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mardi, 16 septembre 2014

Le JT de TV Libertés de lundi soir :

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Dimanche 12 octobre, à Rungis : Kevin Reche, organisateur du Collectif "Sauvons Calais", parlera à la 8e Journée de Synthèse nationale !

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lundi, 15 septembre 2014

RICHARD ROUDIER CONTRE LE PRÉFET BOUCAULT Episode 2

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On prend les mêmes et on recommence. On se souvient, il y a six mois, du procès en injures publiques, devant le tribunal de Grande Instance de Carcassonne intenté par le Préfet de police de Paris Bernard Boucault, contre Richard Roudier et Josiane Filio. Ceux–ci, qui avait légèrement égratigné, dans leurs écrits, ce haut personnage, avaient été condamnés à 200 € d’amende, assortis du sursis, ce qui constituait une peine ridicule, surtout quand l’accusation précisait qu’il s’agissait d’un détenteur de l’autorité publique. Mais pour notre camp, cette condamnation, constituait tout de même une condamnation alors que les deux accusés n’avaient fait qu’exercer leur droit constitutionnel relatif à la liberté d’expression.

Comme la liberté d’expression est la mère des libertés publiques, il n’était pas question de déroger avec les principes, et nos amis et leur conseil, avaient décidé unanimement de faire appel de ce jugement et de donner à cette affaire le lustre qu’elle méritait. Convoqués le 8 juillet devant la cour d’appel de Montpellier, nos camarades accompagnés de leur avocat et de nombreux amis se voyaient, en moins de trois minutes, renvoyés à leurs chères études et priés de se représenter à la rentrée au motif que, durant les vacances, on ne traite devant la cour que les affaires relevant de l’urgence. Les objections de Me. Gardères venu spécialement de Paris et les mines déconfites de Richard et Josiane ne purent rien changer à l’affaire.

Les deux appelants se retrouveront donc ce mardi 16 septembre à 14 h devant la cour afin, espèrent ils, de bénéficier d’une relaxe que tous les amoureux de la liberté attendent. Richard Roudier, qui joue à domicile, afin de resituer l’ambiance de cette affaire, a tenu à rappeler pour l’occasion, que l’utilisation d’un jeu de mot, même s’il est facile n’avait pas vocation à déclencher l’ire du Préfet Boucault … ”j’ai seulement écrit que toute analogie entre Boucault et Bourricot serait fortuite, ce qui est tout à fait bénin d’autant qu’il s’agit d’un propos venant en conclusion d’une Fable, peu connue il est vrai, de ce bon Jean de la Fontaine intitulée l’âne chargé de reliques reproduite in extenso dans mon communiqué et j’invite tous les participants à ce procès à lire ou à relire ce petit bijou pour leur édification”.

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Dimanche 12 octobre, à Rungis : Pierre Vial parlera à la 8e Journée de Synthèse nationale !

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Dimanche 12 octobre, à Rungis (94) : venez nombreux !

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dimanche, 14 septembre 2014

Femen : que les juges complaisants prennent garde

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François Teutsch

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Les faits sont simples : le 12 février 2013, à l’occasion de la renonciation du pape Benoît XVI à sa charge, neuf Femen ont pénétré dans la cathédrale Notre-Dame de Paris et, juchées seins nus sur le socle de trois cloches, exposées provisoirement dans la nef à l’occasion du jubilé des 850 ans de l’édifice, ont crié « Pope No More » tout en tapant à l’aide de bâtons sur les cloches, qu’elles ont légèrement dégradées. Citées à comparaître devant le tribunal correctionnel pour dégradation volontaire, elles ont été relaxées le 10 septembre dernier au motif que les éléments soumis au tribunal ne permettaient pas de leur imputer avec certitude les dégradations. En revanche, les vigiles ont été condamnés à des peines d’amende avec sursis… Le parquet a interjeté appel de ce jugement.

Voilà pour les faits. Reste le scandale de poursuites inadaptées, du fait du ministère public. Reprocher aux Femen des dégradations matérielles était le plus sûr moyen de les faire relaxer : la décision du tribunal est logique ; la cour d’appel ne la réformera sans doute pas.

La vraie question n’est pas celle des cloches ! Elle est celle de l’intrusion dans un édifice religieux de neuf hystériques dont le but affiché est de provoquer, de choquer, de ridiculiser. Il suffit de voir les photographies de l’événement pour constater le regard effaré des touristes, manifestement choqués de cette mise en scène dans un lieu que chacun – croyant ou non – s’accorde à reconnaître comme sacré. Dans une société libérale – et prétendument libérée –, faut-il que la religion catholique dérange à ce point pour être la cible unique d’excitées du téton qui seraient bien incapables, d’ailleurs, de dire en quoi la parole apostolique les empêche de vivre comme elles l’entendent ?

Les chrétiens étant, dans notre Occident décadent, la seule minorité qu’il est permis de ne pas respecter, le parquet n’a pas pensé à user des dispositions qui lui permettaient de poursuivre efficacement ces militantes. La justice, une fois encore, a montré qu’elle appliquait la vieille règle du deux poids deux mesures. Quand elle est forte avec les faibles et faible avec les forts, elle ne craint ni le courroux des chrétiens, ni l’opprobre de la presse, ni les pressions du pouvoir. Mais le jeu qui consiste à juger en fonction de la capacité de nuisance de la victime risque de se retourner contre elle ! Lorsqu’elle aura à juger les incendiaires musulmans d’une synagogue, lui faudra-t-il s’indigner de l’acte antisémite ou refuser de stigmatiser une communauté habituée à la coupable indulgence des juges ?

L’autre vraie question est celle des attaques systématiquement portées contre les chrétiens et les symboles de leur foi. Bien sûr, à côté de ce qui se passe en Irak, cette danse pectorale n’a qu’une gravité relative. En apparence seulement : à force d’accepter ces manifestations d’hostilité, on prépare les esprits à une forme d’indifférence qui, le jour où surviendront de vraies persécutions, se révélera dans toute son ampleur. Ne sous-estimons pas la portée de ces actions : ne serait-ce pas leur seul objet ?

Que nos juges complaisants prennent garde. À force de mépriser les chrétiens, ils sapent les fondements – chrétiens – du droit pénal dont l’application leur incombe. Et ils soufflent sur des braises qui ne demandent qu’à s’enflammer.

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samedi, 13 septembre 2014

Le Journal du Chaos de cette semaine :

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Les migrations expliquées aux nuls... Il y avait du travail, Gourévitch l'a réalisé !

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Est-il possible de confier la rédaction d'un ouvrage de vulgarisation sur l'immigration à un auteur souvent cité par l'extrême droite ? Les Editions First s'y risquent avec Les Migrations pour les nuls de Jean-Paul Gourévitch, en librairie ce jeudi 11 septembre et déjà contesté par des spécialistes. Ce docteur en sciences de la communication, auteur prolixe de livres sur l'Afrique ou pour enfants, est connu pour ses travaux sur les coûts de l'immigration qui lui ont valu d'être cité à plusieurs reprises par la Droite nationale et identitaire. Loin des ragots bobos des astiqueurs de niaiseries progressistes. A lire d’urgence.

Les migrations pour les nuls, par Jean-Paiul Gourevitch, First éd., 454 p., 23 €

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Le JT de TV Libertés de vendredi soir :

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La France défigurée...

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Sur la biographie de François Brigneau signée Anne Le Pape

images.jpgRobert Spieler

Rivarol du 4 septembre 2014

Anne Le Pape vient d’écrire la première biographie de François Brigneau. Passionnante.  Elle a paru aux éditions Pardès. On y découvre ce journaliste de combat, d’une énergie époustouflante et d’un courage sans limite,  qu’un sondage de notoriété de l’IFOP classait en 1965, comme deuxième journaliste de France. Il fut salué par des hommes aussi différents que Frédéric Dard et Jean Madiran, Céline et Roger Hanin, Hubert Beuve-Méry et Jacques Vergès, Robert Brasillach et Jean Gabin, Yvan Audouard et Michel Déon, Pierre Boutang et Albert Simonin, Arletty et Raymond Bourgine, Antoine Blondin, Pierre Lazareff, Jacques Benoist- Méchin, Marcel Pagnol ou Alphonse Boudard.

Sa jeunesse

WellAllot est né le 30 avril 1919 à Concarneau. Ce breton, qui prendra plus tard le pseudonyme de François Brigneaua un père instituteur, vigoureusement républicain (Il adhèrera au Parti communiste)  et une mère ainsi qu’une grand-mère profondément catholiques. Ambroise, son grand père, est patron pêcheur. Un personnage :« Taciturne à jeun, quand il avait bu il aurait cherché querelle à ses sabots », dira de lui son petit-fils. Le petit Well grandit dans une atmosphère de deuil. La Bretagne, qui a sacrifié près de deux cent quarante mille de ses enfants lors de la Grande guerre, a particulièrement souffert. Well en conservera une solide méfiance à l’encontre des va-t-en-guerre de tous bords.Well n’est certes pas un élève modèle. Il se décrit ainsi : « Turbulent, bagarreur, distrait, grand lecteur de romans, j’estimais inutile de travailler en classe et d’apprendre mes leçons, ou de m’appliquer sur mes devoirs à la maison ». Il s’intéresse à l’aventure maritime en solitaire, à la littérature, au football, au vélo et… rêve de devenir journaliste comme Jules Vallès et Henri Béraud. A douze ans il fonde son premier journal, David, référence à David Copperfield, son livre de chevet.

L’ombre de la guerre, puis la guerre

Quand Well a seize ans, commence la grande bataille pour la paix. Il découvre Paris en 1937, ses intellectuels marxistes, antimilitaristes, dénigrant l’ordre et la patrie. Découverte qui le bouleverse. Il se sent dans un premier temps proche du Front populaire mais sera bientôt munichois, par haine de la guerre et crée à Concarneau une section des jeunes du Parti frontiste de Gaston  Bergery. Well vend La Flèche à la criée sur le port avec ce slogan : « Contre la guerre ! Contre les ingérences étrangères ! Contre les oligarchies financières ! » . Il est mobilisé en 1939. Ses souvenirs qui l’ont marqué ? Il répond cinquante ans plus tard : « L’ivrognerie. Le vin chaud du soldat fait des ravages : on boit le matin pour se mettre en train. On boit le soir pour glisser dans le sommeil. On boit dans les chambrées. On boit à la cantine… Quelle image ! Et quelle armée ! » Le seul soldat qui trouve grâce aux yeux du jeune Allot est le maréchal Pétain. Installé à Paris en novembre 1942, il découvre dans Je suis partout les éditoriaux de Robert Brasillach. Il lit Notre avant-guerre. Il aime sonstyle, ce mélange d’humour et de tendresse, de gentillesse et d’intelligence. C’est le début d’une amitié forte. Well découvre en Brasillach le grand frère qu’il n’a jamais eu. Robert lui fait découvrir Maurras et l’encourage à écrire. Et puis, alors que la guerre est d’évidence perdue, il s’engage le 6 juin 1944 dans la Milice. Pourquoi ? Il a beaucoup d’admiration pour le « vieux Joseph » Darnand. Et puis, racontera-t-il : « Par orgueil, par sentiment, pour ne pas avoir l’air d’un ‘dégonflé’, parce que beaucoup de mes copains avaient été tués par le maquis, parce que tout ce que disait Londres me révoltait, parce que je voulais servir le Maréchal ». Les conséquences ? : « Deux mois d’engagement maudit, cinquante ans de galère », dira-t-il. A Fresnes où il sera incarcéré quinze mois, il fréquente du beau monde dont bien sûr Brasillach, Henri Béraud, Benoist-Méchin et même Tino Rossi. Brasillach lui adressera une dernière lettre, le 28 janvier, dans laquelle il écrit : « Je ne veux pas faire de littérature, mais tu sais que je suis très fier de t’avoir connu et de t’avoir inspiré de l’amitié ».Well sera acquitté par la cour de justice de la Seine le 17 décembre 1945 mais frappé de dix ans d’indignité nationale (« d’indignation nationale », dira-t-il).

Well Allot, journaliste et écrivain

Le futur François Brigneau va collaborer sous divers pseudonymes à de nombreux journaux et revues dont plusieurs sont monarchistes : Paroles françaises de Pierre Boutang,  Rire,L’Indépendance française, Ici France, La Dernière Lanterne, etc…  Son pseudonyme est Julien Guirec. En 1948 il organise même un spectacle de chansonniers dans un cabaret-dancing du boulevard Saint-Germain.  Et puis, arrive son entrée dans la « grande presse ». Il rejoint France Dimanche (rien à voir avec  l’hebdomadaire à scandales qu’il est devenu) où il assure le reportage des grands événements sportifs, puis celui des procès, comme celui de Marie Besnard, accusée d’empoisonnement. Julien Guirec va fonder, avec Maurice Gaït et Léon Gaultier, La Fronde, organe des petits contre les puissants. On y retrouve Antoine Blondin et Jean Pleyber. Seuls quatre numéros paraîtront. René Malliavin, directeur d’Ecrits de Paris propose à l’équipe d’élargir la formule et de lancer un hebdomadaire. En 1951 paraît le premier numéro de Rivarol, dont François Brigneau est le rédacteur en chef. On y trouve les plumes d’Antoine Blondin, de Pierre Dominique, d’AlbertParaz et de Ben (l’auteur de Voyage en Absurdie), qui en est aussi l’illustrateur. Robert Hersant lance alors Semaine du Monde et engage Guernec. Celui-ci choisit définitivement le pseudonyme de François Brigneau et devient vite rédacteur en chef. Il rejoindra par la suite Paris-Presse. Brigneau y sera heureux jusqu’au drame de l’Algérie. Ses reportages le mènent aux quatre coins du monde, de Washington (il suit la visite de Khrouchtchev) au Congo (il couvre la révolution de Lumumba) en passant par Berlin, Londres et même Alger en novembre 1960. Il deviendra en septembre 1962, grand reporter à L’Aurore et se rendra notamment à Rome pour le conclave, après la mort de Jean XXIII et rendra compte du procès de Bastien-Thiry. Moment douloureux, car il revivra les heures précédant la mort de Robert Brasillach.

L’aventure de Minute

Jean-François Devay, fondateur de Minute en 1962, va proposer à Brigneau d’y collaborer sans périodicité régulière. Le directeur de rédaction de L’Aurorele lui interdit et François, renonçant à une confortable carrière, claque la porte en 1964. Il sera nommé très vite rédacteur en chef de Minute et chargé des échos, poste stratégique. Voici comment Jean Mabire décrit le nouveau collaborateur : « Il a des yeux vifs, tour à tour malicieux et impitoyables, une crinière sombre qui se hérisse sous la pluie et descend loin sur les joues à la mode des gentilshommes corsaires de la marine en bois. Sa tête taillée à la hache se dégage difficilement d’une poitrine profonde comme un coffre de pirate ». Les ventes de Minute, dont le premier numéro s’est vendu à 70 000 exemplaires grimperont pour certains à 260 000 ! François Brigneausera, de 1964 à 1987, selon les mots de Jean-François Devay, le « porte-drapeau » de Minute où il assure une chronique régulière. Il est aussi reporter et se rend au Viet-Nam et au Moyen-Orient. Une anecdote savoureuse : Il rencontre Menahem Begin et lui demande, à propos de l’avortement que l’Etat d’Israël autorise si les Israéliens n’ont pas peur d’aggraver le déficit des naissances par rapport aux Palestiniens ; d’autre part ne songent-ils pas que le Messie attendu par les Juifs pourrait se trouver dans le ventre d’une de ces femmes qui veulent avorter ? Fureur de Begin qui cesse de parler français, vitupère en hébreu et lui tourne le dos… Minute sera bien sûr le journal le plus poursuivi de France. Les procès s’échelonnent : La Lica (qui n’est pas encore la Licra), le Mrap et bien sûr De Gaulle s’en donnent à cœur joie. Les condamnations pour offense au chef de l’Etat pleuvent. Commentaire de Brigneau : « Nous collectionnons les condamnations, comme d’autres les timbres ». Quand Brigneau qualifie la série Holocauste de « feuilleton de propagande », le journal est poursuivi dix-huit fois, grâce aux astuces du cabinet Badinter ! L’hebdomadaire va connaître une suite ininterrompue d’attentats. Les voisins surnomment l’immeuble de l’avenue Marceau « Beyrouth-sur-Seine ». En juin 1968, une bombe est posée au domicile de François Brigneau, à Saint-Cloud, blessant gravement l’éboueur d’origine immigrée qui perdra une main et la vue.

Présent, Le  Choc du mois, National-Hebdo

Le 5 janvier 1982, le numéro 1 de Présent paraît. François en est l’un des fondateurs. En 1986, Présent organise un banquet de 1000 couverts pour fêter les 1000 numéros parus. Mais où est, bigre, Mathilde Cruz, qui tient une rubrique de télévision très appréciée ? Les lecteurs demandent à la rencontrer. On leur répond qu’elle vient juste de sortir. En fait Mathilde Cruz est un pseudonyme de François Brigneau ! Au printemps 1987, François, qui a passé vingt-trois ans à Minute, quitte l’hebdomadaire, en difficulté et sujet à des dissensions et rejoint National-Hebdo où il sera accueilli par Roland Gaucher et où le rejoindra bientôt son ami Serge de Beketch. Brigneau ne tardera pas à quitter Présent où il s’était exprimé en faveur de la liberté de recherche historique concernant la thèse d’Henri Roques, ce que Madiran, prudent, n’avait pas apprécié. Du coup, Brigneau claqua la porte, suivi de sept cent abonnés. Le Choc du mois paraît en décembre 1987. Brigneau y est chroniqueur. Mais le mensuel disparaîtra en juillet 1993. François Brigneau / Mathilde Cruz peut désormais se consacrer totalement à National-Hebdo. Il  y accomplira son travail de « vieil écrivain de presse », « dans une grande liberté et avec un certain bonheur. »Il sera chassé de NH en décembre 1998, date où éclate la crise au sein du Front national, qui l’ébranlera profondément. Les divisions restent à ses yeux une maladie grave du mouvement national. Entendre traiter de « félons » les amis d’hier lui est insupportable. Mais il ne baisse pas les bras. Il fait partie de ceux qui soutiennent le lancement du Quotidien de France de Martin Peltier et donne des articles au Libre Journal de Serge de Beketch qui considère François comme le pater familias de sa famille d’esprit, son « roc politique ». Il y collaborera jusqu’au dernier numéro, celui du 22 octobre 2007, consacré à son fondateur qui vient de mourir. Puis il confiera encore quelques articles à Emmanuel Ratier pour Faits et Documents.

François Brigneau, militant politique

On a vu que François Brigneau, très jeune, vendait La Flèche, le journal du Parti frontiste de Gaston Bergery. Après la guerre, il donnera des conférences en faveur de l’amnistie. Le mouvement Poujade ne l’enthousiasme guère. Il rejoindra en 1965 le Comité national Tixier-Vignancour et participera à fond à la campagne présidentielle.  Il contribuera en 1969 à la création d’Ordre Nouveau, dont il est membre du comité national. Lors d’un meeting nationaliste, le 13 mai 1970, il déclare : « Il faut faire un parti révolutionnaire blanc comme notre race, rouge comme notre sang et vert comme notre espérance ».Ordre Nouveau adopte une stratégie de front national et contribue à la fondation du nouveau parti, dont Jean-Marie Le Pen sera le président. Brigneau sera, avec Gérard Longuet, le principal rédacteur du premier programme politique du Front. Après la dissolution d’O.N., il rompra avec le F.N. et participera à l’aventure du  Parti des Forces Nouvelles (PFN), avant de devenir, quelques années plus tard, un compagnon de route du FN qui émerge en tant que force politique. Comme on l’a vu précédemment, partisan d’un « ticket Le Pen / Mégret », la rupture de 1998 l’amènera à s’éloigner définitivement de l’action politique.

WellAllot / François Brigneau meurt le 9 avril 2012 à Saint-Cloud. Entouré de sa famille, de ses amis et de ses fidèles, il est enterré le 13 avril au cimetière de Saint-Cloud.

Pour commander le livre d’Anne Le Pape: François Brigneau, collection Qui suis-je, éditions Pardès, 12 euros,  Pardès, 44 rue Wilson, Grez-sur-Loing  77880

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Le n°3 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Jacques Doriot et au PPF va sortir !

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vendredi, 12 septembre 2014

Ce vendredi soir, sur Méridien zéro

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Le n° 37 de Synthèse nationale vient de paraître

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Il sera expédié aux abonnés dès lundi et en vente dans toutes les bonnes librairies dans le courant de la semaine prochaine.

09:08 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : dimanche 12 octobre, TOUS A RUNGIS !

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"Si Esteban avait été une Femen..." Dans Présent d'aujourd'hui : un entretien avec Serge Ayoub

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1,30 €, chez votre marchand de journaux

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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

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Le JT de TV Libertés de jeudi soir :

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jeudi, 11 septembre 2014

Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3153 du 4 septembre 2014

DÉCIDÉMENT, il n’en rate pas une. Comme le note Le Point, même lorsque les sujets sont graves, le locataire de l’Elysée trouve le moyen d’en rire. Aujourd’hui, c’est la probable perte du Sénat par la gauche qui amuse le chef de l’Etat. Il fait de l’humour, évoquant la réforme territoriale qui crée un vif mécontentement chez les élus, y compris chez les socialistes. Il envisage, tranquillement je-m’en-foutiste, une défaite électorale.

 

HOLLANDE S’AMUSE

 

Le chef de l’Etat vient en effet de déclarer aux journalistes : « En 2011, la gauche ne pensait pas gagner, mais elle a bénéficié du rejet des projets territoriaux de Nicolas Sarkozy. Aujourd’hui, c’est nous qui réformons la carte au moment des sénatoriales. Vous voyez bien que l’on n’est pas calculateur ! » Pas sûr que les sénateurs socialistes qui vont se faire éjecter fin septembre du Sénat apprécient la fine plaisanterie…

 

HOLLANDE ET ALZHEIMER : ÇA S’AGGRAVE

 

Tout enfant âgé de deux ou trois ans sait manier un arrosoir. Rappelons aux lecteurs qui l’auraient oublié qu’il convient de remplir l’arrosoir d’eau, le prendre par l’anse, le pencher, et laisser l’eau s’écouler par la pomme. Une technique qu’à vrai dire, on n’enseigne pas à l’ENA. D’où le problème, à moins qu’Alzheimer ne s’aggrave, qu’a rencontré récemment le Pingouin, en visite en Azerbaïdjan. On a vu l’improbable Président de la République, lors de l’inauguration d’un lycée français en Azerbaïdjan, arroser l’arbre en faisant écouler l’eau par le haut de l’arrosoir plutôt que par la pomme ! Ça ne s’invente pas !

 

HOLLANDE, ABANDONNÉ PAR JULIE GAYET ?

 

Des rumeurs bien fantaisistes d’un mariage entre Julie Gayet et François Hollande n’avaient cessé d’enfler ces dernières semaines. Las, de récentes photos dévoilées par Voici montrent Julie Gayet à la plage avec un autre homme. Il paraît que, l’air complice, ils marchaient à quelques centimètres l’un de l’autre (détail important) et dans l’eau, toujours aussi proches. Mais qui est ce rival du Pingouin ? Il se nomme Pierre Puybasset. Originaire de Corse, cet « avocat fiscaliste de renom » aurait invité Julie Gayet à séjourner avec lui quelques jours dans sa résidence de Porticcio, sur l’île de Beauté. « Ils n’en sont quasiment jamais sortis, sauf pour aller à la plage, tôt le matin, et tard le soir », rapporte Voici. L’hebdomadaire note finement : « Ce break, elle en avait besoin et elle a en profité à fond avec son hôte ». On les aurait même aperçus ensemble à Paris où ils se verraient souvent. Pauvre Hollande ! Quand rien ne va, rien ne va…

 

HOLLANDE, SANS PARAPLUIE, BAFOUILLE

 

Lundi 25 août, Hollande, qui n’a sans doute pas de tâche plus urgente à accomplir, poursuivait sa tournée de commémorations. Il s’est rendu à l’île de Sein où il venait honorer les 133 civils qui, au lendemain de l’appel du 18 juin, avaient rejoint De Gaulle. Las, les éléments se déchaînèrent. Des trombes d’eau se déversèrent sur le petit homme, sans qu’aucun conseiller n’ait l’idée de le protéger avec un parapluie. François Hollande ânonna péniblement son discours. Il bafouilla, sa langue fourcha, il parla du “parti” plutôt que de la “patrie”. On vit de la buée sur ses lunettes, des cascades d’eau sur son visage. Bientôt son costume fut à tordre. Cette image, largement reprise par les media, illustre parfaitement la situation politique actuelle. Le Pingouin peut méditer ce proverbe breton : « Qui voit Sein, voit sa fin ». Rappelons que Sein fut surnommée l’île des naufrages dès le XVIIe siècle, tant les naufrages y étaient fréquents. Un signe précurseur ? Espérons-le !

 

LA GROSSIÈRETÉ DE MARTINE AUBRY

 

Comme la belle au bois dormant (comparaison quelque peu osée), Martine Aubry était en hibernation depuis plus d’un an. Réveillée d’un long sommeil peut-être éthylique, elle a, lors d’une conférence de presse, vilipendé le projet de l’exécutif concernant la nouvelle carte des régions de France, laquelle prévoit la fusion de la Picardie avec le Nord-Pas-de-Calais. Le Canard Enchaîné vient de dévoiler quelques grossièretés bien senties assénées par Martine Aubry à ses adversaires au sein du parti. Harlem Désir et Gaëtan Gorce sont les premières victimes du langage délicat de l’ex-ministre du Travail. En effet, alors qu’on lui annonce qu’elle va devoir poser à côté d’Harlem Désir, son successeur à la tête du PS, afin de montrer l’image d’un parti uni, elle aurait répliqué en disant : « Pas question de poser à côté de cet enc… » Gaëtan Gorce, candidat à la succession de Martine Aubry en 2012, a également eu à subir sa fureur. Tandis que le sénateur de la Nièvre la croise en juin 2012 lors d’une réunion du PS, il lui tend la main pour la saluer ; elle lui lance alors un magistral « je ne te salue pas, vieille sal… ». Elégant… Le Canard rappelle aussi la fâcheuse tendance qu’a Aubry à qualifier ses “camarades” socialistes de “nuls”. Mais la droite a aussi droit à un bouquet d’invectives. Pour elle, Jean-Marc Ayrault est “nul” et Jean-Pierre Raffarin « ne sert à rien ». Et Hollande ? Il a droit à la légion d’honneur de l’insulte aubryste : « Il est archinul ».

 

27 % DE JEUNES “FRANÇAIS” FAVORABLES À L’ÉTAT ISLAMIQUE !

 

Le très sérieux institut britannique ICMresearch vient de réaliser un sondage concernant le soutien à l’État Islamique (le groupe ayant établi le Califat dans certaines régions d’Irak et de Syrie) dans différents pays européens. 15 % de l’ensemble des Français interrogés affirment être très favorables ou assez favorables à l’État Islamique, un score grimpant à 27 % chez les 18-24 ans ! Un soutien bien plus important que dans tous les autres pays européens. On peut évidemment en conclure que l’immense majorité de la population musulmane résidant en France soutient les terroristes islamistes, même si tous ne mesurent pas ce que signifie ce califat, avec son cortège d’horreurs.

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LE “MORT-AUX-JUIFS” DANS LE COLLIMATEUR

 

Dans un petit village du Loiret, Courtemaux, un lieu-dit porte le doux nom de « Mort-aux-Juifs ». Il est composé d’une ferme et de deux maisons. Pas de quoi fouetter un rabbin. Oui mais le lieu vient d’être découvert par le centre Simon-Wiesenthal américain, fondé par le fameux chasseur de nazis, qui exige que le nom du lieu disparaisse. Affreusement choqué, le lobby a écrit au ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve pour exiger le changement du nom scandaleux. Ce n’est pas la première fois que d’aucuns se sont mis à couiner. L’adjointe au maire raconte : « Un conseil municipal précédent avait déjà refusé de débaptiser ce lieu-dit ». Et elle ajoute avec un bon sens certain : « Pourquoi changer un nom qui remonte au Moyen-Age ? Il faut respecter ces vieux noms ». On ne saurait lui donner tort…

 

SICILE : LES CLANDESTINS ONT DES EXIGENCES

 

La Forza Della Vita, la structure d’accueil sicilienne gérée par des bénévoles, suscite les récriminations des clandestins qui débarquent en nombre depuis deux ans. D’abord, la nourriture ne serait pas assez bonne et ne correspondrait pas à leurs habitudes culinaires ; ensuite, en plein mois du ramadan, ils ont été obligés de manger la journée alors qu’ils souhaitaient se sustenter la nuit ; enfin, leurs papiers de réfugiés politiques sont trop longs à obtenir. Mais le pire est qu’il y a des tiques, et qu’ils sont piqués par les moustiques. « Nous sommes en été, il n’est pas rare de faire de telles rencontres avec ces insectes », explique sans rire un représentant des forces de l’ordre. Mais l’hiver pose aussi des problèmes. Des couvertures sales, pas assez de chauffage, des poux, la gale. Et puis, la promiscuité. Mais sur ce dernier point, les choses devraient s’améliorer : les églises ont ouvert leurs portes aux milliers de clandestins qui débarquent chaque semaine…

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UNE FEMEN COMPLÈTEMENT ALLUMÉE

 

Amina Seboui avait fait deux mois et demi de détention provisoire en Tunisie en 2013 pour avoir peint le mot “Femen” sur le muret d’un cimetière de Kairouan (sud de Tunis) afin de dénoncer la tenue d’un rassemblement salafiste. Elle avait quitté par la suite le mouvement des Femen, en l’accusant d’“islamophobie”. Elle avait fait parler d’elle le 15 juillet, prétendant avoir été agressé par des islamistes, à Paris, qui, selon ses dires, avaient entrepris de lui raser les cheveux et les sourcils. Elle doit être jugée en octobre pour dénonciation mensongère. La voici qui récidive. Amina Seboui et son compagnon croisent un couple sur la place de la Bastille, dont la femme porte le voile. Des insultes fusent alors de la part de l’ancienne Femen, qui agresse la femme voilée, déclenchant une rixe entre les deux couples. Du coup l’ex-Femen tunisienne Amina a été placée en garde à vue et sans doute en cellule de dégrisement… Une fois de plus…

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mercredi, 10 septembre 2014

Le JT de TV Libertés de mercredi soir...

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La fronde des libraires contre le livre de Trierweiler

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Source Le Figaro.com cliquez ici

Xavier de Marchis, gérant de la librairie Contretemps à Paris, fait partie de ceux qui refusent de vendre l'ouvrage Merci pour ce moment. Il s'en explique au Figaro.

Libraire à contre courant, Xavier de Marchis avoue n'avoir pas lu le fameux livre de Valérie Trierweiler. «Je ne l'ai pas reçu et j'ai refusé de l'avoir», tranche-t-il d'emblée.

Gérant de la librairie Contretemps à Paris dans le 7e arrondissement, il trouve le marketing autour de Merci pour ce moment «un peu limite» : ce jeu autour d'un livre lancé sous XX, imprimé en Allemagne au tirage foudroyant de 200 000 exemplaires lui semble malsain. Pire, il est choqué par la façon dont les gens viennent lui demander le livre. Selon lui, toute cette hystérie «a créé un climat d'énervement et d'excitation qui a empêché sa librairie de tourner pendant deux jours». Samedi matin, 48 heures après le lancement du livre événement, il décide donc avec ses collègues de mettre un panonceau à l'entrée de la librairie. Avec ces quelques mots ironiques :

«Nous sommes libraires. Nous avons 11 000 livres. Nous n'avons pas vocation à être la poubelle de Trierweiler et Hollande. «Merci pour ce moment» de compréhension.» Le jour même, les passants viennent lui exprimer leur sympathie. Et depuis, il reçoit de nombreux messages de soutien. Invité de France Info ce lundi matin, Xavier de Marchis avoue même que les journalistes rencontrés ont compris et partagé sa démarche.

S'il réagit par souci d'éthique, le jeune libraire reconnaît pourtant avoir vendu le livre de Marcela Iacub, Belle et Bête (Stock), où la journaliste dévoilait sa liaison avec Dominique Strauss-Kahn, tout comme celui de Cécilia Attias, Une Envie de vérité (Flammarion), mais de façon minime. «Il n'y avait pas d'exclusivité. Avec Trierweiler, j'ai subi un arrêt complet de mes ventes. Les gens ne demandaient que ça.»

«Libraires, faites gaffe!»

Pour le libraire de la rue Cler, la publication du livre de Valérie Trierweiler participe à la remise en cause ambiante de sa profession. Le cœur du travail de libraire est de choisir des livres et de les donner à lire. «Sinon, je mets une casquette, j'installe un guichet, et je vends les livres qui marchent. Comme au McDo, quoi». Pour Xavier de Marchis, c'est là «l'image de la librairie en Enfer». Celle d'un étalage où un seul livre supplante tous les autres.

Le gérant de Contretemps tient même à lancer un message aux autres libraires. «Notre métier, ce n'est pas ça. Je dis aux libraires, faites gaffe ! Ce n'est pas sain pour vous. Un jour on ne se retrouvera plus qu'à vivre avec les dix sorties médiatiques de l'année.» À l'occasion de cette rentrée littéraire qu'il juge «ignorée» par la sortie de Merci pour ce moment, l'intéressé rappelle qu'il a de quoi satisfaire ses clients. Aux «intrigues de palais déplorables de Valérie Trierweiler», il conseille plutôt la lecture de deux beaux romans: L'Île du Point Némo de Jean-Marie Blas de Roblès et Le Complexe d'Eden Bellwether de Benjamin Wood (Editions Zulma).

14:21 Publié dans Livres, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Scandale politico-judiciaire

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Les neuf hystériques du groupe féministes Femen qui avaient profané la cathédrale Notre-Dame de Paris le 12 février 2013 y pénétrant dépoitraillées en hurlant des slogans provocateurs et causant des dommages évalués à 7176 euros ont été relaxées ce matin par le tribunal correctionnel de Paris.

Les agents de sécurité qui s'étaient opposés à leur irruption et qui les avaient reconduites manu-militari sont eux condamnés à des peines d'amende avec sursis.

Verdict à comparer à la condamnation délirante d'Anne-Sophie Leclere (neuf mois de prison ferme) qui s'était contentée de caricaturer Christiane Taubira en guenon. On est bien forcé de constater que le culte de l'antiracisme a remplacé dans notre pays les cultes plus anciens.

10:41 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce mercredi soir, à 20 h, sur Radio Courtoisie, Georges Feltin-Tracol présente son nouveau livre "EN LIBERTE SURVEILLEE"

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Docteur Merlin chantera lors de la Journée familiale de Nieppe (59) samedi 27 septembre

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Le JT de TV Libertés de mardi soir...

03:42 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 09 septembre 2014

LE SOCIALISME, C’EST PARTOUT ET TOUJOURS UN NIVEAU DE VIE PLUS BAS !

Korbo mendicite rom.4.11.2013.jpgPieter Kerstens

Cette association de copains et de coquins qui accaparent depuis trop longtemps les rouages de notre société à leur profit exclusif. On ne compte plus les procès et les scandales qui, du nord au sud de l’Europe éclaboussent cette clique de maffieux. Ils sont une nouvelle « nomenklatura » qui défend ses privilèges, acquis au détriment du peuple qu’ils trahissent en permanence.

Mais lentement et sûrement, les yeux s’ouvrent et les réactions ne se font plus attendre, par des manifestations nombreuses et massives de « bonnets rouges » bretons, de petits commerçants et artisans étranglés par les charges et de citoyens anonymes qui ploient sous les taxes et les impôts toujours plus nombreux.

Même si la Droite n’est pas exempte de critiques, c’est quand même la Gôche, ce salmigondis de « bien-pensants », d’écolos, de chrétiens « humanistes » et de marxistes attardés, qui nous clamait qu’il était interdit d’interdire. Ce sont eux, ces soixante-huitards aidés de leurs complices libéro-capitalistes qui nous ont imposé leurs lois liberticides depuis 45 ans ! Ils sont au gouvernement, aux commandes de l’Etat-Providence et dirigent la Justice, l’Enseignement et dictent leurs quatre volontés aux médias.

Depuis des lustres, cette gauche pervertie nous inonde de sa propagande et nous impose une immigration de colonisation, au nom de la société multiculturelle qui nous coûte des milliards d’euros, en période de chômage de masse.

Ces socialauds écrasent les travailleurs pour rembourser les banques qui souscrivent aux emprunts d’état, afin de  multiplier les subventions aux immigrés nouveaux venus –version Léonarda – qui n’ont jamais payé la moindre cotisation sociale. C’est la Gôche de la préférence étrangère, celle qui vous classe comme « raciste » et « fasciste » quand vous protestez. Cette clique de carriéristes a multiplié sa clientèle pour laquelle elle a créé des millions de postes de fonctionnaires, parasites inutiles qui s’engraissent sur le dos des travailleurs asservis.

Cette politique de l’Etat-Providence va droit dans le mur, sans mesures structurelles à long terme, telles que le recul de l’âge de la retraite, la diminution d’une grande partie des élus régionaux, nationaux et européens qui ne servent à rien, la hausse de la productivité et de l’emploi, la suppression des privilèges dans l’administration, le retour à la semaine de 40 hres sans augmentation des salaires et la nécessaire convergence des régimes de retraites publics et privés pour instaurer entre eux une équité. L’avenir va nous imposer la cruelle réalité des chiffres et nous serons tous obligés à réduire notre niveau de vie, parce que les pourriticards ont refusé de tenir un langage de vérités.

L’Etat-Providence ne s’est pas adapté aux nouveaux risques sociaux : les moins de 30 ans sont plus souvent touchés par la pauvreté qui se répartit inégalement selon les Régions. Le marché du travail est grippé et le taux de chômage est là pour le prouver.

Selon certains économistes et chercheurs, « nos performances en matière de chômage n’ont rien de remarquables. On veut une réforme, on sait qu’elle est indispensable, mais on a la trouille. » Ils constatent que la concertation sociale est dans l’impasse et que l’Etat est aux abonnés absents.

 « Pourtant le modèle allemand nous montre que ce sont les partenaires sociaux qui sont les moteurs des avancées sociales. Cela devrait quand même interpeller les nôtres… »

A l’heure de la rigueur budgétaire, des hausses d’impôts et des taxes à répétition, les politiciens ne peuvent plus fermer les yeux. Ils doivent activement réprimer les fraudes fiscales et sociales qui, année après année, privent les caisses de l’Etat de dizaines de milliards de recettes.

15:47 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le JT de TV Libertés de lundi soir :

01:33 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dans Rivarol de cette semaine, un article sur le n°2 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à François Duprat et au nationalisme-révolutionnaire

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Le numéro 2 des Cahiers d’Histoire du Nationalisme est consacré à François Duprat et au nationalisme-révolutionnaire…

Samedi 18 mars 1978, dans la fraicheur matinale, sur une petite route près de Caudebec-en-Caux (Seine-Maritime), une terrible explosion secoue la quiétude de ce paisible bout de campagne normande. Un attentat à la voiture piégée vient de mettre fin à la vie de François Duprat et blesser très grièvement son épouse qui était à ses côtés. Trente six ans plus tard ce crime n’a toujours pas été élucidé.

Cet attentat n’était pas l’œuvre d’amateurs ou d’apprentis terroristes à la petite semaine. Il s’agissait d’un vrai travail de professionnels. Ceux qui en sont à l’origine devaient sans nul doute avoir de bonnes raisons pour agir ainsi… Certes, ce samedi 18 mars 1978 correspondait à la veille d’élections législatives qui risquaient de voir le pouvoir giscardien de l’époque renversé par une coalition socialo-communiste, mais est-ce suffisant pour établir une relation de causes à effets entre ces deux événements ? Rien ne le prouve. Mais alors, qui était donc François Duprat pour que des moyens aussi sophistiqués soient employés pour l’éliminer ?

Professeur d’Histoire, écrivain, auteur d’une quinzaine d’ouvrages qui font encore souvent aujourd’hui références, directeur de plusieurs publications nationalistes, collaborateur régulier à divers journaux dont Rivarol ou Défense de l’Occident, la revue de Maurice Bardèche, membre du Bureau politique d’un Front national qui était alors encore marginal, François Duprat était avant tout le théoricien français du nationalisme-révolutionnaire. Et c’est à cet aspect de Duprat que s’intéresse la seconde livraison des Cahiers d’Histoire du Nationalisme, la nouvelle revue lancée sous l’égide de Synthèse nationale au mois de mai dernier par Roland Hélie. 

Réalisé sous la direction d’Alain Renault, qui fut Secrétaire général du FN à la fin des années 70 et sans doute l’un des plus proches collaborateurs et amis de François Duprat, ce second Cahier, fort bien illustré et comprenant plusieurs textes inédits, privilégie avant tout ce qui peut être utile au militant d’aujourd’hui. Il se divise en trois parties.

La première est consacrée au nationalisme-révolutionnaire. François Duprat se rattachait au courant « néo-fasciste ». Mais il savait que ce terme, employable dans les discussions doctrinales internes, n’était pas très facile à utiliser pour la propagande externe. Il est en effet parfaitement inutile de perdre son temps à vouloir aller à contre courant en cherchant à imposer un terme qui fait peur. L’essentiel n’est pas « d’avoir raison » mais qu’on « nous donne raison ». Voilà pourquoi Duprat s’employa à substituer au terme « néofascisme » celui de « nationalisme-révolutionnaire ». Et pour être parfaitement cohérent, il adapta le nationalisme-révolutionnaire aux réalités politiques et géopolitiques de la seconde moitié du XXe siècle.

Nous en arrivons donc à la deuxième partie. Celle-ci aborde l’épineux problème du sionisme. Dès la Guerre des Six jours, en juin 1967, François Duprat, n’hésite pas aller à l’encontre d’une grande partie de sa famille politique. Alors que toute la Droite nationale, de Tixier-Vignancour à François Brigneau, prend fait et cause pour Israël, Duprat condamne ouvertement ce qu’il appelle « l’agression sioniste ». Cette prise de position, audacieuse à l’époque, est partagée par Pierre Sidos et Maurice Badèche. Bien sûr aujourd’hui les choses ont bien évoluées. Il est intéressant de lire, ou relire, les textes publiés alors par Duprat tant ceux-ci demeurent d’actualités en cette nouvelle période de troubles au Proche-Orient. Dans ce domaine aussi Duprat était un précurseur.

Enfin la troisième partie, le plus longue, est consacrée au Parti révolutionnaire. Outil indispensable de la victoire, François Duprat concevait le parti révolutionnaire comme le noyau dur du mouvement de masse. Un peu comme l’était Ordre nouveau au moment de la création du Front national au début des années 70.

Les textes de cette troisième partie dévoilent aussi la stratégie de Duprat : développer un thème de campagne fort (ce sera la lutte contre l’immigration) et choisir une zone géographique sur laquelle, tant que le parti reste faible, les efforts d’implantation seront concentrés (ce sera la Normandie, sa région d’adoption). Certes, à l’époque où ces textes ont été écrits, la perspective d’un mouvement national ralliant les masses populaires semblait bien téméraire. Mais en politique il ne faut jamais se décourager et la suite des événements va très vite lui donner raison. Quelques années plus tard, ce sera « le coup de tonnerre de Dreux » et le début de la percée fulgurante du FN.

Hélas, tout cela Duprat ne le verra pas. Sa fin tragique et prématurée l’empêchera d’assister à la réalisation de ce qu’il avait élaboré. Mais ce qui fut la genèse du Front national ne doit pas tomber dans l’oublie ou, pire encore, l’indifférence. Les Cahiers d’Histoire du Nationalisme, fidèle à leur vocation, nous font revivre cette période controversée. Ils rendent ainsi hommage au théoricien et au stratège que fut François Duprat.

Guirec Sèvres

François Duprat et le nationalisme-révolutionnaire, Cahiers d’Histoire du nationalisme n°2, 206 pages 20,00 € (+ 3,00 € de port) à commander à Synthèse nationale, 116, rue de Charenton 75012 Paris (chèque à l’ordre de Synthèse nationale). Le premier numéro, consacré à Léon Degrelle, est toujours disponible aux mêmes conditions.

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Le retour du Journal du Chaos :

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Pour télécharger, cliquez ICI

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Pas de livraison de Mistral à la Russie : le mur de la stupidité est enfoncé

Mouvement_national_républicain.pngUn communiqué du MNR :

Le 3 septembre dernier, l'Elysée a décidé de suspendre la livraison à la Russie du premier Mistral, « Vladistok », un bâtiment de projection et de commandement (BPC), estimant que les conditions pour un accord n'étaient « pas à ce jour réunies ».

L'annonce a été « saluée par les partenaires européens et les États-Unis » (Le Monde). Le Monde indique qu' « Une annulation menacerait 1 000 emplois et coûterait près de 2 milliards d'euros ». et que « Le contrat russe a été une véritable bouffée d'oxygène à Saint-Nazaire, garantissant 1 000 emplois pendant quatre ans. »  Le contrat prévoit  la poursuite de la construction d'un deuxième Mistral pour les Russes.

Au moment où, comme chacun sait, la situation économique et sociale de la France est très dégradée, on se demande comment nos gouvernants ont pu prendre une telle décision, qui risque de plus de nous décrédibiliser pour l'avenir auprès de nos autres clients éventuels.

Avec tous les patriotes, protestons de toutes nos forces contre une décision contraire à l'intérêt national, et dictée par l'étranger

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