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samedi, 18 octobre 2014

Les nouvelles publications de Synthèse nationale :

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Le nouveau numéro (n°61) de Terre et peuple magazine est paru :

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Singulier Maulnier !

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Bastien Valogne

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Notre rédacteur en chef adulé, Georges Feltin-Tracol, est décidément très prolifique ces derniers temps. Plus de trois semaines après la sortie aux éditions Les Bouquins de Synthèse nationale, d’un essai très remarqué, En liberté surveillée, le voici qui récidive en publiant aux éditions Auda Isarn Thierry Maulnier. Un itinéraire singulier.

Dense et concis, cet ouvrage évite le superflu. Il raconte le parcours de l’académicien, dramaturge, journaliste, moraliste et homme d’idées Thierry Maulnier. La concision est voulue. Il importe de donner à découvrir au jeune public, victime des programmes de « délecture » de la « rééducation non-nationale », de grandes figures intellectuelles. Il On compte même un cahier photographique.

Depuis sa disparition en 1988, Thierry Maulnier se trouve au purgatoire des idées. Guère réédités, ses ouvrages sont maintenant difficiles à dénicher hors des bouquinistes. Grand connaisseur de l’histoire des idées politiques contemporaines, Georges Feltin-Tracol n’évoque que brièvement l’œuvre théâtrale de ce membre de l’Académie française élu en 1964. Le préfacier Philippe d’Hugues le regrette. Le livre aborde surtout des thèmes occultés ou ignorés par le journaliste Étienne de Montety, dont le premier titre fut en 1994 un Thierry Maulnier récemment réédité.

Né en 1909, Thierry Maulnier est le pseudonyme de Jacques Talagrand. Issu d’une famille de professeurs, piliers de la IIIe République, il reçoit paradoxalement une instruction d’autodidacte de la part d’un père méfiant envers le système scolaire. Le jeune Jacques ne découvre donc le lycée qu’à seize ans à Nice. Il y fait preuve d’une incroyable nonchalance, qui frôle la plus grande paresse, et d’une érudition stupéfiante. Séjournant très vite chez ses grands-parents maternels en région parisienne, le lycéen à la haute taille acquiert une réputation assumée de dilettante. Bachelier, il se plie néanmoins à l’injonction conjointe de ses parents divorcés et s’inscrit en classe préparatoire : il doit intégrer l’École nationale supérieure et décrocher une agrégation, passage obligé pour une carrière d’enseignant prometteuse.

Là, il y côtoie des condisciples appelés Maurice Bardèche ou Robert Brasillach, et s’y fait des amitiés durables. Espiègle et facétieux, le futur Maulnier s’enthousiasme pour le théâtre, la vie nocturne parisienne et la bibliothèque de la rue d’Ulm. Lecteur de la presse militante royaliste, il se lie à l’Action française et s’approche de Charles Maurras. Il commence bientôt à rédiger dans cette presse. Afin d’éviter les foudres administratives et parentales, Jacques Talagrand collabore à des périodiques engagés et adopte un pseudonyme.

Lecteur avide et grand adepte de l’effort physique sportif, Thierry Maulnier apparaît dans les années 1930 comme l’un des principaux meneurs de la Jeune Droite, cette tendance post-maurrassienne des non-conformistes de la décennie 30. Sans jamais rompre avec Maurras, Maulnier s’en émancipe et développe ses propres réflexions politiques et intellectuelles, quitte à encourir parfois les vives critiques du « Vieux Maître ». Il s’implique dans des revues plus ou moins éphémères (Rempart, La Revue du XXe siècle, Combat, L’Insurgé). Cet activisme éditorial, amplifié par la parution d’ouvrages majeurs tels que La Crise est dans l’homme (1932),  Mythes socialistes (1936) ou Au-delà du nationalisme (1937), se complète par un engagement furtif dans l’Action française et dans quelques ligues. Parallèlement, il collabore au Courrier royal du comte de Paris et commence une œuvre philosophique, littéraire et poétique avec Nietzsche (1933) et Racine (1935).

Thierry Maulnier. Un itinéraire singulier s’attarde sur sa vie privée. Avant d’épouser l’actrice Marcelle Tassencourt en 1944, il éprouve dans la seconde moitié des années 30 une puissante passion avec Dominique Aury alias Anne Desclos, future Pauline Réage de la fameuse Histoire d’O (1954). Jacques Talagrand paraît tirailler entre ces deux femmes quand bien sûr leurs liaisons sont consécutives. Dominique Aury et Marcelle Tassencourt forment une polarité féminine stimulante pour Thierry Maulnier. En effet, Dominique Aury attise les feux de la radicalité : tous deux se passionnent pour la poésie, la polémique et le roman. Vers 1939, Thierry Maulnier commence un roman qui restera inachevé. Marcelle Tassencourt recherche pour son futur époux la renommée : ils aiment le théâtre, en dirigent un à Versailles et s’éloignent des controverses. Même après sa rupture avec Dominique Aury, Thierry Maulnier balancera toujours entre le repli théâtral et l’investissement politique.

Ses tergiversations sont paroxystiques au cours de la Seconde Guerre mondiale. Réfugié dès 1940 à Lyon, Thierry Maulnier écrit dans L’Action française et, sous la signature de Jacques Darcy pour Le Figaro, des contributions militaires attentivement lues par les occupants, Londres, les résistants et les responsables de Vichy. S’il approuve l’orientation générale de la Révolution nationale, il conserve néanmoins des contacts avec certains résistants et se ménage plusieurs sorties. Cet attentisme ainsi que ce double (voire triple ou quadruple) jeu sont dénoncés par ses anciens amis de Je suis partout. Cette réserve lui permet à la Libération d’échapper aux affres de l’Épuration ! Mieux, de nouveau dans Le Figaro refondé, il prend la défense publique des « réprouvés » parmi lesquels Maurice Bardèche et Lucien Rebatet.

Certes, l’après-guerre le détache de l’action (méta)politique. Il se lance dans la mise en scène de pièces classiques ou de ses propres pièces. Thierry Maulnier tient l’éditorial au Figaro, accepte de nombreuses préfaces et peut s’engager plus politiquement.

Georges Feltin-Tracol s’appesantit sur la participation de Thierry Maulnier à l’Institut d’études occidentales cofondée avec Dominique Venner au lendemain de Mai 1968. Si l’I.E.O. s’arrête trois ans plus tard avec de maigres résultats, il ne s’en formalise pas et soutient bientôt bientôt la « Nouvelle Droite ». Il assistera au XIIe colloque du G.R.E.C.E. en 1977 et acceptera de siéger dans le comité de patronage de Nouvelle École. Conservateur euro-occidental favorable à l’Europe libre et fédérale, il fustige le communisme, le gauchisme culturel et la menace soviétique sans se faire d’illusions sur la protection américaine, ni sur une véritable révolution des rapports sociaux au sein des entreprises en promouvant une véritable cogestion des travailleurs dans leurs entreprises.

Le soir de sa vie le fait moraliste avec sa tétralogie, Les Vaches sacrées. Dommage que l’auteur ne s’y arrête pas assez ! Mais c’est peut-être une partie remise grâce à un travail à venir d’une biographie intellectuelle complète. Beaucoup de ses détracteurs se sont gaussés d’un trajet qui, commencé aux confins du maurrassisme et du non-conformisme, s’acheva au Figaro et à l’Académie française. Et pourtant, on se surprend d’y relever plus de cohérence dans cette vie qu’on ne le croît. Georges Feltin-Tracol le démontre avec brio !

Bastien Valorgues

• Georges Feltin-Tracol, Thierry Maulnier. Un itinéraire singulier, préface de Philippe d’Hugues, Auda Isarn, 112 p., 18 €, à commander à Auda Isarn, B.P. 90825, 31008 Toulouse C.E.D.E.X. 6, chèque à l’ordre de Auda Isarn, port gratuit !

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Le JT de TV Libertés de vendredi soir :

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Conférence sur la Casapound à Paris le jeudi 23 octobre :

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vendredi, 17 octobre 2014

RAPPEL : Aramis dédicacera son nouvel album vendredi à la soirée de Livr'arbitres...

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Aramis dédicacera son nouveau recueil cliquez ici politiquement très incorrect à la soirée Livr’Arbitres cliquez ici, vendredi 17 octobre, à partir de 20 h 00 au restaurant Ratatouille, situé au 168 rue Montmartre, Paris 2e.

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Lire, ou relire, François Duprat... Trois livres présentés ou écrits avec Alain Renault

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Le prétendu "impérialisme américain" n'est en réalité que l'expression d'un impérialisme plus général, les Etats-Unis étant colonisés de l'intérieur par des lobbies  contre lesquels ici comme partout des groupes ont tenté de mener la lutte de libération nationale et sociale.

Cette étude porte sur l'actions e ces mouvements  entre le début du XXe siècle et l'entrée des Etats-Unis dans la deuxième guerre mondiale : les précurseurs, la campagne antisémite de Ford, les "démagogues", produits de la crise de 1929, les mouvements purement fascistes de Shirts, le "Bund Germano-Américain" et diverses organisations du même type, la lutte contre la guerre et la répression des "menées fascistes".

Les fascismes américains, François Duprat et Alain Renault, Déterna, 320 pages, 31 € (+3 € de port)

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Fondé en novembre 1969, il constitue pendant son existence, la principale formation nationaliste de la période.

Lors de son 2e congrès des 10 et 11 juin 1972 et dans la perspective des élections législatives, il adopte une stratégie qui donne naissance au Front National dont Jean-Marie Le Pen deviendra le président.

Son histoire revêt donc une importance plus grande  que les affrontements avec les gauchistes qui ont assuré sa renommée médiatique. Le mouvement Ordre Nouveau est dissous, en même temps que la Ligue Communiste, par décret du Conseil des ministres du 28 juin 1973.

Son histoire, ses idées, son programme ont fait l'objet des deux ouvrages publiés successivement par le Mouvement en juin 1972 et en juin 1973 dont l'intérêt suscite cette réédition.

Ordre nouveau, présenté par Alain Renault, Editions Déterna, 446 pages, 35 € (+ 3 € de port)

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Le livre de François Duprat Histoire des Fascismes, initialement publié dans les années 70 et réédité au printemps dernier par Deterna, est désormais diffusé par Les Bouquins de Synthèse nationale. Ce livre est préfacé par Alain Renault. Vous pouvez vous le procurer en cliquant ici ou en nous retournant le bulletin de commande suivant cliquez là.

Histoire des Fascismes, François Duprat, Editions Déterna, 310 pages, 29 € (+ 3 € de port).

Passez vos commandes à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance uniquement) accompagnées d'un chèque à l'ordre de Synthèse nationale ou en ligne cliquez ici

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Gabriele Adinolfi à Bruxelles le 4 octobre dernier

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Samedi midi : Georges Feltin-Tracol invité par Pascal Lassale sur Radio Courtoisie

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Radio Courtoisie cliquez ici

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jeudi, 16 octobre 2014

8e Journée de Synthèse nationale, dimanche 12 octobre 2014 : l'intervention de David Charpen, Président de Résistance à l'immigration...

19:55 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3158 du 9 octobre 2014

 

L’EXCELLENT José Meidinger, un Alsacien comme on les aime, ancien grand reporter à France 3, a commis un article légèrement provocateur sur le site Boulevard Voltaire. Ce membre de l’honorable Confrérie des fumeurs de pipe dénonce les nouvelles mesures anti-tabac prises par un gouvernement qui n’a pas plus urgent à faire, et la prohibition totale qui sera, à n’en pas douter, la prochaine étape. Déjà on a enlevé la cigarette à Lucky Luke, la clope au timbre représentant Malraux et la pipe à Jacques Tati… Il rappelle que la première mise à l’index remonte à l’Inquisition mais qu’elle fut réactivée au XXe siècle avec l’arrivée au pouvoir des nationaux-socialistes qui initièrent (peu de gens le savent) la première grande c a m p a g n e anti-tabac de l ’ H i s t o i r e. « Notre Führer Adolf Hitler ne boit ni ne fume. Sans la moindre autre inclination dans ce sens, il se tient dur comme fer dans cette règle de vie autodécidée. Sa puissance de travail est incroyable », pouvait-on lire sur les affiches de l’époque.

 

“NOTRE FÜHRER ADOLF HITLER NE BOIT PAS NI NE FUME !”

 

Le parti national-socialiste imposa l’interdiction de fumer dans de nombreux espaces publics, notamment les bureaux du parti et les salles d’attente. La propagande hygiéniste du IIIe Reich insista également sur le rôle néfaste que pouvait avoir la nicotine sur la race aryenne, le génome allemand : « Die deutsche Frau raucht nicht ! » (« La femme allemande ne fume pas ! »), relevant que Roosevelt, Churchill et De Gaulle fumaient, eux, alors que ni Hitler, ni Mussolini, ni Franco ne s’adonnaient à ce vice abominable. José Meidinger raconte cette anecdote : une dame, dans une file d’attente au marché, lui fait remarquer que les volutes de sa bouffarde la dérangent. Il réplique excellemment : « Madame, l’odeur de votre parfum me dérange », et il conclut par ces propos : « Et si l’on interdisait, demain, les parfums dans les ascenseurs ou les lieux publics ? S’il était de mode de dire qu’ils nous dérangent ? Ou bien, pourquoi ne pas mettre en prison ceux qui ne se lavent pas si l’odeur de leur sueur nous dérange ? Et si les laids nous dérangeaient ? » Bon, pour ma part, je ne prends pas parti. Je fais une pause pour réfléchir sérieusement au sujet, en allumant une cigarette et en buvant un whisky, douze ans d’âge, of course

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LE SÉNAT, MACHIN COMPLÈTEMENT INUTILE

 

Florilège de mots doux qu’ont exprimés diverses personnalités politiques au sujet du Sénat : Charles De Gaulle : « S’il y a eu une erreur dans la Constitution de 1958, c’est bien celle-là (avoir maintenu le Sénat) » ; Ségolène Royal : « Il faudrait supprimer le Sénat. C’est un anachronisme démocratique insupportable. C’est vrai que dans notre République, le Sénat fait un peu figure de cimetière des éléphants » ; Daniel Cohn-Bendit, ancien député européen EELV évoque « cette chambre [qui] ne sert pas à grand-chose (et qui est devenue) un club de has been ». Arnaud Montebourg : « Le Sénat est la plaie du régime » ; Jack Lang déclarait en 2004: « Ma conviction, est que le système né en 1958 est en fin de course, avec un Parlement croupion et un Sénat qui est une pièce d’archéologie. » ; Noël Mamère, député Vert : « Le Sénat n’est qu’une maison de retraite pour privilégiés de la politique ». Et enfin, pour la bonne bouche, ce propos d’Edouard Herriot, ancien chef du gouvernement, sénateur radical de 1912 à 1919 : « Le Sénat est une Assemblée de notables réactionnaires dont les méfaits sont heureusement compensés par une forte mortalité. »

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LE VATICAN OFFRE 100 000 EUROS POUR AUSCHWITZ

 

Le Vatican a offert 100 000 euros à un fonds international destiné à financer la sauvegarde du site de l’ancien camp de concentration d’Auschwitz-Birkenau (sud de la Pologne) a annoncé la direction du musée. « Compte tenu de nos possibilités limitées, cette somme n’est pas très importante (flagellation dans le registre “nous sommes de misérables vermisseaux”, pardon d’être si pingres…). Néanmoins, c’est l’expression d’un soutien entier au projet de la Fondation Auschwitz-Birkenau (on est soulagés) » qui gère le fonds, a indiqué le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’Etat du Saint-Siège, cité dans le communiqué du musée. On voit une nouvelle fois à quel point les occupants du Vatican sont soumis au judaïsme international et à la contre-religion de l’“Holocauste”.

 

QUAND DES JUIFS ORTHODOXES PRENNENT L’AVION...

 

Des passagers juifs ultra-orthodoxes d’un vol New York-Tel-Aviv refusant de prendre place à côté de femmes ont transformé le voyage en cauchemar pour le reste des passagers, a rapporté, il y a dix jours, la presse israélienne. Les passagers du vol de la compagnie israélienne El Al en provenance de New York, qui se rendaient en Israël pour passer le Nouvel An juif ont atterri mercredi à l’aéroport Ben Gourion après « onze heures de cauchemar », a témoigné l’une des passagères citées par le site internet d’information israélien Ynet. Avant le décollage, voyant qu’ils devaient s’asseoir à côté de femmes, plusieurs passagers ultra-orthodoxes ont demandé à leurs voisines de changer de place, allant même jusqu’à proposer de l’argent à celles qui étaient réfractaires à l’idée. Sans arrangement possible, ces hommes strictement religieux ont donc refusé de s’asseoir et sont restés debout dans l’allée centrale, causant un important retard, puisque le commandant de bord a refusé de décoller tant que les passagers n’étaient pas assis, rapporte Ynet. Mais ce n’est pas fini. Finalement, les passagers ultra-orthodoxes ont accepté de s’asseoir à côté de femmes le temps du décollage, bondissant ensuite comme des cabris de leurs sièges pour prendre place dans l’allée centrale toute la durée du vol, prier à voix haute et empêchant de facto quiconque de passer. Du coup les passagers ont été dans l’obligation de faire leurs besoins sous eux…

 

TOUT UN SYMBOLE : LE DOBERMAN NAZI DE JEAN-MARIE TUE LA CHATTE DE MARINE !

 

On sait que les animaux, qui ont une vive sensibilité, traduisent souvent les pensées et les arrière-pensées de leurs maîtres. On n’ignorait évidemment rien des tensions très fortes entre Marine Le Pen et son père. Toujours est-il que leurs animaux préférés sont entrés dans la danse. Le doberman de Jean-Marie Le Pen a proprement dévoré la chatte bengalaise de Marine, incident qui, selon le site de L’Express, a “affecté” la présidente, qui du coup, a décidé de quitter son domicile de Montretout où continuent de vivre les chiens dévoreurs de Jean-Marie. Mais pas de panique, Marine n’est pas à la rue. En plus de la superbe et immense villa avec piscine qu’elle possède avec son concubin Louis Aliot dans la région de Perpignan, elle vient d’acheter une magnifique propriété avec parc à La Celle-Saint-Cloud (Yvelines) où elle pourra organiser des réceptions grandioses derrière de vastes murs clos et où ses chattes ne seront plus menacées d’être occises par les dobermans nazis de Jean-Marie Le Pen… Et comme la nature a horreur du vide, c’est Marion Maréchal-Le Pen qui s’installe à sa place à Montretout avec son compagnon Matthieu Decosse, un chef d’entreprise œuvrant dans l’événementiel qu’elle a épousé civilement le 29 juillet. Le couple a eu une petite fille, Olympe, le 3 septembre. La famille Le Pen, c’est à la fois Dallas et Dynastie ! Son univers est impitoyable ! Reconnaissons-le, si on avait voulu inventer l’histoire du doberman nazi lepéniste égorgeant la chatte mariniste, on n’aurait pas pu faute d’imagination ! Chez les Le Pen, la réalité dépasse la fiction. Mon Dieu, qu’ils sont drôles !

 

OÙ EST LE PERMIS DE CONDUIRE DE MARINE LE PEN ?

 

Eh bien, Marine Le Pen n’a plus de permis de conduire. Selon le Canard enchaîné paru le 1er octobre, la présidente du Front national aurait perdu son permis de conduire suite à de nombreuses contraventions pour excès de vitesse et feux rouges grillés. Mais à force de multiplier les infractions, il n’y a plus de points sur le papier rose. Ainsi, selon l’hebdomadaire satirique, elle aurait perdu le précieux sésame en 2012, après un ultime feu rouge grillé. Oui mais, elle n’entendait pas se laisser faire. Du coup, elle a mandaté un cabinet d’avocats parisiens Dufour & associés, spécialisé dans le droit automobile et le contentieux du permis à points, afin d’engager des procédures contre l’Etat. Mais, zut, elle aurait “oublié”, tel un vulgaire Thévenoud, de régler les frais d’honoraires de 3 000 euros, au prétexte que celui qui s’occupait du dossier avait quitté le cabinet. Du coup, toujours selon Le Canard, elle considérait ne pas être tenue de s’acquitter des honoraires. Du coup le bâtonnier s’est légèrement énervé et a exigé que la présidente du Front national paie ses arriérés. Sans commentaire...

 

JEAN-MARIE LE PEN ÉCARTÉ DES INSTANCES DU FRONT NATIONAL ?

 

D’après le Canard enchaîné, Marine Le Pen envisagerait d’écarter son père des instances du parti. Le poste de président d’honneur du FN serait supprimé, au prétexte qu’il n’existait pas avant 2011. On imagine, dans cette hypothèse, la rage du Menhir qui n’a nulle envie de faire partie de la fournée des indésirables dans un parti qu’il a porté il y a 42 ans sur les fonts baptismaux et qu’il a dirigé d’une main de fer pendant près de quatre décennies. Mais, on le sait, les enfants gâtés sont ingrats...

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.

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8e Journée de Synthèse nationale, dimanche 12 octobre 2014 : l'intervention d'Arnaud Raffard de Brienne sur le Traité transatlantique...

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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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3,50 €, chez votre marchand du journaux

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mercredi, 15 octobre 2014

Le JT de TV Libertés de mercredi soir...

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Rencontre à la 8e Journée de Synthèse nationale

En attendant les discours...

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La pièce de BHL, "Hôtel Europe", s'arrête prématurément, faute de spectateurs

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Source France TV infos cliquez là

La pièce, jouée depuis le 11 septembre, s’arrêtera le 16 novembre au lieu du 3 janvier, indique le théâtre de l'Atelier aux "Inrocks".

Les venues de François Hollande, Manuel Valls ou encore Nicolas Sarkozy n'ont pas convaincu le public. Hôtel Europe, la nouvelle pièce de théâtre de Bernard-Henri Lévy, va s'arrêter avant la date prévue, affirme le magazine Les Inrocks, mardi 14 octobre. Jouée au théâtre de l'Atelier depuis le 11 septembre, elle prendra fin le 16 novembre au lieu du 3 janvier, indique le théâtre parisien à l'hebdomadaire. "Le moins que l'on puisse dire, c'est que c'est très calme au niveau des réservations", commente le lieu, dont la capacité affiche 563 places.

Une pièce "sans relief", pour Culturebox

Culturebox avait décrit une pièce "sans relief", évoqué "deux heures à tourner en rond au milieu des obsessions de BHL", et souligné des approximations. De son côté, Le Monde (article payant) avait critiqué "one-man-Bosnie-show signé BHL", révélant "des considérations certes humanistes, mais d'une banalité confondante sur le destin de l'Europe".

Le comédien Jacques Weber avait confié au Figaro avoir perdu 30 kilos pour interpréter le rôle principal. Un régime draconien qui, finalement, n'a pas servi à grand chose.

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Le JT de TV Libertés de mardi soir...

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mardi, 14 octobre 2014

La 8e Journée de Synthèse nationale : un succès !

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David Charpen, Président de Résistance à l'immigration, au cours de son intervention

C’est près de 800 personnes qui, au cours de la journée de dimanche, sont venues assister à la réunion annuelle de Synthèse nationale qui se tenait à Rungis (94).

Dès 11 h 00, à l’ouverture des portes, nous savions que cette 8e édition des journées nationalistes et identitaires serait un succès. Une fois le guichet passé, les nombreux amis qui étaient venus parfois de très loin purent visiter les stands qui avaient été dressé dans un large couloir et dans un grand hall réservé à cet effet. Le premier d’entre ces stands était bien sûr celui de Synthèse nationale, situé juste après l’accueil, où étaient présentés les livres que nous éditons ainsi que notre nouvelle revue, née au mois d’avril dernier, Les Cahiers d’Histoire du nationalisme. De nombreux abonnements à celle-ci furent enregistrés ce dimanche. Autre attraction sur le stand, la présence du célèbre dessinateur de presse Aramis qui vient de réaliser un recueil de ses meilleurs dessins publiés ces dernières années intitulé « ça calme ! ». Cet album de 310 pages, édité par Les Bouquins de Synthèse nationale, est tout simplement hilarant. Aramis passa sa journée, ou presque, à le dédicacer. Il en fut de même pour Georges Feltin-Tracol avec son dernier livre-choc En liberté surveillée

Après l’étape incontournable au stand de Synthèse nationale, les visiteurs, de plus en plus nombreux au fur et à mesure que la matinée s’achevait, pouvaient rencontrer sur le stand du quotidien Présent, dont la nouvelle formule n’a échappé à personne, Francis Bergeron, Catherine Robinson, Thierry Bouzard ou Philippe Randa. Ils purent aussi visiter, dans le grand hall, celui de Rivarol où se trouvaient nos amis Jérôme Bourbon, Scipion de Salm et Robert Spieler. Il y avait là aussi le dernier numéro des Ecrits de Paris et des livres de collaborateurs de l’hebdomadaire de l’opposition nationale et européenne. A côté de Rivarol, la revue et l’association Terre et peuple dont les militants nous furent d’une aide précieuse pour la préparation de la réunion.

Côté mouvements, le stand du Parti de la France attira de nombreux sympathisants. Il jouxtait celui de Northmen impakt, le talentueux groupe musical qui devait se produire, juste après Docteur Merlin, à la fin de notre réunion. Il y avait aussi celui du Réseau identités et de la Ligue francilienne d’Hugues Bouchu qui diffusait le dernier livre de Richard Roudier sur le redécoupage fantaisiste de la France que veulent nous imposer Valls et Hollande. Le Cercle Franco-hispanique, fidèle de nos journées, l’association Fier de l’être avec ses fameuses cartes postales non-conformistes, étaient aussi présents ainsi que bien d’autres...

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Le Cercle Franco-hispanique reçoit ses amis

Côté stands commerciaux, le plus grand était celui de Tribann, le magasin lillois de vêtements qui rencontra un certain succès. Il y avait aussi le sympathique serrurier Pierre Chabot, bien connu des nationaux parisiens, les vins et alcools des terroirs de France et d’ailleurs qui firent un tabac. Il en allait de même pour les éditeurs comme La Diffusion du Lore, Déterna ou les Editions Damase qui présentaient leurs derniers livres parus. Partout régnait la bonne humeur et les exposants tout comme les visiteurs ne regrettaient visiblement pas d’être venus.

De nombreux écrivains et collaborateurs de notre revue, tels Jean-Claude Rolinat, Nicolas Tandler, Patrick Gofman, Philippe Randa, Pieter Kerstens dédicaçaient leurs ouvrages sur les stands.

A 11 h 30, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, prononça un discours d’ouverture dans la salle de réunion (400 places) qui était déjà presque pleine. Il annonça que cette 8e journée était dédiée à Olivier Grimaldi, fondateur du Cercle Franco-hispanique et ami de notre revue, qui nous a quitté au début du mois de mars à la suite d’une longue maladie.

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Dès la première table-ronde, la salle est pleine

Débuta ensuite la table-ronde animée par Robert Spieler. Georges Feltin-Tracol, qui vient de publier un remarquable livre-choc, En liberté surveillée, développa le thème de la journée, « Nations, civilisations… des mots qui pour nous veulent encore dire quelque chose ! ». Son exposé sera prochainement en ligne sur ce site. Puis Arnaud Raffard de Brienne attaqua le nationicide Traité transatlantique. Il rappela que Synthèse nationale fut la première, à droite, à dénoncer ce traité. Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, évoqua pour sa part l’engagement politique et David Charpen, Président de Résistance à l’immigration, l’engagement associatif. Enfin Richard Roudier, Président du Réseau identités développa les propositions identitaires sur le redécoupage de la France.

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L'espace restauration qui ne désemplie pas

A partir de midi, jusqu’au milieu de l’après-midi, l’espace restauration ne désemplie pas un instant.

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Luc Pécharman, Jérôme Bourbon, Serge Ayoub, Roland Hélie, Francis Bergeron, Pierre Vial

A 15 h 30 débuta le meeting très attendu. Luc Pécharman ouvrit la séance avec une brillante intervention sur la « novlangue », fléau des identités. Puis ce fut le tour de Francis Bergeron qui profita de son intervention pour présenter le nouveau Présent. Jérôme Bourbon qui lui succéda fit, avec le talent que nous lui connaissons, une analyse de la situation politique du moment et rappela que Rivarol était à nouveau victime de la répression du Système. Ce fut le tour de Serge Ayoub. Le porte-parole du Courant solidariste français fit un exposé sur la notion du temps. Le temps qu’il a fallu pour créer une nation comme la France ou une civilisation comme la civilisation européenne. Ce qui ne se fait pas avec le temps ne résiste pas à l’épreuve du temps. Pierre Vial pour sa part nous fit, comme d’habitude, un remarquable exposé sur nos identités menacées. Ce fut un délice de l’écouter.

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Roland Hélie lors de la séance d'ouverture

Enfin Roland Hélie conclu le meeting en appelant les participants à continuer et amplifier le combat nationaliste et identitaire : « Nous ne pouvons pas nous résigner à voir notre nation et notre civilisation disparaître. Le combat que nous menons ne s’arrête pas aux échéances électorales, c’est un combat qui doit nous mener à la victoire. Le XXIe siècle sera celui du réveil des peuples et des nations ! »…

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Nothmen impakt, un groupe comme on les aime

La partie politique de la journée étant terminée, ce fut la partie festive qui commença. Docteur Merlin et Northmen Impakt se chargèrent parfaitement de faire passer en chanson les messages qui sont les nôtres. Le concert fut un véritable succès. Terminer une Journée de Synthèse nationale par un concert était une première. Gageons que cela devienne une tradition…

A 18 h 30, comme prévu, les portes se refermèrent et chacun rentra chez soit avec la ferme volonté de se battre pour que vive la France française et que vive l’Europe européenne !

Tout au long de la semaine nous reviendrons sur cette journée de SN avec des films et des documents.

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Samedi 18 octobre, Le Crabe Tambour aura 1 an !

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lundi, 13 octobre 2014

PRES DE 800 PERSONNES A LA 8e JOURNEE DE SYNTHESE NATIONALE

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Dimanche à 11 h 30, séance d'ouverture de la 8e Journée de Synthèse nationale par Roland Hélie

La 8e Journée nationale et identitaire organisée dimanche 12 octobre à Rungis dans le Val de Marne a remporté un énorme succès puisque qu'elle a rassemblé près de 800 participants.

Nous reviendrons tout au long de la semaine sur cette belle réunion des forces nationalistes.

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Un public nombreux, dès la première table-ronde la salle de conférence était pleine...

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dimanche, 12 octobre 2014

Un entretien avec Roland Hélie dans le quotidien Présent :

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Présent de mercredi 8 octobre 2014

Dimanche 12 octobre vous organisez la 8e journée nationaliste et identitaire de Synthèse nationale (*), quel en sera le thème ?

 « Nations, civilisations, des mots qui pour nous veulent encore dire quelque chose… ». Cela va sans dire, mais ça va mieux en le disant… En effet, au moment où toute la classe politique semble avoir définitivement tiré un trait sur l’existence même de la nation française et au moment où la haute finance mondialiste s’évertue à diluer toutes les formes d’identités afin d’imposer sa conception homogénéisée de la planète, il nous a semblé utile de rappeler que, pour nous nationalistes et identitaires, les mots « nations » et « civilisations » ont encore un sens. C’est donc le thème de cette 8e Journée de Synthèse nationale.

Comment se déroulera cette manifestation ?

Depuis leur lancement en 2007, les journées de Synthèse nationale sont devenues le grand rendez-vous d’automne de la Droite nationaliste. Chaque année entre 500 et 1 000 personnes y ont assisté. Leur succès correspond à une nécessité de réunir, au-delà des appareils et des chapelles, les militants et les sympathisants de la cause nationale.

Cette 8e édition comprendra une partie politique et une partie festive. Il y aura donc, de 11 h 30 à 13 h 00, une table ronde au cours de laquelle s’exprimeront des personnalités de notre famille d’idées comme Arnaud Raffard de Brienne qui nous parlera du dangereux Traité transatlantique, Georges Feltin-Tracol qui vient de publier un livre choc, En liberté surveillée, qui est un véritable réquisitoire contre le Système liberticide dans lequel nous vivons, Thomas Joly, le Secrétaire général du Parti de la France, qui nous parlera de l’engagement nationaliste, Kevin Reche, le courageux animateur du Collectif Sauvons Calais, Richard Roudier, Président du Réseau Identités, abordera pour sa part le délicat problème de la division territoriale, Robert Spieler, ancien député et bien d’autres.

L’après-midi, de 15 h 00 à 17 h 00, ce sera le « meeting » avec Serge Ayoub, le porte-parole du courant solidariste français, Pierre Vial, Président de Terre et peuple,  Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, Francis Bergeron que l’on ne présente plus aux lecteurs de Présent, Luc Pécharman, délégué lillois de Synthèse nationale, et moi-même. Voilà pour la partie « politique ».

Et la partie festive ?

Toute la journée il y aura de nombreux stands d’associations, de mouvements, de journaux comme celui de Présent, d’éditeurs et d’artisans… Il y aura aussi une grande librairie et des écrivains qui dédicaceront leurs livres. Vous pourrez ainsi retrouver entre autres Jean-Claude Rolinat, Nicolas Tandler, Philippe Randa qui tiennent des chroniques régulières et pertinentes dans vos colonnes. Ce sera aussi à l’occasion de cette réunion qu’Aramis, qui fut pendant des années l’illustrateur attitré de Présent, présentera son nouveau recueil décapant de dessins de presse intitulé ça calme. A partir de midi un restaurant, de qualité et abordable, sera ouvert ainsi qu’un bar.

Et en plus il y aura des groupes musicaux et en particulier le Docteur Merlin.  Dites-nous en quelques mots…

Effectivement, à partir de 17 h 00 et jusqu’à 18 h 30, un concert au cours duquel se produiront le talentueux Docteur Merlin et le groupe prometteur Northmen Impakt viendra conclure cette 8e Journée de Synthèse nationale.

Depuis l’organisation de ces journées sentez-vous une volonté de rassemblement de la part des différentes variantes de la droite nationale et un afflux de plus en plus important de jeunes militants ?

Synthèse nationale n’est pas un mouvement ni un parti, c’est d’abord une revue et aussi un centre d’agitation politique au service de la cause nationaliste et identitaire. Lorsque nous avons créé ces structures nous nous étions fixés comme objectif d’introduire au sein de notre famille politique un nouvel état d’esprit. Il s’agissait de rompre avec le climat de suspicion permanente qui régnait alors au sein de la Droite nationale. Réunir sur un même plateau ou dans une même revue des personnalités qui se sont souvent affrontées n’était pas une chose facile et pourtant, lorsque l’on consulte la liste de ceux qui ont d’une manière ou d’une autre participé à nos activités, force est d’admettre qu’un grand pas a été fait. Néanmoins, il reste encore beaucoup de travail… Mais ce qui est le plus important, c’est la progression de nos idées dans notre pays et un peu partout en Europe. Quoiqu’en disent les médias aux ordres, celles-ci ne sont pas, loin s’en faut, des idées dépassées. Bien au contraire nous pensons que le XXIe siècle sera celui du réveil des peuples et des nations.

Un dernier mot.

Les lecteurs de Présent sont tous les bienvenus dimanche à Rungis…

 (*) 8e Journée nationaliste et identitaire de Synthèse nationale, dimanche 12 octobre, de 11 h 00 à 18 h 30, Espace Jean Monnet, 47 rue des Solets à Rungis – SILIC (94). Entrée : 10 €

L'entretien dans Présent cliquez ici

00:26 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce dimanche 12 octobre, on se retrouve tous à Rungis !

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Programme de la journée :

Ouverture des portes : 11 h 00

11 h 30 - 13 h 00 : TABLE RONDE avec Georges Feltin-Tracol, Richard Roudier, Arnaud Raffard de Brienne, Kevin Reche, Thomas Joly, David Cherpen, Robert Spieler...

A partir de 12 h 00, jusqu'à 18 h 00 : Restaurant, repas assis, cuisine française...

15 h 00 : MEETING avec Jérôme Bourbon, Francis Bergeron, Serge Ayoub, Pierre Vial, Luc Pécharman et Roland Hélie...

17 h 00 : concert avec Dr Merlin et Nothmen Impakt...

Toute la journée : bar, stands associations, mouvements, journaux, librairie, éditeurs, artisans...

Le stand de Synthèse nationale et des Cahiers d'Histoire du Nationalisme...

Parution à l'occasion de la 8e Journée de Synthèse nationale de l'album de dessins d'Aramis "ça calme !"

18 h 30 : fin de la réunion et fermeture des portes.

VENEZ NOMBREUX !

Plus d'informations cliquez ici

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samedi, 11 octobre 2014

Face à face, une émission avec Carl Lang....

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vendredi, 10 octobre 2014

L'événement éditorial de la 8e Journée de Synthèse nationale : le nouvel album du célébre dessinateur Aramis, " Ça calme ! "...

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Publié à l'occasion de la 8e Journée nationaliste et identitaire, Ça calme ! d'Aramis que l'on ne présente plus est le recueil que tout le milieu réclame à corps et à cris depuis des années. Sept ans de dessins parus dans les meilleurs titres de la presse nationale vous replongeront dans les pires scandales de cette Ve République vérolée dont on n'arrive décidément pas à se défaire…

Le regard désabusé mais perçant de notre ami trouve toujours le frai juste pour dénoncer la décadence mortifère de notre société et vilipender notre classe politique toujours plus soumise aux diktats des financiers qui mènent le monde. Gageons que la table de dédicace d'Aramis ne désemplira pas à la 8e journée puisqu'à l'approche des fêtes de fin d'année Ça calme! apparaît déjà comme le cadeau qui plaira à coup sûr à toutes les générations des familles qui veulent rester françaises !

Ça calme !, Aramis, Les Bouquins de Synthèse nationale, 310 pages, 23€ (+ 3€ de port)

Le commander en ligne cliquez ici

Bulletin de commande

11:08 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Contre le découpage fantaisiste de la clique Valls Hollande, venez écouter le projet identitaire de Richard Roudier à la 8e Journée de Synthèse nationale, dimanche à 11 h 30 :

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L'article de Georges Feltin-Tracol dans le n°37 de Synthèse nationale cliquez ici consacré au nouveau livre de Richard Roudier :

• Richard Roudier, Lettre ouverte au Président à propos de la réforme des régions. Réponse au bazar anti-identitaire, Éditions Identitor (B.P. 1 - 7114, F - 30 912 Nîmes C.E.D.E.X. 02), 2014, 123 p., 12 €.

Le microcosme politicien s’agite ! En quelques semaines, le petit monde politicard trépigne, proteste, s’émeut, conteste, dénonce. François Hollande ose toucher aux prébendes juteuses des oligarchies locales en promettant une grande réforme territoriale : diviser de moitié le nombre des régions françaises au nom d’une gestion plus rationnelle des dépenses publiques ! Élaboré dans une précipitation qui cumule les tares d’être politicienne, bureaucratique et parisienne, ce projet démontre surtout la petitesse intellectuelle des gouvernants. En effet, au mépris de toutes considérations historiques, géographiques ou sociologiques, « Flamby » abandonne ses habits de « M. Bricolage » pour jouer au mécano des régions en les fusionnant souvent en dépit du bon sens. Certes, dans son projet, la Normandie est enfin réunifiée, mais pour cette avancée notable, combien d’erreurs confirmées ou annoncées ? Non-rattachement de la Loire-Atlantique à la Bretagne, fusion stupide de l’Alsace et de la Lorraine, création d’une Picardie - Champagne et d’un conglomérat Centre - Limousin - Poitou-Charentes. Gageons que bientôt notre pilote de scooter préféré envisagera une Bretagne - Franche-Comté, une Alsace - Guyane, Rhône-Alpes - Pays-de-la-Loire ou le Languedoc - Roussillon - Nord - Pas-de-Calais…

Contre cette aberration élyséenne, Richard Roudier, président de la Ligue du Midi et du Réseau-Identités, vieux militant identitaire régionaliste et occitaniste, ne pouvait pas se taire. Aidé de son fils Olivier, il adresse une lettre ouverte au locataire de la République afin de lui dire l’incongruité du projet.

Richard Roudier ne se satisfait pas de l’actuelle architecture géo-administrative; il avance de véritables propositions sans pour autant ménager François Hollande. À plusieurs reprises, il le prévient fort charitablement « qu’un gouvernement homogène compté à 13,96 % ne peut plus réformer. S’il survit jusqu’à la fin de son mandat, ce sera déjà une bonne nouvelle pour lui… La vérité est que le roi est nu et que le peuple français se marre (p. 21) ». Très en verve, il l’apostrophe plus loin : « Comment pouvez-vous imaginer que les Alsaciens laisseront un petit homme déconsidéré et flasque annuler mille ans d’histoire régionale. […] Chacun sait que vous êtes un politicien de la quatrième République. Vous finirez alors comme celle-ci et quitterez l’Élysée par la porte de derrière, après avoir fait beaucoup de mal à la patience des Français (p. 91). » Pourquoi ? Parce que « l’insurrection de TOUS les élus locaux socialistes contre vous sera totale (p. 14) ». Bref, le président par défaut de l’Hexagone, seulement élu pour virer son catastrophique prédécesseur, se retrouve habillé pour l’hiver…

Cette lettre ouverte se veut néanmoins constructive puisque Richard Roudier lui conseille de « s’appuyer sur ce qu’il y a de vrais régionalistes en France qui […] souhaitent des régions plus grandes et la fin des conseils généraux (p. 14) ». L’auteur a lu et médité les penseurs de la région (Robert Lafont, Yann Fouéré, Guy Héraud ou le trop méconnu Pierre Fougeyrollas).

La réactivation contemporaine du régionalisme revient cependant à Jean-François Gravier, auteur en 1947 du célèbre Paris et le désert français. Royaliste maurrassien de formation, géographe de profession, directeur de l'école des cadres du Mayet-de-Montagne, le pendant en Zone occupée de l’école d’Uriage en Zone libre, puis collaborateur à la Fondation Alexis-Carrel, il participa à Idées, la revue théorique de la Révolution nationale. Il appartenait à la fois aux non-conformistes de la « Jeune Droite » et au courant « technocrate - planiste » lié aux « relèves des années Trente » (Olivier Dard). Ce Paris et le désert français fut à la base de la politique d’aménagement du territoire des décennies 1950 - 1960 et de la promotion des métropoles d’équilibre. Malheureusement, le tropisme centralisateur parisien étant dans les gènes d’un personnel politique calamiteux attaché au cumul des mandats locaux et nationaux, la décentralisation a principalement favorisé les capitales régionales aux dépens des espaces périphériques au point qu’on a maintenant Toulouse et le désert midi-pyrénéen, Châlons-en-Champagne et le désert champardennais ou Rennes et le désert breton…

Soucieux de défendre un équilibre régional géographique et humain, Richard Roudier examine la typologie théorique du fait régional. Reprenant les travaux de Roger Brunet, la région géographique « est un espace concret continu et contigu, un cadre de vie spatial avec limites naturelles ou historico-naturelles dont la cohésion est assurée par la vie de relations aux différentes niveaux du quartier rural (p. 66) ». En s’inspirant des bassins, des plaines et des massifs, on obtiendrait une quinzaine de régions. La région économique repose sur des critères de production, de consommation, de flux d’échanges et de mobilités pendulaires. Mais toutes ces caractéristiques n’assurent pas un sentiment d’appartenance tangible à ses habitants. La région économique n’est d’ailleurs qu’une variante de la « région fonctionnelle ». L’auteur exècre cette dernière « froide et totalitaire (p. 55) ». La France en compte déjà deux : la première - qui peut s’admettre - est les cinq zones d’indicatifs téléphoniques fixes (01, 02, 03, 04 et 05); la seconde se rapporte aux fameuses circonscriptions inter-régionales consacrées aux élections européennes décidées en 2003 par le désastreux duo Chirac - Raffarin. Existe en outre une « autre variante de la région fonctionnelle (p. 57) » : la région - programme qui correspondait à la volonté dirigiste, planifiante et étatiste du gaullisme gouvernemental. L’actuelle carte des régions administratives en procède largement.

Richard Roudier préfère, lui, la « région identitaire (p. 69) » assise sur le fait linguistique. En combinant l’histoire, l’aire linguistique, la topographie ainsi que les données économiques, il propose une France de seize régions bien balancées en termes de population. Abordant le problème récurrent de la « ville-centre » ou « capitale régionale », l’auteur s’inspire des travaux de Didier Patte, président - fondateur du Mouvement Normand, à qui il dédie d’ailleurs cette lettre ouverte, et suggère le choix d’une commune  « équidistante entre Caen et Rouen, mais également située non loin du Havre par le Port de Normandie (p. 100) » : Pont-Audemer ou bien l’agglomération Deauville - Trouville. En Bretagne réunifiée, le principe de l’équidistance entre Rennes, Nantes, Brest et Quimper ferait de Vannes la nouvelle capitale bretonne. Pour le Grand Languedoc, entre Montpellier et Toulouse, ce serait Narbonne. Quant à la Grande Bourgogne, ce statut reviendrait à Dole entre Dijon et Besançon.

La carte formulée par Richard Roudier se confond en grande partie avec le projet régional des Verts qui sont des régionalistes malheureusement contaminés par leurs aberrations mondialiste, multiculturaliste et sociétaliste. Attaché aux cultures vernaculaires, l’auteur estime que les Basques, les Catalans, les Flamands, voire les Nissarts et les Savoisiens, bénéficieraient d’un statut de large autonomie au sein de leurs régions respectives. Cet aménagement identitaire des régions établi à partir de sa « théorie des régions linguistiques corrigée par les principes fonctionnels (p. 110) » n’aurait cependant qu’une portée limitée si la structure même de l’État français n’évoluait pas vers la reconnaissance institutionnelle simultanée de la subsidiarité et de la véritable diversité ethno-culturelle autochtone.

Régionaliste convaincu tout autant hostile au séparatisme ou à l’indépendantisme à la petite semaine qu’au centralisme républicain, Richard Roudier conçoit sa révolution régionale dans le cadre d’une « sixième République fédérale, celle des quinze régions identitaires rassemblées (p. 113) ». Reprenant en fin de compte les thématiques chères aux royalistes rénovateurs du Lys noir et les idées « régionales-révolutionnaires » de Pierre Fougeyrollas, il préconise à son tour la fin de Paris. Il importe de réduire cette thrombose territoriale : cela passe par " Franceville ", une nouvelle capitale fondée ex-nihilo, à l’instar de Brasilia au Brésil, de Yamoussoukro en Côte d’Ivoire, d’Astana au Kazakhstan ou de Naypyidaw au Myanmar (ex-Birmanie), en plein centre de l’Hexagone « entre Creuse et Haute-Vienne, mais on pourrait tout aussi bien installer la nouvelle cité dans le Bourbonnais, au cœur de l’histoire nationale, dans le berceau des Bourbons (p. 118) ».

Cette lettre ouverte risquerait vraiment de défriser son destinataire s’il la lisait. Mais, comme il ne le fera pas, parions hélas que la nouvelle géographie des régions grotesques porte en elle de terribles et puissantes déchirures tant humaines que spatiales.

11:02 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Strasbourg en rouge et blanc pour l’« Alsatian Pride »

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José Meidinger

Boulevard Voltaire cliquez ici

Strasbourg sera ce samedi en rouge et blanc, les couleurs d’une Alsace qui entend descendre dans la rue pour affirmer sa volonté de ne pas être absorbée par la Lorraine et la Champagne-Ardenne. La manifestation alsacienne aura-t-elle le même succès que celle de Nantes pour la réunification de la Bretagne ? Le président du conseil régional d’Alsace y croit en tout cas, n’hésitant pas à proposer un tarif – TER exceptionnel à 5 € – pour permettre à tous les Alsaciens qui le souhaitent de se joindre à ce mouvement de protestation.

L’opposition socialiste – l’Alsace est de droite depuis toujours – crie bien évidemment au loup et dénonce « l’utilisation indue de fonds publics pour financer une manifestation partisane ». C’est oublier un peu vite qu’une vente flash de 12.000 billets Lyon-Paris à 5 euros a eu lieu l’année dernière par la SNCF, cinq jours avant la manifestation pro-mariage pour tous. Et cette offre était bel et bien disponible 5 jours avant la manif des partisans du « mariage » homosexuel et valable uniquement, comme par hasard, jusqu’au 27 janvier 2013, date de la manifestation des partisans du projet de loi. Sur le Net, la SNCF encourageait ses « amis lyonnais » à profiter de cette « opportunité incroyable » en envisageant une « petite séance shopping dans le Marais », le « quartier gay-friendly de la capitale »,  comme l’avait relevé alors fort opportunément Valeurs actuelles.

Malgré son maire gay-friendly, l’offre alsacienne n’est pas aussi alléchante, mais la manifestation de samedi sera le point d’orgue d’une campagne de sensibilisation de l’Alsatian Pride, la « fierté alsacienne » que mène depuis quelques mois un tout jeune parti régionaliste Unser Land (Notre pays) qui a remis au goût du jour les couleurs alsaciennes Rot un Wiss (rouge et blanc). De nombreux jeunes – et c’est encourageant – ont rejoint les rangs d’Unser Land et n’hésitent pas, à l’image des activistes de Greenpeace, à se lancer dans des démonstrations spectaculaires, drapeau Rot un Wiss en tête. Ces jeunes militants ne sont pas effarouchés par la notion d’autonomisme et n’hésitent pas à l’expliquer aux badauds qui les encouragent dans leurs actions d’éclat. « N’ayez pas peur, même soyez fiers de votre histoire. Nous devons à ceux qui nous ont précédés, qui se sont battus pour préserver notre droit local, notre culture, notre langue, d’être ce que nous sommes ».

Unser Land milite enfin pour que le drapeau alsacien retrouve droit de cité. « Un vrai drapeau, reconnu, comme celui des Corses, des Bretons ou des Basques. Qui a sa place sur le fronton de nos mairies, entre le drapeau national et le drapeau européen […] Mir welle bliewe, wàs mir sin ! Nous ne voulons pas disparaître dans un mariage forcé contre-nature. Nous voulons rester ce que nous sommes et nous le faisons savoir. »

Contre toute forme de dissolution ou « d’incorporation forcée » de l’Alsace dans des ensembles interrégionaux artificiels : ils seront nombreux à le faire savoir samedi à Strasbourg, où l’on pourra se rendre compte, comme disait la grand-mère de l’un de mes amis, que mine de rien « les Alsaciens sont tous français, dommage que les Français ne soient pas tous alsaciens, on ne serait pas dans la m… »

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Ce vendredi soir, sur Méridien zéro

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10:50 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 09 octobre 2014

Roland Hélie invité au JT de TV Libertés de jeudi soir :

22:36 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 12 octobre : la Diffusion du Lore sera à la 8e Journée de Synthèse nationale...

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La Diffusion du Lore cliquez là

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Dimanche 12 octobre : les Cahiers d'Histoire du Nationalisme seront en vente à la 8e Journée de Synthèse nationale...

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10:48 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |