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lundi, 09 novembre 2015

Le nouveau numéro (n°51) de Réfléchir et Agir est sorti

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Chez votre marchand de journaux, 6,50 €

Un entretien avec Roland Hélie

sur les Cahiers d'Histoire du nationalisme

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vendredi, 06 novembre 2015

PRÉSIDENTIELLE : VERS UNE CANDIDATURE DE VILLIERS Un mouvement traditionaliste dissident est en cours de formation

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Raoul Fougax Métamag cliquez ici

Le retour de Philippe de Villiers dans une arène politique qu’il avait déserté n’est pas un hasard. La sortie de son livre, un vrai succès, non plus. Pas plus que ses contacts avec les Zemmour et autres dissidents du politiquement correct.

Il y a une opération De Villiers dans l'air avec la participation des plus politiques de la "Manif pour tous", les militants du "Camp des saints" face au "Grand remplacement" ethnique et civilisationnel annoncé. Des couvertures dans l’Express ou Valeurs actuelles montrent bien que ce qui se passe est sérieux et interpelle. Bien sûr, le retour du chouan du Puy du fou peut changer la donne politique. Cela devrait provoquer une prise de conscience par « Les républicains » d’un discours pas à la hauteur du défi historique de la France des Sarkozy et autres Juppé. Mais cela aurait aussi toute chance d’empêcher Marine Le Pen d’accéder au second tour de la présidentielle. C’est pourquoi le Fn reste discret espérant qu’au bout du compte rien ne se fera. Il serait alors toujours temps d’accuser le dissident d’être en fait une créature du système pour torpiller la montée du mouvement national version bleue marine.

L’année 2014 s’était achevée avec un record de ventes pour le livre d’Éric Zemmour et 2015 va se terminer avec le succès considérable de celui de Philippe de Villiers, numéro un des ventes en librairie pour son ouvrage intitulé « Le moment est venu de dire ce que j’ai vu ». Philippe de Villiers est le fondateur du Puy du Fou, président du Mouvement pour la France, ancien député européen et ancien candidat à l’élection présidentielle en 1995 et 2007. Une autre France donc qui bouge encore et qui hors le Fn, tente de s’organiser.

Le discours de Villiers est en tout cas plus clair que celui de Philippot. Pour le président du Mouvement pour la France, « la situation est très grave, la France peut mourir. Je pense que la France est en train de mourir et, s’il n’y a pas un gigantesque sursaut, la France glissera définitivement dans l’abîme. Elle est submergée de l’extérieur et effondrée de l’intérieur. Submergée de l’extérieur, parce que l’on a transféré notre souveraineté. J’ai entendu Monsieur Hollande dire : «On va faire ceci, on va faire cela…» Mais il sait très bien qu’il ment, puisqu’il n’a plus de pouvoir. Quand le pouvoir n’a plus le pouvoir, il ne peut plus rien faire pour nous. On a transféré la souveraineté et on n’a plus aucun pouvoir. On est un protectorat américain. La France est submergée de l’extérieur, puisqu’elle fait face à une invasion migratoire. Les gens qui viennent chez nous sont envoyés par l’État islamique, qui – c’est la vérité – nous avait promis en février dernier de nous envoyer ces gens. C’était annoncé. On a devant nous des envahisseurs. Il n’y a pas de chrétiens parmi ces gens-là. Les chrétiens restent chez eux…» Il dénonce « des BHL de service, des Attali et consorts qui expliquent que la France est une tache ignominieuse sur la carte des points précieux de la planète. En même temps, on interdit aux jeunes Français de connaître la France et de l’aimer. Donc, un pays qui n’a plus de contours et plus de compteurs ne reste plus et meurt. Les hommes politiques ont abattu les murs porteurs comme le caractère sacré de la vie, la filiation comme repère, la nation comme héritage, la frontière comme ancrage et le rêve français comme fenêtre sur le monde».

Un discours de candidat à la présidence, une dissidence catholique au nom du roman national et de la France, canal historique. « Le moment est venu pour dire ce que j'ai vu »... Certes mais pour certains le moment est venu pour un nouveau combat de celui qui soutient Nadine Morano et revendique les racines blanches et chrétiennes de la France. Patrick Buisson, Eric Zemmour et Philippe de Villiers auraient donc décidé de faire cause commune
.
Les nouveaux croisés de l'identité française peuvent-ils perturber l’offre politique à trois. On le saura prochainement, mais il se passe quelque chose.

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jeudi, 05 novembre 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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Un entretien avec Les Brigandes

3,50 €, chez votre marchand de journaux

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mercredi, 04 novembre 2015

Migrants : quand l’émotion soumet la raison

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Bruno Mégret Le Chêne, n°81, octobre 2015

La campagne menée actuellement dans les médias sur l’affaire des migrants est de même nature que celle orchestrée au début de l’année lors des attentats de Charlie Hebdo. Il s’agit dans un cas comme dans l’autre d’une formidable opération de manipulation des masses par la caste idéologique dominante.

La manipulation des masses

Ce que nous vivons depuis la parution de la terrible photo du jeune Aylan mort sur une plage turque procède en effet d’une opération de propagande montée de toutes pièces selon les méthodes classiques du genre. La photo du petit garçon en a été l’élément à la fois structurant et déclencheur. L’idée est en effet de focaliser l’actualité sur un événement concret qui soit de nature à soulever une forte émotion. Or, que peut-il y avoir de plus émouvant que la mort d’un enfant ? Si de surcroît on dispose d’une image du drame, l’émotion n’en sera que décuplée et l’effet amplifié.

La deuxième phase consiste à exploiter cette émotion pour lui donner un sens politiquement correct et l’orienter idéologiquement en fonction de l’objectif recherché. « Cet enfant est mort parce que les Européens refusent d’accueillir les migrants. Ce sont donc eux qui sont responsables de cette mort tragique. Pour se racheter et éviter de nouveaux drames, ils doivent ouvrir grandes les portes de leurs pays ».

Troisième phase destinée à emporter l’adhésion de la population française malgré tout fortement réticente : faire croire que cet événement a provoqué une vague sans précédent d’initiatives en faveur de l’accueil des migrants. Et les médias de multiplier les reportages montrant des communes, des associations, voire des personnes privées libérant des logements et accueillant les réfugiés. Que ces initiatives soient marginales, anciennes, ou purement théoriques importe peu, c’est l’effet de masse ainsi que la répétition du message qui doivent produire l’effet recherché. Et, une fois de plus, intellectuels, artistes, élus et tous les « people » sont mis à contribution sous forme de pétitions, d’interviews ou de déclarations.

Quant au président de la République, bafouant une fois de plus l’opinion majoritaire des Français, il annonce que notre pays accueillera vingt-quatre mille migrants. Une déclaration mensongère, car si le chiffre est délibérément présenté comme très faible, il n’a en réalité aucun sens puisque qu’en l’absence de contrôle aux frontières, notre pays accueillera, qu’il le veuille ou non, tous ceux qui se présenteront et qui se compteront par centaines plutôt qu’en dizaines de milliers.

Les Européens ne sont pas coupables

Alors, bien sûr, il n’y a rien de pire que la mort d’un enfant innocent et l’on ne peut qu’éprouver tristesse et compassion face à un tel drame. Mais en l’occurrence, ce ne sont pas les peuples européens qu’il faut accuser. Le responsable de cette mort tragique, c’est d’abord le père qui en toute inconscience a fait monter son fils dans une embarcation de fortune sur une mer incertaine et cela dans le but, aurait-t-il déclaré, « de se faire refaire les dents en Europe ». Quant aux autorités, si certaines doivent également être mises en cause, ce sont les autorités turques qui n’assurent aucune surveillance policière le long de leurs côtes et aucun contrôle des migrants qui s’y présentent.

Mais, pour la classe politico-médiatique, peu importe ces réalités. Il ne s’agit pas en effet pour elle de raisonner sur des faits mais de susciter des émotions avec pour seul objectif de faire accepter par les peuples européens des vagues supplémentaires d’immigration. La nouvelle dénomination de migrants, voire de réfugiés, ne change en effet rien à cette réalité. Il s’agit de provoquer un nouvel afflux migratoire sur notre sol et de le faire accepter par le peuple français non plus comme une fatalité qu’on ne peut éviter mais comme une obligation morale qu’il faudrait encourager, organiser et faciliter.

De nouvelles menaces pour les Européens

A travers cette nouvelle campagne de propagande, on cherche donc à nous imposer une augmentation massive de l’immigration et, plus grave encore, de l’immigration musulmane. En dehors d’une minorité de chrétiens effectivement persécutés pour leur religion et qui méritent notre solidarité, la grande masse des populations qui déferle sur le sol européen est en effet musulmane dont près de la moitié d’ailleurs ne vient pas des pays en guerre. Or, tout le monde le sait, la présence massive des immigrés sur notre sol pose des problèmes qu’aucun gouvernement n’a pu résoudre. Pis, la montée d’un islam incompatible avec notre civilisation est en train de faire voler en éclats la communauté nationale. La sagesse la plus élémentaire devrait donc pousser nos dirigeants à stopper l’arrivée de nouveaux immigrés et surtout de ceux qui se réclament de l’islam. Aussi est-il consternant de voir les autorités médiatiques et politiques de notre pays comme de nos voisins faire exactement le contraire et annoncer au monde que la France et l’Europe sont ouvertes à qui veut venir, créant ainsi un appel d’air qui va être entendu par des millions d’Arabes et d’Africains.

L’autre solution

On ne peut certes rester insensible au malheur des populations qui subissent la guerre et il est vrai que la France comme l’Europe devrait s’efforcer de leur venir en aide. Mais encore faut-il le faire sans sacrifier l’identité, la sécurité, la cohésion et la paix intérieure de notre nation. Aussi faut-il avancer d’autres solutions. Il faut tout d’abord s’efforcer de mettre fin aux conflits qui déchirent l’Irak et la Syrie en s’attaquant avec efficacité à l’État islamique. Et pour cela soutenir tous ceux qui le combattent, à commencer par Bachar el-Assad et son armée. (Et ne pas se contenter d’envoyer des avions de reconnaissance comme l’a annoncé récemment M. Hollande). Il faut ensuite fournir un soutien humanitaire aux réfugiés, en apportant une aide substantielle au fonctionnement des camps implantés dans les États musulmans voisins des pays en guerre ainsi que dans des secteurs sécurisés à créer au sein même de ces pays. Enfin, il faut fermer les frontières et faire patrouiller nos navires au large des pays d’embarquement afin d’organiser le retour vers les côtes des bateaux qui en partent. Quant au migrants qui parviendraient à gagner malgré tout les côtes européennes, ils devraient certes être recueillis, soignés et nourris, mais devraient dans le délai d’une semaine être rembarqués sur un bateau qui les reconduirait près de leur lieu d’origine. Enfin, une aide devrait être apportée à la Grèce et à la Bulgarie pour établir à leur frontière orientale un barrage physique infranchissable. Bref, il s’agit de convaincre les candidats à l’émigration qu’ils ne pourront mener leur projet à bien et qu’ils seront dans tous les cas renvoyés là d’où ils viennent.

Quant à nos gouvernements, il est temps qu’ils se libèrent du chantage compassionnel permanent et qu’ils se rappellent enfin que la politique, la vraie, doit être régie non par les émotions mais par la raison avec comme objectif non pas le bien universel mais celui du peuple dont on a la charge.

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samedi, 31 octobre 2015

FRANCE, LE PAYS OÙ IL NE FAIT PLUS BON VIVRE ?


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Dr Bernard Plouvier Métamag cliquez ici

Un sondage, mené cet automne en milieu estudiantin dans divers pays d’Europe et d’Amérique du Nord, classe la France au 19ème rang des pays « où il fait bon vivre », loin derrière de nombreux pays réputés moins riches. Est-ce étonnant ?

Il est bien loin le temps où les Allemands disaient : « Heureux comme Dieu en France »… à moins que, par une géniale anticipation, ils n’évoquaient la situation en Gaules d’un Allah exotique au XXIe siècle. Lorsque l’on a connu la France des années 1960-80 – c’est l’un des rares privilèges que l’on obtienne par la vieillesse -, l’on peut très facilement comprendre la dégringolade en matière d’attraction pour les étrangers hautement désirables (les gens honnêtes, intelligents et travailleurs) et l’entrée dans la zone de répulsion, éprouvée par des Français autochtones de grande qualification technique et de haute valeur morale. Pourquoi vivraient-ils dans une France aveulie et se complaisant dans sa médiocrité, envahie d’extra-Européens de comportement agressif, voire parasitaire, et continuant inlassablement d’en accueillir de nouveaux ?
 
À partir de 1981, de soi-disant socialistes ont fait entrer la France dans le monde merveilleux de l’économie globale et de la mondialisation des vies politique et sous-culturelle. Les politiciens de la droite molle et du centre marécageux ont poursuivi ce chemin, pavé d’or pour eux-mêmes et leurs familles, à défaut de l’être pour la Nation. Délocalisations d’entreprises, restructurations et « plans sociaux » ont fait passer le chômage réel (pas obligatoirement celui annoncé par les organismes truqueurs de statistiques) d’1,5 million en avril 1981, à 3 millions en 1983 et à plus de 5,3 millions de nos jours. Beaucoup de chômeurs, gavés d’allocations et de stages de formation plus ou moins utiles, se sont contentés d’engraisser, de s’alcooliser et de vivoter sans projet d’avenir. En 2015, des centaines de milliers de Français diplômés d’Université sont chômeurs ou sous-employés (donc sous-payés), insatisfaits, indéniablement aigris.
 
On conçoit que l’attraction soit faible pour des Européens ou des Canadiens cherchant un lieu de vie étranger et qu’une répulsion se fasse jour chez de nombreux diplômés autochtones aventureux. C’est le schéma inverse de ce que l’on constatait durant les années 1970-80.
 
Il est une autre cause à cette double désaffection : l’immigration-invasion des Africains (noirs et maghrébins) et des Moyen-Orientaux, apportant avec eux leurs haines racistes anti-Blancs, leur religion médiévale, fanatique et conquérante, l’islam, important sur le sol français la guérilla – par définition extra-européenne – entre Juifs et musulmans, au nom de la lutte antisioniste, indifférente par essence à tout Français autochtone.
 
À terme, soit dans un demi-siècle, même sans l’intervention des terroriste « fous d’Allah », par le simple jeu de la différence de rythmes de reproduction entre autochtones victimes de la sottise féministe et immigrés à la démographie de primitifs, il est évident que l’on assistera au « génocide mou », à la substitution de population dominante, à l’instauration d’un État islamique en France (et en Belgique, en Allemagne, en Grande-Bretagne etc.). 

Les Français, veules autant que sottement accueillants, auront transformé en un Enfer, régi par la charîa, ce qui avait été, sinon un Éden, du moins un pays où, en dépit de querelles politiques et sociales devenues avec le temps non sanglantes, il faisait bon vivre.

On peut soit constater tristement le résultat logique du sondage évoqué plus haut, voire reconnaître qu’une 19ème place, c’est peut-être inespéré, quand l’on sait ce qui se passe à Roubaix, Marseille, Montpellier, Tours-Nord et Joué-lès-Tours, Rouen-Sottevilleetc. (soit plus d’un millier de « cités de non-droit », dominées par ce que l’on appelle à bon droit la « racaille immigrée »), soit s’insurger, ce qui revient à chasser les politiciens ineptes, inaptes et corrompus, renvoyer massivement les extra-Européens dans leurs continents d’origine (Afrique, Proche-Orient, Asie du Sud-Ouest) – en conservant les Extrême-Orientaux travailleurs et calmes s’ils se plaisent chez nous et demeurent en faible nombre -, enfin se lancer dans l’aventure de l’union des nations autochtones d’Europe… c’est, pour les vrais Européens, le défi du XXIème siècle.

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jeudi, 29 octobre 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

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Dans ce numéro de Rivarol, un article sur le n°7 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à la croix celtique cliquez ici

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mercredi, 28 octobre 2015

Hollande et sa clique à Puisseguin : l’indécent « hommage républicain »

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Nicolas Kirkitadze Riposte laïque cliquez ici

Le Président François Hollande s’est rendu ce 27 octobre en Gironde, suite à la tragique catastrophe routière qui a coûté la vie à 43 personnes.

Notons que plusieurs ministres ont également été du voyage : Manuel Valls, Bernard Cazeneuve, Christiane Taubira, Marisol Touraine, Alain Vidalies (transports) et Laurence Rossignol (famille et personnes âgées). C’est à se demander qui est resté à Paris pour s’occuper des affaires du pays… peut-être est-ce Philae le labrador présidentiel

Au Petit-Palais, puis à Puisseguin, le Président et sa cohorte de ministres ont rendu un « hommage républicain » aux malheureuses victimes et ont assuré les familles de leur « solidarité républicaine ».

J’aimerais tout d’abord réagir à cette gabegie, qui fait qu’en dehors du président, six ministres ont fait le voyage de Paris à la Gironde. Le plus ridicule est que Valls, Cazeneuve et Vidalies s’y étaient déjà rendus le jour de l’accident !

Sous couvert de compassion et d’humanisme, dès qu’une catastrophe survient, une légion de politicards se précipite sur place, soucieux d’être vus parmi les premiers. Avec le Président et les ministres, il faut compter les chauffeurs, les gardes du corps, les personnels des cabinets. Ces déplacements au coût faramineux sont financés par l’argent du contribuable. Si le gouvernement est tellement compatissant à l’égard des victimes, n’aurait-il pas meilleur compte de reverser tout cet argent à leurs familles au lieu de les gaspiller dans ce tourisme politique de catastrophe ?

Parlons ensuite de ce fameux « hommage républicain »… Le qualificatif « républicain » est le plus galvaudé dans la vie politique actuelle. Ainsi, tout comportement découlant du simple bon sens est qualifié de « républicain ». Le perdant d’une élection félicité le gagnant, on parle de « courtoisie républicaine » ; un pompier sauve un chat de la noyade, on lui prête un « courage républicain » ; un policier arrête des brigands, il est félicité pour avoir rétabli « l’ordre républicain »… Comme si la discipline, le courage et le fair-play étaient des qualités réservées aux républicains… Ainsi, les monarchistes, militaristes, anarchistes et autres personnes sceptiques face au régime républicain en place, seraient des lâches, désordonnés et mauvais perdants. L’adjectif « républicain » est devenu synonyme de « Bien ».

Là encore, on voit toute la cohorte ministérielle rendre un « hommage républicain » aux victimes. Une telle rhétorique était compréhensible lors des attentats de janvier, puisque c’est la République qui a été attaquée à travers ces victimes. Il était donc normal que le Président remette le coté républicain sur la scène. Mais aujourd’hui, j’aimerais qu’on m’explique le rapport entre la république (régime politique consistant à être dirigés par des représentants que l’on a élus) et un car d’octogénaires qui s’enflamme… Il s’agit d’un tragique accident, non d’une attaque terroriste ou d’une faute de l’État.

Le déplacement présidentiel ainsi que le fameux hommage « républicain » paraissent donc être les reflets d’une instrumentalisation politique, mis en œuvre par un président sortant, désireux de briguer un second mandat. A l’heure de « l’idiot visuel » et du « festivisme » dénoncé par le regretté Philippe Muray, il faut montrer au peuple qu’on a des sentiments, qu’on est humain… Un discours avec des tremolos dans la voix, quelques promesses, ajoutez-y un soupçon d’hypocrisie, deux ou trois larmichettes à la Cazeneuve, et vous pouvez déguster la propagande socialiste avec sa sauce de mensonges.

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mardi, 27 octobre 2015

L’ISLAM Une religion de culture médiévale ?

Renan_l_islam et la science.jpgDr Bernard Plouvier

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En 1883, Ernest Renan écrivait (in L’islam et la science) : « L’islam a été libéral, quand il a été faible ; il a été violent, quand il a été fort ». Il tentait alors de combattre les sottises de Jules Michelet qui, par haine pathologique du christianisme, avait fait croire que la culture européenne devait beaucoup au monde musulman.

Renan fut le premier à démontrer que les études philosophiques et scientifiques (médicales ou mathématiques) en terres musulmanes, aux XIe-XIIIe siècles, n’avaient été que des commentaires de textes grecs antiques ou hindous. Ces commentaires avaient été rédigés pour l’essentiel par des Persans, obligés d’utiliser la langue arabe, toute autre langue que celle du prophète étant alors interdite.

Dans tous les pays où des États islamiques se sont implantés depuis le VIIIème siècle, ont été détruits les fondements de la civilisation antérieure (hellénistique, romaine ou persane) : le coût culturel de la conquête musulmane fut énorme. Averroès, Avempace, Ababucer, puis Avicenne eurent de gros ennuis avec les autorités religieuses et n’eurent en pratique aucune postérité en terres islamiques, avant leur redécouverte aux XIXème et XXème siècles. Nombreux furent les poètes et les auteurs mystiques condamnés à mort par l’effet du fanatisme religieux, tel Schrawardî en 1191, sur l’ordre du Kurde Saladin, ou en l’an 922 le soufi al-Halladj et  des centaines d’autres soufis crucifiés en la ville de Damas. L’idée même d’une philosophie islamique est une absurdité pour un musulman : toute réflexion métaphysique est superflue, car tout ce qui est utile à l’homme est écrit dans le Coran ou dans les hadîths.
  
C’est ce que répondit à l’étude de Renan, l’imam Djamal ad-Dîn al-Afghani, dans une lettre publiée par Le Journal des débats le 18 mai 1883 : « Tant que l’humanité existera, la lutte ne cessera entre Dogme et Libre examen, entre Religion et Philosophie… Lutte dans laquelle le triomphe ne sera pas pour la Libre Pensée parce que la raison déplait à la foule ». On a rarement aussi bien argumenté en faveur du fanatisme religieux, qui sait excellemment maintenir les peuples dans l’ignorance et la superstition. L’homme avait quitté son pays, l’Afghanistan, menacé par les empires russe et britannique, et s’était réfugié à Istanbul, où il posa les fondements du panislamisme, devenant le grand ancêtre des fanatiques musulmans des XXe  et XXIe siècles.
  
À ce sectaire, qui mourut en 1897, Renan répliqua par un article intitulé Mahomet et l’origine de l’islamisme, en appelant les élites musulmanes à faire leur Renaissance culturelle, leur conseillant de délaisser la charîa et de dissocier la religion de l’étude des sciences et de la philosophie. « Émanciper le musulman de sa religion est le meilleur service qu’on puisse lui rendre ». Cela reste, de nos jours, un vœu, bon ou impie, au gré de chacun ! 

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samedi, 24 octobre 2015

Contrairement à ce que prétendent certains, les catholiques traditionalistes dénoncent la pédophilie...

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Source Altermédia cliquez là

Contrairement à ce qu’on s’imaginait, il semble que certains milieux catholiques « traditionalistes » ne soient pas épargnés par le fléau des abus sexuels et surtout sur mineurs.

Nous ne savons ce qu’il faut penser de cette page web mais elle donne tout de même plusieurs précisions référencées qui, nous imaginons, sont facilement vérifiables. Comptez sur notre sagacité. Nous creuserons pour vous ces affaires peu ragoûtantes.

N’y va-t-il pas de la sécurité de nos enfants ?

Le blog en question cliquez ici

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Le nouveau numéro d'Eléments est sorti

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jeudi, 22 octobre 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol !

Rivarol 22 novembre 2015

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mercredi, 21 octobre 2015

Allons-nous intervenir en Libye au profit d’Al Qaïda et des frères musulmans ?

Par  Bernard Lugan

Bernard-Lugan.jpgEn Libye, près de 300 kilomètres de littoral sont aux mains d’un État islamique que rien ne semble pouvoir arrêter. Á partir de cette fenêtre sur la Méditerranée, des terroristes mêlés aux clandestins rebaptisés « migrants » s’infiltrent en Europe. Contrairement aux annonces de la presse internationale, les efforts désespérés de M. Bernardino Leon, émissaire des Nations unies pour la Libye, et qui, depuis plus d’un an, cherche à obtenir un accord inter-Libyen, n’ont pas débouché sur une solution politico-militaire viable.

Face à cette situation plus que périlleuse pour notre sécurité, une opération militaire serait donc envisagée. Or, celle à laquelle pensent nos diplomates aurait pour résultat de donner le pouvoir à des islamistes aussi dangereux que ceux de l’Etat islamique… Comme en Syrie où, si le président Poutine n’avait pas sifflé la fin de la récréation, le Quai d’Orsay voulait faire remplacer le président Assad par de « gentils démocrates » salafistes. En Libye, ce serait au profit des Frères musulmans et d’Al-Qaïda (ou de ses diverticules) que nos forces pourraient être engagées. Comme elles le furent hier à l’avantage des musulmans de Bosnie et du Kosovo…

L’idée française serait en effet  de miser sur la cité-État de Misrata, fief des Frères musulmans et base avancée turque en Libye. Ses milices (ce sont elles qui lynchèrent le colonel Kadhafi) sont certes parmi les plus opérationnelles du pays, mais elles sont détestées par la plupart des tribus de Tripolitaine et de Cyrénaïque. Intervenir en appui de Misrata permettrait peut-être de freiner les forces de l’État islamique, mais en nous aliénant les vraies forces vives du pays.

Ce plan envisagerait également un renforcement de la coopération avec les islamistes de Tripoli qui reçoivent actuellement des renforts jihadistes acheminés par voie aérienne depuis la Turquie. Comme si, pressé en Syrie par la Russie, le président Erdogan voulait ouvrir un second front en Libye.

Or, et il importe de ne pas perdre de vue deux éléments essentiels :

1) Comme notre ami-client égyptien est en guerre contre les Frères musulmans d’Egypte, l’arrivée au pouvoir de cette organisation en Libye ferait courir un danger mortel au régime du général Sissi.

2) Aucune intervention franco-européenne ne peut se faire sans, au moins, la neutralité de l’Algérie. Or, qui commande à Alger ? Les clans qui guettent la mort du président Bouteflika pour s’emparer du pouvoir ont en effet des positions contradictoires à ce sujet. Certains sont farouchement opposés à toute intervention étrangère, d’autres l’accepteraient sous certaines conditions, cependant  que ceux qui espèrent obtenir le soutien des islamistes feront tout pour torpiller une opération franco-européenne.

La réalité est donc cruelle. Ce n’est pourtant pas en la niant que nous avancerons. Face au chaos libyen il n’existe en effet pas de solution miracle qui permettrait de refermer les plaies ouvertes par MM. Sarkozy et BHL.

La solution consisterait peut-être à « renverser la table » et à changer de paradigme en oubliant les « solutions électorales » et les constructions européo-centrées fondées sur les actuels acteurs libyens. Comme rien ne pourra se faire sans les tribus, c’est donc en partie sur ces dernières que toute opération viable devrait être fondée. Autrement, dans le théâtre d’ombres libyen, nos figurants politiques ne feront que traiter avec des figurants locaux.

Le problème de fond est que les alliances tribales sur lesquelles reposait l’ordre socio-politique libyen ont été éclatées par l’intervention franco-otanienne de 2011. Dans le vide alors créé se sont engouffrés des acteurs secondaires devenus artificiellement les maîtres du jeu. Qu’il s’agisse de Misrata, des islamistes de Tripoli et de Derna, puis ensuite de ceux de l’Etat islamique.

Toute pacification de la Libye passe donc par :

1) Le rééquilibrage entre les vrais acteurs tribaux et ces acteurs secondaires devenus incontournables et qu’une intervention franco-européenne aboutirait à installer seuls au pouvoir.

2) La levée du mandat d’arrêt international lancé contre Saïf al-islam Kadhafi qui est le seul actuellement en situation de pouvoir reconstituer les alliances tribales libyennes.

Très modestement, il faut bien voir que ce sont là des mesures de long terme. Or, dans l’immédiat, il est urgent de bloquer la progression de l’État islamique tout en coupant le flot migratoire partant essentiellement des zones tenues par ceux que nos diplomates considèrent déjà comme nos « alliés », à savoir les  islamistes de Tripoli et les Frères musulmans de Misrata…

Alors, oui à une intervention, mais à la condition de ne pas la lancer à la légère.

(Source : site Metamag)

 

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jeudi, 15 octobre 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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Le nouveau numéro du magazine Terre et peuple est sorti

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En savoir plus cliquez ici

Terre et peuple organisera sa prochaine table ronde le dimanche 29 novembre à Rungis

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lundi, 12 octobre 2015

À Sainte-Rita la mobilisation citoyenne prend une ampleur inattendue

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Le Figaro cliquez ici

Les fidèles de Sainte Rita, occupée nuit et jour depuis le 5 octobre, ont assisté dimanche à la première messe célébrée depuis avril. L'église parisienne est défendue par un véritable mouvement de citoyens, Anonymous à l'appui, luttant contre sa démolition.

Jamais messe dominicale n'a été si surréaliste. Dans les fumées d'encens, au son des chants en Latin et des gémissements des nombreux chiens venus avec leurs maîtres à l'office, devant le drapeau tricolore et une statuaire flambant neuf de Sainte-Jeanne d'Arc et de Sainte-Rita, une foule hétéroclite chante d'un même chœur. Les messieurs vieille France comme les altermondialistes, les riverains comme les touristes, les militants pour la démocratie comme les nostalgiques de l'Ancien Régime. Deux Anonymous, masques derrière la tête et caméras en main, sillonnent les rangées de bancs pour filmer les deux heures de cette célébration eucharistique haute en couleurs.

Un parking et des logements

A Sainte-Rita, au cœur du XVème arrondissement de Paris, cause désespérée depuis deux ans après son rachat par un promoteur (3,3 millions d'euros) pour en faire un parking et des logements, l'ambiance est à la liesse. La nef est pleine, on ajoute des chaises. Pour entrer, chacun a dû passer les palissades en tôle,érigées six jours plus tôt en vue de la démolition de l'église, puis la trouée du porche, muré de parpaings depuis le printemps pour sceller l'expulsion des paroissiens. Même le célébrant, Mgr Samuel Pouhé, prêtre de l'église catholique gallicane de Paris, reste coi face à cette nouvelle et insolite communauté venue aider le quartier à sauvegarder son église.

C'est la première fois depuis avril qu'une messe est dite dans ses murs.Les paroissiens, mobilisés depuis des mois, continuaient à venir aux célébrations sur le trottoir, avec l'autorisation de la préfecture de police de Paris. Mais depuis l'occupation, lundi, de l'édifice par un collectif de citoyens venus de tous horizons, la communauté brave les interdits administratifs et reprend sa place. D'autant qu'elle a tenu en échec les ouvriers venus lundi commencer les travaux de démolition. Avec l'appui de l'ancien ministre Frédéric Lefebvre (LR) et du député-maire (LR) du XVème arrondissement, Philippe Goujon, qui a porté plainte après des échauffourées avec les ouvriers du promoteur.

Une quinzaine de personnes occupent nuit et jour

Désormais, une quinzaine de personnes occupent Sainte-Rita nuit et jour, notamment des membres du Mouvement du 14 juillet, des «indignés» apolitiques prêts à «la révolution pacifiste» pour redonner parole et place aux citoyens. Sainte-Rita, sacrifiée sur l'autel de la «spéculation immobilière» en étant promise à la démolition contre l'avis des riverains, explique David Pastor, membre du Mouvement du 14 juillet, est un «symbole», «un nouveau lieu de lutte» pour qu'«on arrête de tout nous imposer». «Nous dénonçons la trahison du peuple, qui est pourtant souverain dans une démocratie, et le manque de consultation populaire», dit-il. Les Anonymous aussi veillent au grain, pour restaurer «la démocratie du peuple français». Ils dorment sur place. «On est là pour préserver ce patrimoine religieux», dit Jul, l'un d'eux, en distribuant des tracts. Fabrice, un habitant est venu avec ses deux fillettes, «en soutien» face à «ce danger immédiat» pour «le patrimoine et les valeurs menacés par le profit».

«Le mouvement du 14 juillet avait besoin de prendre sa Bastille, avec Sainte-Rita c'est fait!», se félicite Nicolas Stoquer, président délégué de l'association de défense Les Arches de Sainte-Rita. Mgr Pouhé y voit une bénédiction. «Je ne sais pas si c'est la Providence ou les larmes du cœur qui nous les a amenés, avant cela je ne les connaissais pas, mais aujourd'hui ils sont les soldats de Marie, des anges venus combattre». Et qui savent renvoyer les policiers à leurs affaires courantes. Lors de la messe, trois d'entre eux ont tenté d'entrer, sans succès malgré leur uniforme. Pascal, membre du Mouvement du 14 juillet, dédié à la surveillance à l'entrée, leur a dit «non, tout se passe bien ici, les paroissiens prient». Ite, missa est.

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jeudi, 08 octobre 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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Un entretien avec Roland Hélie à propos

de la 9e Journée de Synthèse nationale

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Programme de la journée cliquez ici

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dimanche, 04 octobre 2015

Le nouveau numéro de "La Lettre des Amis de Léon Degrelle" est sorti

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Ecrire à CALD BP n°92733

21027 Dijon cedex

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jeudi, 01 octobre 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

Il y aura un stand de Rivarol dimanche 11 octobre à Rungis à la 9e Journée de Synthèse nationale programme

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mercredi, 30 septembre 2015

Revue de presse : Jean-Marie Le Pen prend la défense de la «pauvre Madame Morano»

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Source Le Figaro.fr cliquez là

LE SCAN POLITIQUE - Le co-fondateur du FN, exclu de son parti pour avoir notamment évoqué un «monde blanc», estime que la polémique qui entoure les propos de Nadine Morano sur la «race blanche» illustre la «gauchisation des esprits».

C'est un soutien dont Nadine Morano se serait probablement passée. Mais force est de constater que Jean-Marie Le Pen est l'un des seuls politiques à prendre la défense de l'eurodéputée Les Républicains, après ses propos sur le «pays de race blanche» que serait la France.

«Pour avoir énoncé une évidence historique multiséculaire, Madame Nadine Morano subit un feu nourri de critiques, d'autant plus véhémentes qu'elles viennent de son propre camp. Elle peut ainsi mesurer à ses dépens ce que pèse la ‘gauchisation des esprits' dans les rangs de l'ex-UMP», assure-t-il dans un communiqué. «En le féminisant, un célèbre refrain du chanteur Guy Beat, ‘Elle a dit la vérité, elle doit être exécutée', prend tout son sens, que la pauvre Madame Morano aura sans doute le temps de méditer durant la stricte mise en quarantaine que les Républicains lui préparent».

Une prise de position qui n'est pas gratuite. Elle permet d'abord au «Menhir» de se défendre lui-même : en effet, la procédure d'exclusion du FN dont Jean-Marie Le Pen a été victime a notamment eu pour origine ses propos dans Rivarol sur «l'Europe boréale» et le «monde blanc». «Des concepts désormais bannis», regrette-t-il aujourd'hui. Soutenir Nadine Morano, c'est aussi l'occasion pour le co-fondateur du parti de prendre une nouvelle fois ses distances avec son meilleur ennemi au FN, Florian Philippot qui, régionales oblige, n'a pas hésité à attaquer la tête de liste des Républicains en Meurthe-et-Moselle. «Je n'ai pas une vision raciale de la France. La France, c'est aussi son outre-mer. Ce n'est pas une race», assurait ce mardi matin sur France info le candidat du FN dans la région Alsace Lorraine Champagne-Ardenne.

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lundi, 28 septembre 2015

Invasion migratoire : la Bavière préfère Orbán à Merkel

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Jean-Yves Le Gallou Boulevard Voltaire cliquez ici

Il s’est passé un événement majeur le 24 septembre 2015 en Bavière. Horst Seehofer, ministre-président du gouvernement bavarois, a officiellement reçu Viktor Orbán – l’homme d’État qui a tenté d’appliquer les accords de Schengen (et oui !) en contrôlant les frontières extérieures de l’Europe grâce à la construction d’un mur de protection.

En Allemagne, et devant les alliés de Merkel, le Premier ministre hongrois s’est présenté comme « le capitaine garde-frontière » et a fustigé « l’impérialisme moral » de Merkel.

Horst Seehofer lui a répondu qu’il n’avait « pas de critique » à faire sur la politique hongroise et qu’elle avait gagné « le soutien du gouvernement bavarois ».

En clair : le land le plus puissant d’Allemagne est entré en dissidence du gouvernement fédéral ; et Merkel risque de perdre le soutien des 56 députés de la CSU, alliée bavaroise de la CDU.

L’événement est d’importance : il a fait l’objet de 83.700 occurrences sur Google. Les presses allemande et anglo-saxonne ont largement commenté l’événement. Certes, d’un point de vue critique, mais ils en ont parlé !

À l’heure où j’écris (dimanche 27 septembre au matin), pas un seul article français postérieur à l’événement n’était répertorié sur Google. Les médias de propagande français ne se contentent pas de désinformer. Ils ont purement et simplement cessé d’informer. Ils sont devenus autistes.

Pourtant, il deviendra de plus en plus difficile de cacher l’opposition des peuples européens et de certains de leurs gouvernements à la folle politique migratoire de la Troïka Merkel/Juncker/Hollande.

NDLR SN, pour info :

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jeudi, 24 septembre 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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16 pages, 3,50 €, chez votre marchand de journaux

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mardi, 22 septembre 2015

SI VIS PACEM, PARA BELLUM…

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Dr Bernard Plouvier Métamag cliquez là

L’adage n’est certes pas nouveau, il a même une remarquable ancienneté, fruit d’une antique sagesse. Il serait outrancier de prétendre que la guerre civile a débuté en France. On n’y constate qu’une guérilla. L’adage antique et la situation présente méritent deux commentaires. 

Tout d’abord, il paraît bon de déterminer qui, en France et d’une manière générale, en Occident, détient le Pouvoir. Sûrement pas les « élus du peuple » ! Pas plus la virago allemande que notre président et son premier ministre (quel dommage que nous ayons tant d’académiciens et aucun La Fontaine : il y aurait une fable à écrire sur le petit colérique et le dodu libidineux).
 
En Occident, le Pouvoir appartient à la trinité, dorée à défaut d’être sainte, des financiers, des négociants internationaux et des grands producteurs, aux intérêts enchevêtrés, car tout financier est devenu, par la puissance et la diversité de ses placements, aussi bien un gros entrepreneur en transformation de matières premières qu’un transporteur international et un patron de la grande distribution. C’est même pour cette raison que la trinité dominante a ordonné aux honorables élus de favoriser l’immigration extra-européenne, dès les années 1975, et continue perpétuellement de le faire.
 
Tirant prétexte de la dénatalité des autochtones d’Europe occidentale, nos maîtres omnipotents ont fait venir, non pas des « travailleurs », encore moins de futurs cotisants pour alimenter les caisses de retraite – comme nous le serinent les ineptes ou les machiavels qui créent puis alimentent la désinformation -, mais des millions de nouveaux consommateurs. Comme ces hôtes exotiques sont, pour l’écrasante majorité d’entre eux, ignares ou inaptes aux emplois lucratifs, on pallie la fort logique médiocrité de leur salaire par une multitude d’allocations. On reconnaît volontiers que tous les rejetons d’immigrés ne sont pas des voyous et que certains immigrés sont des hommes et des femmes de talents, mais pourquoi ne les exercent-ils pas dans leur continent d’origine, pour le civiliser et le faire progresser ? 

Le quart de ces immigrés perçoit ces allocations de chômage dont la création, durant l’Entre-deux-Guerres, avait pour finalité de faire passer un triste état transitoire aux seuls compatriotes, les immigrés devant automatiquement quitter le territoire national en cas de pénurie de travail : c’était l’un des dogmes du Front Populaire. Qu’on relise les discours d’un Thorez ou d’un Salengro. Allocataire à plein temps ou de façon partielle pour raison de médiocrité d’emploi, reflet d’une médiocrité personnelle, le secouru haït davantage encore le pays d’accueil, car il faut être ignare en matière de psychologie sociale ou bête comme un soixante-huitard pour croire en une quelconque reconnaissance du sujet secouru. Sa fierté en est offusquée, surtout s’il est davantage enclin à causer, à gémir et à pester, qu’à œuvrer.
 
La haine de cette sorte d’immigrés pour les pékins accueillants, nos bons maîtres n’en ont cure. 
 
Pour enrichir leurs véritables maîtres, les Occidentaux doivent supporter, depuis le début des années 1980, une guérilla urbaine qui, à tout moment, peut se transformer en guerre civile.
 
Or, pour éviter une guerre, qu’elle soit extérieure ou civile, un gouvernement véritablement dévoué à la chose publique n’a jamais eu qu’un seul moyen à sa disposition : la Force. Nos policiers et gendarmes ne sont plus des agents de la « force publique », mais des témoins de notre déclin. 

Si vis pacem, para bellum, c’est d’abord et avant tout, se constituer de véritables forces de l’ordre, physiquement et moralement solides. Tout va mal dans notre pays. C’est une évidence, sauf pour ceux qui s’enrichissent à nous gouverner fort mal. Pour que tout n’aille pas encore plus mal, il faut réfléchir à ce que depuis cette Antiquité gréco-romaine, notre mère spirituelle, on nomme le Devoir d’insurrection contre des gouvernants injustes, corrompus, ineptes et/ou malfaisants. La constitution de milices d’autoprotection, voire la révolution sont des moyens dont, depuis toujours, ont usé des citoyens malheureux. Le retour au dogme : un continent-un peuple, ou, si l’on préfère, au dogme : chacun chez soi, semble s’imposer à l’observateur rigoureux.

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dimanche, 20 septembre 2015

Revue des blogs : VERS UNE AFRICANISATION DE L'EUROPE

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Julien Rochedy

Tribune publiée dans Valeurs actuelles, reprise sur le site La Faute à Rousseau cliquez là

Pour qualifier le changement de population qui s’opère en France et en Europe, la locution “grand remplacement” a fait florès parmi tous ceux que l’optimisme béat de la néomodernité ou l’ethnomasochisme flagrant de l’antiracisme n’ont pas embrumés de leurs poisons. Pourtant, ce n’est qu’un emballage lyrique, un doux surnom pour qualifier une réalité beaucoup plus brute et crue. Après tout, cela se comprend : il s’agit d’un mot d’écrivain. Mais regardons les choses en face : ce que l’on appelle le “grand remplacement”, c’est tout bonnement l’africanisation de l’Europe.

Lorsque j’étais jeune et que j’apprenais l’Histoire chez les grands maîtres, je n’étais pas choqué de lire, par exemple, entre les lignes de Michelet, que la victoire d’Octave sur Marc Antoine était la victoire de l’Occident sur l’Orient ; ou encore, chez Grousset, que Byzance fermait l’Europe au déferlement asiatique, etc. Les grands historiens n’hésitaient pas à parler en termes de civilisation, de dynamisme des continents, de victoires ou de défaites de l’un sur l’autre — bref, ils embrassaient l’Histoire entière pour juger selon des critères qui, s’ils ont disparu de nos consciences néomodernes, n’en demeurent pas moins les seuls qui s’appliquent vraiment à la compréhension des expériences historiques.

Or, que constate-t-on aujourd’hui ? Que le continent africain, qui longtemps a stagné démographiquement, est en plein boum. Grâce aux techniques et à la médecine européennes, les Africains sont passés de 100 millions en 1900 à plus de 1 milliard en 2015. Selon les projections démographiques, ils seront environ 2,5 milliards en 2050 puis 4,4 milliards en 2100. Face à ce continent, l’Europe, elle, décline considérablement. Entre le vieillissement de ses populations, le non-renouvellement des générations et la disparition de ses anticorps mentaux (patriotisme, conscience identitaire, volonté de se défendre), elle s’apprête à être submergée petit à petit. Les milliers de clandestins qui se pressent sur nos côtes en ce moment, couplés à l’immigration légale déjà extrêmement forte (et sans parler de tous les Africains qui déjà sont entrés en Europe depuis quarante ans) font que l’Europe est, qu’on le veuille ou non, en voie d’africanisation.

Alors, bien sûr, les néomodernes, qui ne font pas de différences entre les hommes, ne le voient pas de cette façon. Pour eux, un Africain arrivé sur le sol européen devient un Européen dans la minute. Or, les leçons des grands historiens nous montrent plutôt que chaque continent détermine une ou des civilisations particulières et que l’avancée démographique de l’une d’entre elles signifie l’avancée de celle-ci dans le monde. Actons donc que nous assistons à l’avancée des civilisations africaines dans le monde, avec l’Europe en première ligne.

L’islamisme, qui effraie aujourd’hui nos populations et nos gouvernements, n’en est qu’une conséquence. Ce vecteur idéologique n’est qu’un aiguillon qui opère sur des mouvements bien plus profonds, qui auront seuls une véritable incidence. Ce n’est pas le drapeau qui compte : c’est le bataillon qui le porte. En somme, à nous arrêter exclusivement sur les dangers que nous font courir les extrémistes islamistes, nous nous concentrons sur l’écume quand il faudrait voir la vague.

La vérité est celle-ci : si l’Europe ne se ferme pas dès maintenant à la progression africaine — ce qui nécessitera, certes, beaucoup de dureté — alors, dans cinquante, cent ou deux cents ans, nos petits-enfants se réveilleront dans des campagnes et des faubourgs qui seront africains. Peut-être d’ailleurs seront-ils eux-mêmes africains. Certains de nos enfants s’y réveillent déjà aujourd’hui, mais demain, ce sera le cas de tous.

Je me garderai bien de juger, mais il faut avoir conscience de cette réalité et ne surtout pas se voiler la face. Au moins, afin de rendre le dernier écot possible à notre civilisation européenne, c’est-à-dire à celle qui, avant toutes les autres avec Hérodote, a découvert que l’Histoire existe.

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jeudi, 17 septembre 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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dimanche, 13 septembre 2015

20 bonnes raisons d’être anti-américain.

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Camille Galic, Polémia cliquez ici

Avec Qui instrumentalise l’Eglise ? (1), puis L’Antichristianisme juif (2), le catholique Martin Peltier avait déjà abordé la question du sabotage (et du sabordage) de l’Eglise apostolique et romaine sous l’influence judéo-maçonne si puissante aux Etats-Unis. Dans 20 bonnes raisons d’être anti-américain, son nouveau livre qu’on aurait tort de prendre pour un simple pamphlet malgré la vivacité du style et le sens des formules chocs propres à l’auteur, c’est de front qu’il attaque le moloch, quitte à désespérer les nationaux nostalgiques de John Wayne, amateurs de musique Country ou fervents du rock identitaire puisque, pour lui, tout aspect de la culture (prise au sens germanique du terme : kultur), vînt-il à l’origine de la Vieille Europe, est subverti et utilisé pour inféoder celle-ci au Nouveau Monde, mentalement, intellectuellement et donc politiquement, en créant un « imaginaire mondial » dont la mission est de satelliser toute la planète.

Idée fixe d’un anti-américain primaire, objectera-t-on. Outre qu’il n’est pas sûr que l’épithète gêne notre essayiste, ses chapitres fourmillant d’exemples concrets (par exemple l’impact des accords Blum-Byrnes sur le cinéma français) sur « La maîtrise des images, objectif prioritaire », car il fait primer l’émotion sur la raison, ou sur « L’américain, de la communication impériale à la confusion de la pensée » sont éclairants.

Egalement convaincants car toujours étayés de faits avérés pris dans l’histoire ou l’actualité, les chapitres intitulés « L’Amérique espionne et désinforme le monde » (sur les inexistantes armes chimiques de Saddam Hussein ou la récente tuerie de Ferguson, chef-d’œuvre d’intox obamienne ici exactement démonté), « Les ONG, mains sales du mondialisme US » et « Les juges, nouveaux rois du monde » – qui doit beaucoup au maître-livre de l’avocat Eric Delcroix, Le Théâtre de Satan (3), qui montre la pollution puis la subversion des droits romain et germanique par le juridisme états-unien fondé sur la morale, morale sélective, partisane et circonstancielle même si le Premier Amendement donne l’illusion d’une totale liberté d’expression. Ce qui nous renvoie au chapitre « Contre la morale américaine » et la pédagogie qu’elle induit : cette « pédagogie de rupture » désormais privilégiée dans et par notre système éducatif, visant à « éloigner les générations les unes des autres » pour éviter la naturelle transmission pratiquée autrefois, et qui « fait qu’un homme de soixante ans, s’il a conservé malgré le goutte à goutte des médias la forme mentale que lui ont donnée ses parents, se trouve forcément haï par les Balilla de l’antiracisme, la VallaudBelkacemjugend ». D’où, selon l’auteur, la crise actuelle au Front national car, « malgré qu’elle en ait, la génération Marine n’est pas indemne » de la contamination.

Martin Peltier, qui dédie son livre à Marcel Aymé, clin d’œil à Travelingue, n’est pas le premier Européen à montrer les ravages de l’American Way of life et surtout of mind (pensée). Le Hongrois Thomas Molnar (professeur à l’Université de Columbia à New York), dans son livre L’Amérique, le modèle défiguré (PUF 1978), et le Russe Alexandre Soljenitsyne, dans son célèbre Discours de Harvard (1978 également), avaient évoqué les dangers d’un alignement qui, depuis, n’a cessé de s’aggraver comme l’a aussi dénoncé plus récemment l’universitaire et ancien diplomate croate Tomislav Sunic dans son Homo americanus (4), spécimen déclinable à l’infini de Bangkok à Varsovie et qu’il qualifie de « rejeton de l’ère postmoderne ».

Le mérite de Martin Peltier est de décrire le caractère protéiforme du phénomène et de faire un bilan complet des dommages infligés à nos pays, y compris dans nos rapports, aujourd’hui explosifs, avec « toute la misère du monde » – voir le chapitre VIII : « Les USA nous apprennent à vivre ensemble »… à grands coups de cette massue culpabilisatrice qui a si bien réussi avec l’Allemagne.

D’aucuns lui reprocheront d’ailleurs d’aborder un sujet scabreux entre tous : l’asservissement de la Libre Amérique au messianisme juif, et de s’inscrire par là-même dans les pas du maudit Pierre-Antoine Cousteau et de son Amérique juive (Ed. de France 1942). Ne traite-t-il pas des « origines juives » des Etats-Unis, et de la « collusion judéo-maçonne et protestante contre Rome » ?

Mais c’est oublier que certains des Pères fondateurs de la jeune République se méfiaient déjà du peuple élu. Ainsi l’historien Paul del Perugia affirmait-il dans son Louis XV (Albatros 1976) que « dans les débats préliminaires à la Constitution américaine, Benjamin Franklin demandera en 1787 d’interdire aux Juifs l’entrée des Etats-Unis ».

Il ne fut pas suivi. Si le nez de Cléopâtre eût été plus court et la voix de Benjamin Franklin plus forte, l’histoire du monde en eût été totalement changée. Et peut-être Martin Peltier n’eût-il jamais lancé son réquisitoire.

Camille Galic
1/09/2015

Martin Peltier, 20 bonnes raisons d’être anti-américain, éditions Die, juin 2015, 210 pages, avec deux annexes mais sans index ni bibliographie. Rens. 

info@die-livres.com

Notes : 

(1) Martin Peltier, Qui instrumentalise l’Eglise ? éd. Godefroy de Bouillon, 1/12/2012, 315 pages

(2) Martin Peltier, L’Antichristianisme juif, ed. DIE, 2014, 350 pages. (voir 

www.polemia.com/lantichristianisme-juif-lenseignement-de-la-haine-de-martin-peltier/

(3) Eric Delcroix, Le Théâtre de Satan, éd. de L’Æncre 2002, 448 pages.

(4)Tomislav Sunic, Homo americanus, éd. Akribeia, 2010, 288 pages (Voir :

http://archives.polemia.com/article.php?id=3324

Pour information :

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Pour se procurer le livre de Martin Peltier cliquez ici

Vous pouvez le commander à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance uniquement) 26,00 € + 3,00 € de port (chèque à l'ordre de Synthèse nationale).

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jeudi, 10 septembre 2015

A la petite fille allemande violée par un migrant

Julien Rochedy Son blog cliquez ici

ob_d7a266_rduction-petite-marie-2.jpgIl y a un mois, une petite fille Allemande de 7 ans a été violée à Chemnitz (saxe) par un migrant. Sa maman l'avait laissé jouer dans un parc dédié à la mémoire des victimes des fascismes, comme il y en a beaucoup en Allemagne.

L'information n'a pas fait grand bruit, et ce n'est qu'un mois après que nous en prenons connaissance.

J'ai eu envie de lui écrire.

Ma chère petite européenne,

Ma petite sœur,

Tu ne sais pas, toi.

Mon petit ange, tu ne dois pas comprendre ce qu'il vient de t'arriver. Alors, pour plus tard sans doute, permets moi de t'expliquer.

Pour que tu comprennes, il va d'abord falloir que je te raconte un peu d'Histoire. Vois-tu, au siècle dernier, il y a eu deux grandes guerres qui ont traumatisé les Européens. La seconde, qui est le fruit de la première, a particulièrement choqué les consciences. Un homme a voulu redresser son pays et porter l'Europe et ses peuples au firmament de leur puissance, au mépris de tous les autres hommes et de tous les autres peuples. Il a commis beaucoup de crimes. Oh ! Ce n'était pas le seul, mais les gens n'ont retenu que les siens. Ils ont appelé cela « le fascisme ».

Puis, cet homme, qui était Allemand comme toi, a perdu la guerre. Les Etats-Unis ont pris pied en Europe et pris en charge, pour beaucoup, la politique et la culture des pays de l'Europe. Quant aux Européens, ils sont entrés peu à peu dans un immense sentiment de contrition à l'égard du passé. Ils se sont mis à se détester. A penser qu'ils étaient des méchants. Et tu sais ma chérie, quand on se déteste, on a envie de mourir, c'est tout simple. Quand tu t'intéresseras à la philosophie ma belle, tu pourras comprendre un peu ce qui s'appelle « le nihilisme européen » ou « la crise européenne » vu par des grands messieurs comme Husserl ou Nietzsche. Mais en attendant, tout que tu dois savoir est que tu es née à un moment où les grandes personnes autour de toi vivent dans la culpabilité et dans un état de ce que l'on appelle « schizophrénie », c'est à dire qu'ils sont à la fois contents de vivre dans des sociétés évolués, mais à la fois un peu honteux d'être ce qu'ils sont. Et puis aussi ils pensent que leur passé, et leur identité qui en découle, ne donnent pas de quoi être fiers.

C'est pour ça ma chérie qu'ils font des parcs comme dans lequel tu jouais. Des parcs pour leur rappeler à quel point ils ont été méchants, à quel point ce sont des mauvaises personnes. Ils sont même contents de se détester, ils sont fiers de s'en vouloir à ce point. Quand tu feras un peu de psychologie à la faculté, tu sauras que c'est ce que l'on appelle un état pervers, une fierté morbide. Il faut que tu saches que cet état est celui de beaucoup d'Européens.

A cause de cet état qui les pousse à se suicider, figures toi que les grandes personnes ont décidé de faire venir des millions et des millions de gens d'autres pays dans le tien. Pourquoi vas-tu me demander ? Eh bien parce qu'ils ont envie de se mélanger avec des gens vraiment différents pour disparaître, et aussi parce que ça sert les intérêts de gros puissants qui manipulent les peuples. Je ne vais pas entrer dans ces explications, tu te renseigneras un peu plus tard et tu comprendras vite.

Au milieu de tout cela, ma chérie, il y a des petites filles comme toi. Des petits anges européens, porteur de plein de promesses comme tes ancêtres qui ont à peu près tout inventé sur cette planète. Mais je dois être honnête avec toi ma petite chérie : à cause de tout ce que je viens de te raconter, les grandes personnes se moquent un peu de toi mon cœur. Tu passes après les gens qui viennent par millions d'Afrique, tu passes après l'intérêt qu'ils portent à des gens comme celui qui t'a fait du mal. D'ailleurs, on cache des tragédies comme celle que tu as vécue. On ne le fait pas savoir aux gens. En revanche si ton grand frère avait fait du mal à quelqu'un comme le migrant qui t'a fait du mal, sache que cela aurait fait la une de partout. On aurait incriminé « le fascisme ». C'est comme ça mon ange.

En somme, cette histoire se résume ainsi : pendant que les grandes personnes pleurent sur les "méchancetés" de leurs ancêtres, leur petite fille se fait violer par un étranger. 

Tu ne savais pas tout cela petite chérie, tu n'y es pas pour rien, tu n'es fautive ni des actes de tes ancêtres ni de la bêtise des adultes. Mais, en grandissant, tu comprendras. Tu verras un peu tout le mal que les grandes personnes ont fait, en pensant parfois bien agir, mais en confondant souvent l'étiolement de leur âme pour de l'humanisme et de la générosité, comme disait Stendhal, un autre grand monsieur qui compte parmi tes ancêtres européens.

Ma chérie, en revanche, je veux te dire une dernière chose : malgré les apparences et le monde horrible dans lequel tu es née, tu n'es pas seule. Il y a de plus en plus de gens pour qui tu comptes, et qui seraient prêts à mourir pour une petite Européenne comme toi. Et ces gens n'oublieront pas ce qu'il t'est arrivé.

Je t'embrasse ma petite sœur en Europe.

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jeudi, 03 septembre 2015

"Salut public", le mensuel solidariste dirigé par Serge Ayoub reparait !

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Salut public n°17

L'actualité vue par le courant solidariste français

Des articles de Serge Ayoub, Anthonin Lamoureux, Nicolas Tandler, Georges Feltin-Tracol, Pierre Hillard, Jean-Claude Rivière...

Après deux ans d'interruption, Salut public reparaît. La formule est différente mais les idées sont les mêmes. On se souvient de la vague de répression qui, lors de l'été 2013, s'était abattue sur les mouvements patriotiques. L'une des conséquences de cet allucinant été liberticide fut la mise en sommeil de ce journal militant original.

Mais le réveil vient de sonner...

Salut public n°17, septembre 2015, 88 pages,10,00 €

Vous pouvez le commander en ligne cliquez ici ou auprès de Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance uniquement) pour la somme de 13,00 € (10,00 € + 3,00 € de port). Chèque à l'ogre de Synthèse nationale.

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Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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Numéro de rentrée

3,50€, chez votre marchand de journaux

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mercredi, 02 septembre 2015

LA RENTRÉE SCOLAIRE Voyage dans une France en crise

scolarite.jpgMichel Lhomme

Métamag cliquez ici

C'est la rentrée des classes et chacun cette année y va de ses  « dix propositions pour changer l'école ». On y retrouve les péda-gogos du désastre actuel, (François Dubet et Marie Durut Bellat - Les sociétés et leur école. Emprise du diplôme et cohésion sociale aux éditions du Seuil) mais aussi - il aura finalement tous les toupets ! - l'incompétent et prétentieux Alain Juppé . La liste de Dubet est caricaturale dans la langue de bois. On s'attendrait à des propositions  chocs et on nous serine ses dix chapitres : « Transmettre et préparer à la vie ; faire, plus que jamais, l’éloge de la pédagogie ; choisir le métier d’enseigner ; éduquer ensemble ; construire l’égalité des sexes ;former des citoyens ; combattre l’hégémonie du diplôme ; bâtir une école plus juste ; réinventer l’institution scolaire ; rétablir la confiance démocratique ».  C'est la petite voix de son maître, incapable de tirer les leçons de ses erreurs. C'est l'universitaire besogneux aux mots creux servant la caste syndicale.

Avec la démocratisation généralisée du baccalauréat, tous les Français ont à peu près passé quinze ans dans le système scolaire. Ils le connaissent donc bien. Ils connaissent les tares rédhibitoires de son fonctionnement. Ils savent que les réformes s'accumulent sans jamais remettre en question les présupposés pédagogiques. Ils savent aussi que les réformes actuelles sur les découpages horaires des disciplines sont avant tout une manière de casser le décret des fonctionnaires de 1950 et d'appliquer à l'éducation le raisonnement budgétaire à la Macron.

La crise du recrutement, la dévalorisation du métier de professeur des écoles ou du secondaire a amené les gouvernements successifs à élever la formation universitaire des maîtres mais sans envisager un instant le crucial problème de la rémunération bloquée depuis près de dix ans. Nos jeunes professeurs logent donc dans des HLM et ne consultent les livres spécialisés qu'en bibliothèque, faute d'un budget adéquat. La formation des maîtres à travers les ESPE (Ecole supérieure professionnelle de l'Education) peine à trouver un style différent du formatage des IUFM d'autrefois (Institut Universitaire de formation des maîtres), souvent véritables caricatures du divorce entre la théorie éducative et la pratique de terrain. La formation des professeurs souffre de la spécialisation par matières mais en même temps sans maîtrise disciplinaire, le professeur reste démuni et très souvent dépassé devant ses élèves. L'élève sait très bien quand le professeur ne sait pas.

L'une des causes principales du naufrage de l'Education nationale française reste l'apprentissage de la lecture avec l'usage de méthodes hybrides ou semi-globales qui expliquent toutes les dyslexies et les dysorthographies dont raffolent les cliniciens et les orthophonistes privés. En fait, tous les pays de l'OCDE suivent sur le plan éducatif la même feuille de route et malgré l'augmentation sensible des budgets consacrés à l'éducation et l'accumulation des réformes pédagogiques, le niveau global ne s'est guère amélioré depuis deux décennies (rapport McKinsey de 2007, p.9). Le rapport McKinsey illustre d'ailleurs sa conclusion en citant le cas emblématique des Etats-Unis qui, dans les années 70, réduisit le nombre de matières enseignées et la durée des cours pour améliorer les apprentissages dits de compétence (le nouveau dada de la rue de Grenelle), sans vrais résultats. Le Ministère de l'Education américain recruta plus de professeurs et en arriva même à 15,4 élèves par classe en 2005 (le chiffre était de 22,3 élèves par classe en 1970) ce qui impliqua une augmentation de 73 % de la dépense par élève. Or, objectivement, les résultats des élèves ne manifestèrent aucune avancée notable.

Pour cette rentrée 2015, la réforme du collège est lancée 

Elle transformera peu à peu le collège en une grande garderie, une école primaire supérieure. Les autorités sont assurées par l'égalitarisme de gauche (le collège unique) du bien-fondé de leurs présupposés. On peut rénover facilement les bâtiments mais on change difficilement les certitudes idéologiques. Elles sont tenaces et collent aux décideurs bien-pensants. On parie de toutes évidences sur le pourrissement de l'ensemble et l'arrivée des nouvelles technologies, voire même pour les cyniques sur le développement du privé, y compris confessionnel et surtout islamique. Mais, à moins de rénover les supports numériques en permanence, les nouveaux outils apparaîtront vite obsolètes aux générations digitales à venir. On vise indirectement la fin du cours magistral et on pousse à l'individualisation des parcours d'élève dans des classes à 38 où l'on demeure, de par le nombre et l'exigence de la discipline, contraint au cours frontal. Le professeur qui sait donner de bonnes conférences est souvent incapable de personnaliser son enseignement en petits groupes. On a vu cela très souvent à l'Université. Une telle personnalisation du cours implique du matériel pédagogique sans cesse adapté et renouvelé or on laisse cela sans réelle planification au marché des éditeurs privés.
 
Autre point qu'on oublie sérieusement. Pour le professeur, la question cruciale des années à venir sera de capter l'attention. Pour cela, il faut aussi des professeurs originaux. Or, on vise à les formater, à les couler dans le moule de la bien pensance et de la moraline du vivre-ensemble. Au niveau de l'élève, l'idée de ''promo'', ciment du groupe classe est remplacée par l'hyper-individualisation du parcours de l'élève que permettent des outils informatiques comme Pro-Note. On va jusqu'à personnaliser l'emploi du temps de l'élève de peur qu'il ne se définisse par le groupe. Les éléments classiques de formation à la rationalité comme le grand art du commentaire de texte qui exige le temps rigoureux du déploiement de soi à travers la pensée de l'autre est mis au rebut. L'école forme décidément à la culture selfie par ces nouveaux paradigmes éducatifs que sont la pédagogie par compétences, l'interdisciplinarité sans discipline, le formatage citoyen humaniste et humanitaire. On parle de moins en moins d'instruction ou d'éducation mais de techniques pédago-éducatives avec l'emphase de la découverte de nouveaux concepts d'apprentissage. Par expérience, nous savons qu'ils sécrèteront l'ennui mortifère de  l'adolescent et donc sa rébellion salutaire.

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mercredi, 26 août 2015

Vous avez dit Le Pen ?

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Gabriel Matzneff Le Point cliquez ici

J'allume la radio. Jean-Marie Le Pen parle. Une heure et demie d'entretien où sont abordés les sujets les plus sérieux. Jusque-là, rien que de très banal, tous les hommes politiques font ça, c'est leur métier.

Ce qui n'est pas banal, c'est qu'à la fin de l'interview, en grande forme, Jean-Marie Le Pen a, impromptu, récité un poème de Charles d'Orléans, puis, dans la foulée, chanté une chanson de corsaires. L'écoutant, je songeais : qui, parmi les hommes politiques de sa notoriété, serait capable d'une telle liberté, d'une pareille spontanéité ? En Italie, Berlusconi et Pepe Grillo. En France, je n'en vois guère. On n'imagine pas Hollande ou Sarkozy, ou encore Juppé, dans un tel exercice. Peut-être Mélenchon.

Le Pen en maillot de bain

J'apprécie Mélenchon, je l'ai voté en 2012, mais je ne le connais pas. En revanche, je connais bien Le Pen, depuis l'époque où, publiant mes premiers livres, je buvais force whisky au bar du Pont-Royal en compagnie d'Antoine Blondin, de Jacques Laurent, de Roland Laudenbach, de Jacques de Ricaumont, de Jean-Marc Varaut et, parfois, de Jean-Marie Le Pen qui, à l'époque, directeur d'une maison de disques, la Serp, située rue de Beaune, à côté donc de Gallimard et de La Table ronde, était, lui aussi, un habitué de ce célèbre bar aujourd'hui disparu. J'avais même, le 29 décembre 1966, à la une de Combat, écrit un article enthousiaste intitulé « Vive l'Empereur, monsieur ! » sur l'un des disques de la Serp, consacré aux marches militaires de la Russie impériale.

Les journalistes qui écrivent des biographies de Jean-Marie Le Pen ne me consultent jamais. Ils ont tort. Le président d'honneur du Front national et moi, outre nos nombreux amis communs, morts ou, grâce à Dieu, bien vivants, nous avons eu la même manucure, une jolie Finlandaise prénommée Margareta, le même diététicien, et peu d'écrivains français peuvent se flatter d'avoir, comme moi, dans une piscine, en maillot de bain, chanté en chœur avec Jean-Marie Le Pen « Étoile des neiges, mon cœur amoureux » à une jolie blonde qui, au bord de ladite piscine, admirait nos évolutions aquatiques.

Le Saint-Graal

Vous me l'accorderez, une telle complicité, ça crée des liens. Un jour, à la fin des années 1970, mon ami Christian Cambuzat, le célèbre nutritionniste qui, en Suisse, faisait perdre ses kilos surnuméraires à la chanson – de Johnny Hallyday à Guy Béart – et à la littérature – de Frédéric Dard à Bibi, m'avait dit :

« Vous qui connaissez Jean-Marie Le Pen, conseillez-lui de venir chez moi. Il doit mincir, changer de style, d'allure, à la télévision il apparaît col ouvert, débraillé, cela déplaît aux femmes. » Je n'étais pas assez intime avec Le Pen pour lui dire directement que Cambuzat le jugeait trop gros, mais je confiai le message à deux des amis nommés ci-devant et, quelques semaines plus tard, Le Pen suivait sa première cure dans ce haut lieu du bien-être que, dans mes romans, je nomme Saint-Graal, et dont il allait devenir, comme moi, l'un des plus fidèles pénitents.

Tout le monde se souvient de l'apparition publique de Le Pen après cette fameuse première cure chez Cambuzat. Mince, élégant, il était comme métamorphosé.

Les infréquentables

Parfois, après notre frugal dîner dans notre monastère du Mont-Pélerin, nous étions, Jean-Marie Le Pen et moi invités à passer la soirée chez les Cambuzat, Christian et son adorable jeune femme, Dominique. Nous causions, cela va de soi, des bienfaits des protéines et des méfaits du sucre, de la stratégie de la minceur (titre du livre que Cambuzat publiera en 1994 chez Lattès), mais aussi de bons vins, d'art, de voyage et même de politique.

Je me souviens d'une de nos soirées à l'époque du traité de Maastricht. Les propos que nous tint Jean-Marie Le Pen étaient la raison même, la justesse même, l'avenir allait nous le prouver, et ce soir-là je pris conscience à quel point était absurde l'image d'excité extrémiste que la presse purée de droite et de gauche s'appliquait à donner de lui.

Dans la vie française, en littérature comme en politique, il y a les gens qui sont blanc-bleu, les bien-pensants, les vertueux ; et puis il y a les sulfureux, les infréquentables. Jean-Marie Le Pen fait partie de ces derniers. Même si je n'avais pas déjà des raisons personnelles d'avoir de l'amitié pour cet homme, son éternel statut d'excommunié suffirait à me donner l'envie de le défendre, et quand il a raison (en ce moment sur la Russie, par exemple), de l'applaudir.

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