jeudi, 04 août 2011
Jean-Pierre Stirbois, militant nationaliste exemplaire...
Par Robert Spieler
Article publié dans Rivarol
(n°3010, août 2011)
Après avoir consacré, il y a quelques semaines, un long article à François Duprat, Le Monde Magazine du 16 juillet réserve sa « une » à « Jean-Pierre Stirbois, l’apparatchik ». C’est le 11 septembre 1983 qu’une liste de rassemblement qui compte des chiraquiens, des centristes et des frontistes, dont le numéro deux du Front national, emporte la mairie de Dreux. La foule scande : « Stirbois, fasciste, assassin ! Stirbois, salaud, le peuple aura ta peau ! ». Une semaine auparavant, avait eu lieu le « coup de tonnerre de Dreux », où la liste Stirbois obtenait près de 17% des suffrages au premier tour, obligeant les droites à fusionner avec le FN. L’aventure débuta à Dreux. Le Pen ne s’était pas déplacé pour soutenir Stirbois. Il était en vacances. Cette victoire fut celle de Stirbois…
Jean-Pierre Stirbois est un fils d’ouvrier, né en 1945. Adolescent, il est proche de l’OAS-Métro-Jeunes et participe en 1965 à la campagne présidentielle de Jean-Louis Tixier-Vignancour, dont Jean-Marie Le Pen est l’animateur. L’échec de Tixier va entraîner une lutte fratricide entre ce dernier et Le Pen. Stirbois choisit Tixier et va contribuer à créer le mouvement Jeune Révolution, mouvement « solidariste », dont l’idole est Pierre Sergent. L’Union solidariste adhérera en bloc, en 1977, au Front national, dont Stirbois prendra rapidement et efficacement la charge du secrétariat général. Près de 35 ans plus tard, cela suscite encore des rancoeurs chez ceux qui avaient été mis en touche, rancoeurs qui s’expriment aujourd’hui, dans un récent courrier des lecteurs à Rivarol, où Stirbois est accusé d’être un agent sioniste, son vrai nom étant Stirnbaum ! Notre ami David Veyssere m’a envoyé ce commentaire : « Voir dans le patronyme de Stirbois une origine juive, c’est de la billevesée pure. Cet anthroponyme est authentiquement un patronyme du Nord des Gaules, mélange de franc et de gallo-romain, qui signifie « taureau des bois », stir signifiant taureau dans les langues franques et germaniques. Le Monde reprend quelques assertions tout à fait mensongères et hautement fantaisistes en prétendant que Stirbois était pro-israélien et récusait toute connotation fascisante. Ayant été très proche de Jean-Pierre Stirbois, quand nous siégeâmes ensemble sur les bancs de l’Assemblée nationale, et ayant passé maintes soirées avec lui, je puis témoigner que ces accusations sont totalement absurdes. Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, qui fut l'un de ses plus proches amis, en une période difficile de la vie privée de Stirbois, peut en témoigner amplement. Non, Jean-Pierre Stirbois n’était ni sioniste, ni au demeurant pro-arabe, il était nationaliste français, entouré de cadres radicaux, issus pour beaucoup du PFN (Parti des Forces Nouvelles), du GRECE, et bien sûr du mouvement solidariste. Voilà la vérité.
Stirbois, nationaliste populaire
Stirbois exécrait le bourgeoisisme et l’esprit de collaboration. Aux élections cantonales de 1985, il avait défendu l’idée que le Front n’appelle pas à voter pour la droite au second tour. En 1988, au second tour de l’élection présidentielle, où Le Pen avait obtenu 14% des voix, il prône le vote Mitterrand, suivant l’adage : « National au premier tour, socialiste au second ». Le Pen, qui voulait appeler à voter Chirac, finit par prôner l’abstention ou…le vote Chirac.
Une anecdote : Au lendemain de notre élection, en 1986, à l’Assemblée nationale, Le Pen a une riche idée. Celle d’organiser une réception au pavillon d’Ermenonville, au Bois de Boulogne. Dans le registre somptueux, feux d’artifice, et tout le reste. Toutes les personnalités, tous les ambassadeurs y sont invités. Tenue de soirée, c'est-à-dire smoking, de rigueur. Cela nous scandalisa. Quoi ? Nous qui affirmions représenter la droite sociale et populaire auprès de nos électeurs, nous plier aux simagrées de la bourgeoisie bling-bling ? De ces parvenus ? Pas question ! Aucun ambassadeur, au demeurant, sauf celui d’Uruguay, proche de la secte Moon, ne fit une apparition. Il est vrai que Le Pen avait établi d’étroites relations avec la secte Moon, dont il fit élire le dirigeant français, Ceyrac, le neveu de l’ancien patron du patronat, à l’Assemblée nationale. Comme seule personnalité, le Bao Daï, l’antique empereur du Vietnam… Jean-Pierre Stirbois, ainsi que les députés de la sensibilité nationale et sociale refusèrent de s’y rendre. Pour ma part, jamais avare d’une provocation, je m’y rendis … en costume et non en smoking. J’étais le seul. Fureur de Le Pen qui m’envoya le lendemain un mot manuscrit : « Tu aurais du m’en parler ; il existe au groupe (parlementaire) une petite caisse pour députés nécessiteux ». Je lui répondis derechef : « Je suis désolé, mais ayant été élevé à la bière et à la choucroute en Alsace, je ne connais pas les mœurs de la bourgeoisie parisienne. » Ambiance…
Mégret et Stirbois
Le Pen ne pouvait pas tolérer un Etat dans l’Etat, un militant pur et dur, insensible au découragement, qui ralliait une grande partie des militants du FN. Stirbois était un remarquable organisateur, qui savait galvaniser ses fidèles, des fidèles prêts à le suivre jusqu’au bout. Ce n’était sans doute pas un chef de peuple, mais nous n’en étions pas là… Le Pen, qui voyait d’un mauvais œil son influence grandissante (Stirbois était sans doute le seul que Le Pen craignait), eut l’idée de créer la grande zizanie en nommant Bruno Mégret, délégué général chargé de sa campagne présidentielle. Bruno Mégret est un homme de grande valeur, excellent organisateur, avec une capacité conceptuelle que n’avait sans doute pas Stirbois. Les deux étaient faits pour se compléter. Ce ne fut pas le cas. Sous l’œil attendri de Le Pen, qui ne faisait évidemment rien pour arranger la situation, les tensions prirent de l’ampleur. Le Pen régnait, ou du moins voulait régner en maître… J’avais essayé, très naïvement, de rapprocher les deux hommes. Peine perdue. Stirbois m’en avait même tenu grief.
La mort de Stirbois
Stirbois s’était lancé à corps perdu dans la campagne pour le « non » au référendum sur le statut de la Nouvelle-Calédonie. A peine de retour d’un voyage éreintant, début novembre 1988, il tient un meeting à Dreux. Il déclare être prêt à retourner en Nouvelle-Calédonie « mettre sa peau au bout de ses idées. » Tard dans la nuit, il reprend la route dans sa Golf GTI et, s’étant sans doute endormi au volant, percute un arbre. Les complotistes y verront bien sûr un assassinat. Absurde. En tout cas, le lecteur me pardonnera de ne pas donner de détails, ce fut un honteux soulagement chez certains proches de Le Pen, qui sablèrent le champagne. Restait à décider rapidement qui serait le secrétaire général qui remplacerait Jean-Pierre Stirbois. Deux candidats étaient en lice : Bruno Gollnisch et Carl Lang. C’est dans les toilettes du funérarium que Le Pen annonça aux deux candidats potentiels son choix. C’était Carl Lang, qui était plus jeune, et dans son esprit plus malléable (la suite prouvera le contraire), Bruno Gollnisch étant considéré comme trop proche de Stirbois. Le Pen voulait tourner la page et éviter que se constitue au sein du FN un groupe de pression des amis de Stirbois…
Les obsèques eurent lieu à l’église Saint Augustin, en présence de tous ses fidèles, et de ceux qui ne l’étaient pas. Et de ceux et surtout celle qui trahirent honteusement sa mémoire. Mais ceci est une autre histoire… Les amis de Jean-Pierre Stirbois, dont Christian Baeckeroot, Jean-Pierre Revaud, Bernard Antony, voulaient porter son cercueil. Le Pen s’y opposa. Marie-France Stirbois se jeta en larmes aux pieds de le Pen pour le supplier d’accepter. Il finit par y consentir…
Le 27 novembre 1988, 20 jours après le décès de Stirbois, National Hebdo organisa une grande réunion en hommage à Jean-Pierre Stirbois, à la Mutualité. Les organisateurs en étaient Roland Gaucher, directeur de NH et Roland Hélie. Le Pen y était totalement opposé, et fit tout pour empêcher les militants de s’y rendre, interdisant aux permanents du FN de participer à cette manifestation. Roland Gaucher ne plia pas, de même qu’un nombre considérable de militants. La Mutualité était bondée. Une émotion indescriptible… Roger Holeindre salua celui qui a « chassé du FN les incapables et les voyous pour bâtir un parti pur et dur ». Le Pen n’y vint pas… Et les incapables et les voyous revinrent au Parti…
Et si Stirbois avait vécu ?
L’uchronie, c'est-à-dire la tentation de refaire l’histoire, est évidemment une tentation absurde. Mais tellement tentante…Que se serait-il passé si Stirbois avait vécu ? Je fais le pari qu’il y aurait eu une guerre, instrumentalisée par Le Pen, entre lui et Mégret. Quel que soit celui qui l’aurait emporté, les conséquences auraient été les mêmes. Si Stirbois l’avait emporté, il aurait fini par subir les mêmes humiliations, les mêmes avanies que celles que Bruno Mégret eut à subir. Et il aurait réagi de la même façon. Jacques Doriot avait écrit un livre dont le titre est Nous ne sommes pas un peuple d’esclaves. Stirbois n’avait pas un tempérament d’esclave. Et ceux qui le suivaient, pas davantage. Jamais Stirbois n’aurait accepté cet épouvantable népotisme, cette ambiance monégasque, décadente, orientale dans laquelle se complait Le Pen. Et pourtant, quel talent d’orateur, quel charisme, quel courage ! Quel dommage ! Il est vrai qu’il est rare qu’un chef de peuple apparaisse. Peut-être tous les siècles, ou tous les deux siècles ? Un chef de peuple milliardaire, cela n’existe au demeurant pas. Lorsqu’il fut officiellement l’héritier de Lambert, qui lui léguait sa fortune pour poursuivre et amplifier le combat nationaliste, des cadres de son mouvement, heureux, lui proposèrent diverses actions de propagande et de militantisme. Un des dirigeants présents me l’a raconté. Le Pen répondit, pointant les index de ses deux mains sur sa poitrine : « Cet argent est à moi, à moi… »
J’avais suivi avec une grande attention la révolte des militants qui suivaient Bruno Mégret. Pouvait-il réussir ? Avait-il raison de se lancer dans cette aventure ? Jean-Pierre Stirbois, si cela avait été lui, aurait sans doute subi les mêmes conséquences. Première étape : Elimination des fidèles au sein du Mouvement. Les salariés fidèles au futur « traître » sont virés. Que faire ? L’accepter, c’est passer pour un salaud et un lâche qui ne défend pas ses hommes. Alors ? Tenter de prendre le contrôle d’un parti statutairement ultra verrouillé ? Cà ne marche pas. Et puis, se soumettre, et se retrouver en douzième place, celle de Judas, sur la liste européenne ? Ridicule. Seconde solution : quitter avec les meilleurs, les plus déterminés, les plus combatifs, les plus nombreux le mouvement, mais, l’expérience l’a prouvé, cela ne marche pas davantage, car la marque prime le talent. Bruno Mégret n’avait le choix qu’entre deux décisions désastreuses. Ce fut le talent de Le Pen de le pousser ainsi à une faute impossible à éviter. Jean-Pierre Stirbois, nonobstant son talent, se fût retrouvé dans la même nasse…
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mardi, 26 juillet 2011
Droite nationale infos, un nouveau site d'information nationaliste dans les Alpes-Maritimes :
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samedi, 23 juillet 2011
AVEZ-VOUS PENSE A VOUS ABONNER ?
Synthèse nationale n°23 vient de sortir :
Vous retrouverez des articles de Patrick Parment, Marc Rousset, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, Patrick Gofman, Jean-Claude Rolinat, Philippe Randa, Lionel Baland, Pieter Kerstens, Francis Bergeron, l'écrivain nationaliste polonais Michael Kovalczyk et, bien sûr, l'éditorial de Roland Hélie...
Les interventions de Véronique Bouzou, enseignante et écrivain, et de Annick Martin, Vice présidente du MNR, lors du colloque sur les 35 ans du regroupement familial organisé à Paris par Synthèse nationale en avril dernier...
Un entretien avec Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, sur le rassemblement en gestation de la Droite nationale...
126 pages, 12 €, à partir de samedi à la librairie Primatice, 10, rue Primatice 75013 Paris (métro Place d'Italie).
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Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance uniquement)
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vendredi, 22 juillet 2011
La surprenante raison de notre endettement...
Actuellement en France nous avons 1 800 milliards de dettes souveraines.
Savez-vous que, à cause de la « loi Rothschild » datant de la Présidence de Georges Pompidou, l'Etat est obligé d'emprunter sur les marchés en payants des intérêts à des préteurs de la finance internationale, ce qui fait que la France ne rembourse actuellement que les intérêts de la dite dette. Il est est bon de rappeler qu’avant d’être Président de la République française, Pompidou avait été employé par la Banque Rothschild.
Cette loi sur la réforme de la Banque de France date donc du 3 janvier 1973. Lorsqu’on la regarde de plus près, on découvre en particulier cet article 25, très court, qui bloque toute possibilité d'avance au trésor : "Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l'escompte de la banque de France." Stupéfiant.
Ce qui signifie que l'article 25 de la loi 73-7 du 3 janvier 1973 interdit à la Banque de France de faire crédit à l'État français, condamnant la France à se tourner vers des banques privées et à payer des intérêts, alors qu'avant cette loi, quand l'État empruntait de l'argent, il le faisait auprès de la Banque de France qui, lui appartenant, lui prêtait sans intérêt.
Autrement dit : auparavant, l'État français avait le droit de battre monnaie, et avec cette nouvelle loi, il perd ce droit qui est du même coup légué aux banques privées. Celles-ci en profitent pour s'enrichir aux dépends de l'État en lui prêtant, avec intérêt, l'argent dont il a besoin.
Cette décision correspond à une privatisation de l'argent et ramène la nation au même rang que n'importe lequel de ses citoyens.
L'accroissement sans fond de la dette publique trouve son origine précisément là. Voici en effet un graphique représentant l'évolution de la dette, avec et sans intérêt. La courbe rouge représente bien sûr la dette constatée, calculée avec les intérêts.
Que serait la dette avec et sans intérêt ?
Explications du graphique et conclusion
Le graphique montre bien que les intérêts de la dette payés à des financiers apatrides est ce qui fait que la France est encore lourdement endettée.
Il y avait en 1979 239 milliards d'euros de dette, la dette fin 2008 était de 1 327 milliards d'euros !
Ainsi entre 1980 et 2008 la dette a augmenté de 1 088 milliards d'euros et nous avons payées 1 088 milliards d'euros d'intérêts.
1327 - 1306 = 21 Milliards d'Euros !
Si cette loi anti-nationale n’avait pas été votée en 1973, la dette serait quasiment inexistante aujourd'hui. Déjà, à cette époque, la classe politique de notre pays, dans laquelle les gaullistes étaient dominants, était à la solde de la haute finance internationale…
Capitalistes, mondialistes, financiers apatrides, la France appartient au peuple français et pas aux institutions financières !
La Nouvelle Droite Populaire combat les banksters !
Source NDP Alsace cliquez ici
11:40 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 18 juillet 2011
Retenez cette date :
VENDREDI 11 NOVEMBRE 2011,
A PARIS
5ème JOURNEE
NATIONALISTE ET IDENTITAIRE
organisée par
Synthèse nationale
La 4ème JNI du 11 novembre 2010 : cliquez ici
12:33 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 12 juillet 2011
Face à la répression dont il est victime, le Parti de la France apporte son soutien au Front comtois...
Le Parti de la France apporte son soutien au Président du Front Comtois, Gaëtan Perret, victime de scandaleuses poursuites judiciaires notamment en raison de deux affiches de résistance nationale intitulées "Ici c'est la Comté... Pas Alger !" pour l'une et "Islam hors d'Europe !" pour l'autre (cliquez ici pour connaître tous les détails de cette affaire).
Tenter de museler ainsi les légitimes actions de résistance nationale et européenne, en organisant la persécution judiciaire contre des militants patriotes constitue une insupportable atteinte à la liberté d'expression politique et aux droits du peuple français et des peuples d'Europe à rester eux-mêmes.
Ces manœuvres intolérantes et antinationales démontrent une fois de plus la pertinence et la nécessité de l'engagement des Français dans la lutte contre la colonisation migratoire et islamique de notre pays.
23:19 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 06 juillet 2011
FACE A LA REPRESSION : NOUS SOMMES TOUS DES NATIONALISTES COMTOIS !
Camarades nationalistes, patriotes et identitaires,
Suite à l’acharnement médiatique qu’avait orchestré, en début d’année, l’Est Républicain en collaboration avec le SCALP contre le Front Comtois, nous venons d'apprendre que notre camarade Gaëtan Perret, Président du FC, est convoqué le 8 septembre prochain devant le tribunal de Montbeliard, poursuivi par le commissaire de cette ville et par 12 associations spécialisées dans la lutte contre la liberté d'expression, pour "incitation à la haine raciale". La cause : deux affiches éditées par le FC. L'une proclamant une évidence : "Ici c'est la Comté... pas Alger", et l'autre une revendication « Islam hors d'Europe » et un billet d'humeur, plutôt bien tourné d'ailleurs, publié sur le site du FC (cliquez ici).
L'indépendance de la Justice est une fiction lorsqu'il s'agit de procès visant la résistance nationaliste et identitaire et qui sont fait par les collabos patentés du Système en place. Nous savons tous que la mission principale de ces officines consiste à détruire nos racines et les traces encore existantes de notre civilisation européenne au profit de la culture du mensonge énorme et odieux, de la corruption, de la perversion et d'une façon générale, de l'inversion des valeurs.
C'est donc une éprouvante et difficile épreuve à laquelle Gaëtan et le FC auront à faire face !
Une bonne nouvelle toutefois : un avocat de Nancy, spécialiste de la liberté d’expression, est prêt à prendre la défense de nos camarades comtois. Nous pensons que vous serez tous d'accord avec nous : en plus du temps perdu, de la tension et du stress occasionnés par cette pénible épreuve, nous trouverions scandaleux que le FC dusse en supporter seul le poids financier.
Face à l'adversité, soyons solidaires. N'abdiquons pas l'honneur d'être une cible. Dès maintenant, faisons un don auprès du trésorier du Front Comtois Paul-Arnaud. L'argent récolté servira à payer les déplacements entre Montbéliard et Nancy, les frais de justice et d'éventuelles amendes.
Paul-Arnaud informera régulièrement chaque donateur du montant des sommes versées et dépensées.
La solidarité nationaliste doit s'organiser partout à travers la France. Nous demandons à chacun d'entre vous, si vous le pouvez, de faire un geste pour aider nos camarades. Si chacun apporte un soutien, même modeste, ils réussiront à faire face à la répression.
C''est par notre générosité que nous prouvrons aux militants comtois que nous ne les laissons pas tomber. Sinon, notre combat est vain.
Si tous les nationalistes, oubliant leurs différents, décident de faire front et de cultiver l'espérance, rien n'est irrémédiablement perdu. Tant qu'il y aura des nationalistes, la France ne sera pas complètement morte.
Notre combat, ne l’oublions jamais, c’est d’abord et avant tout la défense de notre identité, de notre héritage historique, culturel, ethnique, contre tous ceux qui prétendent avoir des droits sur nous et qui entendent nous faire disparaître.
Aujourd'hui, plus que jamais :
Mobilisation totale contre les laquets
du mondialisme destructeur des peuples !
Solidarité militante avec nos camarades du Front comtois
victimes de la répression antinationale !
L'équipe de Synthèse nationale
Pour vos dons par CB, rendez-vous sur notre site internet (cliquez ici), par virements bancaires, cliquez là. Par chèques à l’ordre de «Front Comtois» à adresser à Front Comtois, 6 impasse des Aguyots, 25250 L'Isle sur le Doubs
JEUDI 8 SEPTEMBRE, 14 h, TENEZ-VOUS PRETS,
TOUS AU TRIBUNAL DE MONTBELIARD
PROCES DU FRONT COMTOIS =
PROCES DU PEUPLE FRANCAIS !
21:01 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 05 juillet 2011
Au-delà des compromissions avec le Système, une espérance nouvelle !
Par Roland Hélie
Editorial publié dans le n°23
de Synthèse nationale (cliquez ici)
Le mal récurrent qui atteint toute organisation reposant sur un engagement radical est, à un moment ou a un autre, la recherche de la respectabilité. Cette sacrosainte respectabilité qui, soit disant, doit lui permettre de passer du stade d’éternel opposant à l’échelon supérieur, voire à arriver au pouvoir.
A priori, l’idée ne manque pas de logique et peut être séduisante. Une fois le plein des soutiens, électoraux et autres, réalisé, il peut apparaitre nécessaire de ratisser plus large si on veut augmenter son influence. Bien sûr, pour cela un certain nombre de concessions doivent être faites. Mais les fins stratèges nous rétorquent à chaque fois que cela répond à une subtile tactique destinée à gruger les adversaires et que l’on peut être rassurés : les fondamentaux, eux, ne seront jamais égratignés. Des cadres « intelligents » sont mis en place pour prendre la relève des quelques timorés qui avaient certes permis au mouvement de percer mais dont le passé jugé « sulfureux » escamote, dit-on, toutes chances de réussir. Ainsi, la route vers la victoire est empruntée et plus rien ne pourra arrêter le mouvement en marche…
Combien de fois a-t-on entendu ce genre de propos lénifiants ?
En réalité, les choses ne se passent jamais comme cela. Très vite l’organisation qui s’engage sur cette voie hasardeuse de la quête effrénée de la respectabilité perd son identité et, par là même, sa raison d’être. A force de vouloir adopter les bonnes manières qui lui permettraient d’exceller dans le petit monde de la bienpensance, à force de se recentrer pour rassurer les honnêtes citoyens jusque là effarouchés par les idées qu’elle professait, l’organisation finit par se banaliser et entrer totalement dans le Système qu’elle était censée vouloir détruire.
Les exemples sont nombreux dans l’histoire politique française. A gauche, nous pourrions citer le cas de la Ligue communiste révolutionnaire devenue, il y a quelques années, le Nouveau parti anticapitaliste (tout un programme…), avec le jeune et pimpant Besancenot à la place de cette vieille lune ridée de Krivine. On voit les résultats. Alors que la LCR, après des années de stagnation commençait péniblement à percer électoralement, bénéficiant sans doute de l’agonie sans fin du Parti communiste, le NPA a fait un flop monumental. A tel point que, exit Besancenot, c’est Mélenchon, un autre « ex »-trotskiste mais lambertiste celui-là, qui remet le PC en selle pour la prochaine présidentielle. Krivine doit « avoir les boules ». Tant pis pour lui, on ne va pas pleurer sur son sort.
La droite nationale n’échappe pas à cette maladie
A droite de la droite les exemples de relookages, ou de recentrages, sont aussi nombreux et à chaque fois cela se termine mal.
Je me souviens personnellement, pour y avoir participé, de l’expérience, dans les années 70, du Parti des forces nouvelles. Ce parti très militant et très motivé occupait alors la première place au sein de la droite nationale. Il disposait d’un capital militant conséquent et surtout d’une volonté légitime de jouer un rôle politique digne de ce nom. Cependant, les principaux responsables du PFN étaient « traumatisés » par deux échecs successifs qu’ils avaient vécus : l’échec (somme toute relatif) des premiers pas électoraux du Front national en mars 1973, puis la dissolution d’Ordre nouveau en juin de la même année. C’est ainsi qu’ils s’évertuèrent, dans un premier temps, à tenter de dépoussiérer la droite nationale et à donner au PFN une image « moderne et design » pour reprendre l’expression en vogue à cette époque. « Le passé, toujours, le chérir, ne jamais l’oublier, mais jamais le formuler… » s’exclamait à la tribune du congrès fondateur du parti, en novembre 1974, l’un de ses principaux responsables. Les résultats furent fulgurant : 10 ans plus tard le Front national, son rival tant honni, envoyait 35 députés à l’Assemblée nationale et le PFN disparaissait de la scène politique. L’intention était sans doute louable, mais les résultats furent, hélas, décevants. Cet exemple mérite d’être médité.
Nous pourrions aussi rappeler le recentrage, en pleine campagne présidentielle de 1965, de Jean-Louis Tixier-Vignancour qui entraina une dégringolade catastrophique en quelques semaines : d’environs 17% d’intentions de vote dans les sondages, il ne récolta que 5% dans les urnes. La droite nationale mit 20 ans à se remettre de cet épisode peu reluisant… Nous pourrions citer de multiples autres exemples tout aussi édifiants les uns que les autres. Ces différentes expériences malheureuses devraient éclairer ceux qui rêvent sans cesse au grand ripolinage politique et idéologique qui permettrait à notre famille politique de triompher et de remettre enfin la France sur les rails.
Quelques succès électoraux attisent, il est vrai, les ambitions et certains, ou certaines, pensent qu’en sacrifiant quelques idées fortes, on arriverait ainsi plus vite au pouvoir. Hélas, les choses ne sont pas aussi simples.
En fait, lorsque l’on édulcore un peu trop nos fondamentaux, fait-on encore partie de la grande famille de la droite nationale, nationaliste et identitaire ? C’est la question que l’on peut légitimement se poser au sujet du Front national depuis quelques mois. De reniements en concessions (lire à ce sujet l’entretien que nous a accordé Robert Spieler dans ce numéro de Synthèse nationale) celui-ci finit par tellement ressembler à un parti du Système que l’on peut se demander pourquoi il n’est pas encore totalement inclu dans le Système puisque tel semble être le vœu le plus cher de ses nouveaux dirigeants. La réponse réside peut être tout simplement dans le fait que le Système lui demande encore un peu plus de gages ? Encore un peu plus de soumission ? Dans ce cas, pourquoi s’arrêteraient-ils, l’un et l’autre, en si bon chemin puisque tel semble être le prix à payer pour ne plus être traité en parias et en empêcheurs de tourner en rond.
Là est justement la ligne de partage. Soit le mouvement national a vocation à se confondre dans le Système, soit il entend rester la seule alternative crédible à ce Système. Dans le premier cas, la stratégie choisie par Marine Le Pen et ses amis est certainement la meilleure. Mais après, après que le Système l’aura bien digérée, il ne faudra pas venir se plaindre. Pour notre part, fidèles à nos principes, à nos espérances, et surtout à notre raison d’être, nous choisissons le second. Nous nous battons pour la destruction de ce Système dont le seul objectif est de broyer les identités, de détruire les nations et de transformer le monde en un vaste marché aux dimensions planétaires dans lequel tous les hommes seraient égaux, indifférenciables, dociles et formatés. Un monde merveilleux dans lequel il n’y aurait plus que des gentils consommateurs juste bons à enrichir les comptes des quelques actionnaires des multinationales. Un monde extraordinaire dans lequel il n’y aurait plus de noirs, ni de jaunes, ni de blancs mais que des individus sans racines, déculturés et malléables à souhait. Bref, un monde fait de bons sentiments, de repentances permanentes et de prosternation devant les maîtres que sont les banquiers, les usuriers, l’hyper classe et ses serviles chiens de gardes que sont les média aux ordres. Un monde parfait où il n’y aurait, surtout, plus de nationalismes, de patriotismes ou autres attachements identitaires… En un mot, un monde dans lequel nous n’aurions plus notre place.
Une nouvelle espérance est en train de naître
Alors, dans ces conditions, vous comprendrez que nous ne pouvons accepter aucune compromission avec ce Système. Non seulement nous devons nous battre pour l’abattre, mais nous devons aussi et surtout nous battre pour créer les conditions de l’avènement d’un ordre nouveau capable de restaurer les valeurs fondamentales qui ont fait la force de notre civilisation européenne et la gloire de notre nation française. Nous nous battons pour une révolution identitaire capable de redonner aux hommes la fierté de leurs racines. Nous nous battons pour une véritable révolution sociale qui remettrait le mérite au premier plan et qui appliquerait la préférence nationale dans tous les domaines. Nous nous battons pour une révolution nationale et européenne capable de redonner à notre nation et à notre continent leurs places, et toutes leurs places, dans le monde.
La réussite d’un tel projet passe par la construction d’un appareil politique fort, déterminé et conséquent, un appareil imperméable aux sirènes du Système et déterminé à mener à bien cette indispensable révolution que nous préconisons ici. Cet appareil est en gestation. Depuis quelques mois, autour due la Nouvelle Droite Populaire qui incarne le courant nationaliste radical, autour du Parti de la France, présidé par Carl Lang, qui rassemble un nombre grandissant de militants nationaux sincères hostiles aux dérives du Front, autour du MNR, autour de nombreux autres mouvements locaux ou nationaux, d’associations culturelles et politiques, de cercles et de journaux, une nouvelle espérance est en train de naître. Pour notre part, à Synthèse nationale, nous apporterons notre contribution totale au lancement de cette vaste confédération qui regroupera toutes celles et tous ceux qui refusent la soumission au Système dans laquelle quelques mauvais bergers voudraient conduire le mouvement national. Il en va de l’avenir de notre peuple, de notre nation et de notre civilisation.
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Appel d'un chroniqueur à Synthèse nationale :
Sympathique collaborateur de la revue Synthèse nationale venant s'installer à Paris recherche un logement (deux pièces, rive gauche si possible) à louer à un prix raisonnable...
Peut-être que, parmi nos lecteurs, un propriétaire recherche un locataire de bonne lignée.
Si c'est le cas, vous pouvez écrire à synthesenationale@club-internet.fr
Nous ferons suivre. Merci d'avance.
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lundi, 04 juillet 2011
Revue de presse : "Nous sommes la véritable extrême droite"...
Par Christophe Payet et David Doucet
Préférence nationale : cliquez ici
Aussi loin que remontent ses premiers combats politiques, Jean-Marie Le Pen a toujours rejeté l’appellation d’extrême droite qu’il jugeait trop connotée, pour se revendiquer de la «vraie droite». Aujourd’hui les différents partis ou groupuscules ayant rompu (de gré ou de force) avec le Front ne cherchent plus à récuser cette étiquette.
Lundi, le Mouvement national républicain (MNR) d’Annick Martin (anciennement dirigé par Bruno Mégret), le Parti de la France (PdF) de Carl Lang et la Nouvelle droite populaire (NDP) de Robert Spieler et Roland Hélie se sont rassemblés à quelques centaines de mètres de la place de la République, à Paris, pour annoncer la constituion d'une "plateforme électorale commune" (cliquez ici) et se présenter comme la véritable extrême droite.
«Le FN a trahi le combat national»
«Le FN est victime d’une forme de subversion interne, dénonce le directeur de la publication de Rivarol, Jérôme Bourbon au début de ce colloque. Désormais son programme se rapproche de plus en plus de celui de Pim Fortuyn et des droites néo-populistes, c’est une forme de trahison.» Pour lui, la stratégie de dédiabolisation de Marine Le Pen est vouée à l’échec: «Si on fait des concessions dans l’opposition, on en fera encore davantage au pouvoir. Marine Le Pen suit la trajectoire de Gianfranco Fini qui a réussi la destruction de l’extrême droite italienne. Nous devons résister à cela !»
Quitte à désormais revendiquer haut et fort leur appartenance à l’extrême droite. «Je suis un extrémiste de droite et j’en suis fier», déclare ainsi le délégué général de la NDP, Robert Spieler. «Oui je suis d’extrême droite, et nous ne devons pas renoncer à ce que nous sommes», renchérit Pierre Vial, président de l’association paganiste Terre et peuple et membre de la direction de la NDP, en marge de son allocution.
Le programme de Marine Le Pen semble devenu trop fade pour cette branche réprouvée et marginalisée de l’extrême droite française. À plusieurs reprises, les différents orateurs ont tancé les reformulations sémantiques du FN Mariniste. «Le Front national n’ose plus parler de “préférence nationale” et préfère l’évocation d’une “priorité citoyenne” telle que l’a formulée Louis Aliot (Marine Le Pen évoque, elle, la “priorité nationale”, ndlr). Nous n’avons plus rien à voir avec cela.»
Au-delà des différentes étiquettes, il s’agissait surtout d’un rassemblement de théoriciens qui n’ont pas hésité à embrasser la marginalité politique afin de défendre leurs idées. Même s’ils étaient un peu moins de 200 dans la petite salle où s’est tenu leur colloque, ils sont convaincus de détenir la vérité. Tôt ou tard, leur combat finira par payer. «Même si cela doit prendre des siècles», estime Pierre Vial.
Combat total
«On se regroupe peut-être de façon modeste. Mais je vous rappelle que Jean-Marie Le Pen a débuté en 1974 avec 0,74% des voix. Mieux vaut commencer avec de faibles résultats mais sur une base solide de convictions fortes» tente de rassurer d’emblée Jérôme Bourbon. Il cite alors le créateur de la Phalange fasciste espagnole, José Antonio Primo de Rivera: «“La révolution est l’œuvre d’une minorité inaccessible au découragement.” Et bien soyons cette minorité et gardons au cœur l’espérance française et l’espérance chrétienne.»
Afin toutefois de ne pas rester éternellement minoritaire, cette nouvelle union politique commence à dessiner une stratégie. «Nous avons décidé de la création d’une confédération commune dans l’esprit de l’UDF, c’est-à-dire qu’elle pourra regrouper des partis, des groupes mais aussi des associations qui continueront à garder leur identité», se projette ainsi Roland Hélie, responsable de la NDP et créateur de la Synthèse nationale, une revue qui tente depuis des années de fédérer ces différents partis.
«Notre combat sera total: familial, spirituel, culturel et politique. Nous allons nous engager dans un processus de rassemblement de la droite nationale pour rendre la France aux Français», confirme un Carl Lang, qui se verrait bien candidat face à Marine Le Pen en 2012.
Tout le gratin de l’extrême droite était en tout cas présent pour saluer l’évènement. Parmi lesquels le militant royaliste Franck Abed, l’écrivain négationniste Hervé Ryssen, l’ancien leader des skinheads parisiens Serge Ayoub, Édouard Klein et ses amis gudards, l’un des responsables de La Desouchière et le professeur Jean Haudry, qui appartenait par le passé au GRECE.
La gauche comme modèle
Au programme: toutes les recettes que Jean-Marie Le Pen n’aurait, selon eux, jamais écouté. A savoir l’investissement de la sphère culturelle et le travail de terrain. Pierre Vial, qui fut responsable de la formation au FN, veut en faire une «méthode de travail» pour la future coalition d’extrême droite.
Pour lui, la conquête du pouvoir culturel est la priorité. Et dans ce domaine, une seule famille politique a fait figure de modèle : la gauche. «La gauche a su appliquer ce principe fondamental. La conquête du pouvoir culturel permet celle du pouvoir politique.» Le patron de Terre et peuple se réfère même au théoricien communiste Antonio Gramsci, avant d’ajouter «sans complexe » avoir «des leçons à prendre !» La salle applaudit avec enthousiasme.
Pour étayer son argumentation, Pierre Vial évoque alors deux «anciens camarades devenus ministres». «Camarade Alain» et «camarade Gérard», comprendre Alain Madelin et Gérard Longuet, tous deux anciens militants d’Occident. Début 1981, il essaie de les convaincre de l’importance du pouvoir culturel. Mais la droite reste obsédée par l’économie et laisse la culture aux partisans du programme commun. Quelques mois plus tard François Mitterrand est au pouvoir. «Eux (la gauche, ndlr) ont compris que cela passait par là. Ils ont commencé dès 1945. Progressivement, méthodiquement, efficacement.»
Pierre Vial continue son spectacle, anecdotes et exemples potaches à l’appui. «Le combat politique est partout. Dans les feuilletons, avec ces policiers si sympathiques, où il y a le bon nègre et le bon maghrébin…» Les rires se multiplient, dans une salle qui applaudit comme un seul homme. «A côté d’eux il y a des policiers qui sont des beaufs. Ce sont des gaulois évidemment. Pas doués, pas malins. Même un peu raciste parfois, allez savoir.» Une fois la blague achevée, Pierre Vial en vient à sa conclusion: «En fait de distraction, on a un bourrage de crâne systématique et permanent.»
Gagner des petites mairies
Cette approche métapolitique est caractéristique du Groupe de recherche et d’études pour la civilisation européenne (GRECE), un club de réflexion qui visait la reconquête des esprits et dans lequel Pierre Vial a occupé le poste de secrétaire général de 1978 à 1984.
«On doit faire venir à nous les gens par étapes. Doucement. Gentiment», poursuit le fondateur de Terre et peuple, sans doute conscient de pouvoir faire peur. «Si on arrive d’un coup avec notre programme brandi, je ne suis pas sûr que cela marche très bien. Il faut leur expliquer un certain nombre de choses par le biais de la vie quotidienne.»
Autre priorité de ce travail de fourmis: l’implantation dans les municipalités rurales. «Il faut gagner des mairies de villages de 100 ou 200 habitants», recommande Pierre Vial, qui regrette que le Front national n’ait jamais opté pour cette stratégie. «Le jour où on aura besoin de signatures, ce sera intéressant. Il faut commencer à la base. Et ensuite on grignote. Les communistes ont fait ça pendant bien longtemps.»
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Réunion de Synthèse nationale du 27 juin dernier : interventions de Martine Lehideux, Jérôme Bourbon et Pierre Vial...
Mme Martine Lehideux, Vice Présidente du Parti de la France
Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol
Pierre Vial, Président de Terre et peuple
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samedi, 02 juillet 2011
L'UNION EN MARCHE : AU-DELA D'UNE IDEE, UNE REALITE !
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Lundi 27 juin, à Paris, la Droite nationale, nationaliste et identitaire était rassemblée à l'initiative de Synthèse nationale...
Intervention d'Annick Martin, Vice Présidente du MNR
Intervention de Robert Spieler, Délégué général de la
Nouvelle Droite Populaire
Intervention de Carl Lang, Président du Parti de la France
Demain : Martine Lehideux, Jérôme Bourbon et Pierre Vial
Réalisation Franck Abed
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jeudi, 30 juin 2011
Le nouveau numéro (n°20 - été 2011) de NDP INFORMATIONS
NDP INFORMATIONS
Numéro 20 - été 2011, cliquez ici
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mercredi, 29 juin 2011
LE DEVOIR DES NATIONALISTES
Editorial de Militant
Source : cliquez ici
En Espagne, à l'occasion des élections régionales, s'est déclenché un important mouvement populaire fondé sur le rejet de la classe politique régimiste. C'est ainsi que, depuis la mi-mai, un campement "d'indignados", autrement dit "d'indignés", mot à la mode, est installé sur la Puerta del Sol, place emblématique de Madrid, alors que les sondages indiquent que plus de 70 pour cent des Espagnols ne se reconnaissent pas dans la partitocratie. Et ce mouvement fait des émules en Europe, à commencer par la France où le sentiment de rejet des politiciens ne cesse de croître.
Ce mouvement reflète une réalité : le fait que les peuples d'Europe se sentent de moins en moins représentés par leurs dirigeants nominaux. Il en résulte généralement, au-delà de l'indignation, un sentiment d'indifférence envers la démocratie répandue sur l'Europe depuis 1945. La vérité est que " le roi est nu". La démocratie apparaît pour ce qu'elle est : une tromperie tragique, par laquelle non seulement les populations ne sont pas représentées mais par laquelle elles sont trahies, par laquelle les nations d'Europe s'anémient au risque d'être menacées dans leur existence même. Certes, les élections reconduisent ces politiciens déconsidérés : mais c'est oublier une abstention croissante parmi ceux qui daignent encore s'inscrire sur les listes électorales et que, entre la peste et le choléra, nombre de gens se sentent obligés de choisir entre le pire et le moins pire, aussi longtemps que la situation reste tenable.
Le voile d'illusions commence à se déchirer alors que la prospérité économique qui en tenait lieu vacille, que les peuples d'Europe, gangrenés par l'hédonisme et le vieillissement sont confrontés aux problèmes nés de l'importation de populations inassimilables, au fait que l'avenir des jeunes générations n'est plus perçu comme meilleur que celui de leurs parents mais au contraire porteur de lourdes menaces ; ainsi, en Espagne, quelles perspectives peuvent s'offrir à ces de moins de trente ans dont 40 pour cent d'entre eux sont au chômage ? Quels lendemains prometteurs s'ouvrent à ces jeunes diplômés qui savent déjà qu'ils ne trouveront pas de travail rémunéré à la hauteur de diplômes souvent difficilement obtenus ? Le risque du déclassement social provoque d'abord un ferment d'indignation. Mais il prélude à la révolte violente lorsque l'avenir est bouché et que la classe politique, enfermée dans sa tour d'ivoire, pataugeant dans de sordides scandales comme en France, affiliée à la super classe mondiale, trahit le peuple dont elle est issue. La Révolution de 1789, ne l'oublions pas, a été faite par des diplômés, avocats entre autres, qui ne trouvaient pas leur place dans la société sclérosée des années 1780.
Toutefois, ces gens étaient mus par des idéaux, étaient intellectuellement structurés par les principes des philosophes des Lumières. Aujourd'hui, les "indignés" n'ont ni doctrine ni idéologie claire. Influencées par la gauche qui, par essence est un nihilisme, un rejet congénital de tout ordre naturel, une apologie de la jouissance instantanée, leurs revendications sont inconsistantes et puériles : vouloir changer la loi électorale ne remet pas en cause la nature d'un régime destructeur ; demander la fermeture des centrales nucléaires, des usines d'armement et la suppression des quelques lois réglementant encore le séjour des étrangers n'est que la continuation éculée de la gangrène gauchiste qui nous ronge.
A l'évidence, le juste sentiment de rejet du démocratisme est perverti car les peuples européens sont décérébrés par des décennies d'abrutissement médiatique et de bourrage de crâne d'éducations dites "nationales" détournant les jeunes générations de leur histoire et de leurs traditions.
Plus que jamais, le devoir des nationalistes est clair : ils doivent structurer des intelligences actuellement sinistrées et constituer le fer de lance des forces qui, le moment venu, lorsque l'ordre démocratique actuel vacillera inéluctablement, seront en mesure de rendre les nations d'Europe à leur destin. Pour cela, la première tâche, ardue mais vitale, consiste à recruter et former des cadres nationalistes, ce noyau dur inaccessible au découragement par lequel l'époque de honte que nous vivons sera balayée.
11:59 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 28 juin 2011
Lundi soir à Paris, 350 personnes ont assisté à la première réunion pour le rassemblement de la Droite nationale...
Le grand amphi du Centre de conférence de Paris République, rue de la Fontaine au Roi, était bondé hier soir pour la première réunion publique pour l'union de la Droite nationale organisée par Synthèse nationale.
Ce fut d'abord Martine Lehideux, militante de la première heure du Front national, ancienne Vice présidente de celui-ci et aujourd'hui au Parti de la France, qui ouvrit la réunion. Martine est une combattante remarquable, c'est un honneur pour Synthèse nationale de l'avoir parmi nous à cette réunion.
Puis ce fut Jérôme Bourbon, le talentueux éditorialiste de Rivarol. Décapant comme à son habitude, il dressa un bilan sans concession de la situation politique actuelle. Il apporta le soutien total de l'hebdomadaire de l'opposition nationale et européenne à la nouvelle confédération en gestation.
Pierre Vial, toujours aussi passionnant, historien, militant, il n'hésite pas à s'exclamer : "Oui, je suis d'extrême droite" suscitant un tonnerre d'applaudissement dans la salle.
Annick Martin, Vice présidente du MNR, insista avec justesse sur la nécessité de donner une dimension européenne au combat que nous menons. Nous ne sommes plus en 1911 et la France seule ne pèse plus très lourd en 2011...
Fidèle à son habitude, Robert Spieler n'y alla pas par quatre chemins. Rappelant que la rue de la Fontaine au Roi fut, en 1871, le théâtre des derniers combats de La Commune de Paris, qui vit le soulèvement du peuple de Paris contre l'ignoble trahison versaillaise, le Délégué général de la NDP n'hésita pas à nous comparer à la dernière barricade qui résiste encore, et malgré les trahisons lepénistes, à l'abandon de notre identité nationale et européenne.
Dernier intervenant avant que Roland Hélie conclue cette belle réunion, Carl Lang, Président du Parti de la France, présenta les bases de la confédération qui regroupe déjà le PdF, le MNR, la NDP et qui naîtra officiellement en septembre prochain. Cette confédération, dans laquelle chacune des formations adhérentes gardera son identité et sa spécificité, sera la seule à représenter lors de la prochaine présidentielle et des législatives qui suivront, et bien au-delà d'ailleurs, la Droite nationale, nationaliste et identitaire. Cette confédération "ne perdra pas son temps à rechercher une quelconque respectabilité, et cela pour la simple et unique raison que nous sommes tous des gens respectables".
Tout au long de la soirée les stands ne désemplirent pas et de nombreux nouveaux abonnements à notre revue ainsi qu'à Rivarol ou encore à Terre et peuple furent enregistrés.
De nombreuses personnalités de notre famille politique nous ont fait l'amitié de venir assister à cette réunion. Citons la présence dans l'assistance d'une délégation de camarades du Front comtois, menée par son Président Gaëtan Perret, de Serge Ayoub, dirigeant du mouvement Troisième voie, d’Edouard Klein, responsable du GUD, venu avec plusieurs militants de ce sympathique syndicat étudiant, du Professeur Jean Haudry, ancien doyen de la faculté de lettres de Lyon, d'Odile Bonnivard, Présidente de Solidarité des Français, de Pierre Descaves, ancien député de l'Oise, des écrivains Patrick Gofman, Hervé Ryssen, Eric Miné et Franck Abed, de Thomas Joly, Secrétaire général du PdF, et de bien d'autres...
La réunion s'est terminée vers 22 h 00 et chacun est rentré avec la conviction que beaucoup de choses sont en train de bouger et que la vraie Droite nationale n'a certainement pas encore dit son dernier mot...
03:53 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 25 juin 2011
Lundi 27 juin, pour l'union de la droite nationale, VENEZ NOMBREUX !
Lundi 27 juin 2011
19 h 00 / 21 h 30
Grande réunion publique
RASSEMBLONS
LA DROITE NATIONALE !
Centre de Conférences
8 bis, rue de la Fontaine au Roi - 75011 Paris
(métro République ou Goncourt)
Annick Martin (Vice présidente du MNR),
Martine Lehideux (Vice présidente du PdF)
Pierre Vial (Président de Terre et peuple),
Jérôme Bourbon (directeur de Rivarol),
Robert Spieler (Délégué général de la
Nouvelle Droite Populaire),
Carl Lang (Président du Parti de la France),
Roland Hélie (Directeur de Synthèse nationale)
et des responsables des mouvements nationalistes…
VENEZ NOMBREUX !
11:38 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 24 juin 2011
UNITE ET RASSEMBLEMENT
Par Gaëtan Perret
Front comtois : cliquez ici
L’article « Extrémiste vs Nationaliste et identitaire » a suscité de vives réactions sur le site ami Altermedia (cliquez ici). Signé Jack Nico, le commentaire n° 20 a retenu notre attention pour sa pertinence et la justesse de son analyse :
Il est facile pour les identitaires de montrer du doigt les tares des extrémistes, tout comme il est facile aux extrémistes de traiter les identitaires de bourges pro-sionistes. Il est également facile pour moi de juger ces querelles de batailles de cours d’école. Mais toutes ces palabres ne font que reculer le moment ou l’unité des divers courants nationalistes verra l’aube de la révolution.
Quel militant identitaire veut réellement le rapprochement avec les sionistes ? Quel extrémiste (N.R) veut rester enfermé dans une caricature de skin hooligan violent aviné ? Aucun d’eux j’en suis sûr !
La situation actuelle est la résultante d’un travail de sape de longue date, bien mené par nos ennemis, pour diviser, annihiler notre volonté militante, et par l’acceptation de nos leader nationalistes de rentrer dans le moule du politiquement correct. C’est aussi l’apparition de petits chefs, plus ou moins doués, qui pompent çà et là des idées plus ou moins cohérentes, les livrent à une jeunesse qui ne se reconnait pas dans le FN et font au final des groupuscules ou invariablement le militant finira par perdre la foi.
Il n’y a pas d’autre solution que l’unité. Mais avant tout il faut nettoyer notre grande maison et surtout faire taire les irresponsables, que ce soient les traitres qui prônent le rapprochement avec les sionistes ou le petit chef skin inculte qui envoie ses jeunes en garde a vue pour X raisons !
Evidemment, le FN n’est pas la solution. Trop de petit marquis et trop de vieilles putes ne cherchent que la gloire éphémère de la victoire électorale. Il faut réfléchir à un vrai rassemblement, cela est notre devoir de militant ! Et surtout ne plus se perdre dans des querelles qui font le lit de nos ennemis ! (Jack Nico – Altermédia.info – 15.06.11).
Depuis novembre 2006, date de création de Synthèse Nationale, Roland Hélie se bat et contribue à l’unité, au rassemblement et au renouveau de la résistance nationale et identitaire. Une délégation de militants du Front Comtois sera d’ailleurs présente à Paris lundi 27 juin, à la grande réunion publique organisée par Synthèse nationale. Nous invitons les formations semblables à la nôtre et les groupuscules qu’évoque Jack Nico dans son commentaire à se joindre à ce grand rassemblement dans le respect réciproque de chacune de nos formations.
Combien de militants ont donné de leur temps, de leur argent et de leur sueur en militant aux cotés du Front National et s’être fait remercier comme des malpropres, expulsés manu militari pour une peccadille ? Nous pensons notamment à notre camarade Christophe Devillers, aujourd’hui porte-parole régional du Parti de la France présidé par Carl Lang, et plus récemment au conseiller régional des Rhône-Alpes Alexandre Gabriac, exclu pour une simple photo alors que son parti venait d’investir un candidat converti à l'islam (cliquez là) dans le canton de Strasbourg lors des cantonales de mars 2011. Ce nationaliste musulman, Marcel Collot, est favorable à la construction de mosquées et au droit de vote des étrangers ! Le Front Comtois a tourné la page FN car il ne se reconnaît plus dans les valeurs que défend aujourd’hui ce parti.
Jamais la France n’a été aussi gravement malade, atteinte en plein cœur par un mal, le cosmopolitisme, qui a pourri toutes les formes de notre vie sociale, politique, économique, morale. Jeunes nationalistes, patriotes et identitaires, il est urgent de nous lever et de combattre ce système inique dirigé, controlé par une oligarchie corrompue par l’argent et qui nous spolie. Nous devons retrouver l’unité morale de notre pays, la conscience de lui-même, le sens profond de son rôle et de son destin, c’est-à-dire tout ce qui fait les nations fortes. Parce que notre avenir est gravement compromis, il est de notre devoir de nous rassembler et, avec Synthèse Nationale, d’organiser la résistance.
11:26 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les jeunes de la NDP alsacienne viennent d'éditer un nouvel autocollant :
Au cours d'une réunion qui s'est tenue dernièrement à Strasbourg, les jeunes de la NDP alsacienne ont présenté leur nouvel autocollant : "Combat national, jeunesse radicale".
02:59 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 23 juin 2011
Martine Lehideux, ancienne vice-présidente du Front national, participera lundi soir à la réunion de Synthèse nationale...
Mme Martine Lehideux, ancienne vice présidente du Front national, fondatrice du Cercle national des femmes d'Europe, membre du Bureau politique du Parti de la France, prendra la parole lundi soir, 27 juin, lors de la réunion publique organisée par Synthèse nationale à Paris, de 19 h à 21 h 30, au centre de coférences du 8 bis rue de la Fontaine au Roi (XIème arrondissement - métro République ou Goncourt) pour le rassemblement de la Droite nationale (cliquez ici).
09:18 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 21 juin 2011
Samedi dernier à Belfort, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, était à la fête du Front comtois...
Samedi dernier, à côté de Belfort, se déroulait la "Fête du cochon" organisée par nos camarades du Front comtois, structure régionale de rassemblement des patriotes, des nationalistes et des identitaires admirablement présidée par Gaëtan Perret.
Plus d'une cinquantaine de militants du FC, auxquels s'était rajoutée une délégation de la Nouvelle Droite Populaire de Lorraine conduite par notre ami Armand Weber, ont ainsi échangé leurs points de vue sur l'actualité et manifesté leur espérance commune de voir naître bientôt un grand rassemblement des forces nationalistes et identitaires en France.
Parmi les responsables locaux qui assistèrent à cette fête, notons la présence de Christophe Devillers, délégué régional du Parti de la France, qui mena en mars 2010 la liste d'union PdF/MNR/NDP contre les minarets en Franche-Comté (2,7%).
Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale et membre du Bureau national de la NDP, était invité à cette sympathique réunion. Ce fut l'occasion de faire connaître notre revue auprès des nombreux amis présents et de présenter nos projets futurs. Une délégation de militants du Front comtois sera donc présente à Paris lundi prochain, 27 juin, à la grande réunion publique organisée par Synthèse nationale pour le rassemblement de la Droite nationale (cliquez ici).
Remercions Gaëtan Perret et ses amis pour leur accueil chaleureux et souhaitons un bon développement au Front comtois.
Site du Front comtois cliquez ici
09:20 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 11 juin 2011
Un entretien entre Franck Abed et Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale et membre du bureau national de la NDP...
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vendredi, 10 juin 2011
Limitations de vitesse : contre les mesures aberrantes du gouvernement : mobilisation le samedi 18 juin dans toute la France...
La Ligue de Défense des Conducteurs s’associe aux autres associations d’usagers de la route et appelle tous les conducteurs à manifester ensemble contre les mesures aberrantes que le gouvernement s’apprête à mettre en place (démontage des panneaux signalant les radars fixes, interdiction des avertisseurs et des cartes intégrées dans les GPS, etc…).
N’hésitez pas à diffuser l’information autour de vous : nous devons être le plus nombreux possible pour faire plier le gouvernement !
Comment se dérouleront ces manifestations ?
Les motards et trois-roues défileront sur leurs véhicules, suivis par les automobilistes dans les villes de taille moyenne. Dans ce cas, un seul point de rendez-vous pour tous, voir ci-dessous.
En revanche, dans les grandes métropoles (Paris, Lyon, Marseille, Lille…), pour des raisons de sécurité, deux possibilités sont offertes aux automobilistes :
1- privilégier en premier lieu un rassemblement à pied directement sur le lieu d’arrivée du grand cortège des motards. Afin de vous identifier comme manifestant, merci de mettre ou de vous munir du gilet fluo obligatoire qui est dans votre voiture, ou du dossard que vous pouvez imprimer ici.
2- Vous pouvez si vous le désirez vous rendre sur le lieu de départ de la manifestation et vous joindre au cortège, mais attention, cela peut être un peu long jusqu’au point d’arrivée. Là aussi, afin de vous identifier comme participant à la manifestation, nous vous demandons de coincer de façon visible votre gilet fluo dans la vitre arrière de votre voiture, ou d’y placer l’affichette que vous pouvez imprimer ici.
Lieux de rassemblement (certaines informations restent à venir) : cliquez ici
Source Ligue de défense des conducteurs
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dimanche, 05 juin 2011
Entretien entre Franck Abed et Joachim Véliocas, auteur de "Ces maires qui courtisent l'islamisme" (Editions Tatamis)...
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18:55 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 01 juin 2011
Un dimanche matin, au marché...
Dimanche dernier, l'un de nos militants décide de se rendre dans un marché local. Alors qu'il se ballade entre les étals, il croise stupéfait une "femme" en Niqab !
Elle déambule accompagnée par deux autres amies voilées, mais laissant visible leurs visages. Autour de lui, il constate que ce spectacle ne semble choquer personne..
La solidarité communautaire, voir identitaire semble fonctionner à 100%. Il faut dire que notre camarade n'est pas au bout de ses surprises quand il tombe sur un stand vendant de genre de "déguisements", ainsi que plusieurs exemplaires du coran.
Après cette visite, notre ami a pu constaté qu'il y avait les discours "musclés" tenus par le gouvernement, et la réalité..
Il a compris aussi que l'islamisation de notre nation est bien en marche, et que celà se fait avec le consentement d'une population extra-européenne qui refuse nos lois et nos coutumes.
Face à ce genre de provocations, face à cette radicalisation religieuse et politique, nous devons opposer une volonté de fer !
Nous devons chaque matin nous lever avec l'espoir d'inverser cette situation !
Nous devons organiser la résistance salutaire pour la reconquête de nos terres !
Fais comme nous, et rejoins les JEUNES NATIONALISTES EUROPEENS de la Nouvelle Droite Populaire !
Texte publié par les jeunes de la NDP des Alpes-Maritimes cliquez ici
Contact : front_celte@yahoo.fr
15:39 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 31 mai 2011
DROITE NATIONALE : UN PROJET DE CONFÉDÉRATION POUR LES ÉLECTIONS DE 2012
Par Pierre Picace
Le nouveau NH Cliquez ici
A Paris le 22 mai dernier, les principaux dirigeants et représentants des mouvements et associations de la droite nationale (cliquez ici) hors FN se sont rencontrés pour envisager les prochaines échéances électorales.
La Nouvelle Droite Populaire (NDP - cliquez ici) de Robert Spieler, le Mouvement national républicain (MNR - cliquez ici) d’Annick Martin et le Parti de la France (PdF - cliquez là) de Carl Lang qui ont déjà dans le passé constitué des listes communes pour les Européennes de 2009 ainsi qu’aux élections régionales de 2010 dans plusieurs régions, veulent présenter un candidat à la prochaine présidentielle, ainsi que des candidats issus de cette plateforme de rassemblement aux législatives.
L’ambition de cette plateforme qui n’a pas encore de nom, " la création d’une confédération, sur le modèle de l’UDF, rassemblant tous les mouvements et toutes les associations nationales et nationalistes soucieux de proposer aux Français un projet de résistance, de reconquête et d’espoir, et refusant la collaboration avec le Système."
Pour les participants de cette réunion, le Front national (cliquez là), dirigé par Marine Le Pen, serait "passé aux côtés du Système" et ne représenterait plus la droite nationale et de pointer les propos à géométrie variable de Marine Le Pen quant à l’islam ou la substitution "de la préférence nationale au profit d’une « priorité citoyenne »" par le vice-président du FN, Louis Aliot. Pas question donc de soutenir la candidature à l’élection présidentielle de la nouvelle présidente du FN.
Il faut dire que dans les derniers mois "la" chef de file du Front national n’a pas ménagé ses critiques vis-à-vis de ces courants de la droite nationale, les qualifiants de "boulets" détournant opportunément sur eux les accusations de xénophobie et d’antisémitisme portées jusque là par les médias et les partis politiques contre le FN et son président historique. En recentrant le discours du Front national, Marine Le Pen dégage un mince espace sur sa droite. Un espace dont entendent bien profiter les déçus du nouveau discours lepéniste pour s’affirmer comme la "vraie droite" face à un FN en voie de "défrontisation".
Electoralement, le MNR, la NPD, le PdF, ni même la Ligue du Sud (cliquez ici) de Jacques Bompard si elle décidait de rejoindre cette "confédération" ne pèsent pas bien lourds face à un Front national qui depuis trente ans sert de point de ralliement aux mécontents du Système. Cependant le FN serait fou d’ignorer totalement ces listes "dissidentes" car comme la direction du parti lepéniste a pu le constater lors des élections précédentes la présence de ces listes a entraîné sa disparition d’au moins de deux Conseils régionaux. En 2002, Bruno Mégret avait obtenu près de 3,25% des voix au premier tour de la présidentielle, un score qui aurait permis à Jean-Marie Le Pen de talonner Jacques Chirac et de distancer beaucoup plus nettement Lionel Jospin. Reste pour la "confédération" à franchir l’obstacle des 500 signatures de maires, mais en caracolant en bonne position dans les sondages d’intentions de vote du premier tour de la présidentielle, Marine Le Pen fait peser une menace sur Nicolas Sarkozy et comme celui ci compte bien franchir le premier tour en tête… A cela il faut ajouter la présence d’un candidat Identitaire (cliquez là), Arnaud Gouillon qui peut également espérer grappiller quelques dizaines de milliers de voix sur la droite du FN et la présence probable de Nicolas Dupont-Aignan (cliquez là) sur sa gauche qui peut séduire les "orphelins" du MPF (cliquez ici) de Philippe de Villiers que tente également de se rallier Mme Le Pen et l’ancien député européen Paul-Marie Couteaux (cliquez là).
On peut donc d’ores et déjà s’attendre à entendre le Front national et sa présidente hurler au complot si d’aventure les Identitaires et la "confédération" décrochaient leurs précieux sésames pour la présidentielle.
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LUNDI 27 JUIN, de 19 h à 21 h 30
GRANDE REUNION DE SYNTHESE NATIONALE
RASSEMBLONS LA DROITE NATIONALE !
Centre des conférences
8 bis, rue de la Fontaine aux Rois 75011 Paris
(Metro République ou Goncourt)
Avec Annick Martin, Roland Hélie, Jérôme Bourbon, Pierre Vial, Robert Spieler, Carl Lang et de nombreux autres responsables et orateurs de la Droite nationale, nationaliste et identitaire.
Retenez tous cette date, nous en reparlerons...
00:47 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 29 mai 2011
La manifestation du 8 mai contre le mondialisme vue de Suéde...
L'agence de presse suédoise Nationell Idag relate la grande manifestation nationaliste unitaire du 8 mai dernier à Paris. Cliquez ici
22:34 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
NDP : la manif de Strasbourg, on en parle en Hongrie...
Samedi 21 mai, à Strasbourg, les militants de la Nouvelle Droite Populaire ont manifesté pour demander la libération de György Budaházy, patriote hongrois incarcéré depuis deux ans.
En Hongrie même, cette manifestation n'est pas passée inaperçue puisque l'agence de presse Szent Korona Radio, principale agence nationaliste du pays, vient de consacrer un reportage sur l'action de nos camarades strasbourgeois. Cliquez ici
11:06 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 27 mai 2011
NDP : réunion amicale le samedi 4 juin dans le Bas-Rhin...
La NDP Alsace organise samedi 4 juin, dans le Bas-Rhin, une réunion amicale afin de faire connaître ses thèmes de campagnes et ses principes fondamentaux.
Seront aussi évoqués les projets et actions à venir du mouvement, en particulier dans la perspective des combats électoraux de 2012. Tout cela se déroulera dans une ambiance des plus conviviale.
La NDP Alsace est ravie d'accueillir à cette occasion tout ses membres, ainsi que les sympathisants et toutes les personnes intéressées par notre combat.
Pour toutes autres informations supplémentaires, contactez nous sur : ndpalsace@gmail.com
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jeudi, 26 mai 2011
NDP Alsace : action à Strasbourg samedi dernier pour demander la libération de György Budahazy...
L'"affaire" György Budaházy :
Les patriotes hongrois disposent de structures politiques extra-parlementaires très développées : radios, organes de presse, compagnies de taxi, une discothèque, festivals, groupes de musique, maisons d’édition, commerces d’articles patriotiques, etc...
Un parti politique dénommé Jobbik a pu prendre racine en utilisant ces infrastructures et émerger politiquement. Face à la percée politique du Jobbik lors des élections européennes de 2009, le Parti socialiste, héritier de l’ère communiste, a réagi en attaquant les structures les plus radicales des patriotes hongrois. György Budaházy, militant nationaliste devenu célèbre pour avoir mené différentes actions politiques et avoir dénoncé des affaires de corruption, s’est retrouvé en ligne de mire. Fin juin 2009, il a été arrêté pour de supposées « activités terroristes ».
Depuis lors, il croupit en prison, malgré le changement de gouvernement. Selon les patriotes hongrois, cette arrestation est purement politique et ne repose sur aucune base sérieuse. Face à cette situation, l’Union européenne applique la politique du double standard. Alors que cet organisme dénonce les violations des droits de l’homme qui ont lieu en dehors des pays membres de l’Union européenne, il refuse de prendre des mesures contre le fait que des personnes sont persécutées politiquement à l’intérieur de l’Union.
Le procès de György Budaházy et d’autres patriotes est en cours à Budapest. Face à ce scandale, diverses organisations patriotiques en Italie, France, Pologne... se mobilisent afin d’organiser des manifestations devant des représentations diplomatiques hongroises ou des bâtiments officiels comme ce fut le cas à Strasbourg, à l'initiative de la Nouvelle Droite Populaire, samedi 21 mai devant le Parlement européen et la Cour européenne des Droits de l'Homme..
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