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jeudi, 03 janvier 2019

Invraisemblable : LE TRAIN BLEU PORTE PLAINTE CONTRE DES SALARIÉS POUR CRIME DE « QUENELLE »

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Pas de prescription pour les "crimes de quenelle"...

Source Paris Vox cliquez là

LE CÉLÈBRE RESTAURANT DE LA GARE DE LYON (PARIS 12e) A ANNONCÉ QU’IL ALLAIT PORTER PLAINTE ET SANCTIONNER CERTAINS DE SES SALARIÉS SUITE À LA DIFFUSION D’UNE PHOTO LES MONTRANT EN TRAIN DE RÉALISER UNE « QUENELLE », LE GESTE HUMORISTIQUE POPULARISÉ PAR DIEUDONNÉ.

Les mal-pensants présents sur le cliché sont au nombre d’une douzaine, tous souriants et en tenue du prestigieux restaurant.

Dans un communiqué, la direction de l’établissement, qui appartient au géant britannique de la restauration dans les transports SSP, a déclaré avoir découvert ce cliché avec «  effarement et horreur  », rien de moins.

Bien que la photo date visiblement de plusieurs années, l’entreprise a annoncé des sanctions «  exemplaires  » contre ceux ayant perpétrés « ce geste en forme de salut nazi inversé, devenu un signe de ralliement dont nous n’ignorons ni la gravité ni la signification antisémite avérée » et qui  ont ainsi « violé les valeurs de notre entreprise qui réprouve toute forme de haine, de racisme et de discrimination  ». En ce sens la société «  se tiendra à la disposition des autorités pour permettre l’identification de toutes les personnes qui se sont adonnées à un geste haineux et qui ont fait partie de l’établissement Train Bleu.  »

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mercredi, 02 janvier 2019

Quand l’urbanisme explique, en partie, les gilets jaunes

Par Catherine Tricot*

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 Largement soutenu par la population, le mouvement des «gilets jaunes» ne s’est cependant pas généralisé. Il y a bien eu le ralliement des dockers du Havre, de quelques centaines de lycées ou du comité Justice pour Adama Traoré, mais la grande convergence des luttes n’a pas eu lieu. Au-delà de positions sociales communes, les catégories populaires se révèlent profondément fragmentées.

Le peuple d’hier était largement – mais jamais complètement − structuré par une relative communauté de vie et par le mouvement ouvrier. Son unité a été mise à mal par le recul de la grande entreprise, l’externalisation des fonctions et le développement de la sous-traitance, la diversification des statuts de travailleurs, l’apparition de nouvelles formes d’organisation du travail. Le mouvement des « gilets jaunes » met en évidence la dimension territoriale de cet éclatement populaire. Les « gilets jaunes » se sont surtout manifestés hors des grandes métropoles, plutôt dans les anciennes terres industrielles et dans la « diagonale du vide » qui dessine la France centrale, encore agricole, celle des moyennes industries, des petites et moyennes villes.

Certes, le critère territorial ne supplante pas tous les autres, mais il compose et caractérise autant ce mouvement que la mosaïque populaire elle-même. Si cette carte est si marquée, c’est qu’elle s’emboîte avec des modes de vie, des expériences politiques et des représentations de l’avenir. Pour se mobiliser, le lieu d’habitation s’avère aussi structurant que le niveau des revenus ou le statut. Pour prendre la mesure de cette réalité des catégories populaires, la grille de lecture par le travail et le revenu ne suffit plus.

Au vu de nombreux reportages, on comprend qu’une forte proportion des « gilets jaunes » résident dans de petites et moyennes villes, qu’ils sont propriétai- res de pavillons construits il y a plus de quinze ans, difficiles à chauffer. Souvent issus d’un monde qui se souvient de la maison familiale à la campagne, beau- coup ont acheté leur logement pour se prémunir de l’avenir.

DIFFICILE ACCESSION À LA PROPRIÉTÉ

Ils ont parfois quitté la grande ville, trop chère, trop dangereuse ; ils entendaient échapper à la « cité ». Dans le jardin, le barbecue est en bonne place: le voici sur les ronds-points. Ils aspiraient à une idée du bien-vivre, mais la situation s’est révélée plus difficile, avec des services publics raréfiés et éloignés, des réseaux 4G ou la fibre optique inaccessibles, et la voiture, indispensable, de plus en plus coûteuse. La métropolisation, subie, a accentué le sentiment d’une mise à l’écart de la modernité; elle a alimenté le rejet d’une élite méprisante.

Cette histoire est bien loin de celle des habitants des ensembles construits dans les années 1960 et 1970, les logements sociaux habités majoritairement par des familles issues de l’immigration. Ce parc immobilier est important à la périphérie des métropoles, mais on le trouve aussi dans les villes moyennes d’anciennes industries. Loué, et non acheté, l’appartement bénéficie rarement d’espaces extérieurs conviviaux où, ne serait-ce que sur le balcon, on peut manger et inviter. La grillade, on n’y pense même pas... Pour ces familles, obtenir un tel logement est souvent une chance, mais rarement un choix. Les habitants des cités se savent discriminés et vivent dans des quartiers où la règle n’est pas commune : rapports délétères avec la police, services publics de moindre qualité, invisibilité généralisée, centre commercial comme substitut au marché et à la place publique, qui n’existent pas.

Pour une troisième grande catégorie populaire, celle qui vit en ville ou près des grands centres-villes, les loyers absorbent une part croissante des revenus. Elle consent d’énormes sacrifices de temps et d’argent pour rester branchée sur « une modernité » : transports en commun, em- ploi, commerces et loisirs, services pu- blics encore debout. Les services les plus socialisés sont théoriquement à leur portée et à celle de leurs enfants : universités, hôpitaux, musées et salles de concert... La précarité n’est pas que profession- nelle; elle a aussi le visage des projets immobiliers des propriétaires. L’accession à la propriété pour se sécuriser ? Dans le cœur des métropoles, elle devient hautement improbable pour les catégories populaires. Alors, ce qui reste commun, ce sont les problèmes d’argent, l’inquiétude face à l’avenir, souvent la souffrance au travail. Mais tout cela est vécu selon des perspectives divergentes en partie en fonction des lieux, voire des stratégies, de résidence.

Cette réalité éclatée du monde populaire signifie-t-elle l’impossibilité d’une unité future? L’exigence de vivre de son travail et non d’aides, la fronde contre les inégalités et les impôts injustes, l’affirmation de la dignité et du respect ont fait le socle du soutien aux « gilets jaunes ». Sans faire converger ces mondes populaires. Leur réunification ne peut se concrétiser que dans un projet porté par un discours politique d’ampleur. C’est ce qui a manqué au mois de décembre 2018.

(*) Catherine Tricot est architecte. Le titre est de nous.

Source : Le Monde 3/01/2019

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Le Prix 2019 des Lecteurs et Amis de Présent est attribué à Jean-Marie Le Pen

9271-p8-lepen-couv.jpg32 % des participants au Prix du livre des Lecteurs et Amis de Présent ont voté pour Fils de la nation, le premier tome des mémoires de Jean-Marie Le Pen.

L’idée nous était venue un matin d’octobre, lors d’un comité de rédaction, alors que nous évoquions le contenu des pages littéraires de Présent :

— Et si nous demandions à nos lecteurs de désigner le livre qui, à leurs yeux, a été le plus important, cette année ? Nous pourrions les interroger, sans opérer de pré-sélection, mais en orientant éventuellement les choix par des tribunes de collaborateurs et de proches du journal, et de lecteurs, qui expliciteraient leur soutien à tel ou tel livre.

Nos rédacteurs sont montés au créneau. Et nous vous avons invités à en faire autant, à vous exprimer en toute liberté sur vos lectures de l’année 2018 et à propos de celui des livres qui avait le plus marqué.

Le Prix a été placé sous la présidence de Maître Thierry Bouclier, avec l’obligation pour lui de veiller au respect du règlement prédéfini, règlement qui a été rappelé à plusieurs reprises dans les pages de Présent. Maître Bouclier devait également s’assurer de la sincérité du scrutin. Mission dont il s’est parfaitement acquitté.

Le choix est sans appel, et l’ordre d’arrivée ne sera pas bouleversé par d’éventuels votes expédiés tardivement.

Fils de la nation recueille plus de 32 % des suffrages ;

La France interdite, de Laurent Obertone qui, au début de la procédure de désignation, faisait jeu pratiquement égal avec le livre de Jean-Marie Le Pen, arrive en seconde position, ayant recueilli un peu plus de 15 % des votes.

Un grand nombre d’autres titres

Pour que le podium soit complet, il convient de signaler la troisième place, obtenue par Bruno Lafourcade, pour son roman L’Ivraie (9 % des voix). Concernant ce dernier livre, il s’est trouvé propulsé à cette place inattendue après que nos amis et partenaires de la revue littéraire Livr’arbitres eurent rejoint notre entreprise. Il n’est pas exclu que cette troisième place soit le fruit d’un intense lobbying (mais, pour le coup, le règlement ne l’interdisait pas). Ces votes sont en effet arrivés dans la dernière ligne droite, et battent au poteau, pour cette troisième place, l’excellent Destins français, d’Eric Zemmour. L’Ivraie est une satire très méchante, mais très juste, de l’école républicaine, et un roman extrêmement drôle, ce qui ne gâte rien.

Il convient de remarquer que vos suffrages se sont surtout dispersés sur un grand nombre d’autres titres. Citons par exemple, sans prétendre faire preuve d’exhaustivité, Un automne romain, de Michel De Jaeghere, Le Mystère Clovis, de Philippe de Villers, L’Immaculée Conception, de Michèle Reboul, Arnaud Beltrame, gendarme de France, de Christophe Carichon, Blanquer ce monstre froid, de Claude Meunier-Berthelot, Demeure, de François-Xavier Bellamy. Ces livres ont recueilli un nombre non négligeable de votes. Mais il faut citer aussi Un été avec Homère, En terrasse avec Cicéron, L’Eté des quatre rois, Qu’est-ce qu’un chef ?, Mabire (la biographie de Jean Mabire) etc.

Enfin de nombreux livres ont été défendus – et souvent bien défendus – par un ou deux lecteurs seulement. Nous avons essayé de publier un grand nombre de ces messages de soutien à tel ou tel livre, moins médiatisé que les best-sellers, qui, eux, ont assez naturellement trouvé des voix pour les porter. Mais le contenu entier dePrésent n’aurait pas suffi pour citer tous vos messages.

Une critique revenait souvent dans vos courriers : « Vous auriez dû réserver le prix à de bons livres qui, sans un coup de projecteur, ne trouveront pas leur public. » Nous comprenons cette remarque. Mais le livre de Jean-Marie Le Pen n’est-il pas un bon livre ? Et nous savons aussi les entraves apportées à sa diffusion, même s’il est vrai qu’il a su quand même trouver son public.

Le livre qui raconte nos combats et nos espérances, nos joies et nos peines, nos colères et nos passions

Toutefois, l’objectif de notre Prix du Club des Lecteurs et Amis de Présent n’est pas d’abord de révéler des talents cachés ou nouveaux, de faire des paris sur de jeunes auteurs, à la façon du prix Goncourt. Il s’agit pour nous de mettre à l’honneur le livre et la lecture et de montrer l’extraordinaire diversité des thèmes, des talents, des genres, illustrant nos valeurs. De ce point de vue, la démonstration a été parfaitement réussie. Et Jean-Marie Le Pen fait un lauréat plus que légitime ! Pour beaucoup d’entre nous, c’est le livre qui raconte nos combats et nos espérances, nos joies et nos peines, nos colères et nos passions, sur bien plus d’un demi-siècle.

Bravo, donc, à Jean-Marie Le Pen, bravo aux autres auteurs, sélectionnés par notre jury, qui est le plus beau des jurys, puisqu’il est composé, pour l’essentiel, de nos lecteurs ! Et merci à vous, lecteurs, de vous être pris massivement au jeu.

Que va-t-il se passer, maintenant ?

Conformément à notre promesse, nous publierons dix encarts publicitaires dans les pages de Présent pour Fils de la Nation, avec un bandeau : « Prix 2019 du Club des Lecteurs et Amis de Présent ».

Nous allons ensuite contacter le récipiendaire et voir dans quelle mesure nous pouvons solenniser, en sa présence, cette attribution du prix. Il est prévu un partenariat avec La Nouvelle Librairie (11 rue Médicis dans le VIe arrondissement de Paris), et avec un restaurant parisien, La Mère agitée, situé non loin de là, qui pourrait bien devenir notre Drouant à nous. Nous vous tiendrons informés de tout cela dans les pages de Présent.

Mais ce que nous souhaitons par-dessus tout c’est que, l’année prochaine, l’attribution, pour la seconde fois, de ce prix, fasse l’objet d’une plus forte mobilisation, bien au-delà du public des lecteurs de Présent. Nous espérons, forts de ce succès, que les auteurs, les maisons d’édition, les diffuseurs, les librairies amies, rejoignent notre initiative et participent plus massivement à la mise en valeur de nos « grands livres ». Ce prix a vocation à devenir un événement annuel, un rite, un rendez-vous festif, mêlant auteurs, lecteurs, éditeurs et diffuseurs.

Cette attribution du prix 2019 des Lecteurs et Amis de Présent n’est donc pas la fin d’une aventure commune, mais son commencement.

Francis Bergeron, président du CLAP
Thierry Bouclier, président du Prix du CLAP

Source cliquez ici

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vendredi, 28 décembre 2018

Le nouveau numéro de Terre et peuple magazine (n°78)

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Terre et peuple cliquez ici

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jeudi, 27 décembre 2018

Et Boulevard Voltaire a aimé le nouvel album d'Ignace : "La Crise de Jupiter"

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Nicolas Gauthier Boulevard Voltaire cliquez ici

En France, le dessin de presse est une tradition à peu près aussi vieille que… la presse. Avec ses grands anciens et ses nouveaux maîtres. Ignace est désormais à placer au rang de ces derniers.

Voilà plus de vingt ans que cet homme à la mine toujours un peu lunaire, au sourire éternellement jovial, officie dans les journaux les plus divers, avec une nette prédilection pour les publications dissidentes. Sur papier, sur Internet, aussi, et à la télévision encore, où il joue le chœur antique, crayons en mains, au « Bistro Libertés » animé avec une belle et bonne humeur par Martial Bild, sur la chaîne TV Libertés. On notera qu’à l’époque du « Droit de réponse » de Michel Polac, modèle revendiqué de cette émission, il fallait quatre dessinateurs pour faire ce qu’Ignace accomplit tout seul comme un grand. Cet homme a décidément tous les talents.

Après, cette question cruciale : Ignace est-il de droite ? Sûrement. Enfin, d’une droite à lui, quelque part entre fleur de lys et croix celtique, Jacob et Delafon, sabre et goupillon, fromage et dessert. Bref, si Dieu et le roi sont de droite, Ignace doit l’être un peu aussi ; même si, hormis la France, il ne connaît manifestement qu’une seule patrie : celle de la poilade. Histoire d’aggraver son cas, ce catholique fervent est doublé d’un libre-penseur. L’un de ses modèles ? Gotlib, celui des « Dingodossiers », des « Rubriques-à-brac » et de « Hamster jovial » ; pas exactement le portrait-robot de la punaise de sacristie.

En ce sens, Ignace est de la trempe d’autres de ses aînés, pas vraiment de gauche, mais persistant à faire preuve d’une ouverture d’esprit de plus en plus rare en nos contrées : Pinatel, Chard, Konk, Aramis, Miège, eux aussi admirateurs d’autres artistes ne fréquentant pas forcément les mêmes chapelles : Cabu, Wolinski et autres Vuillemin. Si le dessin de presse, on l’a vu, est une tradition française, le refus du sectarisme et le goût de la déconne en sont deux autres. D’ailleurs, contrairement aux idées reçues, Ignace n’écoute pas que des chants grégoriens. Il kiffe Queen et Metallica tout aussi grave.

Dans ce copieux ouvrage (six à huit dessins par page sur près de deux cents pages, on en a pour son argent), voilà donc toute la récente actualité nationale et internationale qui défile. Un bon dessin vaut souvent mieux qu’un bon papier, dit-on. Avec lui, jamais l’adage n’aura été aussi fondé. Déjà, Ignace est un dessinateur remarquable et un caricaturiste hors pair. Mais il a également le don de synthétiser un concept complexe en quelques mots ; bons mots, évidemment, drôles avec des morceaux d’humour rigolo dedans. Et qui font sens, tant qu’à faire. Exemple ? Édouard Philippe sur la limitation à 80 km/h sur les nationales : « C’est bon pour la sécurité rentière ! » Tout est dit et bien dit. Ne cherchez pas, c’est du Ignace. Un petit nom charmant, pour paraphraser la chanson. Et le meilleur des camarades, soit dit en passant.

Le commander en ligne cliquez ici

 Apocalypse Flamby, il en reste quelques-uns cliquez là

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dimanche, 23 décembre 2018

Troubles entourant la « loi esclavagiste » hongroise : info et intox

manifestants-Hongrie.jpgRaoul Weiss

Le parlement hongrois a adopté mercredi 12 décembre 2018 une modification de la loi sur le travail, passant notamment le nombre d’heures supplémentaires légales par an de 250 minimum à 400 maximum (une fourchette trompeuse utilisée par l’opposition). L’opposition libérale a perturbé la séance du vote, et une manifestation a été appelée immédiatement devant le parlement pour le soir même. Manifestation répétée le jeudi soir, encadrée par les partis d’opposition libérale et pro-Bruxelles. Plusieurs policiers ont été blessés, quelques dizaines de personnes ont été arrêtées, et du mobilier urbain a été dégradé. Le sapin de Noël et les luges pour enfants l’entourant ont été vandalisés mais sauvés in extremis par les forces de l’ordre.

Dans cette affaire comme dans d’autres, si la couverture de l’actualité hongroise dans la presse internationale n’était pas si biaisée, on serait presque gêné d’avoir à rectifier les menus mensonges des propagandistes de service :

1. Non, la loi qui vient d’être votée au parlement hongrois n’impose pas l’acceptation d’heures supplémentaires non-payées, mais augmente simplement (d’à peu près un tiers) le nombre d’heures supplémentaires payées auxquelles un employé peut être contraint ; par conséquent, le sobriquet de « loi esclavagiste » que lui a accroché la presse d’opposition est pour le moins exagéré.

2. Non, aucune « masse » n’a manifesté dans les rues de Budapest. En dépit des exagérations de cette même presse (largement relayées – notamment par une presse roumaine qui, par ailleurs, tourne le dos aux Gilets Jaunes français…), les manifestations contre la « loi esclavagiste » (dont on se garde bien de nous proposer des vues aériennes) n’ont rassemblé que quelques centaines – tout au plus un millier de personnes. Dans une situation de disparition du chômage conjoncturel, sur le marché de l’emploi hongrois, l’offre impose ses conditions. Gageons donc que la plupart des manifestants n’étaient pas personnellement concernés par la nouvelle loi.

3. Relevons au passage l’hypocrisie de ladite opposition : pendant qu’à l’extérieur du parlement un député de la Coalition Démocratique « guidait les masses » vers une tentative de blocage du Pont Marguerite, à l’intérieur, l’ineffable Ferenc Gyurcsány, président de ladite Coalition, votait en faveur de la « loi esclavagiste ».

4. Même la thèse du « chantage des multinationales » est trop simplificatrice : en réalité, les grandes entreprises (notamment de l’industrie automobile allemande) présentes en Hongrie ont besoin d’un personnel qualifié qui se fait rare, et dont elles prennent par conséquent grand soin. Les heures supplémentaires au noir, voire impayées, sont plutôt caractéristiques du secteur de la restauration, où prédominent les PME à capital hongrois. En revanche, on peut, avec Anita É, soupçonner qu’on assiste à une guerre by proxy entre patronat allemand et grands syndicats allemands (qui ont depuis longtemps ouvert des agences dans tous les pays de délocalisation massive du travail industriel allemand) – nouveau signe du très haut degré d’Anschluss économique de facto de l’Europe centrale dans le Reich merkelien.

Une fois la propagande balayée, il serait en revanche intéressant de replacer cette évolution dans le contexte plus vaste des pays d’Europe continentale accablés d’une natalité désastreuse et cherchant malgré tout à limiter l’afflux d’immigrés extra-européens : l’Autriche de la semaine de 60 heures, la Russie qui repousse l’âge de la retraite. A terme, on peut se demander si leur projet de préservation de l’identité ethnique de chaque pays restera compatible avec un capitalisme qui, en détruisant notamment les valeurs familiales, exige tacitement la mondialisation de la main-d’œuvre.

Source EuroLibertés cliquez là

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vendredi, 21 décembre 2018

Le n°1 de Z, Z comme Zentropa, est sorti

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Un nouveau né dans la famille de la presse non-conformiste... et celui-là, il parle déjà et il n'a pas peur des mots. Z, c'est son nom, se réclame en effet, comme l'excellent site Zentropa cliquez ici, ouvertement du "fascisme du XXIe siècle". Mais non mais non, vous ne rêvez pas... À ne pas manquer.

Pour recevoir un exemplaire du premier numéro de Z, rien de plus simple : écrivez à zentromag@gmail.com

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mardi, 18 décembre 2018

AVEZ-VOUS LU LE N° HORS-SÉRIE DE PRÉSENT CONSACRÉ À L'AFFAIRE MÉRIC ? IL EST ENCORE EN VENTE...

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jeudi, 13 décembre 2018

J’ai décortiqué le pacte de Marrakech : c’est encore pire que prévu !

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Viviane Lamarlère Riposte laïque cliquez ici

Plusieurs postulats de départ dans ce pacte qui ne reposent sur aucun fondement sérieux et scientifiquement éprouvé. En outre, un pacte qui s’appuie sur des conventions disparates et sans liens entre elles ne peut qu’inspirer de la suspicion, lire son préambule à la Prévert…

En guise d’apéritif :

1) L’alinéa 5 du préambule postule que ce pacte doit « rendre les migrations bénéfiques à tous », ce qui signifie qu’elles ne le sont pas actuellement.

2) Le 10 propose de « démonter les discours trompeurs qui donnent une image négative des migrants. » Autrement dit, rincer les cerveaux et les empêcher de voir et de dire.

3) Le 12 propose d’« atténuer les facteurs négatifs et structurels qui empêchent les individus de trouver et de conserver des moyens de subsistance durables dans leur pays d’origine et les forcent à rechercher un avenir ailleurs. »

On aimerait des précisions sur les moyens donnés aux régions de départ. Aide internationale ? Éradication de la corruption de leurs dirigeants ? Éducation renforcée des femmes dans ces pays ? Contrôle accru des naissances qui empêchent par leur nombre les femmes de vivre et leurs enfants de construire leur existence ?

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jeudi, 06 décembre 2018

Le terrible constat d'échec

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Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France

Le constat d’échec est terrible pour Emmanuel Macron.

En effet, à trois jours de l’« acte IV » – nouvelle manifestation des gilets jaunes – par l’intermédiaire du porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, le chef de l’État demande « aux forces politiques et syndicales de lancer un appel clair et explicite au calme ». Face au chaos qui menace le pays, celui qui avait la prétention d’incarner le retour de l’autorité de l’État à lui tout seul, aujourd’hui, en est réduit à appeler au secours ceux-là mêmes dont il avait programmé la fin : les partis, les syndicats, ces fameux « corps intermédiaires ».

Le chef de l’État doit désormais se terrer dans son palais et appeler au secours ceux qu’il méprise. Même s’il s’agissait sans doute d’une poignée de manifestants, l’épisode malheureux du Puy-en-Velay, où l’on a vu un Président se faire huer, en dit long sur cette perte d’autorité d’Emmanuel Macron.

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mardi, 04 décembre 2018

Amateurisme grave à BFM TV : un histrion dénommé Sylvain Boulouque se fait passer pour un "historien"

Lorsque "l'historien" Sylvain Boulouque confond le drapeau picard et ceux de l'Action française...

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La réaction du Picard Thomas Joly ne s'est pas fait attendre :

L’analyse d’images est un exercice périlleux. Le pseudo-historien Sylvain Boulouque, intervenant sur BFMTV, a été interrogé par la chaîne d’infos en continu sous l’angle « Casseurs : qui sont-ils ? » et tenté de décrypter une image de cortège. « On voit un drapeau avec des fleurs de lys, qui illustre la monarchie et la volonté d’un retour du roi », dit « l'expert ».

La lecture du faux historien mais vrai militant communiste est en effet plutôt surprenante, puisqu’il s’agit là du drapeau de la Picardie, dont la fleur de lys symbolise la proximité avec l’Île-de-France. De la même manière, « le lion renvoie à la proximité de la région avec les Flandres », explique Jacques Dulphy, auteur picardisant et passionné d’héraldique.

Source cliquez ici

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jeudi, 29 novembre 2018

J’étais avec 40 Gilets jaunes quand Macron a parlé : qu’est-ce qu’il a pris !

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Pierre Cassen Riposte laïque cliquez ici

Je n’avais pas prévu d’écrire ce texte. J’avais pensé en faire une vidéo. Et puis, rien ne marche comme je veux, ce jour. C’est une mauvaise série. Après la suppression de ma vidéo Shadoks qui m’a obligé à aller sur la chaîne 2 de Riposte Laïque, ce qui nous pénalise de milliers de connexions quotidiennes (les vidéos tournaient entre 10 000 et 15 000 par jour, nous sommes tombés entre 1 000 et 2 000), c’est mon téléphone portable qui me fait des misères. Cinq enregistrements interrompus par un message m’expliquant que je n’avais plus assez de mémoire. Et j’avais beau faire de la place, le message revenait tout le temps. Grrrr !

Alors, Christine m’a filmé et j’ai mis la vidéo sur une chaîne. Mais pas la bonne ! Je craque, donc, et je vais vous raconter ce que j’ai à peu près dit sur la vidéo. Sauf que je vais en dire davantage et dépasser le temps que je m’impose (4 minutes) sur mon enregistrement quotidien.

Ce matin, vers 11 heures, j’étais au milieu d’une quarantaine de Gilets Jaunes qui, tous les jours, sont présents à un carrefour d’une petite ville de province. Je précise, pour ne pas m’attribuer un rôle que je n’ai pas, que depuis le début du mouvement, je passe environ deux heures par jour, pas davantage, à cet endroit, ayant nombre d’autres questions militantes à assumer par ailleurs. Donc, Macron a commencé à parler. Un poste de radio diffusait son discours. Les copains attendaient simplement une chose : que le  président de la République leur annonce clairement combien ils allaient payer le litre de super, d’essence ou de gasoil le 1erjanvier puis le 1er février. C’était uniquement pour cela qu’ils étaient mobilisés, des heures durant, dans le froid et sous la pluie, depuis dix jours. C’était pour cela que la majorité des automobilistes et camionneurs les soutenaient en affichant un gilet jaune, en klaxonnant ou en donnant de l’argent ou de la nourriture. Ce que les journalistes ne signalent jamais, même si j’ai apprécié, comme Christine, d’avoir eu droit (sans que le journaliste de CNews ne  connaisse notre identité) à un reportage de quelques secondes, hier, dans le journal télévisé animé par Laurence Ferrari (au bout de 23 minutes) cliquez ici.

Au bout de cinq minutes, pratiquement plus personne n’était à l’écoute. Spectaculaire et incroyable ! Les uns après les autres, les quarante Gilets jaunes s’étaient éloignés de la table en proférant, pour certains, des injures qu’il vaut mieux que les journalistes de BFM TV n’aient pas entendues, sinon on se prenait une campagne hostile pour homophobie.

Ils croyaient qu’ils auraient affaire à un président de la République, ils eurent à subir un vulgaire conférencier de la Cop21, un propagandiste écologique, un fanatique de la prétendue transition énergétique. Un mec hors-sol…

La conclusion de Macron était donc prévisible. Il fallait sauver la planète et protéger les Français des graves maladies imputées au diesel et autres énergies nuisibles. Et comme l’avenir de nos enfants était en jeu… Fini le nucléaire, grâce auquel, par une technologie française qui est la meilleure au monde, nos compatriotes ont l’électricité la moins chère du monde. Cinquante ans que les écolos nous prévoient un Tchernobyl français, toujours rien mais principe de précaution obligatoire. Place aux éoliennes et tant pis pour la beauté de nos paysages et pour notre porte-monnaie. Finies les voitures à essence et place aux voitures électriques, même si on ne sait pas quoi faire des batteries et s’il faut les recharger régulièrement. Fini l’individualisme de ces automobilistes français pauvres qui osent vouloir utiliser leur voiture pour eux seuls, au nom de leur liberté individuelle, place au covoiturage et, surtout, aux voitures électriques. Finies les chaudières au fuel, place au voltaïque ! Du soviétisme pur sucre proféré par des fanatiques utilisant l’alibi écologique pour faire gagner du fric aux petits copains écolos et mettre les Français au pas.

Qu’est-ce qu’ils doivent se marrer, les Chinois et les Américains, quand ils voient Macron faire chier son peuple, foutre en l’air des secteurs entiers de notre industrie et de notre énergie, et tout cela pour rien, pour la propagande !

En effet, c’est François Gervais, spécialiste des questions climatiques et des matières premières, qui lève le lièvre. Et ce qu’il nous dit en une phrase met à bas toute la propagande de Macron. Voilà un homme, déjà auteur de cinq ouvrages en la matière, qui nous dit que la France émettant 0,9 % de CO2 sur la planète, si nous arrivions (ce qu’il ne croit pas possible) à réduire nos émissions de 20 %, nous obtiendrions une baisse de température de 0,001 degré. Et pour un millième de degré, le fanatique écolo Macron veut imposer aux Français une révolution dans leur mode de vie, qu’il entend, bien sûr, leur faire payer, car si les Français ne la paient pas, qui la paiera ?

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mercredi, 28 novembre 2018

Un entretien avec Natacha Polony sur EuroLibertés

Natacha-Polony.jpgNatacha Polony, écrivain et journaliste, est désormais la directrice de la rédaction de l’hebdomadaire Marianne, autrefois dirigé par Jean-François Kahn.

Lionel Baland l’a interrogée pour Eurolibertés.

Avez-vous eu à subir la censure au sein des divers médias auxquels vous avez contribué ?

Non, je n’ai jamais été victime de censure, jamais. J’ai toujours pu, là où j’étais, écrire ce que je voulais et si j’avais l’impression de ne pas avoir suffisamment de liberté, je partais. Je ne peux pas considérer que j’ai été censurée et je ne me suis jamais plainte de cela, dans la mesure où j’ai bénéficié du fait que les propos que je tenais étaient audibles et pouvaient être écoutés par des auditeurs qui les appréciaient. Je pense que nous sommes face à des médias qui fonctionnent à l’audimat. Donc, c’est finalement l’onction du peuple des auditeurs qui permet justement de dépasser les différentes frayeurs.

La censure existe assez peu dans les médias. Il existe beaucoup d’autocensure, mais pas de la censure. Je n’ai jamais eu un rédacteur en chef qui m’a interdit d’écrire ce que je voulais. J’ai bénéficié ensuite, lorsque j’avais une certaine notoriété, d’une liberté absolue. J’ai passé sept ans à rédiger une chronique au Figaro et j’écrivais ce que je voulais. Personne ne m’a jamais critiquée. Pourtant, mes chroniques n’étaient pas forcément dans la ligne du Figaro.

Je pense surtout que ce qui tue les médias, c’est l’autocensure et l’entre-soi, c’est le fait que les journalistes parlent aux autres journalistes et font attention à ce que les autres journalistes vont penser d’eux quand ils écrivent.

Si les journalistes reprenaient leur liberté et en usaient, car la liberté s’use quand on ne s’en sert pas, eh bien le lien pourrait se recréer avec le peuple.

Avez-vous plus de liberté chez Marianne qu’ailleurs ?

Chez Marianne, je dirige la rédaction et donc c’est moi qui décide ce qu’on écrit. Je pense que certaines Unes que nous avons faites sont une preuve de liberté. Par exemple, sur le rapport de la Cour des comptes sur la Fondation Louis Vuitton et la façon dont cette fondation a utilisé sous prétexte de mécénat l’argent public.

D’ailleurs cela n’a été repris par aucun de nos confrères. Pourtant, c’était un scoop. Justement parce que nous avons la liberté d’écrire cela. Nous avons de la chance, dans un sens, dans notre malheur : nous n’avons pas de publicité et donc, on ne peut pas nous la retirer. Les annonceurs ne peuvent pas exercer ce chantage sur nous.

De même, nous avons fait la une sur Lactalis et son évasion fiscale, sur les problèmes de salmonelles,… Vous voyez, la liberté existe. Elle n’existe pas partout. On ne peut pas toujours l’exercer forcément, mais à Marianne justement nous œuvrons, non seulement pour une liberté vis-à-vis des grands groupes industriels, mais aussi pour soutenir ceux qui font du bien au pays tout en nous confrontant à ceux dont nous estimons qu’ils font du tort au pays et en les affrontant. Et puis, nous essayons aussi de dire le plus honnêtement possible ce qui est ; nous avons été attaqués par nos confrères lorsque nous avons osé parler de l’immigration.

Jean-François Kahn, lorsqu’il était à la tête de Marianne, a dû affronter des problèmes financiers à la suite du manque de publicité. Il existe donc une forme de censure exercée par des acteurs financiers qui refusent de donner de la publicité à Marianne.

Ce n’est pas de la censure, mais une forme d’étouffoir qui est liée au modèle économique de la presse. Mais Jean-François Kahn a prouvé qu’il pouvait faire vivre un journal sans la publicité. Il l’a fait et Marianne a réussi. C’est quelque chose, en effet, d’exceptionnel. C’est très difficile, mais il faut maintenir cette liberté. Ce qui fait la force d’un média, ce sont ses lecteurs. On est indépendant de la publicité lorsqu’on a des lecteurs. C’est ce qui arrivé à Mariannelorsque Jean-François Kahn a réussi à l’imposer dans le paysage médiatique. Peut-être Marianne a-t-elle, à un moment donné, perdu un peu de ses lecteurs et de son identité, n’a pas su préserver cette ligne qu’avait voulu mettre en place Jean-François Kahn.

J’estime que mon rôle est que Marianne redevienne cette espèce d’OVNI du paysage médiatique, avec à la fois une liberté de ton et de pensée. Je considère qu’il y a un public pour cela et nous voulons nous adresser à ces personnes.

La censure judiciaire existe aussi, par exemple à l’encontre d’écrivains tels qu’Éric Zemmour et d’autres, qui ont des démêlés avec la justice.

C’est en effet un combat pied à pied, qui est porté aujourd’hui par des associations sur le plan judiciaire. Il y a aussi un combat à mener. On voit que Georges Bensoussan, par exemple, a été traîné devant les tribunaux (cliquez ici).

C’est absolument scandaleux. Il a été blanchi. Il a été relaxé. Tant mieux. Mais en effet, c’est éprouvant et c’est une forme de combat que doivent conduire des associations. C’est une pression qui est exercée et certains osent l’affronter.

L’exemple de Georges Bensoussan est un des plus parlant qui soit car c’est un historien dont le travail prouve à quel point il est absolument insoupçonnable de quoi que ce soit. Je pense que tous les médias doivent le soutenir.

Elisabeth Sabbatich-Wolff a été condamnée en Autriche, pour avoir déclaré devant un parterre restreint de personnes que Mahomet peut être qualifié de pédophile car il a eu une relation sexuelle avec Aïcha lorsque celle-ci avait neuf ou dix ans. Cette décision judiciaire a été confirmée à divers niveaux de l’appareil judiciaire autrichien et finalement par la Cour Européenne des Droits de l’Homme, dont sont membres la quasi-totalité des États du continent européen. Nous sommes donc face à une évolution judiciaire. (cliquez ici).

Le rôle de la Cour Européenne des Droits de l’Homme relève d’une question de bataille culturelle. Nous devons mener la bataille culturelle. Nous devons nous opposer à des instances mondialistes qui essayent de nous imposer une vision du monde.

Source EuroLibertés cliquez ici

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mercredi, 21 novembre 2018

Sortie du nouveau numéro d'Éléments

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lundi, 19 novembre 2018

Eoliennes : un intéressant reportage sur France 3

Le livre d'Alban d'Arguin cliquez ici

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lundi, 05 novembre 2018

A ne surtout pas manquer : le numéro hors-série de Présent consacré à l'"affaire Méric"

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Le quotidien Présent, dont nous vous conseillons la lecture régulière, vient de sortir dans sa collection intitulée "Histoire Actu" un numéro hors-série remarquable consacré à ce que l'on a appelé "l'affaire Méric". En 24 pages, Présent détruit totalement les poncifs qui ont été véhiculés par la presse aux ordres lors du procès qui s'est déroulé en septembre dernier et qui a conduit deux des nôtres, Esteban et Samuel, derrière les barreaux pour, peut être, de longues années.

Réalisé sous la houlette de Francis Bergeron et d'Aristide Leucate, ce numéro que l'on trouve chez tous les marchands de journaux rassemble des contributions de Camille Gallic, Caroline Parmentier, Samuel Martin, Roland Hélie, Pierre-Adrien Dumonteil, Serge Ayoub, Jean-Gilles Malliarakis, Me Dassa-Le Deist, Philippe Randa, Eric Delcroix, Arnaud Robert, Alexandre Ayraud, Bruno Gollnisch, Me Frédéric Pichon...

Voilà un document explosif qui mérite d'être lu par le plus grand nombre afin de remettre enfin les choses à leurs places dans cette malheureuse affaire odieusement manipulée par le pouvoir en place pour discréditer le combat nationaliste.

Achetez ce numéro hors-série de Présent, lisez-le bien sûr et, surtout, diffusez-le autour de vous. Il faut le mettre entre toutes les mains, c'est un devoir militant...

S.N.

Présent Histoire-Actu, entièrement consacré à "l'affaire Méric", 24 pages, 5 €, dans les kiosques ou sur le site de Présent cliquez ici

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jeudi, 01 novembre 2018

Sortie le 2 novembre : UN NUMÉRO HORS SÉRIE DÉTONNANT DE "PRÉSENT" SUR "L'AFFAIRE MÉRIC"

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À NE PAS MANQUER, CHEZ VOTRE

MARCHAND DE JOURNAUX OU SUR

LE SITE DE PRÉSENT CLIQUEZ ICI

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dimanche, 28 octobre 2018

Le nouveau numéro (n°48) de l'Aristoloche

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Lire ce numéro 48 cliquez ici

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vendredi, 26 octobre 2018

Le nouveau numéro (n°60) de Réfléchir & Agir

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Chez votre marchand de journaux, 7 €

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mardi, 23 octobre 2018

Sur Polémia, Pierre Le Vigan publie un grand article sur le nouveau livre de Georges Feltin-Tracol

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Pierre Le Vigan cliquez ici

« Notre particularité, c’est la logique de la troisième voie, celle qui réussit la synthèse entre le national et le social », expliquait début 2011 Emmanuel Leroy, alors un des principaux conseillers de Marine Le Pen. La troisième voie, c’est  le tercérisme, et c’est ce que l’on a appelé le solidarisme. Il y a là un continent des idées à redécouvrir. C’est ce à quoi contribue un ouvrage récent. Sous un titre militant, Georges Feltin–Tracol ne se contente pas de rendre compte d‘expériences politiques comme celles du Bastion social. Il explore les idées et propositions d’une troisième voie telles qu’elles ont pu être avancées à droite, mais aussi dans des milieux intellectuels inclassables, c’est-à-dire transversaux.

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EuroLibertés invite à lire le livre "Pour la troisième voie solidariste" de Georges Feltin-Tracol

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Arnaud Guyot-Jeannin cliquez ici

Se réclamer de « la troisième voie » ne signifie aucunement un ralliement à la social-démocratie de Tony Blair. C’est tout au contraire dans une perspective nationaliste révolutionnaire et identitaire que s’inscrit l’ouvrage de Georges Feltin-Tracol, Un autre regard sur la question sociale ; Pour la troisième voie solidariste. Renvoyant dos à dos libéralisme marchand et socialisme collectiviste – mais en faisant malheureusement l’impasse sur les bonnes analyses anticapitalistes de Marx -, Feltin-Tracol prône un tercérisme radical. Les expériences politiques du tercérisme se sont incarnées ou s’incarnent à l’étranger en Amérique du Sud dans le péronisme ou justicialisme argentin, le socialisme révolutionnaire bolivien d’Evo Morales, le populisme social d’Hugo Chavez, le solidarisme vénézuélien du « Commandant Zéro », alias Eden Pastora. S’y ajoutent « la troisième théorie universelle » du Lybien Mouammar El-Kadhafi, le solidarisme intégral de Nasser, le parti national-révolutionnaire syrien Baas du chrétien orthodoxe Michel Aflak, l’islamisme chiite iranien de Khomeiny et sunnite turc de Erdogan etc.

En France, le tercérisme ou solidarisme prend corps dans le corporatisme chrétien issu de la doctrine sociale de l’Église, le gaullisme social, l’associationnisme d’Hyacinthe Dubreuil, le distributisme ou Crédit social de l’Écossais Clifford Hugh Douglas. Le 11 juillet 1962, de Gaulle affirme : « Il faut trouver une troisième voie, entre les loups et les moutons […] La participation et la planification. La participation, parce qu’elle doit associer les travailleurs à la marche de l’entreprise, leur rendre une dignité que le capitalisme leur enlève, la planification, parce qu’elle permet de corriger les erreurs du marché, qui est aveugle si on en perd complètement le contrôle ». Cette troisième voie consistant à associer le capital et le travail dans une économie dirigée restera lettre morte dans sa réalisation. Seuls les gaullistes de gauche s’escrimeront à la défendre bec et ongles sans obtenir de résultat factuel. La participation à la gestion de l’entreprise, l’intéressement aux bénéfices et l’actionnariat populaire restent toutefois des pistes à explorer. Quant à la planification, il ne s’agit évidemment pas d’un calquage sur le modèle soviétique, mais la mise en place d’un État stratège.

Dans le dernier chapitre de son livre, Georges Feltin-Tracol se penche sur le trop méconnu paradigme ergoniste défendu par Jacob Sher. De quoi s’agit-il ? « Le modèle ergoniste, écrit Sher, ne correspond certes pas à l’exemple allemand de la cogestion. Il s’approcherait plutôt de la société coopérative et participative », ou « société coopérative ouvrière de production » ou encore « société coopérative de travailleurs ».

Et Feltin-Tracol de conclure : « L’ergonisme de Jacob Sher est bien une utopie, mais dans l’acception d’eu-topos, « le lieu du Bon », cet endroit qui attend l’aurore au minuit de l’ultra-libéralisme (provisoirement) triomphant ».

Pour la troisième voie solidariste est un ouvrage particulièrement intéressant – malgré un certain tribalisme racial de l’auteur – parce qu’il avance des propositions utopiques et concrètes sur le plan économique et social face au capitalisme prédateur. Il mène une juste réflexion sur une matière que les milieux de droite ont abandonnée alors qu’elle demeure essentielle. La justice sociale étant indissociablement liée à l’identité nationale.

Pour la troisième voie solidariste, Un autre regard sur la question sociale de Georges Feltin-Tracol, Éditions Synthèse nationale, Collection « Idées », 170 pages, 20 €. 

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samedi, 20 octobre 2018

Revue de presse : Steve Bannon comme George Soros ? Go home !

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Steve Bannon au congrès du RN en mars dernier

Propos recueillis par Fabrice Dutilleul

pour EuroLibertés cliquez ici

Steve Bannon est l’une des têtes pensantes ayant hissé Donald Trump à la Maison-Blanche en 2017… Après avoir été désigné Haut conseiller et chef de la stratégie du président américain, il a ensuite été rapidement remercié, avant d’être évincé de la direction de Breitbart, site Internet de « réinformation », qu’il codirigeait… Qu’a-t-il dit ou fait qui a précipité cette disgrâce ?

Vaste question… L’histoire politique est faite de ces conseillers qui, ayant aidé le prince à accéder au Pouvoir, se retrouvent ensuite écartés. Indubitablement, Steve Bannon a été un « apporteur » d’idées et de concepts, lesquels ont été mis à profit avec le succès qu’on sait par Donald Trump. Pour prendre un exemple plus proche, un Alain Soral a connu le même sort en France avec le Front national. Il a apporté des concepts et des idées à Marine Le Pen avant d’être à son tour mis à l’écart, pour de plus ou moins bonnes raisons. Mais nous avons là principalement affaire à de la psychologie plutôt qu’à de la politique. À force de conseiller le prince, le conseiller finit par se voir prince. Et comme le prince finit par se rendre compte que le conseiller prend trop de place, le prince se passe du conseiller.

Le cas de Donald Trump est encore plus flagrant. Certes, il avait des idées, mais était incapable de les traduire en concepts, ou alors de manière brouillonne ; ce qui est précisément le travail d’un conseiller. Après, une fois arrivé au Pouvoir, il y a des intérêts immédiats à gérer, des équilibres à établir et des pions à sacrifier. Steve Bannon, Irlandais d’origine et catholique de confession faisait déjà un peu désordre dans la traditionnelle hiérarchie de Washington, fief de l’oligarchie anglo-saxonne et protestante. Rendez-vous compte qu’il citait Charles Maurras et Jean Raspail comme références, un doctrinaire et un écrivain parfaitement inconnus outre-Atlantique, mais hautement sulfureux pour les rares élites locales s’étant donné la peine de les lire. Il était donc parfaitement logique qu’aux premiers soubresauts médiatiques, un tel trublion ait pu faire figure d’idéal fusible. Après, ce n’est pas parce que Steve Bannon s’est vu relégué à l’arrière-plan qu’il n’allait pas continuer à agir en coulisses. On le voit aujourd’hui avec son opération de charme, vis-à-vis des populistes européens.

Ainsi, se propose-t-il désormais de fédérer les mouvements eurosceptiques, via la fondation The Movement… Mais il est à la fois hostile à Vladimir Poutine et sioniste déclaré… N’est-ce pas incompatible ?

Dans le logiciel politique de la Maison-Blanche, c’est parfaitement compatible. Toujours feindre d’accompagner les événements que l’on n’a pas su anticiper. Depuis les fondements de la construction européenne, le Nouveau monde n’a jamais cessé d’avoir un œil vigilant sur le Vieux monde, que ce soit avec l’OTAN ou leur lobbying intensif consistant à faire entrer l’Angleterre dans le Marché commun afin de mieux le subvertir de l’intérieur. Maintenant que les populistes ont le vent en poupe, il est tout aussi logique de poursuivre la même politique, Steve Bannon en étant l’instrument idéal, bénéficiant d’une certaine aura auprès de ces mêmes populistes. Ces gens sont victimes du syndrome des mal-aimés, lequel les pousse souvent à se jeter dans les bras des rares personnes se montrant un peu moins désagréables avec eux que leurs habituels contempteurs.

Alors oui, Steve Bannon est plus que critique vis-à-vis de Moscou : « J’ai toujours pensé que le régime kleptocratique de Poutine était dangereux », affirme-t-il. Oui, il est sioniste, poursuivant ainsi la traditionnelle politique extérieure de Washington – à l’exception, peut-être de Richard Nixon –, consistant à tenir à la fois Israël pour un épigone occidental en terre islamo-arabe et hostile et comme un puissant levier de pouvoir au sein même de la construction européenne. Bref, si les Américains sont des Occidentaux, ce ne sont pas et ce ne seront jamais des Européens. Sur cette question, Arnaud Guyot-Jeannin a été parfaitement explicite, dans un article publié sur votre site (cliquez ici).

Tout cela était donc parfaitement prévisible, tout comme il l’était tout autant qu’un Steve Bannon suscite la même paranoïa à gauche qu’un George Soros à droite.

Bien sûr, et ce dans un cas comme dans l’autre, il ne s’agit pas de grands marionnettistes tirant les ficelles dans l’ombre devant des multitudes hébétées ; mais seulement d’hommes d’influence sachant tirer parti de situations données ou d’exploiter les faiblesses des uns et des autres.

Marine Le Pen, leader du Rassemblent national en France et Matteo Salvini, leader de la Lega en Italie semblent prendre aujourd’hui leur distance avec The Movement…

La preuve en est que les leaders politiques que vous citez sont encore capables de discernement, ce qui est plutôt une bonne nouvelle. Quand Mischaël Modrikamen, fondateur du même Movement assure : « Nous nous retrouvons tous sur des valeurs communes. Plus de souveraineté, un contrôle strict de l’immigration, une lutte efficace contre l’islam radical », les patriotes sincères ne peuvent que souscrire. Mais quand le même Mischaël Modrikamen leur assure que l’avenir de l’Europe passerait globalement par un axe allant de Washington à Jérusalem, d’autres patriotes, plus sourcilleux en matière de souverainisme, ont aussi matière à s’inquiéter.

La preuve en est la réticence d’une Marine Le Pen, d’un Matteo Salvini ou même d’une Marion Maréchal. La patronne du Rassemblement national a dû peser ses mots, quand elle affirme : « Steve Bannon n’est pas issu d’un pays européen, il est Américain. La force politique qui naitra des élections en Europe, c’est nous, et nous seuls qui la structureront. Car nous sommes attachés à notre liberté et à notre souveraineté. C’est nous qui construirons la force politique qui vise à sauver l’Europe. Que les choses soient extrêmement claires sur le sujet. »

Lors de cette allocution, Matteo Salvini a opiné du chef, traduisant, discrètement et en gestes les fins, ce que pensent désormais à haute voix d’autres leaders populistes européens, danois, suédois et autrichiens, assez peu pressés qu’un Steve Bannon vienne se comporter en Europe comme dans une réserve de Sioux.

Comme quoi notre vieille Europe sait encore, lorsqu’il y a péril en la demeure commune, conserver un brin de bon sens. Pour résumer : Steve Bannon ? Go home !

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Le nouveau numéro de Terre & Peuple magazine est sorti

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vendredi, 19 octobre 2018

Dans le quotidien "Présent" de cette fin de semaine, un article sur "Le Guide sulfureux du Paris réac et facho" de Patrick Parment

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Alain Sanders

On ne compte plus les guides sur Paris. Je les collectionne et j’en ai deux pleines étagères dont, bien sûr, le Paris by Right publié naguère par Francis Bergeron et Philippe Vilgier. Il nous manquait celui-là, atypique, irrespectueux et provocateur tout à la fois : Le Guide sulfureux du Paris « réac & facho » de Patrick Parment.

Au départ, comme l’explique l’auteur, la belle idée de donner à voir, arrondissement par arrondissement, les lieux où vécurent les écrivains dits « de droite » (au sens large). Et puis, au fil des des recherches – un vrai travail de bénédictin – le souci de prendre en compte les dimensions architecturales et les sites légendaires (dans le sens latin du mot : legenda, « qui doit être lu »).

A l’arrivée, une invitation à tous les piétons de Paris, à tous les amoureux d’Histoire et d’histoires, à tous les curieux d’un Paris qu’on ne nous montre jamais, de partir à la découverte, non sans une certaine émotion parfois (je ne passe jamais rue de Cléry, dans le 2e arrondissement, sans penser à André Chénier), d’un monde ostracisé.

Dans le seul 2e arrondissement, où sont les locaux de Présent (ce que Le Guide n’omet pas de signaler avec sympathie), la tête peut nous tourner : Alexandre Dumas, né place Boieldieu, à proximité d’un hôtel, Le Favart, où séjourna Goya (à rappeler dans une prochaine édition peut-être) ; le passage Choiseul où la famille de Céline tenait un magasin de mode (elle habitait 11 rue de Marsollier) ; les nombreux bobinards : 32 rue Blondel, 12 rue Chabanais, 4 rue de Hanovre, etc. ; rue Sainte-Anne, le siège, jusqu’en 1970, de l’Agence Fiat Lux de Nestor Burma, le détective qui mettait le mystère KO (par la suite, il s’installera rue de Mogador) ; etc.

Inutile de dire que beaucoup des lieux recensés parlent énormément à ceux de ma génération (quand la rue appartenait à ceux qui y descendaient et pas vraiment pour des visites de courtoisie…). Le 10 rue Croix-des-Petits-Champs (1er arrondissement), par exemple, où la Restauration nationale et Aspects de la Francemaintinrent avec panache l’esprit Camelot du Roi. Le Harry’s Bar, rue Daunou, où d’aucuns, qui ne me sont pas étrangers, se prirent pour Hemingway. La rue Notre-Dame-de-Nazareth (3e arrondissement) où notre ADG vécut un temps (à ajouter dans une réédition de ce guide, l’auteur nous invitant à quelques suggestions dans ce sens). La rue des Lombards (4e arrondissement), siège d’Ordre nouveau : je garde le souvenir de François Duprat, attablé au zinc du café tout proche et se servant de la tranche de jambon de son sandwich comme d’un marque-page… La rue Quincampoix (4e arrondissement), où Roger Holeindre avait créé et installé le Cercle du Panthéon, et où des dames d’âge proposaient leurs sé(r)vices. Et la fac d’Assas (6e arrondissement), bastion de nos libertés en mai 1968 et bien au-delà. Etc.

L’intérêt de ce Guide sulfureux tient d’ailleurs beaucoup dans ces « Etc. » tant il est riche et révélateur. D’une rue l’autre, on se surprend à découvrir des lieux méconnus et oubliés. Quel bonheur, par exemple, de voir mentionner au 14 rue des Dardanelles (17e arrondissement), l’ancien domicile de Maud Sacquart de Belleroche, auteur (… sulfureux pour le coup) du Ballet des crabes et de L’Ordinatrice. J’ai eu la chance de la rencontrer naguère. J’en reste ébloui.

Bref – et même : etc. – un ouvrage décalé, insolent et mieux que ça : indispensable. (380 pages, 27 €, Synthèse nationale, 9 rue Parrot, 75 012 Paris.)

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Le nouveau numéro du "Chêne", le journal du MNR, est paru

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Automobilistes rackettés à l’entrée des villes et cyclistes obligés de se payer une carte grise : c’est la chasse aux pauvres !

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Nicolas Gauthier

On sait quand la gauche de progrès est en marche. Il y a des signes qui ne trompent pas, tous les trucs sympathiques finissant tôt ou tard par être réservés aux riches. En attendant les dix euros pour le paquet de cibiches – c’est prévu dans les mois à venir –, vous avez intérêt à bien savourer chaque bouffée. Ce qui nous met le cancer et les métastases au prix de l’or fin. Pour tenter d’oublier le monde qui les entoure, les pauvres n’auront donc plus qu’à sniffer de la colle à bois ou de la litière pour chats.

Et puis, la voiture, évidemment. Autrefois, on vous fourguait du plaisir et de la vitesse. Des lignes de carrosserie harmonieuses, vendues avec courbes et châssis de la fille allant généralement avec. Les riches avaient la Ferrari et les pauvres la Simca 1000. Il y en avait pour tout le monde en matière de sensations. Aujourd’hui, on nous biberonne de sécurité et de sièges pour enfants. Fini le glamour. Imagine-t-on James Dean ou Roger Nimier se fracasser contre un arbre au volant d’une Twingo ou James Bond faire la course en tricycle hybride, recyclé et éco-responsable ? Non.

Mais ce dernier petit plaisir coupable ne sera bientôt plus qu’un lointain souvenir pour les plus impécunieux de nos compatriotes, sachant que les villes de plus de cent mille habitants devraient, si tout se passe aussi mal que d’habitude, se barricader de péages. Ça se fait déjà à Londres et à Milan. Il paraît que c’est le top de l’ultra. Que c’est la modernité. Avec des contrôles techniques de plus en plus tatillons et une flambée des cours du diesel, les gueux étaient déjà tricards de bagnoles. Désormais, ils n’auront même plus le droit de monter à la ville, à moins de s’acquitter d’une dîme de deux euros cinquante pouvant aller jusqu’à cinq pour les villes de plus de cinq cent mille habitants.

Ce n’est pas que l’auteur de ces lignes soit un fervent défenseur de la Révolution française – ça se saurait et il aurait fini par y avoir des fuites –, mais, au moins, les braillards en pyjamas rayés et à bonnets de Schtroumpf nous avaient-ils légués quelques acquis, l’un des plus fameux consistant en l’abolition du péage sur les routes de France. Pareillement, les manants avaient le droit de chasser tout comme leurs châtelains ; ce qui est de moins en moins le cas, Olivier Dassault et ses amis milliardaires étant en train de privatiser la Sologne. Mais il s’agit encore, là, d’une tout autre histoire ; quoique…

Que l’on revienne à l’Ancien Régime et à ses fastes, voilà qui ne peut donc que réjouir l’homme de bien ; sauf s’il s’agit d’en adopter à nouveau les aspects les plus contestables. Certes, aux miséreux dont les véhicules sont en passe de devenir une charge plus qu’un agrément restera toujours la bicyclette. N’était-ce, d’ailleurs, pas le vœu émis par Christine Lagarde, la Grande Duduche du FMI, qui, en pleine flambée des prix du pétrole, conseillait à tous ses administrés de prendre leur vélo pour aller au boulot ? Il est vrai que, faute de limousine ministérielle avec chauffeur appointé, ce n’était pas, pour elle, accomplir un effort surhumain que de pédaler du Champ-de-Mars jusqu’à la rue de l’Université.

Pas de vase, et un bonheur citoyen n’arrivant jamais seul, les heureux possesseurs de petites reines devront être, sous peu, détenteurs d’une carte grise et d’un ersatz de plaque d’immatriculation. Il semblerait qu’une telle mesure soit prise pour des raisons de vol et de sécurité. C’est-à-dire pour notre bien. C’est tout de même marrant, cette manie voulant que, chaque fois que l’État nous prive d’un petit bout de liberté, on nous assène que c’est « pour notre bien ». Prochaine étape, encore plus respectueuse de l’environnement et du vivre ensemble, la voiture à pédales ? Comme dirait Marcel Campion, la mairie de Paris aurait quelques longueurs d’avance en la matière.

Boulevard Voltaire cliquez ici

12:55 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Européennes : Jean-Marie Le Pen demande à figurer sur la liste RN

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Source Le Figaro.fr cliquez ici

LE SCAN POLITIQUE - Le cofondateur du FN aimerait voir Bruno Gollnisch tête de la liste RN aux prochaines européennes, sur laquelle il figurerait également

Coucou, le revoilà. On le devinait exténué après un énième séjour à l'hôpital dont il n'est sorti qu'il y a une quinzaine de jours. Jean-Marie Le Pen, 90 ans, se sent pourtant encore la force de battre campagne pour les prochaines européennes. Si le Rassemblement national n'a pas encore arrêté sa liste de candidats, et garde jalousement le nom de celui, ou celle, qui la conduira, le patriarche, lui, a sa petite idée et n'entend pas le moins du monde la garder pour lui.

Dans la dernière édition de son traditionnel journal de bord, publié ce vendredi matin sur les réseaux sociaux, Jean-Marie Le Pen glisse ainsi à sa fille, Marine Le Pen, le nom de celui qui serait, à son goût, le plus à même de conduire la future liste du RN: son lieutenant historique, l'eurodéputé Bruno Gollnisch. L'homme, qui a fêté le 12 octobre dernier ses trente ans de vie parlementaire, « paraît de loin le plus qualifié, appuie Jean-Marie Le Pen. Les élections européennes sont des élections capitales [...] elles seront considérablement en faveur du Rassemblement national, surtout si la personnalité qui en est la tête de liste est capable de gouverner un groupe parlementaire de plus d'une centaine de membres. »

Le « menhir » ne s'arrête pas là. Puisque dans la même lancée, il réclame également et pour son compte une place sur la liste de l'ex Front national. De quoi entamer, non sans appétit, un huitième mandat à Bruxelles. « J'accepterai moi-même d'y figurer [...] je serai le doyen des doyens, même si l'âge ne compte pas. Il faut que les anciens soient représentés », justifie-t-il.

Si ces requêtes, teintées de provocation, n'ont rien d'une boutade dans la bouche de Jean-Marie Le Pen, peu de chance qu'elles soient exaucées pour autant. Le clan Le Pen a beau s'être réconcilié en privé, le 1er juillet dernier, la présidente du parti entend circonscrire ces bonnes relations au plan strictement familial. En marge d'un donné entretien au Figaro, Marine Le Pen avait d'ailleurs réaffirmé cet été qu' « il n'y aurait jamais plus de relations politiques » entre son père et elle. Du moins, l'espérait-elle.

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mercredi, 17 octobre 2018

La colère de Mélenchon cacherait-elle sa peur ?

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Jacques Chassaing cliquez ici

Le bouffon de Macron qui se pourléchait de la répression faite aux patriotes de France vient de découvrir qu’il n’est plus intouchable. Tôt hier matin, les bras armés du pouvoir central ont investi son domicile et raflé toutes sortes de documents et leur supports informatiques dans le cadre d’une suspicion d’emplois fictifs d’attachés parlementaires au Parlement européen et des soupçons d’irrégularités sur les comptes de campagne pour la présidentielle de 2017.

Cette fois-ci, il a les foies Mélenchon, il a même la trouille d’aller en cabane.

L’imposteur favori des électeurs gauchistes a raison de numéroter ses abattis. Le voici dans le même sac que Marine Le Pen, pour les mêmes griefs, réels ou supposés. Griefs à géométrie variable, s’entend. Tout dépend des partis du pouvoir en place et de sa justice aux ordres. Après celle de Hollande, celle de son corollaire Macron. Pierre Cassen, Christine Tasin et de nombreux contributeurs à Riposte Laïque et Résistance Républicaine en savent quelque chose. Mais aussi Éric Zemmour, Renaud Camus, Thomas Joly, (Le Parti de la France) et bien d’autres encore. Qu’ils veuillent me pardonner de ne pouvoir les citer tous ici.

Marine Le Pen, pour le Front National avant son implosion, Jean-Luc Mélenchon, aspirateur troué de la gauche, et les coupables électeurs de Macron ont un point commun : ils ont tragiquement sous-estimé la dangerosité d‘Emmanuel Macron et ses visées de destruction de l’identité française.

Si personne n’arrête Macron, rien ne l’arrêtera dans son torpillage de la moindre opposition. Bayrou et ses casseroles a été facile à aplatir, les prochaines cibles seront Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France) et Laurent Wauquiez (Les Républicains). D’où la nécessité absolue d’une coalition de Droite nationale sur des bases claires en matière identitaire, nationaliste, populiste, euro-sceptique, de souveraineté nationale, d’arrêt de l’immigration et remigration, etc. Synthèse nationale vient d’y contribuer avec sa 12e Journée Nationale.

Source Riposte laïque

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mardi, 09 octobre 2018

On a toujours raison à un moment ou a un autre... mais le mieux, c'est d'avoir raison au bon moment.

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Giscard confie ses regrets au sujet du regroupement familial... Il est temps !

Lu dur f.desouche.com cliquez ici :

Comme rarement, l’ex-chef de l’État s’est livré au biographe Éric Roussel. Ses blessures, ses doutes, ses idéaux… Extraits en avant-première du livre.

« Son grand regret, le regroupement familial, décidé par un simple décret de Jacques Chirac en 1976. (…) L’idée de faire venir les familles des immigrés paraissait, à l’époque, naturelle. Avec l’augmentation massive de l’immigration en provenance de pays musulmans, elle divise profondément. Raymond Barre, d’ailleurs, le suspendit pour trois ans, avant que le Conseil d’État annule cette décision au motif que le regroupement familial faisait désormais partie de principes généraux du droit. »

Avec le recul, Valéry Giscard d’Estaing regrette cette initiative : « L’idée en soi était juste et généreuse (…) Mais elle a été mal appliquée, et j’ai eu le tort de ne pas plus surveiller l’application ; j’en ai donc la responsabilité (…) Nous visions le noyau familial tel que nous le connaissons et nous avons vu arriver des noyaux familiaux totalement différents. »

Dans son essai, Le sens de la République, l’historien Patrick Weil a aussi révélé que le président avait eu le projet de dénoncer les Accords d’Evian pour pouvoir rapatrier quelque 500.000 Algériens en cinq ans.

 

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lundi, 08 octobre 2018

Dans le quotidien Présent d'aujourd'hui, un grand entretien avec Roland Hélie sur la 12e Journée de Synthèse nationale, dimanche prochain à Rungis.

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Entretien avec Roland Hélie.

« Les lecteurs de Présent

sont les bienvenus ! ».

La 12e journée nationaliste et identitaire se tiendra sur ce thème : Ne laissons pas mourir la France. A qui adressez-vous ce souhait qui est aussi un mot d’ordre ?

A celles et ceux qui ne veulent pas voir notre pays, et notre civilisation, sombrer dans le magma mondialiste que veulent nous imposer les tenants du Système. Aujourd’hui, le choix est simple. Soit on se soumet à la volonté ultralibérale de détruire les identités au profit d’un monde globalisé dans lequel les humains ne seraient plus que des consommateurs formattés, dociles et interchangeables, soit on le refuse. Si c’est le cas, si on ne veut donc pas laisser mourir la France, avec tout ce que cela représente, il faut venir nombreux le dimanche 14 octobre à la 12e Journée de Synthèse nationale.

Quels intervenants prendront la parole cette année, et sur quels sujets précisément ?

Le moment fort sera bien sûr le meeting politique en milieu d’après-midi au cours duquel prendront la parole des personnalités aussi différentes que Pierre Vial, de Terre et peuple, Alain Escada, de Civitas, Richard Roudier, de la Ligue du Midi, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, président des Amis de Synthèse nationale, Massimo Magliaro, ancien responsable du Mouvement social italien, Roger Holeindre que l’on ne présente plus, Carl Lang, président du Parti de la France, et Jean-Marie Le Pen qui devrait, à cette occasion, prononcer un discours important sur l’avenir de la droite nationale dans la perspective des élections européennes de l’an prochain.

Auparavant, la journée se divisera en plusieurs parties. Le matin, elle débutera par un forum consacré aux initiatives nationalistes et identitaires, au cours duquel interviendront des responsables de mouvements militants comme la Dissidence française de Vincent Vauclin, le Bastion social, le Projet Lansquenet de Gabriele Adinolfi, ainsi que des militants syndicalistes comme Gérard Orget, Président du CIDUNATI francilien. Nous recevrons aussi à ce forum Juan Antonio Lopez Larrea, responsable phalangiste de Barcelone, qui s’est engagé pour défendre, l’an passé, l’unité de l’Espagne menacée par le séparatisme catalan.

En début d’après-midi, un second forum portera sur la réinformation avec Arnaud Raffard de Brienne et Philippe Randa, que les lecteurs de Présent connaissent bien, Jean-François Touzé, directeur de la revue Confrontation, Arnaud Menu, ancien directeur de Radio Libertés. Une partie de ce forum sera aussi consacrée à « l’affaire Méric » où, avec Serge Ayoub et Aristide Leucate qui a couvert le procès pour Présent, nous essayerons de remettre les pendules à l’heure…

Vous-même avez publié un texte fort (NDLR SN cliquez là) après le verdict qui a condamné à la prison ferme Esteban Morillo et Samuel Dufour.

Lorsque, début juin 2013, cette affaire éclata, je me suis engagé aux côtés de Serge Ayoub, alors mis en cause en tant que responsable de Troisième voie, pour défendre Esteban et ceux qui étaient accusés d’avoir tué le gauchiste Méric. Il y avait deux versions, celle imposée par les médias et par la classe politique, d’Alexis Corbière à Nathalie Kosciusko-Morizet, d’une part, et celle relatée par ceux qui ont assisté de visu, et pas seulement les jeunes nationalistes, à cette altercation malheureuse d’autre part. La partialité, l’injustice et le mensonge étaient flagrants.

Rappelez-vous qu’à cette époque le pouvoir socialiste était au plus mal face aux gigantesques manifestations contre le « mariage » gay. Un an à peine après son arrivée à l’Elysée, Hollande se retrouvait confronté à une situation dramatique pour lui. Il fallait donc discréditer l’opposition radicale et l’affaire Méric est tombée à point nommé pour cela. Il ne restait plus pour les socialistes qu’à faire l’amalgame entre ce « fait divers » et les manifestations, afin de dissuader les « modérés » d’y participer. Du grand classique… En attendant, des jeunes patriotes sont en prison aujourd’hui alors que ce sont eux qui ont été agressés par les idiots utiles du Système que sont les antifas. Il s’agit là d’une affaire politique et je regrette que la défense ne se soit pas placée sur ce terrain là. De tout cela, nous parlerons le 14 octobre…

Quel accueil réservez-vous aux lecteurs de Présent, habitués ou qui viendraient pour la première fois à une journée de Synthèse nationale ?

Les lecteurs de Présent, vous le savez bien cher Samuel, ne veulent pas laisser mourir la France. Ils sont donc les bienvenus et ils pourront en profiter pour visiter le stand de leur quotidien préféré…

Propos recueillis par Samuel Martin

  • 12e Journée nationaliste et identitaire organisée par la revue Synthèse nationale, dimanche 14 octobre 2018, Espace Jean-Monnet 47 rue des Solets à Rungis (Val de Marne), station RER et Tramway Rungis-La Fraternelle, vaste parking, restauration sur place, bar, concerts et animations, près de 80 stands, de 11 heures à 18 h 30, entrée 10 euros.
  • Présent participe ! Retrouvez Caroline Parmentier et Samuel Martin au stand de Présent.

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