mercredi, 15 février 2012
Les Blancs et les Rouges, livre indispensable de Dominique Venner, est en vente à la Librairie française...
La seule histoire complète de la révolution et de la guerre civile russe.
C'est là, entre 1917 et 1921, que tout a commencé.
Dominique Venner fait commencer cette histoire à ses origines : la Première Guerre mondiale. Puis, après les improbables révolutions de Février et Octobre 1917, il retrace ce que fut la plus délirante et sanglante des guerres civiles. Pendant trente mois, jusqu'en 1921, elle opposa les Blancs et les Rouges du Caucase à la Sibérie, dans le pays le plus grand de la Terre, sillonné par les trains blindés, les sinistres commissaires bolcheviques et les cosaques ivres de sang. Plusieurs fois, les Blancs auraient pu l'emporter. À lire Dominique Venner, tout devient limpide. Et là encore, les inattendus de l'histoire nous prennent à la gorge.
Certes, le régime communiste né entre 1917 et 1921 n'existe plus, englouti par son propre échec. Mais on ne peut rien comprendre à la Russie d'aujourd'hui si l'on ne sait pas d'où elle a procédé.
Les Blancs et les Rouges, Dominique Venner, Histoire de la guerre civile russe 1917 1921, Editions du Rocher, 520 pages, 2007, 26,50 €, pour l'acheter, cliquez ici
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mardi, 14 février 2012
Dimanche prochain, 17 février, Anne Kling sera l'invitée du Libre TeamSpeak...
Le dimanche 19 février à 21h nous recevrons Anne Kling, auteure de plusieurs livres traitant des lobbys communautaires, notamment La France LICRAtisée, préfacé par Alain Soral, dans lequel elle démonte complètement cette organisation crée de toutes pièces par des militants communistes dans les années 1920.
Elle viendra nous présenter son nouvel ouvrage à travers une conférence éponyme intitulée FN... Tout ça pour ça ! cliquez ici
Vous pouvez découvrir le travail d'Anne Kling en écoutant son intervention lors de la dernière Table ronde de Terre et peuple cliquez ici
Plus d'informations : cliquez là
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lundi, 13 février 2012
CARL LANG EN MEETING A MARSEILLE SAMEDI DERNIER...
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dimanche, 12 février 2012
"Ma vie pour la Patrie" le nouveau livre de Lajos Marton...
Lajos Marton est connu en France pour avoir été l’un des trois hongrois ayant participé à l’attentat du Petit-Clamart, qui manqua de peu le 22 août 1962 d’ôter la vie au Général De Gaulle, alors président d’une France secouée par le drame de la guerre d’Algérie finissante. Pour cela, Lajos Marton sera condamné à mort.
Il livre dans cet ouvrage richemment illustré le récit haut en couleurs de son existence mouvementée qui le mènera de l’insurrection de Budapest jusqu’au Tchad, toujours au service de son idéal et de ses principes.
Une vie qui le lit comme un roman d’aventures… Un appel au courage, à l’insoumission et à la fidélité.
Ma vie pour la Patrie, Lajos Marton, Les Amis du livre européen, 376 pages, 23,00 €
En vente à la Librairie française cliquez ici
Regarder aussi sur La Flamme cliquez là
Lire, ou relire, l'entretien accordé par Lajos Marton à Synthèse nationale (n°6 - hiver 2007 2008) cliquez ici
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Conférence de Synthèse nationale à Paris samedi dernier : vers la reconstruction du mouvement national...
Samedi 11 février, tout au long de l’après-midi, Synthèse nationale organisait à l’Espace Dubail à Paris une conférence sur l’évolution de la droite nationale entre 1968 et 2012. Sujet qui tombe en plein dans l’actualité à quelques mois de la présidentielle et des législatives. Plus de 150 personnes ont assisté à cette conférence.
Pourquoi avoir décidé de prendre 1968 comme année de départ de cette conférence ? Tout simplement parce que, en 1968, la Droite nationaliste était au fond du gouffre, sans structures ni mouvements capables de récupérer « les évènements » qui marquèrent les mois de mai et juin de cette année-là.
Thomas Joly, Robert Spieler, Roland Hélie et Jérôme Bourbon
(Photo Altermedia)
Tout d’abord, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, a fait un historique du mouvement national depuis cette date. Il expliqua comment la Droite nationale, après bien des péripéties, a fini, au début des années 80 à sortir de la marginalité. Cette sortie de la marginalité étant l’aboutissement d’années de travail des militants des différentes organisations qui avaient maintenu le flambeau pendant cette période
Deuxième intervenants, Jérôme Bourbon, le directeur de Rivarol, se livra à une brillante analyse de la situation politique actuelle. Mettant en garde les nationaux sur l’éventualité de l’arrivée de François Hollande à l’Elysée, arrivée au pouvoir qui se traduirait par l’attribution du droit de vote aux étrangers, la légalisation des mariages homos, l’augmentation de la fiscalité… Notre refus de Sarkozy ne doit pas nous conduire à une admiration subite pour Hollande a indiqué l’éditorialiste de l’hebdomadaire de l’opposition nationale et européenne. Pour lui, la Droite nationale ne doit pas non plus se laisser abuser par les problèmes que rencontre la candidate Marine Le Pen pour rassembler ses signatures. La situation dans laquelle se trouve le FN n’est que la résultante de l’incapacité et des erreurs accumulées de sa direction actuelle. Celle-ci porte une large part de responsabilité en ayant cru que la dédiabolisation et la quête effrénée de la respectabilité auraient suffit pour faire de Mme Le Pen une candidate crédible. A la trahison du FN, il est temps de proposer aux nationaux, aux nationalistes et aux identitaires, une alternative. Celle-ci est en train de s’organiser autour de l’Union de la Droite Nationale. S’il y a un exemple à suivre en Europe aujourd’hui, c’est vers la Hongrie qu’il faut tourner les yeux : Jobbik, le parti nationaliste magyar, qui refuse toutes compromissions avec le Système et la dictature de la pensée unique, nous montre la voie à suivre…
Cette nouvelle espérance que représente désormais l’Union de la Droite Nationale, c’est Thomas Joly, le jeune et dynamique secrétaire général du Parti de la France, qui l’incarnait à la tribune. Au cours de son discours chargé d’espoirs, il enflamma l’assistance en annonçant que Carl Lang venait de passer la barre des 250 promesses de signatures. Il faut redoubler notre effort et bientôt nous pourrons peut être ainsi relever le défis. Et, quoiqu’il en soit, au-delà de la Présidentielle, c’est sur le long terme que nous devons inscrire notre action. Le combat électoral, indispensable certes, ne peut être victorieux que s’il est accompagné par le combat culturel et le combat social. Tout est à refaire, c’est à cette tâche indispensable, si l’on veut que la France et l’Europe continuent à exister en tant que telles, que nous allons nous atteler. Après la partie historique de cette conférence de Synthèse nationale faite par Roland Hélie et après l’analyse politique de Jérôme Bourbon, Thomas Joly a démontré pourquoi le combat pour rendre la France aux Français était plus nécessaire que jamais.
Une pose d’une demi-heure au cours de laquelle les participants purent visiter les stands présents (celui de Synthèse nationale et la Nouvelle Droite Populaire, efficacement tenu par Phillip Graf, bien sûr, mais aussi Terre et peuple, Troisième voie qui présentait son nouveau mensuel Salut public, les journaux Rivarol et Militant), acheter et se faire dédicacer le nouveau livre de Jean-Claude Rolinat, Salazar le regretté… consacré à la vie du chef du Portugal nationaliste (Les Bouquins de Synthèse nationale, 156 pages, 18,00 €) ainsi que le livre que vient de consacrer Anne Kling à la curieuse évolution du Front national (FN : tout ça pour ça… Editions Mithra, 250 pages, 18,00 €). Parmi le public, notons la présence de Pierre Sidos, fondateur de l’œuvre française, Gabriele Adinolfi, directeur de l’institut romain Polaris, François Ferrier, membre de la direction nationale de la NDP, de Pierre Descaves, ancien député, de Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, le Marquis écrivain et journaliste…
Pierre Vial, Robert Spieler, Anne Kling et Roland Hélie.
(Photo Altermedia)
La seconde partie de la conférence débuta par l’intervention de Pierre Vial, Président de Terre et peuple. Celui-ci rappela le rôle déterminant joué, au cours des années 70 et 80, dans la reconquête culturelle par ce qui fut alors appelé la Nouvelle Droite. Pierre Vial sait de quoi il parle puisqu’il était secrétaire général du GRECE, la formation centrale de cette Nouvelle Droite. Il insista, non sans raisons, sur la nécessité de doter l’Union de la droite nationale d’un laboratoire d’idées digne de ce nom qui regrouperait toutes les compétences issues des différentes composantes de l’UDN, ainsi que, éventuellement, des spécialistes venus d’ailleurs afin de constituer le socle idéologique de ce que sera la Droite nationale de demain. Cette idée suscita l’enthousiasme de l’auditoire et Pierre Vial s’est proposé de la présenter, dans les semaines qui viennent, aux dirigeants des différents mouvements membres de l’Union. Voilà un projet concret qui mérite d’être réalisé. Cela évitera peut être dans l’avenir toutes les dérives du type de celles auxquelles on assiste actuellement au FN.
Le FN justement… Il était difficile d’envisager une telle réunion sans en parler. Pour cela, nous avons invité Anne Kling, écrivain qui a déjà écrit plusieurs ouvrages qui font références, en particulier sa remarquable France licratisée, publiée en 2007 (Editions Mithra, 251 pages, 18 €), qui démonte complètement le système de l’officine antiraciste à la solde du communisme international. Lors de la sortie de ce livre, Synthèse nationale avait organisé une conférence à paris et Anne Kling est intervenue à plusieurs de nos journées nationales et identitaires annuelles. Interrogée par Robert Spieler, chroniqueur à Rivarol et Délégué national de la NDP, Anne Kling démontra point par point comment les différentes étapes de la dédiabolisation orchestrée par Marine Le Pen depuis 2002 ont conduit le FN à rompre avec ce qui était sa raison d’être : incarner politiquement la Droite nationale française. Aujourd’hui, n’en déplaise à certains, le FN n’a plus aucune légitimité au sein de notre famille politique. Son discours et ses mœurs le place aux antipodes de notre conception des choses. La lecture du livre d’Anne Kling est indispensable à quiconque veut comprendre cette funeste évolution...
Plus que jamais l’émergence d’une force nouvelle capable de redonner sa place et toute sa place à la Droite nationale est indispensable pour notre pays. C’est dans cette perspective que, depuis sa création en 2006, Synthèse nationale œuvre quotidiennement.
Pour vous procurer le livre d'Anne Kling, ou celui de Jean-Claude Rolinat, cliquez ici
17:44 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Une journée réussie pour Carl Lang dans les Bouches-du-Rhône...
Samedi 11 février 2012 Carl LANG était présent dans les Bouches du Rhône.
Le matin, notre candidat à l'élection Présidentielle, pour l'Union de la Droite Nationale, a participé à une distribution de tracts sur le marché de Marignane accompagné de Alde Vinci candidats aux élections législatives dans la douzième circonscription des Bouches du Rhône où l'accueil fut très chaleureux surtout avec une température de -5°.
Le marché terminé, notre Président a pu donner une interview d'une heure au journal La Provence autour d'un café en présence des militants de l'UDN.
Vers 12h00 Carl Lang a été reçu au Cercle National des Combattants à Marseille où de nombreux militants l'ont attendu pour partager un repas et un discours en compagnie de Michèle Carayon, Ronald Perdomo, Françoise Guardia et Hubert Savon.
Carl Lang a réaffirmé que nous devons combattre tous ceux qui ont participé au déclin de la France et que nous sommes le dernier rempart à l'islamisation de notre Pays.
Source Richard Bonacase cliquez ici
17:42 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Belgique : Tintin au Congo restera en vente !
Par Yves Darchicourt
Pâle de rage Bienvenu Mbutu Mondondo ! Cela faisait près de 5 ans que ce citoyen de la République Démocratique du Congo pérégrinait en Belgique pour tenter de faire juridiquement interdire "toute exploitation commerciale, diffusion, distribution et impression de Tintin au Congo" par les Editions Casterman et la S.A Moulinsart au motif que cet album du génialissime Hergé - par ailleurs le plus vendu des aventures de Tintin - véhiculerait des clichés racistes de l'époque coloniale fort préjudiciables aux "personnes à la peau noire"
Rejoint dans sa croisade tintinophobe par l'association française du CRAN (Conseil Représentatif des Institutions Noires) Bienvenu espérait beaucoup du Tribunal de Première Instance de Bruxelles qui... vient de le débouter: " La demande du ressortissant congolais a été jugée non fondée " a arrêté le Tribunal qui précise que la loi belge contre le racisme ne peut s'appliquer que s'il y a "intention discriminatoire" et que " vu le contexte de l'époque Hergé ne pouvait pas être animé d'une telle volonté". Et vlan ! Bienvenu broie du noir, il va devoir se chercher une autre tête de turc pour passer le temps !
00:14 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 10 février 2012
TINTIN N'EST PAS RACISTE... QU'ON SE LE DISE.
La justice belge a refusé, vendredi 10 février, d’interdire la commercialisation de la bande dessinée Tintin au Congo, estimant non fondée l’action intentée par un ressortissant congolais qui jugeait l’oeuvre d’Hergé raciste.
Source cliquez ici
23:55 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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RAPPEL : samedi 11 février, Marseille a rendez-vous avec Carl Lang :
09:02 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 09 février 2012
Carl Lang : « L’étatisme n’est rien d’autre qu’une des facettes du collectivisme et du socialisme »
Un entretien avec Carl Lang
publié dans Nouvelles de France cliquez là
Élection présidentielle. En 2012, les électeurs nationalistes et protestataires pourraient avoir le choix entre Marine Le Pen et… Carl Lang. Le président du Parti de la France (1), qui forme, avec deux autres petits mouvements (2), l’Union de la droite nationale (site), est candidat à l’élection présidentielle. Mardi, Carl Lang affirmait avoir « déjà recueilli plus de 300 promesses de parrainages de maires ». Entretien.
Carl Lang, pourquoi vous présenter en 2012 ? Pourquoi ne pas avoir choisi de faire front commun avec le Front national de Marine Le Pen ? Ne croyez-vous pas que votre candidature puisse être instrumentalisée par l’Élysée contre le FN ?
La quasi censure médiatique dont je suis l’objet, entre autre dans le quotidien sarkozyste Le Figaro, est la démonstration que je ne suis l’instrument de personne et désormais le seul candidat totalement exclu par le système médiatico-politique en place. Des concessions médiatiques ont été accordées de fait aux partis du système, et personne n’est en droit de contester les monopoles acquis. Le régime en place est certainement républicain, mais en aucun cas démocratique.
Je fais acte de candidature à cette élection présidentielle afin de porter notre projet de droite nationale et européenne qui n’est aujourd’hui défendu par aucun autre candidat. N’étant ni étatiste, ni laïciste, ni porté à la démagogie socialisante, mes idées ne sont évidemment pas représentées par Madame Le Pen. Je n’ai par ailleurs aucune confiance, ni en son entourage, ni en ses méthodes.
Définissez-vous votre candidature comme nationaliste ? Comment expliquez-vous que beaucoup de Français aient peur du nationalisme et l’assimilent à une doctrine violente ? Comment définiriez-vous le nationalisme ?
Je suis le candidat de la droite nationale et européenne et je considère que le grand enjeu de ce siècle sera un enjeu de civilisation. En conséquence, je souhaite tout à la fois défendre notre héritage historique et culturel national et nos valeurs de civilisation, européennes et chrétiennes. Le principe national du XXIe siècle doit s’inscrire, selon moi, dans une volonté affichée d’affirmer nos identités, provinciales, nationales et européenne sans les opposer les unes aux autres. Les défis à relever sont communs à tous les patriotes des nations d’Europe. C’est la raison pour laquelle je continue à défendre un modèle à reconstruire d’une Europe des nations souveraines et des peuples libres, d’une Europe européenne et indépendante instaurant de surcroît un lien privilégié avec la fédération de Russie.
Je définis l’identité nationale comme la communion naturelle, historique, culturelle et spirituelle entre le peuple de France et la terre de France. Je considère que le peuple français, au même titre que les autres peuples du monde, a le droit et le devoir de rester lui-même et de refuser la colonisation migratoire dont il est victime. Le principe national est aujourd’hui le garant de l’identité nationale, de l’unité nationale et donc de la paix civile. C’est la destruction organisée de la France française qui porte les germes de la guerre civile et des affrontements ethniques.
Où en est votre collecte de signature ? Quel score espérez-vous ?
Je reste confiant quant à la possibilité d’être candidat. Le jour où les Français découvriront qu’existent le Parti de la France et l’Union de la Droite Nationale, alors tout sera différent et les perspectives électorales apparaîtront. C’est d’ailleurs la raison principale de l’exclusion médiatique dont nous sommes victimes. Lorsqu’on affronte les partis du système, ils défendent leurs privilèges et leurs avantages acquis.
Votre revendication n°1 porte sur l’immigration. Sur quoi se base votre opposition à l’immigration ? Est-il réaliste aujourd’hui de prôner l’immigration zéro ? Même Marine Le Pen semble reconnaître que ce n’est pas le cas…
En effet, la candidate Le Pen propose de réduire en 5 ans l’immigration nouvelle de 200 000 entrées à 10 000, ce qui revient à laisser entrer en 5 ans 420 000 nouveaux immigrés. Je considère quant à moi que les politiques d’immigration sont depuis 35 ans contraires à l’intérêt national et sont la cause principale de la ruine de la France et de l’insécurité des Français. Il faut donc immédiatement mettre un terme à l’immigration extra-européenne et mettre en place une politique de retour au pays ainsi qu’une réforme du code de la nationalité mettant fin à l’acquisition automatique de la nationalité pour les étrangers nés en France. La question qui se pose n’est d’ailleurs plus celle de l’immigration, mais celle de la colonisation migratoire, culturelle et islamique de la France et de l’Europe occidentale. Le problème a changé de dimension et de nature après trois décennies de politiques antinationales. Au rythme migratoire et démographique actuel, le peuple français sera minoritaire chez lui avant la moitié du siècle et le remplacement de population sera accompagné par un remplacement culturel et un changement de civilisation. Vous avez aimé l’immigration ? Vous allez adorer l’islamisation et la charia !
« Je souhaite remplacer la loi Veil
par une loi d’accueil de la vie »
Comment proposez-vous de réduire le déficit français ? Proposez-vous plus d’État ou moins d’État ?
La dette publique française, qui est aujourd’hui colossale, n’est rien d’autre que l’addition de tous nos déficits budgétaires cumulés depuis les années 80 et ce, à tous les échelons administratifs et sociaux ; Les démagogues et irresponsables qui ont dirigé l’État mais aussi les communes, les conseils régionaux et généraux et les caisses de sécurité sociale ont fait vivre la France à crédit. Le crédit facile au service de la démagogie sociale et électoraliste a fait les beaux jours de la caste dirigeante. Aujourd’hui, la fête est finie et les Français vont devoir payer la note. Il est vrai, cependant, que les peuples ont les gouvernements qu’ils élisent et que personne n’a obligé les Français à voter pour les fossoyeurs de la France.
La règle d’or à mettre en œuvre est de réduire les dépenses publiques aux seules dépenses ayant un effet économique et un effet sur l’emploi ; Il faut en finir avec tous les gaspillages, les dépenses de prestige, de communication et de copinage. Il faut d’abord que ce soient les collectivités et l’État qui se serrent la ceinture et qui montrent l’exemple plutôt que d’organiser la persécution fiscale des Français qui travaillent et qui épargnent.
La deuxième règle d’or est la mise en place du patriotisme social, c’est-à-dire une politique sociale et familiale qui bénéficie exclusivement aux Français.
La troisième règle d’or est le rétablissement de la préférence communautaire dans les traites et les politiques européennes ainsi que l’établissement de la préférence nationale, puis européenne à l’embauche. Il faut produire français, en France avec des Français !
La quatrième règle d’or est la pratique de la régulation commerciale en réponse à la dictature du libre-échange et du marché ouvert. La concurrence commerciale ne se conçoit que si elle est loyale et protégée de toutes les formes de dumping (social, fiscal, monétaire…) La régulation commerciale est la mise en pratique de règles d’échanges équilibrés et contrôlés qui nous mettrons à l’abri des prédateurs commerciaux. Il ne suffit pas de réguler la finance internationale, il faut réguler le commerce international.
Dans ce contexte l’État doit assumer ses fonctions régaliennes et de contrôle. Mais l’étatisme n’est rien d’autre qu’une des facettes du collectivisme et du socialisme. Nous voulons restaurer l’autorité de l’État, mais nous voulons que l’État reste à sa place et cesse de voler les français de leurs revenus et de leur épargne.
Quelle est votre opinion sur les problématiques suivantes : « mariage » homosexuel, ISF, écoles hors contrat ?
Le principe de l’ISF est une stupidité économique ; Taxer les revenus du capital ou du patrimoine est une chose normale, taxer le patrimoine, même s’il ne produit pas de revenus est une aberration.
La liberté de l’école est un droit familial fondamental. Il n’y a que dans les systèmes étatistes et totalitaires que l’enfant appartient à l’État. L’éducation des enfants est d’abord de la responsabilité des familles.
Je suis hostile au mariage homosexuel, à l’adoption d’enfants par les couples homosexuels, au PaCS et à la polygamie. Je considère que le mariage est l’union d’un homme et d’une femme. Je souhaite remplacer la loi Veil par une loi d’accueil de la vie, par un statut de la mère de famille et par une loi d’adoption prénatale. Il existe des valeurs qui ne sont pas négociables. C’est aussi cela l’enjeu de civilisation…
(1) La direction du Parti de la France est composée d’anciens cadres du Front national déçus par ses nouvelles orientations.
(2) le Mouvement national républicain et la Nouvelle droite populaire.
23:24 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 07 février 2012
Ils sont morts un 6 février, c'était en 1934...
Le 6 février 1934, à l'appel des mouvements nationalistes des dizaines de milliers de parisiens ulcérés par les scandales successifs qui finissent de salir la IIIe République agonisante sont réunis Place de la Concorde. Soudain, la démocratie parlementaire prend peur. La police tire dans la foule :
On compta vingt-deux morts chez les manifestants (sur le coup ou des suites des blessures dans les jours qui suivirent), un du côté de la police, deux cent cinquante-huit blessés graves chez les manifestants, quatre-vingt-douze dans la police.
Six d'entre eux étaient liés à l'Action française, il s'agit de : Alphonse Aufschneider, vingt-sept ans, valet de chambre, ligueur d'Action Française, tué d'une balle au coeur ; Costa Cambo, quarante-deux ans, allié d'Action Française, chômeur ; Raymond Lalande, 24 ans ; Jules Lecomte, trente-cinq ans, ouvrier chez Renault, mort d'une balle dans le ventre, ligueur et Camelot du roi ; Charles Liévin, 34 ans ; Georges Roubaudi, trente-six ans, industriel, ligueur et membre de l'Association Marius Plateau.
Pour les autres, on ne dispose pas de leur appartenance politique : Raymond Coudreau 49 ans, Louis Ethevenaux 26 ans, Jean-Eloi Fabre 21 ans, Lucien Garniel 16 ans, Corentin Gourland 34 ans, André Javey 39 ans, Marius Labouchaix 42 ans, Henri Lammert 31 ans, Ali Mezziane 28 ans, Jean Mopin 24 ans, Albert Munnier 27 ans, Gratien de Noblens 55 ans, René-Alain Peuzier 29 ans, Raymond Rossignol 37 ans, Alfred Soucary 30 ans, Henri Vaury 29 ans.
09:57 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Robert Brasillach, assassiné un 6 février...
L’exécution de Robert Brasillach, le 6 février 1945, relaté par Maitre Jacques Isorni
A 8 heures 30, devant les grilles du Palais de Justice, se forme le cortège des six voitures noires qui doivent conduire à Fresnes les personnes requises par la loi et l’usage pour l’exécution. Tout le long du parcours un important service d’ordre constitué par des gardiens de la paix armés de mitraillettes. Aux abords de Fresnes, le service d’ordre est beaucoup plus dense. Dans l’allée de la prison des gardes mobiles font la haie. Nous attendons quelques instants avec les différentes personnalités devant la grille d’accès au grand couloir qui mène à la détention.
A 9 heures juste, nous nous rendons, suivis d’un peloton de gardes mobiles, à la division des condamnés à mort. Le commissaire du gouvernement François ouvre la porte de la cellule de Robert Brasillach et lui annonce d’une voix sèche que son recours en grâce a été rejeté.
Je pénètre à ce moment dans sa cellule avec Maître Mireille Noël et l’aumônier. Robert Brasillach nous embrasse tous les trois. Puis il demande à rester seul avec l’aumônier. Deux gardiens viennent lui retirer ses chaînes. Après sa confession et quelques minutes d’entretien avec le prêtre il me fait appeler ainsi que Mademoiselle Noël. Il me donne alors ses dernières lettres qu’il a préparées pour sa mère, pour sa famille, pour ses amis, pour Mademoiselle Noël et pour moi-même.
Il me donne également les manuscrits des poèmes écrits en prison et une feuille contenant quelques lignes avec ce titre : « La mort en face ». De temps en temps il me regarde avec un bon sourire d’enfant. Il avait compris, dès hier, que ce serait pour ce matin.
« Vous savez, me dit-il, j’ai parfaitement dormi ! »
Comme il doit revêtir son costume civil à la place du costume du condamné à mort qu’il porte, Mademoiselle Noël se retire et je demeure seul avec lui.
« Oui, restez près de moi », me dit-il.
Il me montre la photographie de sa mère et celle de ses deux neveux.
Il les met dans son portefeuille et m’exprime le désir de mourir avec ces photographies sur son cœur. A ce moment, il a une légère défaillance, il pousse un soupir, et des larmes coulent de ses yeux. Il se tourne vers moi et dit, comme s’il voulait s’excuser : « C’est un peu naturel. Tout à l’heure je ne manquerai pas de courage. Rassurez-vous ».
Il s’habille alors tranquillement, avec beaucoup de soin, refait la raie de ses cheveux devant sa petite glace, puis, songeant à tout, retire d’une miche de pain un petit canif et une paire de ciseaux qu’il y avait dissimulées et qu’il me remet. Il m’explique : « pour que personne n’ait d’ennuis ».
Il range ses affaires personnelles dans un grand sac. A ce moment, il a soif. Il boit un peu d’eau dans sa gamelle. Puis il achève sa toilette. Il a le pardessus bleu qu’il portait au procès. Autour de son cou il a passé un foulard de laine rouge.
Il demande à s’entretenir avec Monsieur le Commissaire du Gouvernement Reboul.
Celui-ci s’avance. Il est raidi par l’émotion, le visage tourmenté, d’une grande pâleur.
D’une voix sourde, Brasillach lui fait alors la déclaration suivante : « Je ne vous en veux pas, Monsieur Reboul, je sais que vous croyez avoir agi selon votre devoir ; mais je tiens à vous dire que je n’ai songé, moi, qu’à servir ma patrie. Je sais que vous êtes chrétien comme moi. C’est Dieu seul qui nous jugera. Puis-je vous demander un service ? »
Monsieur Reboul s’incline. Robert Brasillach continue : « Ma famille a été très éprouvée, mon beau-frère est en prison, sans raison, depuis six mois. Ma sœur a besoin de lui. Je vous demande de faire tout ce que vous pourrez pour qu’il soit libéré. Il a été aussi le compagnon de toute ma jeunesse ».
Le commissaire du Gouvernement lui répond : « Je vous le promets ».
Robert Brasillach lui dit pour terminer : « Consentirez-vous, Monsieur Reboul, à me serrer la main ? »
Le commissaire du Gouvernement la lui serre longuement.
Robert Brasillach m’embrasse une fois encore. Il embrasse également Maître Mireille Noël qui vient de rentrer et lui dit : « Ayez du courage et restez près de ma pauvre sœur ».
Il est prêt. Il ouvre lui-même la porte de sa cellule. Il s’avance au devant des personnalités qui attendent et leur dit : « Messieurs, je suis à vos ordres ».
Deux gardes mobiles se dirigent vers lui et lui passent les menottes. Nous gagnons le grand couloir de la sortie. En passant devant une cellule, d’une voix claire, Robert Brasillach crie : « Au revoir Béraud ! » et, quelques mètres plus loin : « Au revoir Lucien Combelle ! ».
Sa voix résonne sous la voûte, au-dessus du bruit des pas.
Lorsque nous arrivons à la petite cour où attend la voiture cellulaire, il se retourne vers Mademoiselle Noël et lui baise la main en lui disant : « Je vous confie Suzanne et ses deux petits ». Il rajoute : « C’est aujourd’hui le 6 février, vous penserez à moi et vous penserez aussi aux autres qui sont morts, le même jour, il y a onze ans ».
Je monte avec lui dans la voiture qui va nous conduire au fort de Montrouge. Il s’est assis, impassible, en me prenant la main. A partir de ce moment, il ne parlera plus.
Le poteau est dressé au pied d’une butte de gazon. Le peloton, qui comprend 12 hommes et un sous-officier, nous tourne le dos. Robert Brasillach m’embrasse en me tapotant sur l’épaule en signe d’encouragement. Un sourire pur illumine son visage et son regard n’est pas malheureux. Puis, très calme, très à l’aise, sans le moindre tressaillement, il se dirige vers le poteau. Je me suis un peu détaché du groupe officiel. Il s’est retourné, adossé au poteau. Il me regarde. Il a l’air de dire : « Voilà… c’est fini ».
Un soldat sort du peloton pour lui lier les mains. Mais le soldat s’affole et n’y parvient pas. Le maréchal des logis, sur ordre du lieutenant essaye à son tour. Les secondes passent… On entend la voix du lieutenant qui coupe le silence : « Maréchal des logis !… Maréchal des logis !… ».
Robert Brasillach tourne lentement la tête de gauche à droite. Ses lèvres dessinent un sourire presque ironique. Les deux soldats rejoignent enfin le peloton.
Robert Brasillach est lié à son poteau, très droit, la tête levée et fière. Au-dessus du cache-col rouge elle apparaît toute pâle. Le greffier lit l’arrêt par lequel le pourvoi est rejeté.
Puis, d’une voix forte, Robert Brasillach crie au peloton : « Courage ! » et, les yeux levés : « Vive la France ! ».
Le feu de salve retentit. Le haut du corps se sépare du poteau, semble se dresser vers le ciel ; la bouche se crispe. Le maréchal des logis se précipite et lui donne le coup de grâce. Le corps glisse doucement jusqu’à terre. Il est 9 heures 38.
Le docteur Paul s’avance pour constater le décès. L’aumônier et moi-même le suivons et nous inclinons. Le corps est apparemment intact. Je recueille, pour ceux qui l’aiment, la grosse goutte de sang qui roule sur son front.
Fait à Paris le 6 février 1945,
Jacques Isorni
Avocat à la Cour d’Appel
Source La Flamme cliquez ici
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samedi, 04 février 2012
Antonio de Oliveira Salazar : pour l'amour du Portugal...
Bientôt, Synthèse nationale pubiera une biographie de Salazar signée Jean-Claude Rolinat et portfacée par Duarte Branquinho, directeur du grand hebdomadaire nationaliste portugais O Diablo...
22:11 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Jean Castrillo est décédé...
Nous venons d’apprendre avec tristesse la disparition, le 24 janvier dernier, de Jean Castrillo à l’âge de 89 ans.
Depuis plusieurs mois, il luttait contre la maladie qui le rongeait et il avait dû subir plusieurs opérations.
Dès l’age de 14 ans, Jean Castrillo s’était engagé dans les rangs des organisations de jeunesses du Parti populaire français créé par Jacques Doriot.
Pendant la seconde guerre mondiale, il s’est battu héroïquement, aux côtés de ses camarades européens, dans la grande croisade contre le bolchevisme. Ce qui lui valut 4 ans d’emprisonnement par la suite.
N’abandonnant jamais le combat, 40 ans durant, il anima le journal Militant, le mensuel nationaliste dirigé aujourd’hui par André Gandillon. Au-delà de cet engagement politique, Castrillo nous laisse aussi plusieurs livres qui témoignent de son érudition exceptionnelle.
A ses proches, à la rédaction de Militant, nous présentons nos fraternelles condoléances. Le combat continue.
11:40 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 31 janvier 2012
Le pot des Amis de Rivarol a confirmé l'influence grandissante du journal de l'opposition nationale et européenne...
Le POT DES AMIS DE RIVAROL a été un franc succès. Plusieurs centaines de rivaroliens s'étaient rassemblés pour exprimer leur soutien au plus vieil hebdomadaire de la droite nationale. On pouvait à peine se faufiler entre les amis du journal tant la salle du passage Dubail était bondée !
Après l'approbation du compte rendu moral et financier, et la réélection du Bureau à l'unanimité, les rédacteurs du journal ont pris la parole : André Gandillon, Léon Camus, Hannibal, Robert Spieler et Scipion de Salm.
Après une pause, Pierre Sidos et Yvan Benedetti ont insisté sur la nécessité de former des militants et souligné qu'il ne fallait rien attendre de la voie démocratique.
Enfin, Vincent Reynouard a présenté son livre "lettre à Marine Le Pen", un ouvrage pour tirer les leçons de 2002; Hervé Ryssen, quant à lui, a exhorté l'assistance à ne pas craindre l'ennemi, qui n'est pas si fort qu'il y paraît, et à refuser de faire fonctionner la société de consommation pour rejeter le système.
Reynouard et Ryssen tenaient des stands de livres, comme Terre et Peuple et Spieler pour Anne Kling. RIVAROL avait sa braderie de livres habituelle, et proposait notamment les albums de CHARD.
Une fois de plus, RIVAROL a montré qu'il savait rassembler divers courants. Cette foule (certains avaient fait le déplacement depuis la province) venue manifester son attachement à l'hebdomadaire était la plus belle récompense que les rédacteurs pouvaient attendre.
Rendez-vous l'année prochaine !
Source Le blog non officiel de Rivarol cliquez ici
00:43 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 27 janvier 2012
Franck Abed présente le calendrier "Des racines et des Elfes"...
13:36 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 26 janvier 2012
Samedi prochain : LES AMIS DE RIVAROL TOUJOURS PLUS NOMBREUX...
01:26 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 25 janvier 2012
Samedi 11 février, à Paris, conférence de Synthèse nationale sur l'évolution de la Droite nationale entre 1968 et 2012 : VENEZ NOMBREUX !
16:26 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 24 janvier 2012
Carl Lang a participé, dimanche dernier, à la Marche pour la Vie...
Extrait d'un entretien accordé à Jeanne Smits pour le quotidien Présent (cliquez ici) lors de la Marche pour la Vie de dimanche dernier : « Nous proposons l’abrogation de la loi Veil et son remplacement par une loi d’accueil de la vie [...] je crois qu’il faut remplacer la législation sur l’avortement par une législation de protection de la mère de famille et de protection de l’enfant ; la mise en place d’une législation d’accueil de la vie pourrait permettre de tourner définitivement le dos à une législation de la mort et de la culture de mort. »
11:08 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 23 janvier 2012
Samedi prochain, 28 janvier, à Tours : 2e MARCHE DE LA FIERTE TOURANGELLE...
10:03 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 21 janvier 2012
Ce samedi : Carl Lang à Valenciennes...
02:31 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 20 janvier 2012
Synthèse nationale est désormais en vente sur le site de la Librairie française...
Le Librairie française, spécialisée dans la vente de livres par correspondance (une sorte d'Amazon nationaliste), diffuse désormais la revue Synthèse nationale (cliquez ici).
Profitez-en pour consulter le grand choix de livres, de CD et DVD, ainsi que de revues proposé par la Librairie française (cliquez là).
Plutôt que d'acheter par correspondance sur les sites conventionnels du Système, faites plutôt marcher les entreprises de notre famille politique.
00:37 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 18 janvier 2012
Rock'n'ball, le premier roman de Julien Ruzé...
Synthèse nationale
Les Anglo-saxons Irvine Welsh et John King nous avaient déjà livré des œuvres fictionnelles sur les mauvais garçons des tribunes. Aujourd’hui Julien Ruzé nous propose le premier roman hexagonal sur le hooliganisme.
L’action se situe en 2015 dans un Paris ultra sécurisé, bardé de caméras et d’interdictions ubuesques. Ces héros, une bande de jeunes fans turbulents d’un grand club parisien de foot. Vomissant les travers du football moderne et mercantile, ils défendent avant tout l’identité de leur ville, les couleurs de leur bande, le style de vie de petits blancs de classe moyenne voyant leur monde s’écrouler sous le double étau de l’immigration et du capitalisme ravageur. Le terrain de foot agit comme un prisme révélateur, comme un pré carré focalisateur. Ce roman à consonance sociale nous livre les clés de la contre culture hooligan tant en matière vestimentaire qu’en matière musicale et littéraire. Loin des clichés et des idées reçues ces enfants terribles du ballon rond ne forment pas un bataillon de bas du front mais un ensemble doté de sa propre éthique, de ses propres codes et d’un regard critique sur l’évolution de notre société.
Ce livre décrit aussi les mécanismes de répression liberticide mis en place par le Système pour broyer impitoyablement ces rebelles dont le seul tort est sans doute de ne jamais courber l’échine. « Ces couleurs ne courent jamais ».
Rock’n’Ball, Julien Ruzé, Editions Lazarte, 273 pages, 16,80 €.
16:30 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 17 janvier 2012
INTERDIT AUX CHIENS D'ABOYER, le nouveau livre de Pierre Descaves...
A 85 ans, Pierre Descaves a entendu le message christique de Jean-Paul II : « N'ayez pas peur ! » Il n'a pas peur lui qui écrit: « S'il le faut, je défendrai encore le territoire de la métropole s'il devait être attaqué de l'intérieur par une population venue d'ailleurs. » Ce ne sont pas des paroles en l'air. Et elles prennent une singulière résonance à l'heure où la Tunisie, la Libye et l'Egypte, « libérées » de leurs "tyrans" naguère choyés par un Occident suicidaire, viennent de se donner à l'islamisme. On rappellera au passage que les « islamistes modérés » (sic) du parti tunisien Ennahada ont obtenu, chez les votants tunisiens en France, un score supérieur à celui réalisé en Tunisie même... Ils ont bonne mine les chantres de l'intégration et de l'assimilation...
Oui, Rome n'est plus dans Rome et les Barbares sont déjà dans le Capitole... Est-il déjà très tard ? Oui. Est-il déjà trop tard ? Non. Il ne faut jamais pécher contre l'espérance. Et il est encore plus beau de croire au matin quand on est plongé dans les ténèbres. Pierre Descaves croit au matin de notre pays. Il le dit avec des mots qui résonnent comme sonnait jadis le tocsin alors que l'ennemi était à nos portes. Aujourd'hui, l'ennemi a franchi les portes avec la complicité de ceux qui avaient mission de les garder fermées. L'erreur serait de croire pourtant que les carottes sont cuites. Et c'est très exactement le message d'espoir porté par ce livre de salut public.
Interdit aux chiens d'aboyer, Pierre Descaves, Editions Fol'fer, 230 pages, 22,00 €, préface de Roger Holeindre et postface d'Alain Sanders.
Pour l'acheter, cliquez ici
11:01 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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PRENEZ VOTRE CARTE 2012 DE LA NDP : UN APPEL DU TRESORIER NATIONAL DE LA NDP...
Au cours de l’année 2011 la Nouvelle Droite Populaire, composante nationaliste et identitaire de l’Union de la Droite Nationale, a multiplié ses activités afin de devenir une force crédible face au Système.
Plusieurs réunions publiques se sont tenues à Paris sous l’égide de Synthèse nationale (12 février « le combat nationaliste continue », 9 avril « les 35 ans du regroupement familial », 27 juin « pour l’union de la droite nationale »), ainsi que deux Conseils nationaux (le 7 mai et le 12 novembre), sans oublier des réunions militantes internes et plusieurs manifestations tant en région parisienne qu’en province.
Mais les deux moments forts de notre activité en 2011 furent bien sûr notre présence active à la tête du magnifique défilé unitaire contre le mondialisme le 8 mai (1 500 participants) et la 5e Journée de Synthèse nationale, le 11 novembre, que nous avons maintenue en dépit des multiples menaces et qui remporta un franc succès (un millier de visiteurs).
Sur le plan politique, la NDP s’est engagée, aux côtés de ses partenaires de l’Union de la Droite Nationale, derrière la courageuse candidature de Carl Lang à la Présidentielle. Elle prépare aussi les élections législatives qui suivront où elle entend présenter, sous l’étiquette de l’UDN, des candidats.
Ajoutez à cela plusieurs campagnes de sensibilisation avec tracts et autocollants (contre le droit de vote aux immigrés, pour la France aux Français…), l’ouverture de plusieurs délégations en province (Bourgogne, Drôme, Savoie, Loire-Atlantique pour ne citer que celles-ci), la sortie régulière de notre bulletin d’information et la diffusion de plus en plus importante de la revue Synthèse nationale, vous le constaterez la NDP a largement rempli les objectifs qu’elle s’était fixée pour l’année écoulée.
Tout cela a été possible grâce au dévouement, à la fidélité et à la générosité de nos adhérents. Certes, il y a beaucoup de choses à faire pour améliorer notre fonctionnement et notre efficacité. Ce ne sont d’ailleurs pas les idées qui nous manquent et nous comptons, au cours de l’année 2012, parfaire notre organisation et accroître encore plus notre audience. L’intérêt national et la sauvegarde de notre identité le méritent bien.
Pour cela, une fois de plus, nous avons besoin de vous tous. Pour l’heure, la NDP ne peut compter que sur les cotisations de ses membres pour assurer son développement. L’augmentation sensible au cours de l’année 2011 du nombre de ceux-ci (+ 30%) nous laisse penser que nos ambitions ne sont pas, loin s’en faut, irréalisables. Notre participation aux législatives de juin prochain devrait permettre à notre mouvement de rompre le mur du silence qui entoure les forces nationalistes depuis trop longtemps. De plus nous avons plusieurs projets d’éditions qui nous permettront d’accentuer la formation, tant historique que politique, de nos amis. Mais tout cela coûte cher.
Voilà pourquoi nous vous invitons, Cher(e)s Adhérent(e)s, à renouveler en ce début d’année 2012, votre cotisation à la Nouvelle Droite Populaire. Nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes. Nous ne sommes financés ni par les multinationales ni par une quelconque puissance étrangère et pourtant, depuis 4 ans maintenant, la NDP réalise chaque année ce qui semblait, pour beaucoup, bien audacieux.
Nous vous demandons aussi, dans la mesure du possible, de participer effectivement à l’implantation du mouvement. Nous devons créer un réseau à travers tout le pays. Dans de nombreux départements nous avons plusieurs adhérents qui ne se connaissent pas entre eux. L’objectif est de multiplier les délégations locales afin de constituer des groupes actifs. Pour cela nous vous invitons à prendre contact avec notre coordinateur national Yves Darchicourt, par courriel : ydarc@orange.fr ou en écrivant à la NDP.
Persuadés que nous pouvons compter sur votre fidélité à tous, recevez l’expression de nos sentiments nationalistes et identitaires les plus déterminés.
Roland Hélie
Trésorier national
Pièces jointes :
La circulaire aux adhérents cliquez ici et le bulletin d'adhésion 2012 cliquez là.
01:13 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 16 janvier 2012
Quoi du commun entre le FN et la Droite nationale ?
Communiqué de la Nouvelle Droite Populaire de la Drôme cliquez ici :
Nous étions déjà, depuis le mois de janvier 2011, un nombre croissant de patriotes et identitaires à nous être posé la question, et à y avoir apporté une réponse.
Pour les quelques égarés qui se seraient trouvés encore partagés à la date du mercredi 11 janvier, la réaction du directeur stratégique de la campagne Le Pen, M. Florian Philippot, à la position sur l'immigration de la Droite nationale, exprimée par Carl Lang dans le cadre d'un entretien accordé au "Daily Mouloud" de Canal Plus, aura probablement eu le mérite de leur mettre les points sur les "i" : « Ben il a des termes, oui, un peu bizarres... Nous on est pour l'arrêt de l'immigration, on veut passer en 5 ans de 200 000 à 10 000 par an entrées légales. C'est assez simple, on a le droit d'être contre l'immigration parce que ça fait pression à la baisse sur les salaires, c'est le grand patronat qui en veut... On dit pas plus que ça. On est raisonnables ». cliquez ici
En sachant que le discours de Carl Lang ne faisait ici que rappeler les positions qui ont toujours été les siennes et qu'il a défendues de 1972 à 2009 en tant que militant, cadre, puis secrétaire général, vice-président du FN et député européen aux côtés de Jean-Marie Le Pen, de deux choses l'une : soit M. Philippot a oublié de se renseigner avant de devenir porte-parole du "New FN"... soit ce sont les électeurs qui devraient se renseigner avant d'aller voter !
En tout cas, à la question de savoir s'il y a encore des gens "comme Carl Lang" au nouveau FN de Madame Le Pen, réponse sans hésitation de M. Philippot : "Non, menfin tout ça c'est assez marginal. (...) J'lai jamais croisé, mais chui content qu'y soit pas chez nous".
Voilà qui a au moins le mérite de la clarté... Et qui nous fait, d'ailleurs, au moins un point de convergence avec M Philippot : nous aussi, nous sommes contents de ne pas être chez lui.
19:58 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 13 janvier 2012
Lyon : La Nouvelle Droite Populaire soutient la manifestation des Jeunesses nationalistes de samedi prochain !
La Nouvelle Droite Populaire soutient la manifestation des Jeunesses nationalistes !
Samedi 14 janvier aura lieu une manifestation des Jeunesses nationalistes à Lyon. Rendez-vous à 15 heures, place Carnot. Le thème ? « Afghanistan : Honneur à ceux qui sont tombés ! Honte à ceux qui les ont fait tuer ! » 4 000 soldats sont aujourd’hui engagés en Afghanistan dans une guerre imbécile qui coûte un million d’euros par jour aux contribuables français et qui, surtout, a mené à la mort 75 jeunes soldats français. Cette guerre ne concerne pas la France. Les soldats français meurent pour les intérêts américains. De plus, cette guerre est impossible à gagner. La France n’a à défendre que ses intérêts et ceux de l’Europe. Elle n’a pas à se mêler du conflit afghan, pas davantage que du conflit israélo-palestinien. On constate aussi la catastrophe qu’engendre son action, aux côtés des Américains, en Libye, en Tunisie, en Egypte. Les islamistes prennent le pouvoir. La question qu’il convient de se poser est la suivante : ceux qui dirigent notre pays sont-ils des imbéciles ou œuvrent-ils consciemment à notre disparition ?
La Nouvelle Droite Populaire soutient totalement l’initiative des Jeunesses nationalistes, avec à leur tête Alexandre Gabriac et Yvan Benedetti. François Ferrier, membre du comité directeur de la NDP et ancien conseiller régional sera présent, aux côtés d’une délégation de la NDP. Comme le déclare le site des Jeunesses nationalistes : « Ne laissons plus les élites mondialistes jouer avec la vie de nos soldats » !
Résistance !
09:21 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 10 janvier 2012
Le nouveau numéro d'Eléments...
Le principe de la démocratie n’est pas celui de l’égalité naturelle des hommes entre eux, mais celui de l’égalité politique de tous les citoyens. La « compétence » à participer à la vie publique n’a pas d’autre source que le fait d’être citoyen. (...) Le peuple, en démocratie, n’exprime pas par son vote des propositions qui seraient plus « vraies » que d’autres. Il fait savoir où vont ses préférences et s’il soutient ou désavoue ses dirigeants. (...)
Au XIXe siècle, la droite conservatrice défend avant tout le peuple comme totalité – avec un net glissement du dèmos à l’ethnos –, en même temps qu’elle développe une mystique de l’unité nationale allant jusqu’à l’« union sacrée », tandis que les socialistes défendent les classes populaires. Dissociation profondément artificielle, puisque les « gens du peuple » ont toujours formé la vaste majorité du « peuple ». Le peuple doit en fait être défendu dans toutes ses dimensions.
• Le socialisme contre la gauche, par Alain de Benoist
• Jean-Claude Michéa, par Alain de Benoist
• Entretien avec Gaël Brustier : « La classe ouvrière existe encore en France, mais elle n'est plus là où elle était » • La leçon de socialisme de Robert Guédiguian, par Michel Marmin et Ludovic Maubreuil
Aussi au sommaire...
• Entretien avec Olivier Maulin, l'enchanteur contre le monde moderne, par Olivier François
• Au bord du gouffre financier : tous ruinés demain ?, par Pierre Le Vigan
• Bercy Village : le triomphe du gloubi-boulga identitaire, par Jean de Lavaur
• L’Europe a-t-elle (encore) un avenir ? par Jean de Lauthier
• Jean-Jacques Langendorf, le Gargantua suisse, par Laurent Schang
• Jean-Jacques Langendorf : « Qui aurait envie de sacrifier sa vie pour les non-objectifs de l’Union européenne ? »
• Robert Musil, pour se réapproprier le possible, par Eric Werner
• «Monsieur Bill», une bombe d’Alexandre Mathis, par Ludovic Maubreuil
• Avec Dominique Venner, vers une Europe héroïque et secrète, par Javier Ruiz Portella
• Cioran, bricoleur dans l’incurable, par Jean-Charles Personne
• Tribune : Prostitution, métier et/ou art de vivre ?, Par Pierre Barrucand
5.50 €, chez votre marchand de journaux cliquez ici
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mercredi, 04 janvier 2012
Connaissez-vous Tribann ?
Consultez le catalogue cliquez ici
20:20 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 30 décembre 2011
VOEUX...
Synthèse nationale vous souhaite
une bonne et heureuse année 2012...
Rendez-vous lundi.
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