la Bataille navale de Lépante, l’Espagne et le Saint-Empire avaient fait cause commune contre l’invasion barbare des Ottomans.
Le scénario politico-militaire de la seconde moitié du 17ième siècle était inquiétant, les guerres se succédaient et aucune paix ne semblait se dessiner à l’horizon; ce fut un siècle terrible, un siècle de malheurs, qui a marqué l’Europe à jamais. La Guerre de Trente Ans (1618-1648) avait commencé comme une guerre de religions mais s’était poursuivie par un conflit entre la maison royale de France, les Bourbons, et les Habsbourgs. (…) Les Traités de Westphalie de 1648 sanctionnent l’affaiblissement définitif du Saint Empire Romain en Allemagne, territorialement mutilé et divisé entre catholiques et protestants, fractionné politiquement; en Europe, le Roi de France Louis XIV (1638-1715) détient une hégémonie de fait. Le rôle prépondérant qu’il joue sur le continent induit le “Roi-Soleil” à briguer la couronne impériale et, dans cette perspective, il n’hésite pas à s’allier avec les Ottomans (…).
L’offensive turque
L’Empire ottoman, qui avait déjà conquis les pays balkaniques et s’était installé dans la plaine hongroise, avait été toutefois contenu dans ses tentatives d’expansion, le 1 août 1664, par les armées impériales commandées par le Lombard Raimundo Montecuccoli (1609-1680) à la Bataille de Saint-Gotthard en Hongrie.
Mais rapidement, les Ottomans se remettent de cette défaite, sous l’énergique impulsion du Grand Vizir Kara Moustapha (1634-1683) et reprennent leurs offensives, encouragés inconsciemment pas la politique de Louis XIV, résolument anti-habsbourgeoise, et par la faiblesse du Saint-Empire et de l’Europe toute entière.
Seule la République de Venise combattait efficacement les Ottomans à l’époque, le long des côtes de l’Egée, en Grèce et en Dalmatie. Ce fut un combat impavide et glorieux, la dernière guerre que la Sérénissime République mènera en tant qu’Etat indépendant. Cette guerre s’achèvera par la chute de Candia en 1669, défendue héroïquement par Francisco Morosini, dit du Péloponnèse (1618-1694).
Après la Crète, la Podolie, partie de l’actuelle Ukraine, est arrachée en 1672 à la Pologne et, en janvier 1683, à Istanbul, les étendards de guerre sont tournés vers la Hongrie. Une immense armée se met en marche en direction du coeur de l’Europe, sous le commandement de Kara Moustapha et du Sultan Mehmet IV (1642-1693), dont les intentions étaient claires : créer une “grande Turquie européenne et musulmane” dont la capitale serait Vienne.
Les forces impériales, peu nombreuses et appuyées seulement par les milices urbaines et rurales hongroises, commandées par le Duc Charles V de Lorraine (1643-1690), tentèrent de résister mais en vain (…).
Les cloches sonnent pour avertir l’Europe du danger turc
Le 8 juillet 1683, l’armée ottomane quitte la Hongrie et s’avance en direction de Vienne, installe son campement autour de la ville le 13 et commence le siège. Pendant la progression de cette armée, les régions traversées sont dévastées, les villes et les fermes sont mises à sac, les églises et les monastères détruits, les populations autochtones de confession chrétienne sont soit massacrées soit réduites à l’esclavage.
L’Empereur Léopold Ier (1640-1705), après avoir confié le commandement militaire de la place de Vienne au Comte Ernst Rüdgier von Starhemberg (1638-1701), quitte la ville et s’installe à Linz (…).
Dans tout l’Empire, les cloches sonnent à toute volée pour signaler l’arrivée des Turcs, comme en 1664 et un siècle auparavant. Alors commence la mobilisation de toutes les ressources du Saint Empire, tandis que l’Empereur négocie fébrilement pour faire convoquer tous les Princes, catholiques comme protestants. (…) Il sollicite l’intervention immédiate de l’armée polonaise, invoquant la nécessité suprême de sauver l’Europe (…).
Le siège de Vienne
Pendant ce temps, à Vienne, submergée par les réfugiés, commence le “chemin de croix” que constitue le siège. La ville tiendra, héroïquement. Six mille soldats et cinq mille miliciens urbains, isolés du reste du monde, vont s’opposer à une immense armée ottomane, soutenue par 300 canons. Toutes les cloches de la ville sont réduites au silence, sauf celles de la Cathédrale Saint Etienne, que l’on appelle l’Angstern, l’”angoisse”, qui, de ses battements incessants, convie les défenseurs à exécuter leurs tâches. Les assauts contre les murailles de la ville, les batailles au corps à corps se succèdent jour après jour et chaque jour semble être le dernier... mais les secours sont en route.
Avec la bénédiction du Pape et sous la direction de l’Empereur, qui prend la tête de ses armées, les troupes impériales avancent à marches forcées vers la ville assiégée. Le Roi de Pologne Jean III Sobieski (1624-1696) se joint à elles, car, par deux fois déjà, il a sauvé la Pologne des Turcs. Finalement, le 31 août il opère sa jonction avec les troupes du Duc Charles de Lorraine, qui exerce le commandement suprême.
Quand Impériaux et Polonais ont conjugué leurs forces, l’armée chrétienne-européenne marche enfin sur Vienne, où la situation est vraiment dramatique. Les Turcs ont ouvert des brèches dans les murailles et les défenseurs survivants, après avoir repoussé dix-huit attaques et effectué vingt-quatre sorties, sont totalement épuisés. Les janissaires ne cessent d’attaquer, exaltés par les imams. Les cavaliers tatars ravagent l’Autriche et la Moravie.
Le 11 septembre, Vienne vit dans l’angoisse : elle a l’impression qu’elle vit ses dernières heures de liberté. Le Comte Starhemberg envoie à Charles de Lorraine un ultime message désespéré : “Ne perdez pas de temps, mon très clément Seigneur!”.
La bataille
Le matin du 12 septembre 1683, le Vénérable Marco d’Aviano célèbre la messe et le Roi de Pologne y fait fonction d’acolyte. Il bénit ensuite l’armée massée à Kahlenberg près de Vienne : 65.000 soldats européens-chrétiens vont affronter sur un champ de bataille 200.000 Ottomans.
Les princes de Bade et de Saxe, les Wittelsbach de Bavière, les seigneurs de Thuringe et du Holstein sont présents à la tête de leurs troupes; viennent ensuite les Polonais et les Hongrois, le Général Comte italien Enea Silvio Caprara (1631-1701) ainsi que le jeune Prince Eugène de Savoie (1663-1736) qui va connaître son baptême du feu.
La bataille va durer toute la journée et se terminer par une terrible charge à l’arme blanche, conduite par Jean Sobieski en personne; elle met les Ottomans en fuite et donne la victoire à l’armée européenne. Celle-ci ne perd que deux mille combattants, tandis que les Ottomans doivent en déplorer 20.000. L’armée du Sultan prend la fuite en désordre, abandonnant son butin et son artillerie, après avoir massacré les prisonniers et esclaves chrétiens. Le Roi de Pologne envoie au Pape les bannières capturées, en les accompagnant de ces paroles : “Veni, vidi, Deus vincit” (“Je suis venu, j’ai vu et Dieu a vaincu”)(…).
Le jour suivant, l’Empereur entre dans Vienne, joyeuse et libérée, à la tête des princes du Saint Empire et des troupes confédérées (…).
Le ressac de l’Islam
La victoire de Kahlenberg et la libération de Vienne sont le point de départ de la contre-offensive des Habsbourg contre les Ottomans dans l’Europe danubienne, ce qui conduira, au cours des années suivantes, à la libération de la Hongrie, de la Transylvanie et de la Croatie, permettant à la Dalmatie de se joindre à Venise. C’est le moment historique où se manifeste de la manière la plus éclatante la vocation et la mission de la Maison d’Autriche, qui consistaient à libérer et à défendre l’Europe dans le Sud-est du continent. Pour réaliser cette mission, elle a mobilisé sous la bannière impériale romaine-germanique des Allemands, des Hongrois, des Tchèques, des Croates, des Moraves, des Slovaques, des Italiens, des Roumains, des Lorrains, des Savoisiens, des Franc-Comtois, des Flamands, des Wallons, des Luxembourgeois, des volontaires irlandais et arméniens, alliés aux Polonais et aux Vénitiens (…).
La Grande Alliance a donné vie aux projets du Pape Innocent XI, qui entendait s’inscrire dans la tradition d’un énergique prédécesseur, Saint Pie V (1504-1572), artisan de la victoire navale des Européens à Lépante, le 7 octobre 1571. La Bataille de Vienne constitue un tournant majeur dans l’histoire européenne, si bien qu’on peut parfaitement la comparer à la fameuse Bataille de Poitiers de 732, emportée par le chef austrasien Charles Martel (688-741), qui a arrêté l’avance des Arabes vers le Nord. Rappelons également que l’alliance reconduite en 1684, ratifiée sous le nom de Sainte Ligue, a sanctionné une alliance unique entre Allemands et Polonais, a redoré le blason de l’Empire exsangue après la Guerre de Trente Ans, a rapproché Protestants et Catholiques grâce à la clairvoyance et à la diplomatie d’un grand Pape, bien décidé à réaliser l’objectif qu’il s’était donné : libérer l’Europe des Turcs.
En cette année s’est forgée une fraternité d’armes entre tous les peuples de l’Europe christianisée, ce qui a permis une grande croisade victorieuse, qui a éliminé définitivement le danger mortel de l’ottomanisme. Force est de constater tout de même que ce danger millénaire, une fois écarté, a été vite oublié. Mais le siège de Vienne doit nous rappeler que, toujours dans nos mémoires, les cloches qui sonnent pour mobiliser l’Europe contre le péril turc et islamique ne doivent jamais cesser de sonner.
Source Polemia cliquez ici
15:27 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |