vendredi, 28 septembre 2012
Télé : une nouvelle série s’en prend à l’Eglise catholique
Décidément, ils ne s’arrêtent plus ! Après le téléfilm « Inquisitio », produit par France 2 et historiquement mensonger, puis « Borgia » , Canal + récidive avec « Ainsi soient-ils ». La diffusion de cet étron de 8 x 52 minutes commence le 11 octobre prochain. Yahoo news présente ainsi cette série : « Elle met en scène cinq futurs prêtres partagés entre leurs idéaux de jeunesse et la rigueur de leur engagement, et confrontés aux réalités d’un monde extérieur plus complexe qu’il n’est écrit dans la Bible. »
Concrètement, la série va insister sur les « tentations auxquelles sont confrontées les 5 jeunes séminaristes de la série : l’argent, la violence et le sexe. » Quelle programme ! Quatre affiches sont sorties pour annoncer ce navet, et illustrent parfaitement l’esprit de la production : cliquez ici
Une fois de plus le modèle de vie vertueux proposé par l’Église catholique va être souillé. Les intransigeants relèvent les noms des dégénérés mêles à cet immondice, l’origine des protagonistes surprendra que les plus naïfs :
Créateurs : David Elkaïm, Bruno Nahon
Scénario : David Elkaïm, Vincent Poymiro
Avec : Samuel Jouy, Julien Bouanich …
Production : Zadig Productions, Arte France
Président du Comité consultatif des programmes d’ARTE : Françoise Benhamou
Président du Conseil de surveillance d’ARTE : Bernard Henri Lévy
Producteurs associés de ZADIG Productions : Bruno Nahon, Paul Rozenberg, Caroline Nataf, Florian Lobstein …
Source Contre Info.com cliquez là
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Revue de presse : Energies vertes, le côté obscur de l’éolien
Louis Marin
Economie matin cliquez ici
Dans l’Orne, 10 éoliennes sur 11 récemment construites appartiennent… à des élus locaux. Delphine Batho, Ministre de l’Ecologie, reste muette.
Les promoteurs éoliens se présentent très souvent non comme des businessmen, mais comme des ONG salvatrices de l’humanité victime du réchauffement climatique.
Ces industriels oublient bien souvent de préciser que compte tenu de l’intermittence du vent, l’énergie éolienne doit être compensée par une électricité thermique au charbon, au gaz ou au pétrole génératrice d’émissions énormes de gaz à effet de serre et que la biodiversité est totalement perturbée par les tonnes de béton utilisées, les effets stroboscopiques des pâles et les infrasons.
Mais le plus grave c’est que derrière cette figure sympathique d’écologie se cache une face obscure que la récente conférence environnementale a largement occultée. En effet, la filière éolienne se trouve actuellement confrontée dans le plus grand silence à une tempête juridique pénale qui pourrait tous simplement balayer définitivement l’éolien terrestre en France.
En effet, les associations de défense de l’environnement désormais habituées à décortiquer les dossiers de montages des promoteurs ont découvert qu’une grande partie des éoliennes terrestres installées en France était située sur les terres des maires, des conseillers municipaux ou des membres de leur famille.
Le plus grave c’est qu’une majeure partie de ces élus ont participé sciemment à l’élaboration des projets et aux délibérations d’installation des aérogénérateurs. Or ce délit de prise illégale d’intérêt est passible de 5 ans de prison et 750.000 euros d’amende (article 432-12 du code pénal). Actuellement de très nombreuses plaintes sont déposées auprès des procureurs de la République qui ouvrent des enquêtes préliminaires dans la France entière dont la Basse Normandie région particulièrement révélatrice de cette organisation.
Le Service Centrale de Prévention de la Corruption et la Direction des affaires criminelles du Ministère de la Justice sont désormais saisis de l’affaire qui est prise très au sérieux. Car outre des faits de prises illégales d’intérêt les enquêteurs pourraient découvrir des faits de corruption et de trafic d’influence comme c’est actuellement le cas pour un parc éolien en Haute Loire où la maire et deux conseillers municipaux sont mis en examen pour ces chefs d’accusation.
A cet égard Noel Pons consultant spécialiste de la corruption a publié une note pour le centre de criminologie de l’Université de Paris II sur le développement croissant de la criminalité verte. Un collectif d’association Bas Normand a récemment saisi le Président de la République de cette question ainsi que de l’opacité des circuits financiers qui a répondu dans un courrier qu’il demandait à la Ministre de l’Ecologie de faire diligence sur toutes ces questions.
Mais jusqu’à présent cette dernière est restée particulièrement muette et le Préfet de Région de Basse Normandie conforté par ses services a tout récemment attribué un permis de construire dans l’Orne où 10 éoliennes sur 11 appartiennent à des élus ou leur famille alors qu’une enquête préliminaire avait été ouverte préalablement sur le sujet.
Alors qu’en Italie la justice vient de saisir un parc éolien appartenant à la mafia calabraise, le pouvoir exécutif français devrait se méfier de soutenir une filière qui à terme devrait faire l’objet d’un énorme scandale judiciaire et financier. Sauf à ce qu’une loi d’amnistie générale blanchisse tous les élus concernés mais François Hollande a promis pendant sa campagne une République propre et irréprochable. A suivre donc…
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RAPPEL : vendredi 28 septembre, réunion parisienne de l'OEuvre française
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jeudi, 27 septembre 2012
Mensonges médiatiques, mensonges historiques : L'Algérie vue par Le Monde en 2012
Polémia cliquez ici
Le conformisme, l’inculture et l’absence de tout regard critique ne cessent de progresser dans les médias. A partir du moment où une affirmation est politiquement ou historiquement correcte les journalistes se croient tout permis : à-peu-près et invraisemblances s’accumulent. Les faits n’interviennent plus, seule compte l’idéologie. Voici un décryptage d’un article du Monde. Le très rigoureux Pierre Milloz y compare ce qu’il a connu de l’Algérie et ce qu’en dit Le Monde.
Polémia.
Traitant d'une récente exposition sur l'Algérie, Le Monde évoque dans son numéro du 20 septembre dernier, sous la signature de Catherine Simon, « les tombereaux de morts “indigènes” que 130 années de colonisation ont laissés derrière elles ».
Des tombereaux… J'ai couru au dictionnaire Larousse : « Caisse montée sur deux roues, servant au transport des matériaux et se déchargeant par basculement ». Mme Catherine Simon ne dit pas où se faisait le basculement, mais son lecteur est invité à le deviner : la mer, sans doute, ou pis encore les charniers, bien sûr.
Et moi qui ai passé les trente premières années de ma vie en Algérie, et qui n'étais pas au courant ! Et mes grands-parents ne m'en ont jamais parlé ! Bien que leur ancienneté remontât aux années 1880, ils ne devaient pas être au courant non plus. Et pas davantage mes parents. Il est vrai qu'ils n'ont guère quitté Alger et que les services secrets massacraient sans doute plus facilement ailleurs que dans les grandes villes.
Pourtant l'expérience de mes beaux-parents plaide en sens contraire : ils ont vécu la plus grande partie de leur vie dans des petites villes « de l'intérieur », comme on disait, et il semble que durant toutes ces années ils n'aient pas davantage remarqué les hécatombes méthodiques d' « indigènes ». Les tombereaux étaient assurément nombreux et chargés et pourtant malgré les carnages la population augmentait rapidement de 3.750.000 en 1886 à 9.730.000 en 1954.
Si l'on interrogeait Mme Simon elle expliquerait sans doute que les tueries et les tombereaux qui en évacuaient les résultats constituaient un phénomène propre au bled. Mais là j'ai un exemple qui ferait hésiter. Mon oncle et ma tante ont été instituteurs de 1920 à 1946 dans le bled. Ils étaient affectés non dans une ville mais dans un douar de Kabylie : celui de Sidi Naaman, dans la vallée de l'Oued Chélif. Jusque dans les années trente (de ce que l'on m'a maintes fois raconté, je crois me souvenir que le pont fut construit en 1934), l'école et le douar étaient l'hiver coupés de la route d'Alger à Tizi-Ouzou par les crues de l'Oued Chélif. J'y ai passé plusieurs mois lorsque, après le débarquement américain du 8 novembre 1942 et les bombardements allemands qui ont suivi, mes parents ont jugé préférable de mettre leurs enfants à l'abri à Sidi Naaman. J'ai ainsi fait avec plaisir la connaissance des enfants du lieu scolarisés et des notables du douar avec qui mon oncle et ma tante avaient noué des relations amicales et conviviales.
Lorsque survinrent les événements de Sétif en 1945, on sut qu'après ce début de guerre civile, les auteurs de la sédition se repliaient vers l'ouest en Kabylie et pouvaient menacer l'école. Alors les hommes du douar de Sidi Naaman se sont constitués en groupes armés pour, jour et nuit, défendre celle-ci et les instituteurs.
Je n'ai jamais de ce côté non plus, entendu parler de tombereaux.
Il me vient à l'esprit que je me suis donné beaucoup de mal pour contester non pas une pensée mûrie sur une réalité complexe mais un réflexe conditionné. Celui-ci en vaut-il la peine ? Peut-être en ce qu'il est représentatif de certains médias, mais sûrement pas en lui-même car il exprime la plus attristante des imbécillités : l'imbécillité mécanique du robot.
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Dimanche 18 novembre, Paris :
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Tours, vendredi 19 octobre, Robert Ménard invité du Cercle Jean Royer...
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12 octobre : soirée Livr'arbitres à Paris
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Mariage des paires homosexuelles : nouvelle initiative d'opposition !
Député-maire d’Orange, Jacques Bompard vient d' adresser une lettre-circulaire à tous les maires de France dans laquelle il regrette que le gouvernement n’organise pas de référendum relatif au mariage des invertis. Il demande aux édiles d'intervenir auprès de leurs députés et sénateurs, afin que soit inscrite dans la loi une clause de conscience permettant aux maires ou adjoints de ne pas être tenus de célébrer un tel mariage s'il est contraire à leurs profondes convictions morales. Jacques Bompard précise que cette loi touche à la structure même de notre société, en même temps qu’à la conscience de chacun et que de ce fait, il n’est pas admissible qu’un élu se trouve privé de cette liberté primordiale. (source)
Pai ailleurs, Jacques Bompard lance une pétition nationale permettant aux signataires de manifester leur opposition au mariage homosexuel, d'exiger un référendum sur le sujet et au minimum l'introduction de la clause de conscience permettant le droit de retrait des élus municipaux confrontés à la chose. (cliquez ici)
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mercredi, 26 septembre 2012
Le Qatar est-il en train d'acheter la France et sa diplomatie à grands coups d'investissements ?
Le Qatar accumule les investissements en France. Foot, immobilier, banlieues... Avec son poids financier, le pays semble se donner les moyens de mettre sous pression la diplomatie française, qui n'ose pas froisser son "généreux ami"...
Atlantico : Petite monarchie pétrolière et gazière du golfe Persique, le Qatar a choisi d'investir massivement en France et en Europe, dans le sport (avec le rachat du PSG), dans l'immobilier, les banlieues (lire notre article : Arnaud Montebourg renonce à son hold-up sur les 50 millions d'euros promis par le Qatar aux banlieues et double la mise)... Où va-t-il s’arrêter ?
Karim Sader : La succession des crises financière de 2008 et économique de 2009-2010 ayant plongé les économies occidentales dans la récession aura été une aubaine pour le Qatar. A contre-courant de la grande tendance internationale, le riche émirat gazier affichait une croissance économique insolente, dopée avant tout par sa production de GNL (gaz naturel liquéfié) dont Doha est devenu le premier producteur mondial l’an dernier.
Bénéficiant d’une conjoncture interne extrêmement favorable, avec l’absence de toute contestation politique et sociale, qui, au contraire de l’Arabie ne contraint pas le régime à acheter la paix sociale à grand renfort de pétrodollars, la dynastie des Al-Thani avait dès lors les mains libres pour investir son surplus de richesses à l’étranger. En ces temps de crise, les investissements qataris, très bien accueillis par des économies occidentales en crise, ont permis à l’Emirat de réaliser d’importantes plus-values en profitant de la période de récession pour racheter des capitaux à des prix très attractifs.
Si on y regarde de plus près, ces investissements n'ont aucun effet durables. Ne sont-ils pas avant tout un moyen d'asseoir la diplomatie qatarie ?
Effectivement, j’aurais tendance à penser que les investissements tous azimuts du Qatar à l’étranger s’apparentent davantage à des achats compulsifs qu’à une réelle stratégie de long terme, qui pourrait par exemple servir à assurer la diversification économique du pays, qui demeure largement dépendant du secteur des hydrocarbures.
En réalité, derrière cette politique de placements massifs se cache une véritable angoisse existentielle ! J’entends par là que le Qatar cherche par-dessus tout à compenser sa vulnérabilité géopolitique et militaire, ainsi que sa faiblesse démographique. Pour cela, le minuscule émirat, coincé entre les deux mastodontes régionaux que sont l’Arabie et l’Iran, a besoin d’exister à l’étranger en semant ses investissements dans des domaines divers et variés.
N’oublions pas que si le Qatar est assis sur les troisièmes réserves mondiales de gaz, sa position géographique le met à l'avant-poste d’une confrontation entre l’Iran cherchant à se doter du feu nucléaire et des Etats-Unis dont les plus importantes bases militaires – hors frontières américaines – se trouvent justement en territoire qatari.
Par conséquent, en étant l’otage des tensions régionales et dépourvues d’un « hard power » le Qatar a fini par développer une sorte de « complexe » qui le pousse à cultiver son rayonnement à l’international, par le biais de son soft power dont la finance, le sport et Al-Jazeera sont les principaux piliers.
Peut-on dire que l’implication du Qatar dans le financement des banlieues s’inscrit dans cette même dynamique ?
L’implication du Qatar dans le financement des projets de jeunes entrepreneurs des banlieues suscitent de vives passions, car il ne s’agit pas d’un investissement anodin. Je dirais tout d’abord qu’il est symptomatique du phénomène de mondialisation, à travers lequel un Etat géographiquement éloigné parvient à tisser des liens avec une communauté en contournant le sacro-saint modèle de l’Etat-Nation qui est clairement en faillite dans nos démocraties occidentales. C’est du moins ce que laissait présager la première mouture du projet, qui a vu une association d’élus issus de la diversité venir frapper directement à la porte du Qatar. Ce dernier a certainement sauté sur l’occasion pour accroître sa visibilité internationale – ce qui constitue une véritable obsession pour les dirigeants de ce minuscule émirat qui cherche en permanence à soigner son image de marque.
J’ajoute par ailleurs que cet investissement suscite d’autant plus de controverses qu'il intervient clairement dans l'une des fonctions régaliennes de l’Etat, à savoir la politique d’intégration socio-économique des banlieues. Il semble toutefois que les responsables français tentent à présent d’y ajouter une participation de l’Etat ainsi que d’étendre la stratégie de financement à « d’autres départements défavorisés », sans doute pour contrecarrer les accusations de communautariste lié à un projet dont les détracteurs considèrent qu’il vise des zones majoritairement peuplées de citoyens issus de l’immigration arabo-musulmane.
Source Atlantico, lire la suite cliquez ici
10:25 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 25 septembre 2012
Filip Dewinter : « Anvers n’est pas à chacun, Anvers est aux Anversois ! »
La ville d’Anvers, dirigée par une coalition SP.a/VLD/N-VA/CD&V (Parti socialiste, Parti libéral de droite, Parti national-centriste flamand, Parti social-chrétien), a pour devise : « La ville de chacun ».
Le chef de file du Vlaams Belang pour les élections communales (municipales) à Anvers, Filip Dewinter, dénonce ce slogan au sein d’une publicité électorale »
« Les conséquences de la politique multiculturelle de Janssens (maire socialiste) et Dewever (N-VA) & Co., vous pouvez les constater au sein de nombreux quartiers d’Anvers ( Borgerhout, Oud-Berchem, Deurne-Noord, Hoboken en Antwerpen-Noord). L’insécurité et la criminalité augmentent. Tous les quartiers s’islamisent et s’arabisent. »
Selon Fillip Dewinter, beaucoup d’Anversois flamands ne se sentent plus à la maison dans leur propre quartier. Les récentes émeutes à Borgerhout sont les conséquences de la politique multiculturelle qui donne l’impression aux allochtones que tout leur est permis. Filip Dewinter estime qu’Anvers est avant tout aux Anversois de souche et que les personnes qui ne sont pas originaires de Flandre doivent s’adapter et pas l’inverse. Il écrit que avant tout l’immigration doit être stoppée et que les criminels et étrangers non-adaptés doivent être renvoyés vers leur pays d’origine.
Il ajoute « La société multiculturelle est en faillite. Il est temps de choisir un vrai changement ! Le N-VA/SP.a/VLD en CD&V ont conduit à Anvers au cours des dernières années une politique de « son propre peuple en dernier ». Le multiculturel signifie dans la pratique déjà trop souvent multi-conflits. Le Vlaams Belang dénonce depuis de nombreuses années la politique laxiste et néfaste d’immigration et d’assimilation. Les autres partis, comme la N-VA, donnent l’impression qu’ils vont dans le même sens que le Vlaams Belang alors qu’ils font partie depuis des années de la direction de la ville d’Anvers dirigée par [le maire socialiste] Patrick Janssens. Le temps de la clarté et du changement avec le Vlaams Belang est arrivé. Rendons ensemble Anvers aux Anversois ! »
Source Lionel Baland
23:09 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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L'identité contre l'islamisation et le laïcardisme !
Yves Darchicourt
Il y a environ deux ans, Mme Le Pen lançait une petite phrase assimilant le débordement des prières mahométanes dans certaines rues de Paris à une manifestation "d'occupation"; récemment, elle a suggéré de faire interdire le port du voile islamique dans les lieux publics. Tollé politico-médiatique assuré dans les deux cas et publicité sans frais ! Et hélas à nouveau pain béni pour les ennemis de notre identité et de notre civilisation : déjà les collabos de l'immigration - qui n'envisagent évidemment pas de renvoyer les fidèles musulmans surnuméraires chez eux - avaient en conséquence demandé à ce que les projets de construction de mosquées soient facilités et les laïcards forcenés - pour qui la France n'est pas plus la fille aînée de l'Eglise que celle du Prophète ou n'est l'élue d'un quelconque Eternel - exigent à nouveau l'interdiction absolue de toute référence à une appartenance religieuse sur le domaine public.
Tandis que certains souhaitent voir proliférer les minarets à côté des beffrois et des clochers, d'autres envisagent de légaliser la christianophoblie - et plus particulièrement la cathophobie - en s'attaquant à tout ce qui faisait se hérisser les partisans du petit père Combes : crèches publiques, déambulations de St-Nicolas, processions ou bénédictions traditionnelles, croix publiques, volées de cloches... et pourquoi pas en se laissant aller à un délire épurateur pourfendeur de l'hagiotoponymie dans nos Provinces en faisant "débaptiser" villes, villages et lieux-dits attachés par leur nom à un saint de l'Eglise catholique. Immigration-islamisation et laïcardisme échevelé se conjuguent dans la même perspective de destruction de notre identité civilisationnelle !
Notre Civilisation est d'un âge immense, developpée sur nos terres par les descendants de ces cavaliers conquérants dont les Dieux allaient par trois, imprégnée d'un christianisme adapté à son infrastructure mentale et religieuse et qui, incomparable, doit être défendue et préservée dans tous ses aspects dont l'Islam (qui s'incrustera avec ou sans voiles tant que ses partisans seront présent en nombre sur nos terres) ou l'absence d'élan mystique ne font pas partie. C'est pourquoi il est fort regrettable que pour se faire admettre aux mangeoires d'une République gangrénée par les Frères Trois Points, une politicienne prétendant représenter "la France et les Français" en vienne à donner du grain à moudre aux ennemis de notre identité et de notre civilisation.
Rassemblement Résistance Reconquête !
22:50 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 23 septembre 2012
Dimanche 11 novembre, à Paris, 6e Journée nationale et identitaire de Synthèse nationale...
Pour information : déjà, de nombreuses associations, revues, maisons d'édition... nous ont demandé les conditions de location de stands pour cette journée. Celle-ci se déroulera, à Paris, dans un endroit différent de celui des années précédentes (cet endroit sera rendu public prochainement). Cette année, il y aura donc deux espaces distincts : l'un pour les stands et un autre, un grand amphi, pour les conférences. Cela évitera aux auditeurs de subir le brouhaha permanent, et fort gênant, qui troublait, bien malgré nous, les interventions.
Les stands seront disposés dans un grand hall spécialement réservé à cet effet. Comme pour chacune de ces Journées annuelle de Synthèse nationale, nous serons obligés de demander une participation financière aux exposants. Afin de nous simplifier la tâche, nous vous demandons de bien vouloir nous faire part de vos intentions (un dossier de réservation vous sera envoyé). La priorité sera bien entendu donnée à nos fidèles exposants.
Contact : synthesenationale@club-internet.fr
SN
11:54 Publié dans 06 - La 6e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 22 septembre 2012
Pour la Nouvelle Droite Populaire, il ne suffit pas de s'en prendre aux effets, il faut s'attaquer aux causes...
Un communiqué de la Nouvelle Droite Populaire :
Marine Le Pen, dans un entretien au Monde, demande l'interdiction du port du voile islamique et, sans doute pour faire bonne mesure, de la kippa. Dont acte. Evidemment, une telle revendication suscite les glapissements et les couinements habituels des chiens de garde du Système. Jusque-là rien de bien nouveau... En fait, Marine Le Pen demande simplement, en bonne candidate à l'intégration au Système qu'elle est, que soit appliquée la loi interdisant les signes ostentatoires d'appartenance à une religion promulguée il y a quelques années par le même Système.
En réalité Marine Le Pen s'attaque aux effets et non aux causes de la situation actuelle. Au-delà de l'intégrisme islamique, qu'il est certes louable de combattre, c'est à l'immigration incontrôlée, génitrice de cette islamisation, qu'il convient de s'attaquer sérieusement. Or, il semblerait que cette évidence échappe, aujourd'hui, au FN nouvelle vague. Il ne suffit pas de brandir la laïcité à tout va pour contrer l'islam conquérant, il faut redonner à chacun de nos peuples européens une véritable conscience nationale et ethnique. Il faut procéder à un réarmement moral et spirituel des peuples d'Europe. Ce réarmement devant reposer exclusivement sur nos traditions et nos valeurs ancestrales.
L'islam est peut être une religion respectable, mais elle l'est encore plus en terre d'islam. Ici, nous sommes en France et en Europe et, quoiqu'en disent les thuriféraires du prêt à penser institutionnel, l'Europe est une terre de beffrois, de cathédrales et de dolmens, elle n'est pas, et elle ne sera jamais, une terre de mosquées ni de minarets.
11:20 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 18 septembre 2012
Le commandant Louis Réssicaud est décédé...
Nous savions qu'il était gravement malade, mais pas à ce point. Les 22 juillet et 30 août derniers, nous avions échangé des courriers dans lesquels, notamment, il nous faisait part de son désarroi face à la situation de la France. Il venait d'adhérer à la Nouvelle Droite Populaire. Le Commandant Ressicaud était un grand Français, un soldat et un militant de la première heure de la cause nationale, plus particulièrement à la tête du FN dans l'Essonne pendant de longues années. Nous saluons la mémoire d'un combattant courageux face à l'adversité et à la cruauté d'une longue maladie.
Jean-Claude Rolinat
11:29 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 16 septembre 2012
L'écrivain Eric Miné apporte son soutien à Renaud Camus :
Éric Miné, écrivain et ami de Synthèse nationale, nous prie de bien vouloir publier son communiqué de soutien à Renaud Camus, poursuivi par des officines que nous ne connaissons que trop bien. S. N. s’associe bien volontiers à son appel.
Vivant en Asie, écrivant sur cette région du monde et les liens anciens et complexes qui l’unissent à la France – en particulier pour les pays qui formaient notre Indochine ainsi que la Thaïlande voisine –, tentant ainsi d’illustrer au travers de mes propres ouvrages – des romans contemporains ou historiques – et en tant que directeur de collection cette fusion quasi charnelle qui s’opère en maints domaines entre ces peuples et le nôtre et ce jusqu’à nos jours, je constate quotidiennement combien il est difficile, voire périlleux, d’éclairer le lecteur sur ces sujets, tant il est devenu politiquement incorrect d’évoquer les comportements des humains selon leurs origines, leur race (mot tabou s’il en est !), ou tout simplement leur religion, même si ces notions parfaitement audibles pour tout un chacun induisent, dans le cas qui m’intéresse, des affinités. Mille détours et circonvolutions sémantiques me sont alors imposés :
Louer le rapprochement des peuples selon leurs compatibilités implique d’évidence qu’on entend qu’en la matière des degrés existent. Mais là, au lieu de creuser ce sillon propice à la bonne compréhension des évolutions dans nos sociétés, voire d’apporter sa petite contribution au fameux « vivre-ensemble » si cher à nos élites autoproclamées en en prévenant les conflits consécutifs (comprendre en quoi, par exemple, le ressenti du « Français de souche » en matière d’immigration peut se différencier selon qu’il s’agit d’Asiatiques ou d’Afro-maghrébins), l’art de l’auteur ne constituera plus qu’à se dérober : « Comment ? mais je n’ai jamais dit ça, vous m’avez mal lu, je ne parle que du bien, pas du mal ». Foin de votre amour pour un continent et des populations qui le composent, de votre désir d’expliquer pourquoi, nous, Français, nous entendons si bien avec « eux » (et donc, il est vrai, peut-être un peu moins bien avec « les autres »), ne restent que vos préférences, vos « hiérarchies » ! Les fourches caudines de la XVIIe chambre correctionnelle ne sont dès lors plus bien loin.
L’accusation de « racisme » vous est brutalement lancée à la face par des associations toutes calibrées pour cela, dont les gains et les subventions sont le fruit de cette implacable chasse aux sorcières pour laquelle elles ont été crées.
Richard Millet intitule un de ses derniers essais – ceux-ci déchaînant d’ailleurs contre son auteur une haine sans précédent – De l’antiracisme comme terreur littéraire (1). Que ce libellé est malheureusement pertinent. Qu’il reflète bien la difficulté d’écrire à notre époque insidieusement totalitaire !
À ce titre en effet, l’éminent sociologue des foules et des peuples Gustave Le Bon serait aujourd’hui traîné devant les tribunaux, ainsi d’ailleurs que la plupart des meilleurs écrivains d’avant la seconde guerre mondiale. Ainsi vidée de toute substance, ce qu’on nomme bien improprement de nos jours « Culture » dans les médias destinés au grand public n’est plus en fait qu’un empilement de bric et de broc promu par une caste de zélés thuriféraires de la bien-pensance. Dans cet embrouillamini de productions laudatrices d’une planète indifférenciée – dans le sens où tout se vaut –, il existe bien sûr de bons auteurs, d’excellents réalisateurs, des artistes de génie. À la condition qu’ils n’évoquent pas l’essentiel – pris ici dans sa valeur symbolique d’essence – pour notre civilisation. La ligne jaune franchie, oubliée la notoriété, fini le gagne-pain ! Le procès sera le dernier recours pour les faire taire.
C’est ce qui arrive aujourd’hui à Renaud Camus. Déjà privé de ses éditeurs traditionnels pour ses prises de position « non-conformes » lors de la dernière élection présidentielle, le voilà en butte aux poursuites judiciaires, diligentées sur plainte du MRAP, pour ses propos tenus lors d’une conférence, propos qu’il reprend d’ailleurs dans son ouvrage, Le grand remplacement (2).
Qu’a-t-il fait, dit, écrit d’aussi ignoble pour mériter une telle vindicte ? Rien que de constater ce que tout individu normalement constitué est à même de voir, indépendamment de ce qu’il en pense ou de son analyse des causes, qu’un territoire donné – la France en l’occurrence – subit un « grand remplacement » des populations qui l’habitent. C’est cela qu’on reproche à Renaud Camus : d’avoir su voir, rapporter, et tenter d’expliquer. En ce sens, et nonobstant tout jugement sur la qualité de son œuvre, il n’a fait là que son métier d’écrivain. Il est le témoin de son temps. Si le temps dérange, qu’on mette alors le temps en examen !
Si Renaud Camus venait à être condamné dans cette affaire, outre les dommages causés à sa personne et à ses intérêts, ce serait l’arrêt de mort de toute littérature en France. De tout rôle social de l’écrivain aussi.
Pour cette raison, j’ai signé – aux côtés de bien d’autres – la pétition qui le soutient. J’invite toutes les personnes lucides et de bonne volonté, quelles que soient leurs opinions, leur religion ou leur couleur de peau, à en faire autant.
Pour signer la pétition
de soutien à Renaud Camus cliquez là
Notes
(1) Éditions Pierre-Guillaume de Roux, Paris, 2012.
(2) Éditions David Reinharc, Paris, 2011.
16:54 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 14 septembre 2012
Duprat et son Histoire du Fascisme...
Article publié dans le n°28
de la revue Synthèse nationale cliquez ici
François Duprat a été assassiné le 18 mars 1978. Trente quatre ans plus tard, le crime reste impuni, et ce meurtre garde encore son mystère. Mais la bombe qui a fait exploser sa voiture n’était pas un engin artisanal.
La mort de Duprat frappa de stupeur le petit monde de l’extrême droite française (à l’époque c’était un tout petit monde, plutôt en liquéfaction). Car si l’homme véhiculait les théories les plus extrémistes, ce n’était pas lui-même un violent, un baroudeur. C’était un prof, un bon prof, selon ses élèves, et qui ne cherchait pas à les endoctriner avec des théories toutes faites et un catéchisme mal digéré. C’était un gros travailleur, un homme de l’écriture, et d’abord un historien.
Mais il était aussi un journaliste engagé : dans les années soixante-dix, Duprat assurait les « nouvelles du front », chaque semaine, dans Rivarol, la chronique des combats nationalistes, dans les universités, les lycées, dans la rue, avec parfois une ou deux mauvaises photos permettant de rêver au « fascisme immense et rouge » par groupuscules interposés.
Duprat, ce fut, un peu plus tard, la Revue d’Histoire du Fascisme, une revue, publiée de 1972 à 1978, qui compta douze numéros et vingt-quatre suppléments (dix-neuf en fait, car il y avait des suppléments doubles). Dans sa préface et sa postface à Histoire des fascismes de François Duprat, qui vient de paraitre chez Dererna (1), et qui est en fait un florilège des meilleurs textes publiés par la Revue d’Histoire du Fascisme, Alain Renault raconte la genèse de cette publication.
Duprat, qui collaborait à Défense de l’Occident depuis les années soixante, et qui en était devenu un pilier, avait proposé à Maurice Bardèche la création de cette revue. Le numéro spécial de Défense de l’Occident, « Les Fascismes inconnus », s’était bien vendu, et Duprat estimait à juste raison que ce type de travaux historiques avait un public.
Quand la Revue d’Histoire du Fascisme est créée, elle est, quant à la forme, la copie conforme de Défense de l’Occident. Et Duprat et Bardèche se partagent les rôles ; mais rapidement Duprat restera seul aux commandes. Ses divers pseudonymes, sa puissance de travail, lui permettent d’assurer un grande partie du rédactionnel. La revue est vendue dans les kiosques (comme Défense de l’Occident), et de ce fait, trouve un public un peu plus large que la mouvance purement étudiante et militante.
A l’automne 1973, raconte Alain Renault dans sa passionnante postface à Histoire des fascismes, Duprat lance en parallèle une nouvelle publication, qui va s’appeler Les Cahiers Européens. C’est l’actualité (et aussi l’histoire) de tout ce qui se passe et s’est passé à l’extrême droite, partout dans le monde. L’entreprise va se révéler une vrai réussite : il sortira 222 numéros, sans la moindre interruption, jusqu’à l’attentat de 1978. Quant à sa diffusion, malgré le caractère artisanal du bulletin, elle était loin d’être négligeable : 450 abonnés, une vente totale de 800 exemplaires chaque semaine. Pour une revue mal imprimée, diffusée uniquement dans les « librairies amies », ce n’était pas mal du tout.
Le « groupe de presse » de Duprat, comme l’évoque Alain Renault avec une pointe de nostalgie ne cherchait pas à surfer sur la mode rétro (nous sommes à l’époque du Chagrin et la pitié, et de Lacombe Lucien). Duprat était un activiste, un militant. Il avait été de Jeune Nation, d’Occident, d’Ordre nouveau et du Front national. Au sein du Front national, il représentait l’aile la plus dure. Et ses « groupes nationalistes révolutionnaires de base » (assez chétifs en effectifs, il faut bien le dire) avaient pour vocation de radicaliser la droite nationale.
Commentant la vision de Duprat, Alain Renault écrit avec pertinence : « Les fascismes ne rencontrent de succès qu’en période de crise. Non qu’ils profitent des désarrois des peuples mais simplement parce que leurs solutions nécessitent un effort et des changements auxquels les peuples ne se résolvent que quand la nécessité absolue leur parait inévitable pour sortir de la décadence ».
Ce type de discours, à l’époque des « trente glorieuses », et de mai 68, « révolution » de gosses de riches, pouvait paraitre bien éloigné des réalités du moment. Mais Duprat avait la prescience que ces temps difficiles allaient revenir.
Et nous y sommes sans doute. Peut-être n’est-ce pas un hasard si l’on réédite aujourd’hui les études de Duprat (Le même éditeur a sorti récemment Les Fascismes américains 1920-1944, une remarquable étude de François Duprat et Alain Renault, sur un sujet très peu connu). Quant à Bardèche ou Saint-Loup, ils suscitent à nouveau la curiosité. Plusieurs projets de rééditions sont dans l’air. Des biographies de Bardèche, de Saint-Loup, de Duprat, de Jean Fontenoy, sont parues récemment. Ces auteurs trouvent, retrouvent un public, des lecteurs. Et c’est bien évidemment une bonne chose. Mais c’est aussi le signe que nous sommes certainement à nouveau à l’aube d’une crise terrible, qui nous pousse à lire ceux qui ont étudié ou raconté, avec acuité, celle des années trente.
Note
(1) Histoire des fascismes, par François Duprat, préface et postface par Alain Renault, Ed. Deterna, 2012, 310 pages. Cliquez ici
Livre diffusé par Les Bouquins de Synthèse nationale cliquez là
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vendredi, 07 septembre 2012
Clip JNR :
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vendredi, 31 août 2012
Les Bouquins de Synthèse nationale ont leur site !
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Amis bénificiaires des allocs venus d'ailleurs, meffiez-vous : Jennifer vous pique votre argent...
Jennifer : l'arqué type de la fraudeuse vue par la CAF...
Meffiez-vous de Jennifer !
Lire Contre info.com cliquez là
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lundi, 27 août 2012
A LA RENCONTRE DE LAJOS MARTON, un grand entretien avec Franck Abed (1ère partie) :
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jeudi, 23 août 2012
Entretien de Franck Abed avec les frères Martineau, sympathiques chanteurs bien connus en Vendée...
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lundi, 13 août 2012
Mouloud Aounit ne nuira plus...
Il a dirigé pendant 20 ans le MRAP (« Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples »), une officine « antiraciste » et crypto-communiste qui a pour but d’éradiquer toute forme de résistance à la destruction de la race blanche, en multipliant les procès. Comme « SOS-Racisme ».
Communiste, Aounit n’a jamais vraiment travaillé : ayant poursuivi des études jusqu’à tard, il est devenu permanent associatif et se payait avec l’argent extorqué aux Français résistants, dans les tribunaux, ou grâce aux subventions.
Victime – contre toute attente – d’une tumeur au cerveau, il vient de passer l’arme à gauche et les médias vont sortir les mouchoirs pour cette belle figure de citoyen républicain. Naturellement, il avait été promu chevalier de l’ordre national du Mérite (sic) puis chevalier de la Légion d’honneur (sic). (Source cliquez ici)
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samedi, 11 août 2012
Un entretien avec le Dr Bernard Plouvier sur son nouveau livre "Le XXIe siècle ou la tentation cosmopolite" :
Question : Vous abordez dans votre livre des thèmes très divers, tels les origines de l’Homo sapiens, le domaine territorial de la race blanche, dite « caucasienne », les constantes de la société humaines et les variables culturelles, mais également l’ambiguïté du « libéralisme » et du « melting pot » des USA, l’expérience mondialiste et l’économie globale qui permet aux ploutocrates de confisquer les États… Le titre de cette collection « Nouveau siècle, nouveaux enjeux » semble parfaitement s’appliquer au thème de ce livre ?
Réponse : Nous autres, Européens autochtones, vivons indéniablement une période de « fin de civilisation », qui ressemble à s’y méprendre à celle vécue par les contemporains de la fin de l’Empire romain d’Occident. Cette constatation, assez peu réjouissante, mérite à la fois que l’on établisse un bilan des réalisations anciennes et que l’on apporte quelques réflexions comparatives sur les valeurs qui s’estompent et celles qui émergent.
Au Ve siècle, l’enrichissement général des citoyens de l’Empire romain avait conduit au relâchement de l’effort collectif et deux nouvelles religions moyen-orientales – la chrétienne et celle des adorateurs de Mithra – avaient supplanté le culte des dieux de l’État. De nos jours, la fraction la plus inventive de l’humanité contemporaine s’est lancée dans la course effrénée aux petites joies individuelles, au lieu d’œuvrer comme auparavant pour la collectivité.
Au Ve siècle, le pouvoir spirituel avait asservi puis anéanti la puissance politique. De nos jours, les maîtres de l’économie écrasent les autres pouvoirs : exécutif, législatif, judiciaire, médiatique et même spirituel.
Consommer est devenu le but suprême de l’existence des individus, ce qui comble d’aise les maîtres du « village terrestre » peuplé d’hédonistes (les travailleurs) et de psychopathes (les parasites sociaux).
L’économie globale et la mondialisation de la vie économique et culturelle sont deux notions nées aux USA durant la IIe Guerre mondiale. Du fait de l’implosion des sociétés communistes, elles sont devenues la réalité quotidienne de presque tous les peuples de la planète : rêve pour les uns, cauchemar pour les autres… c’est affaire de sensibilité et d’idéal.
Il est évident que Franklin Delano Roosevelt, le grand concepteur, n’aurait nullement apprécié notre monde où les grands actionnaires des multinationales et des trusts nationaux d’Asie manipulent, du fait de la toute-puissance de l’argent, les pantins de la politique et des media.
Q : Quelle est votre définition du « cosmopolitisme », un mot qui, au XVIIIe siècle, à l’époque des Lumières, représentait le nec plus ultra : cela revenait alors, pour l’élite, à s’informer des autres cultures que celle de son pays d’origine ?
R : Le cosmopolitisme à la sauce mondialiste équivaut au mixage des cultures et au brassage des populations, de façon à liquider l’option nationale, jugée pernicieuse. L’Europe est ainsi envahie d’extra-Européens, souvent incultes, toujours faméliques et avides, également nantis pour la plupart d’une religion médiévale, c’est-à-dire grosse de l’expression d’un fanatisme anachronique, mais également porteurs d’un racisme revanchard dont l’expression est évidente, sauf pour les pitres qui façonnent l’opinion publique et ceux qui font semblant de nous gouverner.
La propagande mondialiste reflète, c’est évident, les choix de nos maîtres, qui leur sont dictés par leur intérêt. Le grand village terrestre ne doit plus être composé que d’individus qui consomment beaucoup, au besoin à crédit, et pensent gentiment ce qu’imposent les fabricants d’opinion publique.
Dans leur désir d’uniformiser l’humanité, pour augmenter la rentabilité du négoce en facilitant le travail des producteurs, des distributeurs et des revendeurs de biens de consommation, nos maîtres font l’impasse sur de nombreuses données génétiquement programmées de l’espèce humaine, non susceptibles d’éducation ou de rééducation. En outre, il nient allègrement une évidence : la profonde inégalité des êtres humains et des civilisations passées.
Par intérêt également, ils autorisent le développement de conduites sociales aberrantes pour peu que cela leur fournisse un marché lucratif (pornographie, conduites addictives, coutumes alimentaires absurdes conformes à des préceptes religieux antiques ou médiévaux).
Que cela envahisse le continent phare du melting pot, celui des trois Amériques (pour reprendre une expression rooseveltienne), ne nous regarde pas en tant qu’Européens, mais il est grotesque de le tolérer dans notre continent, qui fut le continent civilisateur durant deux millénaires et demi.
Q : Pourquoi ne pas aimer ce monde nouveau, apparu il y a une vingtaine d’années, lors de l’effondrement des sociétés communistes et du triomphe de l’american way of life ?
R : Dépourvus de culture historique et philosophique, nos nouveaux maîtres créent une société mono-culturelle, multi-raciale parfaitement artificielle, qui ne peut en aucun cas créer une civilisation stable, donc durable, ni innovante au plan intellectuel et spirituel.
L’étude des espèces animales démontre que l’égoïsme et l’individualisme sont nocifs à moyen terme pour l’espèce, mais aussi pour les individus. Sans discipline, sans hiérarchie fondée sur les qualités et les mérites individuels, sans cohésion du groupe fondée sur l’utilité sociale, il ne peut y avoir de sécurité donc de survie, encore moins d’expansion pour l’espèce considérée.
Ce qui effare le plus un observateur européen contemplant la société actuelle est de constater que les Européens de souche ont, par veulerie et par esprit de facilité, renoncé à leur histoire. De la position de civilisateurs de la planète, ils sont passés en un demi-siècle au statut de colonisés, achetant des produits de médiocre qualité et d’infime durée de vie, fabriqués le plus souvent en Asie, et se gavant d’une sous-culture élaborée aux USA et au Japon.
L’étude de quelques grandes civilisations européennes défuntes démontre que l’homogénéité ethnique est l’une des conditions fondamentales de l’implantation, puis du rayonnement d’une civilisation originale. La perte du sens de l’effort collectif, l’incorporation de populations ou de croyances issues d’autres continents sont les conditions idéales pour amener la dégénérescence, puis la mort d’une civilisation, c’est-à-dire l’instauration d’un nouvel « âge des ténèbres ».
On ne peut guère compter sur le milieu des universitaires, où règnent en maîtres le conformisme et le misonéisme, ni sur les media, par définition aux ordres du Pouvoir, pour provoquer une réflexion critique chez nos contemporains, alors même que l’avenir de l’Europe dépend essentiellement de la prise de conscience de l’originalité et de la richesse de leur passé par les Européens de souche, qui seuls doivent décider de l’avenir du continent et de sa race.
11:17 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 08 août 2012
Terre et peuple (n°52) est sorti...
Pour le commander : cliquez ici
Pour info : la XVIIe Table ronde de Terre et peuple
aura lieu le dimanche 7 octobre...
01:48 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 02 août 2012
Goldman Sachs : la banque qui dirige le monde...
La banque américaine Goldman Sachs est au coeur de toutes les crises financières depuis 2008: crise des subprimes, crise grecque, crise de l’euro. Son pouvoir est immense, et elle l’exerce dans le plus grand secret. Immersion au coeur de LA banque liée à de nombreux scandales pour comprendre ce passé douteux. Des témoignages de premier plan aident aussi à expliquer comment elle est, malgré les crises, encore plus puissante qu’avant.
Source Contre info.com cliquez là
11:18 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 28 juillet 2012
Syrie : rien n'est joué...
Le billet de Patrick Parment
La pression exercée par les médias occidentaux pour dramatiser la situation syrienne révèle, si besoin est, combien la liberté de pensée et d’opinion ont disparu de nos écrans démocratiques. C’est aussi, malheureusement, la preuve que les journalistes sont des gens manipulés. Dire le contraire de la doxa ambiante, c’est évidemment se placer directement du côté des forces du mal.
Or, à en croire, Thierry Meyssan (1), du réseau Voltaire, qui a l’énorme avantage sur ses confrères d’être sur le terrain, les Syriens ne traitent pas du tout en « libérateurs » les bandes de mercenaires que constitue la coalition entièrement fabriquée qu’est l’ASL (Armée syrienne libre).
La fameuse bataille de Damas a été perdue et l’armée régulière syrienne pourrait déloger sous peu l’ASL d’Alep. Bref, autant de revers de médaille qui ne plaident pas du tout pour un départ anticipé de Bachar al-Assad qui bénéfice toujours du soutien de la Russie et de la Chine.
Il faut bien dire que personne n’est dupe et l’on sait fort bien que derrière le bidon Conseil national syrien (CNS), censé commander l’ASL, se cachent outre la coalition israélo-américaine, la Turquie et les Emirats arabes aux ordres du dollar vert. Pour compléter le tableau, les combattants de l’ASL reconnaissent l’autorité du cheikh Adnan al-Arour, un prêcheur takfiriste qui rêve d’éradiquer les alaouites au pouvoir. Une guerre de religion inter islamique comme il en existe beaucoup au Moyen Orient et en Afrique.
Autrement dit, le destin voulu par Washington pour cette partie du Moyen-Orient – et décidé par cet imbécile de G.W.Bush – est en train de foirer. Certes, me direz-vous, mais pour quel destin ?
En attendant, tout ce qui met à mal nos ennemis est bon à prendre.
*****
Deux mots sur les jeux Olympiques. Cette immense mascarade sportive, vouée entièrement au fric sur fond de dopage, va ruiner un peu plus la perfide Albion. A l’image de la Grèce, elle aura du mal à s’en remettre. De ce point de vue, la crise a du bon, elle va éloigner de notre continent cette manifestation qui a perdu tout sens et n’est jamais qu’un miroir aux alouettes pour les vrais sportifs. Il serait temps aussi que la crise mette fin, non pas au football, mais aux surenchères financières dont sont gratifiés les joueurs et que rien ne justifie, si ce n’est, là encore, la logique libérale.
(1) www.voltairenet.com
11:10 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 27 juillet 2012
APRES “VIGIPIRATES” HIER… « VIGICRAPULES » DEMAIN ?
Par Pieter Kerstens
Vu le rythme auquel se déroulent les fusillades aux quatre coins du pays, ce ne sont pas les CRS qu’il faut déployer, mais plutôt les gardes-mobiles ou les parachutistes !
Il y a maintenant plus de 30 ans que le politiqueument korekt, le laxisme, la culture de l’excuse ou encore l’angélisme ont occulté les causes de l’insécurité et toléré les criminels dans plus de 600 zones de non-droit. Un lecteur assidu de la rubrique « faits divers » a pu constater que la plupart des délits et des crimes sont perpétrés par des Mohammed, des Souleymane, des Abdallah ou des Fayçal depuis fort longtemps. La lecture des rôles des tribunaux confirme aussi ce constat, établi année après année, et les condamnés d’origine immigrée peuplent en majorité les cellules de nos prisons.
Et que fait le gouvernement ? Englués par les dogmes, aveuglés par les utopies et obnubilés par les chimères de l’intégration, ces princes qui nous gouvernent nient les faits et braquent le projecteur dans une direction diamétralement opposée à la réalité en bernant la population, malade d’intoxications multiples.
Que l’on se souvienne de l’attentat de la rue Copernic en 1980 : c’était l’œuvre de nazis, de la FANE, de l’extrême-droite. Mais bien plus tard il s’agissait de terroristes palestiniens. Que l’on se souvienne aussi de l’attentat de la rue des Rosiers : ici encore, les nazis et l’extrême-droite étaient désignés comme coupables ! Mais l’enquête aboutira aux palestiniens du FATAH. Et le devoir de mémoire nous parle encore de l’affaire de Carpentras en 1990 : tous les partis et les syndicats ont organisé le lynchage du FN et de J-M LE PEN, lors d’un immense défilé derrière François Mitterrand, le président de la République. Après instruction du dossier, les coupables n’avaient aucun lien avec l’extrême-droite ou le FN !
Au mois de mars, après la tuerie de Toulouse, la désinformation a atteint un point culminant en désignant immédiatement à la vindicte populaire un assassin qui ne pouvait être autrement que « blanc, nationaliste et nazi » ! Mais toute la mafia politico-médiatique dut étouffer sa haine envers les franchouillards en constatant que le coupable –Mohammed MEHRA- décrit comme « calme », « respectueux », « gentil garçon » et « amateur de foot », était un délinquant multirécidiviste pas si « normal » en réalité et titulaire d’un casier judiciaire lourd de condamnations.
Alors bien sûr, les gens honnêtes et les travailleurs peuvent légitimement se demander « comment » le Pouvoir peut encore tolérer de tels faits, « pourquoi » le gouvernement n’agit pas avec plus d’efficacité, « qui » au sein de la Justice fait preuve d’autant de complaisance et « quand » finalement va-t-on rétablir l’Ordre et la Loi ? Car la famille Bidochon, elle, se trouve confrontée chaque jour aux maux qui gangrènent notre société : une immigration-invasion, un chômage structurel, un tsunami de drogues, des impôts à la hausse, une insécurité généralisée et une impunité accordée à la crapule, à la racaille et à la chienlit. Plus de 6.000 récidivistes, tous condamnés au moins 15 fois, courent en liberté dans nos rues et nos campagnes : est-ce normal ? Doit-on nous-mêmes organiser des milices d’auto-défense afin de protéger nos familles et nos biens, face à la défaillance de l’Etat ?
18:55 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 26 juillet 2012
Sortie du n°28 de la revue Synthèse nationale...
Au sommaire :
- Editorial de Roland Hélie : Après les élections, le combat continue...
- Retour sur les législatives...
- Patrick Parment : Défaite d'une droite sans valeurs...
- Arnaud Raffard de Brienne : Honneur à l'oeuvre de la France en Algérie...
- Bernard Bres : Agriculture, de l'autosuffisance alimentaire aux dégats du productivisme...
- Georges Dillinger : La dénatalité ou le suicide d'une race...
- Luc Pécharman : Les municipales, pour quoi faire ?
- Jean-Claude Rolinat : Syrie, redoutons l'"effet papillon"...
- Lionel Baland : Dossier Jörg Haider, l'homme qui ébranla l'Europe... A l'occasion de la sortie de sa biographie.
- Francis Bergeron : Histoire des fascismes de François Duprat...
- La sortie du Dictionnaire des polémistes aux Editions Les Bouquins de Synthèse nationale.
Les rubriques de Philippe Randa, du Marquis Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, d'Yves Darchicourt, de Luc Barbulesco et de Pieter Kerstens...
N°28, Juillet Août 2012, 124 pages, 12 €.
Abonnement : 6 numéros 50 €, soutien : 100 €
Chèque à l'ordre de Synthèse nationale à retourner à
Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris
Bulletin d'abonnement cliquez ici
22:42 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 25 juillet 2012
Un grand entretien sur l'Italie actuelle avec Gabriele Adinolfi réalisé à la Casa Pound:
Suite de l'entretien : cliquez ici
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vendredi, 20 juillet 2012
L’AFRIQUE DU SUD TOURNE UNE NOUVELLE PAGE BLANCHE...
Le bloc-notes de
Jean-Claude Rolinat
Le 1er octobre prochain, le major-général Fabian Zimpande MSIMANG deviendra le nouveau chef d’état-major de la South African Air Force. La cérémonie se déroulera sur l’une des neuf bases de la SAAF et sera ponctuée par un défilé aérien où se produiront probablement les nouveaux chasseurs Saab « Grippen » d’origine suédoise qui remplacent les « Mirages » et autres « Cheetahs ».
La ministre de la défense et des anciens combattants, Madame Lindiwe Sisulu, fille du défunt leader de l’ANC, prononcera certainement un discours émouvant qui saluera le départ du Général Carlo Gagiano, dernier officier-général d’origine européenne à occuper un poste de premier plan à l’état-major des armées de la « nation arc-en-ciel ». Elle sera accompagnée du général Solly Zacharia Shoke, chef d’état-major général, du général V.R Masondo, chef de l’armée de terre, du vice-amiral Refiloe Mudimu (marine) et du lieutenant-général Vejaynand Ramlakan, chirurgien-général et directeur du service de santé. Pilote d’hélicoptère formé sur des appareils soviétiques de type Mi-8 et Mi-25 au Kirghiztan pendant les années de lutte contre le pouvoir blanc de Pretoria, membre de l’Umkhonte We Sizwe, la branche militaire de l’ANC, Zimpande Msimang intégra en 1994 la nouvelle armée de la « nouvelle Afrique du Sud » postapartheid, au sein de laquelle il gravit les échelons de la hiérarchie et évolua à la tête de divers commandements, notamment la direction de l’école de pilotage des hélicos à Bloemfontein. Bien que l’objectif des autorités sud-africaines soit d’africaniser jusqu’à une hauteur de 75 % les effectifs des pilotes de la SAAF, il est amusant de constater que près de la moitié des pilotes sont encore des blancs à des grades subalternes, tandis que toute la haute hiérarchie de l’armée est noire, métis ou indienne à 100%.... Intéressant également de noter que le prédécesseur de l’actuelle ministre de la défense s’alarmait du peu de volontaires d’origine européenne qui s’engageaient dans l’armée ! Cherchez pourquoi….
L’africanisation à outrance des cadres militaires ou, par exemple, des termes géographiques du pays (toponymie) (1) est l’une des réponses. C’est une nouvelle page, blanche, de l’histoire sud-africaine qui se tourne du côté du Cap de Bonne Espérance.
Note
(1) C’est ainsi que l’agglomération de Petoria est devenue Tshwane, que le Transvaal éclaté comprend, notamment, les provinces du Gauteng, du M’Pumalanga et du Limpopo, cette dernière ayant Polokwane (ex-Pietersburg) comme capitale, sans oublier que le grand complexe portuaire de Port Elisabeth au Cap-Oriental s’appelle désormais Nelson Mandela Métropole, ça ne s’invente pas !
10:41 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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