mardi, 23 septembre 2014
MAIS OU MENENT - ILS NOS ENFANTS ?
Pieter Kerstens
Depuis plus de quarante ans, les politiques de l’enseignement et les politiques urbaines, qui sont en amont et en aval de l’épine dorsale de nos sociétés, sont inspirées par des idéologies fumeuses et utopiques.
Des apprentis sorciers, souvent sans visages et sans noms, substituent à la saine analyse historique, à la nécessaire observation des faits et à l’incontournable homogénéité de destin, des mécanismes de mise en condition des peuples qui privilégient la valeur incantatoire des mots pour mieux brouiller les héritages et les repères culturels.
L’entreprise de démolition commence à l’école par la mise en place de projets éducatifs d’inspiration totalitaire. A coup de slogans du type « Ecole de la réussite », « Hétérogénéité obligatoire des classes », « Réussite pour tous » « ABCD de l’égalité » etc., des politiciens irresponsables ont camouflé, sous l’angélisme des propositions, la rupture radicale avec la transmission de l’héritage culturel de nos sociétés.
De la dérive de l’école à la sédition des banlieues et des quartiers sensibles
L’entreprise de démolition s’est concrétisé dans les politiques urbaines qui ont accouché au travers des « Projets de Ville » et des « Intégrations à marche forcée » (par ailleurs grassement subsidiés), un monde kafkaïen et barbare où le vernis des liftings urbanistiques, ronds-points, nouveaux trottoirs, plateaux et pistes cyclables, camoufle mal les zones de non droit (ZUS & ZSP), les mafias, les caïds et la racaille.
Alors, il est temps, grand temps, de stigmatiser les politiques malhonnêtes et suicidaires, car la constatation des mêmes effets pervers ne doit pas se solder, comme c’est le cas, par de nouveaux dérapages vers l’abîme, au son de cantiques lénifiants et creux, mais au contraire par un retour aux valeurs saines et aux politiques responsables. Il faut arrêter ce sabotage de l’Enseignement.
Soyons clairs, nous combattons les dérives sectaires dans les écoles, car ces projets fabriquent à la chaîne des individus amnésiques, incapables de jugement, et parfaitement soumis aux pouvoirs totalitaires et à la marchandisation mondialiste. Il faut écouter ceux qui, déjà nombreux, préconisent le retour aux filières et méthodes traditionnelles qui seules assureront la mémoire d’un héritage millénaire.
Il faut abandonner les mots d’ordre des quarante dernières années. Non, l’immigration n’est pas une chance pour nos pays ; non, l’intégration ne fonctionne pas pour des masses qui ne partagent aucun de nos principes culturels ; non, l’antiracisme ne facilite pas l’intégration, il génère au contraire un racisme à rebours et l’ostracisme de nos identités ; non, l’Etat providence et l’assistanat ne règlent aucunement tous les problèmes économiques et sociaux, ils les enracinent durablement.
Il faut expurger la morale de la culpabilité et avoir le courage de dire : HALTE AUX DELIRES !
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C'était les 6 et 7 septembre : retour sur la belle réussite des Journées chouannes de Chiré-en-Montreuil
Après le passage de Philippe de Villiers en 2013, l'affluence aux Journées Chouannes ne faiblit pas ! Le beau temps aidant, les personnes présentes purent passer deux jours tout à fait splendides, dans une atmosphère des plus conviviales, à l'ombre des charmes de la propriété poitevine de La Caillauderie.
Le samedi, dès quatorze heures, Jean-Jules Van Rooyen, Pierre Hillard et Philippe Pichot-Bravard se sont succédé pour donner à leurs auditeurs des conférences captivantes, explorant les détails des idéologies occultes, révolutionnaires et mondialistes. De quoi devenir incollable sur ces thèmes. Le soir, après le succès de l'an passé, l'idée d'un repas servi par l'équipe de Chiré a été renouvelée, et c'est tant mieux ! La machine était bien huilée : la rapidité du service a été au rendez-vous pour servir des mets délicieusement apprêtés, appréciés à leur juste valeur par tous les convives. Avec du bon vin, nous voilà dans une ambiance bien française ! Les personnes présentes étaient ainsi mieux disposées à participer à une soirée dédiée à Gustave Thibon, un philosophe rural attaché à la terre comme au réel. En bref, un samedi qui a fait le plein !
Le dimanche, sous un soleil radieux, a attiré les foules ! Cette journée s'est ouverte, comme il se doit, par la Sainte Messe, célébrée par l'abbé Cottard. L'après-midi, placé sous le signe de la Première Guerre mondiale, a vu se dérouler une table ronde fort instructive, à la suite d'une émouvante prise de parole par le R.P. Argouarc'h, de Riaumont. Mais les enfants ne furent pas en reste, étant invités à prendre part à une animation sur les Guerres de Vendée. Enfin, pour conclure de magnifiques 44e Journées Chouannes, Bernard Lugan a impressionné son auditoire par la clarté de son discours et l'étendue de ses connaissances sur les conflits qui agitent le continent africain.
Les Journées Chouannes ont été conclues par le R.P. Lecareux, fondateur de la Fraternité de la Transfiguration, et par François-Xavier d'Hautefeuille, directeur de D.P.F. et organisateur de cette grande manifestation. Ce dernier a donné une conférence sur le sujet du livre et de la lecture, dont voici un court extrait : « À l’heure du virtuel, de l’image, de l’instantané, pourquoi se pencher sur l’écrit ? La lecture, si lente, si laborieuse, ne représente-t-elle pas une perte de temps, un encouragement à la rêverie et à la langueur, ennemies de la productivité ? Combien de fois avons-nous dit ou entendu : “Les gens ne lisent plus”, “Les jeunes ne lisent plus” ? On ne se pose jamais la question : pourquoi se nourrir ? […] Il est vrai que l’on peut vivre sans lire, mais tout dépend de ce que l’on entend par vivre ! Et l’esprit lui aussi a nécessairement besoin de se nourrir ! »
François-Xavier d'Hautefeuille a également annoncé le programme éditorial de sa maison pour la fin de l'année 2014. Les Éditions des Petits Chouans seront enrichies d'un Missel pour tout-petit de Mechtilde Savigny, de Pour Dieu… avec Miguel. Le grand miracle de Calanda de Francine Bay, de Sainte Philomène en vers et de Pour Dieu et le roi… avec Cathelineau de Brigitte Lundi. Les Éditions de Chiré, quant à elles, feront paraître fin septembre Le Cardinal Pie de Dom Besse et « L'ennemi intérieur » de la IIIe République (1938-1940) de Pierre-Denis Boudriot, avant de procéder à une réédition du Message d'amour du Cœur Immaculé de Marie à Fatima du R.P. Stanislas du Chambon-Feugerolles ainsi que de la Petite histoire de France d'Henri Servien.
L'équipe du quotidien Présent était présente, et voici ce qu'elle a pensé de ces deux journées, dans le n° 8183 du mardi 9 septembre 2014, au sein d'un article titré « Merci pour ce moment ! » : « C'est le titre à la mode… Il s'applique beaucoup mieux aux Journées chouannes de Chiré en Montreuil magnifiquement organisées par François-Xavier d'Hautefeuille qu'à la vengeance d'une harpie. […] Dans le cadre ravissant du domaine de la Caillauderie au cours de la journée la plus ensoleillée de tout l'été, nous avons rencontré des familles, des jeunes, des enfants dans une joyeuse affluence d'amateurs de bons livres et de bons auteurs. »
Le reportage sur TV Libertés cliquez ici
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UKRAINE : LES FUTURS OUBLIÉS DE L'HISTOIRE : les jeunes nationalistes ukrainiens
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A Paris, le débat ukrainien demeure géopolitique et les adorateurs du Moscou d'hier veulent abattre la Russie de Poutine pour y faire rentrer l'Otan, c'est-à-dire le drapeau étoilé. Nous ne reviendrons pas ici sur ce débat entre pro-européens et pro-russes mais nous voudrions avoir une pensée sur ces combattants d'Ukraine, ces jeunes nationalistes qui, dans le camp pro-occidental, se battent pour une Ukraine qu’ils espèrent libre et indépendante. Certes ils ont tout l'air d'être des idiots utiles et on peut bien sûr penser que ces jeunes nationalistes ukrainiens auraient du défendre avant Maidan leur pays contre la mafia européiste et atlantiste, l'Ukraine ne pouvant être qu'un pays fédéraliste et la Crimée attachée à la Russie au nom de l'histoire et de la géopolitique. Mais ne sont-ils pas aussi les dindons d'une grande farce ? Quel fut donc leur tort ? De croire encore en 2014 en la possibilité d'une nation souveraine et indépendante, libre de ses choix et de son destin sans un positionnement impérialiste qu'il soit américain ou russe ? Les jeunes ukrainiens seraient-ils donc condamnés à n’être que des pions soumis aux stratégies des uns ou des autres ? Seraient-ils voués à n'être que des pantins manipulés par l’Ouest ?
On le sait peu mais d'autres ''nationalistes'', des anciens parachutistes français volontaires combattent aussi auprès des autonomistes russes parce qu’ils sont , eux, animés d'une autre flamme, la flamme anti-américaine et rêvent pour l'Europe entière de l'eurasisme. Drôle de face à face. Bien sûr, ce sont, nous dira le commun des mortels, des ''têtes brûlées'' comme il y en a toujours eu, une espèce en voie de disparition, cette espèce d'hommes qui met sa peau au service de ses idées. Mais voilà des ''natios'' russophiles contre des ''natios'' de souche ukrainiens, supplétifs de l'Otan alors que dans les coulisses des chambrées, ils partagent souvent les mêmes chants ou les mêmes écussons, cela fait désordre.
Qui sont ces nationalistes ukrainiens présents depuis le début pour défendre une Kiev indépendante ? De loin, on sent bien que, quelle que soit la victoire du camp pro-américain ou du camp russe, ils seront les sacrifiés, les ''réprouvés'' du prochain traité d'armistice. Sur le terrain, pourtant ils ne lâchent pas prise. On ne le dit pas mais les hommes du Pravy Sektor n'ont pas toujours suivi leurs dirigeants. Ils sont d'ailleurs jugé ''instables'' par Porochenko et on les a vu opérer des opérations de sabotage quand ils se sentaient trahis ou que l'ordre donné leur paraissait télécommandé. Les déboires des forces officielles ukrainiennes, une certaine déroute dans ses rangs (désertions, reculades) sont dûs, en partie, au côté incontrôlable de certains de ces militants.
A supposer que l'Ukraine des oligarques et de Bruxelles vendue à l'Occident remporte la mise, on se débarrassera très vite de cette jeunesse aux écussons qui rendent malades les technocrates européistes. De même, si Poutine imposait sa loi à Kiev, le Russe les pourchassera au nom de la lutte contre la ''bête immonde''. Triste sort donc de l'Idéal ou des élites combattantes! Pourtant, ces jeunes combattants volontaires n'ouvrent-ils pas à l'Europe une autre voie que celle de l'aliénation béate aux conversations géopolitiques ? Or, qui évoque à Paris les convictions, les assauts et les combats de ces jeunes gens ? Qui a relaté l'existence de ces bataillons autonomes d'Ukraine prenant le contrôle de certaines industries sensibles chimiques ou nucléaires par précaution ou par chantage ? Les mercenaires de l'Otan à chaque fois se sont d'ailleurs empressés de les y déloger.
Reste la question qui fâche : sommes-nous vraiment autonomes ? Sommes-nous capables de dire ''ni Washington, ni Bruxelles, ni Moscou''? Sommes-nous capables de créer un autre modèle, un nouveau modèle ? Sommes-nous capables de reconnaître certes avec toutes leurs contradictions des hommes armés, organisés, équipés qui ne sont que des volontaires et qui n'aiment que leur patrie et aspirent à un nouvel ordre. Faudra-t-il encore choisir entre Washington ou Moscou ? Ces jeunes sont incontestablement porteurs de l'idéal de la rébellion et il faudrait ne jamais en parler, il faudrait aussi les taire et les occulter ?
Illustration en tête d'article : Des Ukrainiens protestant contre l'entrée des troupes russes en Crimée sur la place Maïdan à Kiev
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Dimanche 5 octobre : Paris, Bordeaux...
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Le JT de TV Libertés de lundi soir :
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lundi, 22 septembre 2014
L’avenir de l’homme, c’est l’artisan
Le billet de Patrick Parment
Le gouvernement vient de faire un petit pas en avant sur l’apprentissage après avoir fait deux pas en arrière au début de l’année en coupant pour 550 millions € d’aides aux entreprises. Résultat des courses, les entrées en apprentissage ont chuté de 12 % après avoir déjà baissé de 8 % en 2013. Or, l’apprentissage cela concerne pour beaucoup un secteur essentiel à la vie économique de ce pays : les artisans. Artisanat et apprentissage marchent de concert. De surcroît, les artisans ne sont pas affiliés au Medef mais ne disposent pas d’un syndicat efficace à l’image de la Fnsea pour les agriculteurs. A cela, une raison majeure : le gouvernement ne veut pas avoir sur le dos la « première entreprise de France ». Il y a bien l’UPA (Union professionnelle des artisans) me direz-vous, mais en dehors des petits fours et des médailles, on ne sait trop à quoi elle sert.
Or, il se trouve que les artisans constituent bel et bien le premier gisement d‘emplois en France, non reconnu, semble-t-il, par les technocrates qui nous gouvernent pour des raisons qui nous échappent mais qui tiennent vraisemblablement au caractère farouchement indépendant, voire un tantinet anarchiste, de ce petit monde.
Il n’est pas sans intérêt de rappeler quelques évidences. La stupidité d’un Jean-Pierre Chevènement qui a décidé que 80 % d’une classe d’âge obtiendrait le baccalauréat. L’éducation nationale, qui n’était déjà pas au meilleur de sa forme – et ne l’est toujours pas – a achevé de totalement déraper. Car, à nous reporter sur les décennies précédentes, on s’aperçoit que seuls 20 à 25 % d’une classe d’âge est en mesure de faire des études longues. Or, ce chiffre n’a jamais varié. Si l’éducation nationale se glorifie d’un taux élevé de réussite au bac, une forte majorité des potaches (80%) se retrouvent à l’ANPE dans les deux années qui suivent leur première année de fac. Sans aucune qualification évidemment. Ils viennent grossir le lot de ces élèves, de plus en plus nombreux, qui quittent le navire en classe de seconde.
Nos élites n’ont, semble-t-il, pas vraiment pris en compte l’ampleur de cette catastrophe. Voici trop longtemps que dans ce pays on a déprécié le travail manuel. Or, ô paradoxe, on dispose de la plus grande variété d’artisans au monde, dûment répertoriés par métier. Et les artisans sont demandeurs de main d’œuvre car soucieux de transmettre avant tout un magnifique savoir-faire. Enfin, le taux de chômage des artisans et des commerçants est de 4,1%. L'un des plus faibles.
Il faut protéger nos artisans, car ce sont eux qui ont fait la France. Que serait Versailles sans eux ? Que serait la haute couture sans ces petites mains qui s’affairent sur le tissu ? Que seraient nos architectes sans ces mains qui manient la pelle et la truelle, le compas et le marteau ? Rien ! Faut-il rappeler que si Denis Papin (1647-1712) a eu l’idée de la force motrice de la vapeur d’eau, c’est l’Anglais James Watt (1736-1819) qui nous a fait entrer dans le monde industriel avec sa machine à vapeur. Or, Watt n’était ni savant, ni érudit mais un modeste ouvrier pragmatique.
Et ce n'est pas l’informatique qui va changer les choses car on aura toujours besoin d’un plombier, d’un serrurier, d’un cuisinier, etc. Il nous faudra toujours un Compagnon du devoir pour porter l’excellence de la main au niveau de l’esprit. Car la main et l’esprit marchent de concert, là où l’énarque n’a pour unique béquille que sa mémoire. Pour son intelligence, faut voir.
Si les rapports de l’éducation nationale et le monde du travail sont à revoir, il est un obstacle à l’apprentissage : la fiscalité. Pour les petites entreprises – et pas les grandes – la fiscalité est confiscatoire et pénalisante. Sans oublier les banquiers qui refusent souvent d’aider ces galeux de PME.
Il faut ajouter aussi le poids des réglementations et des normes qui, quand elles ne sortent pas d’un ministère arrivent tout droit de Bruxelles. Ce pays souffre d’un excès de réglementations et d’un code du travail qui s’enrichit d’année en année (il fait plus de 1000 pages). Personne n’y comprend plus rien et l’artisan est pris dans cet étau de paperasses où l’Etat lui demande de faire son travail en lieu et place de ses fonctionnaires.
Enfin, défendre l’artisanat est aussi et surtout, dirai-je, un combat culturel. Tous ces savoirs viennent de la nuit des temps, ils se transmettent de génération en génération et s’enrichissent des outils de la modernité. Car l’artisan n’est pas l’ennemi de la technique quand elle le sert. Bien au contraire. L’artisanat est un corps vivant où naissent et meurent des métiers quand ceux-ci n’ont plus de débouché économique.
Enfin, aux côtés de ces artisans qui facilitent – voire rendent possible – notre vie quotidienne, se tient une autre catégorie, celle des artisans d’art. Ici, nous sommes au royaume de l’exceptionnel, de ceux qui viennent nourrir les grands du luxe (Hermès, LVMH, etc.), de la haute couture, de la haute gastronomie, de la joaillerie, etc. Certes, il y a de beaux artisans de par le monde, mais les artisans français sont les plus courus. Ils sont issus des mêmes filières, ont suivi le même cursus que leurs confrères mais, de par leur qualité, ont chois la voie de l’excellence. La liste est longue des ébénistes du Roi Soleil aux tailleurs de pierre, aux maîtres verriers, horlogers, que sais-je encore, qui ont doté la France d’un patrimoine exceptionnel et qu’on nous envie.
Remettre la France sur pied, libérer les énergies, c’est possible. Encore faut-il savoir ce que l’on veut et faire les bons choix. Il faut une vision, non pas politique, mais culturelle de ce pays aux richesses immenses et aux ressources existantes. Il nous faut simplement une classe politique qui ne pense pas uniquement en terme de casse-croûte et à vivre peinarde à l’ombre du contribuable que l’on saigne et des lois qu'on promulguent dans la hâte.
14:05 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 12 octobre, à Rungis : Francis Bergeron parlera à la 8e Journée de Synthèse nationale !
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08:20 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Imperturbablement, Civitas a tenu hier son colloque à la rue !
Source Médias presse infos cliquez là
Hier, Civitas a tenu son colloque à la rue. Après le refus de dernière minute de l’IRIS d’honorer son contrat et d’ouvrir sa salle à Civitas qui l’avait louée, Civitas avait introduit un référé en urgence. Vendredi en fin de matinée, Civitas a gagné contre l’IRIS qui a été condamné à indemniser Civitas mais n’a pas été forcé à ouvrir ses portes.
Samedi matin, à l’heure prévue, le colloque s’est donc entamé à la rue, devant la salle prévue. De 10h à 17h, le public a imperturbablement suivi les différentes conférences sous un soleil radieux.
08:16 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La France, royale et éternelle
Robin de la Roche
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Comme 2.453.000 Français, j’ai regardé ce samedi soir l’émission de France 2 consacrée au patrimoine extraordinaire que recèle la France, notre pays. Je ne m’attarderai pas sur les approximations historiques qui sont le lot forcé de ce type d’exercice télévisuel. Ne gâchons pas notre plaisir. Cette émission présentait un classement fondé sur des votes enregistrés sur le site Web de France 2, et c’est là que ça devient intéressant…
Les trois sites ayant recueilli le plus de suffrages sont :
3) la place Stanislas à Nancy ;
2) la cathédrale de Strasbourg ;
1) le monastère royal de Brou.
Mais que fait la police ? Où est la mosquée de Vénissieux dans ce trio de tête du classement des monuments préférés des Français ? Et le Centre Pompidou et ses tuyères colorées ? Et la très-maçonnique et cathophobe tour Eiffel ? Ou alors… ou alors, se pourrait-il que nos concitoyens soient plus attachés à leurs racines que ne le souhaiteraient nos désespérants politiciens universalistes ? Est-il possible que les Français soient amoureux d’une France qui ne commence pas le 14 juillet 1789 ? Nous aurait-on menti ?
On le sait – mais on ne le dit pas assez -, les Français adorent la France – la vraie – et ne manquent pas une occasion de visiter l’un ou l’autre de ses trésors. Et même si, parfois, on entend tel parent raconter un petit peu n’importe quoi à ses enfants sur le lieu visité (que n’ai-je entendu comme âneries à Versailles !), au moins ceux-là ont le mérite d’emmener ceux-ci voir autre chose que « Di$neyland » !
La France, construite par nos rois en treize siècles et défigurée par la République en deux, est un écrin unique au monde. Se sentir Français – ce qui sera toujours bien plus puissant que n’importe quelle pièce d’identité – est à la fois un privilège démesuré et une charge qu’il faut honorer : il nous faut transmettre à notre descendance ce que nous avons reçu et l’amour d’icelui.
Dans l’émission de samedi, l’émotion était palpable lorsqu’une conservatrice de Reims exhiba la Sainte Ampoule. Si le contenant est récent – l’ampoule, brisée à la Révolution, fut refaite pour le sacre de Charles X –, le contenu remonte à la nuit des temps : lorsque l’ampoule fut détruite, on sauva quelques parcelles de l’huile sainte séchée, celle-là même qui servit au baptême de Clovis des mains de saint Remi.
La France, le pays réel, c’est celui qui a, au fond de son âme, mémoire de ces instants-là, de cette union entre le trône et l’autel, qui fait qu’en France on ne couronne point le roi, mais on le sacre.
La France réelle, c’est celle qu’aucun manuel pédagogique de quelque Najat ou Peillon ne pourra jamais faire oublier aux petits Français, car nous y veillons ! Le soir, dans le secret de leur maison, au plus fort de la propagande « ripoublicaine », il y aura toujours un père et une mère, bons Français, pour s’asseoir à côté de l’enfant qui va s’endormir et lui dire, d’un air mystérieux… « Et maintenant, il faut que je te raconte quelque chose… C’était il y a bien bien longtemps…»
Aucune Najat ni aucun Peillon ne seront jamais assez forts pour mettre à bas le plus grand rêve, celui qui fait briller les yeux des enfants autour du monde : la France, éternelle et royale.
07:21 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
EDUCATION NATIONALE : les vols de clés dans les cartables, ce sera aussi la bienveillance ?
Michel Lhomme
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Plusieurs élèves de collège ont été interpellés en région parisienne, après des cambriolages commis grâce à l’adresse renseignée dans le carnet de correspondance. L’Académie discute actuellement des mesures à prendre dans un souci de « bienveillance ».
Début avril, six adolescents, âgés de 13 à 16 ans, ont été arrêtés après une dizaine de cambriolages. Ces introductions dans des domiciles ont fait suite à des vols de clés dans des cartables recensés dans les collèges parisiens Alain-Fournier et Pilâtre-de-Rozier, dans le XIe arrondissement. Profitant des pauses entre deux cours, d'autres élèves se sont servis dans le sac de leurs camarades. Argent, chéquiers, téléphones ont ensuite été dérobés au domicile des élèves. D’autres cas similaires ont été constatés dans les XIIIe, XIXe et XXe arrondissements. Plus d’une dizaine d’établissements de la capitale auraient signalé de telles infractions, d’après Le Parisien. Des établissements privés ou situés hors de la frontière parisienne auraient également été touchés. L’Académie a décidé d’agir... par la bienveillance, par le "dialogue'', il ne faut pas ostraciser des populations fragilisées car n'est-ce pas là toute la politique de la déséducation nationale ?
Pourtant : 7 adolescents français sur 10 sont traumatisés par la violence à l’école. Railleries, insultes, harcèlements en classe, rackets et chantages, sept ados sur dix se disent préoccupés par la violence à l’école. Selon les chiffres de l’étude annuelle d’Ipsos pour la fondation Pfizer, ils sont même un tiers à dénoncer un mal-être en général. L'enquête internationale Pisa 2013 l'avait déjà relevé mais en termes plus feutrés. '' On ne parle jamais à nos parents de choses comme ça parce qu’on en a honte'' témoigne Clara, une collégienne. Ainsi, pour de nombreux enfants et adolescents de France, on va à l'école, la peur au ventre mais pas du tout par peur des notes. Il n'y a souvent plus de surveillants dans les cours et les services de ''vie scolaire'' ferment les yeux : ils gèrent enfermés dans leurs bureaux les absences ! L'école de la bienveillance est donc bien l'école de la peur.
07:09 Publié dans Michel Lhomme | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Parution prochaine du nouveau livre du Marquis : A TABLE !
Toutes les religions ont pour geste symbolique celui du boire et du manger, et c’est à la France qu’il revient d’être la patrie du bien boire et du bien manger.
Féru d’histoires et passionné de gastronomie Jean-Paul Chayrigues de Olmetta revisite ici avec humour quatre cents ans de bonne chère et d’art de la table, sans jamais lasser son lecteur. Mêlant anecdotes et histoire de la nourriture, il se livre ici à un tour d’horizon exceptionnel sur cuisine bourgeoise et cuisine des grands chefs, sans oublier ce qu’en disent les gourmets, gens de lettres aux papilles à fleur de plume…
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Une histoire de la gastronomie accessible à tous
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Un guide des meilleurs restaurants, tavernes et bistrots
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Un album cartonné, illustré par Nicolas Charrier et ses dessins pleins d’humour
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Préface de Michel Sy, président des Amis de Curnonsky
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Un livre-cadeau : 23 x 31 cm, en noir et en couleurs, environ 300 pages
Né à Paris le 30 octobre 1943, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta est Montmartrois et fier de l’être. Durant 35 ans, il fut attaché à la Société du Cheval Français et Contrôleur de la Société des Auteurs Dramatiques. Il est chevalier de l’ordre national du Mérite et commandeur du Mérite agricole.
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06:28 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 21 septembre 2014
Dimanche 12 octobre, à Rungis : Richard Roudier parlera à la 8e Journée de Synthèse nationale !
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01:32 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 20 septembre 2014
Marie-Christine Arnautu, député européen du FN, défend les Chrétiens d'Orient
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Le JT de TV Libertés de vendredi soir :
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vendredi, 19 septembre 2014
Ce vendredi soir, sur Méridien zéro
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Ecosse : Le vote des étrangers et des vieux a fait échouer le référendum
Le nationalisme écossais revu et corrigé par le SNP socialiste d’Alex Salmond
Source Breiz Atao cliquez ici
La défaite, honorable, des indépendantistes écossais trouve son explication dans le vote des quelques 880 000 non-Ecossais qui représentent 17% de la population du pays. En acceptant de les laisser voter, les indépendantistes socialistes ont eux-mêmes créé les conditions de leur échec.
Un demi-million de Britanniques en Ecosse
C’est sans doute possible parce que le Parti National Ecossais (SNP), socialiste, n’a jamais remis en cause la consultation du demi-million d’Anglais vivant en Ecosse, un pays qui en compte 5,3 millions, que Londres a accepté la tenue du référendum. En disposant d’une solide minorité de blocage, le gouvernement britannique a pu aborder le référendum avec un atout décisif en main.
La presse britannique a abondamment détaillé les intentions de vote de ces résidents installés en Ecosse. Et le verdict est sans appel : 63% d’entre eux entendaient voter contre l’indépendance.
Or, il a manqué environ 300 000 voix aux indépendantistes pour l’emporter.
Les Polonais votent… pour garder leurs papiers
En plus des Britanniques, Londres savait pouvoir disposer du soutien des autres non-Ecossais afin de circonvenir le vote séparatiste. Un sondage réalisé au mois d’août auprès des immigrés polonais résidant dans le pays indiquait que ceux-ci allaient voter en fonction du devenir de leurs visas si l’Ecosse devenait indépendante. L’incertitude prévalait sur le statut européen de l’Ecosse suite aux déclarations anti-indépendantiste de Manuel Barroso.
En conséquence, la libre-circulation assurée aux ressortissants des états-membres de l’UE était en théorie remise en cause. Hors cette libre-circulation était le seul critère qui importait aux yeux des immigrés polonais et d’Europe de l’Est. Pour eux, le devenir du peuple écossais importait peu et ils n’ont pas hésité un instant à faire valoir leurs intérêts comme ceux de Londres sur ceux du peuple qui les accueille.
Les Pakistanais ont aussi eu leur mot à dire
Les pakistanais ont également eu leur mot à dire. Représentant plus de 150 000 personnes, cette immigration sait ce qu’elle doit au gouvernement anglais et perçoit l’indépendance écossaise comme une menace directe. Les deux tiers d’entre eux voulaient voter contre le “Oui” à l’indépendance.
Les Ecossais de la diaspora privés de vote
Tandis que Pakistanais, Anglais ou Polonais étaient appelés à voter par Alex Salmond et son parti, les Ecossais de la diaspora se voyaient priver du droit de voter. Une diaspora forte de millions de personnes à travers le monde. Le logiciel du “droit du sol” cher aux indépendantistes de gauche a logiquement joué à fond et produit les fruits qu’il est voué à produire.
Lorsque l’on retranche les votes des étrangers – Anglais, Européens de l’Est et extra-Européens – les Ecossais de souche ont bel et bien voté pour leur indépendance.
Les vieux coresponsables
Les vieux sont, avec les étrangers, les moteurs de la victoire du “Non”. 65% des plus de 50 ans en Ecosse s’opposaient à l’indépendance. Soucieux de leurs rentes, ils perçoivent l’indépendance comme une remise en cause de leurs intérêts. Sans surprise, ce sont ces mêmes générations qui soutiennent l’immigration afin de “payer les retraites”, la pyramide des âges résultant de leur faible taux de natalité ayant engendré une crise démographique.
Des enseignements à tirer
Il y a plusieurs enseignements à tirer de cette consultation. Tout d’abord, la défaite des indépendantistes, largement causée par leur orientation idéologique socialiste, n’est pas écrasante. L’Ecosse n’a retrouvé son parlement autonome qu’il y a 15 ans et les indépendantistes ne sont arrivés au pouvoir qu’il y a 7 ans. Parvenir – contre les médiats britanniques et la totalité des partis anglais et des responsables européens – à rassembler près de 46% des suffrages constitue une véritable performance en un temps historique aussi court.
Ensuite, il apparaît comme évident que l’indépendantisme de gauche, en soutenant une interprétation non-ethnique du nationalisme, a créé les conditions de son propre échec politique. En refusant, par conviction ou par peur, d’empêcher les étrangers de voter sur une question qui ne les concerne pas par définition, les indépendantistes du SNP ont donné à Londres les moyens de son succès.
S’ajoute à cela un clivage générationnel patent. L’égoïsme des plus des Baby Boomers est le fil conducteur de leur comportement politique : pro-immigrationnistes, court-termistes, uniquement soucieux de leur bien-être et de leur patrimoine, ils ont pris en otage le destin de la jeunesse écossaise. Sans surprise, leur parasitisme a convergé avec celui des Anglais et des immigrés extra-européens.
Cependant l’échec écossais est relatif. Il est plus un début de processus qu’une fin et l’éviction progressive des générations conservatrices permet d’entrevoir des évolutions décisives pour ce pays. En quelque sorte, c’est la fin d’une certaine forme d’indépendantisme socialiste et le début d’un autre. Les petites nations d’Europe n’auront d’autre choix que de se doter de formations politiques résolument nationalistes en lieu et place de cet “indépendantisme de gauche” dépassé.
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Dimanche 12 octobre, à Rungis : Thomas Joly parlera à la 8e Journée de Synthèse nationale !
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"En liberté surveillée", le nouveau livre de Georges Feltin-Tracol, commenté sur Métamag...
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L’actuel Premier ministre Manuel Valls (ou hyper-premier ministre ?) représente parfaitement la mise en cohérence du système politico-médiatique dominant. D’un côté, nous avons le libéralisme économique, de l’autre, nous avons un libertarisme sociétal mais qui est obligatoire. En d’autres termes, l’idéologie libertaire, celle du libéralisme sociétal (pas celle de Proudhon bien sûr, non plus celle de Bakounine), est appliquée autoritairement. Il est ainsi obligatoire d’acquiescer à ses prémices sous peine d’être exclu du « cercle de la raison » et d’être assimilé à des « factieux ». Du coup, des moyens disproportionnés sont mobilisés contre les ennemis des lois « libertaires », lois qui ne sont autres que celles qui appliquent à la société les principes du libéralisme marchand.
Du même coup, les humoristes qui ont le malheur de faire de l’humour sur des sujets décrétés « sensibles », et a fortiori quand ils sont tabous, sont privés de toute liberté d’expression, comme si la loi devait se faire l’arbitre des convenances, des élégances, des bonnes manières. C’est ce qui est arrivé à Dieudonné et c’est ce que relate Georges Feltin-Tracol dans En liberté surveillée.
Son ouvrage a le grand mérite d’aborder, au travers d’exemples nombreux et significatifs, le processus de limitation ou même de suppression des libertés en France. Nous sommes passés d’un Etat « territorial et militaire » à un Etat « pénal, policier et carcéral ». L’ennemi de l’Etat est désormais à l’intérieur. La grande menace est interne, et le contrôle social (et la préemption fiscale) devient la grande affaire de l’Etat. Il y déploie, sous les ministres de l’Intérieur successifs, quelle que soit leur « couleur » politique, une grande énergie, toujours dirigée dans le même sens, c’est-à-dire visant à ne laisser subsister que les « petites différences », les « petits oppositions », les marges folkloriques du système, celles qui ne le mettent pas en cause, mais en constituent en quelque sorte le colifichet décoratif.
Pour le contrôle de tous et l’intégration de tous au grand ordre mondial de la sécurité et de la marchandise, tous les moyens de l’Etat sont mobilisés, mais aussi ceux des groupes privés proches de l’Etat, des institutions judiciaires, etc. Louis Althusser appelait cela les appareils idéologiques d’Etat. Il convient de parler aujourd’hui plutôt d’ « Etat profond » pour mieux caractériser la forme actuelle de ce réseau, réseau tissé de convenances non dites mais évidentes, de connivences, d’ambitions, de renvois d’ascenseurs, de dissuasion aussi si nécessaire. Une carrière peut aussi vite être accélérée qu’elle peut être brisée.
Le domaine sociétal fait partie du champ d’application de la nouvelle intolérance. Plus les innovations pseudo-égalitaires, en fait niveleuses, et hostiles à toute sexuation, sont délirantes et de mauvais goût, plus elles sont encouragés, voire même obligatoires. Professeur(re)s et recteur(e)s prônent la « journée de la jupe » avec le soutien de toute l’institution éducative. La Grande Rééducation est en marche, et elle marche vite (aujourd’hui avec la bien jolie et si bien utilisée Najat Vallaud-Belkacem, Young leader 2006 de la French-American Foundation, tout comme l’atlantiste extrême Jean-Marie Colombani, Aquilino Morelle, Yves de Kerdrel et tant d’autres, représentatifs de toutes les fausses gauches et les fausses droites que le bon Dieu voudra bien imaginer).
Il s’agit, avec la révolution sociétale déjà bien engagée, d’éradiquer toutes les différences. Il s’agit d’aller vers une société androgyne. Pour rééduquer, la méthode est toute trouvée : il s’agit de considérer le peuple comme une classe d’élèves, et le gouvernement, aujourd’hui « socialiste », comme de bons instituteurs(trices). Cela tombe bien puisque, avec la gauche, l’idéologie du progrès se caractérise par le fait que l’homme (la femme aussi !) est considéré comme une table rase, sur laquelle il convient, par l’éducation, d’inscrire les idées adéquates et de programmer le comportement adéquat. C’est ainsi que la loi s‘invite, nous rappelle Feltin-Tracol, dans le lit des hommes et des femmes, statuant sur tel homme « pas assez actif » sexuellement avec sa conjointe. Délire occasionnel ? Bien plutôt, c’est l’aboutissement logique d’un mouvement de publicisation de l’espace privé (qui est le revers de la privatisation de la politique, notamment par la création de milices privées à la place des armées).
Plus aucun acte n’est d’ordre privé, l’Etat a le droit et même le devoir de regard sur tout. Il ne s’agit plus seulement de juger ce qui est dit mais ce qui pourrait être dit – jurisprudence Dieudonné, on interdit le spectacle avant que soient peut-être tenus des propos qui tomberaient sous le coup de la loi. Il s’agit même d’investiguer sur ce qui pourrait être pensé sans être dit. Le désir non conforme est interdit, par exemple celui éprouvé depuis quelques milliers de générations par des hommes pour des femmes faisant profit de leur charme. L’exemple de la prostitution, que le gouvernement veut interdire, est emblématique. Il s’agit non d’interdire une offre mais de mettre au pénal la demande qui s’exprimerait en face de cette offre. On ne fait pas plus hypocrite. La parole des femmes précisant se prostituer volontairement est niée. On ne saurait trop remarquer l’importance de ce retournement. La modernité a été l’assomption du sujet. Or, nous n’en sommes plus là du tout. Le sujet est agi dans certains domaines, il n’est pas libre. Voilà ce que nous dit l’idéologie. Qui le sait mieux que lui ? Qui sait « qui agit qui » mieux que le sujet ? Qui peut nous dire par qui les prostituées, y compris celles qui s’affirment libres, sont agies ? La réponse est simple, ce sont les associations qui peuvent nous dire le vrai, ces fameuses associations, celles légitimitées par des financements publics (ce qui assure le bouclage du système : l’Etat n’est pas en première ligne, il met en première ligne des structures qui dépendent de lui. De même, la Nuit de Cristal ne venait pas officiellement de l’Etat, mais de mouvements pseudo-« spontanés » de nazis de base). Ces associations ne sont pas n’importe lesquelles. Ce sont les associations dites féministes, celles qui sont à la fois le produit de l’idéologie dominante et ses agents de contrôle.
Les bien-pensants développent ainsi, comme le remarque fort bien G. Feltin-Tracol un véritable discours d’exclusion. A l’égard de qui ? A l’égard des gens simples, normaux, des sans voix, des sans grades, des sans associations. Il s’agit de changer le peuple à coups de réformes sociétales. Et c’est finalement plus facile que d’être accepté ou aimé par le peuple.
Georges Feltin-Tracol a le mérite d’aller à l’origine de ce processus de réduction toujours plus grande des libertés. L’idéologie « de gauche » a en fait gagné toute la droite. L’idéologie du genre n’a pas été mise en place par Vincent Peillon et Najat Vallaud-Belkacem, elle date – au moins –, dans sa prise en charge institutionnelle, de Luc Chatel. Pourquoi ? Parce que la droite et la gauche ont tout intérêt à détourner le peuple des problèmes économiques, sociaux et politiques. Parce que les gouvernants ont tout intérêt à faire du « sociétal » à la place du social qu’il ne peuvent plus faire, pour cause de désindustrialisation, de chômage de masse, de choix mondialistes et du soutien de toute la classe politique à la financiarisation de l’économie. Il s’agit soit d’endormir le peuple soit de lui fournir des dérivatifs.
Il s’ajoute à cela autre chose, très présent dans l’affaire Dieudonné : la culpabilisation due à la reconnaissance par Chirac de la responsabilité de la France (et non seulement du régime de Vichy) dans les déportations de Juifs pendant l’Occupation. A partir de là s’est répandu dans les élites une course au « rachat ». Il s’agit de ne plus jamais être en retard d’une lutte pour les droits humains. Mais ceux-ci n’ont plus guère de rapports avec les droits de l’homme de 1789 (même s’ils en sont l’aboutissement logique et incestueux), il s’agit désormais du « pourtoussisme », des droits pour tous à tout. L’indifférenciation généralisée est à l’horizon de cette lutte « pourtoussiste ». Ce projet est logique : pour l’idéologie dominante, les identités, les peuples n’existent pas. La France ? C’est une marque touristique qu’il s’agit de bien vendre. C’est au mieux la somme des entreprises françaises. C’est tout, sauf une patrie. Sexe masculin et féminin n’existent eux-mêmes guère plus que les peuples. Il n’y a plus d’hommes mais des gens qui ont une « orientation hétérosexuelle ». De même, il n’y a plus de Français mais des gens qui ont une « orientation française » (ou pas, et on appelle cela la « diversité »).
Indifférenciation, sans-frontièrisme, mondialisation, tels sont les fondamentaux de l’idéologie dominante. Elle se raidit. Elle recherche le contrôle sur tout : sur les semences, qui ne sauraient être produites par tout un chacun (loi d’orientation agricole du 5 janvier 2006), sur les médicaments, sur les idées, qui doivent être agréées, sur les comportements, qui doivent être conformes aux normes jugées « appropriées » par l’idéologie, sur le porte-monnaie des citoyens, qui doivent être endettés – sous prétexte de « relancer » la croissance – ce qui permet de les contrôler par le crédit.
Nous en sommes là. C’est très exactement un néo-totalitarisme post-démocratique. Il s’agit, comme avec tous les totalitarismes, de réduire la diversité du vivant. Tout doit être contrôlé et marchandisé. Or, le contrôle nécessite de rationaliser le vivant. Voilà les enjeux que Georges Feltin-Tracol nous aide à comprendre. Ce qui n’est pas mince. A lire pour retrouver (ou garder !) une joyeuse lucidité. Et l’envie d’enlever leurs masques aux imposteurs.
Georges Feltin-Tracol, En liberté surveillée, réquisitoire contre un système liberticide, Les Bouquins de Synthèse nationale, 284 pages, 23 €. (+ 3 €. de port) Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (adresse postale uniquement).
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Sortie en kiosque aujourd'hui d'un numéro exceptionnel de "Présent" consacré aux manifs du 5 octobre
Les manifestations du 5 octobre (Paris et Bordeaux) se préparent dès aujourd’hui avec le nouveau hors-série de Présent qui est vendu en kiosque : GPA, PMA, gender… C’est non !
Au sommaire ? Des entretiens avec Marion Maréchal-Le Pen, Ludovine de La Rochère, Béatrice Bourges… mais aussi Albéric Dumont (coordinateur national LMPT), Philippe Brillaut (le courageux maire du Chesnay, représentant des élus à la Manif pour tous). Et des entretiens avec les porte-parole de mouvements comme le collectif Stop Gender et les Antigones.
Tout ce que vous devez savoir sur les manifs du 5 octobre est dans Présent hors série. En vente chez votre marchand de journaux, huit pages, 2,50 €
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Le JT de TV Libertés de jeudi soir :
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jeudi, 18 septembre 2014
Dimanche 12 octobre, à Rungis : Serge Ayoub parlera à la 8e Journée de Synthèse nationale !
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Du mépris supposé à la lâcheté avérée ?
La chronique de Philippe Randa
Il en va des politiciens comme du temps incertain ou des mœurs changeantes : le cru actuel de certains Damnés de la Terre n’échappe pas à la règle.
Après le mépris révélé – réel ou mensonger – sur l’emploi de l’expression « sans dents » par le Président François Hollande, voici Emmanuel Macron, son Ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique qui vient à son tour de créer l’émoi en dénonçant l’illettrisme des employées de la société agroalimentaire Gad, en instance de fermeture…
On s’en doute, le tollé a été immédiat, et le ministre a piteusement battu en retraite en s’excusant d’avoir prononcé un tel adjectif.
Et pourquoi donc ? Parce qu’aucune employée visée ne serait le moins du monde « illettrée » et que la personne en charge de l’avenir économique des Français parle sans savoir ? En effet, voilà qui est extrêmement grave… Mais si c’est la réalité, il était bel et bien du devoir de sa charge de dénoncer cet illettrisme, frein évident pour que ces employées puissent retrouver un emploi.
Auquel cas, nul mépris dans ses propos, mais un « parler vrai », dérangeant sans doute, mais salutaire à une époque où les Français en réclament justement ; ne nous le répète-t-on pas sans arrêt ?
Dans ce cas, les excuses du Ministre sont plus graves que tout, prouvant ainsi qu’il est d’une rare lâcheté. Ce qui n’augure guère de l’avenir économique des employées de Gad en particulier… et des Français en général !
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Samedi 27 septembre : deuxième journée familiale et militante en Flandre
Pour la deuxième année consécutive sera organisé en Flandre le samedi 27 septembre une journée familiale et militante. Elle aura lieu à la ferme de l'Epinette 776 rue de l'Epinette 59 NIEPPE.
Au programme de cette journée :
Après-midi : Stands (il y aura un stand de Synthèse nationale) et jeux pour petits et grands. Nouveauté cette année : Un château gonflable pour les plus jeunes !
Repas barbecuesuivi d'un concert du Docteur Merlin !
Entrée + repas + concert + 1 boisson : 15€
Entrée + repas + concert + 1 boisson (enfant de 8 à 12 ans) : 15€
Entrée + concert + 1 boisson : 8€
Enfant de moins de 7 ans : gratuit
INSCRIVEZ-VOUS EN LIGNE : CLIQUEZ ICI
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Dimanche 5 octobre, dans le Cher : fête annuelle du Cercle national des combattants
Pour information, vous trouverez ci-joint les informations relatives à la Grande fête champêtre annuelle du CNC qui se tiendra le dimanche 5 octobre à la La-Chapelle-d'Angillon (18380) en présence de notre ami Roger Holeindre.
Déroulement de la journée et modalités d'inscription :
- Au château de la Chapelle d'Angillon
- Modalités...
- 09 h 00 mise en place des stands
- 10 h 00 messe en la chapelle du château
- 12 h 00 cérémonie des couleurs et Hommage à l'armée française d'hier et d'aujourd'hui par le président Roger Holeindre
- 13 h 00 repas en commun, sous la Grande galerie...
- 16 h 00 projection du film, Le Sacrifice, avec présentation de l'auteur...
- 18 h 00 couleurs et adieux
- Site privé du château...
- Renseignements et inscriptions : au 01 40 59 07 66
08:46 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi 9 octobre : Anne Le Pape présentera sa biographie de François Brigneau aux Ronchons...
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
08:00 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le JT de TV Libertés de mercredi soir...
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mercredi, 17 septembre 2014
Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3154 du 11 septembre 2014
ENOCH Powell « avait raison » de mettre en garde contre l’immigration, affirme l’ancien ministre de la Défense conservateur Gerald Howarth. On se souvient du célèbre discours prononcé le 20 avril 1968 par Enoch Powell, parlementaire conservateur britannique, critiquant le multiculturalisme et opposé à l’immigration venant des pays du Commonwealth. Il disait : « Si je regarde vers l’avenir, je suis empli de sombres présages ; tel le poète romain, il me semble voir le Tibre écumer d’un sang abondant ». Il ajouta : « Nous devons être fous, littéralement fous à lier dans ce pays, pour autoriser chaque année l’entrée de 50 000 personnes, qui seront à l’origine de la future augmentation de la population d’origine immigrée. J’ai l’impression de regarder ce pays construire frénétiquement son propre bûcher funéraire. »
ENOCH POWELL WAS RIGHT ! (AVAIT RAISON)
Son discours provoqua une vive polémique dans la classe politique, la presse et la société britannique, mais un sondage de l’organisation Gallup réalisé fin avril 1968 montra que 74 % de la population était d’accord avec lui. Mais que pèse l’opinion de la majorité du peuple face aux lobbys et aux professionnels de la trahison ? Le conservateur anglais Gerald Howarth, député de longue date, vient d’affirmer qu’Enoch Powell avait eu raison de mettre en garde contre l’immigration. L’ancien ministre de la Défense écrit dans un courriel : « De toute évidence, l’arrivée d’une telle masse de personnes de confession non chrétienne représente une épreuve. Beaucoup d’entre nous, et le défunt Enoch Powell en faisait partie, avions donné l’alerte à ce sujet il y a plusieurs décennies. » Evoquant les abominables événements de Rotherham, où plus de mille enfants et jeunes filles blanches ont été réduites en esclavage sexuel en dix ans par une bande de Pakistanais, il dit : « Il s’agit de décennies de politiquement correct, et c’est cela qui a permis à ces répugnants abus d’enfants d’avoir lieu. » Et il conclut par ces mots : « Ici, c’est le Royaume-Uni, nom d’un chien ! Si vous ne l’aimez pas, partez vivre ailleurs » ajoutant : « C’est le parti travailliste qui est responsable. Le parti travailliste et la gauche. » Mais hélas pas seulement le parti travaillistes, les prétendus conservateurs sont eux aussi responsables de l’invasion du Royaume-Uni.
UN TEE-SHIRT ZARA AFFUBLÉ D’UNE ÉTOILE JAUNE RETIRÉ DE LA VENTE
Chacun sait que l’“Holocauste” fait vendre. C’est ce que les responsables de la célèbre marque espagnole de vêtements, Zara, ont dû se dire quand ils ont imaginé de commercialiser un beau tee-shirt pour enfant affiché au prix de 12,95 euros sur l’eshop Zaraun. Il avait tout pour plaire : des rayures bleues et une belle étoile jaune sur la poitrine. De façon assez incroyable, certains y ont vu un remake des uniformes portés par les Juifs dans les camps de concentration lors de la Seconde Guerre mondiale. Face aux couinements, l’enseigne espagnole Zara a retiré de la vente le beau teeshirt rayé à étoile jaune.
MONTEBOURG : “HOLLANDE MENT TOUT LE TEMPS”
L’ex-ministre de l’Économie Arnaud Montebourg, évincé du gouvernement, se raconte dans un livre qui paraît le 10 décembre, dont le titre est Montebourg, moi président (Éd. L’Archipel). Celui qui se déclarait fin juin 2014 en “cohabitation” avec le président déclare : « J’ai des rapports minimalistes avec le président de la République. Je me considère en cohabitation. Le président préside, mais nous, on fait ». Il ajoute : « Avec François Hollande, on ne peut plus discuter. Donc on ne discute plus. Ça ne sert à rien, les discussions avec lui sont inutiles. Sympathiques, mais inutiles. Depuis que je suis ministre de l’Économie, je ne vais plus discuter avec lui à l’Élysée. Je passe mon temps à Matignon. D’ailleurs, j’ai donné instruction à mes équipes de ne plus aller à l’Élysée ». L’ancien Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, en prend aussi pour son grade. A propos de l’affaire Léonarda, Montebourg dit : « C’est une catastrophe. Ça ne va pas durer longtemps comme ça. Valls, Peillon… On en a tous marre, on a tous envie de se barrer… C’est plus possible, vraiment, c’est n’importe quoi. On n’en peut plus, on est au bout. Cet amateurisme, c’est plus possible, ce n’est pas croyable. » Et puis, cette ultime considération : « Hollande ment tout le temps. C’est pour ça qu’il est à 20 % dans les sondages. Il ment. Il ment tout le temps. Depuis le début. » Ces propos ont été tenus en janvier. Depuis, Supermenteur a encore chuté dans les sondages…
MÉLENCHON ACCUSÉ D’AVOIR TENU DES PROPOS ANTISÉMITES
Jean-Luc Mélenchon avait participé, le week-end du 24 août, à l’université d’été du Parti de Gauche à Grenoble. Les propos qu’il y a tenus n’ont pas manqué de choquer profondément l’affreux journaliste Frédéric Haziza, auteur de Vol au-dessus d’un nid de fachos, qui y voit la preuve d’un antisémitisme virulent. Mélenchon a ainsi déclaré : « La République, c’est le contraire des communautés agressives qui font la leçon au reste du Pays ». Haziza s’est derechef senti visé, évoquant cet autre propos de Mélenchon qui s’est risqué à dénoncer « ceux de nos compatriotes qui ont cru bien inspiré d’aller manifester devant l’ambassade d’un pays étranger ou d’aller servir sous ses couleurs les armes à la main ». Mélenchon cible évidemment les Français qui s’enrôlent au sein de Tsahal et ceux qui expriment parfois violemment (cf. la Ligue de défense juive) leur soutien à Israël. Mélenchon a aggravé son cas en défendant devant ses militants « les populations martyrisées de Gaza » en précisant : « Nous ne croyons pas aux peuples supérieurs aux autres ». Haziza du coup s’en étrangle d’indignation, écrivant : « Il est lourd, trop lourd de sous-entendus. La théorie de la “race supérieure”, cela ne vous rappelle rien ? » Et ce n’est pas fini. Mélenchon a évoqué la nécessaire « fidélité à ces combats du passé, la fidélité au souvenir des meurtres de masse qui ont été commis dans le passé ». Du coup Haziza y voit un monstrueux parallèle entre la Shoah et la guerre de Gaza, accusant Mélenchon de « reprendre désormais à son compte la rhétorique récurrente et habituelle des sites d’extrême-droite, de ceux d’Alain Soral, de Dieudonné M’bala M’bala ou encore de la mouvance islamo-salafiste ». Rien que çà…
UNE PHOTO “SIGNIFIANTE” SUR LE SITE DE L’EDUCATION NATIONALE
La photo postée il y a quelques jours sur la page Facebook de l’Education nationale représente sept enfants de maternelle dont, relève la quotidien Aujourd’hui, « plusieurs Noirs ». En fait de “plusieurs”, six enfants sur sept sont noirs. De multiples réactions d’internautes ont poussé le ministère à dénoncer le grand nombre de commentaires injurieux et racistes. Ces commentaires ont évidemment été supprimés. Restent ceux des inévitables collabos, dont celui-ci : « Cette photo représente la France d’aujourd’hui ». Sans commentaire…
A QUOI SERT LE FRONT NATIONAL ?
David Rachline, le nouveau maire FN de Fréjus, n’avait de cesse de dénoncer, avant les élections, le projet de mosquée de Fréjus et l’ingérence des « pays du Golfe ». Il avait même promis l’organisation d’un référendum sur ce sujet. Depuis, silence radio. Il a refusé de s’associer à la plainte de Georges Ginesta, maire de Saint-Raphaël, qui est concerné, puisque la future mosquée jouxte sa commune. Selon lui, la mosquée ne respecte pas les règles d’urbanisme de la ville de Fréjus, qui impose des distances minimales entre les bâtiments. Cet argument peut être suffisant pour obtenir l’arrêt des travaux. Pourquoi Rachline se tait-il ? Réponse d’un permanent du FN : « Rachline se fait désormais discret parce que Marine le lui demande, car il est hors de question de faire de ce sujet un enjeu national. Le Front a un électorat musulman, et il est exclu de le braquer ». Et Rachline de jouer les vierges démocratiques effarouchées en déclarant ne pas « vouloir se substituer à la justice ». Mais à quoi cela sert-il alors de voter FN à Fréjus ou ailleurs ? Tout cela est consternant...
ADIEU NÉGROS, ADIEU BAMBOULAS…
Le “négro” et le “bamboula” sont, ou plutôt, étaient des spécialités chocolatées auxerroises créées en 1919 par la famille Moreau. Elles rencontraient un succès fou et se voyaient expédiées partout en France, raconte une responsable de la chocolaterie Feret, actuelle propriétaire de la marque. Tout allait pour le mieux jusqu’au jour où le Conseil Représentatif des Associations Noires de France (CRAN) et Sortir du Colonialisme se sont indignés, dénonçant « un revival de l’imagerie coloniale la plus nauséabonde » en exigeant que « la chocolaterie de la honte retire de la vente ces horreurs ». La direction de la chocolaterie a eu beau expliquer que cette spécialité auxerroise avait été conçue il y a un siècle pour « rendre hommage » aux tirailleurs sénégalais blessés durant la guerre et à une danse africaine, bref, qu’il ne s’agissait « en aucun cas d’une injure ou d’un qualificatif raciste », rien n’y fit. Il y eut des menaces reçues par courriel ou par téléphone. Du coup, la direction, courageuse mais craignant pour le devenir de sa vitrine, a débaptisé les deux produits. Le “négro” devient le “grégo” et le “bamboula”, « le bon goût ». Tout cela manque désormais singulièrement de poésie…
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.
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Le JT de TV Libertés de mardi soir...
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mardi, 16 septembre 2014
APRES LA JOURNEE SANS AUTOS, LE WEEK-END SANS ELECTRITE, LA SEMAINE SANS GAZ ? LE MOIS SANS GREVES ?… PEUT-ETRE L’ANNEE SANS CORRUPTION ?
Pieter Kerstens
Les Eurocrates de Bruxelles imposent tous les ans une « semaine de la mobilité » qui se tient sur notre continent à compter du 15 septembre et atteindra son point d’orgue le dimanche 21 dans plusieurs centaines de villes où la circulation sera interdite.
On nous parle de « mobilité durable », de trou dans la couche d’ozone et de lutte contre la pollution : mais tous les ans, ce sont des millions d’heures perdues dans les embouteillages.
Selon une étude publiée le 4 mars 2014, sur base des analyses concernant plus d’un million de kilomètres de routes et autoroutes en Europe, la société INRIX dresse le constat suivant :
Chaque automobiliste perd 24 heures par an dans les bouchons en Italie, alors qu’au Luxembourg les heures perdues se montent à 31 heures/an, à 35 heures en Allemagne et en France, mais à 58 heures/an et par automobiliste en Belgique !
Bien évidemment, hormis l’augmentation de la pollution, ces millions d’heures perdues dans les embouteillages de chaque pays ont un prix. L’OCDE a chiffré ce coût entre 1 à 2% du PIB : soit entre 4 et 8 milliards d’euros tous les ans pour la Belgique!
Et au minimum 20 milliards d’euros pour la France, chaque année ! Là aussi on pourrait faire des économies …à l’heure où tous les ministres des Finances cherchent à réduire les déficits du budget.
Mais au lieu de mettre en place tous les moyens indispensables pour améliorer la circulation sur les routes, les autoroutes et les voiries urbaines, c’est tout le contraire que nos gouvernements nous ont imposé ces 35 dernières années.
Les automobilistes, nouveaux serfs du XXIe siècle taillables et corvéables à merci, subissent les pires avanies de la part de politicards imbus de leur pouvoir.
Téléphoner dans son auto devient un délit et entraîne de fortes amendes.
Et fumer dans sa voiture ? C’est passible de 20 ans de bagne ? Bientôt… patience !
Curieusement, la répression ne sévit pas de la même façon en France, dans les 751 quartiers dénommés « Zones Urbaines Sensibles »… discrimination ? Et encore moins dans les 64 Z.S.P.
Il est temps de mettre un holà à cette dérive des maniaques des pistes cyclables tout azimut, de la gratuité des transports publics, de la suppression des places de stationnement dans les rues ou encore de la transformation de nos avenues et de nos boulevards de liaisons en ruelles de cités du tiers-monde.
A les écouter, on devrait circuler en trottinettes, en rollers ou en cyclorameurs et abandonner nos voitures pour emprunter les bus, les trams ou le métro (transports en commun, renommés pour leur propreté, leur ponctualité et surtout leur sécurité, tout le monde le sait).
NOTRE AUTO ? C’EST NOTRE LIBERTE !
Demandez donc aux mères de famille ce qu’elles en pensent. Si l’utilisation automobile a connu un tel développement au cours des 35 dernières années, c’est bien qu’il existait de bonnes raisons.
Depuis 1980, à puissance égale, la voiture consomme et pollue 40% de moins, grâce aux améliorations techniques des moteurs, à l’essence sans plomb et sans soufre, au pot catalytique et aux filtres captant les particules fines.
En est-il de même aux USA, en Chine, en Inde ou en Afrique ? Ce sont eux les plus gros pollueurs !
Nous n’acceptons pas les affirmations mensongères des khmers verts et de leurs laquais socialistes, visant à nous culpabiliser.
Pour diminuer les effets de serre ou le rejet de CO2 les Ecolos et les altermondialistes vont-ils mener campagne à Dakar, à Calcutta, à Rio ou à Canton pour interdire aux habitants d’acheter des motos ou des voitures et à revenir à l’utilisation du vélo ?
Il faut arrêter de martyriser les conducteurs européens sous de faux prétextes et de les désigner comme seuls responsables de tous les maux !
TROP, C’EST TROP !
Le Pouvoir ponctionne des milliards d’euros des secteurs liés à la voiture (taxes d’immatriculation et de circulation, accises, assurances, TVA, amendes, bonus/malus CO2, etc…).
Mais dans quel état se trouvent nos rues et notre réseau routier ?
Face à ce racket fiscal, des centaines de milliers d’automobilistes sont aujourd’hui révoltés par l’impéritie, le laxisme et l’incompétence de la classe politique, plus soucieuse de sauver ses prébendes que défendre l’intérêt général.
Nos pourriticards ne se déplacent-ils pas tous en voiture de fonction ?
Le Régime cache son incurie en diabolisant les automobilistes. C’est scandaleux et c’est pourquoi le mécontentement gronde parmi les conducteurs, victimes d’une véritable persécution, eux qui circulent tous les jours et perdent leur temps dans des embouteillages organisés par des utopistes dont les dogmes polluent notre quotidien, depuis trop longtemps déjà.
15:45 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |