Serge Ayoub, leader de Troisième voie, appelle à une manifestation nationaliste le 8 octobre à Lille. Il s’en explique et détaille les fondements de son engagement politique actuel.
samedi, 08 octobre 2011
"Le Complexe d'Orphée" par Jean-Claude Michéa...
Dans un essai décapant, nourri d’histoire, d’anthropologie et de philosophie, Jean-Claude Michéa, penseur inclassable, dénonce la Gauche et sa religion du progrès, ainsi que le mépris de la culture populaire. Il défend l’idée d’une «société décente» dans la lignée d’Orwell.
Source F Desouche cliquez là
Sur l'oeuvre de Jean-Claude Michéa, lire aussi l'article de Patrick Parment "Droite batracienne et gauche soixantehuitarde" dans la dernière livraison de la revue Synthèse nationale (n°24 septembre octobre 2011) cliquez ici
Le Complexe d'Orphée,
Jean-Claude Michéa,
Editions Climats, 20,00 €
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« Sarkozy sous BHL » : une grenade dégoupillée dans la cour de l'Elysée !
Interview de Roland Dumas et Jacques Vergès - Propos recueillis par Gilles Munier
Il y a quelque chose de pourri au royaume de France ! On attendait les révélations de Saif al-islam sur le financement de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy par la Libye... À la place, on a eu droit, sur le même sujet, à la relance de l'affaire Bettencourt, le scandale politico-fiscal de la principale actionnaire de la société L'Oréal, puis à un déluge de révélations sur la remise de valises de billets en provenance de présidents africains, par l'entremise de l'avocat de la Françafrique Robert Bourgi (l'un des dénonciateurs, qui reconnaît avoir porté des valises) à des hommes politiques français, toutes tendances confondues. Dans cette atmosphère de fin de règne, on lira avec délectation le pamphlet de Jacques Vergès et Roland Dumas qui connaissent bien les dessous crapuleux du renversement du colonel Kadhafi. Un pamphlet à lire d'une traite*.
Afrique Asie : « Sarkozy sous BHL », le pamphlet que vous venez de publier, est une volée de bois vert contre le pouvoir de l'argent en politique. Pouvoir et argent ont toujours cohabité, sauf peut-être dans certains pays socialistes. Qu'apporte de nouveau la présidence Sarkozy dans ce domaine ?
Roland Dumas : Le pouvoir de l'argent a toujours existé. Au travers des siècles. Dans tous les régimes. Il est triste de voir une grande démocratie ou « prétendue telle » comme la République française, être en proie à un phénomène aujourd'hui décuplé.
Les révélations qui sortent chaque jour sont édifiantes à ce sujet mais la « France Afrique » n'est pas simplement un problème d'argent et de valises de billets. C'est aussi une méthode qui nous ramène des siècles en arrière et qui repose sur des actions militaires, en bref, sur le colonialisme : « Un régime vous déplaît, on le change, on en installe un autre ». Peut-on dire que c'est là le progrès ?
Jacques Vergès : Ce que la présidence Sarkozy apporte de nouveau dans les relations entre pouvoir et argent est l'hypertrophie du rôle de l'argent sale et de la corruption qui s'ensuit, faisant de la République française une République bananière. Ses relations avec les pays africains et arabes ne se font plus à travers des diplomates mais à travers des affairistes douteux.
Afrique Asie : Vous vous en prenez à « Lévy d'Arabie »... BHL. Est-ce la première fois, sous la République, qu'un intellectuel détient publiquement un tel pouvoir? Peut-on comparer son influence à celle de Jacques Attali sur François Mitterrand ou de Marie-France Garaud sur Georges Pompidou puis Jacques Chirac ?
Jacques Vergès : On ne peut comparer les rôles discrets de M. Attali auprès du président Mitterrand ou de Madame Garaud auprès de Georges Pompidou avec le rôle de M. Lévy auprès de Sarkozy qui est un rôle de décideur. Le président Sarkozy entérine les conciliabules de M. Lévy avec des émissaires libyens dans les hôtels parisiens.
Roland Dumas : C'est sans doute la première fois qu'un intellectuel aussi médiocre que M. Bernard-Henry Lévy joue un rôle aussi important dans la République. On ne peut le comparer ni à Jacques Attali qui était une institution dans la République ou à Marie-France Garaud qui disposait d'une relation personnelle avec Georges Pompidou. La situation insolite de M. BHL ne relève ni d'un cas ni d'un autre. Il n'est rien dans la République. Il s'impose. Il virevolte. Il joue les « mouches du coche ».
Afrique Asie : En Libye, le CNT occupe Tripoli. Qu'en est-il de la plainte que vous comptiez déposer accusant Nicolas Sarkozy de crime de guerre ?
Jacques Vergès : Cette plainte attend que M. Sarkozy ne soit plus à même d'empêcher cette plainte de suivre son cours.
Afrique Asie : Après la Libye, Sarkozy menace la Syrie et l'Iran. Où s'arrêtera-t-il ?
Jacques Vergès : M. Sarkozy est irresponsable, il est capable désormais de toutes les folies à moins que le peuple français ne lui passe une camisole de force auparavant.
Roland Dumas : C'est cela qui nous inquiète. Les menaces contre la Syrie sont précises. Elles sont sérieuses. Les menaces contre l'Iran existent. On a l'impression que tout est fait pour embraser le Proche-Orient. A quoi cela correspond-il ? On peut se le demander. Je ne peux séparer la situation actuelle de ce qui se passe à l'ONU au sujet des Palestiniens.
L'humanité se déshonore en laissant tomber le peuple palestinien qui est raisonnable, paisible et ne demande pour lui que ce que les israéliens ont obtenu pour eux-mêmes.
Afrique Asie : Après le renversement de Saddam Hussein, de Laurent Gbagbo et du colonel Kadhafi, ne sommes-nous pas en définitive en train d'assister à un retour accéléré du colonialisme ?
Roland Dumas : Tout à fait. Nous assistons à un retour, non seulement accéléré mais amplifié, démultiplié du colonialisme avec des moyens énormes. Saura-t-on un jour le coût des campagnes de l'Afghanistan et de la Libye ? Le peuple français a le droit de savoir. Au moment où tout le monde s'agite autour de la crise, n'est-il pas raisonnable de poser la question du coût de guerres inutiles et monstrueuses ?
Jacques Vergès : C'est évident que la politique de M. Sarkozy marque un retour du colonialisme à un moment où la France et l'Occident en général n'en ont plus les moyens. Il peut renverser les gouvernements mais ne peut assurer l'ordre ensuite.
Afrique Asie : Pensez-vous que l'Algérie soit sur la liste des « pays à casser » ?
Roland Dumas : Pourquoi pas. Le contentieux entre la France et l'Algérie est durable. Quand vous imaginez que les Français n'ont pas encore souscrit à la proposition de négociations avec l'Algérie sur un contrat d'amitié, parce que trop de blessures sont encore saignantes... Tout est à craindre pour l'Algérie, mais ce sera pour M. Sarkozy un autre « morceau »...
Notes
* Lire « Bonnes feuilles » dans Afrique Asie d'octobre 2011
** « Sarkozy sous BHL », par Roland Dumas et Jacques Vergès (Ed. Pierre-Guillaume de Roux) - 126 pages - 13,90 euros
Source Afrique Asie via Vox NR cliquez ici et NDP Ile-de-France cliquez là
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vendredi, 07 octobre 2011
Marie-Neige Sardin, victime de 26 agressions : “Je ne me soumettrai pas"
Source Valeurs actuelles cliquez ici
Libraire en Seine-Saint-Denis, Marie-Neige Sardin a été agressée vingt-six fois en sept ans. Elle résiste, tout en déplorant les renoncements de la justice.
Pas question pour Marie-Neige Sardin, 54 ans, de quitter sa petite librairie du Bourget. Malgré les violences et les intimidations, malgré le départ des commerçants qu’elle côtoyait auparavant, cette femme énergique ne veut rien céder à ses agresseurs. « Énormément de personnes vivent en France ce que je vis dans ma banlieue », écrit-elle dans le livre qu’elle vient de publier. Elle y dénonce notamment les faiblesses d’une justice trop accommodante avec les délinquants. Un témoignage choc.
Pourquoi avez-vous écrit ce livre ? Pour témoigner. De ce que j’ai subi et de ce qu’ont vécu et vivent encore d’autres victimes, qui n’ont pas les moyens de le faire savoir.
Qu’avez-vous subi ? Vingt-six agressions en sept ans, certaines d’une violence extrême. J’ai été violée. Ne me demandez pas de le raconter.
Quand était-ce ? Le 22 juin 2004. J’avais porté plainte pour une première agression, en janvier de la même année. Deux hommes armés d’un pistolet et d’une bonbonne de gaz lacrymogène m’avaient dérobé la caisse et les jeux de grattage. J’avais alors reçu un coup de crosse, qui m’a ouvert le cuir chevelu. J’étais couverte de sang… Le viol a eu lieu quelques jours avant une confrontation prévue dans le cadre de cette affaire. Ils étaient quatre. Ils m’ont dit : « Retire ta plainte, sinon on fera la même chose à ta fille. »
Avez-vous reconnu certains de vos agresseurs ? Oui, le chef de cette bande, sur le fichier de la police. Je le désigne dans mon livre par une initiale, G. Il est connu des services de police pour agressions, vols, dégradations… J’ai aussi identifié l’un des violeurs. Mais cela n’a servi à rien.
Que s’est-il passé ? Dans l’affaire du braquage, la juge pour enfants a conclu à un non-lieu. Sa mère et sa sœur ont affirmé que G. dormait chez lui au moment des faits. C’était parole contre parole. La sienne a pesé plus lourd que la mienne.
Il y avait pourtant des témoins… Oui, un père de famille, accompagné de ses deux enfants. Il a finalement renoncé à témoigner, les deux braqueurs l’avaient menacé de s’en prendre à ses enfants… Deux ans plus tard, la sœur de G. est venue chercher un colis à la boutique. Je lui ai demandé pourquoi elle avait affirmé que son frère dormait lors du braquage. « Je le couvre », m’a-t-elle dit. Il y avait à ce moment-là un prêtre dans la boutique. Il a témoigné de ce qu’il avait entendu, mais la procédure n’a pas été relancée.
Et dans l’affaire du viol ? Là encore, le suspect a dit qu’il était étranger à cette affaire : il aurait dormi chez son frère. Les empreintes relevées par la police juste après le viol n’ont pas permis de le confondre. La juge a donc rendu un non-lieu, motivé par le manque de preuves. Ce qui n’a pas empêché la bande en question de se vanter dans tout le quartier de m’avoir violée. Un gardien d’immeuble est même allé le raconter à la police, mais sa déposition est restée sans suite.
Vous avez quand même été indemnisée… Oui, par la Commission d’indemnisation des victimes d’infractions (Civi). C’est une reconnaissance du viol que j’ai subi, mais c’est l’État qui m’a indemnisée, à la place des coupables… La société a reconnu que j’avais été victime d’agressions, mais elle a renoncé à poursuivre les auteurs de ces agressions.
En revanche, vous avez été condamnée, en juin, à 500 euros d’amende pour “injure envers un particulier en fonction de sa race, de sa religion ou de son origine”. Que s’est-il passé ? J’ai fait appel de cette décision. L’affaire remonte à 2008, je la raconte en détail dans mon livre. Une jeune femme est venue s’installer dans l’appartement qui fait face au mien. Elle a pendu la crémaillère pendant trois jours, ou plutôt trois nuits. La troisième nuit, je suis allée lui demander d’arrêter de « faire la bamboula ». Nos relations se sont envenimées… Deux ans plus tard, elle est allée dire que j’avais osé la traiter de “bamboula”, ce que je conteste, évidemment. J’ai mon franc-parler, mais je n’ai jamais insulté quelqu’un en raison de sa couleur de peau ou de sa religion. Je suis née avec la diversité, j’ai grandi avec la diversité, je travaille avec la diversité. Je ne suis pas raciste. Je n’accepte pas d’être condamnée sur une calomnie, alors que la justice a toujours ignoré ma parole quand j’ai été agressée. C’est cette inversion des valeurs que je combats. Je veux qu’un criminel soit jugé comme un criminel, et qu’on ne lui cherche pas de fausses excuses. Moi, on m’a fait comprendre qu’il fallait leur laisser leur chance… Plus on leur trouve des excuses, plus ils sombrent dans la violence. Et cette violence se retourne souvent contre eux. Je l’ai déjà dit : ces jeunes, je les ai vus grandir, je ne suis pas sûre de les voir vieillir.
Pourquoi restez-vous ici ? Mon père était gendarme, ma mère a travaillé dans la police. Ils m’ont inculqué certains principes. Je ne ferai pas allégeance aux bandes qui veulent imposer leurs lois. Je ne me soumettrai pas. J’aurais l’impression de déserter si je partais. Je sais bien que certains n’attendent que ça. Les autres commerçants sont partis, ils ont été remplacés. Ma boutique est bien placée, on la voit du RER. Des hommes, que je ne connais pas, passent me voir presque tous les mois pour me la racheter. Curieusement, leurs visites surviennent souvent après une nouvelle agression… J’ai acheté cette petite librairie en 1978, avec mon père. Que deviendrait-elle si je la vendais ? Un fast-food ? Un taxiphone ? Et puis, je ne me bats pas seulement pour moi…
Pour qui d’autre ? Pour ces gamins qui viennent m’acheter des livres, à qui j’en prête parfois. L’un d’eux, à qui j’avais prêté l’Étranger, a mis deux mois à le lire. Maintenant, il lit Balzac ! Et puis il y a ces jeunes filles qui viennent me voir parce qu’elles savent ce que j’ai vécu… En sept ans, je dirais qu’une dizaine sont venues me dire ce qu’elles avaient subi, elles aussi. Elles, elles n’osent pas aller porter plainte : culturellement, c’est très difficile d’en parler à leurs parents. Je suis un peu leur soupape. Je leur donne le téléphone d’une association qui m’a beaucoup aidée, le Collectif féministe contre le viol. Moi, je ne m’en suis jamais vraiment remise. Je ne supporte plus que l’on me touche. Aller chez le médecin est une épreuve. Mais j’ai la chance d’avoir été maman avant. Alors, imaginez le traumatisme que c’est pour une gamine de 15 ou 16 ans !
Qu’attendez-vous des hommes politiques ? Plus grand-chose… J’attends de la justice et de la police qu’elles protègent les gens honnêtes.
Propos recueillis par Fabrice Madouas et Augustin Jalon
Celle qui dit non, de Marie-Neige Sardin, L’Œuvre Éditions, 160 pages, 19 €.
Commander ce livre cliquez ici
Le blog de Marie-Neige Sardin cliquez là
19:54 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sortie du n°6 du Livr'arbitres...
Rappel : A l'occasion de la sortie de ce nouveau numéro, la revue organise une soirée littéraire et amicale le mercredi 12 octobre à partir de 20 heures au bar le 15 vins, 1, rue Dante, 75005 Paris (cliquez ici).
Avec la participation (et les possibles dédicaces) de: Francis Bergeron, François Bousquet, Patrick Gofman, Michel Mourlet, Emmanuel Ratier, Joseph Vebret, Miège, Innocent....
19:22 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Magazine National des Seniors, n°14. Au sommaire :
Le quatorzième numéro du Magazine National des Seniors s'articule autour de deux dossiers principaux : l'enjeu civilisationnel que constitue pour l'Europe et la Russie la menace de submersion asiatique (chinoise) en Sibérie, l'entretien accordé par Carl Lang, candidat de l'Union de la Droite Nationale à la prochaine présidentielle.
On y savourera aussi l'éditorial au vitriol de Franck Le Dun sur le FN marino-ripoublicain, les polémiques sur la guerre en Libye et en Afghanistan, les réflexions sur l'islamisation de la France et la mondialisation, les études sur la faillite des collectivités locale et l'aide aux entreprises, les rubriques santé, patrimoine, humour et humeur.
On se délectera particulièrement de la lecture de l'article de Jean Raspail sur la vogue du "tutoiement" et de celle de la lettre d'adieu du commandant Honoré d'Estienne d'Orves.
Le Magazine National des Seniors : sur abonnement - 25€ pour 5 numéros - règlement à l'ordre des Editions d' Héligoland (national des seniors) : à adresser BP 2 27290 Pont-Authou (Normandie).
09:21 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les étudiants bordelais du Renouveau français relèvent l'honneur de leur ville...
Hier soir (mercredi soir - NDLR) avait lieu à la faculté de Bordeaux III la remise des insignes docteur Honoris Causa à la très polémique philosophe américaine, Judith Butler.
Cette distinction délivrée par Patrice Brun, président de la faculté, est une preuve de plus de la complaisance de l’université française pour la théorie du Genre.
Féministe homosexuelle, celle-ci a élaboré une théorie sur le genre à partir des années 70 et son livre « Trouble dans le genre. Pour un féminisme de la subversion » (publié en France en 2005).
La diffusion de cette idéologie subversive au sein des lycées et des universités fait l’objet d’une réaction sans précédent de la part des parents d’élèves et de près de 200 parlementaires (les personnes ne seraient plus définies comme hommes et femmes, mais comme pratiquants de certaines formes de sexualités : homosexuels, hétérosexuels, bisexuels, transsexuel !).
Hier, une dizaine d’étudiants bordelais ont donc tenu à manifester leur désapprobation en lançant des slogans hostiles à Judith Butler et en agitant des pancartes.
Source Info Bordeaux cliquez ici
09:11 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 06 octobre 2011
Vendredi : n'oubiez pas d'acheter Rivarol...
Vous pourrez ainsi lire un grand entretien avec le Président Olivier Grimaldi du Cercle Franco-hispanique.
Chez votre marchand de journaux : 3,50 €
Olivier Grimaldi et le Cercle Franco-hispanique seront présents la vendredi 11 novembre, de 11 h à 18 h, à la 5ème journée nationale et identitaire organisée par Synthèse nationale au Forum de Grenelle (5, rue de la Croix Nivert 75015 Paris - métro Cambronne).
23:06 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vient de sortir : « Une révolution sous nos yeux – Comment l’islam va transformer la France et l’Europe », de Christopher Caldwell...
L'Europe peut-elle rester la même si sa population change ? Selon Christopher Caldwell, la réponse est non.
Une Révolution sous nos yeux constitue la première analyse sans concession des bouleversements colossaux induits par les vagues d'immigration à dominante musulmane que connaît l'Europe de l'Ouest et la France en particulier, depuis un demi-siècle. Observateur scrupuleux de l'Islam et de l'Europe depuis plus de dix ans, Caldwell montre que les élites européennes ont sous-estimé voire totalement éludé les effets sociaux, spirituels et politiques de l'immigration musulmane, qui sont considérables et durables, au profit des effets économiques, qui sont faibles et transitoires.
Alors que des populations d'origine étrangère de plus en plus sûres d'elles-mêmes défient les fondements de la culture européenne, les commentateurs réagissent soit par la peur et la fureur soit par des platitudes évasives. Une Révolution sous nos yeux évite ces deux travers. Par la force d'une documentation méticuleuse et l'honnêteté de son propos, ce livre expose clairement de quelle façon l'immigration musulmane est en passe de remodeler définitivement l'Occident.
« Un livre magnifiquement documenté, aux arguments solides et moralement sérieux. Toujours alarmant, jamais alarmiste. » Dwight Gardner – New York Times
« Personne ne peut sérieusement mettre en doute après la lecture de ce livre que l'immigration à grande échelle, en particulier musulmane, est en train de transformer profondément l'Europe » Niall Ferguson – Professeur à Oxford et Stanford.
Constatant qu’un demi-siècle d’immigration de masse a échoué à produire un melting-pot en l'Europe, Christopher Calwell propose une analyse provocante et sans faille de cette révolution démographique, en grande partie inattendue, qui se déroule sous nos yeux.
L'auteur : Christopher Caldwell est éditorialiste au Financial Times.
Une Révolution sous nos yeux de Christopher Cadwell, préface de Michèle Tribalat, Editions Du Toucan, 600 pages, 21,85 €
Source Le Gaulois cliquez ici
22:53 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les députés de l’UE se gavent toujours plus...
Source Contre Info.com cliquez ici
Les députés européens ont ignoré les appels à l’austérité imposée par la crise et se sont alloués, il y a quelques semaines, une augmentation de 1 500 euros par mois de leurs budgets de frais d’assistants. Les députés européens ont une rémunération mensuelle de 7.956,87 euros avant impôts et bénéficient d’une enveloppe mensuelle de 19.709 euros pour rémunérer leurs assistants. C’est cette enveloppe qu’ils viennent d’augmenter à 21.209 euros. Avec ce vote, les dépenses du Parlement européen augmenteront de 13,2 millions par an.
17:43 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Evry (Essonne) : Y FO FONCTIONNAI'E !
Source cliquez ici
14:15 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ce soir, jeudi 6 octobre, à 19 h 30, au Local :
10:22 Publié dans Pour l'union de la Droite nationale, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Danemark renonce aux contrôles aux frontières...
Source Lionel Baland cliquez ici
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Revue de presse : À la Maison flamande, Troisième voie réclame sa « liberté d'expression »
Arnaud Dufresne
Source La Voix du Nord cliquez ici
La conférence de presse sur la manifestation du 8 octobre à Lille, par la Maison flamande, les Nationalistes autonomes, le Front comtois et Troisième voie fut l'occasion pour cette dernière de présenter son programme. Son représentant, Serge Ayoub, s'est dit proche de Roger Salengro et loin de l'extrême droite.
Les manifestants n'ont pas encore marché dans les rues de Lille, mais leur mouvement est déjà un succès. Présentée comme « réunissant la frange la plus radicale de groupes d'extrême droite », la future manifestation « qui fait peur » du Front populaire solidariste a pour l'instant permis à l'organisateur Opstaan et aux mouvements associés de s'offrir une belle tribune. Ainsi, hier à Lambersart, Claude Hermant ouvrait la Maison flamande aux journalistes : « Nos manifestations se sont toujours bien passées, souligne-t-il. S'il y a des troubles, ce sera dû uniquement à la contre-manifestation (de gauche). » Mais c'est surtout Serge Ayoub, de Troisième voie, qui s'est exprimé, très à l'aise et incisif. « On parle de fascisme, d'extrême droite, mais le mot d'ordre de samedi est la défense de nos emplois, lance-t-il. C'est délirant ! Il est hors de question d'agresser un policier, de dégrader une voiture ou d'ennuyer qui que ce soit. Nous n'avons rien à voir avec le Bloc identitaire, nous appelons à une révolution nationale contre le capitalisme mondial. Cette manifestation sera l'acte de naissance du solidarisme en un front populaire ! »
Un mouvement « d'ouvriers »
Se disant « ni de gauche ni de droite », Serge Ayoub décrit la jeune Troisième voie solidariste comme « une mouvance représentée par des ouvriers en guerre contre l'oligarchie financière mondiale qui nous tyrannise ». Refus du pouvoir en place, avec « toutes les magouilles, les crimes de ceux qui nous gouvernent » critique des syndicats « qui ne font que de l'encadrement » opposition « à tous les communautarismes, et à un certain islam noyauté par l'Arabie saoudite, manipulée par les États-Unis. Mais, en privé, chacun a le droit de croire en(la religion) qu'il veut » distances par rapport au Front national jugé « mou, comme sur les banques. Il faut toutes les nationaliser, comme les entreprises de transport, énergie, eau, etc. On ne doit pas spéculer sur ce qui appartient à tous » et un appel à « une démocratie la plus directe possibleet référendaire », contre l'idée d'une « France fondue dans le mondialisme ».
Un véritable petit programme politique que ce front populaire compte mettre en avant « à Lille, sur la terre de Roger Salengro : nous sommes très proches de ses idées pour la défense des travailleurs ». La seule crainte est d'être muselés : « On subit une stigmatisation, c'est une jeunesse qu'on empêche de s'exprimer. » Claude Hermant l'a rappelé par lettre à Martine Aubry et à la Ligue des droits de l'homme, en exigeant « le respect du droit fondamental d'expression ». •
UNE MANIFESTATION ENCORE « MYSTÈRE »
Claude Hermant, de la Maison flamande, ne dévoile rien de la manifestation prévue samedi à Lille. Pour éviter « de mettre de l'huile sur le feu » et « une contre-manifestation », les organisateurs ne déposeront qu'au-jourd'hui en dernière minute la déclaration en préfecture.
Mot d'ordre prévu : « Défendons nos emplois, notre avenir, et notre pays », selon Serge Ayoub, de Troisième voie, qui estime « impossible » que cette manifestation soit interdite (les organisateurs iraient alors en justice). Il attend : « Entre 500 et 900 participants, peut-être », avec des bus venant de France et de Belgique (le mouvement Nation Belgique). Hier soir, la préfecture indiquait qu'il n'y avait « rien de neuf » concernant ce rendez-vous.
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mercredi, 05 octobre 2011
La solution à nos problèmes : la finance islamique...
EDIFIANT !
Source NDP Hérault cliquez ici
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Crise financière ou sanction des dérives parlementaires...
Par Pierre Descaves
France résistance cliquez ici
Nous y voilà, nous y sommes, nous allons devoir payer pour nos choix politiques en faveur des irresponsables de droite, comme de gauche, membres de l’oligarchie UMPS.
Depuis 1945, à la chute de l’Etat français, qui avait tenté de remettre en vigueur la morale en politique, la rigueur en matière de gestion financière, nous avons sous l’emprise de la classe médiatique, élu des irresponsables, les plus incompétents, les plus corrompus, des candidats aux élections nationales.
Depuis 1945, il n’y a pas eu d’année sans que l’on voit des scandales éclater, sans que des corrompus soient embastillés, et ce , malgré, de scandaleuses protections dont ils ont pu bénéficier.
Alors que les scandales atteignent, de nos jours, les plus hautes autorités, n’est-il pas venu, pour nous, le temps de nous révolter contre un système destructeur des structures morales et sociales de notre vie en société.
Dois-je vous rappeler la gabegie financière organisée et défendue, becs et ongles, par une classe politique complètement déboussolée.
Devons nous insister sur la destruction menée de façon systématique contre notre peuple, en raison de sa race blanche, de sa religion chrétienne, de sa civilisation helléno-romaine.
Disparition de notre peuple par l’élimination des enfants à naître, pour une politique familiale ouverte au monde entier dont nous sommes les derniers à profiter, par cette euthanasie des plus âgés dont la programmation arrive à grands pas.
En revanche l’ouverture de nos frontières à tous les pauvres, tous les miséreux, tous les aigris du monde entier appel és à venir s’approprier des aides, des avantages, des profits, des emplois dont nos citoyens sont dépouillés.
Sur le plan économique, dois-je vous rappeler que l’ouverture des frontières, l’abandon des barrières douanières ont conduit à la disparition de pans entiers de notre industrie de main d’œuvre d’où est résulté un chômage démentiel, porteur de misères, de drames, de détresse dans nos foyers.
Enfin, sur le plan de la gestion financière des Comptes de la Nation, comment ne pas prendre acte de l’incapacité totale de nos élus à assurer une saine gestion des fonds publics résultant de prélèvements, de plus en plus, élevés sur le fruit de notre travail, sur notre bien résultant de nos économies.
Prendre aux travailleurs, ceux qui produisent les richesses, 56% du fruit de leurs efforts est une véritable spoliation.
L’Etat qui ne devait, en République, que se borner à assurer les fonctions régaliennes, précédemment dévolues au Roi, est devenue une sorte de monstre administratif se mêlant de tout, d’industrie, de commerce, de finances en devenant banquier, assureur, prêteur, emprunteur.
Il veut même orienter les décisions patronales par des incitations financières dont chacun sait quel seront sans résultat. Inciter à l’embauche par des subventions n’aura aucun effet dans le secteur de la production de richesses sur le seul critère que retient le chef d’entreprise est le volume de ses commandes.
En revanche les embauches dans le secteur non commercial ne feront qu’aggraver la situation en alourdissant les charges du secteur productif.
Alors mes amis, de la résistance à la disparition de notre peuple, de notre nation, de notre civilisation, le moment est venu de ne plus croire aux boni-menteurs de la grande presse, aux promesses électorales jamais tenues, nos votes doivent servir à éliminer les mauvais bergers, ces candidats de l’U.M.P.S. qui nous ont toujours menti, trompé.
Votez pour qui vous voulez sauf pour des candidats qui vous sont présentés comme les seuls à pouvoir redresser le pays, car nous savons, nous, qu’ils continueront l’enfoncer. Jugez les candidats sur leurs actes, pas sur leurs promesses. Ils nous ont coûté assez cher. La « toile » est pleine des cris de haine à l’encontre de notre peuple par ceux qui veulent nous remplacer, nous éliminer, après avoir fait de nous les esclaves d’une religion restée bloquée au VIIe siècle de notre ère.
Les femmes doivent disparaître sous des linceuls ambulants, elles doivent être cloîtrées, avoir leurs droits de vivre pratiquement supprimés.
Les homosexuels, ceux qui changent de religion, ceux qui trompent leur conjoint, doivent être exécutés, les uns par lapidation, les autres en étant égorgés comme des moutons le jour de la fin de Ramadan.
Alors mes amis, citoyens de cette France que nos ancêtres nous ont léguée, qui est aujourd’hui gravement menacée, rejoignez les rangs de la résistance, unissez vous rapidement, car le moment est proche où cela ne sera plus possible de le faire.
Et dans toutes les élections à venir, virez les incapables, virez les corrompus, virez les incompétents qui ont conduit notre pays au désastre
17:02 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 02 octobre 2011
Un grand entretien avec Gabriele Adinolfi réalisé à la Casa Pound à Rome...
Entretien réalisé par Les Non alignés cliquez ici
Gabriele Adinolfi et la Casa Pound seront présents à Paris le vendredi 11 novembre prochain à la 5ème journée nationale et identitaire organisée par Synthèse nationale au Forum de Grenelle (5, rue de la Croix Nivert 75015 Paris - métro Cambronne). Cliquez ici
16:33 Publié dans Rencontre avec..., TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Envisager la décroissance ?
Source Vox populi Tours cliquez ici
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Peut-on parler librement des juifs en France ? Entretien entre Jean-Yves Le Gallou et Henri de Lesquen sur Radio Courtoisie
Première partie
Seconde partie
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Sortie le 14 octobre du nouveau numéro de la revue Eléments...
Eléments : cliquez ici
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samedi, 01 octobre 2011
La NDP Ile de France s'associe à la manifestation solidariste organisée à Lille le samedi 8 octobre...
Un communiqué de la NDP francilienne :
Phillip Graf, délégué de la Nouvelle Droite Populaire en Ile-de France, sera présent pour manifester la volonté de la NDP de combattre aux côtés de toutes les forces nationalistes et identitaires en vue de renverser l'oligarchie libéralo-socialiste qui ruine notre peuple en détruisant les emplois et qui poursuit le but mortifère mondialiste, sur base de métissage généralisé, d'élimination physique des peuples européens !
C'est par la révolte pour la pérennité de l'"âme" et du "sang" de nos peuples que nous défendrons à coup sûr nos emplois, notre pays, son avenir et celui de la Grande Europe régénérée !
Pour celles et ceux qui souhaitent s'associer au nom de la NDP Ile de France, à cette "guerre solidaire" contre le "Systême à tuer les peuples", une navette est prévue pour se rendre à Lille à partir du "Local" ; RDV à 12 h le 8 octobre ; participation aux frais aller-retour : 22€.
Pour plus d'informations et pour vous inscrire : contactez-nous à l'adresse courriel de ce site : ndpiledefrance@hotmail.fr
NDP Ile de France cliquez ici
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Dernière minute : BUDAHAZY LIBERE !
La nouvelle est tombée ce matin : György Budaházy, militant nationaliste hongrois en prison depuis 2007, a été libéré hier, vendredi, à 20 h 38, accompagné de sa femme et de ses 3 enfants. Endre Szász a quitté la prison à 22 h 01. György Budaházy remercie tous ses camarades. Le parquet a fait appel de la décision. Le procès se poursuit.
Une campagne à travers toute l'Europe s'est développée pour soutenir ce patriote incarcéré pour avoir défendu l'honneur de son pays. A Strasbourg par exemple, au nom de la solidarité européenne, les militants de la NDP avaient multiplié les actions dans ce sens (cliquez ici).
Vous retrouverez sur le site de notre ami Lionel Baland (cliquez là) toutes les informations sur cet événement.
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Le crédit d’impôt-recherche : dans la république des coquins, du grisbi pour les copains !
Synthèse nationale cliquez ici
Pour ceux de nos amis qui ne seraient pas férus d’économie mais auxquels il n’aura pas échappé que l’hyper-classe au pouvoir, de Sarko à Aubry pour faire simple, se gargarise toujours à qui mieux-mieux de ses efforts admirables et constants en faveur de la recherche en France, une petite explication de texte s’impose.
Voici donc, bien clairement exposé par David Warlet – administrateur du GIE Idée et spécialiste de ces questions –, le mécanisme de ce fameux et mystérieux « crédit d’impôt-recherche » qui semble toujours passer entre les gouttes des contractions budgétaires diverses et variées. Instructif.
On y apprend que loin de financer des inventeurs particuliers, des pme, des écoles performantes, comme l’impétrant moyen pourrait le penser au vu des intentions du législateur, les milliards dévolus à celui-ci ne servent en pratique qu’à alimenter les caisses déjà bien garnies des multinationales et des grandes banques.
Et gare à notre Tournesol franchouillard perdu dans les méandres administratifs qui tenterait un geste vers le pactole. Les agents du fisc veillent et la matraque s’abat alors sans retenue sur le trublion : touche pas au grisbi !
Mais que l’on se rassure : nos traders apatrides pourront continuer d’ « inventer » leurs outils financiers toxiques, pour eux la « recherche » sera toujours remboursée. Et au prix fort !
Quant aux grands patrons du premier cercle, des inventeurs bien connus comme chacun sait – voyez, ceux qui sont décorés tous les trois mois sous les ors de nos palais –, eux n’ont pas à s’en faire : leurs services « Recherche & Développement » sont des pompes aspirantes à fonds publics.
Aidons la recherche ! La crise ne sera pas perdue pour tout le monde…
Lien : cliquez ici
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vendredi, 30 septembre 2011
Revue de presse : Un grand entretien avec Serge Ayoub sur Préférence nationale...
Son image de chef des skins parisiens lui colle à la peau, même 20 ans plus tard. « Batskin » est aussi connu que Serge Ayoub, surnom souvent accolé à son état civil, comme s’il en était devenu une composante à part entière. S’il a mué son engagement physique en combat politique, et estime réducteur de se voir renvoyer à son passé de chef de bande des années 1980, il en cultive savamment l’image et le mythe, en défilant à la tête de ses Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR). Serge Ayoub cherche pourtant à promouvoir autre chose. Avec Troisième voie, qu’il a ressuscité en 2010, il élabore un programme politique à tonalité gauchisante, à l’intérieur de la mouvance nationaliste. Il affirme la nécessité de formation de ses militants, organise de nombreuses conférences dans son bar, Le Local, et revendique pour son Front solidariste la seconde place parmi les formations politiques de sa tendance, en terme de militants, (loin) derrière le Front national (FN).
Vous appelez à manifester à Lille, le 8 octobre (cliquez ici). Pourquoi ce rassemblement ?
Nous manifestons pour la préservation de nos emplois. Nous pensons que ce n’est pas aux travailleurs français de supporter le poids de cette crise. On cherche aujourd’hui à les faire payer alors que c’est l’oligarchie financière et les politiques qui nous gouvernent qui devraient être mis à contribution. Cette manifestation a également pour but de défendre le poids de la nation qui garantit nos droits sociaux, que certains cherchent à réduire.
Le second objectif, c’est la constitution d’un front solidariste. Une notion que nous avions déjà mis en avant lors du défilé du 8 mai 2011, à Paris. Plusieurs mouvements européens (Nation, Sinistra nazionale, le MSR) s’interrogeant sur cette évolution du nationalisme qu’est le solidarisme, s’étaient alors joints à nous.
Vous semblez mettre en avant lors de ce rassemblement nationaliste des notions et une figure (Roger Salengro) ancrées à gauche. N’y a-t-il pas un décalage entre votre famille politique et vos revendications ?
Oui, le terme “Front populaire” ne nous déplaît pas, car le souvenir qu’il a laissé chez les travailleurs français est positif. On ne se définit ni à droite, ni à gauche. Nous revendiquons une filiation avec les révolutionnaires de 1793, avec Robespierre. Avec les sans-culottes, les communards, avec le Front populaire. Mais en quoi est-ce de gauche d’être sans-culotte ? Pensez-vous qu’Aubry, Hollande, Daniel Cohn-Bendit soient des héritiers des sans-culottes ou des communards ? La gauche et le PS ont trahi la révolution, les travailleurs et les français en général. Il n’y a plus une grande différence entre l’UMP et le PS à l’heure actuelle. Ils sont tous au service du mondialisme.
Quelle est votre conception du solidarisme ? Vous placez-vous dans la lignée des mouvements solidaristes qui ont couru à l’extrême droite à partir des années 1960-1970 ?
Non, cela n’a rien à voir. Nous avons repris ce terme car nous avons une vision solidaire de notre pays. Notre conception se résume en trois mots: liberté, égalité, fraternité. C’est à dire liberté de pensée, liberté d’entreprendre, mais pour être libre il faut pouvoir décider. Nous voulons donc la démocratie la plus directe possible, référendaire, de souveraineté populaire et aux mandats révocables. Être libre c’est être maître chez soi. Les Français et les travailleurs doivent donc se réapproprier la France et ses entreprises par la participation et la nationalisation des banques (qui nous ruinent) et que notre travail ne suffit plus à renflouer. Nationalisation aussi des secteurs stratégiques pour notre indépendance nationale. Égalité des droits et des devoirs mais aussi égalité entre le capital et le travail. C’est à dire réduire, rééquilibrer les rapports de forces entre grands patrons et travailleurs. C’est la codétermination en partie inspiré du modèle allemand. La fraternité c’est la solidarité entre individus d’une même nation, et entre les nations du monde, donc certainement pas la négation de la Nation. Nous sommes démocrates, de demos cratos (le pouvoir du peuple) mais nous considérons que ceux qui possèdent actuellement le pouvoir et se disent démocrates ne veulent pas le rendre, ça sera donc un combat. Nous comptons donc nos forces. Nous en avons deux: le nombre et le travail. Pour le nombre c’est la démocratie directe, pour le travail, nous demandons aux Français de réinvestir le combat syndical, et de combattre au quotidien pour arriver à cette phase révolutionnaire qu’est la grève générale. Pour y arriver, il faudra plus d’une décennie de lutte.
Si vous rejetez à la fois le capitalisme et le communisme, comment vous situez-vous sur le plan économique ?
Lire la suite de cet entretien sur Préférence nationale cliquez ici
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jeudi, 29 septembre 2011
La tournée de Carl Lang dans l'Oise...
Mercredi 28 septembre, Carl Lang, président du Parti de la France et candidat à l'élection présidentielle, était en campagne dans l'Oise dans le cadre de sa tournée des départements de France.
Après avoir rencontré deux maires du Beauvaisis, de manière confidentielle, dans le cadre de la recherche des parrainages nécessaires pour se présenter à l'élection présidentielle, Carl Lang et Thomas Joly, secrétaire général et délégué régional du PDF, ont tenu une conférence de presse à Beauvais où les grands axes de la campagne présidentielle ont été présentés.
Cette journée s'est conclue à Goincourt avec un dîner-débat dans l'établissement sympathisant Chez Romano où se sont retrouvés les militants du Parti de la France pour une soirée politique et conviviale. On soulignera la présence d'Annie Fouet, de Monique Chapel, de Francis Magnier, de Réjane Guidon et du local de l'étape, Johnny Le Brun, conseiller municipal de Goincourt.
Thomas Joly est d'abord intervenu pour revenir, entre autres, sur les récentes élections sénatoriales dans l'Oise auxquelles le Parti de la France participait avec ses alliés du MNR et de la NDP, puis il a fait un point rapide sur la situation politique locale, évoquant les clandestins installés sous le pont de Paris à Beauvais, leur scandaleuse irruption lors du dernier conseil municipal, la construction de la future mosquée, l'irresponsabilité de magistrats qui ont fait preuve d'un laxisme criminel au profit d'auteurs de graves agressions contre des policiers beauvaisiens.
Puis Carl Lang a pris la parole et a commencé par faire une analyse de la crise économique et financière qui frappe la France et l'Europe. Une situation désastreuse dont nos gouvernants sont les uniques responsables, endettant déraisonnablement leur pays pour financer leurs errements politiques et livrant le marché français et européen au libre-échange sauvage. Le président du Parti de la France a fustigé les démagogues qui trompent les Français en leur sortant des boniments simplistes et déconnectés de la réalité. Même si elle n'est pas agréable à entendre, il faut dire la vérité aux Français, dans tous les domaines ; et ne pas sombrer dans l'électoralisme et la démagogie au détriment de solutions crédibles et réalistes pour sortir du marasme économique et social généralisé.
Refusant l'étatisme, le républicanisme, le laïcisme et le système socialiste dans lequel notre pays est plongé depuis 30 ans (l'UMP poursuivant l'"oeuvre" mitterandienne), Carl Lang a réaffirmé la nécessité d'entreprendre une décolonisation migratoire, financière, économique et culturelle de notre nation dans un esprit de reconquête de nos droits à rester nous-mêmes, à refuser de se soumettre à la disparition de la France plurimillénaire et à retrouver une prospérité économique sans concurrence déloyale au nom du mondialisme.
Les convives sont repartis ravis et les bras chargés d'affiches et d'autocollants qui étaient à disposition.
Source Le blog de Thomas Joly cliquez ici
23:37 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Hommage à François-Georges Dreyfus : un homme courageux...
Par Robert Spieler
Délégué général de la NDP
Issu d’une famille juive, il est né le 13 septembre 1928 à Paris et vient de décéder le 24 septembre 2011. Il se convertit au protestantisme dans les années 1950. Historien, agrégé d’histoire et professeur d’histoire et de Sciences politiques à l’université de Strasbourg, il fut directeur de l’Institut politique (c’est là où je fis sa connaissance), du Centre d’études germaniques, de l’Institut des Hautes études germaniques, et enfin professeur émérite à la Sorbonne depuis 1990.
Auteur de nombreux ouvrages sur l’Allemagne contemporaine et sur la France du XXème siècle, il fut aussi un défenseur de l’orthodoxie luthérienne. Gaulliste depuis son adhésion au RPF en 1947, maurassien, il animait une émission sur Radio Courtoisie.
Il fut l’auteur d’ouvrages controversés : Une Histoire de Vichy où il souligne la réalité importante des forces de résistance à l’occupant dans l’entourage du maréchal Pétain ; une Histoire de la Résistance, parue en 1996, qui fut accusée par l’historien britannique Julian T. Jackson d’être une « apologie de Vichy ».
Sur le plan politique, il fut secrétaire départemental du Bas-Rhin de l’UNR gaulliste à partir de 1961, puis de l’UDR de 1965 à 1975 et devint adjoint au maire de Strasbourg, chargé des affaires culturelles. Il fut longtemps membre du Club de l’Horloge, alors proche de la Nouvelle Droite, et se rapprocha, ces dernières années du mouvement royaliste.
François-Georges Dreyfus était un homme courageux. Après les élections de 1997, il regretta publiquement « que l’on ait diabolisé l’extrême droite » et reprocha à Jacques Chirac son discours de juillet 1995, où il reconnaissait le rôle du régime de Vichy dans la rafle du Vélodrome d’hiver.
J’ai bien connu et beaucoup apprécié FGD. J’avais créé en 1981, en Alsace, après la victoire de la gauche, un club d’opposition, Forum d’Alsace qui allait devenir le club le plus important dans la région. François-Georges Dreyfus participa activement à l’organisation des multiples conférences et dîners-débats que nous organisâmes : Philippe Malaud, Alain Griotteray, Serge Dassault, le professeur Debray-Ritzen, Julien Freund, et beaucoup d’autres dont Raymond Barre, dont le comportement fut stupéfiant et odieux. Mais ceci est une histoire que je vous raconterai une autre fois. C’est grâce à FGD que je pus trouver ces multiples invités (une trentaine de personnalités nationales et régionales).
J’ai revu récemment, avec joie, François-Georges Dreyfus. Nous avions organisé, avec Serge Ayoub, une conférence passionnante, au Local, avec FGD, sur le thème « la révolution conservatrice ». François-Georges chez Serge Ayoub ! Cela qualifie sa liberté d’esprit et son mépris absolu du politiquement correct. Il avait d’ailleurs donné son accord pour une interview dans la revue Synthèse nationale sur le thème de la Révolution conservatrice.
Nous ne l’oublierons pas.
Pour voir, ou revoir, la conférence donnée au Local, le 10 décembre 2010, par François-Georges Dreyfus cliquez ici
16:15 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Flash, c'est fini...
La disparition d'un journal d'opinion, surtout lorsque l'opinion de ce journal le range dans ce qu'il est convenu d'appeler notre famille d'idées, est toujours une triste nouvelle. Avec celle de Flash cette nouvelle est encore plus douloureuse car dans la rédaction de celui-ci nous comptions beaucoup d'amis.
Bien sûr, nous ne partagions pas, loin s'en faut, toutes les analyses et les prises de positions, parfois audacieuses, de ce journal qui tranchait singulièrement, tant par sa formule que sur le fond, dans le paysage médiatique national. La personnalité de Nicolas Gauthier, son sympathique directeur, n'y étant certainement pas étrangère. Néanmoins, Flash avait son mot à dire et il ne se priva pas de le dire.
Régulièrement, nous vous tenions informé de chacune de ses livraisons. Nous publions ici la lettre que Nicolas Gauthier vient d'adresser aux abonnés de Flash.
Roland Hélie
Cher ami,
C’est avec tristesse que je dois vous annoncer que nous sommes obligés d’arrêter Flash.
Voilà près de trois années que notre petite équipe se battait envers et contre tout. Malgré l’absence de locaux et des frais réduits au strict minimum, nous ne pouvions plus lutter…
Faute d’être arrivés à l’équilibre financier, nous n’avons aujourd’hui plus d’autre choix que de jeter l’éponge.
Flash était le dernier né de la presse d’opinion, qui entendait marcher sur les pas d’autres journaux libres : de L’Idiot International de Jean-Edern Hallier à Défense de l’Occident de Maurice Bardèche et autres publications dissidentes.
Toute l’équipe se joint à moi pour vous remercier de nous avoir soutenu dans cette aventure :
Topoline, l’analyste impitoyable des arnaques culturelles ; Christian Bouchet, notre “Tintin reporter”, toujours en voyage pour nous raconter ce que les grands médias nous cachent en matière de politique étrangère ; nos chroniqueurs politiques Alain de Benoist, de Philippe Randa, d’Arnaud Guyot-Jeannin, de Pierre Le Vigan et de tant d’autres. Et j’allais oublier l’essentiel : les stagiaires que nous avons formés, pour qu’ils prennent un jour la relève.
Alors, l’aventure s’arrêterait-elle maintenant ?
Non, pas forcément, bien au contraire…
Car notre petite équipe demeure plus soudée et combative que jamais.
En sa formule actuelle, Flash n’est plus viable. Mais, cher lecteur, je vous demande ne de pas désespérer, car Flash est actuellement en train de renaître sous d’autres formes. Sur Internet, que ce soit par écrit ou en vidéo. Ou même encore sur papier…
Au nom de toute la rédaction, je vous dis donc à bientôt.
Amicalement
PS : Je ferai le maximum pour que nos lecteurs se trouvant dans le besoin puissent être remboursés, à leur demande, au prorata de leur abonnement.
FLASH 10 rue Primatice 75013 Paris cliquez ici
07:41 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LES SPASMES D'UN OCCIDENT MALADE
L'éditorial de Militant
Source cliquez ici
L'été 2011 a été secoué par les turbulences de la zone euro et des finances états-uniennes, le tout saupoudré des multiples conflits ouverts par la "communauté internationale" américano-mondialiste, comme en Libye.
Le fait majeur est qu'il est apparu clairement que les Etats-Unis étaient en situation d'insolvabilité potentielle. La "première puissance mondiale" se trouve dans une situation d'endettement telle que le système financier mondial ne peut qu'accélérer sa fuite vers l'abyme. Le compromis obtenu in extremis par Obama afin de relever le plafond de la dette ne sera qu'une feuille de papier sans lendemain.
L'endettement est le talon d'Achille du système mondialiste et il prend toute son ampleur lorsque l'on ajoute à l'endettement des Etats, celui des collectivités publiques, des entreprises et des ménages. Peu de pays sont épargnés, même pas la Chine ; et ceux qui le sont se retrouvent dépendants des autres, telle l'Allemagne au sein de la zone euro.
L'endettement est inhérent au capitalisme dominé par les banquiers et les financiers dont l'objectif n'est pas de servir le bien commun des peuples, mais d'accumuler le maximum de profits financiers, par tous les moyens possibles et imaginables, telles la surexploitation de la main d'œuvre, la corruption, la délocalisation, la spéculation etc. Dans ce contexte, le recours à l'emprunt permet seul de financer les besoins des populations, sous-rémunérées mais soumises à l'ardente obligation de consommer. Il en est de même pour les Etats, dont la situation est aggravée par le fait qu'ils étendent leur emprise au-delà de leur rôle régalien, alors qu'ils ne peuvent augmenter sans danger grave pour l'activité économique des impôts déjà très lourds qui appauvrissent les classes moyennes.
Les "plans d'austérité" imposés un peu partout dans le monde ont le culot de viser à faire payer par ces dernières les frasques d'un système criminel qui ne change en rien ses règles de fonctionnement. Ils sont voués à l'échec, comme on le voit avec la Grèce.
Néanmoins, l'affaire de la dette grecque est d'importance seconde. Elle s'inscrit dans le cadre de la crise du capitalisme mondialisé avec ses causes et conséquences identiques : endettement de l'Etat, aggravation des déficits publics, enrichissement accéléré d'une minorité constituant la super-classe mondiale hors-sol tandis que la grande masse des populations tend à s'appauvrir.
Pourtant, les gesticulations des "marchés" à propos de la Grèce ne sont pas anodines : elles visent à créer un climat de panique tel en Europe que les Etats-membres de l'U.E. finissent par reconnaître, comme "solution miracle" ce que les peuples rechignent à accepter : la création des Etats-Unis d'Europe, objectif affiché par les cercles mondialistes tel celui de la "Paneurope" créé par Coudenhove Kalergi dans les années 1920. La mutualisation de la dette grecque, puis de celle du Portugal, de l'Italie ou de l'Espagne est présentée comme le moyen de mettre fin à la crise, alors qu'elle ne fait que reporter, en l'aggravant, l'échéance de la ruine conjointe de l'euro et du système financier mondialiste. En témoignent les appels d'un Gerhard Schröder, ancien chancelier allemand, d'une Ursula von der Leyen, dirigeante de la CDU en Allemagne, en faveur des Etats-Unis d'Europe. Ne soyons pas dupes.
Le système né de la "Grande Guerre", qui a vu le pouvoir des financiers imposer sa puissance aux peuples approche de sa fin. Mais ses tenants feront tout pour le maintenir coûte que coûte ; à n'importe quel prix. L'aventurisme auquel nous assistons à travers le monde, depuis le Kosovo jusqu'à la Libye et à la Syrie, en attendant d'autres développements, pourquoi pas en Iran ou en Asie centrale, est le signe de la traditionnelle fuite en avant d'un système malade. Malade de ses propres contradictions, malade de réduire la société à la seule dimension matérialiste du veau d'or.
L'été 2011 a été marqué par les spasmes de cette maladie. En dépit des apparentes impasses actuelles, l'avenir est plus ouvert que jamais. Aux nationalistes de savoir faire en sorte qu'il soit celui des nations remises dans les rails de leur tradition et spiritualité millénaires.
07:14 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La tournée de Carl Lang dans le Sud-Est de la France
Vendredi 15 octobre Carl Lang sera reçu à Nîmes par Robert Ponge, délégué régional du Parti de la France et membre du Bureau politique. Une conférence de presse suivie d’un apéritif militant sont prévus. (informations supplémentaires et inscriptions au 06 61 57 58 33).
Lundi 17 octobre, ce sont les Alpes Maritimes qui recevront Carl Lang. Jean-Claude Frappa, délégué régional du Parti de la France l’accueillera à Nice avec des militants et sympathisants autour d’un apéritif convivial précédé d’une conférence de presse. (informations supplémentaires et inscriptions, Anne-Marie au 04 93 34 66 10).
Mardi 18 octobre, Carl Lang se rendra dans le Var, à Toulon, à l’invitation de la fédération. Une conférence de presse suivie d’un diner-débat sont prévus (contact et inscriptions : Françoise Guardia : 06 06 63 53 61 ou au 06 71 70 50 30 ; par courriel à pdfvar@orange.fr ou par courrier au PdF Var, BP 20 35- 83060, Toulon Les Routes cedex)
Mercredi 19 octobre, Carl Lang clôturera sa tournée par Les Bouches-du-Rhône. Michèle Carayon, déléguée régionale PACA et membre du Bureau politique du PdF recevra Carl Lang à Marseille pour un apéritif militant précédé d’une conférence de presse (renseignements et inscriptions : 06 27 19 93 04)
07:05 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Patrick Gofman dédicacera ses livres à Paris le 12 octobre...
Patrick Gofman dédicacera “Vengeances de Femmes” 2, et d'autres titres, avec la revue “Livr’ Arbitres”, le mercredi 12 octobre 2011 (et non le 6 comme initialement annoncé), à 20 h au “15 Vins” - 1, rue Dante - Paris 5e - M° Cluny-La Sorbonne.
Source L'écho parisien cliquez ici
05:47 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Une messe en mémoire de Serge de Beketch samedi prochain à Paris...
La messe commémorative du décès de Serge de Beketch sera célébrée par le père Argouarc'h samedi 1er octobre à 11 h 00 à St-Eugène (4, rue du Conservatoire), Paris IXe - Métros Cadet et Grands Boulevards.
04:09 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |