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samedi, 29 septembre 2012

La manif des Jeunesses nationalistes interdite : plusieurs dizaines d'interpellations...

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Communiqué de l'Oeuvre française et des Jeunesses nationalistes :

Aujourd’hui, samedi 29 septembre 2012, a été interdite à la dernière minute la manifestation des Jeunesses Nationalistes programmée depuis deux mois. Sur le thème « Maîtres chez nous », avec l’accord des autorités légales, les nationalistes ont voulu manifester pour exprimer leur révolte la plus légitime face au racisme anti-blancs dont sont victimes chaque jour les Français de souche.

Une fois encore, après les 2 interdictions de Lyon en juin 2012, un pouvoir illégitime qui continue de desservir les intérêts de la France et de ses filles et fils, a voulu museler les Souchiens. Toutefois, pacifiquement mais fermement, afin de canaliser des centaines de jeunes venus à l’appel des Jeunesses Nationalistes, un ordre de rassemblement a été donné à Paris pour affirmer que le droit légitime des Français non reniés à rester maîtres chez eux était imprescriptible et prévalait sur... la volonté d’un régime politique installé en France mais qui n’est pas de France.

Malgré la volonté du système de nous faire taire, nous nous sommes rassemblés devant Notre Dame de Paris afin de montrer que les Français relevaient la tête et étaient déterminés à redevenir maîtres chez eux. Avant même d’être encerclés par des forces de l’ordre au pied de la Statue de Charlemagne place Notre Dame à Paris, avec une brutalité sans pareil, les militants dont Alexandre GABRIAC et Yvan BENEDETTI ont été arrêtés par la police du ministre à la kippa Manuel Valls.

Cette répression montre non pas la force mais la faiblesse d’un régime aux abois empêtré dans une crise économique porteuse d’une grave crise sociale et politique à venir. Comme toujours, l’avenir appartiendra à ceux qui sauront constituer une minorité politiquement formée et inaccessible au découragement.

Plus que jamais nous sommes déterminés à rester maîtres chez nous, à rétablir la France. Nul ne nous fera taire ! Hauts les cœurs, en avant la victoire !

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Dimanche soir sur Méridien zéro :

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Méridien zéro RBN cliquez ici

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Une France à la dérive...

1826468690.jpgLe billet de Patrick Parment

Il est toujours facile quand on a planté sa tente dans le champ de l’opposition de lancer de vertueux conseils à ceux qui nous gouvernent. Cependant, sans esprit critique, on ne progresse guère. Et la situation économique catastrophique dans laquelle nous sommes est bien le résultat des politiques menées depuis des décennies tant par la droite que la gauche. Certes, on a beau jeu – non sans raison – de critiquer l’Europe, mais je pense qu’il est aussi balayer devant sa porte et mettre de l’ordre dans notre propre Landerneau. La société française est corsetée à tous les niveaux : intellectuel, politique et économique. Ce que Michel Crozier avait consigné en 1971 dans un ouvrage intitulé, La société bloquée.

Certes, les critiques ne datent pas d’aujourd’hui et on se replongera avec intérêt sur les non-conformistes des années 1930 et leur slogan ni communisme / ni capitalisme, communisme que l’on remplacera évidemment par socialisme.

Intellectuellement, cette société vit sous le joug permanent de lois liberticides, de politiquement correcte – l’horizon indépassable de la démocratie -, de droits de l’homme et d’organismes représentatifs de l’air du temps qui appellent un chat, un chien. Histoire de faire accepter aux forceps une société multiraciale aux Français de souche.

Côté politique, nous sommes dans un système fermé où les politiques ne s’intéressent qu’à leurs problèmes de classe, leur promotion, leurs privilèges et le montant de leurs rétributions. Madame Roselyne Bachelot déclare gagner nettement plus – 20 000 € - à débiter des âneries sur une chaîne télé qu’à jouer au ministre. Un socialiste, membre de ce gouvernement se posait la question de savoir de quoi se plaignait la classe moyenne au regard de ses revenus qu’il estimait de 5 000 à 25 000 € ! Ce monsieur n’a, a priori, jamais entendu parler du Smic. Et ça gouverne !

Quant au volet économique, là on entre dans un univers carrément kafkaïen. D’une part, l’administration dans son ensemble (exception faite de la santé, en très mauvais état par ailleurs), joue contre les entreprises, sauf les très grosses évidemment (CAC 40) qui ont des moyens de pression. Je ne sais si vous avez essayé un jour de monter une entreprise dans ce pays, mais partez tout de suite pour Londres, c’est plus simple, ça prend moins de temps, et ça coûte moins cher.

En matière fiscale, l’inégalité n’est pas moindre vu que tout le monde est à la même enseigne, les gros comme les petits… sauf qu’au final, c’est le gros qui gagne. On nous promet une réforme de notre fiscalité depuis des décennies… mais personne, à droite comme à gauche, ne veut s’y coller. Trop de risque politique. Au final, une fiscalité injuste rendue d’autant plus pénalisante qu’il faut payer six millions de fonctionnaires - là aussi, on pourrait allègrement dégraisser - sans compter la multiplication d’organismes bidons (voir à ce sujet les rapports de la Cour des comptes). Ajoutez-y encore ce que nous coûte tous les « z’issus de l’immigration », « chez eux chez nous » comme le dit un slogan, clandestine ou pas et vous obtenez une addition que n’aurait pas désavouer le Père Ubu.

Si l’on ajoute encore (stop, arrêtez, n’en jetez plus !) le poids de l’Europe et de ses règlements qui nuisent d’ailleurs souvent à nos intérêts au nom d’un libéralisme meurtrier, la boucle est bouclée et on s’aperçoit que les Français travaillent pour le roi de Prusse, comme aimait à le dire ma grand-mère.

Comment voulez-vous que ce pays, qui ne manque pas de génie ni d’esprit d’entreprise, marche, saigné régulièrement qu’il est par des politiques de droite comme de gauche qui ne cessent d’accumuler les erreurs et de renvoyer l’ascenseur à leurs bailleurs de fonds.

Comment s’en sortir quand, par ailleurs, une classe intello-médiatique, jalouse de ses privilèges, diffuse chaque soir à la téloche sa dose de crétineries concentrées ? Comment, dès lors, empêcher Bernard Arnault de devenir Belge, Johnny d’immigrer en Suisse et de vivre aux Etats-Unis et les Français de becqueter, à haute dose, des anxiolytiques.

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La manif des Jeunesses nationalistes prévue ce samedi à Paris est interdite...

150912_033126_PEEL_StqWEQ.jpgNous venons d'apprendre l'interdiction par le pouvoir socialiste de la manifestation prévue ce samedi à Paris par le mouvement Jeunesses nationalistes.

Alors que l'ensemble de la classe politique se lamente sans retenue à la moindre atteinte, imaginaire ou avérée, à la démocratie où que ce soit dans le monde, en France on interdit à des jeunes Français de manifester publiquement leur légitime attachement à leur patrie et à leur identité.

Cette interdiction est tout simplement scandaleuse. Elle prouve, s'il en était encore besoin, la volonté du pouvoir d'étouffer toutes les formes de résistances au mondialisme destructeur des peuples et des nations.

Synthèse nationale

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vendredi, 28 septembre 2012

Par-delà le Copé-coller, le Bien est fait

Randa Philippe ao-t 2010 Portrait.jpgLa chronique de Philippe Randa

Il est toujours surprenant de constater les contradictions de la République française. Elle s’honore en effet à tout bout de champ d’être le pays autoproclamé des droits-de-l’homme, droits en question que le monde entier est sensé nous envier. Pourtant, on y dénonce quasiment chaque jour un tabou dont il conviendrait de ne pas parler, de ne surtout pas parler, au risque d’être brocardé comme un dangereux extrémiste…

Dernier en date, celui du « racisme anti-blanc » agité par Jean-François Copé, candidat à la direction de l’UMP, le premier parti d’opposition, celui-là même de l’ancien président Sarkozy…

Si le Front national ironise en constatant que le candidat Copé a mis quelques décennies à découvrir ce que lui-même dénonce depuis toujours, la quasi totalité de la classe politique hurle au « racolage électoral » auquel il se livrerait avec une rare inconscience. Ou un rare cynisme. L’un empêche-t-il l’autre, d’ailleurs ?

Ne doutons pas que le candidat Copé n’ait osé mettre les pieds dans le plat du politiquement correct qu’en raison de basses intentions politiciennes : en retard dans les sondages sur le si sémillant François Fillon, son rival à la présidence de l’UMP, il se devait de faire du « buzz », comme l’on dit désormais – soit du « raffût » comme on disait avant – pour se faire remarquer et ainsi espérer rattraper son retard.

Gageons que sitôt élu s’il parvient à ses fins, le président Copé n’aura de cesse de faire oublier une telle déclaration qui n’aura plus son utilité, copiant ainsi à la perfection les effets d’annonce sans lendemain de son maître-prédécesseur à la tête de l’UMP… et accessoirement à celle de la République française, dont c’est bien évidemment là l’obsession copéïenne, et pas seulement en se rasant le matin.

Au-delà de ses tristes ébats de politicaillerie, reste le tabou en lui-même… qui n’en est plus un, puisqu’exposé désormais en place publique. La dénonciation ou la négation de son existence revient à légitimer sa réalité, qui peut encore affirmer le contraire ?

Sans doute, le Copé-coller – tel que Marine Le Pen a ironisé sur les propos de l’intéressé qui reprend son vocabulaire – va-t-il faire prendre conscience à nombre de Français, comme dans le fameux Conte d’Andersen Les Habits neufs de l’empereur, que les « Blancs », c’est-à-dire dans le langage commun les « Français d’origine européenne » ne sont pas les seuls « racistes », mais que des Français (ou en voie l’être) d’origine africaine, maghrébine ou asiatique pourraient nourrir des sentiments peu droits-de-l’hommesque envers les « sous-chiens », comme les définit si élégamment Houria Bouteldja, militante politique franco-algérienne et porte-parole du parti des Indigènes de la République (PIR).

La classe politique peut donc quasi-unanimement aboyer contre l’un de ses éminents représentants en mal de notoriété, par-delà le « Copé-collé », le Bien est fait…

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Catalogne : quand les intrus veulent museler les souchiens...

BANDERA-CATALANISTA-ARABE.jpgDans le cadre du VIIIe Congrès des Imams et des Présidents de Mosquée de Catalogne, le secrétaire de la Fédération du Consell Islamique de Catalogne, Mohammed Halhoul, a affirmé qu’il fallait marquer avec d’une ligne rouge les limites de la liberté d’expression, artistique et de production.

En bref Mohammed Halhoul souhaite museler les catalans.

La riposte de Josep Anglada (cliquez ici), président du parti identitaire Plataforma per Catalunya est sans appel : “Mohammed Halhoul n’est personne pour dire ce que les lois catalanes doivent faire, Hahoul est un maure qui doit quitter la Catalogne si il n’est pas content vers un pays de lois islamique, c’est sur que là il se sentira bien, tout le monde sait que sa loi est caractérisée par la liberté d’expression et la défense des liberté, surtout celles des femmes”.

Source Terre et peuple Perpignan cliquez là

10:22 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : "Histoire des Fascismes" de François Duprat diffusé par Les Bouquins de Synthèse nationale...

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Le livre de François Duprat Histoire des Fascismes, initialement publié dans les années 70 et réédité au printemps dernier par Deterna, est désormais diffusé par Les Bouquins de Synthèse nationale. Ce livre est préfacé par Alain Renault. Vous pouvez vous le procurer en cliquant ici ou en nous retournant le bulletin de commande suivant cliquez là.

Histoire des Fascisme, François Duprat,

préfacé par Alain Renault, 310 pages, 29 € + 3 € de port.

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Télé : une nouvelle série s’en prend à l’Eglise catholique

LLLLIT~1.JPGDécidément, ils ne s’arrêtent plus ! Après le téléfilm « Inquisitio », produit par France 2 et historiquement mensonger, puis « Borgia » , Canal + récidive avec « Ainsi soient-ils ». La diffusion de cet étron de 8 x 52 minutes commence le 11 octobre prochain. Yahoo news présente ainsi cette série : « Elle met en scène cinq futurs prêtres partagés entre leurs idéaux de jeunesse et la rigueur de leur engagement, et confrontés aux réalités d’un monde extérieur plus complexe qu’il n’est écrit dans la Bible. »

Concrètement, la série va insister sur les « tentations auxquelles sont confrontées les 5 jeunes séminaristes de la série : l’argent, la violence et le sexe. » Quelle programme ! Quatre affiches sont sorties pour annoncer ce navet, et illustrent parfaitement l’esprit de la production : cliquez ici

Une fois de plus le modèle de vie vertueux proposé par l’Église catholique va être souillé. Les intransigeants relèvent les noms des dégénérés mêles à cet immondice, l’origine des protagonistes surprendra que les plus naïfs :

Créateurs : David Elkaïm, Bruno Nahon
Scénario : David Elkaïm, Vincent Poymiro
Avec : Samuel Jouy, Julien Bouanich …
Production : Zadig Productions, Arte France

Président du Comité consultatif des programmes d’ARTE : Françoise Benhamou
Président du Conseil de surveillance d’ARTE : Bernard Henri Lévy
Producteurs associés de ZADIG Productions : Bruno Nahon, Paul Rozenberg, Caroline Nataf, Florian Lobstein …

Source Contre Info.com cliquez là

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Revue de presse : Energies vertes, le côté obscur de l’éolien

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Louis Marin

Economie matin cliquez ici

Dans l’Orne, 10 éoliennes sur 11 récemment construites appartiennent… à des élus locaux. Delphine Batho, Ministre de l’Ecologie, reste muette.

Les promoteurs éoliens se présentent très souvent non comme des businessmen, mais comme des ONG salvatrices de l’humanité victime du réchauffement climatique.

Ces industriels oublient bien souvent de préciser que compte tenu de l’intermittence du vent, l’énergie éolienne doit être compensée par une électricité thermique au charbon, au gaz ou au pétrole génératrice d’émissions énormes de gaz à effet de serre et que la biodiversité est totalement perturbée par les tonnes de béton utilisées, les effets stroboscopiques des pâles et les infrasons.

Mais le plus grave c’est que derrière cette figure sympathique d’écologie se cache une face obscure que la récente conférence environnementale a largement occultée. En effet, la filière éolienne se trouve actuellement confrontée dans le plus grand silence à une tempête juridique pénale qui pourrait tous simplement balayer définitivement l’éolien terrestre en France.

En effet, les associations de défense de l’environnement désormais habituées à décortiquer les dossiers de montages des promoteurs ont découvert qu’une grande partie des éoliennes terrestres installées en France était située sur les terres des maires, des conseillers municipaux ou des membres de leur famille.

Le plus grave c’est qu’une majeure partie de ces élus ont participé sciemment à l’élaboration des projets et aux délibérations d’installation des aérogénérateurs. Or ce délit de prise illégale d’intérêt est passible de 5 ans de prison et 750.000 euros d’amende (article 432-12 du code pénal). Actuellement de très nombreuses plaintes sont déposées auprès des procureurs de la République qui ouvrent des enquêtes préliminaires dans la France entière dont la Basse Normandie région particulièrement révélatrice de cette organisation.

Le Service Centrale de Prévention de la Corruption et la Direction des affaires criminelles du Ministère de la Justice sont désormais saisis de l’affaire qui est prise très au sérieux. Car outre des faits de prises illégales d’intérêt les enquêteurs pourraient découvrir des faits de corruption et de trafic d’influence comme c’est actuellement le cas pour un parc éolien en Haute Loire où la maire et deux conseillers municipaux sont mis en examen pour ces chefs d’accusation.

A cet égard Noel Pons consultant spécialiste de la corruption a publié une note pour le centre de criminologie de l’Université de Paris II sur le développement croissant de la criminalité verte. Un collectif d’association Bas Normand a récemment saisi le Président de la République de cette question ainsi que de l’opacité des circuits financiers qui a répondu dans un courrier qu’il demandait à la Ministre de l’Ecologie de faire diligence sur toutes ces questions.

Mais jusqu’à présent cette dernière est restée particulièrement muette et le Préfet de Région de Basse Normandie conforté par ses services a tout récemment attribué un permis de construire dans l’Orne où 10 éoliennes sur 11 appartiennent à des élus ou leur famille alors qu’une enquête préliminaire avait été ouverte préalablement sur le sujet.

Alors qu’en Italie la justice vient de saisir un parc éolien appartenant à la mafia calabraise, le pouvoir exécutif français devrait se méfier de soutenir une filière qui à terme devrait faire l’objet d’un énorme scandale judiciaire et financier. Sauf à ce qu’une loi d’amnistie générale blanchisse tous les élus concernés mais François Hollande a promis pendant sa campagne une République propre et irréprochable. A suivre donc…

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RAPPEL : vendredi 28 septembre, réunion parisienne de l'OEuvre française

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Et le lendemain : manif des Jeunesses nationalistes

autorisée par la Préfecture de police de Paris

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01:22 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 27 septembre 2012

Mensonges médiatiques, mensonges historiques : L'Algérie vue par Le Monde en 2012

pont_de_sidi_naa770mane_3.jpgPierre Milloz

Polémia cliquez ici

Le conformisme, l’inculture et l’absence de tout regard critique ne cessent de progresser dans les médias. A partir du moment où une affirmation est politiquement ou historiquement correcte les journalistes se croient tout permis : à-peu-près et invraisemblances s’accumulent. Les faits n’interviennent plus, seule compte l’idéologie. Voici un décryptage d’un article du Monde. Le très rigoureux Pierre Milloz y compare ce qu’il a connu de l’Algérie et ce qu’en dit Le Monde.
Polémia.

Traitant d'une récente exposition sur l'Algérie, Le Monde évoque dans son numéro du 20 septembre dernier, sous la signature de Catherine Simon, « les tombereaux de morts “indigènes” que 130 années de colonisation ont laissés derrière elles ».

Des tombereaux… J'ai couru au dictionnaire Larousse : « Caisse montée sur deux roues, servant au transport des matériaux et se déchargeant par basculement ». Mme Catherine Simon ne dit pas où se faisait le basculement, mais son lecteur est invité à le deviner : la mer, sans doute, ou pis encore les charniers, bien sûr.

Et moi qui ai passé les trente premières années de ma vie en Algérie, et qui n'étais pas au courant ! Et mes grands-parents ne m'en ont jamais parlé ! Bien que leur ancienneté remontât aux années 1880, ils ne devaient pas être au courant non plus. Et pas davantage mes parents. Il est vrai qu'ils n'ont guère quitté Alger et que les services secrets massacraient sans doute plus facilement ailleurs que dans les grandes villes.

Pourtant l'expérience de mes beaux-parents plaide en sens contraire : ils ont vécu la plus grande partie de leur vie dans des petites villes « de l'intérieur », comme on disait, et il semble que durant toutes ces années ils n'aient pas davantage remarqué les hécatombes méthodiques d' « indigènes ». Les tombereaux étaient assurément nombreux et chargés et pourtant malgré les carnages la population augmentait rapidement de 3.750.000 en 1886 à 9.730.000 en 1954.

Si l'on interrogeait Mme Simon elle expliquerait sans doute que les tueries et les tombereaux qui en évacuaient les résultats constituaient un phénomène propre au bled. Mais là j'ai un exemple qui ferait hésiter. Mon oncle et ma tante ont été instituteurs de 1920 à 1946 dans le bled. Ils étaient affectés non dans une ville mais dans un douar de Kabylie : celui de Sidi Naaman, dans la vallée de l'Oued Chélif. Jusque dans les années trente (de ce que l'on m'a maintes fois raconté, je crois me souvenir que le pont fut construit en 1934), l'école et le douar étaient l'hiver coupés de la route d'Alger à Tizi-Ouzou par les crues de l'Oued Chélif. J'y ai passé plusieurs mois lorsque, après le débarquement américain du 8 novembre 1942 et les bombardements allemands qui ont suivi, mes parents ont jugé préférable de mettre leurs enfants à l'abri à Sidi Naaman. J'ai ainsi fait avec plaisir la connaissance des enfants du lieu scolarisés et des notables du douar avec qui mon oncle et ma tante avaient noué des relations amicales et conviviales.

Lorsque survinrent les événements de Sétif en 1945, on sut qu'après ce début de guerre civile, les auteurs de la sédition se repliaient vers l'ouest en Kabylie et pouvaient menacer l'école. Alors les hommes du douar de Sidi Naaman se sont constitués en groupes armés pour, jour et nuit, défendre celle-ci et les instituteurs.

Je n'ai jamais de ce côté non plus, entendu parler de tombereaux.

Il me vient à l'esprit que je me suis donné beaucoup de mal pour contester non pas une pensée mûrie sur une réalité complexe mais un réflexe conditionné. Celui-ci en vaut-il la peine ? Peut-être en ce qu'il est représentatif de certains médias, mais sûrement pas en lui-même car il exprime la plus attristante des imbécillités : l'imbécillité mécanique du robot.

08:51 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 18 novembre, Paris :

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Tours, vendredi 19 octobre, Robert Ménard invité du Cercle Jean Royer...

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12 octobre : soirée Livr'arbitres à Paris

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Mariage des paires homosexuelles : nouvelle initiative d'opposition !

567109440.jpgDéputé-maire d’Orange, Jacques Bompard vient d' adresser une lettre-circulaire à tous les maires de France dans laquelle il regrette que le gouvernement n’organise pas de référendum relatif au mariage des invertis. Il demande aux édiles d'intervenir auprès de leurs députés et sénateurs, afin que soit inscrite dans la loi une clause de conscience permettant aux maires ou adjoints de ne pas être tenus de célébrer un tel mariage s'il est contraire à leurs profondes convictions morales. Jacques Bompard précise que cette loi touche à la structure même de notre société, en même temps qu’à la conscience de chacun et que de ce fait, il n’est pas admissible qu’un élu se trouve privé de cette liberté primordiale. (source)

Pai ailleurs, Jacques Bompard lance une pétition nationale permettant aux signataires de manifester leur opposition au mariage homosexuel, d'exiger un référendum sur le sujet et au minimum l'introduction de la clause de conscience permettant le droit de retrait des élus municipaux confrontés à la chose. (cliquez ici)

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mercredi, 26 septembre 2012

Le Qatar est-il en train d'acheter la France et sa diplomatie à grands coups d'investissements ?

Le Qatar accumule les investissements en France. Foot, immobilier, banlieues... Avec son poids financier, le pays semble se donner les moyens de mettre sous pression la diplomatie française, qui n'ose pas froisser son "généreux ami"...

Atlantico : Petite monarchie pétrolière et gazière du golfe Persique, le Qatar a choisi d'investir massivement en France et en Europe, dans le sport (avec le rachat du PSG), dans l'immobilier, les banlieues (lire notre article : Arnaud Montebourg renonce à son hold-up sur les 50 millions d'euros promis par le Qatar aux banlieues et double la mise)... Où va-t-il s’arrêter ?

Karim Sader : La succession des crises financière de 2008 et économique de 2009-2010 ayant plongé les économies occidentales dans la récession aura été une aubaine pour le Qatar. A contre-courant de la grande tendance internationale, le riche émirat gazier affichait une croissance économique insolente, dopée avant tout par sa production de GNL (gaz naturel liquéfié) dont Doha est devenu le premier producteur mondial l’an dernier.
 
Bénéficiant d’une conjoncture interne extrêmement favorable, avec l’absence de toute contestation politique et sociale, qui, au contraire de l’Arabie ne contraint pas le régime à acheter la paix sociale à grand renfort de pétrodollars, la dynastie des Al-Thani avait dès lors les mains libres pour investir son surplus de richesses à l’étranger. En ces temps de crise, les investissements qataris, très bien accueillis par des économies occidentales en crise, ont permis à l’Emirat de réaliser d’importantes plus-values en profitant de la période de récession pour racheter des capitaux à des prix très attractifs.   

Si on y regarde de plus près, ces investissements n'ont aucun effet durables. Ne sont-ils pas avant tout un moyen d'asseoir la diplomatie qatarie ?

Effectivement, j’aurais tendance à penser que les investissements tous azimuts du Qatar à l’étranger s’apparentent davantage à des achats compulsifs qu’à une réelle stratégie de long terme, qui pourrait par exemple servir à assurer la diversification économique du pays, qui demeure largement dépendant du secteur des hydrocarbures.

En réalité, derrière cette politique de placements massifs se cache une véritable angoisse existentielle ! J’entends par là que le Qatar cherche par-dessus tout à compenser sa vulnérabilité géopolitique et militaire, ainsi que sa faiblesse démographique. Pour cela, le minuscule émirat, coincé entre les deux mastodontes régionaux que sont l’Arabie et l’Iran, a besoin d’exister à l’étranger en semant ses investissements dans des domaines divers et variés.

N’oublions pas que si le Qatar est assis sur les troisièmes réserves mondiales de gaz, sa position géographique le met à l'avant-poste d’une confrontation entre l’Iran cherchant à se doter du feu nucléaire et des Etats-Unis dont les plus importantes bases militaires – hors frontières américaines – se trouvent justement en territoire qatari.

Par conséquent, en étant l’otage des tensions régionales et dépourvues d’un « hard power » le Qatar a fini par développer une sorte de « complexe » qui le pousse à cultiver son rayonnement à l’international, par le biais de son soft power dont la finance, le sport et Al-Jazeera sont les principaux piliers.  

Peut-on dire que l’implication du Qatar dans le financement des banlieues s’inscrit dans cette même dynamique ?

L’implication du Qatar dans le financement des projets de jeunes entrepreneurs des banlieues suscitent de vives passions, car il ne s’agit pas d’un investissement anodin. Je dirais tout d’abord qu’il est symptomatique du phénomène de mondialisation, à travers lequel un Etat géographiquement éloigné parvient à tisser des liens avec une communauté en contournant le sacro-saint modèle de l’Etat-Nation qui est clairement en faillite dans nos démocraties occidentales. C’est du moins ce que laissait présager la première mouture du projet, qui a vu une association d’élus issus de la diversité venir frapper directement à la porte du Qatar. Ce dernier a certainement sauté sur l’occasion pour accroître sa visibilité internationale – ce qui constitue une véritable obsession pour les dirigeants de ce minuscule émirat qui cherche en permanence à soigner son image de marque.

J’ajoute par ailleurs que cet investissement suscite d’autant plus de controverses qu'il intervient clairement dans l'une des fonctions régaliennes de l’Etat, à savoir la politique d’intégration socio-économique des banlieues. Il semble toutefois que les responsables français tentent à présent d’y ajouter une participation de l’Etat ainsi que d’étendre la stratégie de financement à « d’autres départements défavorisés », sans doute pour contrecarrer les accusations de communautariste lié à un projet dont les détracteurs considèrent qu’il vise des zones majoritairement peuplées de citoyens issus de l’immigration arabo-musulmane.

Source Atlantico, lire la suite cliquez ici

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mardi, 25 septembre 2012

Filip Dewinter : « Anvers n’est pas à chacun, Anvers est aux Anversois ! »

La ville d’Anvers, dirigée par une coalition SP.a/VLD/N-VA/CD&V (Parti socialiste, Parti libéral de droite, Parti national-centriste flamand, Parti social-chrétien), a pour devise : « La ville de chacun ».

Le chef de file du Vlaams Belang pour les élections communales (municipales) à Anvers, Filip Dewinter, dénonce ce slogan au sein d’une publicité électorale »

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« Les conséquences de la politique multiculturelle de Janssens (maire socialiste) et Dewever (N-VA) & Co., vous pouvez les constater au sein de nombreux quartiers d’Anvers ( Borgerhout, Oud-Berchem, Deurne-Noord, Hoboken en Antwerpen-Noord). L’insécurité et la criminalité augmentent. Tous les quartiers s’islamisent et s’arabisent. »

Selon Fillip Dewinter, beaucoup d’Anversois flamands ne se sentent plus à la maison dans leur propre quartier. Les récentes émeutes à Borgerhout sont les conséquences de la politique multiculturelle qui donne l’impression aux allochtones que tout leur est permis. Filip Dewinter estime qu’Anvers est avant tout aux Anversois de souche et que les personnes qui ne sont pas originaires de Flandre doivent s’adapter et pas l’inverse. Il écrit que avant tout l’immigration doit être stoppée et que les criminels et étrangers non-adaptés doivent être renvoyés vers leur pays d’origine.

Il ajoute «  La société multiculturelle est en faillite. Il est temps de choisir un vrai changement ! Le N-VA/SP.a/VLD en CD&V ont conduit à Anvers au cours des dernières années une politique de « son propre peuple en dernier ».  Le multiculturel signifie dans la pratique déjà trop souvent multi-conflits. Le Vlaams Belang dénonce depuis de nombreuses années la politique laxiste et néfaste d’immigration et d’assimilation. Les autres partis, comme la N-VA, donnent l’impression qu’ils vont dans le même sens que le Vlaams Belang alors qu’ils font partie depuis des années de la direction de la ville d’Anvers dirigée par [le maire socialiste] Patrick Janssens. Le temps de la clarté et du changement avec le Vlaams Belang est arrivé. Rendons ensemble Anvers aux Anversois ! »

Source Lionel Baland

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L'identité contre l'islamisation et le laïcardisme !

Yves Darchicourt

Il y a environ deux ans, Mme Le Pen lançait une petite phrase assimilant le débordement des prières mahométanes dans certaines rues de Paris à une manifestation "d'occupation"; récemment, elle a suggéré de faire interdire le port du voile islamique dans les lieux publics. Tollé politico-médiatique assuré dans les deux cas et publicité sans frais ! Et hélas à nouveau pain béni pour les ennemis de notre identité et de notre civilisation : déjà les collabos de l'immigration - qui n'envisagent évidemment pas de renvoyer les fidèles musulmans surnuméraires chez eux - avaient en conséquence demandé à ce que les projets de construction de mosquées soient facilités et les laïcards forcenés - pour qui la France n'est pas plus la fille aînée de l'Eglise que celle du Prophète ou n'est l'élue d'un quelconque Eternel - exigent à nouveau l'interdiction absolue de toute référence à une appartenance religieuse sur le domaine public.

Tandis que certains souhaitent voir proliférer les minarets à côté des beffrois et des clochers, d'autres envisagent de légaliser la christianophoblie - et plus particulièrement la cathophobie - en s'attaquant à tout ce qui faisait se hérisser les partisans du petit père Combes : crèches publiques, déambulations de St-Nicolas, processions ou bénédictions traditionnelles, croix publiques, volées de cloches... et pourquoi pas en se laissant aller à un délire épurateur pourfendeur de l'hagiotoponymie dans nos Provinces en faisant "débaptiser" villes, villages et lieux-dits attachés par leur nom à un saint de l'Eglise catholique. Immigration-islamisation et laïcardisme échevelé se conjuguent dans la même perspective de destruction de notre identité civilisationnelle !

Notre Civilisation est d'un âge immense, developpée sur nos terres par les descendants de ces cavaliers conquérants dont les Dieux allaient par trois, imprégnée d'un christianisme adapté à son infrastructure mentale et religieuse et qui, incomparable, doit être défendue et préservée dans tous ses aspects dont l'Islam (qui s'incrustera avec ou sans voiles tant que ses partisans seront présent en nombre sur nos terres) ou l'absence d'élan mystique ne font pas partie. C'est pourquoi il est fort regrettable que pour se faire admettre aux mangeoires d'une République gangrénée par les Frères Trois Points, une politicienne prétendant représenter "la France et les Français" en vienne à donner du grain à moudre aux ennemis de notre identité et de notre civilisation. 

Rassemblement Résistance Reconquête !

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dimanche, 23 septembre 2012

Dimanche 11 novembre, à Paris, 6e Journée nationale et identitaire de Synthèse nationale...

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Pour information : déjà, de nombreuses associations, revues, maisons d'édition... nous ont demandé les conditions de location de stands pour cette journée. Celle-ci se déroulera, à Paris, dans un endroit différent de celui des années précédentes (cet endroit sera rendu public prochainement). Cette année, il y aura donc deux espaces distincts : l'un pour les stands et un autre, un grand amphi, pour les conférences. Cela évitera aux auditeurs de subir le brouhaha permanent, et fort gênant, qui troublait, bien malgré nous, les interventions.

Les stands seront disposés dans un grand hall spécialement réservé à cet effet. Comme pour chacune de ces Journées annuelle de Synthèse nationale, nous serons obligés de demander une participation financière aux exposants. Afin de nous simplifier la tâche, nous vous demandons de bien vouloir nous faire part de vos intentions (un dossier de réservation vous sera envoyé). La priorité sera bien entendu donnée à nos fidèles exposants.

Contact : synthesenationale@club-internet.fr  

SN

11:54 Publié dans 06 - La 6e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 22 septembre 2012

Pour la Nouvelle Droite Populaire, il ne suffit pas de s'en prendre aux effets, il faut s'attaquer aux causes...

Identite.jpgUn communiqué de la Nouvelle Droite Populaire :


Marine Le Pen, dans un entretien au Monde, demande l'interdiction du port du voile islamique et, sans doute pour faire bonne mesure, de la kippa. Dont acte. Evidemment, une telle revendication suscite les glapissements et les couinements habituels des chiens de garde du Système. Jusque-là rien de bien nouveau... En fait, Marine Le Pen demande simplement, en bonne candidate à l'intégration au Système qu'elle est, que soit appliquée la loi interdisant les signes ostentatoires d'appartenance à une religion promulguée il y a quelques années par le même Système.


En réalité Marine Le Pen s'attaque aux effets et non aux causes de la situation actuelle. Au-delà de l'intégrisme islamique, qu'il est certes louable de combattre, c'est à l'immigration incontrôlée, génitrice de cette islamisation, qu'il convient de s'attaquer sérieusement. Or, il semblerait que cette évidence échappe, aujourd'hui, au FN nouvelle vague. Il ne suffit pas de brandir la laïcité à tout va pour contrer l'islam conquérant, il faut redonner à chacun de nos peuples européens une véritable conscience nationale et ethnique. Il faut procéder à un réarmement moral et spirituel des peuples d'Europe. Ce réarmement devant reposer exclusivement sur nos traditions et nos valeurs ancestrales. 

 

L'islam est peut être une religion respectable, mais elle l'est encore plus en terre d'islam. Ici, nous sommes en France et en Europe et, quoiqu'en disent les thuriféraires du prêt à penser institutionnel, l'Europe est une terre de beffrois, de cathédrales et de dolmens, elle n'est pas, et elle ne sera jamais, une terre de mosquées ni de minarets.

11:20 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 18 septembre 2012

Le commandant Louis Réssicaud est décédé...

Nous savions qu'il était gravement malade, mais pas à ce point. Les 22 juillet et 30 août derniers, nous avions échangé des courriers dans lesquels, notamment, il nous faisait part de son désarroi face à la situation de la France. Il venait d'adhérer à la Nouvelle Droite Populaire. Le Commandant Ressicaud était un grand Français, un soldat et un militant de la première heure de la cause nationale, plus particulièrement à la tête du FN dans l'Essonne pendant de longues années. Nous saluons la mémoire d'un combattant courageux face à l'adversité et à la cruauté d'une longue maladie.

Jean-Claude Rolinat

11:29 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 16 septembre 2012

L'écrivain Eric Miné apporte son soutien à Renaud Camus :

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Éric Miné, écrivain et ami de Synthèse nationale, nous prie de bien vouloir publier son communiqué de soutien à Renaud Camus, poursuivi par des officines que nous ne connaissons que trop bien. S. N. s’associe bien volontiers à son appel.

Vivant en Asie, écrivant sur cette région du monde et les liens anciens et complexes qui l’unissent à la France – en particulier pour les pays qui formaient notre Indochine ainsi que la Thaïlande voisine –, tentant ainsi d’illustrer au travers de mes propres ouvrages – des romans contemporains ou historiques – et en tant que directeur de collection cette fusion quasi charnelle qui s’opère en maints domaines entre ces peuples et le nôtre et ce jusqu’à nos jours, je constate quotidiennement combien il est difficile, voire périlleux, d’éclairer le lecteur sur ces sujets, tant il est devenu politiquement incorrect d’évoquer les comportements des humains selon leurs origines, leur race (mot tabou s’il en est !), ou tout simplement leur religion, même si ces notions parfaitement audibles pour tout un chacun induisent, dans le cas qui m’intéresse, des affinités. Mille détours et circonvolutions sémantiques me sont alors imposés :

Louer le rapprochement des peuples selon leurs compatibilités implique d’évidence qu’on entend qu’en la matière des degrés existent. Mais là, au lieu de creuser ce sillon propice à la bonne compréhension des évolutions dans nos sociétés, voire d’apporter sa petite contribution au fameux « vivre-ensemble » si cher à nos élites autoproclamées en en prévenant les conflits consécutifs (comprendre en quoi, par exemple, le ressenti du « Français de souche » en matière d’immigration peut se différencier selon qu’il s’agit d’Asiatiques ou d’Afro-maghrébins), l’art de l’auteur ne constituera plus qu’à se dérober : « Comment ? mais je n’ai jamais dit ça, vous m’avez mal lu, je ne parle que du bien, pas du mal ». Foin de votre amour pour un continent et des populations qui le composent, de votre désir d’expliquer pourquoi, nous, Français, nous entendons si bien avec « eux » (et donc, il est vrai, peut-être un peu moins bien avec « les autres »), ne restent que vos préférences, vos « hiérarchies » ! Les fourches caudines de la XVIIe chambre correctionnelle ne sont dès lors plus bien loin.

 

L’accusation de « racisme » vous est brutalement lancée à la face par des associations toutes calibrées pour cela, dont les gains et les subventions sont le fruit de cette implacable chasse aux sorcières pour laquelle elles ont été crées.

 

Richard Millet intitule un de ses derniers essais – ceux-ci déchaînant d’ailleurs contre son auteur une haine sans précédent – De l’antiracisme comme terreur littéraire (1). Que ce libellé est malheureusement pertinent. Qu’il reflète bien la difficulté d’écrire à notre époque insidieusement totalitaire !

 

À ce titre en effet, l’éminent sociologue des foules et des peuples Gustave Le Bon serait aujourd’hui traîné devant les tribunaux, ainsi d’ailleurs que la plupart des meilleurs écrivains d’avant la seconde guerre mondiale. Ainsi vidée de toute substance, ce qu’on nomme bien improprement de nos jours « Culture » dans les médias destinés au grand public n’est plus en fait qu’un empilement de bric et de broc promu par une caste de zélés thuriféraires de la bien-pensance. Dans cet embrouillamini de productions laudatrices d’une planète indifférenciée – dans le sens où tout se vaut –, il existe bien sûr de bons auteurs, d’excellents réalisateurs, des artistes de génie. À la condition qu’ils n’évoquent pas l’essentiel – pris ici dans sa valeur symbolique d’essence – pour notre civilisation. La ligne jaune franchie, oubliée la notoriété, fini le gagne-pain ! Le procès sera le dernier recours pour les faire taire.

 

C’est ce qui arrive aujourd’hui à Renaud Camus. Déjà privé de ses éditeurs traditionnels pour ses prises de position « non-conformes » lors de la dernière élection présidentielle, le voilà en butte aux poursuites judiciaires, diligentées sur plainte du MRAP, pour ses propos tenus lors d’une conférence, propos qu’il reprend d’ailleurs dans son ouvrage, Le grand remplacement (2).

 

Qu’a-t-il fait, dit, écrit d’aussi ignoble pour mériter une telle vindicte ? Rien que de constater ce que tout individu normalement constitué est à même de voir, indépendamment de ce qu’il en pense ou de son analyse des causes, qu’un territoire donné – la France en l’occurrence – subit un « grand remplacement » des populations qui l’habitent. C’est cela qu’on reproche à Renaud Camus : d’avoir su voir, rapporter, et tenter d’expliquer. En ce sens, et nonobstant tout jugement sur la qualité de son œuvre, il n’a fait là que son métier d’écrivain. Il est le témoin de son temps. Si le temps dérange, qu’on mette alors le temps en examen !

 

Si Renaud Camus venait à être condamné dans cette affaire, outre les dommages causés à sa personne et à ses intérêts, ce serait l’arrêt de mort de toute littérature en France. De tout rôle social de l’écrivain aussi.

 

Pour cette raison, j’ai signé – aux côtés de bien d’autres – la pétition qui le soutient. J’invite toutes les personnes lucides et de bonne volonté, quelles que soient leurs opinions, leur religion ou leur couleur de peau, à en faire autant.

 

Pour signer la pétition

de soutien à Renaud Camus cliquez là

 

Notes

(1) Éditions Pierre-Guillaume de Roux, Paris, 2012.

(2) Éditions David Reinharc, Paris, 2011.

16:54 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 14 septembre 2012

Duprat et son Histoire du Fascisme...

I-Grande-9457-histoire-des-fascismes--selection-presentation-et-annexes-par-alain-renault_net.jpgFrancis Bergeron

Article publié dans le n°28

de la revue Synthèse nationale cliquez ici

François Duprat a été assassiné le 18 mars 1978. Trente quatre ans plus tard, le crime reste impuni, et ce meurtre garde encore son mystère. Mais la bombe qui a fait exploser sa voiture n’était pas un engin artisanal.

La mort de Duprat frappa de stupeur le petit monde de l’extrême droite française (à l’époque c’était un tout petit monde, plutôt en liquéfaction). Car si l’homme véhiculait les théories les plus extrémistes, ce n’était pas lui-même un violent, un baroudeur. C’était un prof, un bon prof, selon ses élèves, et qui ne cherchait pas à les endoctriner avec des théories toutes faites et un catéchisme mal digéré. C’était un gros travailleur, un homme de l’écriture, et d’abord un historien.

Mais il était aussi un journaliste engagé : dans les années soixante-dix, Duprat assurait les « nouvelles du front », chaque semaine, dans Rivarol, la chronique des combats nationalistes, dans les universités, les lycées, dans la rue, avec parfois une ou deux mauvaises photos permettant de rêver au « fascisme immense et rouge » par groupuscules interposés.

Duprat, ce fut, un peu plus tard, la Revue d’Histoire du Fascisme, une revue, publiée de 1972 à 1978, qui compta douze numéros et vingt-quatre  suppléments (dix-neuf en fait, car il y avait des suppléments doubles). Dans sa préface et sa postface à Histoire des fascismes de François Duprat, qui vient  de paraitre chez Dererna (1), et qui est en fait un florilège des meilleurs textes publiés par la Revue d’Histoire du Fascisme, Alain Renault raconte la genèse de cette publication.

Duprat, qui collaborait à Défense de l’Occident depuis les années soixante, et qui en était devenu un pilier, avait proposé à Maurice Bardèche la création de cette revue. Le numéro spécial de Défense de l’Occident, « Les Fascismes inconnus », s’était bien vendu, et Duprat estimait à juste raison que ce type de travaux historiques avait un public.

Quand la Revue d’Histoire du Fascisme est créée, elle est, quant à la forme, la copie conforme de Défense de l’Occident. Et Duprat et Bardèche se partagent les rôles ; mais rapidement Duprat restera seul aux commandes. Ses divers pseudonymes, sa puissance de travail, lui permettent d’assurer un grande partie du rédactionnel. La revue est vendue dans les kiosques (comme Défense de l’Occident), et de ce fait, trouve un public un peu plus large que la mouvance purement étudiante et militante.

A l’automne 1973, raconte Alain Renault dans sa passionnante postface à Histoire des fascismes, Duprat lance en parallèle une nouvelle publication, qui va s’appeler Les Cahiers Européens. C’est l’actualité (et aussi l’histoire) de tout ce qui se passe et s’est passé à l’extrême droite, partout dans le monde. L’entreprise va se révéler une vrai réussite : il sortira 222 numéros, sans la moindre interruption, jusqu’à l’attentat de 1978. Quant à sa diffusion, malgré le caractère artisanal du bulletin, elle était loin d’être négligeable : 450 abonnés, une vente totale de 800 exemplaires chaque semaine. Pour une revue mal imprimée, diffusée uniquement dans les « librairies amies », ce n’était pas mal du tout.

Le « groupe de presse » de Duprat, comme l’évoque Alain Renault avec une pointe de nostalgie ne cherchait pas à surfer sur la mode rétro (nous sommes à l’époque du Chagrin et la pitié, et de Lacombe Lucien). Duprat était un activiste, un militant. Il avait été de Jeune Nation, d’Occident, d’Ordre nouveau et du Front national. Au sein du Front national, il représentait l’aile la plus dure. Et ses « groupes nationalistes révolutionnaires de base » (assez chétifs en effectifs, il faut bien le dire) avaient pour vocation de radicaliser la droite nationale.

Commentant la vision de Duprat, Alain Renault écrit avec pertinence : « Les fascismes ne rencontrent de succès qu’en période de crise. Non qu’ils profitent des désarrois des peuples mais simplement parce que leurs solutions nécessitent un effort et des changements auxquels les peuples ne se résolvent que quand la nécessité absolue leur parait inévitable pour sortir de la décadence ».

Ce type de discours, à l’époque des « trente glorieuses », et de mai 68, « révolution » de gosses de riches, pouvait paraitre bien éloigné des réalités du moment. Mais Duprat avait la prescience que ces temps difficiles allaient revenir.

Et nous y sommes sans doute. Peut-être n’est-ce pas un hasard si l’on réédite aujourd’hui les études de Duprat (Le même éditeur a sorti récemment Les Fascismes américains 1920-1944, une remarquable étude de François Duprat et Alain Renault, sur un sujet très peu connu). Quant à Bardèche ou Saint-Loup, ils suscitent à nouveau la curiosité. Plusieurs projets de rééditions sont dans l’air. Des biographies de Bardèche, de Saint-Loup, de Duprat, de Jean Fontenoy, sont parues récemment. Ces auteurs trouvent, retrouvent un public, des lecteurs. Et c’est bien évidemment une bonne chose. Mais c’est aussi le signe que nous sommes certainement  à nouveau à l’aube d’une crise terrible, qui nous pousse à lire ceux qui ont étudié ou raconté, avec acuité, celle des années trente.

Note

(1)  Histoire des fascismes, par François Duprat, préface et postface par Alain Renault, Ed. Deterna, 2012, 310 pages. Cliquez ici 

      Livre diffusé par Les Bouquins de Synthèse nationale cliquez là

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vendredi, 07 septembre 2012

Clip JNR :

23:57 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |