mardi, 14 mai 2024
EURODEGENERESCENCE !
Pieter Kerstens
Par curiosité, j’ai regardé l’Eurovision de la chanson ce samedi 11 mai. Hors de la polémique concernant la candidate pour Israël et les diverses manifestations à Malmö, on doit reconnaitre que ce concours était bien organisé et orchestré.
Quelles chansons et quelles voix ?
L’Eurovision est avant tout un organisme international chargé, au sein de l’Union Européenne de radiotélévision, de coordonner les échanges de programmes de télévision entre les pays d’Europe occidentale et du Bassin méditerranéen, dont le siège est à Genève.
Pour la chanson, il concerne 37 pays dont 26 avaient été sélectionné pour la finale du 11 mai.
Les amateurs de la chanson et du chant en général sont restés sur leur faim : seuls 5 à 6 des participants ont fait entendre leur voix, car tous les autres avaient choisi une musique et un orchestre qui couvrait la chanson.
La chorégraphie primait sur la grande majorité des spectacles et la scénographie envahissait le plateau en éliminant l’intérêt vocal de la plupart des finalistes.
Décadence des artistes et déliquescence des compositions musicales.
Il est quand même étonnant de remarquer que le tiers de ceux qui se sont produits sur scène ont proposé des chansons à la gloire des invertis, des pervertis et des déviants sexuels, costumés de manière extravagante et obscène. Vous dites « dépravés » ? C’est exact !
Curieusement, seuls ceux qui avaient un organe vocal remarquable ne figurent pas sur le podium, à l’exemple du Portugal, de la Grèce, de la France, de l’Arménie ou de l’Italie.
Par contre, le jury de chaque nation a favorisé les excès de ceux ayant une scénographie outrancière et un message pervers tels Nemo, le gagnant pour 2024, qui lui se réclame non binaire et chantre de la minorité LGBTQIA+.
Le vote des publics européens (37 pays) est allé en majorité à l’Ukraine, à Israël et à la France, en refusant les outrances pornographiques déraisonnables des candidats du Royaume Uni et de la Finlande, parmi d’autres.
Vitrine de la déchéance et du déclin, l’Eurovision est la honte du continent !
Quand un concours international de la chanson (ou d’une autre prestation) atteint un tel niveau de bassesse, on peut légitimement se demander si les finances dépensées sont encore à la hauteur de la notoriété mondiale recherchée. Le résultat obtenu par cette 68e représentation fait ricaner dans le monde entier et renforce les critiques à l’égard de la défense des « valeurs de la civilisation européenne ».
Il est grand temps de mettre fin à ces dérives sociétales qui relèvent plutôt de la psychanalyse et sont malheureusement encouragées par le système médiatique entre les mains de puissants intérêts cosmopolites dont le but est la désintégration de nos sociétés.
Notre Europe n’est pas celle de l’Eurovision de la chanson du 11 mai 2024 et le 9 juin, pour la prochaine élection, nous aussi nous ferons entendre notre voix sur un air différent !
17:11 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
CRIMES JOURNALISTIQUES ET AUTRES MÉFAITS
15:36 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Forces de l’ordre : protéger et servir l’Empire ? Conférence de François Dubois dans les Vosges
E&R Lorraine recevra François Dubois dans le sud du département des Vosges le samedi 25 mai 2024 à 15 h pour une conférence sur le thème « Forces de l’ordre : protéger et servir l’Empire ? ».
Les corps constitués jouent un rôle important dans le maintien du pouvoir en place. C’est donc un ancien gendarme, instructeur de gendarmerie et officier de police judiciaire que nous avons le plaisir d’accueillir François Dubois.
Monsieur Dubois, qui est aussi vice-président du site profession-gendarme.com, nous propose une conférence riche en enseignements sur l’état des forces de l’ordre ainsi que leurs usages actuels et futurs.
Nous sommes fiers de vous donner l’occasion d’échanger avec cet intervenant de haut vol, car après les gilets jaunes, la réforme des retraites, la répression covid et avant la surveillance électronique généralisée, les JO et les villes 15-minutes, nous avons tous de nombreuses questions à poser concernant le rôle que les forces de l’ordre ont joué et vont jouer en France.
Peut-être aussi, à l’instar de notre invité, certains policiers/gendarmes sont-ils prêts à poser le casque et enfin protéger et servir le peuple…
Entrée : 5 euros
- Inscription obligatoire sur la billetterie en ligne racinesdapres.fr
- Le lieu exact vous sera communiqué par mail à l’adresse que vous aurez indiquée. Prenez garde à renseigner une adresse mail valide et votre numéro de téléphone portable, et vérifiez vos spams le jour J.
- Buvette et petite restauration
- Présence d’un stand Kontre Kulture avec notamment l’ouvrage de François Dubois, "Alice au pays de Lucifer".
14:46 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'OUVRAGE DE GEORGES SOREL "RÉFLEXIONS SUR LA VIOLENCE" ENTRE DANS LA COLLECTION "LES GRANDS CLASSIQUES DE SYNTHÈSE NATIONALE"
Ouvrage indispensable pour ceux qui veulent comprendre ce qu’il s’est passé en Europe au début du XXe siècle, ce livre, paru en 1910, a toute sa place dans la collection « Les grands classiques de Synthèse » dirigée par Patrick Parment. Il aurait inspiré tous les révolutionnaires de cette époque. De Lénine à Mussolini…
Réflexions sur la violence, Georges Sorel, Les grands classiques de Synthèse nationale, mai 2024, 390 p., 28,00 €
Pour le commander cliquez ici
Les Grands classiques de Synthèse cliquez là
14:32 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Xavier Raufer - Macron et les JO du chaos ?
Plongez au cœur des enjeux sécuritaires qui préoccupent la France et les Français à l'approche des Jeux olympiques de Paris. Avec Xavier Raufer, criminologue, directeur d’études au pôle sécurité défense du CNAM, également professeur aux États-Unis, en Chine, nous analysons la situation actuelle, marquée par une série d'événements violents et une menace terroriste persistante, le tout dans une forme de déni du gouvernement et d'Emmanuel Macron.
Un état des lieux sans concession de l'insécurité dans le pays, les défis posés par le trafic de drogue, les enjeux sécuritaires liés aux zones sensibles comme Sevran en Seine-Saint-Denis, Marseille dans les Bouches-du-Rhône, Nîmes dans le Gard et bien d'autres communes, et les craintes concernant la tenue des Jeux olympiques de Paris face aux cyberattaques et aux menaces terroristes pour lesquelles les armes envoyées par l’OTAN en Ukraine pourraient jouer un rôle.
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La France qui dégringole
Vincent Trémolet de Villers
Choose France, deux mots anglais pour camoufler, dans le décor somptueux d’un pays qui fut grand, un triste rétrécissement. Débat Attal-Bardella et peut-être Macron-Le Pen pour faire oublier, dans la fièvre des slogans, la passion du jeu médiati- que, le vide des caricatures, une situation économique et sociale proche de l’auto- destruction. En 2003, Nicolas Baverez publiait La France qui tombe, constat accablant sur notre dette, nos déficits, notre bureaucratie. Aujourd’hui, Jérôme Fourquet, dans une note pour Le Figaro qui fera date, décrit la France qui a dégringolé. Il y a vingt et un an, le poids de la dette publique, ramené au PIB, atteignait 63 %, aujourd’hui nous en sommes à près de 110 %. La vérité que décrit le politologue est implacable : ceux qui se sont succédé au pouvoir ont choisi de ne pas remettre en cause un modèle politique qui a sacrifié la production à la consommation. Dans cette grande fresque des quarante dernières années défilent les usines qui ferment, les entrepôts de logistique qui ouvrent. Les champions français qui passent sous pavillon étranger : Pechiney, Arcelor, Alcatel-Lucent, Lafarge, Norbert Dentressangle, Club Med, Latécoère... La grande distribution, qui redessine nos paysages, modifie nos comportements et tente de recouvrir tous les aspects de nos existences : «Il n’y avait pas d’espace funéraire Leclerc, mais ça semblait être le seul service manquant », écrit Houellebecq dans Sérotonine. Ce « stato-consumérisme » repose sur les aides publiques qui pénètrent nos existences jusque dans l’achat de notre vélo, la réparation de notre électroménager et même la reprise de nos vêtements troués ! Il s’appuie sur une fonction publique de plus importante subventions et une population immigrée « pièce essentielle du puzzle pour fournir des consommateurs nouveaux » (Pierre Vermeren), le tout sous l’emprise d’une administration droguée aux normes et aux réglementations. Mais, quand les caisses sont vides, que le travail s’insère entre les vacances, les week-ends et les RTT, que les règles sociales et environnementales découragent les énergies créatrices, le modèle s’épuise. Nous y sommes. Emmanuel Macron sait tout cela mais peut-il encore rattraper le temps perdu ?
Source : Le Figaro 13/5/2024
Enquête de l’Ifop sur l’Etat-guichet, un modèle à bout de souffle. Lire ICI
09:57 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi dernier à Scrignac (29) : un bel hommage a été rendu à l'abbé Perrot, assassiné en 1943 par les communistes
Notre Ami Youenn Caouissin (1) évoque, devant la chapelle de Koet Keo, là où repose l'abbé, le souvenir de celui-ci.
Ce samedi 11 mai se tenait la commémoration annuelle à Scrignac, aux pieds des Monts d'Arrée, en l'honneur de l'abbé Yann-Vari Perrot, militant nationaliste et martyr breton, lâchement assassiné par les communistes en 1943. Près de 150 personnes, parmi lesquelles de nombreux jeunes, toutes attachées à l'histoire et à l'identité de la Bretagne, ont assisté à cette belle cérémonie qui fut suivie par plusieurs conférences et par un sympathique pique-nique.
Durant cette commémoration, je ne pouvais m'empêcher de me poser la question suivante : est-ce qu'en éliminant l'abbé Perrot, ses assassins imaginaient un seul instant que, 81 ans plus tard, comme chaque année, des dizaines de Bretons (et autres) se retrouveraient devant sa tombe pour honorer sa mémoire ?... Sincèrement, je ne le crois pas. Et pourtant...
En revanche, une chose est sûre : c'est que ces terroristes (et l'idéologie qui les guidait), sont bel et bien, eux, tombés dans les poubelles nauséabondes de l'Histoire.
R H
(1) Youenn Caouissin est l'auteur de plusieurs livres consacrés à l'abbé Perrot parmi lesquels Yann-Vari Perrot, une âme pour la Bretagne, édité chez Via Romana, cliquez ici
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09:02 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Tribune libre : ET SI LES "FASCISTES" ÉTAIENT SYMPAS ?
Jean-Eudes Gannat
La voilà donc l'horrible jeunesse dont tout le monde parle. Sur les photos de laquelle Libé appose un filtre sombre, pour faire froid dans le dos. Dont tout le monde se sent obligé de dire le plus grand mal, des "antifas" à Tugdual Denis.
En rang, disciplinée, pas si uniformément vêtue de noir et masquée qu'on voudrait le faire croire.
Médias de grands chemins et politicards corrompus l'ont décrétée "néo-nazie" ; ne prennent-ils pas le risque de faire aimer Hitler aux téléspectateurs, ces fous ?
Car tandis que chaque 1er mai gauchiste laisse à voir des scènes chaotiques, le Comité du 9 mai a été un modèle d'organisation, de calme, de tenue.
Face à nous, toujours la même hystérie, les insultes, la vulgarité : le refus absolu du débat érigé en garantie démocratique.
Toute la gauche a crû bon d'encenser la jeune fille noire venue longuement provoquer et insulter le cortège impassible, allant jusqu'à traiter les participants de "sales blancs de merde" ; à elle, pourtant, revient l'unique débordement et les seuls propos racistes de la journée.
Quand on pense à la manière dont sont malmenées, voire violentées, les jeunes filles du Collectif Némésis venues avec de simples pancartes devant les manifs de gauche, une seule question nous vient : et si en fait, les "fascistes" étaient sympas ? Et s'ils étaient plus équilibrés que leurs détracteurs, s'étranglant dans leurs reductio ad hitlérum avec leurs tessitures canines ?
Savez-vous ce que pense - sans oser l'exprimer - le populo moyen quand il voit le défilé à la télévision ? La même chose que quand il regardait les images des batailles rangées de la rue du Cornet, lors des émeutes pour Nahel : "avec eux au moins, nous n'en serions pas là." Et le bourgeois de droite, si prompt à déclarer que nous sommes de dangereux crétins, nul doute qu'il viendrait se réfugier derrière nos "gros bras" le jour où éclaterait la fameuse "guerre civile" dont il se repaît à longueur de repas zemmouristes.
Une soixantaine en 2017, 850 selon BFMTV pour cette édition 2024 ; et si, en plus d'être sympas, les "fascistes" avaient de l'avenir ?
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lundi, 13 mai 2024
Le Baptême c'est tendance
Oui j'ose ce titre provocateur « le Baptême c'est tendance », même si l'abbé G., l'abbé de ma chapelle FSSPX dans la campagne bretonne va voir ses cheveux se dresser sur la tête, j'ose ce titre de communicant car je pense qu'il n'est pas faux et je pense aussi qu'il est « porteur » comme l'on dit et, après tout, portons, portons, il est temps que la France redevienne la France.
J'ai vu comme tout le monde les chiffres des Baptêmes d'adultes de 2023, plus de 12 500, contre un peu plus de 4 000 en 2022. Ils ont donc triplé et l'an prochain ils doubleront sans doute. Par ailleurs, même évolution concernant les participants au Pèlerinage 2023 de la Pentecôte, le Pèlerinage de Chartres, qui a vu marcher en chantant 42 000 jeunes, contre quelques milliers seulement trois ans auparavant.
Alors pourquoi ces bonnes nouvelles ? La France semble faire enfin le lien entre Chrétienté, Civilisation et Identité, et donc entre Chrétienté, souveraineté, force, pouvoir et sécurité. La France comprend enfin qu'en désertant ses églises elle a contribué amplement à laisser la place à l'islam ! C'est une évidence, la nature ayant horreur du vide comme chacun sait. Et quand je parle de vide, il y a le vide physique, les églises vides, mais aussi le vide du cerveau et de l'âme, privés de cette nourriture spirituelle et créatrice qui a fait de nous un peuple immense !
Par parenthèse, la France a une excuse de poids : Vatican II, ce Concile toxique de 1962, qui a voulu promouvoir le mensonge et la facilité, a bel et bien, ce faisant, tué l'Eglise et fait fuir les fidèles. Ils ont fui leur religion, celle de leur peuple, mais beaucoup ont aussi fui toute spiritualité nourrissante. A croire que tout cela était voulu afin, là encore, d'appliquer le plan désertifiant et mortifère du mondialisme...
La prise de conscience d'un retour salvateur aux valeurs Chrétiennes dans un ultime combat contre l'islamisme n'est pas, évidemment, la seule explication à cet afflux de Baptêmes : le modelage de la nouvelle France que nous imposent nos dirigeants, athéisme, nihilisme, wokisme, lgbtisme, ivg, pma et changement de sexe, etc..ne plaît pas à tout le monde, tant s'en faut, et est en train de susciter
une saine réaction.
Le sentiment de vide intérieur que génère cette société affreusement matérialiste, et toutes ses incidences, drogue, suicides, violences et la soif de sacré que l'humain a de tout temps, même dans les époques très reculées, portée en lui, le poussent à lever les yeux vers plus grand que lui. La France se rassure dans ses valeurs familiales et dans le retour à des pratiques religieuses rigoureuses et vraies, en se tournant à nouveau vers le Catholicisme de ses aïeux.
Dans la chapelle de ma paroisse, bondée à craquer chaque dimanche à 10 h, 25% des fidèles sont des nouveaux ! Et tous ces gens n'ont pas choisi la facilité de Vatican II, cette fausse messe qui s'apparente davantage à un happening pour colonie de vacances de CM2 qu'à la célébration du sacrifice de Jésus sur la Croix, non, ils ont choisi la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X, la Tradition, la Messe selon le rite Tridentin, c'est à dire la Messe en latin, langue sacrée de l'Eglise, la Messe de toujours. Ils ont choisi d'écouter des homélies qui nous parlent de Jésus, de Marie, des Evangiles, des Apôtres, et pas du mariage triste ni du bienheureux-vivre-ensemble-
Dans mon entourage, six catéchumènes adultes seront baptisés à Pâques prochaine, tous dans la Tradition de la FSSPX, dont quelqu'un de ma propre famille. Je pense que la lecture, que je vous recommande à tous, du puissant, révélateur, scientifiquement très argumenté et merveilleux livre d'Yves-Michel Bolloré et Olivier Bonnassies qui s'intitule « Dieu, la science, les preuves » (1), n'est pas étranger à la décision de gens par ailleurs intelligents et instruits, et qui, pour certains, ont cherché toute leur vie, en s'égarant parfois dans le bouddhisme ou dans la forme triangulaire !
Tous ces nouveaux ont la foi du charbonnier, ils bossent dur pendant les mois précédant leur baptême, leur assiduité et leur enthousiasme met du baume au cœur de tous ceux qui, contre vents et marées, et souvent grosses tempêtes, caricatures et grande injustice, ont tenu bon.
Alors vive les nouveaux catéchumènes et surtout qu'ils arrivent en masse, il est temps, et le retour de la Chrétienté sonnera le retour de la France, la vraie, c'est inévitable. Même si les motivations ne sont pas les mêmes pour tous, même s'il y a en effet une part de suivisme, de « tendance » pour certains(les Messes de Noël sont très courues et deviennent un must auquel on ne déroge plus) qu'importe, ils grossissent les rangs d'une armée en train de se reconstituer. Oui, la Chrétienté est une armée et les sarrasins et les faiseurs de mort vont bientôt l'apprendre à leurs dépends, d'autant qu'un autre phénomène vient enjoliver cette renaissance... nos soldats créent des familles nombreuses, très nombreuses, très très nombreuses, qui essaimeront partout dans la société.
Et bientôt face à chaque sarrasin... il y aura dix jeunes Cathos Tradis ! Alors à tous les dégénérés qui s'attaquent à l'identité, à l'âme, à la sagesse et à l'équilibre de notre France profonde, à tous les malades mentaux qui veulent nous imposer leurs phantasmes répugnants, j'envoie en pleine figure ce que disait déjà en 1793 François Athanase de Charette, Général de l'armée Catholique et Royale : « il est vieux comme le diable, le monde qu'ils disent nouveau et qu'ils veulent fonder dans l'absence de Dieu...on nous dit que nous sommes les suppôts des vieilles superstitions, faut rire ! En face de ces démons qui renaissent de siècle en siècle, sommes une jeunesse, Messieurs ! Sommes la jeunesse de Dieu, la jeunesse de la fidélité ! Et cette jeunesse veut préserver, pour elle et pour ses fils, la créature humaine, la liberté de l'homme intérieur. »
La liberté de l'homme intérieur, voilà le sacré dans l'humain, voilà la zone de force et de confiance que construit la foi en Dieu et que bien des Français redécouvrent avec émerveillement...
Même si nous sommes entrés dans des temps qui tentent de mettre à mort, et à tout prix, cette liberté si chérie, la lame de fond du retour de la Chrétienté qui s'annonce et qui enfle déjà, porte avec elle, j'en suis convaincue, le retour de notre grande et belle Civilisation.
(1) Dieu, la science, les preuves, Yves-Michel Bolloré et Olivier Bonnassies, éditions Trédaniel La Maisnie, 2021, 577 pages, 24,00 €
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19:23 Publié dans Catherine Blein | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Elections régionales en Catalogne : une Catalogne ingouvernable ?
Michel Festivi
Ce dimanche 12 mai ont eu lieu les élections régionales anticipées au Parlement de Catalogne, les dernières remontant à 2021. La communauté autonome de Catalogne, région de 32 106 km2 et peuplée d’environ 8 millions d’habitants, avait décroché l’appellation de « nationalité » dans son statut d’autonomie, remanié par la loi organique du 19 juillet 2006.
Il s’agissait de renouveler les 135 députés locaux. En 2021 l’ensemble de tous les partis indépendantistes, du centre-droit à la gauche extrême, avaient obtenu la majorité absolue, à savoir plus de 68 députés, et c’était Pere Aragonès, le chef de la gauche catalane, L’ERC, qui s’était fait élire, avec beaucoup de difficultés d’ailleurs, Président de la Comunidad, les partis indépendantistes étant en réalité très souvent en désaccord. Au demeurant, Aragonès avait dû dissoudre, en mars, le parlement catalan, le budget ne pouvant pas être adopté. Ces élections de 2024 se sont déroulées dans un climat très différent. D’une part, Pedro Sanchez, le Chef du gouvernement socialo-communiste, est passé par les fourches caudines des indépendantistes en faisant voter par les Cortès, la loi d’amnistie, blanchissant ainsi tous les condamnés pour sédition, cette loi est en cours d’examen au Sénat. D’autre part, les commentateurs dits avisés, laissaient entendre que les Catalans souhaitaient tourner la page et que l’on s’occupe plutôt de leurs difficultés du quotidien, le coût de la vie, le chômage, l’accès au logement et aux soins, l’amélioration des transports en commun très défectueux autour de Barcelone, on l’a encore constaté ce dimanche.
Mais Carles Puigdemont, le grand gourou, après sept ans d’exil en Belgique, actuellement résident d’Argelès-sur-mer, perpétuel souffleur de braises et jeteur d’huile sur le feu, avait déclaré il y a quelques jours « l’unique option pour que Sanchez reste Premier ministre, est que Salvador Illa (le Chef du Parti Socialiste Catalan, le PSC allié au PSOE), ne soit pas Président de la Catalogne », bref, que les partis indépendantistes conservent la main, et que Sanchez continue de se soumettre, du pur chantage politique, mais qui avait parfaitement fonctionné jusque-là.
Finalement, avec une participation en hausse de 6,7% soit 57, 95% des électeurs inscrits, ce qui n’est quand même pas beaucoup, le parti socialiste de Catalogne dirigé par Illa, allié au PSOE est arrivé en tête avec près de 28% et 42 élus, 9 de plus qu’en 2021, suivi par le parti de Puigdemont, Junts avec 21,61% et 35 sièges, 3 de plus que précédemment. Quant à l’ERC, la gauche indépendantiste catalane, le parti du Président sortant Père Aragonès, elle subit une lourde défaite avec 13,68% soit 20 élus, 13 de moins qu’en 2021.
Aucun parti n’obtient la majorité absolue, et même aussi l’ensemble des partis indépendantistes réunis, contrairement à 2021, ce qui fait dire à certains que la Catalogne serait devenue ingouvernable. Puigdement, depuis Argelès-sur-Mer, a d’ores et déjà exigé de Pedro Sanchez de pouvoir gouverner « Il y a de la marge pour un gouvernement solide d’obédience nettement catalane », a-t-il déclaré depuis son fief. Mais l’ERC a fait savoir, pour le moment, qu’elle resterait dans l’opposition, compte tenu de sa lourde défaite et sans doute aussi d’une crise interne. Les tractations vont aller bon train, pour élire le Président du parlement et le Président de la Généralité, qui serait susceptible de former un gouvernement local. Peut-on envisager une alliance PSC/Junts ?
A droite, les visages étaient plutôt souriants paradoxalement. Le Parti Populaire, qui en 2021 était en pleine déconfiture, obtient 10,97 % et 15 sièges contre seulement 3 en 2021, mais on notera, que le parti centriste Ciutadans qui avait eu 6 sièges en 2021, ne se présentait pas. Le PP est le parti qui a le plus progressé. Vox, aussi est soulagé, il maintient ses 11 députés obtenus en 2021, avec 7,96%, et c’était alors la première fois que le parti de Santiago Abascal entrait au parlement catalan. La Catalogne est une terre de mission pour Vox et il s’en sort très bien, avec un PP au plus haut qui ne le concurrençait pas en 2021.
En tout cas, une chose est certaine, l’ensemble des partis indépendantistes font nettement moins bien qu’en 2021, mais aucune formation politique n’est en mesure de gouverner seule, et des alliances sont donc indispensables. N’oublions pas qu’aux Cortès, le parti Junts de Carles Puigdemont, avec ses 7 élus peut à tout moment faire tomber Pedro Sanchez. En 2021, il avait fallu des semaines et des semaines pour parvenir à un accord entre indépendantistes alors majoritaires. Quand sera-t-il cette fois-ci ? Beaucoup de commentateurs pensent que rien de positif n’arrivera avant les élections européennes du 9 juin ? Je serai donc amené, je pense, à vous en reparler.
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11:13 Publié dans En Europe et ailleurs..., Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
A Bélâbre (Indre), la révolte anti-CADA continue
Francis Bergeron Le Nouveau Présent cliquez ici
Le samedi 11 mai, les habitants de Bélâbre, charmant village du sud-Berry, étaient appelés à manifester pour la septième fois en quinze mois cliquez ici. Une manifestation tournée une fois de plus contre le projet d’implantation d’un Centre d’Accueil d’Immigrés. Sept manifestations successives sans compter les réunions en salle, voilà qui est inédit pour un village de 900 habitants dont les sites internet vantent « le charme discret ». Il est vrai que ce village très rural est un peu loin de tout, comme l’a rappelé l’avocat et chroniqueur de CNews Pierre Gentillet, originaire du canton. Néanmoins 140 personnes (je les ai comptées !) ont répondu à l’appel de l’Union bélabraise contre le centre pour migrants. En face, une vingtaine de contre-manifestants ont chanté l’Internationale, séparés par…150 gendarmes.
La révolte des habitants (une pétition contre l’implantation du centre pour immigrés a recueilli 400 signatures de villageois en âge de voter, ce qui est une sorte de record !) trouve son origine dans le refus du maire Laroche de tenir compte de l’avis des habitants. Il y a ici un déni de démocratie manifeste, a rappelé Maître Gentillet.
Mais l’assassinat du jeune Matisse, poignardé à Châteauroux par un « réfugié » afghan a encore avivé la colère des habitants. C’est que Châteauroux, la préfecture du département, n’est que d’une cinquantaine de kilomètres. Et les Bélâbrais ignorent tout du profil des 32 « réfugiés » (en attente d‘expulsion ou de régularisation) qui doivent venir s’installer ici. Combien d’Afghans ? Combien d’islamistes ? La prochaine victime sera-t-elle bélabraise ?
Une usine désaffectée a été achetée et quelques millions d’euros de travaux sont prévus pour loger ces personnes.
-
N’ayez pas peur, ce seront des familles avec femmes et enfants, promet le maire, pour rassurer la population.
Mais l’assassin de Matisse n’a que 15 ans. Quant à sa mère elle a giflé au sol sa victime en train d’agoniser !
Fort heureusement les travaux de réhabilitation n’ont pas encore commencé, alors que le maire Laroche annonçait l’ouverture du centre pour cet automne. Il évoque à présent une ouverture des locaux en 2025. De nombreux recours contre ce projet ont été lancés par les voisins du bâtiment en cause, et sont loin d’avoir encore été jugés. Ludivine Fassiaux, la jeune animatrice de l’Union bélabraise, est optimiste : ce centre ne verra sans doute jamais le jour.
Quant aux bélabrais dans leur ensemble, en opposition frontale avec les édiles, qui se font discrets, ils se reconnaissent dans ce rôle de lanceurs d’alerte, au nom de tous les villages ruraux impactés par ces implantations artificielle de contingents de migrants venus de l’autre bout du monde, pour une durée indéterminée.
Le rassemblement s’est terminé par le témoignage d’un habitant de Calais, ayant pris sa retraite par ici, pour fuir les « incivilités ». Un récit qui fait froid dans le dos, et qui désespère ce « réfugié » dans son propre pays.
Il y a deux semaines, un élu de Châteauroux (sur la liste du maire ex-LR macroniste Averous) me disait au téléphone :
-
Bardella va faire 50% dans l’Indre, après l’assassinat du jeune garçon.
La presse locale (La Nouvelle République), très engagée ici à l’extrême gauche, fustigera une fois de plus la « récupération de l’extrême droite ». Mais quelle « extrême droite », et quelle récupération ? Les faits parlent d’eux-mêmes, hélas.
00:38 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 12 mai 2024
Manifestation du Comité 9 mai à Paris : une nouvelle victoire de la liberté contre la tyrannie
Samedi 11 mai, le Tribunal administratif de Paris a finalement, quelques heures seulement avant celle prévue pour le rassemblement, donné raison au Comité 9 mai cliquez ici. L'interdiction prononcée par le pouvoir a été levée.
Plusieurs centaines de jeunes nationalistes ont ainsi pu, rue d'Assas, rendre hommage à Sébastien Deyzieu, militant du GUD décédé lors d'une manifestation contre l'impérialisme américain en mai 1994.
Il faut dire qu'avec cette juste décision du Tribunal, Darmanin, le liberticide de la place Beauvau, et sont factotum parisien, le préfet Nuñez, prennent un coup dans les narines. Elle prouve, comme s'il en était encore besoin, l'inanité de la circulaire publiée il y a un an par le ministre de l'Intérieur demandant l'interdiction systématique des réunions et manifestations patriotiques.
Samedi après-midi la manifestation s'est donc déroulée dans un ordre parfait. Aucun incident à signaler, aucune vitrine brisée, aucune voiture incendiée, aucun passant molesté... Nous sommes aux antipodes des démonstrations de haines ultra violentes de LFI et autres groupes "antifas" ou islamogauchistes.
Avec la réussite de cette admirable marche du souvenir, une nouvelle victoire pour la liberté a été remportée face aux tyrans encore au pouvoir. Bravo au Comité 9 mai, le combat continue !
S N
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11:33 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Avec élégance et intelligence, Thomas Joly, président du Parti de la France, répond à Marion à propos des affiches de son parti la soutenant...
Suite à un surprenant courrier de Marion Maréchal clique ici au sujet de l'affichage du PdF, voici la réponse de Thomas Joly :
Chère Marion,
Quelle polémique bien inutile.
D'une part, le Parti de la France a annoncé son soutien à votre candidature dès début janvier car votre combat civilisationnel est aussi le nôtre. D'autre part, il n'a jamais été question de manipuler qui et quoi que ce soit puisque les affiches que nous avons produites indiquent seulement que le Parti de la France vous soutient pour cette élection européenne. Comme nous l'avions d'ailleurs fait avec Éric Zemmour pour la Présidentielle en 2022 sans que cela ne suscite une telle réaction épidermique.
Enfin, croyez-vous qu'il soit raisonnable, à un mois du scrutin, de vous désolidariser ainsi du seul parti politique en dehors de Reconquête qui soutient votre candidature ? Ne vous laissez pas influencer par un entourage de tièdes ou de courtisans veules qui ne cherchent qu'à diviser.
L'union des droites passe aussi par l'union avec ceux qui se revendiquent du Front National de votre grand-père comme le fait le Parti de la France.
Le Parti de la France vous souhaite le meilleur score possible le 9 juin ! Amitiés nationales.
Thomas Joly
Président du Parti de la France
NDLR SN : lorsque l'on est à 6 ou 7 % dans les sondages, il est dommage de traiter ainsi les bonnes volontés qui viennent vous soutenir. Heureusement, Thomas Joly et ses amis en ont vu d'autres et ils savent raison garder...
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Journal du chaos
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samedi, 11 mai 2024
Pourquoi se gêner ?
Gaëtan de Capèle
Dans un peu plus de deux mois, la France sera le centre du monde. Des centaines de milliers de touristes, des milliards de téléspectateurs n’auront d’yeux que pour les exploits des athlètes, mais aussi pour sa culture, son patrimoine, son art de vivre. Le retour, cent ans après, des Jeux olympiques à Paris a mobilisé toutes les énergies. Épreuves sportives, festivités, sécurité, logistique... tout a été pensé au millimètre pour que la plus grande compétition sportive du monde organisée à Paris reste gravée dans les mémoires. L’événement doit être une fête, une joie collective, une fierté nationale.
La France entière aspire à profiter de cette parenthèse de temps suspendu. Toute ? Non. Un bastion syndical peuplé d’irréductibles protestataires résiste encore et toujours. Ses dernières forces sont regroupées en un point et un seul : le mal nommé service public. Drapés dans les grands principes, la CGT et ses camarades de SUD ou de Solidaires ont depuis longtemps trahi ses missions pour le mettre au service d’un corporatisme forcené. Pour ces derniers Mohicans, les Jeux olympiques sont avant tout un formidable outil de chantage. Tony Estanguet rêvait d’une « trève sociale » ? Emmanuel Macron avait foi en « l’esprit de responsabilité des syndicats » ? Message reçu cinq sur cinq : un préavis de grève a été lancé dans les trois fonctions publiques. A la SNCF, à la RATP, chez les aiguilleurs du ciel, chez les éboueurs, dans la police ou encore aux douanes, c’est, comme dirait l’autre, la foire à la saucisse : primes, augmentations, départs anticipiés à la retraite…le catalogue des revendications n’a plus de limites, y compris les plus extravagantes, comme chez les cheminots. Dans ces rouages indispensables au succès des JO, le « quoi qu’il en coûte» tourne à plein régime. Mais, après tout, pourquoi se gêner? Plus qu’à son tour, l’État leur a signifié qu’il préférait acheter la paix sociale plutôt qu’affronter une crise. Face aux professionnels du conflit, il a depuis longtemps renoncé à tout acte d’autorité, à toute restriction du droit de grève, même la plus outrancière. Il ne fait que récolter ce qu’il a semé.
Source : Le Figaro 11/05/2024
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vendredi, 10 mai 2024
« Bamboula » …
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Jeudi 9 mai, 21 h 05… Sur « Gulli » - le canal 18 -, j’ai revu avec plaisir le film d’Etienne Chatillez, « Le bonheur est dans le pré », une production datant de 1995. Michel Serrault est le héros de cette savoureuse histoire, celle d’un petit patron poursuivi par le fisc, excédé par les grèves de son personnel, et étouffé par sa femme et sa fille, telles deux pieuvres enserrant leur proie.
À la suite d’un quiproquo volontaire dans une émission de téléréalité, il s’exfiltre dans le Gers, dans une hypothétique autre famille, où il retrouve la paix et rencontre l’amour. Ce faisant, il abandonne son chien - un batard au poil noir appelé « Bamboula » -, son seul véritable ami avec son compagnon de beuveries, interprété par Eddy Mitchell
Imagine-t-on aujourd’hui un film, un roman, une émission de télé, avec la présence appuyée d’un chien au nom si sulfureux, plusieurs fois martelé au cours du film ? C’est à cela que l’on mesure une certaine décadence, une liberté de ton disparue par une autocensure qui nous oblige à être « politiquement correct » sous peine de subir les foudres de Thémis. Tout de suite, les grandes consciences de l’antiracisme monteraient au créneau comme elles l’ont fait à propos de la réédition de Tintin au Congo en Belgique, ce royaume d’outre Quiévrain qui fut la mère patrie de cette lointaine colonie exotique, devenue de nos jours la triste RDC. À la dernière page de l’album, on peut y voir un vieux sage comme seule l’Afrique sait en produire, s’exclamer sous l’arbre à palabres, que « jamais y en verrai Boula-matari comme Tintin ! »…Quant à Banania, la sympathique figure du tirailleur sénégalais qui me fit, étant enfant, immédiatement aimer l’Afrique, elle est passée aux oubliettes !
Dans ces sociétés contemporaines, si promptes à traquer et débusquer toute expression à caractère suspect, peut-on toujours commander « un nègre en chemise » chez le pâtissier - aujourd’hui un « noir et blanc », allez savoir pourquoi ? -, déguster un « petit noir » sur le zinc, et s’enfiler un « petit jaune » au comptoir ou un « citron pressé » ?
Poser la question, c’est pressentir la réponse. Triste époque de petits hommes et femmes gris !
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20:05 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
ATTENTION ! PROGRAMME AJUSTÉ : samedi 11 mai 2024, Scrigniac (29), hommage à l'abbé Perrot
Le samedi 11 mai 2024
• 10 heures : rendez-vous à la Croix rouge, croix du martyre, route de Lannuzon, à côté de Gêrveguen, parking au carrefour avec Lizikoad-bras (seuls les Kroaz-du, les Gwenn-ha-du ou bannières religieuses seront autorisés)
• 11 heures : messe à la chapelle de Koat Keo : forme ordinaire, ad orientem, en breton et latin. Des livrets avec la traduction permettront à tous de suivre. Prenez vos pliants.
• Apéritif après la messe
Après la messe :
• Pique-nique (apportez votre nourriture)
• Des gwerzioù inédites écrites par l'Abbé Perrot seront lues et chantées pendant l'après-midi
• Expositions de photos de l'Abbé Perrot inédites (constructions de la chapelle etc.)
• Stands avec livres, cartes etc.
Pour réviser les cantiques : cliquez ici
Merci beaucoup pour votre aide ! Pour les aider à préparer cet événements : indiquez aux organisateurs votre venue éventuelle. Invitez vos amis de confiance !
00:54 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Exaspérations touristiques
La chronique flibustière de Georges Feltin Tracol
Dans la dernière semaine d’avril, de nombreux habitants des îles Canaries, cet archipel espagnol de l’Atlantique situé en face du Maroc, ont manifesté contre le surtourisme. Il menacerait leurs ressources naturelles, leurs paysages et leur cadre de vie. Les revendications des vingt à cinquante mille manifestants portaient aussi sur les mauvaises conditions de vie des travailleurs du secteur touristique, principal employeur de l'archipel (plus de 40 % des emplois). Ils dénonçaient enfin le prix inabordable de l'immobilier qui empêche d’obtenir un logement décent.
Cette réaction aux méfaits du tourisme de masse aux Canaries (14 millions de touristes en 2023 pour une population de 2,2 millions d’habitants) n’est pas unique en Espagne. Un autre archipel, en Méditerranée, les Baléares, subit une situation semblable. La réaction y est plus ancienne. Les opposants au surtourisme montent des panneaux en anglais près des plages pour dissuader les touristes de s’y faire bronzer. Les prétextes avancés insistent sur des menaces inventées (présence de méduses dangereuses, risque de chutes de pierres ou bien baignades interdites). Île connue pour son ambiance exubérante, Ibiza a longtemps attiré des flots continus de touristes britanniques, néerlandais et allemands grâce aux compagnies aériennes à très bas coût pour des fins de semaine sur-alcoolisées, festives et débridées. Des centaines de touristes plus qu’éméchés vomissaient, urinaient et déféquaient partout. D’autres complètement ivres, mais pas toujours, se jetaient au péril de leur vie dans la piscine de leur hôtel depuis le balcon de leur chambre au dixième, quinzième ou vingtième étage.
En Italie, face à la marée croissante des touristes occasionnels, la mairie de Venise a instauré, le 25 avril dernier, une taxe de séjour journalière, qualifiée de « contribution d’accès », d’un montant unique de cinq euros. Elle concerne toutes les personnes étrangères à la Cité des Doges qui désirent visiter la vieille ville en une seule journée, de 8 h 30 à 16 h 00. Outre des dérogations prévues, cette contribution ne concerne pas ceux qui passent au moins une nuit à l’hôtel. Elle n’est pas non plus permanente. Elle n’est effective qu’une trentaine de jours au moment des très grandes affluences touristique, les jours fériés et tous les samedis et dimanches entre les mois de mai et de juillet.
Ce droit d’entrée – une première au monde – a suscité le mécontentement d’une partie des Vénitiens. Souvent militants de gauche et de l’écologie radicale, les manifestants se scandalisent de cette disposition qui ferait de leur ville le plus grand parc d’attraction de la planète. Ils préfèrent l’établissement de quotas d’accès quotidiens. Ils oublient que ce serait une discrimination répréhensible pour le droit dit européen. Parmi les protestataires, d’autres s’indignent que les parents et les amis des Vénitiens qui n’habitent pas la ville s’acquittent aussi de la taxe. Les réunions de famille ou amicales tenues à Venise deviennent ainsi payantes… Enfin, une faction des contestataires s’inquiète de l’infrastructure technique et numérique nécessaire à sa supervision. Tout visiteur doit passer par quelques points d’entrée contrôlés, ce qui revient dans les faits à l’établissement d’une douane intérieure ainsi qu’au retour de l’octroi. Cela n’irait-il pas à l’encontre de la libre circulation des personnes prévue dans les accords de Schengen ? D’habitude si sourcilleuse sur le respect des droits individuels les plus loufoques, la Commission pseudo-européenne garde un silence éloquent sur cette violation indéniable des traités dits européens.
La procédure d’inscription pour payer la taxe risque de donner de très mauvaises idées aux tristes sires que sont les commissaires européens. Avant de franchir les accès d’entrée filtrés, il faut au préalable se déclarer sur Internet, payer avec sa carte bancaire et s’enregistrer avec un QR-code. La police municipale réalise des contrôles inopinés et dressent des amendes de cinquante à trois cents euros… Mis en avant au moment de la mystification covidienne, le QR-code va avantageusement remplacer un possible puçage des êtres humains puisque ces derniers ne peuvent plus se passer de leurs téléphones super-connectés. Dans un Occident terminal toujours plus liberticide, cette inclination vers une servitude techno-numérique volontaire ravit la super-classe cosmopolite mondiale. Signalons qu’en Grèce, il faut désormais que les voyageurs réservent sur un site spécial leur envie de parcourir l’Acropole d’Athènes.
00:53 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’État profond français – Qui, comment, pourquoi… ? un nouveau livre co-signé Claude Janvier et François Lagarde
Tout y est ! Tout ce que vous avez voulu savoir sur l’État profond français sans avoir jamais osé le demander. L’argent de vos impôts finance les guerres au lieu du service public ? Qui susurre à l’oreille d’Emmanuel Macron ? Qui détruit la France et ses valeurs ? Bercy l’État dans l’État ? Qui agit dans l’ombre ? La face cachée de la haute administration. La promotion de l’autodestruction. L’infiltration des lobbies à Bercy. Les dépenses publiques en mode casino. Le sacrifice par la dette. Le sanctuaire du « deep stat » français
Extraits :
« Être de droite ou de gauche est devenu un débat stérile depuis l’époque de François Mitterrand, où les cohabitations successives nous ont apporté davantage d’impôts, plus de lois liberticides et, par conséquent, plus de privations. »
« Indubitablement, la France est profondément touchée et gangrenée par une élite politique, médiatique, intellectuelle, aisée et solidement installée dans ses privilèges… »
« François Mitterrand : “La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains ; ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde…” »
« À fin décembre 2022, la France compte 4 530 radars automatiques en service sur ses routes. Selon la Cour des comptes, ces dispositifs ont rapporté 12,6 milliards d’euros de recettes entre 2003 et 2022, avec 209 millions de procès-verbaux enregistrés. Cela témoigne d’une machine à pognon vertigineuse et lucrative. »
« George Soros, président de l’Open Society Foundation, avait avancé que l’émission d’obligations perpétuelles serait une solution pour l’UE afin de faire face à la transition énergétique et à la crise Covid. Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, partageait cette vision et considérait que l’émission d’obligations perpétuelles était le seul moyen de mobiliser une telle somme. Une obligation perpétuelle, comme son nom l’indique, n’est jamais remboursée, mais exige uniquement le versement annuel des intérêts. »
« L’Administration française n’ose pas évoquer la notion de contre-pouvoir en raison de l’omerta qui règne dans les coulisses du gouvernement, de l’Assemblée et de la haute administration. Le constat est inquiétant devant la faiblesse de la justice, qui peine à prononcer des condamnations contre des élus accusés, au mieux, de tricherie et de mensonge. La presse et la justice préfèrent oublier l’existence irrégulière de ce monde parallèle, tant les uns comme les autres profitent des largesses de la corruption du pouvoir. Tout s’achète, ce n’est qu’une question de prix et de persuasion ! »
« Ce sont évidemment les impôts des Français qui financent le complexe militaro-industriel ! Il est nécessaire, avant d’aller plus loin, d’en comprendre les mécanismes exacts. En effet, grâce à l’émergence, depuis les années 1990, de Fonds cotés en bourse (ETF), beaucoup de financements ont été possibles sans que cela attire l’attention du grand public. Ainsi, les ETF sont utilisés par les investisseurs institutionnels tels que les banques privées, les fonds de pension, BlackRock et les organismes publics. »
« Il y aurait certainement beaucoup plus à écrire, c’est indéniable. On aurait pu envisager plusieurs tomes sur la collusion et le copinage au sein de nos élites, une sorte d’encyclopédie Universalis de la corruption. Cependant, compte tenu de l’énorme quantité d’informations disponibles, nous avons décidé de déclarer forfait. À la place, nous avons préféré vous offrir une compilation que nous espérons voir devenir un collector. »
Claude JANVIER : écrivain, essayiste et auteur de quatre ouvrages à succès, dont Les démasqués – qui dirige réellement le monde ? et deux autres co-écrits avec Jean-Loup Izambert. Depuis vingt ans déjà, il fouille, déterre, décortique, analyse l’actualité et se rend sur les lieux de conflits, comme en Syrie, afin de mettre à jour les véritables informations qu’il diffuse dans les nombreux médias où il intervient. Il anime, en tant que chroniqueur permanent, l’émission hebdomadaire « Libres Paroles » sur TVADP, la télévision des esprits libres.
François LAGARDE : diplômé d’une école de commerce, se consacre de plus en plus à l’analyse détaillée de la gestion des deniers publics par les pouvoirs en place, qu’ils soient de gauche, du centre ou de droite.
Sortie le 15 mai. Disponible sur KA’Éditions
L’État profond français – Qui, comment, pourquoi… ?, Claude Janvier et François Lagarde, KA Editions, 232 p., 20 € (sortie le 15 mai 2024)
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jeudi, 09 mai 2024
Samedi 11 mai, à La Chapelle-Basse-Mer (44) : HOMMAGE AUX VICTIMES DES COLONNES INFERNALES
Pour commémorer le passage des colonnes infernales en Vendée du 21 janvier 1794 au 13 mai 1794, dont l'objet est l'extermination et l'anéantissement de la Vendée, ainsi que le rappel pour « incompétence » de Louis-Marie Turreau de Lignières, général en chef de l'armée de l'ouest, le 13 mai 1794, par le Comité de salut public, à la suite de l'échec de sa mission en Vendée, l'association Mémoire du Futur de l'Europe a l'honneur de vous convier à la Chapelle Saint Pierre-ès-Liens, le samedi 11 mai 2024.
Cette journée sera dédiée aux victimes des colonnes infernales de l'ensemble de la Vendée militaire et spécialement aux 900 victimes de la Chapelle Basse-Mer, afin de lutter contre le mémoricide.
Reynald Secher
Programme de la journée cliquez ici
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Site de Mémoire du futur cliquez là
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Samedi 11 mai, Paris : marche en souvenir de Sébastien, militant nationaliste tombé lors d'une manif le 9 mai 1994
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Samedi 11 et dimanche 12 mai : l'Action française à Paris
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Samedi 11 et dimanche 12 mai, à Paris : réunion et défilé de la liste Forteresse Europe menée par Pierre-Marie Bonneau
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mercredi, 08 mai 2024
8 mai… connerie j’écris ton nom
Le billet de Patrick Parment
Cette commémoration, comme bien d’autres, m’a toujours fait gerber. Ce jour férié, que Valéry Giscard d’Estaing avait à juste titre rayé des cadres, a été remis au goût du jour par François Mitterrand. Le 8 mai marque la défaite de l’Allemagne et met fin à la Deuxième Guerre mondiale. Manière comme une autre de pousser sous le tapis la grande déculottée de juin 1940 où la France est occupée en même pas 48 heures. 1945, c’est aussi une époque sombre pour les Français où les règlements de comptes battent leur plein. Ça épure de tous les côtés et plus précisément de la part du parti communiste qui en profite pour effacer ses ardoises et asseoir sa domination politique non sans la complicité d’un certain De Gaulle qui fermera les yeux sur les bavures. En Dordogne, les cocos ont cloué des curés sur la porte de leur l’église ! Bref, ce 8 mai, c’est un grand moment de masochisme à la française. Y a quand même mieux à faire que se rappeler sans cesse ce chapitre peu glorieux de notre histoire. Mais, ce n’est pas fini, on va encore nous casser les burnes avec le débarquement qui marque, lui, l’invasion de l’Europe par les Américains et notre vassalisation. Ce n’est pas avec Macron qu’on va s’en sortir. Pas plus d’ailleurs que les Allemands avec les Américains qui les lobotomisent depuis 1945.
Mon autre sujet d’étonnement et qui montre à quel degré de bêtise on soumet le peuple : le barouf fait autour de la flamme olympique acheminée sur un rafiot, le Belem, dans le port de Marseille. Et des milliers d’imbéciles massés cul à cul pour voir arriver, non pas la reine d’Angleterre, le roi de Prusse ou l’empereur de toutes les Russie ! Non, ce gadget qu’est la flamme olympique. Paraît même que les organisateurs entendent la faire voyager dans toute la France pour la modique somme de 180 000 € par département. Alors que ces jeux sont d’abord une affaire de gros sous – c’est la version libérale du sport -, le racket national ne suffisant plus aux appétits du Comité d’organisation des Jeux olympiques, il s’en prend à la province. Et personne parmi nos politiques pour dénoncer cette arnaque ! Pauvre France !
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8 mai 1429, Orléans est libérée par Jeanne d'Arc
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mardi, 07 mai 2024
L'Irlande se réveille : des milliers de manifestants à Dublin contre l'invasion migratoire
Source Breizh-Info cliquez ici
Une marche contre l’immigration dans le centre ville de Dublin a attiré un grand nombre de personnes lundi après midi, rapporte RTE. Les manifestants sont partis du Garden of Remembrance (jardin du souvenir) et ont emprunté O’Connell Street peu avant 15h30, où la présence policière était notable, avec notamment une file d’agents de la Public Order Unit (unité de maintien de l’ordre public).
Au GPO (Poste de Dublin), les gardes se sont interposés entre les marcheurs et un groupe plus restreint de manifestants pro-palestiniens. Après son départ, la marche anti-immigration s’est regroupée au Customs House Quay pour une manifestation qui a duré jusqu’à près de cinq heures du soir.
Des protestations « Get them out, get them out » contre le gouvernement ont été entendues tout au long de la manifestation, ainsi que des condamnations des groupes politiques d’opposition, rapporte RTE.
Les manifestants portaient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire, entre autres, « L’Irlande appartient aux Irlandais », « Les droits civiques des Irlandais », « Arrêtez le traité de l’OMS sur les pandémies », « Déportations massives », « Les migrants économiques ne sont pas des réfugiés » et « Les vies irlandaises comptent ».
Des groupes locaux de Coolock et Newtownmountkennedy – où des manifestations ont été organisées récemment contre l’utilisation de bâtiments pour héberger des demandeurs de protection internationale – étaient également représentés. Des pancartes faisaient également référence à l’installation d’une nouvelle « plantation » de l’Irlande en référence à la colonisation de l’île par les Anglais. A noter quelques membres du Sinn Féin aperçus parmi les manifestants.
Comme partout en Europe, l’immigration est devenue l’une des principales préoccupations des peuples autochtones en Irlande. De nombreuses manifestations ont été organisées pour protester contre la transformation de bâtiments en logements pour demandeurs d’asile, et plusieurs incendies criminels ont été perpétrés.
10:21 Publié dans En Europe et ailleurs..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 06 mai 2024
Les priorités de Gabriel Attal n’engagent que ceux qui les écoutent
La chronique de Philippe Randa
l y a ainsi des semaines où la conjonction de faits-divers en dit long sur la réalité du « vivre ensemble ». Plus long qu’un long discours. Prenons deux drames et une pantalonnade ministérielle, quoiqu’en l’occurence cette dernière soit bel et bien un drame en elle-même… hélas !
Il y eut le meurtre de Matisse, âgé de 15 ans et massacré à l’arme blanche par un « djeun » guerrier du même âge, assisté pour l’occasion par sa maman de 37 ans qui, ne jugeant pas les coups de lame suffisant, a asséné à la victime quelques gifles supplémentaires, histoire de bien montrer qu’on ne contrarie pas impunément les Afghans qu’ils sont. C’est le juge d’instruction de Châteauroux qui revient de loin, lui qui, quelques jours avant, avait mis en examen la jeune « chance pour la France » pour « vol avec violence en réunion »… Bien imprudent, ce juge !
Plus « chanceux » aura été ce sexagénaire, habitant la rue Théophraste-Renaudot, dans le XVe arrondissement de Paris et qui a signifié à quatre « Djeuns », tous originaires de Seine-Saint-Denis, qui tentaient de pénétrer dans son immeuble, de déguerpir, les avertissant qu’il venait d’alerter la police… Menace vaine, puisqu’il a vu ceux-ci revenir peu après pour demander des comptes à cet « empêcheur de cambrioler tranquille » ; lui a « simplement » été roué de coups avant que la police n’intervienne et n’arrête les racailles. Ces quatre-là sont-ils eux aussi des « malchances pour la France » ? Cela n’a pas été communiqué… En revanche, leur victime a raconté son agression depuis son lit de souffrance : il semble, lui, modérément « suédois », sinon franchement méditerranéen et son accent chantant plus répandu au-delà de la Méditerranée (même si c’est de moins en moins vrai) que dans les rues de Paname. Preuve qu’aujourd’hui, l’origine ethnique (si tel est le cas !) ne serait guère un gage de sécurité.
Cerise sur le gâteau de la délinquance, la semaine nous a offert une comédie digne du théâtre de boulevard… Le Premier ministre Gabriel Attal a inauguré à Nice le 22 avril dernier un internat éducatif (soit en langage compréhensible « internat pour des ados perturbateurs ou en difficulté »). Ce, en compagnie des ministres Sabrina Agresti-Roubache, Sarah El Haïry et Éric Dupond-Moretti.
On ne retiendra malheureusement de cette « rencontre » que les fous rires et les belles intentions des gens du gouvernement d’une part… et plus encore celle de ce « djeun » qui reconnût, sans gêne aucune, que « Ma mère m’a obligé, m’a forcé à venir »… Une vilaine maman, n’est-ce pas ? Cela a bien fait rigoler Éric Dupont-Moretti dont le rire n’est pourtant pas connu pour être le propre du Garde des Sceaux.
Ce numéro attalo-dupont-morettien, digne des Barios, les célèbres clowns du club Dorothée, sent la gagne, t’à qu’à croire !
Mais ces deux tragiques faits-divers et cette ridicule comédie niçoise sont également lourde d’enseignements, du moins pour ceux qui acceptent de « voir ce qu’ils voient », selon la célèbre phrase de Charles Péguy (Notre jeunesse, 1910).
Tout d’abord, qu’une partie de plus en plus importante de la population actuellement en France – récemment naturalisée, demandeuse d’asile, clandestine ou de deuxième, troisième ou quatrième génération (depuis les vagues migratoires des années 70, tout se confond désormais) – non seulement ne s’est ni assimilée, ni intégrée, mais qu’elle a surtout importé les sanglants us, coutumes et manières des pays dont ses éléments sont originaires, notamment concernant la notion de vie et de mort, bien plus relative « ailleurs » que chez nous… Retourner chez soi chercher un couteau pour revenir en découdre avec un autre garçon de son âge, ce sous le nez de sa mère qui le suit pour « finir » le cadavre ensanglantée à coups de mandales dans la tronche, n’était tout de même pas une façon de faire très répandue en nos clochers et terroirs… d’antan !
De même, les « monte-en-l’air » (cambrioleurs) bien de chez nous en des temps que les moins de 20 (30 ?) ans n’ont pas connu, faisaient leur besogne avec une recherche obsessionnelle de discrétion, et non au vu et au su de tout un quartier, surtout quand le « pet » (l’alerte) a été donnée : constatons que la « peur des pandores » est aujourd’hui, pour certains, proche de celle de la « peur du loup » du petit Pierre de notre enfance… à cette différence près, que le grand menteur en culottes courtes a finit sa courte existence dans l’estomac du canidé, alors que celle des quatre « racailles » en vadrouille dans le XVe parisien, poursuivront sans doute la leur après un simple « rappel à la loi » pour trois d’entre eux (mineurs) et éventuellement un bref passage par la case prison pour le quatrième (majeur), ce qui lui permettra d’acquérir quelques utiles relations de travail.
Mais heureusement, Gabriel Attal et ses ministres l’ont martelé lors de leur excursion niçoise : « Il ne s’agit pas de punir, mais de prévenir. »
Et ce, avec une annonce des plus martiale : « M’attaquer à ce problème-là c’est une des grandes priorités de mon gouvernement », a clamé le Premier Ministre.
De quoi désespérer, si c’était encore nécessaire, tout ceux qui ont encore en mémoire sa déclaration sur la lutte contre l’effondrement scolaire, qui fut alors, elle aussi, sa « grande priorité », comme il le clama avec tout autant de fermeté lorsqu’il occupa (5 mois et 20 jours) le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse : soyons naïfs, sinon fous, et espérons sans rire (le sujet ne s’y prête guère) que cette déclaration-là ne sera pas simplement un effet d’annonce.
À moins, évidemment, que dans deux mois, après le résultat des élections européennes, le locataire de l’Élysée décide de se passer de tels talents d’exception à Matignon et place Beauvau.
Les annonces de priorités de Gabriel Attal n’auront alors engagé que ceux qui les auront écoutées, tout comme les promesses n’ont toujours engagées que ceux qui les ont crûes…
16:17 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
J'ai regardé le face-à-face sur CNews avec Sarah Knafo, elle a été remarquable...
Les lecteurs de Synthèse nationale le savent, si nous soutenons avec entrain la liste de Marion Maréchal cliquez ici, nous restons parfois dubitatifs sur la stratégie de la direction parisienne de Reconquête! Stratégie inspirée, dit-on, par Sarah Knafo. Ce fut le cas notamment cliquez ici suite aux mobilisations unitaires de 2022 et 2023 pour sauver Callac, Saint-Brévin ou encore, plus récemment, Dol-de-Bretagne du grand remplacement orchestré par les sbires du pouvoir macronien... La pusillanimité de certains cadres parisiens de R! avait alors eu le don de décourager, on peut le comprendre, de nombreux camarades...
Cela dit, j'ai regardé ce matin le face-à-face sur CNews où Sonia Mabrouk recevait justement Sarah Knafo. Jusqu'à présent, je n'avais jamais eu l'occasion de voir une émission avec cette jeune femme. Je dois dire que celle-ci a été remarquable. Je craignais, compte tenu des expériences citées ci-dessus, qu'elle adopte une attitude "marinesque", cherchant le consensuel en minimisant les idées, il n'en fut rien.
Bien au contraire, la troisième de liste de Reconquête!, convaincante, a entièrement assumé les fondamentaux de la droite nationale non-reniée que son parti doit incarner aujourd'hui. Elle a, bien sûr, dénoncé avec vigueur l'agression dont a été victime cliquez là samedi Éric Zemmour à Ajaccio et la manipulation médiatique qui suivit. Elle a aussi défendu avec talent une ligne purement identitaire face à l'immigration incontrôlée. Elle a rappelé, non sans malice, qu'une élection n'est jamais gagnée trois ans avant en énumérant la liste des nombreux politiciens qui, sous la Ve République, sont tombés de haut. Elle a enfin expliqué que, pour arriver au pouvoir, la droite nationale devait se rassembler en respectant la personnalité de chacun et mettre les volontés hégémoniques de côtés.
C'est en effet à l'édification de ce vaste rassemblement salvateur que nous devons oeuvrer aujourd'hui. Un rassemblement de toutes les sensibilités qui font la richesse de notre famille d'idée. À l'heure où notre continent subit une invasion que certains osent encore nier, nous ne pouvons donc que nous réjouir des propos tenus ce matin par Sarah Knafo. L'heure n'est plus aux tergiversations stériles, elle est à l'efficacité offensive.
Roland Hélie
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dimanche, 05 mai 2024
Journal du chaos
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15:45 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LÂCHE AGRESSION CONTRE ÉRIC ZEMMOUR À AJACCIO
Éric Zemmour lâchement agressé dans le dos par une hystérique antifa à Ajaccio.
Alors qu'il menait campagne sur le marché de la préfecture de la Corse, accompagné par plusieurs candidats de la liste de Marion Maréchal, et qu'il recevait un accueil plus que favorable de la part de la population, le président de Reconquête ! a été lâchement agressé par une bande de nervis. Heureusement, Éric Zemmour, déjà rôdé à ce type de danger, s'est courageusement défendu et a repoussé l'hystérique qui s'était jetée sur lui par derrière. Le soir même, malgré la violence gauchiste, il a tenu un grand meeting qui a rassemblé des centaines de patriotes corses venus l'acclamé.
Notons au passage le silence assourdissant de la classe politique face à cette odieuse agression. D'habitude si prompte à l'indignation volubile lorsque l'on découvre une svastika taguée sur une boite à lettres ou tracée à la craie derrière une vespasienne, celle-ci reste bien muette aujourd'hui. Quant-aux plumitifs de la presse aux ordres, ils ont tenté, sans grand succès il faut bien le dire, de travestir le déroulement des faits en confondant sournoisement les agresseurs et l'agressé.
Ce terrible incident révèle, une fois de plus, la nécessité d'en finir avec les agissements criminels des gangs islamogauchistes. Dans un État national digne de ce nom, il faudra mettre hors la loi les groupes prétendus anti-fascistes qui manipulent les cerveaux et agressent les patriotes ; il faudra aussi en finir avec les partis, tels LFI et quelques autres, qui encouragent le terrorisme et cautionnent les agissements des milices islamistes sur notre sol.
En attendant, manifestons notre totale solidarité militante avec Éric Zemmour et espérons que, dorénavant, Darmanin, le matamore de la place Beauvau, mettra autant de zèle à veiller au bon déroulement de la campagne qu'il en met à s'acharner contre les organisations nationalistes et identitaires qui elles, soulignons-le, ne se livrent à aucune violence. On peut toujours rêver...
Roland Hélie
Sur ce sujet, lire aussi l'article de Patrick Jardin publié sur Riposte laïque cliquez ici
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13:18 Publié dans Editoriaux, Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |