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samedi, 05 novembre 2016

Dans le nouveau numéro (n°44, sortie mardi prochain) de Synthèse nationale : un entretien avec Steven Bissuel, porte parole du GUD

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Jean-Pierre Stirbois, décédé il y a 28 ans, le 5 novembre 1988...

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Communiqué d’Alexandre SIMONNOT :

N’oublions jamais notre ami et camarade de combat Jean-Pierre STIRBOIS, disparu il y a aujourd’hui 28 années dans un tragique accident de la route.

Des « Jeunes Tixier-Vignancour » à la Présidentielle de 1988, en passant par le célèbre « Tonnerre de Dreux », Jean-Pierre STIRBOIS aura été un extraordinaire fédérateur, un militant infatigable, un Secrétaire Général exceptionnel, un travailleur acharné. Son unique combat était de servir Jean-Marie LE PEN et le Front National pour le salut de la France.

Suivons sans cesse l’exemple de cet homme admirable et unique à qui nous devons tant.Qu’il intercède pour nous auprès de notre Sainte Patronne Jeanne d’Arc afin qu’elle nous aide à persévérer, jour après jour, à temps et à contre temps.

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vendredi, 04 novembre 2016

4 novembre 1956 : entrée des chars soviétiques dans Budapest. Une tragédie racontée par David Irving

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Le second volume Budapest 1956 de David Irving

sera en vente mardi prochain 8 novembre.

Traduction inédite en français du texte original cliquez ici

Les deux volumes cliquez là

Nous vous proposons la lecture de ce magnifique texte écrit par Jacques Meunier, l'un des fondateurs des éditions de Chiré, en 1966 et publié dans notre confrère Lectures françaises cliquez ici

En octobre 1956, le peuple de Budapest (étudiants, ouvriers, employés, militaires…) s’est soulevé contre l’oppression communiste et la dictature des dirigeants hongrois sous tutelle soviétique. Elle fut très violemment réprimée dans le sang, l’emprisonnement, la déportation et tant d’autres sévices dont les communistes sont coutumiers. Elle se déroula sans le moindre appui, ou aide, ni même les protestations des nations occidentales du monde dit « libre ». Pour le dixième anniversaire de ces événements, Poitiers Université, le journal des étudiants nationalistes de Poitiers, avait rendu hommage (dans son n° 26, novembre 1966) au peuple courageux qui avait osé défier le monstre soviétique. Nous en reproduisons ci-dessous le contenu intégral :

Budapest 1956 : l’honneur de la jeunesse

(texte écrit par Jacques Meunier en 1966)

Sur la place Josef Bem, en cette soirée du 23 octobre 1956, dix mille personnes défilaient dans cette foule, surtout des jeunes gens, étudiants, collégiens, ouvriers…; des cris fusaient : « Les Russes à la porte » ; des chants : « Debout Magyars » ; des clameurs : « Liberté, liberté ! ». La liberté, le droit, la justice, pour les hommes de l’Occident, ce sont des mots ; pour les Hongrois de 1956, ces mots représentent l’espérance, la fin du cauchemar, le bout de la nuit !

« Que Dieu protège la Hongrie ! ». Les manifestants chantent et les postes de police flambent, des coups de feu éclatent ; ils ne savent pas encore ce qu’ils font et déjà la contre-révolution hongroise est en marche.

Sur les pelouses, les enfants dansent, les jeunes filles sourient en distribuant des cocardes et au Comité Central du parti communiste, Gerö hausse les épaules et déclare : « Ce n’est rien, ils vont aller se coucher ». Ils se coucheront, en effet, mais seulement quand ils seront morts ; pour l’instant, il n’est pas question de recul. Les manifestants n’en croient pas leurs yeux, car les insurgés en armes arrivent de partout : ouvriers, paysans, soldats ; les uns portent de vieux fusils rouillés, d’autres, des mitraillettes russes flambant neuves, et tous ont dans les yeux la même foi et dans les cœurs la même espérance.

Mais les Rouges réagissaient, les chars s’avancent, les mitrailleuses crépitent, mais les révoltés résistent ; l’armée hongroise arrache l’étoile rouge de son drapeau ; elle ouvre 1e feu sur les Russes ; l’insurrection a gagné.

L’étranger s’étonne ; Moscou s’affole. Dans Budapest, la joie éclate, la statue de Staline se brise au sol, la foule applaudit ; 1e Cardinal Primat de Hongrie est tiré de son cachot et le peuple l’acclame. Dans les bagnes rouges, les prisonniers politiques commencent la grève générale et partout les AVO s’enfuient pour échapper à la foule.

Mais les maîtres de l’U.R.S.S. ne veulent pas lâcher leur proie ; ce peuple veut vaincre, il doit mourir. Contre ces jeunes gens, on va lancer des divisions blindées ! Et des quatre coins de l’empire russe, des plaines d’Ukraine, des montagnes du Caucase, des steppes de Sibérie, l’Armée Rouge se rue vers l’ouest.

Alors, dans les casernes de Buda, dans les Facultés de Pest, dans les usines de la banlieue, c’est la mobilisation générale, mais que pourront des poitrines contre des canons et des chars ? La jeunesse de Hongrie sera digne de sa race, de son sol, de sa foi, et le sang versé sur les pavés de sa capitale en sera le témoignage ineffaçable.

Mais hélas, en face de cette détresse, de cet héroïsme, de ces appels au secours et de ce meurtre gigantesque, l’Occident restera sourd et muet. L’Histoire dira les responsabilités de ces hommes qui savaient et qui n’ont rien dit, qui pouvaient et qui n’ont rien fait, de nos ministres et de nos députés qui savouraient leurs ballets roses pendant que tombait ce crépuscule sanglant.

Aujourd’hui, les insurgés sont morts… ceux qui ont survécu sont au bagne ou en exil.

Dans les capitales de nos pays, on parle de synthèse Est-Ouest… Dans nos villes de France, dans nos universités, quelques réfugiés hongrois se sont installés ; ils restent seuls, nostalgiques et oubliés ; autour d’eux, on parle de Bob Dylan, du cinéma, ou des vacances et quand les étudiants descendent dans la rue, c’est pour réclamer le pré-salaire ou la paix au Vietnam… L’U.N.E.F. est à Prague et le « vent de l’Histoire » a séché le sang des martyrs et les larmes des mères.

Si Dieu leur a refusé la victoire sur Terre, les Magyars ne sont pas morts en vain. Il y a dans notre pays des jeunes gens qui n’ont pas oublié ; notre révolte est née de la leur ; nous n’avions que quinze ans quand a coulé le sang de la Hongrie, mais pour nous, l’honneur ne sera jamais une chose morte. Et c’est à nous qu’il appartient aujourd’hui de rendre hommage aux étudiants de Budapest ; ils ont été l’honneur de la jeunesse de l’Europe ; ils seront demain l’exemple des générations à venir.

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ATTENTION : à partir du 15 novembre, veuillez noter notre nouvelle adresse postale...

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QUAND ON VEUT RASSEMBLER LES FRANÇAIS, ON COMMENCE PAR RASSEMBLER SON CAMP...

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Source cliquez ici

Le Siel, Souveraineté, indépendance, et liberté, un petit parti allié au Front national au sein du Rassemblement bleu marine (RBM), va se prononcer samedi sur la fin de cette alliance à l'initiative de son président, Karim Ouchikh.

« Je ne veux pas rompre avec Marine Le Pen. Nous continuerons à soutenir sa candidature pour la présidentielle », indique-t-il, interrogé par l'AFP.

Mais le conseiller régional francilien entend « mettre un terme à la mascarade » de l'alliance entre son parti, 2 000 adhérents revendiqués, et le FN: « il faut prendre acte de la fin du RBM », moribond depuis 2012, « et donc reprendre notre liberté vis-à-vis du FN ».

Il proposera donc une motion en ce sens lors d'une réunion du comité directeur du Siel, samedi à 14h à Paris. « Il n'y a pas de motion contradictoire à ma connaissance. Je suis confiant » sur le vote, a assuré M. Ouchikh.

"Une bonne nouvelle" selon Marine Le Pen

Il reproche au FN son « projet politique aseptisé ». Ouchikh estime aussi que le FN devrait accorder plus de place à ses troupes aux législatives.

« Le Siel était devenu un groupuscule concentrant tous les profils d'extrême droite dont on ne voulait plus. Les virés, les tarés, les racialistes, Civitas et autres dingues. Son départ est une bonne nouvelle », a commenté l'entourage de Marine Le Pen.

NDLR SN : Sans commentaire...

La position de Karim Ouchick et du SIEL cliquez là

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« MIGRANTS » : QUE FAIT LA MARINE ITALIENNE ? DES RONDS DANS L’EAU !

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Le Bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Tandis que les Italiens écopent, les Hongrois colmatent ! Ce qui vaut à ces derniers une haine farouche de la part de l’hyper classe mondialiste et de tous ses relais médiatiques.

Viktor Orban, c’est le diable, un Donald Trump bis ou presque ! Depuis la chute de la dictature ubuesque de Kadhafi largement facilitée par le trio infernal BHL/Juppé/Sarkozy – ces deux derniers ayant le culot de solliciter les suffrages des électeurs français ! – des centaines de milliers de migrants clandestins originaires pour la plupart de l’Afrique subsaharienne, ont franchi la Méditerranée pour échouer, finalement, sur les côtes italiennes grâce aux nombreux sauvetages effectués par la marine du gouvernement romain. Et au prix de mille périls : violences des milices libyennes incontrôlées qui les rançonnent ou les mettent en esclavage, accessoirement viols des femmes et, « cerise sur le gâteau » si l’on peut dire, risque de naufrage.

L’Organisation internationale pour les migrants (OIM), pense qu’une bonne partie de ces immigrés dépasserait les 250 000 qui attendraient le long des côtes de pouvoir s’embarquer tandis que selon d’autres sources, plus alarmistes mais plus réalistes, elles, parlent d’un million de personnes, principalement des Erythréens, Somaliens, Soudanais, Maliens, Egyptiens, Nigérians, Ghanéens et autres Tchadiens. Certains de ces clandestins potentiels pensaient travailler en Libye même (1), mais compte-tenu de la situation anarchique de ce pays, ils ne rêvent plus que de l’Eldorado européen et pour beaucoup d’entre eux, de pouvoir pousser jusqu’en Grande-Bretagne, « Brexit » ou pas.

Et pourtant, il n’y a pas d’avenir pour eux sur notre continent, en tout cas pas comme ils peuvent naïvement l’espérer. Peuplée de 6 millions d’habitants, la Libye serait en fait, en permanence sillonnée par des centaines de milliers d’étrangers victimes de passeurs peu scrupuleux qui ne se donnent même plus la peine d’accompagner leurs « clients » à bord de leurs barcasses. Malgré la présence de l’agence européenne Frontex chargée de surveiller les frontières de l’espace Schengen - en fait c’est plutôt « Spontex » qu’elle devrait s’appeler tant elle absorbe de clandestins ! – et son changement de nom en ECBG ou « Corps européen de garde-frontières et garde-côtes n’y changera rien, c’est tout de même près de 160 000 naufragés qui ont débarqué dans la botte depuis janvier 2016 ! Un record par rapport à 2015, laissant tout de même un gout amer avec plus de 3 000 noyés. Chaque semaine, chaque week-end, une armada gonflée de bonnes intentions patrouille et recueille des masses de misérables grappes humaines entassées dans des embarcations de fortune. Et, au lieu de les raccompagner d’où elles partent, les débarque qui en Sicile, qui à Lampedusa, qui en Sardaigne. Les passeurs encaissent et l’Italie décaisse !

D’après le quotidien Il Giornale, le pays dépense mensuellement 100 millions d’Euros rien que pour loger et nourrir toutes ces bouches. Si ces candidats à une périlleuse aventure passent par la Libye et non par le Maroc pour rejoindre, par exemple, l’Espagne puis notre pays, c’est qu’ils savent que l’Italie expulse très peu de déboutés du droit d’asile tout comme la France d’ailleurs, lesquelles fournissent de généreuses prestations en attendant que les demandes officielles du droit d’asile soient formulées.

Une belle marine qui ne sert à rien !

« Il faut les bloquer au départ (de l’Afrique) (…) L’Italie ne pourra pas tenir une année de plus », a expliqué le 25 octobre dernier à la télévision le Premier ministre italien Mattéo Renzi, qui a également lancé une sorte d’ultimatum à l’Union européenne, menaçant de bloquer le prochain budget européen si les pays membres du groupe de Visegrad (2) continuent – et ils ont raison ! – de refuser l’accueil de toutes ces masses humaines totalement inassimilables. L’Italie recense déjà 5 millions d’étrangers sans compter ceux qui ont été naturalisés, soit près de 10 % de la population avec une pyramide des âges totalement inversée.

Le journal La Stampa estime à 50 000 le nombre de ceux qui sont ou seront déboutés de ce fameux droit d’asile. Leur rapatriement couterait trop cher ou il serait empêché faute d’accord de reconduite et de réintégration avec les pays d’origine. En 2015, sur 34 107 décisions d’expulsion, seules 3 688 ont été effectivement réalisées.

Même ridicule proportion en France qui se débat avec sa « jungle de Calais », véritable cancer avec ses métastases. (La nouvelle « bataille de Stalingrad » aura-t-elle lieu ? A l’heure où ces lignes sont écrites, « la messe n’est pas dite »…).

En examinant la situation de la mare nostrum , on constate pourtant que l’Espagne, la France et l’Italie ont des marines respectables. A quoi servent-elles ? A ne faire que du sauvetage en mer ? Les trois pays cités ont les moyens militaires de stopper cette marée humaine à son point de départ. La flotte italienne totalise 105 000 tonnes, avec des fleurons comme le porte-aéronefs Giuseppe Garibaldi, des croiseurs, des destroyers lance-missiles, des frégates, des corvettes et des patrouilleurs en grand nombre, capables avec leurs bâtiments amphibies d’escorte, de projeter la brigade de fusiliers-marins San Marco ou les paras de la division Folgore pour sécuriser une tête de pont…

Cette zone à déterminer en accord avec les « autorités » libyennes, serait susceptible de contrôler et de « fixer » tous les candidats aux migrations, pour peu que l’ONU veuille bien financer des camps « en dur » pour les abriter. Faute de quoi, tous ces réfugiés économiques pour la plupart, viennent et viendront engorger encore plus les divers centres de rétention transalpins, s’entasser dans des conditions misérables à Lampedusa ou à Vintimille, avant de passer en France et de reconstituer dix, vingt, cent « jungles de Calais ».

La France a, elle aussi, les moyens militaires d’une politique de containment, comme l’Australie sait le faire. Sans état d’âme, mais dans le seul intérêt du pays qui, lui non plus, ne peut accueillir toute la misère planétaire. Si la raison et la rationalité gouvernaient le monde, ça se saurait. La doxa dominante condamne les peuples d’Europe à accepter à terme l’inacceptable : leur lent mais inéluctable remplacement. Par qui ? Par des populations hétérogènes totalement étrangères à la civilisation de nos pères. Ici ou là des voix s’élèvent, des mouvements politiques et des leaders responsables relèvent la tête, en Allemagne, en Italie, en Scandinavie, au Royaume-Unis, en France bien sûr. Mais, curieusement, tout comme le soleil se lève à l’Est, l’espoir d’un arrêt du déclin semble poindre à l’orient de notre horizon. D’où le déchainement de l’oligarchie qui fait donner la « grosse bertha » médiatique contre les leaders des pays de l’ancien Pacte de Varsovie.

Personne n’est dupe. La Hongrie, arc-boutée à son créneau avec sa barrière métallique, défend l’espace Schengen conformément aux accords signés. Tous ceux qui disent le contraire sont des Tartuffe, des hypocrites. Qu’attendent les pays latins et plus particulièrement l’Italie pour en faire autant avec ses moyens navals, sur les côtes libyennes ?

Notes

(1) Avec la chute de la production pétrolière, conséquence de la guerre civile, le marché libyen n’est plus, pour l’instant, attractif.

(2) Hongrie, Pologne, Slovaquie, Tchéquie.

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Jean-Pierre Stirbois, décédé le 5 novembre 1988...

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Jean-Pierre Stirbois, né le 30 janvier 1945 à Paris, est mort accidentellement le 5 novembre 1988 à Ponchartrain (Yvelines). Politiquement engagé, il était le mari de Marie-France Stirbois, également engagée en politique.

Après avoir participé en 1965 à la campagne présidentielle de Jean-Louis Tixier-Vignancour, il milite au Mouvement jeune révolution (MJR - solidariste). En 1975, il crée avec Michel Collinot l'Union Solidariste.

En 1977, il rejoint le Front national et il en devient Secrétaire général en 1981. En septembre 1983, il est élu adjoint au maire de Dreux. Ce qui provoqua un véritable coup de tonnerre dans la vie politique de l'époque... Il est élu député européen en 1984 et député à l'Assemblée nationale en 1986.

Après avoir effectué un voyage en Nouvelle-Calédonie pour défendre les liens entre celle-ci et la France, il trouve la mort dans un accident de voiture en revenant d'une réunion publique à Dreux.

Il est enterré au cimetière Montparnasse à Paris.

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mercredi, 02 novembre 2016

Caen, le 5 novembre : Thomas Joly animera une réunion du Parti de la France

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22:16 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Contre la politique d'immigration du gouvernement : manifestation à Versailles le 11 novembre à 15 h

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Un appel des élus versaillais du Groupe Versailles Familles Avenir :

Chers Concitoyens,

Le peuple de France est très en colère.

La France est envahie avec la complicité des préfets et des élus qui collaborent à une politique antifrançaise. Le préfet du Pas-de-Calais considère que brûler les habitats qu’ils quittent est une tradition des migrants. Quelles autres traditions allons-nous devoir subir selon cette logique ?

Le préfet des Yvelines estime quant à lui que s’inquiéter de possibles viols, vols ou atteintes à l’ordre public par des immigrés illégaux est « discriminatoire » (sic).

Ces préfets sont-ils encore les représentants du peuple français ?

Le député maire de Versailles et d’autres élus de la région n’ont pas jugé utile de se rendre à la réunion du 25 octobre à la préfecture où il a été confirmé que des migrants clandestins seraient accueillis sur le site de l’INRIA à Rocquencourt.

Honte à ces élus qui capitulent devant les ordres inacceptables d’un gouvernement aux abois!

Dans ce contexte d’anarchie, nos forces de l’ordre, qui devraient être l’honneur de notre pays, sont désavouées.

Honte à ceux qui osent mettre en garde à vue nos policiers qui ont défendu leur vie!

Honte à ceux qui qualifient de « sauvageons » des criminels qui ont voulu tuer nos policiers!

Honte à ceux qui n’assument pas leurs responsabilités lorsque des policiers se font tuer chez eux devant leurs enfants!

Le peuple français, peuple souverain, ne tolère plus cette situation.

C’est pourquoi il y a urgence à nous mobiliser massivement :

Contre l’invasion migratoire : non aux camps de migrants à Rocquencourt, à Paris et partout en France !
Pour soutenir et honorer nos forces de l’ordre (police et gendarmerie)
Contre la déliquescence de l’État
Contre la spoliation fiscale des ménages et retraités
Nous vous demandons de venir massivement à la manifestation du vendredi 11 novembre.

Elle se déroulera pacifiquement et dignement, sans étiquette partisane.

Aucune banderole, pancarte, marque de parti ou de syndicat ni aucun slogan partisan ne sera admis pour que notre rassemblement soit celui de TOUS les citoyens. Ce rassemblement, c’est le vôtre, quelle que soit votre sensibilité.

Venez avec notre drapeau national et celui de nos provinces.

Rassemblement prévu le vendredi 11 novembre à 15 heures sur la place d’Armes du château de Versailles, suivi d’un mouvement vers la préfecture.

Merci de diffuser ce mail sur Facebook, sur Twitter, auprès de vos amis et voisins, dans vos cages d’escalier, à l’entrée des écoles, au sein de vos réseaux et chez les commerçants.

Nous invitons tous les collectifs citoyens locaux, régionaux et nationaux à nous rejoindre et à relayer cette manifestation.

Notre mobilisation sera décisive : nous avons 10 jours pour rappeler à l’État qu’on ne lâche rien !

NOUS SOMMES LE PEUPLE !

Fabien Bouglé – Valérie d’Aubigny

Conseillers municipaux de Versailles

Groupe Versailles Familles Avenir

22:11 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Petit abécédaire d'un Français incorrect est à nouveau disponible

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11:16 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 01 novembre 2016

L'Edit de Mantes, un nouveau polar dans la veine du Grand rembarquement...

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L'Édit de Mantes, Modeste Lakrite

Le polar d’anticipation qu’il faut lire pour imaginer les dangers de partition qui menacent notre pays si les Français ne réagissent pas.

Été 2027. La France, accablée par une chaleur que rien ne semble pouvoir tempérer, s’embrase. Le pays, fortement communautarisé et dirigé par une classe politique à bout de souffle, bascule dans le chaos. Sur fond de querelles de pouvoir et d’islam conquérant, émeutes et exode des populations « de souche » menacent l’unité de la République.

Alors, pourquoi ne pas négocier à Mantes un nouveau concordat avec la religion musulmane ?

Mais comment en est-on arrivé là ? Qui se cache derrière la mystérieuse signature 1212IV revendiquant les meurtres d’imams modérés ? Et qui donc attise la rébellion ethnicoreligieuse qui met en ébullition la France toute entière ? C’est ce que va essayer de découvrir le commissaire Raoul Lelièvre, le chef de la section antiterroriste de la crim’, un flic à l’ancienne qui s’attache les services d’un grouillot de la presse régionale et coureur de jupons invétéré, Grégoire Deupartou. De Mokhtar-Maurice Massoud, le maire de Saint-Denis aux dents longues et aux moeurs dissolues, aux prédicateurs fanatiques acoquinés à des sicaires brutaux, en passant par cette bien singulière Milady voilée, les suspects ne manquent pas. Et s’il ne fallait pas plutôt les chercher du côté de cette Ligue des Vieux Habitants ? Ceux qui s’opposent aux oummanistes n’avaient-ils pas intérêt eux-mêmes à engendrer le chaos ?

Roman d’anticipation haletant, à la fois cruel et haut en couleur, l’Édit de Mantes est un ouvrage riche en références historiques et politiques qui passionnera tous ceux qui s’inquiètent des remises en cause incessantes de la laïcité à la Française et des coups portés à l’unité nationale. Il est une alerte et c’est sûrement ce qui rend cette fiction réaliste.

496 pages, 25 €, Editeur : Editions Diffusia

Sortie le 7 novembre 2016

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Et pour ceux qui n'ont pas encore lu Le Grand rembarquement :

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Réinfo, le mag du Parti de la France de cette semaine

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Poutine et la Troisième Rome

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Ronald Zonca Boulevard Voltaire cliquez ici

Les comportements de la Russie nous sont constamment présentés par nos médias comme étant erratiques, incompréhensibles, et ses dirigeants irrationnels. Pourtant, la lecture d’un simple document permettrait à ces plumitifs d’appréhender les principes de gouvernement de cette nation.

La prise de fonction du président Poutine, en mai 2000, fut suivie, en août, d’un Concile épiscopal qui a produit un document décrivant la conception sociale de l’Église orthodoxe russe [PDF]. Lors de l’ouverture de la représentation du Patriarcat de Moscou auprès des institutions européennes en 2003, ce document a été publié sur son site, notamment en français.

Les positions sont expliquées au travers des saintes Écritures. Saint Paul, qui a séparé culture et culte, faisant ainsi de la religion chrétienne une religion ne relevant pas de l’orthopraxie, est cité d’abondance. Ces principes ne devraient pas choquer les Français du fait de leur héritage helléno-chrétien.

N’en déplaise à ceux qui veulent faire table de rase de cet héritage et qui, faute de retenir le meilleur, sont dans l’agitation pour se donner l’illusion d’exister.

Ce document livre les positions de l’Église sur les notions d’État, de nation, de travail, de propriété, de guerre et de paix, de criminalité, de morale personnelle, familiale et sociale, de santé, de bioéthique, d’écologie, de sciences, de culture et d’enseignement, de médias, de relations internationales et de mondialisation.

Il ne s’agit pas d’un inventaire à la Prévert mais de principes aptes à guider toutes les personnes en charge d’une fonction publique. Sauf, évidemment, à vouloir mépriser les valeurs du peuple pour satisfaire un ego surdimensionné mâtiné d’avidité.

Dostoïevski, dans Les Possédés, affirme qu’un athée ne peut pas être russe. Staline entame son discours suite à l’invasion de l’Allemagne nazie par « Sœurs et frères ». Sans parler de la procession aérienne de l’icône de Notre-Dame de Kazan autour de Moscou lors de l’avancée allemande. Ces hommes avaient parfaitement perçu la dimension spirituelle de la Russie.

L’action du président Poutine et de son gouvernement est influencée par ces principes. D’où son niveau de popularité en et hors Russie et la détestation des tenants du matérialisme qui mettent la France en coupe réglée. Nos dirigeants, par servilité atlantiste, usent du même cynisme que celui de Talleyrand quand il déclarait : « Appuyons-nous fortement sur les principes, ils finiront bien par céder. »

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De tels principes, par leur enracinement dans l’Occident chrétien, résonnent au fond des âmes, même dans celles des athées, par leur poids culturel et historique.

La Russie est une nation chrétienne avec une laïcité authentique. Cette nation est guidée des principes moraux issus de son histoire, de sa culture et de sa religion.

C’est par ces trois entités qu’un être humain devient un citoyen car il peut s’enraciner dans le passé de sa nation, exister au présent dans sa société et se projeter dans le futur de sa patrie.

09:24 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Redéfinir Halloween

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Bernard Plouvier

Chaque 1er novembre, je me fais une joie de visiter les sites altermondialistes et traditionnalistes du Net, en langues française et allemande… et chaque année, je m’amuse quelques instants, en pensant aux mânes de mes ancêtres qui riraient beaucoup si la mort n’était un « sommeil éternel » (pour parodier Joseph Fouché, le maître de la police du Directoire et du Premier Empire).

Que de sottises lit-on sur cette « coutume yankee » et, en cette année 2016, il y a même un rigolo qui tient à toute force à franchir un certain mur en estimant que l’on a « abandonné Notre Mardi-Gras pour Halloween » ! Outre-Rhin, on fête et Halloween et la vigile du carême. L’un n’empêche pas l’autre.

Jusqu’à l’entre-deux-guerres, en Bretagne aussi bien qu’au Berry, en cette nuit toute particulière, les paysans faisaient brûler une petite bougie à l’extérieur de la maison et déposaient une petite offrande de nourriture (ce qui faisait la joie des vagabonds ou des bêtes sauvages).

Cette fête dite d’Halloween est bel et bien « païenne », mais surtout, elle est EUROPÉENNE ! Dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre, les Celtes honoraient leurs défunts et, comme pour la fête des Lémures à Rome, cela n’allait pas sans rite magique ni une certaine nostalgie, teintée de peur. On évoquait les chers disparus… et on redoutait leur colère si l’on avait péché contre l’honneur ou le sens de la famille, ou encore si l’on avait dépensé inutilement une partie du patrimoine.

Si les âmes existaient et pouvaient se manifester, quel charivari ce serait, de nos jours, en Europe celto-germano-scandinave, de la part de nos aïeux, qui ne pourraient qu’hurler leur désapprobation, leur mépris de ce que sont devenus leurs pitoyables descendants : des crétins hédonistes, qui se laissent imposer une propagande débile, en plus d’une immigration massive d’Extra-Européens en majorité ignares, violents et/ou parasites, qui autorisent l’implantation d’une religion conquérante et « turbulente » (c’est le dernier euphémisme à la mode chez les gnangnans, pour désigner les mahométans).

Nos ancêtres travailleurs (et eux aussi souvent « turbulents », on le reconnaît volontiers) verraient probablement d’un très mauvais œil la désindustrialisation massive de l’Europe, imposée par les maîtres de l’économie mondiale, et l’abjecte soumission de nos élus aux ukases (ou Diktate), bref aux ordres, des profiteurs de la mondialisation de la vie politique.

En revanche, la mondialisation de la vie sous-culturelle nous a valus – dès la fin de la Seconde Guerre mondiale en Grande-Bretagne – un renouveau de la fête celtique paysanne qui déplait tant aux puristes, ces gens qui ignorent ou feignent d’ignorer qu’avant d'adopter le christianisme, l’Europe était païenne… c’est-à-dire qu’elle adorait des divinités autochtones, réputées fort exigeantes pour les conduites morales, toutefois dans une éthique où n’intervenait nullement la bonté et la pitié, deux valeurs que les chrétiens peuvent juger bonnes si cela leur chante, mais dont toute l’histoire du monde animal prouve qu’elles sont parfaitement utopiques sur la planète Terre.

NDLR : le texte de notre ami Bernard de ce matin risque de susciter quelques commentaires mais son point de vue mérite d'être médité...

09:10 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |