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samedi, 08 août 2015

Les Brigandes s'expliquent :

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vendredi, 07 août 2015

LA GRECE COMME EXEMPLE

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Editorial d'Eléments cliquez ici

On a d’abord poussé à s’endetter des gens qui n’en avaient pas les moyens. Quand la crise a éclaté, les États se sont endettés à leur tour pour sauver les banques, ce qui a transformé la dette privée en dette publique. Et comme les États ne peuvent plus emprunter aujourd’hui qu’auprès des marchés financiers, il a été aisé de leur passer l’anneau dans le nez. Ils ont besoin d’argent ? On ne leur en donnera qu’à la condition qu’ils mettent en œuvre les programmes libéraux : baisse des salaires, équarrissage des services publics et privatisations. Les peuples en souffriront ? Quelle importance ?

On a donc tout fait pour faire rentrer la Grèce dans la zone euro, où elle n’avait rien à faire. Puis on l’a laissée s’endetter, jusqu’à ce que le fruit soit mûr à cueillir. On lui a alors imposé une dette en grande partie illégitime et une politique qui ne pouvait avoir que des conséquences sociales abominables, sans pour autant obtenir les résultats économiques escomptés. 

On a fait comme si l’aide donnée à la Grèce était allée aux Grecs alors qu’elle est allée pour l’essentiel à leurs créanciers, permettant ainsi aux banques les plus exposées de se recapitaliser par le truchement de l’Etat grec. On a masqué les responsabilités des deux dynasties politiques des Karamanlis et des Papandréou, qui ont fait régner le clientélisme et la corruption pendant des décennies. On a ordonné aux Grecs de payer l’intégralité de leur dette alors qu’aucun autre pays au monde n’a les moyens ni même l’intention de payer la sienne. Bref, on a envoyé un peuple entier à la boucherie sociale à seule fin de satisfaire aux exigences de la Troïka.

Joseph Stiglitz et Paul Krugman, toux deux Prix Nobel d’économie, l’ont dit avec netteté : l’économie grecque s’est effondrée, non pas en dépit, mais à cause des mesures d’austérité qu’on lui a imposées de manière aussi absurde que criminelle. 

La question qui se pose maintenant est de savoir si, pour sauver l’euro « à tout prix », la Nouvelle Classe acceptera de trouver un accommodement avec les Grecs.

Son objectif, en tout cas, reste parfaitement clair : tout faire pour abattre le seul gouvernement européen qui ait osé contester la politique d’austérité menée par les étrangleurs de la Troïka, tout faire pour empêcher que l’on puisse seulement imaginer qu’une autre voie économique est possible, tout faire pour démontrer qu’il n’y a pas d’existence vivable en dehors des règles d’un capitalisme libéral qui se pose plus que jamais en horizon indépassable.

En dernière analyse, le problème n’est pas économique, mais politique. La prétendue rationalité économique dissimule une simple logique de domination.

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Fête médiévale dans le Cher :

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10:37 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 06 août 2015

Anniversaire de la mort de Soljenitsyne : prophète de la tradition

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Arnaud Guyot-Jeannin Boulevard Voltaire 

Disparu le 3 août 2008, à l’âge de quatre-vingt-neuf ans, Alexandre Soljenitsyne représente un modèle d’humanité, de courage et de lucidité dans l’histoire contemporaine. Le septième anniversaire de sa mort a été ignoré avec une vacuité révélatrice d’un Occident amnésique. Hormis l’excellent article de Mathieu Slama paru dans Le Figaro du 3 août dernier (« Ce que nous devons à Soljenitsyne »), les grands esprits de l’Hexagone ont pris des vacances avec leur mémoire. D’autres n’ont pas évoqué cette grande figure par sectarisme. Le soleil de la pensée n’a pas beaucoup éclairé les consciences françaises. Une habitude !

Quelques piqûres de rappel sont donc nécessaires. Autant de clairvoyance – prophétique, notamment – force l’admiration. Après avoir été incarcéré dans les goulags, puis exilé de son pays – l’Union soviétique qu’il ne confondait pas avec la Russie – durant de longues années, Soljenitsyne condamne le totalitarisme communisme avec vigueur et pertinence. En octobre 1970, le prix Nobel de littérature lui est attribué depuis Stockholm. Il ne peut s’y rendre, de peur que le KGB l’empêche de passer la frontière à son retour. Trois ans plus tard, il publie L’Archipel du goulag (1973). Un testament politique et historique d’où il ressort également que la souffrance humaine offerte à Dieu débouche sur la rédemption d’un point de vue spirituel. Soljenitsyne revient alors à la foi chrétienne de son baptême.

En 1976, Soljentsyne émigre à Cavendish, dans un village montagneux du Vermont, au nord-est des États-Unis. En compagnie de son épouse et de ses enfants, il est comme retiré du monde. C’est deux ans plus tard, en 1978, qu’il prononce son fameux discours de Harvard. Ayant vitupéré contre le communisme soviétique en le qualifiant de « bazar idéologique », il n’épargne pas le modèle américano-occidental en l’identifiant à un « bazar mercantile ». Il avertit du danger qui pèse sur la Russie : « Après avoir souffert pendant des décennies de violence et d’oppression, l’âme humaine aspire à des choses plus élevées, plus brûlantes, plus pures que celles offertes aujourd’hui par les habitudes d’une société massifiée, forgées par l’invasion révoltante de publicités commerciales, par l’abrutissement télévisuel, et par une musique intolérable. »

En 1990, alors que l’URSS vit sa dernière année, Soljenitsyne publie un essai au titre programmatique, Comment réaménager notre Russie ? Il propose la mise en place d’une « démocratie des petits espaces : […] petite ville, bourg, bourgade cosaque, canton (groupe de villages), et jusqu’aux limites d’un district. C’est uniquement sur un territoire de cette ampleur que les gens pourront déterminer, sans se tromper, leurs élus […] On pourrait dire : à partir des “États” [soslovia]. Ce sont là les deux principes naturels les plus habituels de collaboration et de coopération entre les hommes : d’après le territoire commun sur lequel ils vivent et selon leur genre d’occupation, la direction de leur activité. ». Soit une démocratie locale et organique pour une Russie indépendante et souveraine.

Soljetnitsyne demeure toujours très actuel lorsqu’il rappelle que les Petits-Russiens (Ukrainiens), les Blancs-Russiens (Biélorusses) et Grands-Russiens (Russes) appartiennent à un même peuple et donc à un même pays : la Russie traditionnelle. Mort d’un grand vivant ressuscité par l’Histoire en cours…

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mercredi, 05 août 2015

IMMIGRATION : LE RAS-LE-BOL SE CONFIRME PARTOUT…

Source Le Peuple cliquez ici

C’est la même chose partout… En Slovaquie. à la frontière Sud-Ouest du pays, proche de l’Autriche, dans une région de langue hongroise, se trouve Gabcikovo, sur le Danube. Le maire vient d’y organiser un référendum ce dimanche 2 août 2015 afin de savoir si la population était d’accord de voir 500 réfugiés demandeurs d’asile, être logés dans un bâtiment universitaire désaffecté, situé dans cette municipalité de 5.100 habitants. Les 50 % de participation nécessaires afin que le référendum soit valable ont été largement atteints. 97 % ont dit « Non ».

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Manifestation à Brastislava : « la Slovaquie n’est pas l’Afrique! »

Un accord de coopération en matière d’asile du 21 juillet 2015 entre la Slovaquie et l’Autriche prévoit que 500 « réfugiés » qui séjournent au centre d’accueil de Traiskirchen en Autriche soient hébergés au sein de l’Université technique slovaque.

En Autriche voisine, le parti nationaliste FPÖ continue de progresser, même à « Vienne la rouge », dirigée depuis près de 100 ans par les socialistes du SPÖ, avec la parenthèse de la période du nazisme et de l’Anschluss. A Vienne les élections du Länd de Vienne en 2010 avaient donné 33% aux socialistes et 31% aux nationalistes. Voir Heinz-Christian Strache, le président du FPÖ devenir maire de Vienne n’est plus une utopie. La question de l’immigration indésirée est là aussi au premier plan.

En Allemagne, la colère monte dans la population qui comprend tardivement que le gouvernement Social-chrétien / Socialiste Merkel – Gabriel a donné son feu vert pour l’accueil de 400.000 migrants pour cette année 2015. Ce sera plus l’an prochain.

En Grande-Bretagne, poussé dans le dos par le UKIP et la situation de crise permanente à Calais où le gouvernement français s’avère incapable de régler la situation, David Cameron annonce une mesure qui s’avèrera probablement efficace: c’est maintenant la prison qui sera prévue pour ceux qui hébergeront des étrangers irréguliers.

La tension est élevée dans les ports de passage des migrants et dans les gares d’arrivée des trains à Londres. Cameron déclare vouloir régler le problème des migrants irréguliers mais c’est la France qui a un vrai problème : elle ne parvient pas à gérer les quelques milliers de désespérés à Calais.

En France, l’autre port d’embarquement, Dunkerke se plaint à son tour de la présence de groupes de migrants illégaux et demande un renforcement de la présence policière.

Les entreprises de transport françaises et belges se plaignent amèrement des retards et des amendes qui sont collées à leurs chauffeurs si on découvre des migrants à bord de leurs véhicules. Sur les derniers kilomètres avant le tunnel, les chauffeurs doivent se protéger et même faire le coup de poing pour empêcher les migrants de monter à bord. « Ce n’est pas notre job de nous défendre contre ces migrants, c’est le rôle de la police », déclare un chauffeur excédé.

La Commission européenne « de la dernière chance », comme le déclarait si justement le président Jean-Claude Juncker en présentant son équipe, se tait dans toutes les langues. Il est vrai que c’est la période des vacances…

18:13 Publié dans En Europe et ailleurs..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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14:49 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Crabe-Tambour vient de subir une fermeture administrative d'un mois. AIDEZ-LE A VAINCRE CETTE NOUVELLE ATTAQUE DU POUVOIR !

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Communiqué du Crabe-Tambour 

Nous avons le regret de vous annoncer la décision de la Préfecture de police de fermer administrativement le Crabe-Tambour jusqu'en septembre. Cela en raison de plaintes s'appuyant sur des motifs farfelus et qui prêtent à sourire.

Cela ne change en rien notre détermination à maintenir cet espace de liberté parisien ouvert et de continuer le combat. Nous serons donc à nouveau ouverts dès le vendredi 04 septembre.

Mais, d'ici là, nous avons besoin de votre aide pour tenir et pour repartir de plus belle dès la réouverture ! En effet, le Crabe-Tambour est un local géré par des bénévoles et qui utilise toute sa recette pour payer ses factures. Un mois de fermeture veut dire un mois de loyer à payer sans aucune recette.

Nos bénévoles qui investissent leur temps et leur argent ne pourront pas subvenir à tous ces besoins en ce mois d'août, c'est pourquoi nous appelons à votre solidarité et organisons cette collecte afin de maintenir le Crabe-Tambour en vie.

Merci de votre soutien !

Pour aider le Crabe-Tambour : cliquez ici

NDLR : rappelons que le Crabe-Tambour est le lieu où, régulièrement, Synthèse nationale organise des conférences. Nous demandons à nos lecteurs de faire, dans la mesure de leurs possibilités, un petit geste pour aider cette noble institution parisienne à passer ce mauvais cap.

13:09 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Paimpol, son église, son grand pardon et son festival des chants de marins

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Même à Paimpol le festival est métissé...

Ne cherchez pas Théodore Botrel, il n'existe plus !

12:34 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

De plus en plus pathétique : EN TRADUISANT SON FONDATEUR DEVANT LA COMMISSION DE DISCIPLINE LE FN PERD SA RAISON D'ETRE

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Marine Le Pen a décidé de convoquer son père, Jean-Marie Le Pen, devant la commission de discipline du Front national. L'affaire continue à s'enliser et les tenants du Système se régalent. L'obstination de l'actuelle direction du FN à vouloir liquider le "père fondateur" pour devenir un parti comme les autres commence à friser le suicidaire. 

Le FN, depuis sa création en 1972, s'est toujours revendiqué comme étant l'incarnation politique de la Droite nationale, sociale et populaire. C'est sur cette ligne qu'il s'est imposé au fil du temps comme un parti crédible capable de proposer le renouveau face à la déchéance dans laquelle les gouvernements successifs ont fait plonger la France. 

La prise de conscience récente par une partie grandissante de notre peuple des dangers qui menacent l'existence même de notre nation, et au-delà de celle-ci notre civilisation, fait que, plus que jamais, le développement d'une force nationaliste et radicale offensive contre le Système est nécessaire si l'on veut libérer la France du carcan mondialiste.

Or, en cherchant à devenir un parti "respectable" et respectueux qui ne cesse de donner des gages au Système, le FN s'éloigne de plus en plus de sa vocation a être cette force alternative. En devenant un parti docile et compatible, il perd finalement toute sa raison d'être.

Synthèse nationale

Texte du communiqué de Jean-Marie Le Pen cliquez ici 

02:40 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 04 août 2015

C'est de cette façon qu'en juillet 1962 on traita les rapatriés d'Algérie

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Manuel Gomez

26 juillet 1962, le maire de Marseille, le socialiste Gaston Defferre, accorde une interview au quotidien Paris-Presse l’Intransigeant. Sujet : l’arrivée massive des rapatriés d’Algérie.

53 ans plus tard, il m’apparaît comme instructif, pour les générations qui n’ont pas connu, ou mal connu, ces événements tragiques, de faire souvenir de quelle manière ont été accueillis ces Français lors de leur arrivée, contre leur gré et emportés par le vent de l’Histoire, dans leur pays, leur patrie, la France.

Le « bafouilleur marseillais », Gaston Defferre, ne se prive guère de donner son avis : « Ils fuient. Tant pis ! En tout cas, je ne les recevrai pas ici. D’ailleurs, nous n’avons pas de place. Rien n’est prêt. Qu’ils aillent se faire pendre où ils voudront ! En aucun cas et aucun prix je ne veux des pieds-noirs à Marseille. »

À la question « Voyez-vous une solution aux problèmes des rapatriés à Marseille ? », il répond : « Oui, qu’ils quittent Marseille en vitesse ; qu’ils essaient de se réadapter ailleurs et tout ira pour le mieux. »

Mais Gaston Defferre n’est pas un cas isolé.

Un sondage IFOP début juillet indique que 62 % des métropolitains refusent toute idée de sacrifice à l’égard des Français d’Algérie.

Voici d’ailleurs un rapport découvert lors de l’ouverture des archives : « Les Français d’Algérie qui débarquent en métropole font l’objet d’une froide indifférence, ou même d’appréhensions. On ne les connaît pas. On ne sait d’où ils viennent ni si ils sont “vraiment” français. Jugés premiers responsables du conflit qui vient de se terminer et qui a coûté la vie de trop nombreux soldats métropolitains, ils ne semblent pas “mériter” que l’on porte sur eux le regard compatissant que beaucoup espèrent. »

Conseil des ministres du 18 juillet 62, Louis Joxe s’exclame : « Les pieds-noirs vont inoculer le fascisme en France. Dans beaucoup de cas, il n’est pas souhaitable qu’ils retournent en Algérie ni qu’ils s’installent en France. Il vaudrait mieux qu’ils aillent en Argentine, au Brésil ou en Australie. »

Pompidou, Premier ministre, appuie cette idée : « Pourquoi ne pas demander aux Affaires étrangères de proposer des immigrants aux pays d’Amérique du Sud ou à l’Australie ? Ils représenteraient la France et la culture française. »

De Gaulle : « Mais non ! Plutôt en Nouvelle-Calédonie ! Ou bien en Guyane, qui est sous peuplée et où on demande des défricheurs et des pionniers ! »

Le 22 juillet 1962, Gaston Defferre poursuit ses anathèmes sur Paris-Presse : « Français d’Algérie, allez vous faire réadapter ailleurs. Il faut les pendre, les fusiller, les rejeter à la mer… Jamais je ne les recevrai dans ma cité. »

Dans le centre de Marseille, une inscription sur un grand panneau : « Les pieds-noirs à la mer. »

À l’aéroport d’Orly, la direction interdit aux pieds-noirs d’emprunter l’escalier mécanique parce qu’elle estime que leurs valises et leurs ballots volumineux sont une gêne pour les autres voyageurs.

Pas l’once d’une compassion parmi les responsables politiques français: « L’intérêt de la France a cessé de se confondre avec celui des pieds-noirs », dit froidement de Gaulle, le 4 mai 1962, en Conseil des ministres.

Un autre jour, à Peyrefitte qui lui expose « le spectacle de ces rapatriés hagards, de ces enfants dont les yeux reflètent encore l’épouvante des violences auxquelles ils ont assisté, de ces vieilles personnes qui ont perdu leurs repères, de ces harkis agglomérés sous des tentes, qui restent hébétés… », le Général répond sèchement : « N’essayez pas de m’apitoyer ! »

Parlant d’Edmond Jouhaud, l’un des généraux putschistes du 13 mai 1958 : « Ce n’est pas un Français, comme vous et moi, c’est un pied-noir. »

Voilà, tout est dit. Ceux qui ne savaient pas le savent à présent. Quant à ceux qui n’ont jamais voulu savoir, qu’ils croupissent dans leur ignorance.

12:43 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

TAUBIRA, MADONE DES CHAUFFARDS DE BANLIEUE Dis moi qui tu privilégies, je te dirai qui tu es

permis-de-conduire.jpgJean Ansar 

Métamag cliquez ici

Sacré Christiane, toujours de bonnes raisons pour mettre la justice au service des désordres. On espère que pendant ses vacances guyanaises, un morceau de France, comme elle aimerait en voir partout, elle ne sera pas renversée par un conducteur sans permis.

Mais bien sûr ce qui l’intéresse, ce n’est ni la France exotique ni la France profonde, mais une France qui serait une immense Seine-Saint-Denis aux couleurs de l’immigration qui, incontrôlée, doit continuer à l’être dans tous les domaines. Sa dernière idée qui risque d’être abandonné provisoirement, était tout de même sympa. Il s’agissait de supprimer le délit de conduite sans permis et sans assurance au profit d’une amende forfaitaire de 500 euros. Voila qui fera des économies, surtout là où l’on hésite à contrôler des conducteurs de quartiers sensibles comme un accélérateur, jugeant le permis inutile et coûteux, un truc de nantis pour empêcher les djeunes d’accéder  à la joie du volant.

Le permis une sorte de discrimination par l’argent non ?

Cette idée , lancée en plein été la veille du plus grand week-end de chassé croisé est une provocation nouvelle de celle qui se croit tout permis… même le permis sans permis. Alors que l’on traque l’automobiliste en règle comme un délinquant, le délinquant lui devrait cesser de l’être. Ça, c’est de la justice de discrimination positive.

Les réactions obligent cependant la garde des sottes (féminin de garde des sceaux non ?) à admettre que le société n’est peut être pas tout a fait prêt pour ce progrès taubirasque. Christiane Taubira s'est donc déclarée prête à renoncer au projet de sanction - est-ce bien le terme- de la conduite sans permis par une simple contravention si la société n'est pas favorable à cette mesure prévue par un des volets de sa réforme de la justice. La présidente de la Ligue contre la violence routière, Chantal Perrichon, a dénoncé sur France Info une "proposition extrêmement choquante" qui envoie un "mauvais signal".

Christiane Taubira a fait valoir sur France Inter que cette mesure était "plus efficace, plus rapide, plus juste" et ne concernait que la première infraction. En cas de récidive, "il s'agira d'un délit", a-t-elle souligné. Quelle fermeté !

L’idéal serait tout de même d’avoir sur nos routes, plutôt que ces banals touristes franchouillards , des hordes de  sympathiques migrants , nouveau nom des clandestins, sans papiers et sans permis prenant la route de Calais avec un ticket gratuit humanitaire pour le tunnel sous la manche.

Si Christiane quitte le ministère de la justice, un malheur peut toujours arriver, elle est prête pour celui des transports.

NDLR : Au moment ou nous mettons en ligne cet article, nous apprenons qu'un accident s'est produit, ce dimanche, vers 1h24, sur la D17, au lieu-dit Route de La Chèze sur la commune de Rohan, (Morbihan). 14 jeunes se trouvaient dans la voiture. Quatre d'entre eux sont décédés.  Le conducteur, âgé de 17 ans, ... n'avait pas le permis de conduire

01:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 02 août 2015

LE GRAND RENDEZ-VOUS DE LA RENTREE : RETENEZ LA DATE DU DIMANCHE 11 OCTOBRE

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15:17 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 01 août 2015

Chassé croisé 2015, ça donne :

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18:25 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 12 septembre : rassemblement identitaire et patriote dans le Berry

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Renseignements cliquez ici

 

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Cet été, le Calvados fête son Histoire

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00:00 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |