Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 25 septembre 2025

Tous d’extrême droite !

dandriieu.jpg

Laurent Dandrieu revient dans Valeurs actuelles sur le concept d’extrême droite. Hier encore, entre la droite intellectuelle et la gauche itou, c’est par le dialogue et la confrontation des idées que passaient les joutes. Et pas toujours à fleuret moucheté comme en témoigne le dézingage du sartrisme par Jacques Laurent et toute la bande de La Parisienne dans les années cinquante. Aujourd’hui, la confrontation et le dialogue n’existe plus. La gauche ne livre que des anathèmes et celui qui revient le plus souvent, évidemment consiste à vous placer à l’extrême droite et à vous qualifier de facho. Comme le démontre Laurent Dandrieu, tout cela n’a plus aucun sens. On colle du fascisme à toute les sauces sans en connaître pour autant la réelle signification. Idem à ce sujet, avec le mot nazi. On nage dans la confusion. C’est le règne de l’invective. La pensée n’y trouve évidemment pas son compte.

Lire la suite ICI

Source : Valeurs actuelles 24/9/2025

08:57 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La gabegie de France Télévision soulignée (très) tardivement par la Cour des comptes.

France Télévisions : des salariés à bout de nerfs

Michel Festivi

En plein débat sur l’orientation plus que gauchiste des chaines du service public, le rapport que vient (très tardivement) de publier ce mardi 23 septembre, la Cour des comptes fait tâche. Et pour cause, sachant que nombres de commentateurs ont justement souligné, que ce document aurait dû être porté à la connaissance du public depuis le mois de mai, mais la reconduction de Madame Ernotte était alors en jeu à l’Arcom. Et après on osera nous parler de transparence et de non-collusion des élites ! C’est en tout cas ce qu’à dénoncé Sébastien Chenu, vice-président et député RN, ce qu’aurait contesté la Cour des comptes de son côté.

Ce groupe public, puisque détenu à 100% par l’État, ne vit que grâce aux impôts des Français qui travaillent ou qui ont travaillé. Le chiffre d’affaires de l’entreprise est constitué à 80% par nos impôts et taxes, le reste étant du ressort de la publicité par exemple. Le contribuable devrait remettre au pot, car les fonds propres y sont au rouge vif depuis 2021. Or le code de commerce est formel, aucune entreprise ne peut envisager d’avoir des fonds propres en dessous de la moitié de son capital social, sous peine de dissolution, sauf à reconstituer le capital, c’est-à-dire en l’occurrence à ce que les impôts des Français y contribuent.  D’ailleurs la Cour des comptes conclut que la situation financière est « non soutenable sans réformes structurelles majeures ».

Au niveau des salaires, l’on apprend que les 8932 salariés perçoivent un salaire brut moyen annuel d’environ 74 000 euros, alors que l’INSEE précisait qu’en 2023 seulement 10% des employés de l’Île-de-France atteignaient ce chiffre. 396 collaborateurs gagnent plus de 100 000 euros bruts par an, 31 personnes plus de 200 000 euros et 5 personnes plus de 300 000 euros. Chez France info par exemple, les charges de personnel ont augmenté de 105% entre 2017 et 2024, alors que la part d’audience est de 0,7% des parts de marché contre 3,3% pour CNews.

Les dépenses de taxi ont explosé, de 2,1 millions d’euros en 2019 à 3,8 millions d’euros en 2024. Quelle entreprise en déficit chronique se permettrait ce genre de plaisanterie ? Pour les véhicules de fonction, qui peuvent être utilisés pendant les congés a contrario des simples véhicules de service, 53 dirigeants en usent, faisant écrire à la Cour des comptes que cela « n’a pas d’équivalent chez d’autres entreprises publiques ni même chez la plupart des ministères ». Et bien sûr pendant ce temps, en même temps, Madame Delphine Ernotte qui a prétendu faire de l’information non pas en tenant compte du réel, mais en voulant promouvoir une France à son image à elle : « représenter la France telle qu’on voudrait qu’elle soit », accusant Cnews « d’être d’extrême droite ».

Comme le souligne justement Antonin Ferreira Roche, analyste financier et fondateur de l’Institut pour l’Audace Politique, les mélanges des genres se multiplient. Outre l’affaire scandaleuse des propos tenus dans un lieu public, par deux journalistes du service public contre Rachida Dati en présence de deux représentants parisiens du PS et révélé par le journal L’incorrect, outre le matraquage permanent des chaines publiques pour l’application en France de la taxe Zucman, « le mélange des genres ... s’est également illustré par la nouvelle recrue du JT de 20H de France 2, Léa Salamé pourtant compagne d’un des chefs du NFP Raphaël Glusksmann. Cette dernière a consacré son 20 heures à plusieurs reprises à la taxe Zucman. allant même jusqu’à déformer sur X, les propos du co-fondateur de Mistral AI, Arthur Mensch, le faisant passer « pour favorable » à la mesure lorsqu’il disait précisément qu’il ne pourrait pas s’acquitter de cette taxe ». (Cf le Figaro Vox du 24 septembre 2025 « France Télévisions gère ses comptes comme son information : selon ses désirs et non selon la réalité ».

Imaginerait-on une seule seconde, par hypothèse, le compagnon de Marine Le Pen, de Marion Maréchal, de Sarah Knafo, ou tout autre représentant d’un de ces partis, présenter le 20H sur France 2 ? Je laisse le soin d’imaginer au lecteur qu’elles auraient été les réactions des gauches et de l’extrême gauche, et même des LR et du centre, le malheureux n’aurait pas tenu 1H. On se rappelle, qu’en 2007, Béatrice Schönberg avait cru devoir quitter la présentation du JT de France 2, devenue l’épouse de Jean-Louis Borloo alors ministre.

Selon les experts en la matière, France Télévisions dépenserait 100 millions d’euros pour atteindre un point d’audience, contre 65 millions pour TF1 et entre 60 à 70 millions pour M6. Dès lors comme le propose le RN, Reconquête, l’UDR et d’autres, la seule solution c’est la privatisation de l’audiovisuel de service public, qui coûte 4 milliards par an au pauvre contribuable qui n’en peut mais, et que l’on entend encore taxer. Mais c’est aussi pour avoir failli complètement dans sa tâche première, de représenter le pluralisme, c’est-à-dire la libre expression équitable de tous les courants de pensées, qu’il convient de privatiser. Comme l’a souligné l’Institut Thomas More en mai 2024, dans une étude très solide intitulée « l’audiovisuel public français est-il pluraliste ? » ses conclusions sont sans appel « Au terme de cette étude, nous croyons que l’ensemble des éléments présentés permet d’établir le constat solide et argumenté que l’audiovisuel public a failli à sa mission de pluralisme en ce qu’il ne diffuse pas équitablement les différents courants d’opinion. », et ce au bénéfice du progressisme de tous poils, de toutes les déconstructions, des gauches dans leur ensemble.

 

Pour télécharger le rapport de la Cour des comptes, cliquez ici.

Pour accéder au site Scandale-Audiovisuel-Public mis en place par l'eurodéputée Reconquête! Sarah Knafo cliquez ici.

Enfin, pour mémoire, nous vous rappelons que le site Boulevard voltaire a lancé une pétition demandant la fin du financement public de France Télévisions et de Radio France. À ce jour, le texte totalise 100.472 signatures. Pour signer la pétition, cliquez ici.

08:47 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Législative partielle, 5e circonscription des Français de l'étranger : le Parti de la France apporte son soutien au candidat Reconquête! Sébastien Tavera

Législative partielle : le Parti de la France apporte son soutien à Sébastien Tavera

 

Communiqué du Parti de la France

Pour l'élection législative partielle dans la 5ᵉ circonscription des Français de l’étranger qui se déroulera dimanche 28 septembre, le Parti de la France n'a pas déposé la candidature de Pierre-Nicolas Nups (annoncée il y a plusieurs semaines) afin de soutenir le candidat de Reconquête, Sébastien Tavera, entrepreneur installé en Espagne depuis 25 ans.

Afin d'éviter ce qui s'est passé à Paris, pour l'élection législative partielle de la 2e circonscription, où Reconquête a présenté un candidat bien après l'annonce de candidature d'Alexandre Simonnot pour le PdF, il est vital, pour la véritable droite nationale, d'éviter ces candidatures concurrentes regrettables.

La balle est désormais dans le camp de Reconquête qui, nous l'espérons, apportera son soutien à Guy Jovelin, candidat du PdF dans la 1ère circonscription du Tarn-et-Garonne qui aura lieu le 5 octobre prochain.

08:34 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 24 septembre 2025

France Télévisions : instrumentalisation politique et débâcle financière (suite) - Boulevard Voltaire lance une pétition demandant la fin du financement par nos impôts !

Inquiet pour son financement, France Télévisions s'affiche à l'offensive |  Les Echos

Pour faire suite à la note mise en ligne ce matin par Maurice Bernard (cliquez ici), Synthèse nationale informe ses lecteurs que le site Boulevard voltaire a lancé une pétition demandant la fin du financement public de France Télévisions et de Radio France.

À ce jour, le texte totalise déjà 100.446 signatures.

Pour signer la pétition, cliquez ici.

19:04 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'un des gauchistes agresseurs d'Erik Tégner et de sa fiancée, le 31 juillet dernier, a été condamné ce matin à Saint-Brieuc

Ils nous ont traités de nazis» : le journaliste Erik Tegnér agressé par  l'ultragauche en Bretagne

Synthèse nationale

« Ça, évidemment, c'est une victoire » a réagi Erik Tégner ; avant d'ajouter : « On n'a pas pu retrouver tous ces "antifas" mais c'était important qu'il y ait cette condamnation à l'heure où quand même, il y avait une partie de la presse, comme Ouest France, ou encore les députés Raphaël Arnault ou Antoine Léaument qui avaient encouragé cette violence, notamment contre ma fiancée, donc c'est une belle victoire aujourd'hui ».

Rappelons qu'à la suite de cette agression, la droite nationale locale, Synthèse nationale et Reconquête! en tête, avait dénoncé cette nouvelle violence d'extrême gauche et apporté tout son soutien à Erik Tégner.

L'individu condamné aujourd'hui (à 400 euros d'amende, dont 200 avec sursis, 300 euros de dommages-intérêts et 400 euros pour les frais d'avocat) est un gauchiste déjà connu des services de police pour possession de produits stupéfiants et port illégitime d'arme blanche ou de catégorie D...

Cliquez ici. Cliquez encore ici. Et cliquez là.

Voir aussi Boulevard Voltaire : cliquez ici.

17:57 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La pseudo-"descente d'extrême droite" à Brest, le week-end dernier : "Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose"

Attaque éclair » à Brest : une vingtaine d'hommes masqués sèment la terreur  dans un café emblématique - Le Parisien

Synthèse nationale

Les méthodes de la gauche et de l’extrême gauche marxistes-léninistes modernes ont cours depuis l’entre-deux-guerres. Elles sont bien connues : le flicage, le fichage, la dénonciation publique, la traque, l’insulte, l’intimidation ou encore la reductio ad Hitlerum.

Le cas échéant, le recours à la violence, sous le vocable commode d’"autodéfense", généralement dans la plus parfaite impunité, ne les rebute pas.

Gauche et extrême gauche pratiquent également, volontiers, la victimisation. Chez elles, crier au fascisme est devenu un réflexe pavlovien. Une seule explication à leurs déboires éventuels leur vient à l’esprit : les agissements de l’extrême droite ! Encore et toujours !

En Bretagne, elles nous ont déjà fait le coup au moment de la campagne militante contre l’installation de migrants dans le petit bourg de Callac, dans les Côtes d’Armor. En 2022, elles ont ainsi lancé une campagne de délation et d’intoxication destinée à faire croire, sans aucun fondement (et donc aucune suite), que les élus locaux et le rédacteur en chef d’un petit journal local, Le Poher, étaient l’objet de menaces.

La dernière illustration en date de leur propension délirante à voir partout la patte de la "bête immonde" remonte à la nuit de samedi à dimanche derniers.

Premier acte : vers minuit, à Brest, une trentaine d’hommes masqués attaquent, sans lancer de slogans, un bar connu pour être un repaire de l’extrême gauche locale. Les clients présents ne se laissent pas faire. Les tables et les chaises volent de part et d’autre. Le gros des assaillants s’enfuit.

Deuxième acte : la "gauchosphère" s’enflamme. Comme à son habitude, elle tombe très vite dans le n’importe quoi et la surenchère. Pour Ouest France, les agresseurs, bien que silencieux, se sont revendiqués « nationalistes ». Pour le maire socialiste de Brest, François Cuillandre, aucun doute, il s’agit d’« un groupuscule d’extrême droite ». De son côté, sur BFMTV, le député LFI du Finistère, Pierre-Yves Cadalen, dénonce « la violence de l’extrême droite (qui) n’est pas combattue à la hauteur où elle se déploie partout » (!) ; tandis que son collègue, l’inénarrable Thomas Portes, évoque des « militants néo-nazis », des « milices d’extrême droite, galvanisées par CNews et chauffées à blanc par les discours de Retailleau, (qui) passent à l’action partout dans le pays »…

Troisième acte : Point de "fachos"… mais des supporters de foot ! En fait, l’enquête en cours s’oriente plutôt vers la mouvance hooligan. La descente serait l’œuvre de jeunes afficionados ultras du Stade brestois dont les motivations demeurent inconnues à cette heure (des supporters qui se sont déjà signalés par des violences en avril dernier en marge d’un match de football opposant l’équipe de Brest à celle de Lens). Ainsi, d’après les informations d’ICI Breizh Izel, cité par France 3 Bretagne, « l'un des blessés pris en charge samedi soir ferait l'objet d'une interdiction de stade suite à l'agression de supporters lensois en avril dernier ». Sans commentaires ! 

Nous voilà donc bien loin de la politique. Ce qui, pour nous, n'est en rien une surprise tant ce genre d'opération n'a pas grand chose à voir avec le vrai combat militant, nationaliste et identitaire, contre les méfaits de la gauche et de l'extrême gauche marxistes-léninistes...

15:41 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dîner-débat à Paris, le mardi 7 octobre prochain, avec Gabriele Adinolfi (Les Lansquenets) et Jean-Gilles Malliarakis (L'Insolent)

Synthèse avec Jean-Gilles Malliarakis et Gabriele Adinolfi - YouTube
 
Le mardi 7 octobre, jour anniversaire de la bataille de Lépante, qui marqua une certaine unité européenne face au danger ottoman, aura lieu, à partir de 19h30, dans un restaurant parisien, un dîner-débat dans le cadre du Cercle des Amis de Daniel Gazzola.
 
Cette soirée, au cours de laquelle interviendra Jean-Gilles Malliarakis, sera l'occasion d'échanger autour de divers thèmes : la politique turque actuelle, la situation dans le Caucase et d’autres questions connexes qui nous concernent directement, tant à l'extérieur qu'à l'intérieur de nos frontières.
 
Renseignements complémentaires et inscription par e-mail à : assoc.artemis@gmail.com.
 
Les organisateurs rappellent la nécessité de s'inscrire suffisamment tôt afin que le nombre exact de convives attendus soit connu.

11:28 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

France Télévisions : instrumentalisation politique et débâcle financière

France Télévisions : l'alerte de la Cour des comptes sur « une situation  financière critique » - Le Parisien

Maurice Bernard

Décidément, ça chauffe pour le service public de l'audiovisuel.

Il y a d'abord eu l'affaire Legrand-Cohen, qui a mis sous les projecteurs la collusion idéologique entre France Inter et la gauche. Il y a maintenant le rapport de la Cour des comptes - dix ans après le précédent - sur la gestion de France Télévisions (un document qui, semble-t-il, aurait dû être publié en mai... avant la troisième réélection de Delphine Ernotte, madame « on essaie de représenter la France telle qu’on voudrait qu’elle soit ») - Pour télécharger le rapport, cliquez ici.

Le texte de 140 pages souligne la "forte dégradation de la situation financière" de France Télévisions (256 millions d'euros de déficit cumulé pour la période 2017-2022). Il pointe sa "situation de trésorerie particulièrement préoccupante depuis 2024, qui risque de s’aggraver en 2025 puis en 2026" ; une situation qui  "interroge sur la capacité de l’entreprise à assurer la continuité de ses missions dans un contexte de tension générale sur les finances publiques amené à perdurer".

Face au scandale que représentent France Télévisions et l'ensemble du service public de l'audiovisuel, l'eurodéputée Reconquête! Sarah Knafo vient de mettre en place un site à suivre : Scandale-Audiovisuel-Public (cliquez ici).

10:55 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sébastien Tavera, candidat Reconquête! pour la législative partielle de dimanche prochain, 28 septembre, dans la 5ᵉ circonscription des Français établis hors de France (Espagne, Portugal, Andorre, Monaco)

Taverna Zemmour.jpg

10:54 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Guy Jovelin, candidat du Parti de la France pour la législative partielle des 5 et 12 octobre prochain dans la 1ère circonscription du Tarn-et-Garonne

facebook_1758641356007_7376276474066950583.jpg

10:34 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 23 septembre 2025

L'an prochain, Synthèse nationale aura 20 ans...

Diapositive1 copie 4.jpg

La revue Synthèse nationale : cliquez là

Pour vous abonner en ligne : cliquez ici

Bulletin d'abonnement : cliquez là

Diapositive1 copie 33.jpg

19:40 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le 2 octobre prochain, parution du n°9 de Frontières

Frontières.jpg

La rédaction de Frontières

Depuis des années, on nous répète que l’islamisation de la France ne serait qu’un fantasme, une invention de l’extrême droite pour faire peur. Pourtant, la réalité est tout autre. Derrière les discours rassurants, les décisions locales s’accumulent : subventions municipales, terrains cédés, salles prêtées, inaugurations complaisantes…

Pendant plusieurs mois, notre rédaction a mené une enquête minutieuse. Nous avons étudié des milliers de délibérations, de votes, de budgets municipaux et de prises de parole publiques. Le résultat est sans appel : partout en France, des élus de tous bords ont choisi l’aveuglement ou la complicité.

Dans ce numéro, Frontières publie un Top 30 inédit des maires les plus complaisants. Qu’ils soient de droite, de gauche ou sans étiquette, leur point commun est d’avoir troqué Marianne contre la soumission, au mépris de l’intérêt général.

Une enquête exclusive, appuyée sur des données factuelles, qui révèle l’ampleur d’un phénomène trop longtemps nié.

Un numéro à lire absolument pour comprendre comment, pas à pas, l’islamisation s’ancre dans nos communes.

Pour précommander le magazine, cliquez ici.

19:36 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Réunion publique avec Eric Zemmour, samedi prochain, 27 septembre, à 17h, à Troyes

facebook_1758553628045_7375908516325059732.jpg

08:29 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sur Breizh-Info, un entretien des plus intéressant avec la journaliste italienne Francesca Totolo

Trump wants to designate antifa as 'a major terrorist organization.' Can he  do that? | PBS News

 

« L’antifascisme militant sert à attiser la violence dans les rues pour accélérer la chute de l’Occident » Francesca Totolo.

 

Les mots "Bella Ciao" gravés sur une des balles destinées au militant conservateur Charlie Kirk ont remis sous les feux de la rampe les violences antifascistes. Un terme aussi galvaudé que celui de fascisme, puisque ce dernier est souvent attribué à quiconque ne partage pas la vision du monde progressiste. Et tendancieux : en se déclarant "antifasciste", l’extrême-gauche se place elle-même dans le "camp du bien". Prétendant combattre contre la résurgence du "fascisme", ses crimes sont excusés de fait quand ils ne sont pas carrément passés sous silence.

C’est ce que nous explique Francesca Totolo, journaliste et auteur italienne, dont l’ouvrage « Urgence antifascisme, Des anarchistes aux centres sociaux : les violences rouges en Italie »  [non traduit en français] cartographie les exactions perpétrées par l’antifascisme militant : une galaxie disséminée dans toute la péninsule, qui pratique systématiquement la violence politique et même le terrorisme… sous l’aile protectrice de l’administration et des partis de la gauche institutionnelle.

Breizh-Info.com : Vous avez consacré un ouvrage à la menace antifasciste en Italie où les agressions perpétrées par les antifas sont aussi fréquentes que sous-estimées. Peut-on réellement qualifier ce phénomène d’urgence comme l’évoque le titre de votre livre ?

Oui, c’est une urgence constante en Italie qui n’a jamais cessé depuis les années 1970. Assassinats politiques, attentats à la bombe, guérilla urbaine, embuscades dans les rues. Au cours des dernières décennies, l’antifascisme militant a trouvé différents prétextes pour répandre la violence dans les villes italiennes : de la lutte de classe pour à l’activisme pro-palestinien sur la peau des enfants tués à Gaza. Ces derniers jours, nous avons été témoins de toutes sortes de brutalités, des professeurs agressés dans les universités aux bars attaqués parce que fréquentés par ce qu’ils considèrent « des fachos ». Ce qui rappelle l’attaque, en mars 1976, à coup de cocktails Molotov d’un bar à Milan désigné comme le repaire de l’extrême droite. L’action avait été perpétrée par le mouvement extraparlementaire rouge « Avant-garde ouvrière » : sept clients étaient grièvement blessés, l’un d’entre eux est resté invalide à vie. Bien des assassins rouges n’ont jamais abandonné la chasse au fasciste.

La novlangue de gauche tente aussi de marquer comme fascistes les violences commises par ses propres rejetons, un peu comme dans les années 70 le Parti communiste italien minimisait les crimes rouges en racontant qu’ils étaient l’oeuvre de compagni che bagliano [camarades qui ont fait une erreur] et de « soi-disant » Brigades rouges , comme si la violence était une exception. Le journaliste Alberto Busacca, dans la préface de mon livre, souligne avec justesse : « Face à une violence de matrice progressiste, il y a toujours quelqu’un qui se réjouit en affirmant : « Voilà, c’est bien la confirmation que les vrais fascistes sont à gauche« . De cette façon, on suppose que les rouges sont tous des petits anges, et que quand ils lèvent la main ou les barres de fer contre quelqu’un  ils se comportent en fait comme des fascistes ». En mentant sur leur nature, on les excuse, on les déresponsabilise.

La violence de l’antifascisme militant est aussi très bien décrite par Francesco Polacchi dans « Io non prendo lezioni – Cronache degli anni di cuoio » [On ne me donne pas de leçon. Cronaques des années de cuir, non traduit en français] qui raconte, à la première personne, la genèse du mouvement estudiantin Blocco Studentesco, entre embuscades de matrice rouge, occupations des établissements scolaires et impossibilité d’entamer une confrontation avec les organisations étudiantes de gauche.

Breizh-Info.com : Pensez-vous qu’il existe un lien commun entre les violences antifascistes de votre pays et celles perpétrées ailleurs dans le monde occidental, des États-Unis à l’Allemagne, en passant par la France et l’Espagne  ?

Bien entendu, il existe un même fil conducteur et une même orchestration qui régit les violences antifascistes. C’était particulièrement évident aux États-Unis après la mort de George Floyd. Les grandes villes américaines ont été mises à feu et à sang par le mouvement Black Lives Matter et les antifa, tous deux parrainés par les mêmes sujets progressistes, comme le spéculateur George Soros. Une puissance de feu qui aurait été impossible sans leurs financements. Le même fil conducteur lie les mouvements antifascistes aux organisations woke des minorités ethniques, des associations LGBT et immigrationnistes. C’est la même haine rouge qui a été documentée après l’assassinat de Charlie Kirk en Amérique, au Royaume-Uni au sein des contre-manifestations « Welcome refugees » ou en France après la mort du franco-algérien Nahel Merzouk. L’ensemble des mouvements progressistes ont comme dénominateur commun l’antifascisme et le concrétisent à travers toute sorte de violences, verbales ou physiques. L’objectif final est la dictature de la minorité, déjà prophétisée par Antonio Gramsci, fondateur du Parti communiste italien, après le coup de main de Lénine qui fit dissoudre l’Assemblée constituante en Russie : « Une minorité qui est certaine de devenir la majorité absolue, voire la totalité des citoyens, ne peut pas être jacobine, ne peut pas avoir comme programme la dictature perpétuelle. Elle exerce provisoirement la dictature pour permettre à la majorité effective de s’organiser, de prendre conscience de ses nécessités intrinsèques, et d’instaurer son système en dehors de tout apriorisme ».

Breizh-Info.com : L’extrême gauche – qui se targue de représenter le « camp du bien » car elle affirme, à l’instar de toutes les idéologies politiques, œuvrer pour le bien de l’humanité – ne devrait-elle pas être pacifiste ? Ou la violence est-elle inscrit dans ses gênes ?

Pour y répondre, il suffit de penser à l’Épuration en France, ces tribunaux extrajudiciaires antifascistes qui condamnèrent à mort au moins 105 000 Français uniquement parce qu’ils étaient soupçonnés d’avoir collaboré avec les nazis. Ou aux résistants qui, en Italie, ont continué à fusiller des civils sans défense et à violer des femmes parce qu’ils étaient jugés proches du fascisme et ce, après la fin de la guerre. Et comment oublier la doctrine Mitterrand qui a accueilli en France des dizaines de terroristes communistes italiens ? L’antifascisme militant d’aujourd’hui est héritier de cette époque et le revendique sans complexe. Dans le « camp du bien », on trouve aussi les militants de l’organisation antifasciste allemande Hammerbande qui, à Budapest, ont massacré à coups de marteau et de battes plusieurs personnes parce que leurs vêtements rappelaient selon eux l’accoutrement fasciste. Les militants d’extrême gauche qui ont placé des engins explosifs devant les sièges de mouvements politiques de droite proviennent eux-aussi de l’autoproclamé « camp du bien » . Tout récemment Claudio Chiarotti du Parti démocrate à a rétorqué durant une réunion au conseil municipal aux élus de droite qui voulaient observer une minute de silence en mémoire de Charlie Kirk « Nous vous avons déjà pendus par les pieds une fois !», une menace fréquente en Italie et qui signifie « nous vous pendrons par les pieds comme nous l’avons fait de Benito Mussolini et de Clara Petacci ».

Notons que ceux qui ont célébré sur les réseaux sociaux le meurtre de Kirk, comme ceux qui ont détruit les monuments en son honneur, sont également considérés comme des braves gens.

Breizh-Info.com : Les années de plombs en Italie, ont-elles enseigné quelque chose ? Qu’est-ce que la stratégie de la tension ? Est-elle encore actuelle ?

Après l’assassinat de Charlie Kirk, plusieurs intellectuels de gauche ont fait des déclarations honteuses. Le journaliste Michele Serra a écrit sur le quotidien Repubblica : « Si les tueurs politiques sont tous égaux et méprisables, les victimes ne sont pas aussi égales entre elles », faisant écho au mathématicien Piergiorgio Odifreddi : « Tirer sur Martin Luther King et tirer sur un représentant de la MAGA sont deux choses très différentes ». Quant à l’écrivain Roberto Saviano, qui a fait de l’antifascisme son fond de commerce, il a déclaré ne pas pouvoir s’« associer à ceux qui disent que toute vie humaine doit être respectée». On pourrait multiplier les exemples.

Ces déclarations prennent racine dans le slogan antifasciste « tuer un fasciste n’est pas un crime » scandé dans les années 70 pour attiser les esprits et les bras des jeunes d’extrême gauche. Et le problème, c’est qu’il suffit de ne pas être gauchistes pour être taxés de fascistes ! Les années de plomb ne sont jamais terminées en Italie, la violence a seulement changé de peau sans jamais cesser. Je peux en témoigner moi-même. Pour l’instant, je n’ai pas subi d’agression physique mais plusieurs plaintes ont été déposées contre moi (j’ai toujours été acquittée), plusieurs campagnes de haine ont été menées par la presse pour me discréditer, et je suis l’objet de menaces de mort récurrentes sur les réseaux sociaux. Une violence différente certes, mais qui a pour but de vous réduire à un paria, de vous intimider. Et qui pourrait armer le bras de quiconque veut accomplir un coup d’éclat. Et cela se retrouve dans les plus hautes sphères : la présidente de la commission pour l’égalité des chances à Rome, l’élue écologiste Michela Cicculli a déclaré à mon sujet « Francesca Totolo ne devrait plus avoir d’espace ni de soutien sur les réseaux sociaux et encore moins en politique ». Mon crime ? Avoir divulgué les propos d’Antonella Bundu, candidate de « Toscane Rouge » d’origine sierraleonaise, qui voudrait « démanteler la blancheur » en Italie. La violence antifasciste se matérialise aussi par la volonté de faire taire ceux qui pensent différemment.

Breizh-Info.com : Sans vouloir donner l’impression d’être complotiste, diriez-vous qu’il y a un dessein derrière l’exacerbation du clivage gauche-droite, sensibilités qui semblent plus que jamais irréconciliables, partout dans le monde occidental ?

George Soros a écrit « Plus une situation s’aggrave, moins il en faut pour la renverser, et plus le côté positif est grand ». Et c’est précisément l’objectif du pouvoir progressiste. Déstabiliser et attiser la violence dans les rues pour profiter de la chute de l’Occident, surtout maintenant que la gauche s’effondre après avoir perdu des élections dans plusieurs états stratégiques. Nous l’avons déjà vu dans les Révolutions Colorées et les Printemps Arabes, false flag financés par des progressistes pour renverser des régimes, les soi-disant « États canailles », c’est-à-dire imperméables aux conditionnements extérieurs. L’Occident, celui d’aujourd’hui, doit être déconstruit parce que la population est devenue imperméable et réfractaire à l’idéologie progressiste.

Propos recueillis par Audrey D’Aguanno, cliquez ici.

08:23 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Reconnaissance de l'Etat palestinien : la mise en scène de Macron

Reconnaissance de la Palestine : Le Canada ne se fait « aucune illusion »  sur l'impact de cette reconnaissance

Thomas Joly, président du Parti de la France

Emmanuel Macron ne peut s’empêcher de se voir en grand homme. Chaque fois qu’il monte sur une tribune internationale, il s’imagine déjà dans les livres d’Histoire, posant des gestes prétendument « courageux », que le monde entier devrait admirer. Aujourd’hui, c’est la reconnaissance de l’État palestinien qui lui sert de mise en scène. Mais quel courage peut-il y avoir à ce geste, alors que Gaza est en cendres et que la « solution à deux États » n’a jamais été aussi irréaliste ? C’est une posture tardive, presque grotesque : Macron se donne l’air d’être un visionnaire alors qu’il n’est qu’un suiveur, tentant de rattraper le train d’une cause qu’il avait ignorée ou méprisée.

En réalité, derrière ce vernis de grandeur, tout est calcul électoral. Si la France n’avait pas une telle population afro-musulmane, jamais Macron n’aurait pris une telle décision. Il connaît son socle électoral, il flatte ses clientèles et il transforme la diplomatie en boutique électorale. Il ne s’agit pas d’un geste de chef d’État mais d’une manœuvre politicienne, médiocre et opportuniste.

Macron est l’incarnation même du « en même temps ». Hier encore, il s’alignait servilement sur les positions israéliennes, fermant les yeux sur les destructions, couvrant la politique génocidaire menée à Gaza au nom de la lutte contre le terrorisme. Aujourd’hui, il vire de bord et se découvre champion de la paix et de la coexistence. Quel cynisme ! Quel reniement ! Mais ce double langage n’a aucune conséquence réelle : Israël n’a que faire du droit international, et aucun État occidental n’osera sérieusement l’affronter. La déclaration de Macron restera un discours creux de plus, une illusion diplomatique sans lendemain.

La France n’a rien à gagner à se jeter dans cet engrenage infernal. Ce conflit millénaire est inextricable, insoluble à court terme et certainement pas de notre ressort. En prétendant jouer les arbitres, Macron ne sert pas la France : il la compromet, il la ridiculise, il la rend vulnérable. Notre intérêt national n’est pas dans la reconnaissance de tel ou tel État, mais dans la défense de nos frontières, de notre identité et de notre souveraineté.

Macron, lui, ne pense qu’à son image. Il rêve d’entrer dans l’Histoire. En réalité, il n’y entrera que comme le président du vide, de la posture, et de l’abaissement permanent de la France.

08:00 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 22 septembre 2025

Sarah Knafo, eurodéputée et vice-présidente de Reconquête!, était l'invitée d'apolline de Malherbe, ce matin, sur BFMTV et RMC

12:01 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Malgré les pitoyables injonctions de LFI et des terroristes antifas, la Bretagne a fêté le cochon dans la joie et la bonne humeur !

IMG-20250921-WA0022.jpg

IMG-20250921-WA0017.jpg

IMG-20250921-WA0016.jpg

Synthèse nationale

La semaine dernière, le Parti de la France, privé de lieu de réunion en raison de sérieuses menaces émanant de l’extrême gauche, a été contraint d’annuler sa traditionnelle Fête du Cochon bretonne qui devait avoir lieu hier, dimanche 21 septembre.

Mais nos milieux ne sont pas de ceux qui se laissent faire, baissent les bras et abandonnent !

En quelques heures, à l’appel de Pierre Cassen (Riposte laïque) et de Christine Tasin (Résistance républicaine), une fête de remplacement a été organisée, pour la même date, dans le Morbihan.  

Dimanche, à partir de midi, plus de 150 patriotes se sont donc retrouvés, bien déterminés à affirmer, par leur présence, leur refus des diktats des apprentis guépéistes.

Membres et responsables du Parti de la France, de Reconquête, de Résistance républicaine, de Riposte laïque, de Place d'Armes et, bien sûr, de Synthèse nationale (qui ont écoulé un grand nombre d'exemplaires de la revue), tous, dans une ambiance festive, ont célébré le cochon (qui depuis des siècles nourrit et rassemble les Français) et, par la même occasion, adressé un fier bras d’honneur (assorti d’un retentissant mot de Cambronne) aux piteux chiens de garde de la pensée conforme.

Une belle journée et un magnifique succès, à mettre au crédit de nos amis Pierre Cassen et Christine Tasin, sans oublier les très nombreux camarades bretons, toutes étiquettes confondues, qui se sont mobilisés pour déjouer les manœuvres liberticides de l’extrême gauche !

Voir aussi le compte rendu de cette belle journée sur le site de Riposte laïque, cliquez ici.

07:01 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 21 septembre 2025

Demain, lundi 22 septembre, à 8h30, Sarah Knafo est l'invitée d'Apolline de Malherbe sur BFMTV et RMC

Knaffo.jpg

19:17 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’éditeur de Boualem Sansal refuse le soutien du groupe d’eurodéputés Patriotes pour l’Europe, l’hypocrisie à tous les étages

Boualem Sansal est en bonne santé, est bien traité et a plutôt le moral",  assure le nouvel avocat de l'écrivain franco-algérien

Michel Festivi 

Décidément on aura tout vu. On pense à chaque fois atteindre le summum de l’ignominie politique, mais le pire est toujours à venir avec la nomenklatura gauchiste française. Jordan Bardella, président du groupe Patriotes pour l’Europe, qui compte 85 députés à Bruxelles, a annoncé choisir Boualem Sansal pour le prix annuel européen « pour la liberté de l’esprit », prix Sakharov que délivre l’institution.

Immédiatement, les éditions Gallimard, par la voix d’Antoine Gallimard, ont prétendu que l’épouse de l’écrivain « considérait comme irrecevable cette démarche insidieusement partisane ».  Et Gallimard de rajouter fielleusement : « L’engagement continu de Boualem Sansal en faveur de la paix et de la liberté ne justifie en aucun cas qu’en son absence, on associe son nom et ses écrits aux visées d’un mouvement dont la radicalité politique est étrangère à l’esprit de tolérance qu’il a toujours promu », allant jusqu’à soutenir que si ce prix lui était attribué, il serait refusé par « les représentants de l’écrivain en France ».

Nous ignorions que le RN, ainsi que tous les autres partis européens qui composent cet important groupe à Bruxelles, élus plus que démocratiquement dans plusieurs pays du vieux continent, avaient proféré et initié des attaques contre la liberté et la démocratie !  Vraiment, en matière de tromperies idéologiques et politiques, les éditions Gallimard battent tous les records d’abjection, ce qui est très grave pour un soi-disant représentant-phare de la pensée française. Sans doute, Antoine Gallimard aurait préféré le soutien du groupe LFI, dont les accointances avec le Hamas sont désormais établies par plusieurs déclarations de ses membres !

Or visiblement, l’éditeur a pris sa position sans connaître précisément la volonté de l’auteur. Car le comité de soutien à l’écrivain embastillé dans les geôles d’Alger a fustigé le parti pris de Gallimard qui fait « de la politique », en affirmant : « Nul ne peut aujourd’hui se prévaloir de parler en son nom ». L’association, en effet, indique parfaitement que ni l’écrivain, ni son épouse, également soumise à des conditions sévères, ne sont en situation de s’exprimer librement (Cf Le Figaro du 17 septembre 2025 : Prix Sakharov : le comité de soutien de Boualem Sansal accuse Gallimard d’instrumentalisation politique).

Sabeha Sansal, la deuxième fille de l’homme de lettres, qui vit à Prague, a confié au Figaro TV n’avoir jamais eu la moindre « nouvelle officielle » de son père depuis son incarcération. Dès lors la pétition de principe des éditions Gallimard semble déconnectée et singulièrement scandaleuse. La fille de Boualem Sansal est « désespérée » et elle affirmait il y a quelques jours n’avoir reçu aucune réponse de Macron après sa lettre ouverte parue en avril dans les colonnes du Figaro. Elle souligne l’immense courage de l’écrivain pour « écrire librement ce qu’il a écrit dans un pays devenu islamique et de continuer à parler français en Algérie ».

Cela pose clairement le constat de l’effacement de la France sur la scène internationale, par la faute d’un président inconséquent, qui n’a cessé depuis sa première élection de briser la grandeur de la France et de renier sa culture et son prestige. Comme l’a si bien souligné David Lisnard dans une récente tribune : « Trois cents jours d’injustice et de souffrance pour un homme libre et trois cents jours d’indignité pour nos intellectuels, nos artistes, et tous les bien-pensants. Eux, si prompts à embrasser les causes étrangères, souvent hostiles à la France et plus largement aux démocraties, eux qui ont défendu Cesare Battisti, terroriste italien, avec une ferveur militante, eux qui arborent des drapeaux palestiniens en soutien (au) Hamas, sont aphones, incapables du moindre mot pour un compatriote, un auteur de langue française à l’œuvre universelle. »

Ce sont les mêmes, strictement les mêmes, qui dans les années 1970, injuriaient Soljenitsyne et chantaient les louanges de Mao (40 millions de morts), de Pol Pot (3 millions de mort), de Castro, l’un des plus grands tortionnaires des Caraïbes. Ils étaient à bonne école, leurs prédécesseurs ayant encensé Lénine et Staline, Robespierre et tous les guillotineurs révolutionnaires. 

12:21 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pourquoi la gauche aime tant les pauvres !

foto praud.jpg

À Paris aujourd’hui comme à Moscou hier, la gauche carbure à la pauvreté. Sans pauvres, sans exclus, sans victimes du système, la gauche perd sa raison d’être. La pauvreté alimente le discours. Elle nourrit le vivier électoral. Quand la misère avance, les riches payent. Les zélateurs de la redistribution surfent sur la crise. Le terreau est favorable. On ne se lasse pas du bon sens de Pascal Praud dans Le Journal du dimanche.

Lire la suite ICI

Souce : Journal du dimanche, 21/9/2025

11:57 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Communiqué de Gabriele Adinolfi, Les Lansquenets : La campagne pour les Cinq Journées de l'Europe

eKouter.net

Gabriele Adinolfi (cliquez ici)

La campagne pour les Cinq Journées de l'Europe s’inspire de l’anniversaire de la première victoire de l’Europe, impérialement unie dans la diversité, à Vienne, face aux Ottomans, entre le 23 et le 27 septembre 1529.
 
Nous concevons cette initiative comme un devoir de mémoire, un modèle et une incitation pour un avenir de puissance pour notre continent. Non pas contre un ennemi en particulier, historique ou actuel, mais comme un élan vers une nouvelle fermeté.
 
En demandant l’instauration des Cinq Journées de l’Europe, nous proposerons également quelques actions concrètes pour l’avenir. Nous le répétons : pas contre quelqu’un en particulier, mais pour nous-mêmes.
 
La campagne se déroulera sur trois niveaux : commémoratif dans certains lieux historiques, institutionnalisation des dates, et élargissement de la participation générale.
Une partie importante se déroulera sur le web.
Ceux qui n’ont pas reçu personnellement une tâche concrète sont appelés à deux types d’action de propagande.
 
AVANT TOUT : Signer et faire circuler la pétition disponible à ce lien : cliquez ici.
 
EN OUTRE : Diffuser les messages qui seront publiés quotidiennement sur le canal Telegram des Lansquenets, et également envoyés chaque jour via WhatsApp. Par mail, ce sera un envoi cumulatif à la fin de la campagne.
 
La campagne commence lundi 22 septembre. Mais ceux qui veulent signer ou faire signer la pétition peuvent commencer dès maintenant. Cette campagne ne se limitera pas à la pétition (qui sera présentée aussi physiquement dans les lieux retenus). Elle consistera aussi à esquisser des programmes de coopération stratégique dans un esprit d'unité dans la diversité. D'ores et déjà, nous nous y employons. Ainsi, il y a quelques mois, nous avons présenté une première hypothèse de travail au sein du parlement européen. Nous entendons optimiser cette tâche qui vise à préparer un avenir de plus grande indépendance et force pour le continent européen.

09:30 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Philippe de Villers répond aux détracteurs de la pétition qu'il a lancée afin d'exiger l'organisation d'un référendum sur l'immigration

Pour signer la pétition, cliquez ici.

09:00 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 20 septembre 2025

Fi des menaces LFI ! Fête du cochon, demain, dimanche 21 septembre, à 12 h, dans le Morbihan

Vendée : un camion transportant 174 cochons se couche dans un fossé

Rappel : après les pressions, les menaces inadmissibles exercées par l'extrême gauche, qui ont conduit à l'annulation de la traditionnelle Fête du Cochon organisée chaque année par le Parti de la France en Bretagne, une fête de remplacement, un rassemblement festif de refus du diktat des "matons de Panurge" aura lieu demain dans le Morbihan, à partir de 12 h, à l'appel de Riposte laïque (Pierre Cassen) et de Résistance républicaine (Christine Tasin).

Pour plus d'informations et pour s'inscrire, cliquez ici.

10:50 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Remigration : en Italie, Casapound présente une proposition de loi

remig.jpg

Audrey D’Aguanno

Bien que pratiquée dans la majorité des pays du globe, la remigration ou le retour forcé des immigrés en situation irrégulière, est souvent taxée de lubie d’extrême-droite par les médias du système. Un système qui prétend que l’invasion migratoire serait inéluctable, et que tout changement de cap serait impossible. Mais plusieurs réalités européennes affirment le contraire et invoque le manque de volonté politique. En Italie, une nouvelle réalité, visant à inscrire la question de la remigration au cœur des discussions au sein des hautes instances, a émergé.

Lors de la fête nationale de CasaPound, qui s’est déroulée du 4 au 7 septembre dernier, une nouvelle proposition de loi soutenue par les principales réalités de la droite radicale italienne comme Rete dei Patrioti, Brescia ai Bresciani et VFS a été présentée. L’objectif est de recueillir les 50 000 signatures nécessaires pour apporter la proposition de loi au Parlement. La collecte aura lieu à travers des stands dans les places d’Italie et en ligne.

«Avec cette initiative nous voulons donner une réponse concrète à un thème que la politique continue d’ignorer. La rémigration n’est pas un slogan mais un projet réel visant à replacer les Italiens au cœur de l’avenir de notre nation. En octobre, nous présenterons officiellement le comité « Remigration et reconquête » dans un événement ouvert à tous, parce que cette bataille doit devenir un patrimoine collectif ». Luca Marsella, porte-parole de CasaPound.

Le comité officiel coordonnera les activités et garantira un front commun. La proposition de loi s’articule en dix points, ici résumés :

1. Contrôle des flux migratoires

Renforcement du cadre réglementaire afin de distinguer avec plus de rigueur et de clarté les conditions de l’immigration légale et les conséquences de l’immigration illégale, par la définition de seuils d’entrée soutenables et l’introduction d’instruments efficaces pour neutraliser les effets déstabilisateurs de l’immigration incontrôlée. Révision du cadre du regroupement familial afin qu’il ne soit pas utilisé pour contourner les limites de l’immigration.

2. Confiscation contre l’exploitation des immigrés
Renforcement des sanctions patrimoniales à l’encontre de ceux qui tirent profit illicitement de l’exploitation de l’immigration. Extension de l’institution de la confiscation, y compris sous forme préventive, aux entreprises, biens et patrimoines liés à des activités illégales liées au trafic d’êtres humains et à l’exploitation des travailleurs.

3. Expulsion des clandestins et des délinquants
Investissements et introduction de nouvelles mesures opérationnelles visant à assurer l’exécution effective des mesures d’expulsion des immigrés en situation irrégulière. Expulsion obligatoire de tout étranger auteur de délits sur le territoire national. Introduction d’une interdiction de réadmission pour une période minimale de 10 ans.

4. Département de la Rémigration
Introduction, dans le cadre d’une stratégie plus large de récupération de la souveraineté et de l’identité nationales, de l’institut de la rémigration comme instrument gouvernemental du phénomène migratoire visant à encourager le retour des étrangers dans leur pays d’origine.

5. Pacte de remigration volontaire
Mise en place d’un accord entre l’État et le particulier permettant à l’étranger résidant légalement en Italie de recevoir une contribution financière pour son retour dans son pays d’origine en contrepartie de la renonciation définitive et irrévocable à tout droit de séjour et de citoyenneté en Italie.

6. Fonds national pour la remigration
Les économies résultant de la réduction drastique des dépenses publiques consacrées à l’immigration seront entièrement affectées à un fonds destiné au financement des pactes de rémigration volontaire, des coûts logistiques et administratifs et de toutes les mesures liées à la politique de rémigration.

7. Stop aux ONG du trafic migratoire
Cessation de toute forme de financement public, direct ou indirect, aux ONG, coopératives et associations qui facilitent l’immigration illégale. Renforcement des instruments de sanction et des activités de lutte contre le trafic d’êtres humains en Méditerranée.

8. Abolition du Décret Flux et retour des italo-descendants
Suppression du système de programmation des flux migratoires pour des raisons économiques en provenance de pays hors UE afin de lutter contre l’exploitation de la main-d’œuvre étrangère à bas prix et restituer dignité aux travailleurs et centralité au travail italien. Incitations (allègements fiscaux, programmes d’insertion professionnelle et soutien à l’intégration) visant à stimuler le retour en Italie des descendants d’Italiens résidant à l’étranger.

9. Fonds pour la natalité italienne
Création d’un fonds dédié exclusivement aux familles italiennes, dans le but de soutenir la natalité et de lutter contre le déclin démographique et la crise identitaire de la nation.

10. Logements et crèches : nouveaux critères de priorité
Introduction de critères renouvelés qui, dans le respect de la Constitution, garantissent la priorité aux citoyens italiens dans l’accès aux logements publics et aux places dans les crèches, en valorisant des exigences telles que la résidence stable depuis au moins 12 mois et la continuité dans les paiements fiscaux et contributifs.

Comme on peut le constater, les points ci-dessus mentionnés ne sont ni révolutionnaires, ni inhumains. Il s’agit tout au plus de bon sens… si l’on veut que les peuples d’Europe continuent à exister.

Et de nous demander : les Italiens, les Français, les Anglais, les Suédois ont-ils le droit de vouloir rester majoritaires sur leur terre ? Ou ce dernier est-il réservé aux seuls peuples non-européens ?

Article paru sur Breizh-Info, cliquez ici.

10:23 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pétition pour un référendum sur l'immigration : ne pas relâcher l'effort, les 2 millions sont en vue !

Signez la pétition ! - Pour un référendum sur l'immigration

Selon une étude de l'Institut CSA pour le Journal Du Dimanche, Europe 1 et CNews, 72% des personnes interrogées souhaitent un référendum sur l'immigration (dont 79% des 18-24 ans et même 55% des électeurs de LFI).

Ce matin, vers 9 h, la pétition lancée par Philippe de Villiers totalisait 1.700.000 signatures.

On le voit, il y a encore de la marge... Le rythme ne doit pas faiblir ! D'abord les 2 millions, et après davantage ! À vos ordinateurs !

Pour signer la pétition, cliquez ici.

09:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Loudéac : un lycéen français agressé par dix racailles qui crient « wallah »

Pierre-Yves Thomas, délégué départemental Reconquête! 22

L’agression violente et lâche, à coups de « wallah », d’un lycéen de Loudéac, vendredi 19 septembre, dans l’espace public, illustre l’ensauvagement nouveau qui gangrène aussi la Bretagne et son terroir, une incivilisation qui réside trop souvent dans les mœurs de populations nouvelles peu compatibles avec nos modes de vie. Reconquête! 22 et Parents Vigilants dénoncent la politique des pouvoirs publics qui installe cette violence importée et se félicitent de la résistance à Callac qui a su anticiper et prévenir cette dégradation.

II apparaît que ce passage à tabac s’est déroulé non loin du lycée Fulgence Bienvenüe d’où sont issus plusieurs des protagonistes. On apprend par ailleurs que cette attaque n’est qu’une nouvelle étape dans une succession d’accrochages violents au sein même du lycée cette semaine. Ce contexte vient tragiquement contrarier les tonitruantes, mais pathétiques et stériles adjurations du président Macron qui, en 2024, exhortait à faire de l’école un sanctuaire protégé de la violence désinhibée. Chacun observe au contraire que la violence en milieu scolaire s’enkyste et devient endémique.

Si les causes sont multiples, on sait néanmoins que la violence à l’école est aussi le reflet de la violence dans la société. À cet égard, la question lancinante de l’insécurité revient, implacable. Elle est largement à la première place des préoccupations des Français tandis que la vidéo qui circule sur l’agression de Loudéac met en évidence le caractère allogène de certains des assaillants. La population locale cherche à se protéger, à se défendre. Ce fut par exemple la réaction salutaire des Callacois au défunt projet Horizon en 2022. Ce furent aussi, il y a une semaine, les centaines de milliers d’Anglais dans les rues de Londres, soulignant la dimension européenne du problème.

Dans la volonté d’une souveraineté nationale recouvrée, d’une maîtrise des frontières rétablie, d’une gestion intraitable des migrations et d’une application réelle des lois votées, Reconquête! se bat avec le peuple de France pour sa sécurité, sa survie, son destin.

Article paru sur Riposte laïque, cliquez ici.

09:01 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le journal du chaos

coouv xx.jpg

Pour télécharger, cliquez ICI

08:58 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 19 septembre 2025

L’AFD continue sa route à la conquête de l’Allemagne et du peuple allemand

Extrême droite en Allemagne : « L'AfD joue sur un sentiment nostalgique  paradoxal » | Ifri

Michel Festivi

Depuis sa création quasiment ex-nihilo en 2013, par des anciens de la CDU qui, a juste titre, estimaient que ce parti de centre-droit ne luttait pas contre l’immigration invasive et la déferlante islamique, L’AFD a subi les pires avanies, les attaques les plus scélérates de tout l’appareil d’état, des services secrets aux ordres du pouvoir,  pour tenter de la faire interdire. 

Ces opérations sont d’ailleurs toujours en cours, et des manifestations monstres ont été organisées par les gauches allemandes et bien au delà, pour tenter d’en finir avec un parti qualifié par toute l’intelligentsia de « nazi », de « fasciste », selon les vulgates habituelles mille fois ressassées. 

Et bien malgré toutes ces entraves, dont les dernières furent la mort plus que mystérieuse de six candidats de l’AFD, et les polémiques qui s’en suivirent, hier, le dimanche 14 septembre, lors des élections locales dans l’Ouest de l’Allemagne, dans la Rhénanie-du-Nord-Westphalie, le mouvement anti immigration, a connu un nouveau succès considérable, dans les plus des 400 villes de ce territoire, lors d’élections municipales. 

En effet, dans cette terre de mission pour l’AFD, qui n’avait obtenu que 5% des voix aux elections locales précédentes, elle a désormais atteint plus que 15% des suffrages devant les Verts qui ont reculé de plus de 6 points. Si la CDU reste en tête, elle stagne et même régresse un peu. Quant à la gauche allemande, le SPD, il obtient son plus mauvais score depuis 1946, dans ce fief traditionnel pour lui. C’est d’autant plus grave pour le SPD, que l’une de ses nouvelles coprésidentes, Bärbel Bas est de Duisbourg.  

Cette région, traditionnellement très riche, subi les crises de la machine-outil, la chimie, l’acier, et bien sûr de l’automobile, à cause des politiques suicidaires des Verts, politiques adoubées tant par le SPD que par la CDU. 

Ce résultat est d’autant plus spectaculaire pour l’AFD, que si elle a le vent en poupe dans les Länders de l’Est, jusqu’à présent l’Ouest du pays lui était beaucoup moins favorable. Mais la crise économique, la forte poussée de la délinquance en lien bien souvent avec l’immigration massive ont changé la donne dans ce Land le plus peuplé du pays avec plus de 18 millions d’habitants. 

Tino Chrupalla le coprésident de l’AFD, s’est réjoui de cette victoire, alors qu’hypocritement le président de la région, le CDU Hendrik Wüst a lâché benoîtement :  «  ce résultat doit nous faire réfléchir, on ne peut pas dormir tranquille après cela ». Qu’au pays  des aveugles, les borgnes sont rois !

En 2023, l’AFD avait fortement progressé en Bavière, en Hesse, en 2024 en Thuringe le parti était devenu le premier de tous, et cette année aux élections législatives, il emportait plus de 150 députés avec 20,8%, devenant le deuxième parti d’Allemagne devant le SPD, les verts et les Libéraux. 

Pourtant, rien ne lui est épargné, dont  les enquêtes policières pour, au nom de la Constitution de 1949, la faire interdire pour « résurgence du nazisme » notamment . L’AFD doit affronter de multiples procédures qui n’ont pour but que d’essayer de la rayer du paysage politique, avec l’appui des gauches et extrêmes gauches allemandes, mais également avec la complicité de la CDU qui n’y verrait bien au contraire, aucun inconvénient. 

Frederich Merz, le chancelier, qui grâce à l’AfD n’a pas obtenu en début d’année la majorité au Bundestag , a préféré, une nouvelle fois, faire alliance avec le SPD, qui avait pris une déculottée historique alors. Et les dirigeants de la CDU osent encore se poser des questions sur le pourquoi et le comment de la montée de L’AFD. 

Décidément il n’y a pas qu’en France,  que les fausses droites sont les plus bêtes du monde.

Article paru sur le Nouveau Présent, cliquez ici.

14:57 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le 22 octobre prochain, sortie, en librairie, du prochain livre d'Eric Zemmour "La messe n'est pas dite"

"Chère amie, Cher ami,

Le 22 octobre sortira mon prochain livre La messe n’est pas dite aux éditions Fayard. La France sans le Christianisme n’est plus la France. Et je veux continuer à vivre en France".

Pour précommander l'ouvrage, cliquez ici.

14:45 Publié dans Eric Zemmour | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

1.661.350 signatures pour la pétition lancée par Philippe de Villiers afin d'exiger un référendum sur l'immigration ! Bientôt les 2 millions ! Encore un effort !

Signez la pétition ! - Pour un référendum sur l'immigration

Pour signer la pétition, cliquez ici.

11:59 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |