vendredi, 18 avril 2014
« Moi Président » et son irréprochable République de copains et de coquins…
La chronique de Philippe Randa
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L’affaire a été rondement menée. À peine Dominique Voynet a-t-elle rendu son mandat municipal à Montreuil (93) qu’elle vient d’être embauchée à l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS), nommée en Conseil des ministres « sur proposition du ministre des Affaires sociales et de la Santé et du ministre du Travail », comme l’a précisé l’Élysée.
Une nomination qui reste en travers de l’œsophage du président PS de l’Assemblée nationale et ancien président du conseil général de Seine-Saint-Denis Claude Bartolone, qui la brocarde sévèrement sur son blog : « Triste itinéraire d’une enfant gâtée de la République. Élue ou parachutée tour à tour dans le Jura, au Parlement européen, en Seine-Saint-Denis, puis défaite par les électeurs ou auto-démissionnée par certitude de l’être, madame Voynet, si prompte à critiquer la violence du “système”, restera certainement silencieuse quant à la manière dont elle vient d’en profiter goulûment. »
On sait les relations en général tendues entre socialistes et écologistes, mais entre Claude Bartolone et Dominique en Voynet en particulier, c’est de l’amour vache… et même vache folle !
D’autant que le « parrain » de la Seine-Saint-Denis, comme l’a surnommé l’intéressée en son temps, ajoute : « Au mieux, cette nomination apparaît comme le “golden parachute” d’une élue en mal d’électeurs. Au pire, elle procède d’un accord politique lui ayant permis de s’exfiltrer de Montreuil après avoir laissé cette ville en ruine et la gauche divisée comme jamais. »
Bon, ces deux-là ne nous feront pas un petit, on l’aura compris…
Pour se consoler, l’ancienne cheftaine des écologistes va pouvoir faire don de sa personne à l’IGAS sans craindre particulièrement les fins de mois difficiles ; même pour un ancien ministre, « la fourchette de rémunération d’un inspecteur général des affaires sociales est de 85.000 à 100.000 euros net annuels », indique l’IGAS. On survivrait à moins.
Et tant pis pour les quelques envieux qui rappellent fort désobligeamment ce qu’elle avait publié en automne dernier sur son blog – décidément, les blogs s’avèrent dangereux en politique ! –, pour justifier qu’elle ne briguerait pas un nouveau mandat municipal : « Je refuse de partir en campagne en promettant logements et jobs “à la mairie” à tour de bras ; de garantir à toute personne rencontrée dans la rue que sa demande, même injustifiée, sera traitée “en priorité” [...] ; de promettre à chaque dirigeant d’association évoquant sans pudeur l’imminence des élections une augmentation de sa subvention annuelle. »
Quant à « Moi Président », décidément, personne ne lui reconnaît enfin d’avoir prouvé en moins d’une semaine qu’il luttait avec efficacité contre le chômage, plaie de la France s’il en est depuis des décennies (pas que d’elle, d’ailleurs !) : après Harlem Désir, discriminé pour incompétence dans son ancien « job » (premier secrétaire du Parti socialiste) et sauvé in extremis par un secrétariat d’État, voilà une autre citoyenne qui aura échappé à Pôle emploi.
Comme quoi, si Dominique Voynet était sincèrement « dégoûtée par la politique », comme elle l’a clamé haut et fort en fin d’année dernière, la politique ne semble nullement dégoûtée d’elle !
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Ce soir sur Méridien zéro :
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jeudi, 17 avril 2014
"Nos Chers vivants", l'émission consacrée au cinéma d'Arnaud Guyot-Jeannin
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Le JT de TV Libertés de jeudi soir :
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Samedi 28 juin : concert de "In Memoriam" à Paris
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La Révolution conservatrice allemande, un nouveau livre de Robert Steuckers
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Dans Présent de demain, un grand entretien avec Serge Ayoub
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LE VICE ET LE CRIME, AU SECOURS DES ECONOMIES OCCIDENTALES.
Rien ne peut arrêter l’imagination putride des gnomes de Bruxelles. Comme ils se doutent que les gouvernements ne veulent (ou ne savent) pas réduire les dépenses et le gaspillage des deniers publics, pour ne pas mécontenter leurs électeurs/clients, alors ils ouvrent des « boîtes à idées ». Et cela, depuis des années…en étant en concurrence avec leurs homologues d’autres administrations, ailleurs dans le monde.
Ainsi, ces forts en thème ont imaginé pouvoir stimuler le PIB (Produit Intérieur Brut) de chaque pays européen sans effort et par un coup de baguette magique. Jugez-en : en accord avec les américains (bien sûr) le calcul du PIB sera réformé en septembre 2014, en y incluant comme « investissements » les dépenses en Recherche & Développement (R&D).
Judicieux n’est-il pas vrai ? Par cette simple manipulation, le PIB grimpera de 2 à 3% en Allemagne, en Belgique, au Danemark et en France. Et même de plus de 5% en Finlande, en Suède et aux USA, sans aucun effort supplémentaire ni de la part des travailleurs, ni de la part des fonctionnaires. En toute logique, le rapport de la dette publique en regard du PIB va donc diminuer ! Mais pourquoi personne n’a-t-elle proposé cette option miracle, plus tôt ? Ainsi, le ratio d’endettement permettra aussi à certains pays de pouvoir obtenir de nouveaux financements à de bonnes conditions …pour rétribuer les copains et les coquins. Evidemment des esprits grincheux me rétorqueront que toutes les dépenses en Recherche & Développement n’aboutissent pas à des résultats positifs et loin s’en faut ! Mais cet aspect du problème n’a pas freiné l’enthousiasme des amateurs d’économie virtuelle, de magouillages de chiffres et de symphonies statistiques.
Quand les Eurocrates appellent la pègre et les tapineuses à la rescousse.
Les désastres financiers en Irlande, en Grèce, au Portugal, en Espagne ou à Chypre ont marqué les esprits des kleptocrates de Bruxelles. Ils ont donc très sérieusement proposé à la Commission européenne d’inclure les activités illégales, menées dans chaque pays de l’Union, dans les statistiques économiques ! L’activité « souterraine » au secours de l’économie « réelle » ! On rêve ? NON, nous sommes dans le monde des eurocrates…dont l’objectif est de refléter « correctement » le niveau d’activité économique, qu’elle soit illégale ou non.
Mais comment alors quantifier avec précision une activité « noire » ? La Commission européenne précise donc que « chaque état membre devra fournir une estimation globale de l’activité souterraine. Il n’y aura pas de répartition détaillée par secteurs. » A la louche donc ! Grosso-modo ! Au pif ?
On atteint ici le grandiose et par un tour de passe-passe, le PIB des 28 états membres de l’Union va être vitaminé de plusieurs points à la hausse, puisqu’il est de notoriété publique que la fraude, les trafics et la criminalité font partie des traditions de certains peuples.
Si l’on examine les principaux trafics illicites au niveau mondial, on constate que les stupéfiants occupent la 1ère place avec des revenus d’environ 320 milliards de dollars par an, suivis par les contrefaçons (articles de luxe, médicaments, pièces détachées pour l’aviation ou l’industrie nucléaire) avec 250 milliards de dollars ; vient ensuite le trafic d’êtres et d’organes humains pour 41 milliards de dollars ; puis en 4e lieu, le trafic de carburants pour 11 milliards de dollars, loin devant le trafic d’armes légères pour 1 milliard USD par an, entre autres exemples (source = « Géopolitique de la mondialisation criminelle. Xavier Raufer. PUF.2013.) Et nous ne parlons pas ici du travail « au noir », ni de l’argent « gris », ni des transactions non déclarées, ni des fraudes sociales ou fiscales, autres éléments qui composent l’économie « parallèle ».
Et la Commission européenne n’aura aucun mal à chiffrer cette économie « souterraine » pour les Etats-membres, étant donné que partout dans l’UE et depuis plus de 40 ans, différentes études ont été menées par des universitaires ou des parlementaires, études qui, au fil des ans, situent son impact entre 9 et 30% du PIB.
Selon une récente enquête menée par Friedrich Schneider, un professeur autrichien d’une université de Linz et expert de l’économie souterraine, l’économie « parallèle » dans divers pays de l’Union Economique serait la suivante pour 2013 : 9,1% du PIB aux Pays-Bas ; 9,7% au Royaume Uni ; 10% en France ; 13% en Allemagne ; 16,4% en Belgique (soit 63 milliards d’euros) ; 30% en Bulgarie, parmi d’autres (source = agence Belga).
Le plus scandaleux dans cette normalisation (banalisation) économique du crime et des délits, est d’apprendre que cela aurait été dicté par une modification de la participation des pays au budget de l’Union. Un état dont l’activité souterraine est importante, verra son PIB augmenter bien plus que celui du voisin. Et comme la contribution au budget européen dépend aussi de la taille du PIB, certains pays pourraient voir leur contribution augmenter fortement. Et selon un eurocrate : « pendant des années, des pays avec un grand secteur informel, comme la Grèce, l’Italie, l’Espagne ou ceux de l’Est, ont aussi poussé à cette réforme, afin de bénéficier de chiffres de déficit budgétaire et d’un ratio de dette publique plus favorable ». CQFD !
Il est absolument répugnant que les chacals qui occupent les bureaux de la Commission Européenne puissent légitimer le crime, l’argent sale et les trafics multiples de la pègre immigrée. Il est tout aussi nauséabond que le Pouvoir se couche ou ferme les yeux sur les fraudes dont les puissants sont friands. Deux exemples :
- L’agence Belga nous apprenait il y a quelques années que dans les données bancaires volées en 2004 à HSBC, y figuraient 3.137 comptes détenus par 2.450 belges. Parmi ces belges, 1.750 étaient des diamantaires et 193 familles d’entre eux, détenaient 369 sociétés offshore depuis de longues années : on attend encore les lourdes condamnations en 2014…2015 ou 2028 ?
- Pour sa part, le diamantaire anversois Omega Diamonds a négocié en 2013 le plus gros arrangement de l’Histoire de la Belgique en matière fiscale. Le parquet d’Anvers et le fisc ont accepté de renoncer à poursuivre l’entreprise, en échange d’une transaction portant sur 160 millions d’euros. Une broutille, comparée à une fraude de 2,5 milliards € ! ! !
Et ici, je ne parle que d’un pays, d’une grande ville et d’un seul secteur d’activité !
Grâce aux dealers, aux fraudeurs, aux criminels de tout acabit et aux prostituées, les dettes publiques auront meilleure mine et tous les trafiquants auront légitimement leur place dans l’économie mondialisée, si l’on ne met pas fin aux dérives des eurocrates.
Le déclin d’une société décadente, c’est çà : « LE TRAVAILLEUR INFORMEL MAFIEUX. ».
Aucune raison ne doit justifier l’économie « souterraine ». Il faut, sans relâche et avec détermination, combattre et condamner les criminels (leurs complices et leurs protecteurs) qui pourrissent notre quotidien et tuent nos enfants.
14:26 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le JT de TV Libertés de mercredi soir :
10:37 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Et maintenant, le sous-SMIC !
La chronique de Philippe Randa cliquez ici
Il y a des sujets aussi polémiques que récurrents… Ainsi du tabou de la Sécurité sociale, de l’abrogation des 35 heures ou encore du salaire minimum interprofessionnel de croissance, plus connu sous ses initiales de SMIC.
Après Pascal Lamy, ex-directeur général de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) qui demandait plus de « flexibilité » pour le travail et le retour des « petits boulots », payés en dessous du SMIC, c’est Pierre Gattaz, patron du MEDEF, qui revient à la charge avec l’instauration à titre « temporaire » d’un salaire « transitoire » inférieur à celui-ci.
On sait d’expérience ce que promet l’adjectif « temporaire », soit en général « pour longtemps » ; et « transitoire » rime fâcheusement, en l’occurrence, avec « suppositoire ».
Évidemment, les réactions ont fusé. Indignées, en général… L’occasion fournie est trop belle, pour beaucoup, de la jouer « sociale », une fois n’est pas coutume ! Et l’ancienne patronne des patrons Laurence Parisot – qui a dû céder plus qu’à contre-cœur la place à Pierre Gattaz – ne s’en est pas privée, dénonçant la « logique esclavagiste » d’une telle proposition. Rien de moins.
Sans aller jusqu’à un tel extrémisme de vocabulaire, reconnaissons néanmoins que la justification de son successeur pour illustrer sa proposition est quelque peu (euphémisme !)… maladroite : un « sous-SMIC » permettrait, selon lui, aux jeunes d’entrer sur le marché du travail. D’entrer, peut-être ; de les motiver, c’est beaucoup moins certain…
Jeune, donc taillable, corvéable et exploitable pour des rémunérations au rabais : moins de mille euros pour subvenir aux besoins de première nécessité. Pour le superflu, monsieur Gattaz n’a pas indiqué d’âge minimum…
Alors, sachant qu’après quarante ans, le chômage menace tout autant, sinon davantage, après le sous-SMIC à l’intention des jeunes, pourquoi pas un sous-SMIC à celle des pas encore assez vieux ? Monsieur Gattaz n’en a pas parlé. Ça viendra, patientons…
Au-delà de l’ironie et des indignations de circonstance, il est un fait que le montant actuel du SMIC (1 445,38 euros brut au 1er janvier 2014) ne permet guère une vie très confortable d’une part (quoique cela dépende des régions), tout en étant trop élevé pour nombre de chefs d’entreprise d’autre part.
D’abord, parler de « sous-SMIC », n’est-ce pas déjà une imposture ? Peut-il exister, en français correct, un « moins minimum » ? Pas davantage qu’un « plus pire », me semble-t-il. Ensuite, la question n’est-elle pas plutôt : « Un SMIC moins élevé inciterait-il davantage à l’embauche ? »
C’est loin d’être certain si l’on s’en réfère à la méfiance à l’encontre du pacte de responsabilité proposé par François Hollande lors de ses vœux aux Français, « fondé sur le principe simple : moins de charges sur le travail, moins de contraintes sur leurs activités et, en même temps, une contrepartie, plus d’embauches et plus de dialogue social ».
Quatre mois plus tard, la plupart des chefs d’entreprise ne sont toujours pas disposés à « jouer le jeu », trop souvent échaudés par le passé par des promesses gouvernementales non tenues.
Baisser les charges ou baisser le salaire minimum, c’est quand même kif-kif bourricot, contrairement à tout ce qu’on voudra bien nous affirmer. Si le pacte de responsabilité ne convainc pas, le SMIC en solde ne le fera pas non plus.
10:33 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi, c'est le jour de Rivarol...
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mercredi, 16 avril 2014
Milo Moiré, artiste : l'archétype de la décadence artistique européenne !
La suissesse Milo Moiré se dit artiste. Sa dernière et seule création a été en mai 2013 de se balader à poil dans le tramway de Düsseldorf pour faire immortaliser les réactions des usagers teutons dans une vidéo qualifiée d'oeuvre d'art et intitulée "bouleverser le quotidien des pendulaires".
La trentenaire exhibitionniste qui s'est installée en Allemagne a mis un peu moins d'un an pour peaufiner l'idée d une nouvelle oeuvre créée tout récemment en direct à la foire d'art contemporain de Cologne. Toujours à poil et pour cause, debout sur un échafaudage, elle s'est introduit des objets ovoïdes emplis de peinture rouge dans le vagin et les a "pondus" sur une toile blanche devant les visiteurs pour le moins interloqués.
Au sortir de sa transe créatrice, la géniale a trouvé les mots traduisant sa pulsion artistique : " J’ai visualisé l’archétype même de la puissance artistique féminine : la création. J’ai utilisé l’œuf comme le symbole de naissance. La toile exprime le concept de tabula rasa et l’œuf a lui-même, une fois cassé sur la toile, un potentiel artistique», précisant pour les béotiens qui n'auraient pas compris le sens sublime de sa démarche : " C’est une expérience personnelle, intuitive dans laquelle, je peux développer une profonde intensité, mais aussi la sincérité de mon art. Je crée et j’utilise la source originale de la féminité, mon vagin.» Un charabia à faire perdre leur yiddish aux derniers disciples du vieux Sigmund mais susceptibles de trouver écho dans le petit monde des bobos européens toujours férus d'art "libéré". A preuve, il ne s'est pas trouvé un chaland pour la fesser d'importance histoire de lui remettre les idées à l'endroit et elle n'est même pas repartie en camisole.
Milo envisage sérieusement d'exposer puis de vendre son oeuvre intitulée "PlogEgg1 : la naissance d'une peinture" Il est probable qu'elle y parviendra et pourquoi pas après tout: il s'est bien trouvé des bobos pour acheter les 90 boîtes de conserve remplies de la fiente du cérébral Piero Manzoni et baptisées "Merde d'Artiste" à 30 000€ l'unité. En attendant ses prochaines pontes vaginales, la générosité de mécènes ou l'imbécilité d'acheteurs, la dame va continuer à fréquenter à poil d'autres tramways d'autres grandes villes d'Europe... une intermittente du spectacle en quelque sorte !
22:17 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER
RIVAROL N° 3136 du 10 avril 2014
CHARLOTTE de Turckheim s’inquiète quant à la quiétude de la maîtresse du président de la République. Julie Gayet serait particulièrement affectée par les épreuves qu’elle a dû affronter ces derniers mois. Des épreuves abominables, il est vrai, car, être assise à l’arrière d’une vespa n’est pas une chose si facile. Charlotte de Turkheim a, selon l’hebdomadaire Closer, des plus informés, confié ses craintes: « Je suis inquiète pour elle, car même si elle est intelligente, j’espère que tout cela ne va pas trop l’abîmer ». Selon cette proche, le malaise éprouvé par Julie Gayet n’est pas récent mais remonte à l’année dernière. Elle l’a trouvée “changée” lors du dernier Festival de Cannes : « Elle m’a dit que sa vie était très compliquée, je l’ai sentie à fleur de peau. Je ne savais pas ce qu’il se passait, seulement qu’elle avait besoin de se changer les idées ». Qu’elle lise RIVAROL, ça lui changera les idées…
ANNE GRAVOIN, LA NOUVELLE TRIERWEILER ?
A 51 ans, Anne Gravoin, la compagne de Manuel Valls, est connue dans son milieu professionnel pour être une excellente violoniste. Celle qui est considérée comme une « musicienne brillante et professionnelle » par le recteur de l’Opéra de Tours est diplômée du Conservatoire de Paris où elle a reçu une éducation musicale “classique”. Mais Anne Gravoin n’excelle pas uniquement au sein d’orchestres symphoniques. Elle travaille également dans le monde de la variété et a par exemple mené la section cordes de Johnny Hallyday. Auparavant, elle avait déjà collaboré pour la chanson, notamment aux côtés de Laurent Voulzy, qui a assuré sa transition entre le milieu classique et le show-biz. On attend avec impatience les futurs dérapages d’Anne Gravoin, l’épouse de Manuel Valls depuis 2010. Elle en a déjà commis quelques-uns. Les lecteurs de RIVAROL connaissent l’épisode du PV qui sauta derechef, le véhicule d’une de ses amies étant mal garé dans sa rue. Un petit coup de fil à Valls avait suffi. Ils savent aussi que les SDF qui squattaient les abords de son immeuble furent virés à sa demande. Nous nous réjouissons de faire plus ample connaissance avec celle qui s’en prenait, en juin 2012, dans les colonnes du Parisien, à l’épouse du premier Ministre, déclarant sans pitié : « Une musicienne, c’est un peu plus glamour que Mme Ayrault, prof d’allemand dans la banlieue de Nantes ! » L’Express raconte qu’à l’été 2013, la violoniste aurait fait pression sur son mari pour qu’il empêchât la fermeture d’une boîte de nuit du Cap d’Agde, qui appartient au père de Laeticia Hallyday. Le Premier ministre dément et annonce son intention de porter plainte pour diffamation. Les amis, mon intuition me dit qu’on n’a pas fini de rire !
“ILS IRONT FAIRE LEUR MOSQUÉE TOUT SEULS”
Le soir de l’élection de Fréjus, remportée par le frontiste David Rachline, le maire UMP sortant, Elie Brun, écrabouillé par les urnes, n’a pas pu cacher sa déconvenue. Constatant que le FN était en tête même dans les deux bureaux des secteurs où la mosquée de Fréjus devait être construite, il a eu cette remarque amère : « Avec ce que j’ai fait pour eux, putain… Ils iront faire leur mosquée tout seuls. Qu’ils ne m’emmerdent plus… »
MANUEL VALLS A DU SOUCI À SE FAIRE
C’est le site Novopress qui le raconte. Même si les sondages en ligne sur internet ne sont pas très fiables, on peut cependant y déceler des tendances. Trois sites de grands périodiques (Le Parisien, Le Point, Le Figaro) posent chacun à leur manière la question suivante : « Êtes-vous satisfait [de la composition] du nouveau gouvernement ? / Faites-vous confiance au nouveau gouvernement pour redresser la France ? » Les réponses sont sans appel. Sur le site du Parisien, le “non” l’emporte avec 85% des votants. Sur le site du Point, 87%. Sur celui du Figaro, 90 %. Même le Nouvel Obs, pourtant très à gauche, s’y, met, titrant : « Gouvernement Valls : six trucs qui nous énervent ». Michel Sapin, nouveau ministre des Finances, se fait, quant à lui, fusiller pour cette réflexion, il est vrai, grandiose quant à la nécessité d’un référendum sur l’accord de libre-échange transatlantique, question posée par un auditeur : « [Ce n’est] pas la bonne réponse démocratique à une question comme celle-ci ». Car dans la démocratie socialiste, hors de question d’envisager un référendum !
QUEL HUMOUR !
La nomination de Ségolène Royal, mercredi 2 avril, au ministère de l’Écologie, est évidemment commentée et même moquée, parfois de façon pas très élégante. Peu après la présentation du gouvernement par le secrétaire général de l’Élysée Pierre-René Lemas, le député UMP Philippe Vitel a demandé un maroquin pour Valérie Trierweiler : son tweet hautement spirituel ? « Et Valérie, elle n’a pas droit à un ministère comme Ségolène ? Au nom de la justice du plumard ? » Vitel finira ministre, sans aucun doute…
AUTRICHE : ILS SONT FOUS DE RAGE
Nous avions évoqué récemment dans ces colonnes le député européen du FPÖ autrichien, Andreas Mölzer, qui est tête de liste de son parti pour les élections européennes de mai 2014, qui avait déclaré que l’Union Européenne est un “Negerkonglomerat” (rassemblement de Nègres). Andreas Mölzer avait répondu qu’il avait parlé d’un « nekrophiles Konglomerat » (rassemblement de nécrophiles). Nul n’est totalement obligé de le croire. Il avait aussi décrit le Troisième Reich comme “libéral” si on le compare à la “dictature” qu’est l’Union Européenne. Le parti socialiste et les conservateurs, qui se partagent le gouvernement, hurlent de rage et ont exigé ensemble du président du FPÖ Heinz-Christian Strache qu’il pousse Andreas Mölzer à se retirer. Idem pour le président de la communauté de culte israélite Oskar Deutsch, pour la tête de liste des écologistes pour les élections européennes ainsi que pour celle du parti libéral NEOS qui ont tous poussé des cris d’orfraie. Les Démocrates suédois menacent de ne pas faire partie du futur groupe au sein du Parlement européen qui doit comprendre les Démocrates suédois, le FPÖ, le Front National, le Vlaams Belang, le PVV, la Ligue du Nord. Kent Ekeroth, des Démocrates suédois, a déclaré au quotidien suédois Expressen qu’Andreas Mölzer ne devra pas, suite à ses propos, occuper une place de direction au sein du futur groupe et qu’il a pleine confiance dans le fait que le FPÖ gère cette situation au mieux (En d’autres termes qu’il se débarrasse de Moelzer). Ah, au fait, qui est Kent Ekeroth ? J’ai déjà eu l’occasion d’évoquer dans RIVAROL cet oiseau que j’ai croisé il y a quelques années lors d’une réunion de l’association allemande Pro-Köln. Juif, il avait travaillé pendant quelques mois à l’ambassade de Suède à Tel-Aviv. Lors de son intervention à la tribune, il évoqua les “libérateurs” américains, ce qui suscita un léger malaise, beaucoup des participants ayant une grand-mère ou une sœur massacrée par les bombes américaines qui ravagèrent Köln (Cologne). Il sera intéressant de voir si le leader du FPÖ tient le choc face aux pressions qu’il subit… Souhaitons-lui bon courage !
LES ETATS-UNIS BIENTÔT RAYÉS DE LA CARTE ?
Aux Etats-Unis, les bisons fuient en masse le parc national de Yellowstone, dans l’Etat du Wyoming. On découvre des images impressionnantes sur Internet. Il ne s’agit nullement d’une anecdote fantaisiste, mais il faut savoir que les animaux ont un sixième sens pour ce qui concerne les tremblements de terre. Il y a 35 ans, un terrible tremblement de terre ravagea le Frioul (Italie du nord), entraînant des milliers de morts. Des personnes de ma famille, habitant Casiacco, petit village du Frioul qui fut à moitié détruit, m’ont raconté qu’une heure avant le tremblement de terre, la nature était comme morte. Les animaux fuyaient ou se terraient tous. Le 30 mars dernier, un séisme de magnitude 4,8 sur l’échelle de Richter a eu lieu dans le parc de Yellowstone, et les animaux fuient depuis. Les spécialistes qui s’expriment à ce sujet craignent qu’un “supervolcan” endormi depuis plus de 600 000 ans, situé sous le parc, ne puisse se réveiller. Ce volcan, assimilé à une vraie bombe à retardement, pourrait rayer les Etats-Unis de la carte !
UN MAIRE COMMUNISTE QUI NE MANQUE PAS D’HUMOUR
Alain Bocquet est le maire communiste de Saint-Amand-les-Eaux (Nord). Doté d’un solide sens de l’humour, il a déguisé des agents municipaux en policiers et arrêté, le 1er avril, les automobilistes qui dépassaient la vitesse de 10 km/h dans la rue principale, leur distribuant de fausses amendes…
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.
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Dans Présent d'aujourd'hui, une tribune libre de Roland Hélie sur le conflit en Ukraine
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Sortie attendue le 25 avril du nouveau livre explosif sur Manuel Valls !
10:29 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 17 mai, à Paris, colloque sur Dominique Venner
NDLR :
Publié par les Bouquins de Synthèse nationale
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Samedi 17 mai, à Paris, Grande procession en l'Honneur de Saint Louis
Toutes les infos sur cet événement cliquez ici
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Le JT de TV Libertés de mardi soir :
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mardi, 15 avril 2014
La 2e Journée régionale Flandre Artois Hainaut de Synthèse nationale, à Nieppe près de Lille, a remporté un franc succès.
Public nombreux, beaucoup durent rester debout
pour écouter les discours.
Plus de 150 personnes sont venues dimanche à la Ferme de l'Epinette à Nieppe assister à la 2e journée régionale Flandre Artois Hainaut de Synthèse nationale. Organisée d'une main de maître par Luc Pécharman et sa sympathique équipe du Nord, cette journée s'est déroulée sans incident majeur malgré les piteuses tentatives d'intimidations (menaces et graffitis signés Antifa) des valets locaux du Système.
De nombreux stands politiques (Terre et peuple, Militant, MAS, Parti de la France, Nation, NDP et Synthèse nationale...), des librairies, un service de restauration rapide et un bar où régnait une ambiance conviviale, de franche camaraderie, qui caractérise les journée de Synthèse nationale.
Cette journée fut l'occasion rêvée pour présenter à nos amis le premier numéro des Cahiers d'Histoire du nationalisme, la nouvelle publication lancée sous l'égide de Synthèse nationale. De nombreux abonnements ont été enregistrés ce qui confirme que cette revue répond à un besoin de la part des militants et sympathisants de la cause nationaliste.
Deux séries d'interventions se succédèrent au cours de l'après-midi. La première, animée par Luc Pécharman, aborda, quelques semaines avant les élections européennes, le thème de l'Europe. Robert Spieler, ancien député, fondateur de la NDP et chroniqueur apprécié de l'hebdomadaire Rivarol, et Kris Roman, responsable des relations extérieures du mouvement belge francophone Nation, intervinrent à ce moment là.
Puis ce fut la seconde série d'interventions au cours de laquelle le public écouta avec attention les discours d'Arnaud Raffard de Brienne, essayiste et collaborateur régulier de notre revue, Arnaud de Robert, porte parole du Mouvement d'action sociale, Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, Gabriele Adinolfi, Président de l'Institut Polaris, venu spécialement de Rome pour l'occasion, et Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, à qui il revenait de conclure cette belle journée.
Nous reviendrons dans le détail sur cette réunion dans les jours qui viennent.
Gabriele Adinolfi, au cours de sa brillante intervention
Robert Spieler, Luc Pécharman et Kris Roman
Thomas Joly et Roland Hélie
11:45 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Affaire "Bourricot Incompétent" devant le Tribunal Correctionnel de Carcassonne Coupables, mais pas trop… les accusés font appel
Président du
Réseau identités cliquez là
Habitué des prétoires, je n’avais jamais été condamné à une peine autant minime que délirante…200 euros d’amende assorti du sursis, mon prestige en a pris un coup. Certes, il faut relativiser : Josiane Filio et moi n’avons été condamnés à rien, mais nous sommes reconnus quand même un peu coupables… comme dirait l’autre : coupable mais pas trop…
Dès le début de l’audience, tout le monde sentait qu’un malaise planait au-dessus du Tribunal… Soumis à un oukase du procureur de Paris qui souhaitait que soit actées à Carcassonne les limites de la liberté d’expression, les juges ne savaient pas comment ils allaient concilier l’inconciliable et se débarrasser d’un bâton merd…Pierre Cassen, en greffier “révolutionnaire” ne perdait aucune déclaration et préparait déjà son prochain papier…
Josiane fut donc invitée à s’expliquer à la barre. Elle contesta l’acte d’accusation, estimant son article ni injurieux ni diffamatoire. Elle précisa qu’elle avait écrit ce texte au lendemain des interdictions successives des manifestations du Réseau-Identités et de Riposte Laïque, décidées de manière arbitraire par le Préfet Boucault et attaquée pour la première en excès de pouvoir au Tribunal Administratif par le Réseau-Identités. La présidente rappelait à l’ordre Josiane, de manière assez sèche, lui signifiant que le tribunal n’était pas une tribune politique…
Présent dans la salle au moment de la plaidoirie de Me Gardères, je m’étonnais que le substitut du procureur qui avait tant insisté, quelques minutes avant, pour m’entendre alors que j’étais absent, n’en éprouvait soudainement plus le besoin…Accessoirement il demandait une peine de 1500 à 2000 Euros, pour chacun des accusés !
Maitre Gardères prenait ma défense sur le ton de l’humour : « Ce dossier dérisoire me fait penser à une cour de récréation dans la France de 1950. Richard et Bernard se chamaillent, et le premier qualifie le second de « bourricot ». Certes, le jeu de mot est facile. On peut penser qu’il rappelle les heures les plus sombres de son enfance à Bernard Boucault, qui a sans doute souffert plusieurs fois de ce surnom, et en a gardé des traumatismes irréversibles, d’où sa sur-réaction »…
Mais je n’ai pas dit le « bourricot de préfet », j’ai seulement écrit que toute analogie entre Boucault et Bourricot serait fortuite, ce qui est tout à fait différent, d’autant qu’il s’agit d’un propos venant en conclusion d’une fable de la Fontaine intitulée l’âne chargé de reliques. On savait La Fontaine subversif à son époque, mais 3 siècles et demi plus tard…quelle fraicheur !
Le tribunal a préféré jouer dans « le feutré », mais pour notre camp, cette condamnation est un pétard mouillé même si nous avons bien ri d’un tel grand-écart ; soyons clair, soit l’on est coupable et l’on doit être condamné, soit l’on est innocent et l’on doit être relaxé, c’est ce qu’a évidemment plaidé notre avocat en demandant la relaxe, avec en prime la condamnation du préfet Boucault à acquitter 2.500 euros de frais de justice.
A Carcassonne, surtout à Carcassonne, la bouteille de Corbières n’est jamais à moitié vide ou à moitié pleine, suivant comment souffle le « Cers ». Certes, il n’y a pas de quoi faire un fromage de cette affaire, mais les principes sont les principes et la liberté d’expression qui est la mère des libertés publiques ne doit pas déroger avec les principes et nous avons décidé, collectivement avec nos partenaires et notre conseil, de faire appel de ce jugement et de donner à cette affaire le lustre qu’elle mérite désormais.
En sortant du palais et en passant sous les murs de la Cité, je pensais à la figure emblématique de Raimond Roger Trencavel, vicomte de Béziers qui s’était levé lors de la croisade des Albigeois pour défendre son pays et ses libertés.
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Libé : un enfumage sans modération de l’Élysée ?
La chronique de Philippe Randa
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Les plus méchants diront que le quotidien Libération est tellement aux abois qu’il en est réduit à ce titre de une dont on ne sait si elle est plus affligeante que provocatrice, plus stupide que pitoyable : « Droguez-vous avec modération »…
Ils en sont là ! Pour faire parler un « coup » ? Pour vendre une poignée d’exemplaires de plus ? Si au moins le journal annonçait dans la foulée son dépôt de bilan, les responsables – on ne sait plus très bien s’il y a vraiment un directeur ou si c’est un soviet de salariés qui entend dicter ses conditions au baron de Rothschild – pourraient ainsi finir en « beauté », mais non, il ne semble pas que le journal fondé par Jean-Paul Sartre et porté durant la Mitterrandie par Serge July en soit là… même si presque !
Alors ? Pourquoi cette une vantant la libéralisation de la drogue ? Pour rabâcher, encore et toujours, que la « prohibition [ayant échoué], la consommation de masse, addictive, est en pleine croissance », comme François Sergent, directeur adjoint de la rédaction (Ah si ! Il y a une « direction » à Libé !), l’affirme, ajoutant pour tenter tout de même de justifier l’injustifiable que le « climat répressif qui tourne autour des drogues […] empêche tout débat, toute discussion, toute information auprès des usagers [...]. Notamment des plus jeunes et des plus vulnérables… »
Bien évidemment, les réactions ne se sont pas fait attendre, à commencer par celle de Serge Lebigot, président de l’association des « Parents contre la drogue », qui rappelle dans Le Figaro : « Qu’il soit donné acte à notre association, apolitique, d’avoir alerté, tant M. Valls, alors ministre de l’Intérieur, que Mme Touraine, alors ministre de la Santé, sur la folie et l’incohérence de s’acharner à vouloir ouvrir une salle de shoot à Paris, avant sa généralisation en France. Nous n’avons, hélas, pas été écoutés. »
Et de tacler la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (MILDCA, ex-Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie [MILDT]) qui, selon lui, « place sur le même pied d’égalité la dépendance au crack et à l’héroïne et celle aux jeux vidéo, pourquoi pas à l’addiction au café, [cela] en dit long de son nouvel état d’esprit ».
De même, Thomas Sotto, dans sa revue de presse sur Europe 1, fustige la provocation du quotidien passé de la gauche ultra à la gauche faillie, via la gauche caviar : « C’est à se demander ce qu’ils ont pris à Libé ; [à] aucun moment ils [les journalistes de Libération] ne donnent la parole à un médecin ou un toxicologue qui pourrait mettre cela en perspective. »
À moins que… à moins que le locataire de l’Élysée n’ait simplement dealé avec le quotidien au bord du naufrage pour qu’il relance ce vieux débat polémique ? Les sondages annoncent, en effet, une nouvelle déconfiture du Parti socialiste aux élections européennes, le nouveau gouvernement – copie conforme du précédent – n’incitant pas les électeurs à épargner le parti au poing à la rose, désormais dirigé par Jean-Christophe Cambadélis…
Une façon comme une autre de détourner les esprits de la situation économique, comme l’année dernière la loi sur le mariage pour tous !… Bis repetita desperant ?
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lundi, 14 avril 2014
Élections consulaires du 25 mai : l’enjeu thaïlandais
Eric Miné
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Les européennes auront lieu le 25 mai prochain et sont porteuses des espoirs que l’on connaît. On le sait moins, cette échéance sera couplée à l’étranger à des « élections consulaires ». À défaut d’être connu, ce nouveau scrutin pourrait bien se révéler exemplaire à bien des égards et contrarier quelques vilaines habitudes. Qu’en est-il au juste ?
Dans le cadre d’une réforme générale de leur représentation, les Français de l’étranger avaient déjà pu élire directement, il y a deux ans, onze députés qui vinrent s’ajouter aux douze sénateurs déjà élus par un collège électoral restreint au sein d’une assemblée spécifique – l’AFE, Assemblée des Français de l’étranger –, chambre jusque-là sous tutelle du ministère des Affaires étrangères et dont la plupart des membres étaient nommés. Fondées sur le nombre d’inscrits dans nos consulats, ces circonscriptions législatives jusque-là inédites ont vu leur bornage souvent très large subdivisé en 130 zones désignant des « conseillers consulaires ». Dotés de pouvoirs délibératifs et grands électeurs au Sénat, ceux-ci seront 443. 83 d’entre eux, élus par leurs pairs, siégeront dans une AFE dès lors issue du suffrage universel.
Du temps où les amiraux portaient haut les couleurs de la France dans le monde, on disait des marins que « leur métier particulier s’exerçant sur tout le globe, il leur ouvrait l’esprit aux idées générales ». Il en va ainsi, aujourd’hui, de nos compatriotes expatriés : l’observation de leur terre natale s’enrichit des enseignements qu’ils acquièrent des sociétés où ils vivent. Et s’il est un pays où les Français en ce domaine s’enrichissent, c’est bien la Thaïlande. En cela, rien d’étonnant.
Pour ceux d’entre nous qui avons fait le choix d’y vivre, n’avons-nous pas été largement poussés dans notre décision par l’attrait d’un pays qui a su préserver ses traditions tout en entrant dans la modernité ? Un pays où l’abord affable de ses habitants et leur art consommé d’un bonheur simple nous changeait heureusement de la grisaille d’une France engluée dans l’abandon de ses valeurs ? Un pays où l’assistanat n’a pas lieu d’être mais où l’État n’empêche personne de travailler ?
Au premier tour de la dernière présidentielle, Marine Le Pen a pu s’y enorgueillir de scores allant sur certains bureaux jusqu’à 35 %. Face au délitement d’une classe politique française déconnectée de toute réalité, quoi de surprenant à ce qu’elle y incarnât aujourd’hui la France et pût y rassembler nos compatriotes dans l’image restaurée de notre nation ?
Aux élections consulaires du 25 mai prochain, la Thaïlande fournira plus de 6.200 des quelque 6.500 électeurs de la nouvelle circonscription « Thaïlande – Birmanie ».
Rompus aux contraintes d’une terre qui n’est pas la leur mais les accueille néanmoins de façon bienveillante, les Français de Thaïlande sont bien éloignés d’une « novlangue » qu’ils méprisent et savent encore ce que le mot « solidarité » signifie. Et ils pourraient bien profiter de l’occasion pour faire fi d’étiquettes partisanes désormais obsolètes, donnant ainsi une leçon de bon sens à la mère patrie. Le choix simple qui leur sera proposé sera celui d’une certaine idée de la France.
NDLR : Eric Miné est candidat aux élections consulaires cliquez là
21:49 Publié dans Eric Miné | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le JT de TV Libertés de lundi soir :
21:37 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La Voix de la Russie de cette semaine
21:35 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Conférence de Gabriele Adinolfi jeudi soir à Paris :
21:26 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Cristeros : le film caché Les internautes invités à se mobiliser pour que le film soit diffusé dans leur ville
Cristeros (Cristiada, For Greater Glory), film mexicain qui retrace l’épisode de la guerre des Cristeros (1926-1929) sortira dans certaines salles en France le 14 mai prochain. Le site internet consacré au film invite les internautes à se manifester pour que ce film très attendu soit programmé dans le plus grand nombre de villes possible.
1926, au Mexique. Le président Calles, un socialiste « humaniste », fait voter des lois portant atteinte au libre exercice du culte catholique. Pour répondre à ces mesures, la Ligue Nationale de Défense de la Liberté Religieuse organise des actions de désobéissance civile. Deux millions de Mexicains signent une pétition demandant l’abolition des lois anticatholiques. Face au refus du pouvoir éclate une insurrection. Des prêtres, parmi lesquels Christopher (Peter O’Toole) sont assassinés par l’armée. A la différence de son épouse Tulita (Eva Longoria), Enrique Gorostieta Velarde (Andy Garcia) n’est pas croyant. Mais pour protéger la liberté de culte, il prend la tête de la rébellion.
Le martyre du jeune José Luis Sanchez del Rio (Mauricio Kuri) permet à Velarde de retrouver la foi. Il remporte de nombreuses victoires. Les négociations entre Rome et le gouvernement mexicain aboutissent en juin 1929 à un accord : les mexicains retrouvent la liberté de culte…
Cette superproduction bénéfice d’un scenario épique, d’excellents acteurs et d’importants moyens permettant une reconstitution très convaincante. Ce film exalte ceux qui combattent pour la liberté du culte catholique. Les rebelles s’appellent « Cristeros » (partisans du Christ). Leur cri de guerre est « Viva Cristo Rey ! » (Vive Christ Roi !). Ce n’est pas un hasard si la révolte des Cristéros évoque inévitablement celle des Chouans.
Réalisé en 2012 par Dean Wright, produit par Pablo Jose Barroso, ce film n’avait pas, jusqu’ici, trouvé de diffuseurs en France. La dénonciation d’un régime socialiste et franc-maçon ne pouvait que déplaire à ceux qui décident de la distribution des films. En effet, s’inspirant de la Révolution de 1789, le socialisme à la française n’a pas renoncé à transformer l’homme en le coupant de ses racines, de sa famille et de sa religion…Heureusement, un diffuseur courageux (Saje prod) vient de relever le défi, afin de transmettre, par le cinéma, les valeurs chrétiennes.
Très attendu, ce film sortira dans certaines salles en France le 14 mai. Chacun peut, sur le site internet consacré au film, s’inscrire pour voir le film dans sa ville. Une fois sur le site, il suffit de cliquer sur le rectangle « Je veux voir le film près de chez moi ». L’idée est de montrer aux exploitants de salles qu’il y a une forte demande pour Cristeros. Le film sera proposé dans les villes où il y aura le plus d’inscriptions.
Publié sur Breizh.info
16:34 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal du Chaos de cette semaine :
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16:26 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 13 avril 2014
Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme sont en vente à Paris :
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18:58 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 12 avril 2014
RAPPEL : dimanche 13 avril, 2e Journée régionale de Synthèse nationale à Lille
Dimanche 13 avril 2014 de 11h00 à 18h00
2e journée régionale Flandre Artois Hainaut
Ferme de l'Epinette - 776 rue de l'Epinette à Nieppe (59)
( A25 Lille/Dunkerque - sortie 9 )
Stands, librairies, mouvements, associations, presse, restauration rapide sur place, bar...ambiance de camaraderie festive et militante. Participation 5€
Interventions de :
Robert Spieler, fondateur de la Nouvelle Droite Populaire, chroniqueur à Rivarol
Luc Pécharman, membre du bureau de la NDP, délégué régional de Synthèse Nationale,
Arnaud de Robert, président du Mouvement d'Action Sociale (réseau MAS)
Arnaud Raffard de Brienne, journaliste et écrivain spécialiste de la désinformation
Hervé Van Laethem, porte-parole du mouvement identitaire de Belgique Francophone Nation (Wallonie)
Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France
Roland Hélie, directeur de Synthèse Nationale
Gabriele Adinolf, président de l'Institut Polaris (Rome)
10:01 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 11 avril 2014
Harlem Désir secrétaire d'Etat : on comprend pourquoi !
La courtisanerie dans toute sa splendeur! C'est que vingt ans au bureau national du PS çà vous donne de la souplesse à la colonne vertébrale. Jean-François "Harlem" Désir est bien formé à la gestuelle du politicard professionnel qui sait quand et qui flatter. On croirait une scène de "La Folie des Grandeurs"... sauf que pour Louis de Funès le personnage rampant de don Salluste était un rôle de composition.
Le Désir lui a visiblement l'obséquiosité naturelle, ce qui n'est pas inutile pour un quémandeur ripoublicain : "un petit quelque chose siouplait mon président" Quasiment plié en deux, le regard timidement servile, si appliqué à applaudir l'Illustrissime qu'il ne voit pas que l'Altesse lui tend la pogne Harlem semble tellement ronronner dans le larvaire que même Moscovici lui lance un oeil critique ( photo Le Figaro) Repris de justice (condamné pour un emploi fictif), gros débiteur (amnistié) au Trésor Public, député européen quasi évanescent (50% de présence), nullissime patron du PS qui sous son règne enregistre sa plus grande déculottée électorale aux municipales...Harlem a réussi à rebondir et à se faire exfiltrer au gouvernement comme secrétaire d'Etat aux affaires européennes, recasé peinard dans un bidule inutile. Une sorte de lot de consolation pour services associatifs rendus, un strapontin ministériel pour l' exemplarité dans la France plurielle, une sinécure comme récompense à la servilité.
Cela se passe dans la France ripoublicaine où la courtisanerie et le larbinesque font les ministères au moins autant que le copinage, la protection des frères trois points ou les injonctions des lobbies qui existent plus ou moins. Opération "coup de balai"... vite !
18:33 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |