lundi, 27 juillet 2015
RAPPEL : Petit abécédaire d’un Français incorrect nommé Charles-Henri d’Elloy
La Nouvelle Gazette de France cliquez ici
A l’occasion de la Fête de la Courtoisie, qui se tiendra à l’Espace Champerret dimanche 14 juin, la Nouvelle Gazette Française vous propose de découvrir la nouvelle édition du Petit abécédaire d’un Français incorrect….et quelques joyeuses impertinences ! de Charles-Henri d’Elloy. La nouvelle version de cette somme de billets d’humeur comprend un certain nombre d’extension et se voit embellie d’une gracieuse couverture illustrée par Pacaline Laurentie, jeune artiste formée dans l’atelier de Philippe Lejeune et Christoff Debusschere, de l’Ecole d’Etampes.
Au détour de cet abécédaire rythmé, l’auteur, allergique au discours baragouineur ambiant, dénonce avec causticisme le babillage des termes plébiscités par la classe politique. De la « discrimination positive », désignée comme « l’apartheid de Tartuffe », aux « heures les plus sombres de notre Histoire », où le chroniqueur soulève la problématique d’une Histoire revue et corrigée par un esprit républicain fallacieux, Charles-Henri d’Elloy propose des traits d’esprits vivaces, enjoignant le lecteur à aborder des sujets licencieux à l’aune de sa grinçante ironie.
Mû par un véritable amour de la langue française, le chroniqueur fait de sa défense un étendard : « Avez-vous remarqué que des bêtises prononcées en anglais ont une saveur plus intelligentes que dites en français ? « , hèle-t-il le lecteur avant de renchérir : « C’est sans doute pourquoi beaucoup de hâbleurs parsèment leurs discours de mots ou expressions anglaises pour combler les lacunes d’un raisonnement sommaire ». On retrouve là l’humeur moqueuse de l’anecdotier de Radio Courtoisie, prompt à railler la sotte indigence des médiocres (adeptes d’un multiculturalisme préempté par des institutions utopistes et soucieuses d’ériger leur idéologie à la France d’aujourd’hui).
« Je vibre aux envolées d’un polémiste émérite, je m’exalte à la faveur d’un discours lyrique… mais je suis consterné par le langage plat et convenu d’une classe politique qui n’est plus qu’un théâtre d’ombres », explique Charles-Henri d’Elloy. Du discours médiatique pressé de ‘’faire France’’, ou du verbiage politico-maçon du ‘’vivre ensemble’’, cet ouvrage délicieux est une apologie de la France enracinée. Lecture rafraîchissante (avec ou sans tongs).
Du même auteur :
- Petit abécédaire d’un Français incorrect et quelques joyeuses impertinences ! (éditions Société des écrivains -2007- réédité en 2015 aux éditions Synthèse nationale.
- Chroniques radioactives, éditions Godefroy de Bouillon, 2013.
- Rêve d’enchantement, éditions Godefroy de Bouillon, 2014.
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samedi, 25 juillet 2015
LA DECROISSANCE POUR LES NULS
Guillaume Le Carbonel
Qu’est-ce que la décroissance ? Ni une insulte, ni un gros mot, ni même une nouvelle variété de légumes transgéniques. Pour reprendre la belle formule de Serge Latouche, il s’agit plus sûrement d’un slogan politique aux implications théoriques. Un drapeau en quelque sorte, une bannière sous laquelle se rassemblent toutes celles et tous ceux qui luttent contre la société de l’illimité et le développement effréné.
« Comme le mot socialisme à ses débuts, celui de décroissance reste incertain, polémique et scandaleux, étirable dans des directions contraires. C’est sa force et sa richesse de ne pas être enfermé dans une doxa sclérosante, tout en offrant un vocabulaire alternatif à la novlangue envahissante du management » écrit fort justement François Jarrige, maître de conférences en histoire contemporaine à l’Université de Bourgogne (1).
De fait, la décroissance n’est ni de droite ni de gauche, si tant est que ces notions ont encore un sens pour certains. Elle est par contre radicalement anticapitaliste car opposée à la croissance pour la croissance, c’est-à-dire à l’accumulation illimitée du capital, et à l’exploitation des gens ordinaires par des minorités oligarchiques. Elle s’oppose avec force à l’idéologie du progrès et au modernisme, vus par certains comme émancipateurs, mais fabriquant en réalité, à la chaîne, un être abstrait arraché à toutes ses racines, un zombie pousseur de caddie guidé par ses seuls intérêts.
L’idée maîtresse de la décroissance réside dans l’analyse qu’une croissance infinie est incompatible avec un monde fini. D’après l’O.N.G. W.W.F., l’humanité est entrée en situation de dette écologique depuis les années 70. Depuis, le phénomène n’a fait que s’aggraver. Aujourd’hui, notre empreinte écologique excède de 50 % la bio-capacité de la Terre, autrement dit sa faculté à régénérer les ressources naturelles et absorber le C.O.2. La revue Science estime que la planète atteint de nos jours ses limites dans quatre domaines : changement climatique, érosion de la biodiversité, changement rapide d’usage des sols et perturbation des cycles de l’azote et du phosphore (2).
La décroissance appelle donc à une remise en cause de notre mode vie et à la construction d’un société conviviale, autonome et économe. La simplicité volontaire doit remplacer la servitude volontaire. Pour ce faire, un simple changement de cap ne saurait suffire. Décoloniser notre imaginaire nécessitera une véritable révolution culturelle et anthropologique. Une subversion totale.
Comme le rappelait André Gorz, la critique de la croissance n’a de sens, et de portée révolutionnaire, qu’en référence à un changement social total.
Certains s’imaginent que décroissance rime avec archaïsme, retour à la bougie ou au primitivisme. D’autres fantasment sur une croissance négative, expression absurde. Décroître pour décroître est aussi ridicule que croître pour croître.
Il s’agit en réalité de sortir de la logique de l’accumulation illimitée et du toujours plus. Il nous faut retrouver des limites pour donner un sens à notre vie étriquée, malmenée par l’hyper-technologie et l’obsession du changement. Serge Latouche parle de réaliser l’abondance frugale, autrement dit la prospérité sans croissance.
À l’origine de la décroissance, on trouve deux sources quasi simultanées et convergentes : la remise en question de la société de consommation, animée dans les années 60 par des hommes comme André Gorz, Jacques Ellul, Bernard Charbonneau ou encore Ivan Illitch, et la prise de conscience de la crise de l’environnement sur laquelle travaillera notamment Nicholas Georgescu-Roegen au cours des années 70.
En 2002, le slogan sera repris par Vincent Cheney et Bruno Clémentin au travers de la revue Silence.
Toutes ces études montrent à quel point nous vivons dans une véritable addiction à la croissance et comment l’homme s’est transformé en consommateur illimité. François Hollande affirmait encore le 5 janvier 2015 sur France Inter : « Ce que je veux, c’est que la France crée durablement des emplois. Or elle ne le fera que si la croissance dépasse 1 % ». Le moins que l’on puisse dire c’est que nous sommes loin de les atteindre. Malgré l’action de la Banque centrale européenne, l’estimation pour le mois d’avril signale un ralentissement de l’activité globale dans la zone euro par rapport au plus haut de onze mois enregistré en mars (3).
Serge Latouche est parmi les objecteurs de croissance celui qui a le mieux définit ce que peut être une société de décroissance. Pour lui, la société moderne est basée sur une triple illimitation : dans la production de marchandises (avec destruction des ressources), dans la consommation (besoins artificiels, obsolescence programmée) et dans la production de déchets. Il appelle donc à sortir de ce piège mortifère au travers d’étapes indispensables. Ce sont ce qu’il nomme les « 8 R » : réévaluer, reconceptualiser, redistribuer, relocaliser, réduire, restructurer, réutiliser et recycler.
Le but étant de retrouver une empreinte écologique égale ou inférieure à une planète, de relocaliser les activités, de restaurer l’agriculture paysanne et de lancer la production de biens relationnels, c’est à dire réinventer le bien commun en retrouvant une autonomie économique locale.
L’ancrage anthropologique de l’homo œconomicus doit disparaître au profit d’une société plus humaine. Il n’est plus question de « sauver des emplois » mais de sortir de la société travailliste et productiviste. André Gorz parle de bâtir la civilisation du temps libéré. Il faut changer les valeurs sur lesquelles repose la société, réduire l’incitation à la consommation ostentatoire, définir un projet collectif enraciné, encourager le commerce local, réduire le tourisme de masse, lutter contre le bougisme obsessionnel et la marchandisation du vivant, contre l’isolement engendré par le numérique et contre les grands projets inutiles.
On le voit, la décroissance est un projet révolutionnaire infiniment plus dense que ses détracteurs veulent bien le laisser croire. Il est surtout le seul paradigme véritablement nouveau qui offre un contre-projet de société viable et sans cesse en évolution. C’est la nouvelle utopie du XXIe siècle, un art de vivre, une vocation à reprendre la main et à façonner littéralement son mode de vie (4).
Notes
1 : cf. La Décroissance, n° 118, avril 2015.
2 : cf. Le Monde, le 15 janvier 2015.
3 : cf. Challenge.fr, mis en ligne le 23 avril 2015.
4 : cf. Clara Breteau, La Décroissance, n° 114, novembre 2014.
• D’abord mis en ligne sur Cercle non conforme, le 25 mai 2015 et sur Europe maxima le 21 juillet 2015.
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dimanche, 19 juillet 2015
Parution du nouveau numéro d'Eléments
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vendredi, 17 juillet 2015
Bardot à Ségo : « Comment pouvez-vous être une telle catastrophe écologique ? »
Arnaud Guyot-Jeannin Boulevard Voltaire cliquez ici
Dans les années 50-60, les puritains de droite clouaient au pilori Brigitte Bardot parce qu’elle représentait la beauté, la féminité et la liberté. De nos jours, elle est considérée comme « réac » et « facho » par les néo-puritains de la gauche bobo parce qu’elle vilipende la décadence morale, le relâchement généralisé et la branchitude cosmopolite. Libre, toujours libre, BB ! Toujours en porte-à-faux avec son temps et ses modes dominantes. Entière, droite et de la droite la plus décomplexée ! Toute une vie marquée par la fierté solaire, le courage et l’indépendance d’esprit en honorant la France, au service des animaux et de la nature.
C’est parce qu’elle a toujours été la proie des photographes, des producteurs et des bien-pensants que Brigitte Bardot comprend et aime tant les animaux qui représentent ses frères et sœurs de la Création, pour s’inscrire dans une perspective franciscaine. Victime de la maltraitance des hommes, cette biche sait se comporter en véritable tigresse lorsque les chasseurs/prédateurs de la bonne société se conduisent comme des hyènes (et encore, celle-ci ne sont pas méchantes et ne se font pas passer pour autre que ce qu’elles sont). La bonne société n’a jamais été une société bonne.
Ainsi, le 7 juillet dernier, BB a adressé une lettre forte, juste et sans concessions à Segolène Royale, ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie. Il faut citer l’intégralité de celle-ci et savoir que les femmes et hommes politiques n’ont jamais aidé la sœur des animaux. Appeler un chat un chat reste ainsi la seule méthode salutaire…
Madame la Ministre,
Encore une fois, je suis sidérée par votre capacité de nuisance, votre politique désastreuse en terme de préservation de la biodiversité, votre allégeance au monde de la chasse et de l’élevage… comment pouvez-vous être une telle catastrophe écologique ?
Les arrêtés que vous venez de prendre pour faciliter le tir aux loups, espèce protégée très peu présente en France, montre une fois de plus, une fois de trop, que votre vision de la « gestion » passe par les armes et la destruction.
Ma Fondation tente, en vain, depuis des mois de vous présenter les expérimentations menées pour protéger les troupeaux d’éventuelles attaques de loups. Le collectif Cap Loup, dont ma Fondation est membre, essuie le même refus de dialogue, le même mépris, mais vous ouvrez votre porte aux lobbies de ceux pour qui la nature doit être sacrifiée. Autoriser les tirs sur une espèce protégée, au cœur des parcs nationaux, est une honte, un scandale !
Plutôt qu’armer les chasseurs et les éleveurs, vous feriez mieux de prendre des mesures utiles, qui relèvent de vos compétences, comme abolir la chasse à courre, le déterrage et toutes ces pratiques barbares, interdire l’exploitation des animaux dans les cirques, delphinariums et autres lieux où l’animal est réduit à l’esclavage, supprimer la liste des “nuisibles” et reconnaître à l’animal sauvage le caractère d’être sensible… S’il fallait établir la liste des espèces nuisibles, la nôtre serait en tête et vous en seriez la Reine !
Madame la Ministre, annulez ces arrêtés lâches et écoutez, enfin, les arguments de ceux qui agissent pour la préservation de la biodiversité, la cohabitation des espèces sauvages et du pastoralisme.
Assumez avec courage et impartialité le poste capital qui vous est imparti et pour lequel vous manquez, hélas, de compétence…
Brigitte Bardot, Présidente de la Fondation Bardot.
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jeudi, 16 juillet 2015
Entretien avec Christian Rol, auteur du "Roman vrai d'un fasciste français"...
sur le site du
Club Roger Nimier
Christian Rol, pourriez-vous s’il vous plaît vous présenter à nos lecteurs en quelques mots ?
Je mesure un mètre quatre-vingts, j’ai les épaules larges et le compte en banque mince. J’ai dépassé l’âge de Drieu lorsqu’il s’est suicidé et j’aime la même femme depuis 12 ans.
En simple guise de rappel pour ceux qui nous lisent et ne connaîtraient pas encore vos récents efforts, vous êtes l’auteur du « Roman vrai d’un fasciste français », un ouvrage publié par les éditions « La manufacture de livres » en avril dernier ; aussi l’avez-vous sous-titré : Vies et mort de l’homme qui tua Pierre Goldman et Henri Curiel.
Ce fasciste français aux vies multiples, né en 1951 et mort en 2012, c’est à l’état civil le Marquis René Resciniti de Says ; connu comme « l’élégant » dans le Milieu, il était Néné pour les intimes. L’un de ses compagnons d’armes a choisi de dresser son portrait de la manière qui suit : « C’était un aristocrate en recherche. Mi-voyou, mi-dandy. Il oscillait toujours entre l’oisiveté et l’action, entre l’activisme et la dolce vita sur les Champs-Elysées dont il était un pilier ; entre l’uniforme des commandos parachutistes et les sapes des grands faiseurs. Et puis, il était obsédé par les femmes! D’ailleurs, la première chose qu’il a faite en arrivant en Amérique centrale, c’est d’aller au bordel. Je venais juste de lui remettre sa première solde! »
Est-ce là selon vous un résumé à peu près exhaustif de ce véritable personnage, dont la vie aura été digne d’un roman ?
Non. Néné était plus complexe que cela. Il avait notamment une culture encyclopédique dont on se demandait où il l’avait puisée compte tenu de son style de vie qui n’était pas exactement celui d’un sage retiré dans sa thébaïde. D’ailleurs, un de ses amis a pu dire de lui qu’il se cachait pour lire, comme d’autres se cachent pour boire.
Quelle est l’origine de son surnom « l’élégant » ?
« René l’Elégant », c’était au départ un clin d’œil au monde des voyous à l’ancienne, dans le registre de Simonin. Mais René était vraiment un dandy (et un voyou); à la fois dans sa vie (pas toujours) et dans le choix de ses vêtements.
Il a consacré des fortunes aux fringues dont il savait tout. Mais il n’avait pas l’élégance endimanchée ni provinciale. C’était une élégance sans ostentation, donc de grande classe.
Avant d’incarner ce personnage qui vous a inspiré un livre, René était d’abord et avant tout votre ami. Quelles furent les circonstances de votre rencontre ?
Cela remonte au début des années 70 quand il avait vingt ans…
Et moi dix ans.
A l’époque, il était très ami avec des gens de ma famille et il passait de temps à autres pour écouter du rock et parler politique. Il avait quelque chose de James Dean qui me fascinait. Quand il arrivait dans le grand appartement bourgeois de mes parents, c’était un vent d’aventure qui s’engouffrait. Sa réputation de dur le précédait partout d’un quart d’heure et moi, j’étais plus sensible à ce genre de personnage qu’aux bourgeois pépères. Et puis, c’était aussi un type adorable…
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol
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mardi, 14 juillet 2015
« Petit abécédaire d’un Français incorrect » passé au crible dans Rivarol...
Robert Spieler, Rivarol n°3191
« Petit abécédaire d’un Français incorrect… et quelques joyeuses impertinences » est le titre d’un livre proposé par Charles-Henri d’Elloy. Le livre se veut être un recueil de quelques impostures, de quelques exemples de mots, de sigles ou expressions convenues. Il dénonce la vanité, la mode, le grégarisme, la cuistrerie, l’ignorance, la couardise, la propagande et ce charabia dont nous sommes abreuvés. Ses billets d’humeur mêlent humour et indignation, un mélange qui n’est pas forcément des plus aisés à maitriser. Mais Charles-Henri d’Elloy s’en sort plutôt bien.
« A l’aube du troisième millénaire » ? La sentence tombe : « Cette expression est un modèle de stéréotype présent dans le charabia des bavards insipides ». L’Art contemporain ? « Ou comment prendre des vessies pour des lanternes ». Elloy fustige évidemment les monstrueux anglicismes : faire un come-back plutôt qu’un retour, sponsors pour mécènes, look pour style ou allure (qu’il définit excellemment comme la « recherche personnalisée de l’apparence extérieure proportionnelle au vide intérieur »), training pour entrainement, e-mail pour courriel ,best of au lieu de florilège, et cet abominable « merci à vous », traduction de « thank you » alors qu’un simple « merci » ou « merci Monsieur (ou Madame !) » fait l’affaire. Et bien sûr, il y a « Black » pour noir. Il note que voilà un mot qui rassemble et contient à lui seul toutes les hypocrisies et la bêtise du politiquement correct, et estime que son emploi rejoint le summum de l’imbécilité langagière. En quoi, en effet, le mot « black » est-il plus précis ou approprié que le mot « noir » ? Il s’en prend aussi au mot magique « citoyen », prenant un exemple de crétinisme langagier : « Faire un geste citoyen pour le développement durable », plutôt que de trier ses ordures ménagères…
Il sulfate aussi sans aucune humanité le concept de ‘déjeuner républicain’ et s’interroge quant au menu : « Mangerait-on les restes d’un aristocrate déchiqueté la veille ? Allait-on nous servir des spaghettis composés des boyaux d’un curé réfractaire ? Devait-on porter un bonnet phrygien ? Fallait-il venir sans culotte ? » Le devoir de mémoire est, quant à lui, de l’ « héroïsme par procuration ». Qu’Elloy continue ainsi avec ses insolences, et il finira dans les raviolis d’un déjeuner mémoriel…
Les féministes ont aussi droit à son ire. Il estime que « la femme féministe n’aime pas l’homme mais tient absolument à le devenir » et rappelle que l’affirmation que l’Eglise catholique n’aurait reconnu une âme aux femmes qu’au concile de Trente de 1545 est une imbécilité. A propos des « gens du voyage », qui ne sont surtout pas des ‘nomades’, il nous apprend que les gendarmes ont inventé un nouveau sigle : le « MENS » dont la déclinaison est « Minorité Ethnique Non Sédentaire ». Au détour d’une page, Elloy nous rappelle que De Gaulle, qui se voulait homme de lettre, commettait aussi des fantaisies langagières. On se souvient du mot ‘quarteron’ dont il usa pour désigner les quatre généraux putschistes d’Alger. Problème : il eût fallu vingt-cinq généraux pour que le terme fût adéquat. Dénonçant par ailleurs l’impérialisme de la langue anglaise, il évoque le « snobisme saugrenu et le panurgisme imbécile » de beaucoup de nos compatriotes. Et les « Heures les plus sombres de notre Histoire » ? Il écrit qu’ « il n’y a pas que durant les cinq années de la dernière guerre que les Français ont souffert », rappelant quelques exemples de l’Histoire,et que l’ « Histoire est écrite par les vainqueurs ». Nul doute que la Licra et le Crif sont en train de se pencher sur le cas de ce dangereux inconscient…
Par contre les régionalistes (dont je suis) n’apprécient pas son propos quand il s’en prend aux langues régionales, ne faisant guère de différence entre langue, dialecte et patois, évoquant la « funeste ratification de la charte des langues régionales », qui aurait pour improbable conséquence de « démanteler la France ». Rien que cela… Ajoutons à cela qu’Elloy s’en prend aussi à la décentralisation, dénonçant un « coup de burin pour l’unité nationale ». On est en plein discours jacobin, digne de Mélenchon et de Marine Philippot…
Pour ce qui concerne le mariage, l’auteur note avec pertinence qu’il ne reste que deux catégories à vouloir absolument se marier : les homosexuels et les curés. Rien que pour cette formule, les régionalistes lui pardonneront ses péchés…
Petit abécédaire d’un Français incorrect, et joyeuses impertinences, de Charles-Henri d’Elloy, 114 pages, à commander à Synthèse nationale, 116, rue de Charenton 75012 Paris, 23 euros, frais de port inclus.
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lundi, 13 juillet 2015
Le nouveau numéro de Terre et Peuple magazine
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jeudi, 09 juillet 2015
Jeudi, c'est le jour de Rivarol
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dimanche, 05 juillet 2015
Réflexions sur le phénomène des « migrants » africains
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Parlons vrai :
- La vague migratoire africaine que subit actuellement l'Europe se fait par l'entonnoir libyen.
- Ce dernier fut créé par ceux qui déclenchèrent une guerre insensée contre le colonel Kadhafi qui avait fermé son littoral aux passeurs-esclavagistes.
- Face à la déferlante, les forces navales européennes recueillent les clandestins... pour les transporter jusqu'en Italie. La différence avec le prophétique Camp des Saints de Jean Raspail est que chez ce dernier, les migrants débarquaient en Europe alors qu'aujourd'hui ils y sont débarqués... pour y être installés.
- Les responsables de l'ectoplasme bruxellois ont comme seule préoccupation de répartir ces intrus dont les indigènes ne veulent pas entre les pays de l'UE, ne voyant pas qu'ils vont ainsi amplifier le phénomène en créant une pompe aspirante.
- Cette migration-peuplement est essentiellement la conséquence d'une démographie devenue folle qui tue l'Afrique à petit feu, lui interdit tout développement et exacerbe ses conflits[1].
- Or cette explosion démographique s'explique parce que les missionnaires, les religieuses soignantes, les médecins et les infirmiers coloniaux ont, hier, au nom de leur « amour des autres », délivré les Africains de la lèpre, de la rougeole, de la trypanosomiase, du choléra, de la variole, de la fièvre typhoïde ; cependant que les militaires les libéraient de l'esclavage arabo-musulman.
Résultat : en un siècle, la population du continent a presque été multipliée par 10. De 100 millions d'habitants en 1900, elle était passée à environ 275 millions dans les années 1950-1960, puis à 640 millions en 1990 et à un milliard en 2014. Dans les années 2050 les Africains seront entre 2 et 3 milliards (dont 90% au sud du Sahara), puis 4,2 milliards en 2100 ; ils représenteront alors 1/3 de la population mondiale. En 2050, 40% des naissances mondiales seront africaines[2], ce qui, ajouté à la baisse heureuse de la mortalité infantile en raison des campagnes de vaccination menées par les ONG et de l'annonce d'un prochain vaccin contre le paludisme, va conduire à un cataclysme encore plus destructeur que l'actuel.
Comment espérer alors que les migrants cesseront de se ruer vers un « paradis » européen non défendu et peuplé de vieillards ? Un paradis où, par hédonisme, les femmes ne font plus d'enfants ? Un paradis où les hommes s'interrogent sur leur identité sexuelle et où toute attitude virile est considérée comme machiste, autant dire fascisante ?
Désarmés par l'hystérie émotionnelle de la classe politique et des médias ainsi que par la compassionnelle sollicitude des clercs, les Européens sont sommés de devoir accepter de subir. Un ancien Premier ministre de « droite » est même allé jusqu'à proposer que les forceurs de frontière soient envoyés repeupler les campagnes françaises. Là où les « aides » en tous genres ont depuis longtemps fait taire les salutaires cris de « Haut les fourches »...
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samedi, 04 juillet 2015
Pouilly-en-Auxois, spot estival 2015 des résistants à l’oppression migratoire ?
Véronique Bouzou Boulevard Voltaire cliquez ici
Vous faites partie de ces Français qui choisissent leur destination d’été à la dernière minute ? Pas toujours facile de privilégier l’exotisme avec un budget serré. Et si vous passiez vos prochaines vacances à… Pouilly-en-Auxois ? Cette charmante bourgade de Bourgogne de 1.600 âmes – ou plutôt 1.660, depuis que la commune est devenue bien malgré elle le lieu d’accueil de 60 migrants de la Corne de l’Afrique, tous en provenance du centre surchargé de Calais – a fait parler beaucoup d’elle ces derniers mois. En effet, le gouvernement, incapable de juguler les flux migratoires dans les grandes villes, a trouvé LA solution miracle : répartir en catimini sur l’ensemble du territoire un nombre croissant de migrants. Et Pouilly-en-Auxois n’est qu’un village pilote. À la rentrée, une vingtaine de départements devraient être concernés. Le député UDI Yves Jégo va encore plus loin, proposant que chaque commune accueille un quota de demandeurs d’asile. Nous sommes donc tous concernés, à plus ou moins brève échéance.
Pas de quoi dénaturer nos vertes campagnes, rétorqueront naïvement certains. À tort : les migrants en question, tous de jeunes hommes en parfaite condition physique à qui l’on offre le gîte et le couvert via l’argent du contribuable, se verront tôt ou tard proposer un travail subventionné sous prétexte que l’oisiveté est mère de tous les vices. Les petites gens du cru touchés par le chômage et la crise apprécieront… Et puis comme tout humain a le droit d’avoir des relations sexuelles et d’élever ses enfants, on décidera rapidement de faire venir les familles des migrants au village. Les quelques dizaines d’entre eux disséminés ça et là deviendront rapidement des centaines puis des milliers. Une fois le droit de vote des étrangers si cher à la gauche en vigueur, des communes entières passeront sous contrôle des migrants. Le Grand Remplacement est en marche…
Et pas question d’altérer l’image du formidable laboratoire migratoire qu’est en passe de devenir Pouilly-en-Auxois auprès de l’opinion publique. Toutes celles et ceux qui, au village, s’indignent de la présence des migrants sont muselés par les médias, ces derniers préférant s’attarder sur la poignée d’habitants ayant décidé d’aider bénévolement les nouveaux arrivants, comme monsieur le maire qui les a conduits, avec sa voiture, manger des crêpes dans un château quatre étoiles, deux institutrices à la retraite qui leur donnent des cours de français, ou bien ce monsieur qui les emmène le vendredi à la mosquée de Beaune.
Il serait donc grand temps que ceux qui lisent ces lignes profitent de la trêve estivale pour aller soutenir massivement et pacifiquement la majorité silencieuse de ce village gaulois bien démunie face au rouleau compresseur politico-médiatique. Plus nous serons nombreux à faire le déplacement, plus nous aurons de chance d’empêcher les expérimentations migratoires hasardeuses à venir qui, après avoir gangrené nos villes, menacent à présent nos campagnes. Bonnes vacances au vert…
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René Galinier, 78 ans, cambriolé : ET C'EST ENCORE LUI LE COUPABLE !
Nicolas Gauthier Boulevard Voltaire cliquez ici
René Galinier, 78 ans, est manifestement un brave homme qui, jusqu’au 5 août 2010, coulait des jours à peu près tranquilles dans sa petite maison de Nissan-lez-Ensérune (Hérault). Et le voilà désormais jugé par la cour d’assises de l’Hérault, à Montpellier, où sa peine vient d’être prononcée : 5 ans de prison dont 4 ans avec sursis.
Son crime ? Ce même 5 août 2010, cambriolé une fois de plus, une fois de trop, il s’énerve, prend son fusil de chasse et tire par deux fois sur les intrus ; ou les intruses, pour être plus précis. Salena et Marina ; jeunes filles d’origine serbe, des « gens du voyage », comme l’on dit pudiquement. Il est un fait que lorsque papy Galinier sort le flingo, c’est pas pour faire les carreaux. D’où blessures évidentes pour les deux adolescentes. L’une n’enfantera jamais, l’autre traîne depuis une patte folle.
René Galinier, évidemment, qui n’est pas une brute, a exprimé ses « regrets sincères », formule de rigueur devant les juges. Mais bon, il était tout de même un peu chez lui, et ces deux gamines pas véritablement chez elles. Mais qui, détail d’importance, n’ont pas été poursuivies par la justice, alors que le motif était un brin évident. Le coupable, c’est René Galinier, forcément. Alors ? Alors, rien. Pourtant, même Le Parisien de ce vendredi admet : « Bien sûr, ce procès n’est pas celui des cambrioleuses […] mais un peu celui des casses organisés et du sentiment d’insécurité. Cette “crainte” qu’inspirent les “gens du voyage” à tout le village de Nissan, dont les habitants sont venus en masse soutenir leur ami et voisin surnommé “Néné”. Ils adhèrent à la thèse de “l’autodéfense” de l’accusé, défendu par les avocats Gilbert Collard (RBM-FN) et Josy-Jean Bousquet (non-inscrit). »
Mais là où l’affaire en vient à défier les lois du bon sens et de la raison la plus élémentaire, c’est quand Marina et Salena exposent leur système de défense, manifestement issu des cogitations stratosphériques d’un avocat qui devait au moins être ivre mort au moment des délibérations. Marina : « Je ne peux plus rien faire, je ne pourrai plus jamais travailler… » Et, à la légitime question posée par les juges, consistant à mieux déterminer en quoi consistait son travail, cette réponse, désarmante de naïveté : « Travailler ? C’est-à-dire voler… »
Malaise dans le prétoire, fort bien rendu par la journaliste du Parisien : « À l’évidence, Marina espère l’indemnisation qui compensera la gravité de ses blessures et peut-être… le manque à gagner. Elle se rend compte de la maladresse de son propos, son avocat, Silvio Rossi-Arnaud, conteste la traduction, mais le jury a bien entendu. » Bonne nouvelle ? René Galinier, quant à lui, explique son geste par la peur de perdre sa maison et ajoute : « J’ai pas eu de chance. Ça aurait pu arriver chez ma voisine et, malheureusement, c’est arrivé chez moi… »
Autrefois, on ne s’indignait pas que certains marins se noient en mer, que d’autres couvreurs tombent des toits, que tant de policiers décèdent en service et que d’innombrables soldats aient pu mourir au front. Il s’agissait simplement des risques de métiers que tous avaient choisis en connaissance de cause. Même les truands de naguère, quand ils partaient en prison, évoquaient seulement un « accident de travail ».
Tout cela pour dire que des voyous ou des voyouses, pénétrant par effraction dans le domicile d’un paisible vieillard, savent mieux que personne les périls qu’elles peuvent éventuellement encourir. Si elles n’assument pas, on manque encore de bras à La Poste…
Pour le reste, vive René Galinier, et une pensée émue pour Jean Gabin dans La Horse !
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vendredi, 03 juillet 2015
Fichage d'élèves musulmans à Béziers : l'enquête classée sans suite
Source Le Point.fr cliquez ici
Le parquet de Béziers a annoncé jeudi avoir classé sans suite l'enquête ouverte en mai sur de présumés fichiers illégaux de la mairie de Béziers portant sur un décompte d'élèves musulmans. "Il n'y a rien qui permette de prouver quoi que ce soit. Je classe l'affaire sans suite", a déclaré le procureur de Béziers, Yvon Calvet, qui avait ouvert une enquête préliminaire pour "tenue illégale de fichiers en raison de l'origine ethnique".
Lors de l'émission politique Mots croisés sur France 2 le 5 mai, le maire de Béziers, Robert Ménard, proche du Front national, avait déclaré : il y a "64,6 % d'élèves de confession musulmane dans les écoles publiques de Béziers. Ce sont les chiffres de ma mairie. Pardon de le dire, le maire a, classe par classe, les noms des enfants. Je sais que je n'ai pas le droit de le faire. Pardon de le dire, les prénoms disent les confessions. Dire l'inverse, c'est nier l'évidence". Le maire de Béziers avait cependant martelé le lendemain qu'il n'y avait "pas de fichage des élèves à Béziers" et qu'il n'y en aurait "jamais".
"Une polémique bidon"
"Je suis vraiment satisfait. C'est la fin d'une polémique bidon. Il n'y avait rien d'illégal à dire cela, le bon sens a triomphé. Dire ce qui est me semble être le métier du maire. Il n'y avait rien de rien dans ce dossier. C'est un camouflet pour Taubira, Valls et le président !" s'est félicité Robert Ménard. Cette déclaration à Mots croisés avait en effet entraîné de vives critiques, jusqu'au plus haut niveau de l'État. François Hollande avait évoqué un procédé "contraire à toutes les valeurs de la République" et Manuel Valls avait tweeté "Honte au maire". L'ancien président de Reporters sans frontières (RSF) avait aussi été entendu par la PJ de Montpellier.
Le 11 mai, le tribunal administratif de cette même ville avait rejeté le référé liberté déposé par une association pour enjoindre au maire de Béziers, Robert Ménard, proche du Front national, de cesser la collecte d'informations sur la religion d'élèves, en l'absence de preuves de l'existence de fichiers spécifiques. "Il ne résulte ni des pièces soumises au juge ni des informations recueillies lors de l'audience" que la ville de Béziers aurait constitué "un ou plusieurs fichiers spécifiques, dématérialisés ou non, fondés sur l'appartenance religieuse (...) des élèves", avait souligné le tribunal. En revanche, des informations sur les élèves "ont été collectées à partir des fichiers recensant les élèves inscrits dans les établissements publics d'enseignement dans lesquels les enfants supposés appartenir à la religion musulmane ont été identifiés par leurs prénoms", avait noté le tribunal.
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jeudi, 02 juillet 2015
Le nouveau numéro de Conflits est sorti
Conflits cliquez ici
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La justice annule la suspension de Jean-Marie Le Pen
Source RTL cliquez ici
La suspension de Jean-Marie Le Pen par le bureau exécutif du Front national a été annulée, jeudi 2 juillet, par le tribunal de grande instance de Nanterre, et ce pour une question de forme.
Le FN "devra rétablir M. Jean-Marie Le Pen dans tous les droits attachés à sa qualité d'adhérent et le cas échéant à celle de président d'honneur", précise le jugement.
Le cofondateurdu parti d'extrême-droite avait été suspendu le 4 mai dernier de son statut d'adhérent, une sanction prise par les plus hautes instances du parti à la suite de dérapages verbaux.
Le bureau politique du FN s'était alors désolidarisé officiellement des propos tenus par son président d'honneur : "Le Bureau politique désapprouve les propos tenus et réitérés par Jean-Marie Le Pen, notamment ceux exprimés dans les colonnes du journal anti-FN Rivarol, contraires à ses valeurs politiques et statutaires ainsi qu’à l’objet social de l’association". Le bureau exécutif lui avait retiré le statut d'adhérent et une assemblée générale du parti devait décider "dans les trois mois" de lui supprimer son statut de président d'honneur.
15:29 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
08:24 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
YASSIN SAHLI : UN MONSTRE SI ORDINAIRE Les médias tentent d’occulter la dimension islamiste du meurtrier terroriste
Métamag cliquez ici
Les journalistes ont été très déçus par la conférence de presse du procureur de la république affirmant que le décapiteur terroriste de l’Isère était bien un islamiste passé à l’acte.
Une campagne vis-à-vis de l’opinion publique a été mené avec la complicité des avocats pour désislamiser les actions de Yassin Sahli. On aurait eu finalement, selon ses dires, un acte de vengeance mis en scène pour attirer l’attention. On se demande jusqu’où peut aller le dénie de la réalité pour empêcher un rejet des islamistes par la population.
On a affaire à un fou de dieu, un islamiste radical qui est passé à l’acte dans une tentative de terrorisme après avoir tué, pour des raisons au départ privées, son employeur. Le déclencheur de l'hystérie meurtrière est privé, mais l’action est terroriste et islamique : tête coupée, inscriptions religieuses, attentat suicide…..
Qui peut en douter ? La preuve par l’absurde
Si, par exemple aux USA, un employé blanc, camarade de travail d’un noir l’avait, par vengeance, pendu à un arbre devant une croix enflammée en tenue du Ku Klux Klan…. Aurait-on un seul instant donné du crédit à ses déclarations s’il avait affirmé, même relayé par un avocat, qu’il n’était pas raciste, qu’il n’avait pas commis un crime de haine, et que c’était juste une mise en scène pour attirer l’attention des médias ?
Les enquêteurs ont découvert, dans son téléphone portable, un selfie macabre, pris avec la tête de sa victime et envoyé à un correspondant via une application de messagerie instantanée. Le numéro de téléphone du destinataire est canadien, mais les enquêteurs ont identifié un djihadiste français présent dans les zones de combats syriennes et répertorié parmi les 473 djihadistes français actuellement sur place. Il s’agit de Yunes-Sébastien V-Z., un Français âgé de 30 ans, que Yassin Salhi connaît depuis 2006 et qui n’avait pas été repéré par les services de renseignement avant son départ pour la Syrie en novembre dernier.
Le procureur de Paris, François Molins, a révélé hier, qu’après plusieurs voyages au Maroc et en Arabie Saoudite en 2003-2004, il s’est rendu en Syrie en 2009 pendant un an, avec femme et enfants, d’après sa sœur. Là, Yassin Sahli dit avoir appris l’arabe. Un de ses anciens professeurs de sport assure toutefois qu’il y a fréquenté une école coranique. «Quand on va dans une école coranique, ce n’est pas pour apprendre l’arabe, c’est pour tout autre chose», a estimé François Molins.
À l'inverse d'un Mohamed Merah ou plus récemment des frères Kouachi ou d'Amédy Coulibaly, qui avaient proclamé avant leur mort leur affiliation à l'islamisme le plus radical, Salhi a contesté en garde à vue toute motivation religieuse. Mais pour la justice, le patron de son entreprise de transport, Hervé Cornara, qu'il a avoué avoir tué, est bien une nouvelle victime du terrorisme islamiste, six mois après les attentats de Paris et deux mois après l'assassinat d'Aurélie Chatelain dans un parking de Villejuif (Val-de-Marne).
La terreur djihadiste continue à frapper et la presse reste tétanisée par son idéologie anti raciste et sa peur de la montée d’un réflexe de salut public dans la population.
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mercredi, 01 juillet 2015
Un numéro spécial de Présent consacré aux dessinateurs non conformistes qui ne sont pas Charlie...
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Dans ce numéro, un grand entretien avec Aramis, auteur du fameux livre qui calme :
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dimanche, 28 juin 2015
VENDREDI 26 JUIN : UNE JOURNÉE DE L’ABJECTION Quelle stratégie contre les crimes de haine
Raoul Fougax Métamag cliquez ici
Les journalistes, quand un blanc tire sur des noirs, savent qualifier ce crime de « crime de haine ». Un crime contre l’autre parce qu’il est autre.
Les crimes islamistes sont donc des crimes de haine et il faut les traiter comme tels en criminalisant l’adhésion à la violence d’une idéologie religieuse préconisant la mort pour ceux qui ne se soumettent pas ou qui sont considérés comme des impies. L’adhésion au salafisme est incompatible avec nos valeurs et notre nationalité historique. Il faut enfin en tirer les conséquences.
Pour une fois cependant le terme est approprié : abject. Un terrorisme abject, de sauvages et pas seulement de barbares qui a frappé trois fois.
Chaque fois, on nous rappelle que ce ne sont pas des musulmans mais des terroristes. C’est un peu lassant. Et puis, on nous explique que ce mois est le plus dangereux, qu’on s’attendait à des horreurs car c’est le mois saint, le mois de ramadan. N’y aurait-il pas tout de même une légère contradiction.
Ce terrorisme est une maladie de l’islam, une gangrène de cette religion. Dans les reportages sur France info, il y a toujours une musulmane voilée mais tolérante qui explique que le terroriste n’a rien compris à l'islam.
Abject, ce qui s’est passé en France où un islamiste radical est passé à l’acte terroriste dans une forme d’attentat suicide après avoir coupé la tête de son patron ou collègue de travail, sans oublier de l’accrocher au portail avec des inscriptions en langue arabe. Un homme connu, surveillé mais pas trop et qui a transformé en Djihad une haine privée, passant à l’acte terroriste.
Abject en Tunisie cette fusillade qui a fait prés de 40 morts, des touristes sur les plages, des employés de l’établissement dans l'hôtel même, un homme seul se faisant passer pour un baigneur comme les autres, une horreur venue du bord de mer. Sous le sable et les matelas en Tunisie la mort.
Abject en plein ramadan, le vendredi, heure de la prière en ce début de ramadan, cette bombe au Koweït dans une mosquée chiite, un acte signé Daesh.
Alors bien sûr la condamnation et la compassion ne servent à rien, la preuve par 3, l’appel à la solidarité surtout sans fausse note et sans amalgame est dérisoire et même devient insupportable.
Il faut éradiquer l'islamisme la-bas et chez nous et faire la guerre à ceux qui nous rejettent et veulent nous tuer.
Il faut les rejeter même si c’est sans doute trop tard. Comment ?
Il y a des gouvernants, nos admirables gouvernants qui le feront très bien sans pratiquer l’amalgame bien sûr ! Et pendant ce temps accueillons les migrants au nom de la compassion.
Mortelle compassion.
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Le nouveau numéro de "Réfléchir et Agir" est sorti
08:29 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 27 juin 2015
Un entretien avec les Brigandes
Publié par Euro Reconquista cliquez ici
Bonjour Les Brigandes ! Bienvenues dans l’antre de la bête immonde, des zeures , de la pensée nauséabonde et du couscous réunis.
ER : Depuis un an environ vous rencontrez un certain succès avec vos vidéos, surtout dans la réacosphère, ben oui ! comment le jugez-vous ?
Nous nous doutions que dès le lancement de nos petits missiles, ils allaient toucher des cibles. Le succès nous a boosté pour nous engager carrément car la reconnaissance est un stimulant. C’est donc un coup réussi pour le moment et nous sommes prêtes à assurer la suite, sachant qu’il y aura des grincements de dents car on ne peut pas plaire à toute notre mouvance, diversifiée idéologiquement.
Si on cherche la motivation derrière notre travail artistique c’est de soulever la chape qui nous écrase tout en faisant plaisir à tous ces gens qui souffrent dans un système qui les humilie en permanence. Nous sommes saturés d’explications et d’informations, et il faut imaginer de nouvelles voies d’expression pour nos idées. La vraie Droite est pauvre au plan musical et nous avons voulu libérer un espace pour une nouvelle chanson française, joyeuse et contestataire.
ER : Question à deux roupies, pourquoi Les Brigandes ?
« Brigands » est le nom que les génocidaire de 1793 donnaient aux vendéens parmi lesquels des femmes combattaient, d’où notre choix spontané pour les Brigandes qui nous est venu en lisant et en visionnant les productions de Reynald Secher sur la Terreur.
ER : Vous tournez à combien de visites en moyenne ?
Nous avons une moyenne de plusieurs milliers de visites par jour, dont certaines de Russie, du monde latino et anglo-saxon pour les chansons sous titrées dans ces langues. De Russie, nous recevons beaucoup de commentaire positifs grâce à « Laissez vivre la Russie » sous-titrée en russe. « La Loge des jacobins » est visionnée par les francs-maçons anglo-saxons. Il est agréable de savoir que ces quenelles bien françaises passent à l’international.
12:12 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 25 juin 2015
Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
09:12 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 24 juin 2015
Camba et Taubira ne seraient-ils pas un peu racistes ?
Pierre Cassen Boulevard Voltaire cliquez ici
Essayant de se refaire une santé après le peu glorieux épisode Chaouat, le nouveau secrétaire du PS a cru bon de passer de la pommade à Taubira, la jugeant « indispensable à la couleur du gouvernement » (sic !).
Seul problème : à force de qualifier tout le monde de raciste (tout en affirmant que les races n’existent pas), on finit par se prendre les pieds dans le tapis. C’est ce qui vient d’arriver au nouveau secrétaire du Parti socialiste, qui laisse entendre que si l’ancienne indépendantiste guyanaise n’était pas noire, elle ne serait pas indispensable. On attend avec impatience le prochain procès du CRAN !
Le cirage (noir) de pompes de Cambadélis et la référence à la couleur tombaient d’autant plus mal que le garde des Sceaux vient de subir un véritable « Taubiragate » judiciaire, dans une affaire qu’elle a instrumentalisée de A à Z avec l’alibi de l’antiracisme.
Elle s’était victimisée, de manière très politicienne, dans une histoire de page Facebook appartenant à Anne-Sophie Leclère, à l’époque au FN, la représentant en singe. Rappelons que par le passé, Giscard d’Estaing, Le Pen ou Sarkozy avaient eux aussi été caricaturés ainsi. N’oublions pas que Charb lui-même avait dessiné le garde des Sceaux en guenon, en toute impunité.
Plus grave, Taubira avait mis tout son poids dans la balance, dans le procès qui allait suivre, se montrant grossièrement juge et partie. C’est une association indépendantiste, qu’elle a créée en 1993, hébergée à son adresse, qui a déposé plainte. Le premier procès a eu lieu à Cayenne, avec six avocats d’un côté, aucun défenseur de l’accusée de l’autre, et un tribunal présidé par un membre du Syndicat de la magistrature. Ce dernier, confondant le droit français et une vision militante et revancharde de la justice postcoloniale, a rendu, le 16 juillet 2014, un verdict digne d’une république bananière : 9 mois de prison ferme et 50.000 euros d’amende, contre une femme qui n’a que 600 euros de revenus par mois.
Taubira qui, paraît-il, ne commente jamais les décisions de justice a essayé de justifier une telle sentence. Après un lapsus révélateur « Je ne commente jamais les injustices », elle a estimé que les juges rendaient leur verdict d’après le Code pénal. Décodage : la sanction était donc méritée.
Seul problème, et c’est l’ABC du droit : une association ne peut ester en justice que si ses statuts le lui permettent. Or, l’association Walwari n’a pas pour mission de lutter contre le racisme, mais pour l’indépendance de la Guyane. Autrement dit, Taubira, par idéologie et par haine des anciens colonialistes, a cautionné une justice d’exception, de type raciste, prenant des libertés avec le droit français. D’où, ce lundi, l’annulation par la cour d’appel de Cayenne du premier verdict.
Si un ministre de la Justice blanc avait été dessiné en cochon par un Guyanais, Taubira aurait-elle fait tout ce cirque ? Bien sûr que non.
Que dire, en outre, de l’affaire Chaouat-Cambadélis ? Le chef du PS aurait-il proposé qu’un Français d’origine européenne, connu pour avoir cogné son épouse, soit nommé secrétaire national du Parti socialiste ? Bien sûr que non. Aurait-il parlé de couleur si le garde des Sceaux était d’origine asiatique ? Bien sûr que non, cette question n’est jamais évoquée avec Fleur Pellerin.
Pierre Desproges disait qu’il n’adhérerait à SOS Racisme que quand il y aurait un « s » à racisme. Cambadélis et Taubira, par leurs orientations teintées de racisme, lui donnent raison.
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mardi, 23 juin 2015
« Nous pourrons nous battre quand nous redécouvrirons qui nous sommes ! »
Bernard Lugan
Boulevard Voltaire cliquez ici
Dans toute l’Afrique, le chaos semble s’installer. Les frontières issues de la colonisation européenne ont-elles un avenir ?
Ces frontières ne correspondent pas à la réalité, mais elles existent. Si elles explosent, ce sera l’anarchie. Et l’on voit au Sud-Soudan que de nouvelles frontières ne résolvent pas les problèmes pour autant. Le vrai problème, c’est la démocratie. C’est elle qui provoque le chaos. Avec le principe « one man, one vote », la majorité ethnique remporte systématiquement les élections. Et cela cause des drames terribles quand cette majorité était, avant l’indépendance, soumise à une autre ethnie. Cela débouche sur la vengeance et sur le génocide, comme au Rwanda. Le génocide de 1994 est le fils de la démocratie.
Vous soulignez toujours le discours de La Baule (1990) du président Mitterrand comme point de départ du chaos africain…
Tout à fait : Mitterrand, en expliquant qu’un « vent démocratique devait souffler » sur l’Afrique, a tourné le dos à notre antique politique africaine – gaulliste – qui consistait à soutenir des régimes forts. Nous pensions, à juste titre, qu’il fallait construire un État avant de parler démocratie. De Gaulle l’avait compris, lui qui parlait d’ailleurs de « coopération » avec les anciennes colonies, jamais de « développement ». Le chef de l’État socialiste a, lui, au contraire, associé « développement » et « démocratie », faisant de la seconde la condition du premier. Un désastre ! La démocratie a été une catastrophe pour le continent, tout comme la médecine…
La médecine ?
Oui. Quand nos grands anciens, les explorateurs, sont arrivés en Afrique, le continent était presque vide. En vérité, l’Afrique a toujours été un continent de basse pression démographique. Jusqu’à ce que les Européens amènent leur médecine… De 100 millions d’habitants, on est passé à plus de 1 milliard et l’ONU prévoit 3 milliards d’ici quelques décennies ! C’est une folie… Les faibles États africains ne tiendront pas le choc.
Vous vous doutez que ces propos peuvent choquer ?
Vous savez, moi, je suis un historien. Je m’intéresse à la terre et aux hommes. Aux faits. La morale, je la laisse aux philosophes. Nous vivons dans un monde de dogmes, dans l’émotion, dans le présent. Je pense comme les Arabes ou les Africains : sur la longue durée. Et j’irai plus loin dans mes propos : la démocratie a fait plus de mal que l’esclavage !
À vous écouter, un pays comme l’Afrique du Sud ne pourra donc jamais être la démocratie merveilleuse et arc-en-ciel que l’on nous dépeint ?
Non. Et l’apartheid se réinstalle d’ailleurs tranquillement. Le grand exode des Blancs (près d’un million de personnes) est terminé. Ceux qui sont restés se sont regroupés, vivent dans leurs propres villes. Il y a peu de contact avec les Noirs. Les grandes distances permettent ce qui est impossible en France pour la population de souche. Comme dans toute l’Afrique, en Afrique du Sud, le vote est racial. L’ANC est le parti des Noirs, contrôlé par les Zoulous, et le petit parti libéral, blanc et métis, ne décolle pas.
Vous restez cependant optimiste…
Oui, car le réel fera son retour. Le modèle démocratique va s’effondrer de lui-même. Nous reviendrons, y compris en Europe, à une sorte d’Ancien Régime, qui respectera mieux les communautés originelles. Nous pourrons nous battre à armes égales avec les islamistes quand nous redécouvrirons qui nous sommes. Pas avec ce hochet des droits de l’homme ou ce laïcisme désuet !
Propos recueillis par Joris Karl
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DÉMISSION DE TAUBIRA : CHRISTIANE FAIT NOUS PEUR ! Le départ de Taubira, le rêve de Valls
Raoul Fougax Métamag cliquez ici
Ceux qui ne savaient plus comment s’en débarrasser au gouvernement se reprennent à espérer. Elle pourrait finalement partir d’elle-même. La madone des 32 heures s’impatiente, parait-il. Elle aurait du mal à rester au gouvernement si la réforme de la justice des mineurs, promise par François Hollande et à laquelle elle est très attachée n’était pas rapidement inscrite à l’ordre du jour.
« Le gouvernement s’était engagé à le faire au premier semestre 2015, je suis la première à déplorer que ce ne soit pas encore fait », a expliqué la garde des sceaux. Si ses collègues du gouvernement affirment que la démission de Christiane Taubira n'est pas à l'ordre du jour, il n'empêche que la ministre teste la résistance de Manuel Valls.
Le Journal du Dimanche, dans son édition du 21 juin, confirme que la ministre de la justice ne cacherait plus en privé qu’elle démissionnera si elle n’a pas la certitude que cette réforme sensible, qui en est, selon elle, aux « derniers arbitrages », soit adoptée avant la fin du quinquennat.
Christiane Taubira, qui s’est opposée sans succès à certaines mesures du projet de loi sur le renseignement, entend donc mettre la pression sur Matignon et l’Élysée pour faire avancer son projet qui prévoit notamment de supprimer les tribunaux correctionnels pour mineurs mis en place sous Nicolas Sarkozy au motif que les juges pour enfants auraient été trop laxistes. Le laxisme vis avis des voyous, c’est l'image de marque d’un ministre qui fait de la lutte contre l'l autorité, forcement rétrograde, sa priorité.
Elle est en totale contradiction avec la ligne Valls qui n’ose y toucher parce que noire et femme, parce qu'en butte aux attaques d’une droite qui la soupçonne sans jamais oser le dire de racisme à rebours. Il faut rappeler que Christiane Taubira n’est pas membre du PS. Elle a co-fondé avec son mari en 1993 le parti guyanais Walwari et est surtout apparentée au PRG. Elue en 1994 au Parlement européen sur la liste conduite par Bernard Tapie (alors PRG), avec Noël Mamère entre autres colistiers, elle rejoint Ségolène Royal lors de la campagne présidentielle de 2007 et soutient Arnaud Montebourg lors des primaires citoyennes de l’automne 2011, n’apportant même pas son appui au "patron" des Radicaux de gauche, Jean-Michel Baylet… Taubira depuis l’élection présidentielle de 2012 apparaît effectivement comme une "caution" de gauche anti raciste pour François Hollande. Si elle partait d'elle même pour rejoindre la gauche de la gauche du Ps, et même au delà ,cela arrangerait tout le monde sauf ceux qu’elle irait rejoindre peut être. Car comme dirait l’autre « il faut se la faire ».,Son ambition est grande et elle rêve d’être le symbole d'une gauche multiraciale à la française… ce qu’elle est déjà.
Taubira candidate à la présidence ! Eva Joly l’a bien été.
Cette hypothèse est loin d’être absurde mais n’inquiète pour le moment personne surtout pas Manuel Valls qui pense qu’à chaque jour, suffit sa peine, surtout avec Taubira. Mais si elle part, ce sera pour mieux revenir, c’est sûr, sauf à donner l'indépendance à la Guyane…
09:02 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Taubira comparée à un singe: la condamnation annulée
Source Libération.fr cliquez ici
En première instance, Anne-Sophie Leclère, un temps tête de liste FN aux municipales, avait été condamnée à neuf mois de prison ferme et cinq ans d’inéligibilité.
La cour d’appel de Cayenne a annulé la condamnation d’une ex-candidate FN aux municipales de 2014, Anne-Sophie Leclère, qui avait été condamnée à neuf mois de prison ferme et cinq ans d’inéligibilité en première instance pour avoir comparé Christiane Taubira à un singe. Dans son arrêt rendu lundi, la cour d’appel a jugé « irrecevable » l’action menée par l’association Walwari (un mouvement cofondé par l’actuelle garde des Sceaux début 1993) à l’encontre du Front national et de Anne-Sophie Leclère.
Anne-Sophie Leclère, un temps tête de liste FN aux municipales à Rethel (Ardennes) avant d’être exclue par le parti de Marine Le Pen à la suite de ces propos, avait été condamnée en juillet 2014 par le tribunal de grande instance de Cayenne. Le tribunal, saisi d’une plainte de Walwari, était allé au-delà des réquisitions du parquet en prononçant cette peine, assortie d’une amende de 50 000 euros. Il avait également condamné le Front national à 30 000 euros d’amende en première instance.
La cour d’appel a considéré lundi, entre autres, que Walwari « ne justifie pas », selon ses statuts, de proposer « de défendre la mémoire des esclaves et l’honneur de ses descendants » ou « de combattre le racisme » au moins « 5 ans avant les faits reprochés » d’octobre 2013 comme le requiert la loi. « Sans qu’il soit nécessaire d’examiner les autres multiples exceptions de nullité» soulevées par les avocats de Anne-Sophie Leclère et par celui du FN, la cour a estimé que « le tribunal n’ayant pas été régulièrement saisi de l’action publique, il y a lieu d’annuler le jugement du 15 juillet 2014 ». (...)
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jeudi, 18 juin 2015
Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
07:26 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 11 juin 2015
Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
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jeudi, 28 mai 2015
Jeudi, c'est le jour de Rivarol
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mercredi, 27 mai 2015
MEDIAS ET PHILIPPOT : UN ÉTRANGE ENGOUEMENT Mais pourquoi une telle surreprésentation du vice-président du FN ?
Jean Bonnevey Métamag cliquez ici
Si l’on considère que l’idéologie médiatique déteste les valeurs et les visions prêtées au Front national, la sollicitude de la caste journalistique pour Florian Philippot interpelle. On ne voit que lui partout. On le voit plus que Marine, Marion et les autres réunis. C’est tout de même bizarre. On allume la télé, encore Philippot, toujours Philippot. Alors pourquoi ? Parce qu’il dit du mal du Fn historique, du Fn déviant de l’idéologie dominante. Il n’y a pas de secret. Philippot est considéré par les médias comme un moyen de combattre certaines idées de l’intérieur du Fn. Pour les militants restés proche de JMLP, il est utilisé comme un « idiot utile » ou un « porteur de valise ». Ce qui est vrai, c’est que les médias l’aiment.
Tout d’abord parce qu’il dit du mal de Jean-marie Le Pen, le diable. En plus parce qu’il représente un Fn édulcoré et presque médiatiquement compatible. Philippot accepte totalement la lecture de l’histoire du système, notamment sur la deuxième guerre mondiale. Il est d’autre part de sensibilité « mariage pour tous ». C’est certainement les deux éléments qui font que les médias lui donnent si complaisamment la parole.
La seule chose qui les gêne encore un peu, c’est l’immigration et le fait que le vice-président du Fn n’est pas encore mûr pour accepter d’avoir pour compagnon un tamoul clandestin, serait-il lauréat à Cannes. Mais personne n’est parfait.
Mais à part ça, Philippot issu des rangs chevènementistes est un patriote gaulliste social, pas de quoi effrayer la vigilance anti fasciste médiatique. Vice-président du Front national, Florian Philippot ne cache pas sa volonté de voir Jean-Marie Le Pen hors du parti. « Aujourd'hui, une procédure a été engagée à l'initiative de la présidence du Front. Jean-Marie Le Pen est suspendu. Nous, nous proposons aux adhérents une réforme des statuts qui comporte la suppression du président d'honneur mais aussi plus de démocratie interne. Je suis favorable à la suppression de la présidence d'honneur de Jean-Marie Le Pen », affirme-t-il sur BFMTV et RMC.
Le Fn doit changer de l'intérieur, "se moderniser" estime Florian Philippot. Mais ce changement n'ira pas jusqu'au nom du parti. "Ce n'est pas d'actualité", confirme-t-il. «Je trouve qu'un nom ce n'est pas sacré. Mais changer de nom n'est pas d'actualité. On ne va pas se donner en spectacle comme l'UMP avec les Républicains!» Un nom qui montre selon lui que l'UMP est "inféodé à Washington".
Le Front National versus Philippot aura bientôt éliminé physiquement de ses membres Jean-Marie Le Pen, pourtant fondateur du parti et toujours statutairement président d’honneur. En attendant le congrès – numérique ? – qui doit déposer le patriarche, l’élimination voulue aussi par la propre fille du condamné, Marine le Pen, le Front National dédiabolisé – ou systémisé – a décidé de rayer visuellement Jean-Marie le Pen de toute sa communication.
Plus aucun lien sur le site du Fn vers le blog de Jean-Marie Le Pen, et encore moins vers ses vidéos intitulées « Journal de bord ». Ne cherchez plus les interventions de Jean-Marie Le Pen au parlement européen sur le site du Fn, elles sont systématiquement ignorées. Idem de la nouvelle rétrospective en vidéo de l’action des députés Fn à Strasbourg. Même en flouté et en arrière plan le fondateur du Fn n’apparaît pas. Pourtant, celui-ci n’est-il pas toujours député européen ?
Une méthode qui n’est pas nouvelle, celle qui consiste aussi à retoucher les photos pour retirer un visage que l’on ne souhaite plus y voir. De Staline à Kim Jong-un en passant par les gaullistes avec Georges Bidault, ce furent des méthodes employées.
Philippot veut Marine à l’Elysée, mais pour quoi faire : du Philippot !
Apparemment ça n’inquiète pas les médias qui le chouchoutent, et c’est sans doute cela qui est objectivement inquiétant si l’on est électeur Fn.
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