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vendredi, 04 avril 2014

RAPPEL Jours de Colère : les 5&6 avril 2014 dans sept villes de France !

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LA FRANCE EN AFRIQUE - Trois opérations militaires, trois échecs politiques

afrique_réelle.jpgBernard Lugan (*)

En Libye, l’incompréhensible « croisade pour la démocratie » lancée par BHL et Nicolas Sarkozy a provoqué le chaos. Le pays est aujourd’hui dans une situation de guerres régionales, tribales, claniques, religieuses et mafieuses. Un espace inespéré s’est ainsi ouvert pour  Aqmi et toutes les forces terroristes qui prospèrent désormais au milieu de l’anarchie ambiante avec des répercussions dans toute la zone sahélo-saharienne comme nous l’avons observé au Mali.

Si le cataclysme régional ne s’est pas encore produit c'est parce que le Tchad du président Déby constitue un maillon de résistance. Pour combien de temps encore ? Là est toute la question car la situation du pays est plus que complexe : - Au Sud, les évènements de Centrafrique vont immanquablement connaître une contagion dans les régions limitrophes frontalières.- A l’Est, la question du Darfour est toujours brûlante.- A l’Ouest, le Niger apparaît bien fragile.- Au Sud-Ouest, le jihad de Boko Haram s’étend chaque jour un peu plus.- Au Nord, la tâche grise du Sahara libyen s’enfonce à l'intérieur du Tchad par le biais de la question toubou.

Au Mali, après avoir bloqué les colonnes d’Ansar Eddine qui fonçaient sur Bamako, Paris n’a pas voulu conditionner la reconquête de Gao et de Tombouctou à l’acceptation par les autorités maliennes de l’impératif d’un changement constitutionnel qui aurait une fois pour toutes réglé le problème nord-sud. Tous les ingrédients d’un futur conflit demeurent donc.

En Centrafrique, au mois de mars 2013, François Hollande a ordonné à l’armée française présente à Bangui de laisser les pillards du Seléka prendre la ville alors que, depuis plusieurs mois, il aurait été facile de les « traiter » par une opération limitée et ciblée. Résultat : les chrétiens - 95% de la population de souche -, furent persécutés. Début 2014, face au désastre humanitaire, le président français décida finalement d’intervenir, mais en ne donnant à nos forces ni les moyens nécessaires, ni une mission claire et en prenant bien soin de ne désigner ni l’ « ami », ni l’ « ennemi ». Résultat : les bandes  du Séléka se sont repliées vers le Nord avec armes et bagages et adossées au Soudan, elles ont fait du triangle de Birao une zone de déstabilisation de toute la sous-région.

(*) Directeur de L'Afrique réelle. Au sommaire du numéro 52 : Le Nigeria, pays « émergent » ou pays en cours de désintégration ? La Tripolitaine et la Cyrénaïque peuvent être indépendantes, Sahel : le grand retour du Maroc, Génocide du Rwanda : où en est l’historiographie ? et le dossier consacré à Libye, Mali, Centrafrique : trois échecs politiques.

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Saine réaction : une candidate pro-Islam exclue de la nouvelle majorité (Gourhel - Morbihan)

meyriem-ben-salah-presente-la-liste-unis-pour-gourhel.jpgSource Breizh Atao cliquez ici

Le bon sens populaire s’est manifesté dans la commune de Gourhel (Morbihan). S’y présentait une liste menée par une pro-islam d’origine européenne, Myriem Ben Salah.

Bien que figurant en première position, elle a été la seule à ne pas avoir été élue par la population. Une saine réaction qui a suscité les foudres d’Emmanuel Verdeaux, un journaleux (donc de gauche) travaillant pour “Les Infos du pays de Ploermël” (Ouest-France), une obscure feuille de choux locale.

Verdeaux, offusqué de ce que la population s’écarte de la ligne cosmopolite officielle du régime français, a dénoncé un “vote raciste” de la part de la part des électeurs. Naturellement, l’inculture étant le propre des plumitifs de la presse régionale, l’intéressé semble n’avoir pas même distingué la différence entre appartenance religieuse et raciale. La dite convertie étant blonde aux yeux bleus.

Cet exemple éclairant démontre que le système ne représente pas l’opinion populaire qui, heureusement, reste sourde aux appels à la trahison et aux menaces à peine voilées des chiens de garde de la presse institutionnelle. Il démontre aussi que le rôle de la presse du régime, subventionnée par l’Etat Français, est d’encadrer idéologiquement la population bretonne afin qu’elle s’abdique elle-même et de lui mener une guerre psychologique de tous les instants en cas de déviationisme.

Emmanuel Verdeaux est bien un de ces innombrables CRS de la pensée, un soldat des troupes d’occupation mentale que sont les mediats institutionnels français.

Bravo donc aux habitants de Gourhel pour leur bel esprit de résistance.

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jeudi, 03 avril 2014

UN REMANIEMENT AU FORCEPS Manuel Valls, héros d’un jour ?

manolo-valls.jpgMichel Lhomme

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La déroute de la gauche s’est transformée en débâcle. Fait sans précédent dans l’histoire de la Ve République, la gauche a perdu 151 villes de plus de 10 000 habitants et parmi celles-ci des bastions jugés jusque-là imprenables comme Limoges (à gauche depuis 1912), Nevers (socialiste depuis 1971), Belfort (à gauche depuis 1977) et Pau (détenu par le PS depuis 1971 et que gagne le caméléon François Bayrou).

La gauche perd pas moins de dix villes de plus de cent mille habitants : Toulouse, Saint-Etienne, Angers, Reims, Caen, Tours, Limoges, Argenteuil, Amiens. En Outre-mer, elle se donne même le luxe de perdre Saint-Paul à La Réunion.
 
Si les socialistes conservent finalement Paris, Lyon, Lille et Strasbourg, les présidences des communautés urbaines de ces quatre métropoles sont fortement menacées. Pour François Hollande et toute la majorité présidentielle, cela a donc été une claque, une vraie dérouillée.
 
Alors, fallait-il dissoudre ou remanier ? On attendra les Européennes et on menacera de dissoudre afin de garder la mainmise sur le groupe PS et les élus verts. En attendant, on monte un « gouvernement de combat » et l’on file à Bruxelles demander des délais supplémentaires pour réduire la dette.

Nommer Manuel Valls premier ministre n'est-il pas dangereux ? François Hollande, désavoué par les électeurs, a été obligé de changer de fusible en nommant l'irascible et ambitieux Manuel Valls. C’est un choix risqué parce que Manuel Valls est une personnalité conflictuelle qui cristallisera les oppositions beaucoup plus rapidement que l’incolore maire de Nantes. 

Manuel Valls serait apprécié de la droite. Oui, sans doute, de la droite provinciale des retraités mais surtout pas de la jeune droite qui se souvient des violences policières lors des manifestations contre la loi Taubira. 

Enfin dans les banlieues et les quartiers sensibles, Manuel Valls incarne l’image du ministre de l’intérieur, responsable des forces policières. Il est en somme le ''céfran'', l'ennemi absolu qui a persécuté Dieudonné en demandant au Conseil d’Etat d’interdire de manière préventive ses spectacles, violant l’une libertés fondamentales.
 
Le républicain Valls est en réalité un tueur politique. D'origine catalane, il apprécie la corrida. Cela lui donne un sacré atout au sens qu'il sait, lui, affronter le taureau. Il saura donc répondre et donner des coups. Reste à savoir à qui et contre qui ? Valls, héros d’un jour ou sauveur de François Hollande.

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"Conflits", la nouvelle revue géopolitique dirigée par Pascal Gauchon est sortie...

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Le gouvernement Valls : un gouvernement de combat qui sera combattu !

3336460040.jpgYves Darchicourt

On prend (presque) les mêmes et on continue ! Il n'y a que les rats écolos à avoir quitté le navire voué à la perdition. Sinon rien de nouveau sous le soleil gouvernemental après le jeu des chaises musicales qui a envoyé les incompétents ou les insignifiants d'un ministère à l'autre dans une unique perspective de dosage entre les divers "courants" du PS. Ainsi Manuel Valls est censé faire mieux dans le rôle de "Monsieur le Premier" qu'au ministère de l'Intérieur où il a piteusement échoué et où il sera remplacé par Bernard Cazeneuve qui lui-même n'a guère brillé aux affaires européennes puis au budget; ou encore Michel Sapin qui n'a pas pu empêcher le chômage de croître et embellir et qui est paraît-il subitement devenu le recours indispensable aux Finances. Quant à l'arrivée imposée de l'ex rombière de François le Normal...

Bref, un gouvernement à l'image des participants à un congrès du PS, un conglomérat de chapelles, un essaim d'ambitieux, de faux potes et vrais rivaux dans la course aux privilèges des sinécures. Sourires de façade et coups de pied de l'âne. Véritable marmelade où le gaulois de base ne se retrouve pas et qui n'est pas fait pour redorer le blason des politicards désormais systématiquement boudés par plus du tiers des citoyens en l'attente des "jours de colère". Vincent Peillon s'est fait virer pour complaire aux syndicats enseignants, tant mieux pour nos enfants même s'il est peu probable que le Hamon renonce à les faire pervertir par les anormaux de la "théorie du genre". Fabius, toujours aussi responsable pas coupable, garde son ministère, ce qui ne peut qu'être apprécié à Tel-Aviv, chez Obama, parmi les eurocrates, les galonnés de l'Otan et les rois nègres. Quant à l'ignoble Taubira, elle reste en place: on ne sait pas trop pourquoi puisque Manuel Gaz ne peut pas la pifer et que c'est réciproque...ambiance! il s'agissait sans doute de contrebalancer la fausse réputation "droitière" du gandin dans la population allogène du pays en continuant à discriminer positivement l'afro-française et de calmer l'aile gauche du PS et son militant Syndicat de la Magistrature qui pourra continuer impunément à "dire le droit" à l'encontre exclusivement des blancs, des européens, des souchiens, des patriotes, des nationaux, des solidaristes, des identitaires, de ceux qui possèdent un peu parce qu'ils ont travaillé et cotisé, de ceux qui se défendent contre la racaille ou simplement qui ne veulent pas baisser les yeux devant l'envahisseur allogène, de ceux qui pensent que la famille naturelle est une des bases essentielles de notre civilisation. Quant aux autres... toujours la même caste d'interchangeables : excellents en tous domaines? non inconsistants et profiteurs partout !

Un gouvernement "de combat" qui s'acharnera contre la France gauloise et l'Europe européenne. Un gouvernement, toujours aussi "ripoublicain", qui sous l'impulsion de son "Monsieur le Premier" sera celui de la dictature rampante, de la répression, de l'atteinte aux libertés fondamentales, de la censure, du bourrage de crâne, de l'Histoire expurgée, revisitée et officialisée, de l'indignation à géométrie variable, du laïcardisme outrancier quand il est anti-chrétien et surtout cathophobe, de l'invasion migratoire exotique et de l'Islamisation, du métissage obligatoire, de la racaille réinserée aux frais des victimes, du taulard trois étoiles, de l'anormalité sexuelle et de la perversion hissées au rang d'art de vivre, des traditions bafouées. Un gouvernement dont le chef a reçu l'investiture du Congrès Juif Mondial, c'est à dire aussi de la Trilatérale et autres sectes du Nouvel Ordre Mondial : appui assuré des fortunes anonymes et vagabondes et de certain lobby qui n'existe pas pour peu que le (pseudo ?) descendant de maranes naturalisé continue à se faire l'agent artistique du "Shoah Business" et du mémoriel sélectif.

Pour tout dire, un gouvernement dit de combat qui doit être et sera combattu. Par tous les moyens... Même légaux ! Rassemblement Résistance Reconquête !

17:09 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Cette Espagne que déteste Manuel Valls : retrouvez la dans "Présence de José Antonio Primo de Rivera" :

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Le nouveau numéro de "Terre et peuple magazine" est paru...

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Lille, dimanche 13 avril : Roland Hélie sera à la 2e Journée régionale Flandre - Artois - Hainaut de Synthèse nationale

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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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Samedi 26 avril : Carl Lang à Toulouse

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mercredi, 02 avril 2014

Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER

RIVAROL N° 3134

du 27 mars 2014

 

PEGGY la cochonne est une célèbre marionnette qui fait partie du Muppet show. Elle est éprise de Kermit la grenouille (« Kermitou d’amour ») et autres mâles de toutes origines. Jean-Marie Le Pen s’est encore fait remarquer samedi 15 mars lors d’un meeting du Front National à Toulouse, où il était venu soutenir le candidat Serge Laroze. Dans une vidéo extraite d’un reportage du JDD, on peut voir Jean-Marie Le Pen signer un autographe à une femme prénommée Peggy à qui il demande : « C’est vous la cochonne ? ». Elégant, le Menhir…

 

JEAN-MARIE LE PEN N’AURAIT PAS PRIS D’ÉTRANGERS SUR LES LISTES FN

 

Des Portugais, des Roumains, des Belges…Plusieurs dizaines d’étrangers, tous d’origine européenne, étaient inscrits sur les listes Rassemblement Bleu Marine (RBM), alors que le FN est théoriquement opposé au droit de vote des étrangers. Cela n’a guère plu à Jean-Marie Le Pen, président d’honneur du Front national. « Personnellement, je n’aurais pas pris d’étrangers sur ma liste », a-t-il déclaré quatre jours avant le scrutin sur BFMTV/RMC, ajoutant : « Je ne suis pas européiste, mais eurosceptique. » En Ile-de-France, les listes soutenues par le FN comptent une vingtaine de citoyens portugais. A Paris, trois Espagnols. Et puis des Roumains dans les Pyrénées-Orientales. On ose espérer que ce ne sont pas des Rroms ! Une Bulgare à Villeurbanne, une Belge et une Portugaise sur la liste d’Aliot, à Perpignan. Etc. Remarquons qu’il est infiniment moins grave de placer des Européens sur les listes FN que de s’aventurer dans la “diversité”, qui, tôt ou tard, revient comme un boomerang au visage des apprentis sorciers.

1.jpgCONNAISSEZ-VOUS PAUL BISMUTH ?

 

Paul Bismuth est tout simplement le nom d’emprunt derrière lequel s’abritait Nicolas Sarkozy pour téléphoner à son avocat de façon, croyait-il sécurisée. Il se savait sur écoutes et utilisait un autre téléphone qu’il croyait discret. En somme une ligne secrète. Las, les policiers, qui ne sont pas forcément des imbéciles, avaient éventé la manœuvre et écoutaient allègrement les conversations les plus secrètes de l’ancien Président et de son avocat Thierry Herzog. Leur objectif : contrer les enquêtes et les procédures en cours dans les affaires concernant Sarkozy. Mediapart relève la mise en place d’« un cabinet noir pour neutraliser les juges qui enquêtent sur lui ». Les deux compères citent, à plusieurs reprises, un « correspondant » et des “amis”, qui les tiennent informés de l’évolution de procédures judiciaires en cours. Gilbert Azibert, magistrat de la Cour de cassation qui surveille le dossier des agendas de Nicolas Sarkozy saisis par les juges de Bordeaux est plus que fortement soupçonné d’être ce “correspondant” et “ami”. Il est vrai que les propos de Herzog ne sont guère ambigus. Gilbert Azibert aurait bien “bossé”. Il ambitionnait, paraît-il, une sinécure au Conseil d’Etat de Monaco en échanges de ses renseignements. Nos lecteurs savent qu’il aurait fait un malaise et serait tombé dans les escaliers après que son implication fut évoquée. D’aucuns évoquent une tentative de suicide. Une enquête pour trafic d’influence a été ouverte le 26 février 2014. Elle est à l’origine de perquisitions menées début mars aux domiciles et dans les bureaux de Thierry Herzog et de Gilbert Azibert. Il est vrai que les écoutes donnent des résultats étonnants. Ainsi Thierry Herzog se dit confiant sur le sort des agendas de l’ancien président, saisis par les juges chargés de l’affaire Bettencourt… « sauf si le droit finit par l’emporter » ! Il évoque aussi « ces bâtards de juges de Bordeaux ». Un dialogue digne d’un film de gangsters a lieu le 1er février entre Sarkozy et Herzog. Les deux hommes envisagent d’organiser une fausse discussion sur la ligne principale de l’ancien président. Comme Sarkozy se savait écouté sur cette ligne, il souhaitait “enfumer” les policiers en leur donnant l’impression d’avoir une conversation normale sur la Cour de cassation. Hélas pour lui, la seconde ligne était aussi sur écoute.

2.jpgLES PASSE DROITS DE MADAME VALLS

 

Valls et sa police savent se montrer féroces avec les Veilleurs mais, ô combien conciliants, quand il s’agit de l’épouse du ministre. Anne Gravoin, l’épouse violoniste, en sait quelque chose. Le 28 janvier, un agent de surveillance de la voie publique verbalisait les véhicules en infraction dans la rue du 11ème arrondissement où habite le couple. La pervenche verbalisa ainsi une Toyota. Effroi du policier en faction. Il ne fallait pas verbaliser ce véhicule. Trop tard ! En fait, raconte Le Point.fr, ce policier avait été appelé le matin même sur le téléphone de service, par Anne Gravoin qui lui expliquait qu’elle attendait la visite d’une amie qu’il convenait de ne pas verbaliser si son véhicule était mal garé. Quand l’épouse du ministre découvre que ses consignes n’ont pas été suivies d’effet, elle s’énerve, déclarant : « J’appelle immédiatement Manuel ». Deux heures plus tard, l’affaire était réglée et le PV avait été jeté à la poubelle… Ce n’est pas la première fois qu’elle joue la Trierweiler. Agacée par le nombre de SDF qui hantent le quartier, elle les aurait tout simplement fait déplacer… Lorsque l’ex-femme de Valls se fit voler son sac à main, en février 2013 à Evry, la police technique et scientifique fut mobilisée. Le sac fut retrouvé et rapporté, certes vidé de son argent, par le commissaire en personne, qui visait sans doute la

 

BIZARRE : LES MÉMOIRES DE JMLP BLOQUÉES CHEZ L’ÉDITEUR

Robert Ménard, ex-patron de Reporters sans frontières (RSF) et candidat soutenu par Marine Le Pen à la mairie de Béziers, et sa femme, Emmanuelle Duverger ont réalisé un livre d’entretiens avec Jean-Marie Le Pen. Sa publication était programmée en octobre 2013, selon les informations livrées par L’Express qui en dévoile quelques extraits. JMLP dément qu’il s’agit stricto sensu de Mémoires, mais Ménard passe cependant la vie du Menhir au crible, avec la complicité de celui-ci. Pourquoi la parution est-elle bloquée ? La faute à l’éditeur ? Pas du tout. « Mais pourquoi avoir attendu quasiment la veille de l’envoi à l’imprimerie pour interrompre le processus ? » s’interroge un proche de l’éditeur. La mise en place de 20 000 exemplaires de l’ouvrage avait même été annoncée au diffuseur Interforum. Des recettes non négligeables en perspective — environ 200 000 euros — pour l’éditeur Luc Jacob-Duvernet. Ce n’est évidemment pas l’éditeur qui a bloqué l’impression et la diffusion. Alors ? En fait, c’est Robert Ménard lui-même qui en a stoppé la sortie, expliquant à Jacob-Duvernet « qu’il ne souhaite pas gêner ses alliés pour les municipales, ni renforcer l’idée qu’il est un sous-marin du Front national ». Les alliés en question, comme Debout la République (DLR), soucieux de ne pas être assimilés au FN, auraient peu apprécié une telle parution en pleine campagne électorale. L’éditeur a lourdement insisté pour que Ménard change d’avis. Réponse de Ménard : « Je ne peux pas, je ne peux absolument pas ». Certains évoquent l’hypothèse que les pressions qu’il a subies viendraient aussi de la Présidente du FN, peu désireuse que son père vienne troubler la campagne des municipales avec quelques provocations qu’elle craignait de découvrir dans le livre. Il paraît, selon L’Express qui a pu consulter l’ouvrage, que « Le Pen retrouve sa verve et son goût pour la provocation, notamment pour croquer les nombreuses personnalités qu’il a croisées, escortées ou combattues en plus de cinquante ans de vie politique. Poujade, Tixier-Vignancour mais aussi François Mitterrand et Jacques Chirac. » Il rappelle ainsi cette scène où Mitterrand, « homme de Vichy qui sait certainement beaucoup de choses », est venu lui serrer la main à l’issue d’un discours au Parlement de Strasbourg, en 1995. Le Pen évoque ses quatre rencontres avec Jacques Chirac dont deux secrètes, l’une avant le premier tour de la présidentielle de 1988, l’autre entre les deux tours. A un moment, il lâche : « Il y a une énigme Chirac. Il n’est pas le fils de sa mère », laissant entendre que Chirac serait un enfant juif adopté. Une rumeur que les biographes ont écartée à tort ou à raison. On devine pourquoi Marine Le Pen n’a aucune envie que cet ouvrage paraisse en pleine campagne. Paraîtra-t-il un jour ? Rien n’est moins sûr.

ERIC RAOULT ET SES FANTAISIES SEXUELLES (SUITE)

 

On en sait un peu plus quant à l’affaire du harcèlement sexuel pour laquelle le maire UMP du Raincy et ancien ministre Eric Raoult est accusé par une ancienne collaboratrice à qui il a envoyé des milliers de textos. Il se défend avec des arguments parfois étonnants évoquant « un moment de faiblesse qui est arrivé pendant mon premier accident vasculaire cérébral. Certains textos étaient écrits sur le ton de l’humour ». Beaucoup d’humour, en effet dans ces textos tels : « Vous êtes très bien foutue. Avec le vin, vous faites tourner la tête des mecs », « Vous êtes trop chaude ? » ou encore « Agnès, la reine des caresses ». Interrogé par L’Express, Éric Raoult concède encore avoir « deux, trois fois, enfin un peu plus » dû dire « qu’elle était jolie ». Et il ajoute : « Maintenant, c’est vrai, j’ai eu un vrai coup de cœur pour cette fille mais je jure qu’il ne s’est rien passé ». « Je n’ai eu aucune relation sentimentale avec Agnès Desmarest ; peut-être fantasmagorique, aucunement sexuelle. » Mais oui, il ne s’est rien passé tout simplement parce qu’elle ne le voulait pas ! Il tente de se trouver des excuses, expliquant : « Entre le moment où elle a été engagée et le moment où je l’ai rencontrée, elle a fait refaire sa poitrine et sa physionomie a changé »: Un argument majeur que toute la Cour d’Assises retiendra ! En attendant, Éric Raoult est dans de sales draps, c’est le cas de le dire !

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NDLR :

 

533089594.jpgLe livre de Robert Spieler Dictionnaire des polémistes est en vente auprès de notre secrétariat.

 

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Le JT de TV Libertés de mercredi soir...

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Vous êtes prévenus :

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La mythologie du progrès repose sur l’idolâtrie du nouveau…

592bfe96545823139a07ac761c088575.pngUn entretien avec Alain de Benoist publié dans Boulevard Voltaire cliquez ici

À chaque élection, les hommes de gauche prétendent rassembler les « forces de progrès ». Mais un cancer peut, lui aussi, progresser ! Le progrès serait-il une fin en soi ?

Les malheureux ne savent même plus de quoi ils parlent ! Historiquement, l’idée de progrès se formule autour de 1680, avant de se préciser au siècle suivant chez des hommes comme Turgot ou Condorcet. Le progrès se définit alors comme un processus accumulant des étapes, dont la plus récente est toujours jugée préférable et meilleure, c’est-à-dire qualitativement supérieure à celle qui l’a précédée. Cette définition comprend un élément descriptif (un changement intervient dans une direction donnée) et un élément axiologique (cette progression est interprétée comme une amélioration). Il s’agit donc d’un changement orienté, et orienté vers le mieux, à la fois nécessaire (on n’arrête pas le progrès) et irréversible (il n’y a pas de retour en arrière possible). L’amélioration étant inéluctable, il s’en déduit que demain sera toujours meilleur.

Pour les hommes des Lumières, étant donné que l’homme agira à l’avenir de façon toujours plus « éclairée », la raison se perfectionnera et l’humanité deviendra elle-même moralement meilleure. Le progrès, loin de n’affecter que le cadre extérieur de l’existence, transformera donc l’homme lui-même. C’est ce que Condorcet exprime en ces termes : « La masse totale du genre humain marche toujours à une perfection plus grande. »

La mythologie du progrès repose ainsi sur l’idolâtrie du nouveau, puisque toute nouveauté est a priori jugée meilleure du seul fait qu’elle est nouvelle. La conséquence en est le discrédit du passé, qui ne peut plus être regardé comme porteur d’exemples ou de leçons. La comparaison du présent et du passé, toujours à l’avantage du premier, permet du même coup de dévoiler le mouvement de l’avenir. La tradition étant perçue comme faisant, par nature, obstacle au progrès, l’humanité doit s’affranchir de tout ce qui pourrait l’entraver : s’arracher aux « préjugés », aux « superstitions », au « poids du passé ». C’est déjà tout le programme de Vincent Peillon ! À l’hétéronomie par le passé, on substitue en fait une hétéronomie par l’avenir : c’est désormais le futur radieux qui est censé justifier la vie des hommes.

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Le JT de TV Libertés de mardi soir...

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mardi, 01 avril 2014

L'ORDRE ET LA FINANCE : Manuel Valls à Matignon

valls 11 téléchargement.jpgMichel Lhomme

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Certains s'étonnent de la nomination de Manuel Valls à Matignon, avec un gouvernement resserré et un grand ministère à Bercy. On décidera dans les premières semaines d'une réformette sociale mais on ne changera pas d'un iota la politique de la France. Qu'on ne s'y méprenne pas, Manuel Valls ne rétablira pas l'ordre citoyen des villes. Il garantira les devantures des banques. Il fichera les citoyens mais protègera les hommes d'affaires. C'est l'ordre de mission mondialiste qu'il a reçu et surtout qu'il a très bien compris.

Ce n'est pas François Hollande qui préside et Manuel Valls qui gouverne mais Bruxelles. Le PS, Parti Stupéfiant, comme l’Ump auparavant, ne sont que des partis d’un même système. Le PS n'est plus de gauche. Il n'y a d'ailleurs plus de gauche en France depuis bien longtemps. Il n'y a même plus d'écologistes ''purs'' quand on voit les gesticulations déplacées, c'est le cas de le dire, de Jean-Vincent Placé pour obtenir un maroquin. Or, il faut préparer 2017 et la vraie réalité pour le gouvernement, c'est de renflouer les caisses vidées par les gouvernements successifs. Or, le gouvernement ne peut plus prélever plus d'impôts. On vient même d'évoquer une ''pause fiscale''. Pour cela, il faut un homme lige, un homme obéissant et servile.

Toutes les décisions prises par François Hollande, y compris le pacte de compétitivité, sont jugées timides par les économistes libéraux et elles n'ont fait que creuser le déficit du pays. Hollande n'a pas pratiqué une réelle politique d'austérité. Il n'a pas gelé ni baissé les salaires des fonctionnaires. Il n'a pas touché à la classe politique, supprimé les échelons départementaux, dégraissé la préfectorale. Or, c'est de boucler au plus vite le budget dont il est question maintenant : trouver des sous, des sous perdus dans le paiement des intérêts de la dette. Manuel Valls jouera la figure de l'ordre, mais il protègera avant tout les banques et les financiers. Lorsque les socialistes sont arrivés au pouvoir en 2012, les Français avaient sans doute pensé à leur argent. Ils n'ont pas vu les impôts venir. Les fonctionnaires ont voté socialiste pour défendre leur statut. Ironie de l'histoire, c'est sous les socialistes qu'ils perdront leur pouvoir d'achat. Manuel Valls n'est pas la main de l'ordre républicain. Il sera la main détachée de la finance. Il lui faudrait presque, pour parfaire le tout, nommer Pascal Lamy à Bercy. L'idée de prélever 8% sur nos comptes a déjà été évoquée à la Commission européenne. C'est une proposition qui fut officiellement avalisée en mars 2013 lors de la dernière réunion annuelle de la Trilatérale à Berlin dont le président de la section européenne n'était autre que Jean-Claude Trichet, ancien patron de la Banque Centrale Européenne. Or, Manuel Valls a toujours suivi les travaux de la Trilatérale, du Siècle et du groupe Bilderberg. 

Il est bien informé et il sait, lui, pour qui il travaille. Et puis, que ce soit à Evry ou à l'Intérieur, notre prochain ministre a un défaut : il en fait toujours trop.

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Samedi 5 avril : Pierre Hillard à la Librairie Contretemps...

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Au nord, une hécatombe à gauche et un maillage réussi pour le FN...

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La chronique de Philippe Randa

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Après Hénin-Beaumont la semaine dernière, fief de gauche depuis quasiment un siècle (et sans discontinuer depuis 1945) passé sous direction frontiste, c’est Hayange en Moselle qui a été conquise par l’ancien militant de la CGT Fabien Engelmann, tandis que Florian Philippot, arrivé en tête au 1er tour, cède pour sa part l’élection au maire socialiste sortant : sans doute le vice-président du Front national a-t-il souffert de l’extrême médiatisation de sa candidature, tout comme dans le sud celle du député Gilbert Collard qui, lui non plus, n’accède pas à la mairie de Saint-Gilles qu’il convoitait.

Le mouvement de Marine Le Pen se consolera dans la moitié nord de la France par son implantation désormais indiscutable sur l’ensemble des départements, ce maillage réussi du pays qui était un des enjeux annoncés par l’ancienne candidate à la présidence de la République.

Outre le Nord où ses candidats portent hauts les scores frontistes (18,20 % pour Philippe Eymery alors que le maire historique Michel Delebarre cède sa mairie avec à peine 26,27 % à son ancien adjoint Patrice Vergriete, qui obtient 55,53 %) ou à Lille (18,22 % pour le frontiste Eric Dillies, derrière l’UMP-UDI Jean-René Lecerf (29,72 %) et le maire PS Martine Aubry à 52 %)…

On notera également la victoire du FN à Villers-Cotterêts en Picardie… Pour le reste, cette moitié nord de la France, c’est une litanie de villes qui basculent de gauche à droite : Laval, Nevers, Caen, Belfort, Tours, Tourcoing, La Roche-sur-Yon, Bar-le-Duc, Quimper… ou qui y restent, comme Bourges, Calais et… Paris !

Au fait, quel souvenir laissera la campagne de Nathalie Kosciusko-Morizet ? Rien ! Sa nouvelle coupe de cheveux pour l’occasion, peut-être… et encore ! Quand on pense aux scores des listes Chirac, puis de celles de Jean Tiberi après lui, la droite doit amèrement regretter d’avoir voulu éliminer ce dernier en tentant d’imposer le gaulliste de gauche Philippe Séguin… Elle ne s’est donc toujours pas relevée de cette division des siens dans la capitale.

Certes, de nombreuses villes restent à gauche dans la moitié nord de la France : Metz, Rennes, Brest, Lens, Le Mans, Boulogne-sur-Mer et – ô surprise ! – deux villes passent même de droite à gauche : Douai et… Verdun ! On aura tout vu ! Mais n’avait-on pas déjà vu la semaine dernière Niort, bastion socialiste s’il en était, passer à droite ?

Certes, Martine Aubry est réélue. Mais de justesse avec 52 % des suffrages (contre 66,56 % en 2008) et elle risque bien de perdre la présidence de la communauté urbaine de Lille : Roubaix, une des villes importantes de l’agglomération lilloise, étant passée à droite.

La gauche se consolera sans doute, en plus de Paris, de la victoire à Strasbourg de Roland Ries qui conserve son siège au détriment de l’UMP Fabienne Keller ; outre le candidat du Front national qui s’était maintenu, on ne pourra négliger l’impact durant la semaine passée de l’appel lancé par l’ancien député Robert Spieler aux électeurs : « Ne votez à aucun prix pour Fabienne Keller qui hait les nationalistes et soutient le mariage homosexuel ! »

Il semblerait par ailleurs que Villeneuve-Saint-Georges (dans le Val-de-Marne) reste aux mains du Parti communiste de… 30 voix ! Il s’en est donc fallu d’un rien que l’entente électorale « pragmatique » Divers droite/Front national ne gagne son pari… si tant est qu’il soit perdu, puisqu’un recours est d’ores et déjà annoncé.

15:32 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dans tout le Midi avec les identitaires : de la révolte des urnes à celle de la rue

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Un communiqué de la Ligue du Midi (Réseau Identités) :

Il faut remonter à la vague poujadiste de 1956 pour savourer dans le Midi l’ampleur d’une telle défaite de la classe politique –version aile gauche- à une époque où le slogan de campagne qui avait permis d’envoyer 50 députés à l’assemblée était le laconique mais efficace: “Sortez les sortants”.  Toutes bretelles dehors, Pierrot Poujade le visionnaire nous montrait la voie quand il déclarait: “il faut être du côté des petits, des matraqués, des spoliés, des laminés, des humiliés qui vivent avec trois fois rien”… Vision prémonitoire de la situation des petits blancs en 2014.

Dans la plupart des grandes villes du Languedoc-Roussillon, le Parti socialiste a implosé, à l’instar de l’inculte “Mourre de porc” à Montpellier qui a subi une défaite d’anthologie face à un dissident qui était donné à 6% par les sondages il y a moins de 3 mois. Ce résultat ressemble à une réplique des élections régionales de 2010 à l’issue desquelles, le populiste Georges Frêche avait balayé toutes les composantes de la gauche, y compris le Parti Socialiste. La révolte populaire a déferlé dans de nombreuses villes du Midi : à Béziers, à Perpignan, à Beaucaire, à Saint Gilles et dans toute la Camargue ainsi qu’en Provence, à Marseille, Avignon, Fréjus, Orange, Cogolin ou au Luc.

Mais nous sommes conscients que le résultat de ces élections ne va rien changer à notre quotidien. La victoire de l’UMP n’est  que le miroir de la défaite de la gauche. Pouvons-nous penser que Messieurs Copé, Jacob ou Lemaire feront une politique plus identitaire, plus patriote, plus pro-famille, plus sociale, plus rigoureuse que  Messieurs Fabius,  Moscovici ou Valls. Est-ce que vous avez eu envie de vous battre pour  Kosciusko-Morizet contre Hidalgo?

Ne nous y trompons pas,  la réforme régionale sera laissée aux oubliettes, le mille-feuilles de la territorialité ne sera pas raboté et  les technocrates poursuivront leur rêve de démantèlement du Languedoc-Roussillon… ces super-jacobins ne souhaitant que continuer à parasiter sur les départements qui sont  le siège du clientélisme,  du gaspillage et de l’emprise étatique.

Les identitaires de la Ligue du Midi appellent tous leurs sympathisants à monter d’un cran dans l’échelle de la révolte: après la révolte des urnes il faut passer à celle de la rue en rassemblant toutes les colères populaires du pays. Faisons en sorte de “coaguler” à cette protestation l’ensemble des mécontentements socio-professionnels: artisans, salariés, travailleurs précaires, agriculteurs, professions libérales en mettant en avant, parmi eux, ceux qui sont les plus vulnérables : salariés de l’industrie, éleveurs, artisans du bâtiment, bijoutiers, buralistes, sages-femmes … La Ligue du Midi, avec ses partenaires appelle à manifester en nombre pour le Jour de colère ce dimanche 6 avril à 14 h à Montpellier.

Rendez-vous au Peyrou à 13 heures pour les organisateurs.

15:25 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le moins français et le plus sectaire des socialistes à Matignon...

DSC_0164-2.jpgUn communiqué de Carl Lang,

Président du Parti de la France :

En pleine déroute électorale, le Président de la République socialiste met en œuvre son slogan de campagne : « le changement c’est maintenant ».

Après le grand nettoyage de printemps des mairies socialistes réalisé par les électeurs, François Hollande se voit contraint de sacrifier Jean-Marc Ayrault sur l’autel de la débâcle. Mais le tour de passe-passe du changement de Premier ministre n’est qu’un jeu de dupes : on change de gouvernement pour ne pas changer de politique.

Manuel Valls est chargé de constituer un « gouvernement de combat ». La question est de savoir qui et quoi va-t-il combattre ? En effet nous avons déjà mesuré les capacités de violence politique  de l’ancien ministre de l’Intérieur lors de la répression policière organisée à l’encontre des familles françaises qui manifestaient paisiblement contre le la loi sur le mariage homosexuel. Nous avons aussi en mémoire les interdictions des spectacles et l’acharnement médiatico-politique orchestrée par Valls à l’encontre de l’humoriste Dieudonné. Lorsqu’un ministre de l’Intérieur utilise tous les moyens de l’Etat pour porter atteinte avec autant de haine à la liberté d’expression le pire est à craindre.

Manuel Valls est sans nul doute avec Taubira le plus sectaire et le plus intolérant des socialistes.

Le Président de la République, lors de son allocution a indiqué que sa méthode était le dialogue et le respect, mais l’homme qu’il vient de choisir comme chef de gouvernement s’est illustré à l’occasion des grandes manifestations pour tous par son refus du dialogue et son incroyable mépris des familles françaises attachées à nos valeurs de civilisation.

Carl Lang et le Parti de la France appellent donc à la vigilance et à la mobilisation des Français et en particulier des militants de la droite nationale face aux menaces qui pèsent sur nos valeurs, notre identité française et nos libertés.

09:46 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Yamina Benguigui, ministre et nouvelle élue de Paris Xe, engluée dans une affaire !

3553571311.jpegYves Darchicourt

Yamina Zora Belaïdi épouse Benguigui est notre ministre déléguée la francophonie. Née à Lille dans ce qui n'est sans doute pas une très vieille famille flamande, la dame qui se targue d'être aussi "réalisatrice" sur les chaînes alimentées par la redevance odieuvisuelle vient d'être élue conseillère (PS) de Paris dans le 10e arrondissement.

La bobo maghrébine - asticotée dans la presse people pour s'être faite relooker au botox de façon un peu trop visible - est aussi la représentante personnelle de François le Normal à l'OIF (Office International de la Francophonie). Bien évidemment faite chevalier de la Légion d'Honneur, militante infatigable du droit des femmes surtout exotiques, Yamina est aussi la propagandiste de "l'héritage maghrébin de la France".

Tout ce qu'il faut pour perdurer dans le gouvernement remanié d'après la gifle magistrale enregistrée par le PS et ses satellites aux municipales. Et puis patatras ! On vient d'apprendre que la "Haute Autorité pour la transparence de la vie publique" a fait état de ses doutes (très) sérieux "quant à l'exhaustivité, l'exactitude et la sincérité" des déclarations de patrimoine de l'égérie du 9-3 et que ces faits "sont susceptibles de constituer des infractions pénales" pour lesquelles la grande Zora encourt 3 ans de prison, 45 000€ d'amende et 10 ans d'inéligibilité.

Sans doute distraite, Yamina Zora aurait oublié de déclarer avoir été copropriétaire d'une holding elle-même actionnaire d'une société de sa production - Bandits Production çà ne s'invente pas -  et dont elle aurait revendu les parts pour 430 000€. Petit oubli ou gros mensonge ? En tous les cas des emmerdes en perspective (Anne Hidalgo vient de lui demander de démissionner de son tout nouveau mandat de conseiller) et une nouvelle belle illustration du slogan préféré des abstentionnistes et des autres citoyens français..tous pourris !

07:03 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |