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dimanche, 28 juin 2015

Le nouveau numéro de "Réfléchir et Agir" est sorti

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samedi, 27 juin 2015

Un entretien avec les Brigandes

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Publié par Euro Reconquista cliquez ici

Bonjour Les Brigandes ! Bienvenues dans l’antre de la bête immonde, des zeures , de la pensée nauséabonde et du couscous réunis.

ER : Depuis un an environ vous rencontrez un certain succès avec vos vidéos, surtout dans la réacosphère, ben oui ! comment le jugez-vous ?

Nous nous doutions que dès le lancement de nos petits missiles, ils allaient toucher des cibles. Le succès nous a boosté pour nous engager carrément car la reconnaissance est un stimulant. C’est donc un coup réussi pour le moment et nous sommes prêtes à assurer la suite, sachant qu’il y aura des grincements de dents car on ne peut pas plaire à toute notre mouvance, diversifiée idéologiquement.

Si on cherche la motivation derrière notre travail artistique c’est de soulever la chape qui nous écrase tout en faisant plaisir à tous ces gens qui souffrent dans un système qui les humilie en permanence. Nous sommes saturés d’explications et d’informations, et il faut imaginer de nouvelles voies d’expression pour nos idées. La vraie Droite est pauvre au plan musical et nous avons voulu libérer un espace pour une nouvelle chanson française, joyeuse et contestataire.

ER : Question à deux roupies, pourquoi Les Brigandes ?

« Brigands » est le nom que les génocidaire de 1793 donnaient aux vendéens parmi lesquels des femmes combattaient, d’où notre choix spontané pour les Brigandes qui nous est venu en lisant et en visionnant les productions de Reynald Secher sur la Terreur.

ER : Vous tournez à combien de visites en moyenne ?

Nous avons une moyenne de plusieurs milliers de visites par jour, dont certaines de Russie, du monde latino et anglo-saxon pour les chansons sous titrées dans ces langues. De Russie, nous recevons beaucoup de commentaire positifs grâce à « Laissez vivre la Russie » sous-titrée en russe. « La Loge des jacobins » est visionnée par les francs-maçons anglo-saxons. Il est agréable de savoir que ces quenelles bien françaises passent à l’international.

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jeudi, 25 juin 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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mercredi, 24 juin 2015

Camba et Taubira ne seraient-ils pas un peu racistes ?

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Pierre Cassen Boulevard Voltaire cliquez ici

Essayant de se refaire une santé après le peu glorieux épisode Chaouat, le nouveau secrétaire du PS a cru bon de passer de la pommade à Taubira, la jugeant « indispensable à la couleur du gouvernement » (sic !).

Seul problème : à force de qualifier tout le monde de raciste (tout en affirmant que les races n’existent pas), on finit par se prendre les pieds dans le tapis. C’est ce qui vient d’arriver au nouveau secrétaire du Parti socialiste, qui laisse entendre que si l’ancienne indépendantiste guyanaise n’était pas noire, elle ne serait pas indispensable. On attend avec impatience le prochain procès du CRAN !

Le cirage (noir) de pompes de Cambadélis et la référence à la couleur tombaient d’autant plus mal que le garde des Sceaux vient de subir un véritable « Taubiragate » judiciaire, dans une affaire qu’elle a instrumentalisée de A à Z avec l’alibi de l’antiracisme.

Elle s’était victimisée, de manière très politicienne, dans une histoire de page Facebook appartenant à Anne-Sophie Leclère, à l’époque au FN, la représentant en singe. Rappelons que par le passé, Giscard d’Estaing, Le Pen ou Sarkozy avaient eux aussi été caricaturés ainsi. N’oublions pas que Charb lui-même avait dessiné le garde des Sceaux en guenon, en toute impunité.

Plus grave, Taubira avait mis tout son poids dans la balance, dans le procès qui allait suivre, se montrant grossièrement juge et partie. C’est une association indépendantiste, qu’elle a créée en 1993, hébergée à son adresse, qui a déposé plainte. Le premier procès a eu lieu à Cayenne, avec six avocats d’un côté, aucun défenseur de l’accusée de l’autre, et un tribunal présidé par un membre du Syndicat de la magistrature. Ce dernier, confondant le droit français et une vision militante et revancharde de la justice postcoloniale, a rendu, le 16 juillet 2014, un verdict digne d’une république bananière : 9 mois de prison ferme et 50.000 euros d’amende, contre une femme qui n’a que 600 euros de revenus par mois.

Taubira qui, paraît-il, ne commente jamais les décisions de justice a essayé de justifier une telle sentence. Après un lapsus révélateur « Je ne commente jamais les injustices », elle a estimé que les juges rendaient leur verdict d’après le Code pénal. Décodage : la sanction était donc méritée.

Seul problème, et c’est l’ABC du droit : une association ne peut ester en justice que si ses statuts le lui permettent. Or, l’association Walwari n’a pas pour mission de lutter contre le racisme, mais pour l’indépendance de la Guyane. Autrement dit, Taubira, par idéologie et par haine des anciens colonialistes, a cautionné une justice d’exception, de type raciste, prenant des libertés avec le droit français. D’où, ce lundi, l’annulation par la cour d’appel de Cayenne du premier verdict.

Si un ministre de la Justice blanc avait été dessiné en cochon par un Guyanais, Taubira aurait-elle fait tout ce cirque ? Bien sûr que non.

Que dire, en outre, de l’affaire Chaouat-Cambadélis ? Le chef du PS aurait-il proposé qu’un Français d’origine européenne, connu pour avoir cogné son épouse, soit nommé secrétaire national du Parti socialiste ? Bien sûr que non. Aurait-il parlé de couleur si le garde des Sceaux était d’origine asiatique ? Bien sûr que non, cette question n’est jamais évoquée avec Fleur Pellerin.

Pierre Desproges disait qu’il n’adhérerait à SOS Racisme que quand il y aurait un « s » à racisme. Cambadélis et Taubira, par leurs orientations teintées de racisme, lui donnent raison.

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mardi, 23 juin 2015

« Nous pourrons nous battre quand nous redécouvrirons qui nous sommes ! »

519962ab9ec903449d511db3e7293356.jpegUn entretien avec

Bernard Lugan

Boulevard Voltaire cliquez ici

Dans toute l’Afrique, le chaos semble s’installer. Les frontières issues de la colonisation européenne ont-elles un avenir ?

Ces frontières ne correspondent pas à la réalité, mais elles existent. Si elles explosent, ce sera l’anarchie. Et l’on voit au Sud-Soudan que de nouvelles frontières ne résolvent pas les problèmes pour autant. Le vrai problème, c’est la démocratie. C’est elle qui provoque le chaos. Avec le principe « one man, one vote », la majorité ethnique remporte systématiquement les élections. Et cela cause des drames terribles quand cette majorité était, avant l’indépendance, soumise à une autre ethnie. Cela débouche sur la vengeance et sur le génocide, comme au Rwanda. Le génocide de 1994 est le fils de la démocratie.

Vous soulignez toujours le discours de La Baule (1990) du président Mitterrand comme point de départ du chaos africain…

Tout à fait : Mitterrand, en expliquant qu’un « vent démocratique devait souffler » sur l’Afrique, a tourné le dos à notre antique politique africaine – gaulliste – qui consistait à soutenir des régimes forts. Nous pensions, à juste titre, qu’il fallait construire un État avant de parler démocratie. De Gaulle l’avait compris, lui qui parlait d’ailleurs de « coopération » avec les anciennes colonies, jamais de « développement ». Le chef de l’État socialiste a, lui, au contraire, associé « développement » et « démocratie », faisant de la seconde la condition du premier. Un désastre ! La démocratie a été une catastrophe pour le continent, tout comme la médecine…

La médecine ?

Oui. Quand nos grands anciens, les explorateurs, sont arrivés en Afrique, le continent était presque vide. En vérité, l’Afrique a toujours été un continent de basse pression démographique. Jusqu’à ce que les Européens amènent leur médecine… De 100 millions d’habitants, on est passé à plus de 1 milliard et l’ONU prévoit 3 milliards d’ici quelques décennies ! C’est une folie… Les faibles États africains ne tiendront pas le choc.

Vous vous doutez que ces propos peuvent choquer ?

Vous savez, moi, je suis un historien. Je m’intéresse à la terre et aux hommes. Aux faits. La morale, je la laisse aux philosophes. Nous vivons dans un monde de dogmes, dans l’émotion, dans le présent. Je pense comme les Arabes ou les Africains : sur la longue durée. Et j’irai plus loin dans mes propos : la démocratie a fait plus de mal que l’esclavage !

À vous écouter, un pays comme l’Afrique du Sud ne pourra donc jamais être la démocratie merveilleuse et arc-en-ciel que l’on nous dépeint ?

Non. Et l’apartheid se réinstalle d’ailleurs tranquillement. Le grand exode des Blancs (près d’un million de personnes) est terminé. Ceux qui sont restés se sont regroupés, vivent dans leurs propres villes. Il y a peu de contact avec les Noirs. Les grandes distances permettent ce qui est impossible en France pour la population de souche. Comme dans toute l’Afrique, en Afrique du Sud, le vote est racial. L’ANC est le parti des Noirs, contrôlé par les Zoulous, et le petit parti libéral, blanc et métis, ne décolle pas.

Vous restez cependant optimiste…

Oui, car le réel fera son retour. Le modèle démocratique va s’effondrer de lui-même. Nous reviendrons, y compris en Europe, à une sorte d’Ancien Régime, qui respectera mieux les communautés originelles. Nous pourrons nous battre à armes égales avec les islamistes quand nous redécouvrirons qui nous sommes. Pas avec ce hochet des droits de l’homme ou ce laïcisme désuet !

Propos recueillis par Joris Karl

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DÉMISSION DE TAUBIRA : CHRISTIANE FAIT NOUS PEUR ! Le départ de Taubira, le rêve de Valls

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Raoul Fougax Métamag cliquez ici

Ceux qui ne savaient plus comment s’en débarrasser au gouvernement se reprennent à espérer. Elle pourrait finalement partir d’elle-même. La madone des 32 heures s’impatiente, parait-il. Elle aurait du mal à rester au gouvernement si la réforme de la justice des mineurs, promise par François Hollande et à laquelle elle est très attachée n’était pas rapidement inscrite à l’ordre du jour.

« Le gouvernement s’était engagé à le faire au premier semestre 2015, je suis la première à déplorer que ce ne soit pas encore fait », a expliqué la garde des sceaux. Si ses collègues du gouvernement affirment que la démission de Christiane Taubira n'est pas à l'ordre du jour, il n'empêche que la ministre teste la résistance de Manuel Valls.

Le Journal du Dimanche, dans son édition du 21 juin, confirme que la ministre de la justice ne cacherait plus en privé qu’elle démissionnera si elle n’a pas la certitude que cette réforme sensible, qui en est, selon elle, aux « derniers arbitrages », soit adoptée avant la fin du quinquennat.

Christiane Taubira, qui s’est opposée sans succès à certaines mesures du projet de loi sur le renseignement, entend donc mettre la pression sur Matignon et l’Élysée pour faire avancer son projet qui prévoit notamment de supprimer les tribunaux correctionnels pour mineurs mis en place sous Nicolas Sarkozy au motif que les juges pour enfants auraient été trop laxistes. Le laxisme vis avis des voyous, c’est l'image de marque d’un ministre qui fait de la lutte contre l'l autorité, forcement rétrograde, sa priorité.

Elle est en totale contradiction avec la ligne Valls qui n’ose y toucher parce que noire et femme, parce qu'en butte aux attaques d’une droite qui la soupçonne sans jamais oser le dire de racisme à rebours. Il faut rappeler que Christiane Taubira n’est pas membre du PS. Elle a co-fondé avec son mari en 1993 le parti guyanais Walwari et est surtout apparentée au PRG. Elue en 1994 au Parlement européen sur la liste conduite par Bernard Tapie (alors PRG), avec Noël Mamère entre autres colistiers, elle rejoint Ségolène Royal lors de la campagne présidentielle de 2007 et soutient Arnaud Montebourg lors des primaires citoyennes de l’automne 2011, n’apportant même pas son appui au "patron" des Radicaux de gauche, Jean-Michel Baylet… Taubira depuis l’élection présidentielle de 2012 apparaît effectivement comme une "caution" de gauche anti raciste pour François Hollande. Si elle partait d'elle même pour rejoindre la gauche de la gauche du Ps, et même au delà ,cela arrangerait tout le monde sauf ceux qu’elle irait rejoindre peut être. Car comme dirait l’autre «  il faut se la faire ».,Son ambition est grande et elle rêve d’être le symbole d'une gauche multiraciale à la française… ce qu’elle est déjà.

Taubira candidate à la présidence ! Eva Joly l’a bien été.

Cette hypothèse est loin d’être absurde mais n’inquiète pour le moment personne surtout pas Manuel Valls qui pense qu’à chaque jour, suffit sa peine, surtout avec Taubira. Mais si elle part, ce sera pour mieux revenir, c’est sûr, sauf à donner l'indépendance à la Guyane…

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Taubira comparée à un singe: la condamnation annulée

786445-christiane-taubira-le-6-mai-2015.jpgSource Libération.fr cliquez ici

En première instance, Anne-Sophie Leclère, un temps tête de liste FN aux municipales, avait été condamnée à neuf mois de prison ferme et cinq ans d’inéligibilité.

La cour d’appel de Cayenne a annulé la condamnation d’une ex-candidate FN aux municipales de 2014, Anne-Sophie Leclère, qui avait été condamnée à neuf mois de prison ferme et cinq ans d’inéligibilité en première instance pour avoir comparé Christiane Taubira à un singe. Dans son arrêt rendu lundi, la cour d’appel a jugé « irrecevable » l’action menée par l’association Walwari (un mouvement cofondé par l’actuelle garde des Sceaux début 1993) à l’encontre du Front national et de Anne-Sophie Leclère.

Anne-Sophie Leclère, un temps tête de liste FN aux municipales à Rethel (Ardennes) avant d’être exclue par le parti de Marine Le Pen à la suite de ces propos, avait été condamnée en juillet 2014 par le tribunal de grande instance de Cayenne. Le tribunal, saisi d’une plainte de Walwari, était allé au-delà des réquisitions du parquet en prononçant cette peine, assortie d’une amende de 50 000 euros. Il avait également condamné le Front national à 30 000 euros d’amende en première instance.

La cour d’appel a considéré lundi, entre autres, que Walwari « ne justifie pas », selon ses statuts, de proposer « de défendre la mémoire des esclaves et l’honneur de ses descendants » ou « de combattre le racisme » au moins « 5 ans avant les faits reprochés » d’octobre 2013 comme le requiert la loi. « Sans qu’il soit nécessaire d’examiner les autres multiples exceptions de nullité» soulevées par les avocats de Anne-Sophie Leclère et par celui du FN, la cour a estimé que « le tribunal n’ayant pas été régulièrement saisi de l’action publique, il y a lieu d’annuler le jugement du 15 juillet 2014 ». (...)

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jeudi, 18 juin 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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jeudi, 11 juin 2015

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jeudi, 28 mai 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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mercredi, 27 mai 2015

MEDIAS ET PHILIPPOT : UN ÉTRANGE ENGOUEMENT Mais pourquoi une telle surreprésentation du vice-président du FN ?

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Jean Bonnevey Métamag cliquez ici

Si l’on considère que l’idéologie médiatique déteste les valeurs et les visions prêtées au Front national, la sollicitude de la caste journalistique pour Florian Philippot interpelle. On ne voit que lui partout. On le voit plus que Marine, Marion et les autres réunis. C’est tout de même bizarre. On allume la télé, encore Philippot, toujours Philippot. Alors pourquoi ? Parce qu’il dit du mal du Fn historique, du Fn déviant de l’idéologie dominante. Il n’y a pas de secret. Philippot est considéré par les médias comme un moyen de combattre certaines idées de l’intérieur du Fn. Pour les militants restés proche de JMLP, il est utilisé comme un «  idiot utile » ou un «  porteur de valise ». Ce qui est vrai, c’est que les médias l’aiment.

Tout d’abord parce qu’il dit du mal de Jean-marie Le Pen, le diable. En plus parce qu’il représente un Fn édulcoré et presque médiatiquement compatible. Philippot accepte totalement la lecture de l’histoire du système, notamment sur la deuxième guerre mondiale. Il est d’autre part de sensibilité « mariage pour tous ».  C’est certainement les deux éléments qui font que les médias lui donnent si complaisamment la parole.

La seule chose qui les gêne encore un peu, c’est l’immigration et le fait que le vice-président du Fn n’est pas encore mûr pour accepter d’avoir pour compagnon un tamoul clandestin, serait-il lauréat à Cannes. Mais personne n’est parfait.

Mais à part ça, Philippot issu des rangs chevènementistes est un patriote gaulliste social, pas de quoi effrayer la vigilance anti fasciste médiatique. Vice-président du Front national, Florian Philippot ne cache pas sa volonté de voir Jean-Marie Le Pen hors du parti. « Aujourd'hui, une procédure a été engagée à l'initiative de la présidence du Front. Jean-Marie Le Pen est suspendu. Nous, nous proposons aux adhérents une réforme des statuts qui comporte la suppression du président d'honneur mais aussi plus de démocratie interne. Je suis favorable à la suppression de la présidence d'honneur de Jean-Marie Le Pen », affirme-t-il sur BFMTV et RMC.

Le Fn doit changer de l'intérieur, "se moderniser" estime Florian Philippot. Mais ce changement n'ira pas jusqu'au nom du parti. "Ce n'est pas d'actualité", confirme-t-il. «Je trouve qu'un nom ce n'est pas sacré. Mais changer de nom n'est pas d'actualité. On ne va pas se donner en spectacle comme l'UMP avec les Républicains!» Un nom qui montre selon lui que l'UMP est "inféodé à Washington".

Le Front National versus Philippot aura bientôt éliminé physiquement de ses membres Jean-Marie Le Pen, pourtant fondateur du parti et toujours statutairement président d’honneur. En attendant le congrès – numérique ? – qui doit déposer le patriarche, l’élimination voulue aussi par la propre fille du condamné, Marine le Pen, le Front National dédiabolisé – ou systémisé – a décidé de rayer visuellement Jean-Marie le Pen de toute sa communication.

Plus aucun lien sur le site du Fn vers le blog de Jean-Marie Le Pen, et encore moins vers ses vidéos intitulées « Journal de bord ». Ne cherchez plus les interventions de Jean-Marie Le Pen au parlement européen sur le site du Fn, elles sont systématiquement ignorées. Idem de la nouvelle rétrospective en vidéo de l’action des députés Fn à Strasbourg. Même en flouté et en arrière plan le fondateur du Fn n’apparaît pas. Pourtant, celui-ci n’est-il pas toujours député européen ?

Une méthode qui n’est pas nouvelle, celle qui consiste aussi à retoucher les photos pour retirer un visage que l’on ne souhaite plus y voir. De Staline à Kim Jong-un en passant par les gaullistes avec Georges Bidault, ce furent des méthodes employées.

Philippot veut Marine à l’Elysée, mais pour quoi faire : du Philippot !

Apparemment ça n’inquiète pas les médias qui le chouchoutent, et c’est sans doute cela qui est objectivement inquiétant si l’on est électeur Fn.

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vendredi, 22 mai 2015

Les enseignants : nouveaux dindons de la farce socialiste

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Véronique Bouzou Boulevard Voltaire cliquez ici

Le décret de la réforme du collège publié en catimini durant la nuit, quelques heures à peine après la grève des professeurs, traduit une fois de plus le mépris du gouvernement socialiste à l’égard des enseignants.

Rien d’étonnant, néanmoins, de la part d’un exécutif responsable d’un accouchement au forceps des rythmes scolaires à l’école primaire ! Rien d’étonnant quand on connaît la mauvaise foi des apôtres socialistes de cette réforme du collège – que je qualifierai pour ma part de projet nuisible – qui considèrent qu’eux seuls sont du côté du progrès, qu’eux seuls œuvrent pour la « réussite de tous les élèves ». 

Au mieux, les caciques du PS jugent comme des abrutis ceux qui s’opposent à la vertu de cette « réussite pour tous » (en réalité un échec pour le plus grand nombre et un égalitarisme néfaste à l’élitisme républicain). Au pire, ils les discréditent en les qualifiant de vilains réactionnaires préoccupés par le seul devenir des élites. Rien ne les arrête, ces « progressistes » autoproclamés – des apprentis sorciers, devrais-je dire – pour faire montre de pédagogie et expliquer aux enseignants et aux parents d’élèves le bien-fondé d’un projet qu’ils sont bien les seuls à défendre contre un bon nombre de philosophes, d’historiens et même d’enseignants !

Car même si la grève des professeurs n’a pas obtenu le succès escompté (27,6 % des enseignants dans les collèges publics, selon le ministère, 50 %, d’après les syndicats), cela ne veut pas dire pour autant que les professeurs applaudissent à tout rompre leur ministre. Pour quelle raison, alors, le gouvernement socialiste prend-il le risque de faire passer une réforme impopulaire auprès du corps enseignant ? Ces derniers auraient-il réagi plus vigoureusement si un gouvernement de droite avait tenté le même passage en force ? Peu probable…

Alors, quoi ? Certains professeurs dépités sont plus ou moins conscients qu’ils ne seront pas entendus. Inutile, donc, d’offrir une journée de grève à l’État. D’autres, sceptiques, restent encore dans le flou et se disent qu’ils pourront, le moment venu, adapter la réforme et rester libres de leur pédagogie. D’autres, encore, se refusent à croire que ce qui vient de la gauche peut être néfaste. N’ont-ils pas toujours cru – à défaut de voter – à cette gauche qu’ils idéalisent ?

Mais le PS croit-il encore aux enseignants ? Ne préfère-t-il pas aux classes moyennes laborieuses les « minorités visibles » qui constituent son nouvel électorat ? La réforme du collège se fera donc « quoi qu’il arrive » (dixit Valls), et tant pis si les profs sont mécontents…

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jeudi, 21 mai 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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dimanche, 17 mai 2015

Un maire UMP veut interdire l’islam : il est interné dans la journée !

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Francis Gruzelle Riposte laïque cliquez ici

Dans l’URSS de Staline, les opposants les plus dangereux étaient internés dans des hôpitaux psychiatriques, puis déportés dans des camps de concentration en Sibérie. Robert Chardon,  le maire de Venelles, dans les Bouches-du-Rhône, une commune d’environ 8.000 habitants proche d’Aix-en-Provence, a été hospitalisé d’office dans la journée du vendredi 15 mai, selon l’AFP qui cite une source proche du dossier, après s’être prononcé sur Twitter pour «interdire le culte musulman en France». Selon l’AFP, « cette demande d’hospitalisation a été formulée par un tiers compte tenu de l’incohérence de ses propos »…

On peut être d’accord, ou pas d’accord, avec les propos du maire Robert Chardon, élu à la mairie de Venelles sur une liste ayant recueilli plusieurs milliers de voix, puis élu au poste de maire par une majorité de conseillers municipaux. Mais, on ne peut cautionner, comme le font une majorité de médias, d’élus, de hauts fonctionnaires, l’internement psychiatrique d’un élu de la République qui émet une idée. Car, on commence par interner Robert Chardon pour ses propos, mais on ne sait pas où ce nouveau processus s’arrêtera ! Il suffit de regarder l’histoire des 80 dernières années…

Dans la foulée de ce qui ressemble à une « chasse à l’homme » pour un délit d’opinion,  l’UMP, formation politique de Robert Chardon, a lancé vendredi 15 mai une «procédure d’exclusion» visant le maire de Venelles, qui s’est prononcé, rappelons le sur Twitter pour «interdire le culte musulman en France». Des propos «condamnés» par deux dirigeants de l’UMP, dont Nicolas Sarkozy. «J’ai demandé qu’une procédure d’exclusion soit engagée pour des propos absurdes qui ne correspondent en aucune manière aux valeurs et au projet de l’UMP», a officiellement déclaré la vice-présidente du parti Nathalie Kosciusko-Morizet à l’AFP.

Selon la rédaction du quotidien Les Echos, cette «procédure d’exclusion» de Robert Chardon avait été annoncée « auparavant sur Twitter,  par Christian Estrosi. «Les propos du maire de Venelles sont intolérables et incohérents, il a été immédiatement suspendu», avait ajouté le maire de Nice, par ailleurs président de la Commission nationale d’investiture de l’UMP et chef de file du parti pour les élections régionales en Paca. »…

La rédaction de l’hebdomadaire l’Express confirme l’hospitalisation d’office du maire UMP de Venelles en ces termes : « Hospitalisé en raison de « l’incohérence » de ses propos… Outre la condamnation morale et politique, Robert Chardon a par ailleurs été hospitalisé d’office dans la journée de vendredi, a-t-on appris de source proche du dossier. Cette demande d’hospitalisation a été formulée par « un tiers compte tenu de l’incohérence de ses propos », a-t-on précisé de même source cliquez ici. 

Un conseil à chaque Français qui nous lit : attention à vos tweets, à vos messages internet, à vos comptes Facebook, à vos discussions de bistrot ou de trottoir. Au moindre dérapage verbal, vous pourriez être hospitalisé d’office, en application de la jurisprudence Robert Chardon. Une suggestion : regardez le film Minority Report, réalisé par Steven Spielberg, car il arrive que la réalité rattrape la fiction.

NDLR - SN :

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En savoir plus cliquez ici

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vendredi, 15 mai 2015

Ce vendredi, c'est le jour de Rivarol

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mercredi, 13 mai 2015

« Affaire Ménard » : le spectacle est terminé !

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Gabrielle Cluzel Boulevard Voltaire cliquez ici

Bon, ben, vous pouvez remballer, les gars. Démontez l’estrade, débranchez les spots. La représentation est terminée. Un très joli concert, les claquettes indignées de Manuel Valls, la grosse caisse de François Hollande, le piano pathétique de Christiane Taubira, le violon appliqué de Najat Vallaud-Belkacem, le chœur des médias parfaitement à l’unisson et, chaque jour, un nouveau quidam qui venait se joindre à l’orchestre, comme dans le boléro de Ravel… non, c’était chouette. Mais le tribunal administratif de Montpellier vient d’un coup de doucher leur joie : il a statué sur l’affaire Ménard. Et alors ? Et alors, rien. La requête de la Coordination contre le racisme et l’islamophobie (CRI) a été rejetée. Il n’y a pas plus de « fiches » à la mairie de Béziers que de poux sur la tête d’un chauve.

Le juge des référés a constaté qu’il n’existait pas de « fichiers spécifiques, dématérialisés ou non, fondés sur l’appartenance religieuse, réelle ou supposée, des élèves inscrits » dans les écoles de la ville, et confirmation a été donnée que l’accès aux listes des élèves par le maire est légal.

La vérité est que Robert Ménard s’est contenté, en maire responsable, de faire au début de l’année un rapide calcul empirique, au vu des prénoms, le même calcul empirique que font les directeurs d’école responsables au mois de juin quand ils constituent leurs classes, les professeurs responsables au mois de septembre quand ils accueillent leurs élèves, parce qu’évidemment, les apprentissages ne se font pas de la même façon et au même rythme dans une classe où tous les enfants parlent la langue de Molière depuis qu’ils sont au berceau, et dans une classe où les trois quarts des élèves ont une autre langue maternelle. Que refuser de le prendre en compte serait une faute professionnelle grave, un aveuglement coupable dont les premières victimes seraient d’ailleurs ceux que l’on aurait fait mine de ne pas voir, condamnés à l’échec scolaire.

Oui, la représentation est terminée, mais ce n’est qu’un au revoir, hein ? Les intermittents du scandale ressortiront leur matériel à la première occase. Avec la même impudence et surtout la même imprudence.

D’abord parce que le parterre des amateurs devient aussi élitiste que celui de la salle Pleyel, que dans la France de M. Tout-le-Monde, cela ressemble bien à un bide et que cela finit par se voir : selon deux sondages, 54 % des Français sont « choqués par les méthodes de Robert Ménard », donc 46 % ne le sont pas, ce qui, eu égard au martèlement médiatique, est assez inattendu, et 55 % des Français sont « favorables aux statistiques ethniques ». Passons sur le fait que 9 % des Français sont à la fois en accord et en désaccord avec Robert Ménard… que ceux que la pression du politiquement correct n’a jamais rendus schizophrènes leur jettent la première pierre.

Ensuite parce que cette montée en mayonnaise est un acte pyromane. Selon la CRI, « l’affaire aurait provoqué un émoi considérable dans le pays et chez les personnes de confession musulmane ». Un émoi qui ne repose sur rien puisque, comme le précise le juge des référés, « aucun “fichier d’élèves musulmans” [n’existe] au sein de la ville de Béziers, de sorte qu’aucune liberté fondamentale n’a été méconnue », sur rien, donc, sinon les cris d’orfraie et le mot « fichage », sorti du chapeau et agité comme un chiffon rouge. Mais si émoi il y a, il est double. Émoi ouvert des musulmans, dont on attise les rancœurs, émoi rentré des « petites gens », comme dit Manuel Valls, ulcérés que l’on ne puisse pas « dire les choses ». Pour un vivre ensemble apaisé, c’est nickel.

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jeudi, 07 mai 2015

MARINE LE PEN EST-ELLE « PHILIPPOTÉE » ?

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Pierre Picace Le nouveau NH cliquez ici

Jean-Marie Le Pen se demandait, si sa fille n’était pas « Philippotée », comme ces personnes crédules qui se font « maraboutées » par des escrocs ? S’il y en a un aujourd’hui qui peut se frotter les mains, c’est bien lui : Florian Philipot !

L’ambitieux vice-président voit la route se dégager devant lui, comme par enchantement. Tout ceux, qui pouvaient lui faire de l’ombre et avoir un tant soit peu l’oreille de Marine Le Pen sont sur la touche. En but à des ennuis judiciaires les « gudards » sont hors jeu pour un bon moment, Aymeric Chauprade a été ravalé au rang de simple député européen, Paul-Marie Couteaux dégagé de la présidence du Siel. Le cercle des conseillers de Marine Le Pen se réduit comme peau de chagrin, bientôt s’il n’en reste qu’un, ce sera lui.

Après la suspension, puis peut-être l’exclusion de Le Pen père, il reste encore deux obstacles à franchir : Marion Maréchal Le Pen qui a la cote auprès des militants et la marque du parti indissociable du nom Le Pen.

Des obstacles auxquels Philippot compte s’attaquer au plus vite puisque comme le révèle le Canard Enchaîné de cette semaine, le vice-président du FN a fait déposer, auprès de l’INPI, ce qui pourrait devenir le prochain nom du Front national : « Les Patriotes », comme les missiles américains.

La méthode : Profiter du cas JMLP et de sa présidence d’honneur pour dans le même temps proposer de rénover, nettoyer les statuts du parti afin de le « dynamiser » ou plutôt de le dynamiter.

Comment ? La tactique du voleur chinois, l’air de rien en « loucedé »…

A lire le communiqué publié par le bureau éxécutif du FN, « une consultation des adhérents via une Assemblée générale extraordinaire sera organisée dans un délai de trois mois par correspondance afin de modifier les statuts… »

Une Assemblée générale par correspondance ! Il fallait y penser, pas de débat, pas de contradicteurs, juste des cases à cocher pour se prononcer sur le sort de Jean-Marie Le Pen et l’avenir du parti. On assassine en silence chez Philippot !

NDLR - SN : lire aussi cette intéressante analyse : cliquez là

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Une meute hystérique aux basques de Ménard

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Guy Rouvrais Présent cliquez ici

Nous sommes « en 1939 », a proclamé Christiane Taubira. Bigre ! La guerre est-elle déclarée ? Angela Merkel veut-elle nous reprendre l’Alsace et la Lorraine ? Rassurez-vous, il n’en est rien. RAS sur la ligne bleue des Vosges. La « menace » est loin de là, à Béziers et l’homme qui, cette fois, illustre le retour « des-jours-les-plus-sombres-de-notre-histoire », c’est son maire, Robert Ménard, du Rassemblement bleu Marine.

Le corps du « délit » ? L’affirmation par l’édile biterrois, lundi soir sur France 2, que les écoles de sa ville avaient 64 % d’élèves musulmans, ce qu’il a établi à partir des prénoms. C’est tout ? C’est tout ! Ni fichier nominatif, ni liste informatique, une simple statistique. Cela a suffi pour que l’établissement s’enflamme, décrète la levée en masse, que l’on évoque les juifs, les camps et la déportation, la « bête immonde » s’étant réveillée à la mairie de Béziers avec ses inséparables complices, « les vieux démons », dixit Taubira. On a beau être habitué à ces grossesses nerveuses de la classe politico-médiatique, on reste abasourdi par sa capacité à hystériser en quelques heures un fait purement anecdotique !

Jusqu’au président de la République, en tournée commerciale en Arabie saoudite, qui a affirmé que « le fichage des élèves est contraire à toutes les valeurs de la République », tandis que le même jour ses hôtes faisaient décapiter à Jeddah deux Yéménites, un Tchadien, un Erythréen et un Soudanais pour meurtre et vol lors d’un cambriolage. Mais l’important pour Hollande, c’était Ménard qui ne veut ni tuer, ni déporter personne, seulement établir un état des lieux dans les écoles de sa cité.

Contraire aux « valeurs de la République », dit Hollande ? Ce n’était pas l’opinion de Valls lorsqu’il était maire d’Evry. Il avait annoncé, en 2009, son intention de déposer une proposition de loi légalisant les statistiques ethniques, avec cet argument : « Pour certains, les statistiques ethniques mettraient en cause les valeurs de la République, alors qu’au contraire, c’est l’absence de mesures concrètes qui est à craindre. » Il était alors approuvé par Patrick Lozès, président du Cran (Conseil représentatif des associations noires) en ces termes : « On a besoin de savoir quelle est la réalité pour que les choses puissent changer. » Ce que fait Ménard pour les écoles, nombre d’organismes HLM le font, en cachette, pour éviter ces « ghettos » communautaires que le Premier ministre déplore.

Quant à Libération, vent debout contre Ménard, qui avait voulu savoir, en mai 2012, si les cabinets ministériels socialistes sacrifiaient à la diversité, comment s’y étaient-ils pris ? Il le dit : « La diversité est, elle, par définition difficile à mesurer. Nous avons opté pour la méthode utilisée par l’Observatoire des discriminations, consistant à répertorier les prénoms non francophones. » On apprend, à cette occasion, qu’un Observatoire qui lutte contre la discrimination use de la méthode qui est reprochée à Ménard parce que « discriminatoire ». Ce n’est donc pas ce type de statistiques qui est en cause, mais ceux qui en sont à l’origine. Selon que vous êtes de la gauche éclairée ou de la droite nationale, « les jugements de cour vous rendront blanc ou noir », si l’on peut se permettre cette distinction sans qu’elle soit assimilée à une discrimination. De toute façon, il est trop tard pour poursuivre La Fontaine qui l’écrivait dans Les animaux malades de la peste qui n’était pas encore brune…

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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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mercredi, 06 mai 2015

Pardon pour Sétif, pardon pour Charles Martel

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Pierre Cassen Boulevard Voltaire cliquez ici

Décidément, les socialistes sont des gens curieux. Ils ont choisi, pour leur prochain congrès, qui se déroulera du 5 au 7 juin, la ville de Poitiers. Certes, elle est tenue par le PS depuis 1977, mais tout de même !

La symbolique islamophobe Poitiers, c’est tout le contraire de la politique socialiste. Alors que Charles Martel a repoussé les guerriers mahométans, en 732, et a sauvé notre territoire du sort qu’a connu l’Espagne durant sept longs siècles, le PS favorise l’implantation de millions de musulmans sur notre sol. Il ne peut ignorer, surtout après les attentats contre Charlie Hebdo, que les plus déterminés (de plus en plus nombreux), comme le leur demandent leurs textes sacrés, rêvent de venger Poitiers, et de soumettre notre pays à l’islam. Même Michel Onfray a prédit une France et une Europe sous domination des disciples d’Allah dans cinquante ans, si rien ne change.

Mais finalement, comme Mélenchon (mais aussi Hitler), la direction du Parti socialiste n’aurait-elle pas souhaité la victoire des musulmans, il y a treize siècles, plutôt que celle des chrétiens ? Rappelons les propos du président du Parti de Gauche, le 7 mai 2011 au micro de France Culture : « Si on avait pu s’épargner les siècles d’obscurantisme que nous a valu la mainmise de l’Église sur l’Occident chrétien, si on avait pu, nous, gagner l’apport des civilisations arabes, arabo-andalouses… »

Faut-il rappeler, dans cet esprit, que, violant les principes laïques au seul profit de l’islam, le président de la République et nombre de ses ministres souhaitent, tous les ans, un bon ramadan aux musulmans, et que le maire de Paris le commémore dans l’hôtel de ville ? À chaque morceau de saucisson égaré devant une mosquée, on a droit à des excuses officielles de nos ministres, qui se taisent à chaque profanation d’église ! On a l’impression que les socialistes, après avoir fait repentance pour les méfaits du colonialisme, puis pour Sétif, vont bientôt demander pardon aux musulmans pour la victoire de Charles Martel, qui a privé la France, treize siècles durant, des « bienfaits » de la civilisation arabo-musulmane…

Mais cette soumission passe déjà par nos manuels scolaires. Ainsi, dans l’école de Najat Vallaud-Belkacem, on enseignera Sétif version FLN, et on ne parlera plus de Poitiers. Nos enfants sauront que de méchants soldats français colonialistes ont massacré de paisibles Algériens, le 8 mai 1945, par dizaines de milliers. Ils n’apprendront jamais que cela fut pour mettre fin à des assassinats barbares de Français et à une tentative de coup d’État nationaliste, comme le démontrent d’autres historiens tels que Roger Vétillard.

À l’opposé, nos enfants n’apprendront plus Poitiers et ignoreront ce qu’ils doivent à Charles Martel. Ils ne sauront pas davantage que, dès le début du VIIIe siècle, les guerriers musulmans multiplièrent tueries, dévastations et destructions à Carcassonne, Nîmes, Arles, Aix, Avignon, Valence, Vienne, Lyon, Besançon, Dijon, Autun, Luxeuil, Toulouse, Bordeaux…

C’est contre ce gigantesque lavage de cerveau que le 7 juin, pour se réapproprier notre Histoire, comme le fit Robert Ménard à Béziers, le 14 mars dernier, une association locale poitevine, « Le Cercle des Chats Bottés », organisera les Premières rencontres Charles Martel, à Poitiers, le même jour que le congrès socialiste.

Pendant une journée, des conférenciers raconteront une histoire que les porteurs de valises de l’islam veulent occulter, et permettront, grâce à Internet, que les parents qui le souhaitent puissent la transmettre à leurs enfants.

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mardi, 05 mai 2015

Jean-Marie Le Pen : "J'ai honte que la présidente du FN porte mon nom"

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Le Point.fr cliquez ici

"J'ai honte que la présidente du FN porte mon nom", a lancé le père de Marine Le Pen sur Europe 1 après l'annonce de sa suspension du parti et de la future suppression de son statut de président d'honneur. Cette décision a été prise lundi en début de soirée par le bureau exécutif du Front national pour sanctionner les déclarations de Jean-Marie Le Pen à Rivarol et sur BFM TV, condamnées par sa fille Marine, présidente du parti. Le fondateur du FN avait refusé, plutôt dans la journée, de se présenter devant cette instance.

"Je pense que c'est une félonie et je dois dire que j'ai honte que la présidente du Front national porte mon nom, a-t-il poursuivi. Et je souhaiterais d'ailleurs qu'elle le perde le plus rapidement possible. Elle peut le faire soit en se mariant avec son concubin, soit peut-être avec M. Philippot ou avec quelqu'un d'autre. Moi je ne souhaite pas que la présidente du Front national s'appelle Le Pen", a lâché l'ancien président du FN. "Qu'elle fasse campagne sous le nom de Marine Aliot, ou Marine Philippot, puisqu'elle traite son père et le président du Front national de façon absolument scandaleuse."

"Si on trouve mon cadavre"

Interrogé sur le fait de savoir s'il répudiait sa fille, Jean-Marie Le Pen a répondu : "Tout à fait, je ne me reconnais pas de lien avec quelqu'un qui me trahit de manière aussi scandaleuse." Enfin, "c'est la mort qui coupe les ponts", a répondu le père de Marine, interrogé sur le caractère définitif de cette répudiation.

De plus, Jean-Marie Le Pen a promis tous les recours juridiques possibles et assené que les membres du bureau exécutif "doivent s'attendre à tous les moyens", puis a assuré que les adhérents du parti "allaient être indignés par la félonie, en tout cas ceux qui ont le sens de l'honneur". A-t-il le soutien de la base ? "Ça a été vu l'autre jour lorsque je me suis présenté sur la tribune place de l'Opéra, j'ai rassemblé un accueil sans équivoque", a assuré Jean-Marie Le Pen, qui s'était invité sur la tribune juste avant que sa fille ne s'exprime lors du traditionnel défilé frontiste du 1er mai en l'honneur de Jeanne d'Arc, et qui avait été applaudi. "Je n'ai pas volé ce soutien, je ne l'ai pas reçu en héritage non plus", a-t-il aussi taclé, dans une critique à peine voilée envers sa fille.

Jean-Marie Le Pen, que sa fille avait appelé à se retirer de la politique, a promis qu'il irait "au bout de ses mandats". "Et si on trouve mon cadavre, sachez que je ne me serai pas suicidé", a-t-il lancé en riant.

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Manuels scolaires pro-islam : retour à l’expéditeur ?

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Véronique Bouzou Boulevard Voltaire cliquez ici

La réforme du collège portée par Najat Vallaud-Belkacem a de quoi faire bondir : le projet de révision du programme d’histoire pour la classe de cinquième prévoit qu’à la rentée 2016, l’enseignement de l’islam restera obligatoire tandis que la chrétienté au Moyen Âge ou le siècle des Lumières deviendront… facultatifs ! Ce qui n’a pas manqué de provoquer – à juste titre – une levée de boucliers de la part de nombreux historiens, intellectuels, enseignants et politiques, à gauche comme à droite.

La décision de rendre obligatoire l’enseignement de l’islam dans l’école publique ne date pas d’hier : depuis 2010 déjà, les parents d’élèves de cinquième peuvent constater que dans certains manuels d’histoire de leur progéniture, c’est sur les débuts de l’islam à travers ses « fondements » et sa « civilisation brillante » que s’ouvrait l’année scolaire, faisant fi de la chronologie. Et si le chapitre sur « L’Église en Occident », relégué en quatrième position, fait naturellement mention de l’Inquisition, la religion musulmane n’est abordée que sous l’angle positif d’une religion de paix, tolérante à l’égard des infidèles. Sans aucune approche historique critique, comment dès lors s’étonner que certains élèves soient tentés d’aller faire le djihad ?

Alors que faire contre cette tentative éhontée de travestir l’Histoire ? Prendre la plume comme le font certains intellectuels ? À quoi bon : tout le monde sait que deux intellectuels assis vont moins loin qu’une brute qui marche. Soutenir les enseignants dans la grève programmée le 19 mai dans toute la France contre ces nouveaux programmes ? Pourquoi pas… Mais quand on sait le peu de cas fait par le gouvernement envers ceux qui ont défilé contre les nouveaux rythmes scolaires, on peut s’interroger sur l’efficacité de battre le bitume. Ne vaudrait-il pas mieux que les parents d’élèves de cinquième, écœurés par ces tentatives éhontées de manipulation des esprits, tapent là où ça fait mal – à savoir au portefeuille – et décident de renvoyer les manuels d’histoire en question aux différents éditeurs concernés ? Ce serait, sans doute, un bon moyen de leur signifier que non, ils ne sont pas d’accord, et que oui, ils ont décidé d’entrer en résistance !

Concluons sur cette anecdote rapportée publiquement par Éric Zemmour qui, après une émission télé où il avait débattu avec « un historien sociologue antiraciste », indique que ce dernier avait clos la discussion par cette conclusion triomphante : « De toute façon, tu peux dire ce que tu veux, on tient les programmes scolaires. » Les programmes scolaires, peut-être, mais pas les élèves à qui ils sont destinés. N’est-il pas grand temps de sonner la fin de la récréation et de poser clairement la question de l’indépendance de l’Éducation nationale face à la montée des revendications des communautarismes ?

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dimanche, 03 mai 2015

Après Ninive, Poissy

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Floris de Bonneville Boulevard Voltaire cliquez ici

Rien sur les chaînes nationales sur un acte terriblement révélateur : la destruction à coups de massue de la belle statue de Saint Louis qui trônait, à deux mètres de hauteur, dans la nef de la collégiale de Poissy-sur-Seine, là où le glorieux roi avait été baptisé !

Jeudi soir, 30 avril, Alain Marschall et sa comparse Ruth Elkrief passaient une bonne dizaine de minutes à parler d’un incident mineur concernant la longueur de la jupe d’une lycéenne provocatrice. Mais rien, et rien sur les chaînes nationales sur un acte terriblement révélateur : la destruction à coups de massue de la belle statue de Saint Louis qui trônait, à deux mètres de hauteur, dans la nef de la collégiale de Poissy-sur-Seine, là où le glorieux roi avait été baptisé !

Briser en cent morceaux ce symbole de la France chrétienne, de l’histoire de la France, est sûrement l’œuvre d’un déséquilibré. C’est en tout cas la version policière qui a suggéré que, peut-être, la statue est tombée toute seule, en déséquilibre qu’elle était, elle aussi… Mais alors, elle aurait attendu un jour anniversaire pour choir ? On peut penser que le ou les criminels auront exécuté leur basse œuvre 801 ans, jour pour jour, après la naissance de ce grand roi dans cette même ville de Poissy.

Et nous revient ces terribles vidéos de l’État islamique où les barbus enrobés détruisent avec haine et fanatisme les statues du musée de Ninive comme s’ils voulaient effacer des mémoires de l’humanité toute une civilisation d’où l’islam était évidemment absent puisque Mahomet allait naître 2.000 ans plus tard…

À Poissy-sur-Seine, c’est vraisemblablement la même idéologie ravageuse qui a voulu effacer de notre histoire l’image de ce roi saint, en se vengeant du même coup de l’audace qu’avait eue ce chef croisé en tentant de délivrer Jérusalem de la présence musulmane dans les lieux les plus saints de la chrétienté.

Et pourtant la police locale, qui ne doit pas trop lire les journaux, a déclaré au Courrier des Yveline , l’un des rares médias à avoir évoqué ce sacrilège, que « cet acte isolé n’est pas dirigé contre l’église ». Sous-entendu, si l’église avait été le but de cet acte, il aurait pu y avoir tentative d’incendie de l’édifice religieux, comme ce fut le cas le 17 avril à Saint-Martin-le-Beau dans le Loir-et-Cher, dont l’église a été presque entièrement détruite. Un fait plus que divers passé inaperçu, là encore, de la grande presse. Les journaux locaux ont, d’ailleurs, pris prétexte de l’incendie de 4 voitures garées au pied de l’église pour ne pas évoquer la possibilité d’un attentat. Là encore, ce ne fut qu’un incendie accidentel dont seul le clocher du XIIe siècle fut épargné. Ce ne pouvait être un acte volontaire, ou alors, peut-être au pire, l’acte volontaire d’un déséquilibré dont la religion ne peut pas être évidemment la cause.

Il ne serait, évidemment, pas politiquement correct de trouver l’empreinte d’un islamisme radical, voire la main d’un calife devant ces destructions religieuses et historiques qui semblent, au fil des jours, devenir de plus en plus nombreuses, et ce dans le silence complice de nos médias et d’un gouvernement qui ne veut surtout pas mettre de l’huile sur le feu… Il ne faut surtout pas faire monter la mayonnaise contre une communauté déjà meurtrie qui laisse pourtant agir ses membres radicaux sans les mettre au ban.

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samedi, 02 mai 2015

LA FRANCE DOIT CHANGER DE POLITIQUE Les temps de Lawrence d'Arabie ou de Sykes-Picot sont révolus !

LAWRENCE D ARABIE.jpgMichel Lhomme Métamag cliquez ici

La persistance de conflits anciens au Proche-Orient nourrit des tensions et des haines tenaces qui se combinent avec des conflits transnationaux nouveaux. Il existe des interactions complexes et multiples entre le lancinant conflit israélo-palestinien, les conséquences dévastatrices de l’intervention américaine en Irak de 2003, la question du nucléaire avec l’Iran, la guerre civile en Syrie, les rivalités multiséculaires entre le monde sunnite et chiite, (la guerre civile actuelle au Yémen et l’antagonisme entre l’Iran et l’Arabie Saoudite), la question des Kurdes et le développement de « l’Etat Islamique », mouvement terroriste nihiliste, souvent instrumentalisé par les puissances de la région et l'Occident.

L’ensemble de ces rivalités et de ces conflits, compliqués par les arrière-pensées et le jeu de poker menteur de certains Etats de la région mais aussi par la tricherie des Etats-Unis font du Proche et du Moyen-Orient la poudrière dont les effets polémogènes seront ravageurs pour l'avenir, menaçant directement des Etats stables comme la Jordanie ou plus encore le Liban, et touchant directement la France donc l’Europe, jusqu’à mettre en péril la stabilité du monde. 
 
Revenir sur le conflit israélo-palestinien.

Récemment, le rapport de la mission d'information du Proche et Moyen Orient de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale a proposé de remettre dans le jeu diplomatique le Conseil de Sécurité afin d’élaborer une solution au conflit israélo-palestinien. En effet, les Etats-Unis, seul acteur de poids impliqué dans les négociations de paix depuis l'abandon par l'Europe d'une politique internationale autonome et surtout depuis l'alignement de la France sur Israël paraissent incapables d’arracher un accord de paix. Il apparaît que seule une initiative internationale ferme et concertée, aux objectifs et au calendrier clairement identifiés, est à même de revivifier un processus de paix moribond. C'est en se repositionnant dans un cadre multilatéral que la France doit, avec ses partenaires européens et les Etats arabes œuvrer en faveur du règlement de ce conflit sur la base de la reconnaissance mutuelle de deux Etats, vivant en paix et en sécurité.
 
Renouer avec l'Iran et la Syrie
 
Dans ce cadre, la Commission de l'Assemblée nationale recommande aussi de réinsérer dans le jeu diplomatique l’Iran, puissance régionale, en favorisant une solution au dossier nucléaire sans céder sur le fond. C'est la bonne voie. Seul un accord équilibré avec d’un côté, l’Iran qui s’engagerait à donner des garanties pour rester au seuil et de l’autre les 5+1 qui accepteraient que l’Iran développe en toute transparence son programme civil, permettra de stabiliser la région. Il faut aussi rechercher au plus vite une solution politique à la guerre civile en Syrie sans poser de préalable à l’éviction de Bachar El-Assad puisqu'il est maintenant évident qu’une solution militaire semble impossible et que l’Armée Syrienne Libre, divisée, est totalement amoindrie.
 
De plus, la France aurait tout intérêt à rétablir au plus vite ses relations diplomatiques avec Damas dans l’intérêt de sa lutte contre le terrorisme puisqu'elle devrait avec la Syrie laïque mieux coordonner la lutte contre « l’Etat islamique », noyau du terrorisme, et protéger les minorités chrétiennes. La France est entrée dans une nouvelle croisade qui ne la concerne en rien, qui ne correspond à aucun de ses intérêts vitaux. Elle a cru sans doute (le rêve israélien de l'Eretz biblique) que l’on pourrait remodeler à sa guise sur un coin de table la carte de la région. 

Opérer un virage à 180° et changer de ministre

Il est  impératif que la France redéfinisse au plus vite toute sa politique étrangère dans la région. Ses responsabilités spécifiques à l'extérieur mais aussi à l'intérieur (le fameux ''Islam de France'') l’y engagent tout particulièrement. A défaut, elle perdra toute influence mais surtout et c'est plus grave, tout respect dans la région.
 
En un mot, la France doit retrouver une politique étrangère indépendante conforme à ses intérêts : elle doit se départir du suivisme atlantiste et européen qui est aujourd’hui sa ligne de conduite, abandonner ses postures et rigidités idéologiques stériles, et prendre en compte les réalités géostratégiques nouvelles de la région. 

Or, à Paris et contre toute attente chez les diplomates, on garde le dinosaure Fabius aux affaires étrangères, paralysant de fait tout changement urgent de position diplomatique au Proche-Orient. La réalité est là. Avec un Bandar saoudien intriguant à Jérusalem, un Liban recevant lundi dernier la première livraison d’armes françaises financées par un « don » saoudien de 3 milliards de dollars, certaines pièces du jeu d'échec oriental ont bougé et si l'on s'avance petit à petit vers la fin de la partie, ce sera forcément avec un nouvel Iran, un Iran qui se sera d'une certaine manière finalement « américanisé » et « chinoisé » !

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jeudi, 30 avril 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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mercredi, 29 avril 2015

Destruction sociale et destruction culturelle

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Jean-Gilles Malliarakis L’Insolent cliquez ici

Certains se demandent parfois si la déconstruction culturelle, entraînant la trahison des élites, n'engendre pas des conséquences plus graves encore que l'arasement social, étranglant les classes moyennes et se traduisant par la perte du sens du travail et de l'entreprise.

Des deux processus de subversion et de décadence lequel doit-on combattre par priorité ?

L'actualité nous fournit sa réponse par la simultanéité de deux mouvements.

D'une part, ce 27 avril, les artisans, commerçants et autres travailleurs indépendants manifestaient leur légitime révolte contre les abus, contre les dysfonctionnements et, en bonne logique, contre le monopole du lamentable RSI. Ce "régime social des indépendants" a été créé sans véritable débat par le fourre-tout de la loi Fillon de 2003. Il fut mis en place, sans que personne ne s'en aperçoive, sauf les assujettis incorporés de force, sous la présidence Sarkozy. Droite et gauche peuvent donc s'enorgueillir de concourir  à la même nuisance.

Et, d'autre part, depuis la révélation de son projet d'abaissement des programmes scolaires par la citoyenne Vallaud-Belkacem, on peut aussi observer et nous devons soutenir de toutes nos forces, la protestation grandissante contre les atteintes tendant à effacer la culture classique et les langues européennes de l'école publique en France.

Dans un cas comme dans l'autre nous ne subissons peut-être pas la même opération, mais elle vient de la même famille d'opérateurs, poursuivant un même but, par le pouvoir des bureaux dont les ministres et sous-ministres ne sont que les communicants.

Ils ont alors bonne mine ceux qui voudraient seulement accélérer le rythme de ce qu'on désigne de manière trop vague et trop indistincte comme des "réformes", trouvant trop lent, trop lourd et trop incertain le pas destructeur de Monsieur Normal et de ses comparses.

Hypocritement le 24 avril, la citoyenne Vallaud-Belkacem, ce personnage incompétent, inculte et non-élu, qui fut promue, on ne sait pourquoi, ministre de l'Éducation, a osé produire un communiqué faisant semblant de concéder que "les débats sont légitimes"… mais que le 12 juin tout sera bouclé, après "consultation", consultation de pure forme cela va sans dire, "des" enseignants… (lesquels ?)

Dans un cas comme dans l'autre, on doit par conséquent cesser de demander des améliorations au monopole, qu'il s'agisse du monopole scolaire ou du monopole social : on doit combattre le monopole.

Le même jour, où s'étaient dressés des gens écrasés par la lourdeur des charges on apprenait les nouveaux chiffres du chômage, la belle réussite de Hollande depuis 3 ans.

Il faut vraiment se situer dans le sillage de l'étatisme et du conformisme le plus absolu pour faire encore semblant de s'interroger sur les causes, alors qu'elles ne datent pas d'hier, même si leur comptabilité officielle vient de franchir la barre symbolique et historique des 3,5 millions de chômeurs.

On peut se demander en fait combien de politiciens français ont daigné observer un bulletin de paie français qu'il s'agisse de celui d'un ouvrier professionnel, d'une caissière de supermarché, d'un cadre moyen ou supérieur. Inutile par conséquent de les inviter à comparer un tel document avec son homologue en Allemagne ou au Royaume Uni. Dans le gouvernement actuel, essentiellement composé de fonctionnaires, personne ne semble capable de comprendre à quel point le modèle social français "que le monde nous envie" tue l'emploi en France, à quel point le poids des charges sociales monopolistes ont fait sombrer l'économie privée française

Songeons aussi que le conseil d'orientations des retraites est composé de gens qui, sans être eux-mêmes assujettis au régime général, bénéficient de la garantie accordée aux privilégiés de la haute fonction publique.

On va fêter bientôt le 20e anniversaire du plan Juppé de 1995 : depuis cette date, l'État, ou plutôt l'étatisme de la haute administration a mis la main sur les régimes sociaux et en a évacué l'ombre de démocratie syndicale qu'ils étaient supposés intégrer.

Dans un cas comme dans l'autre il est temps d'en finir avec ces mini-dictatures de l'incompétence, de l'arrogance et de la jactance.

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vendredi, 24 avril 2015

Un entretien avec Anne Kling publié dans Présent

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Anne Kling a écrit une demi-douzaine de livres dont plusieurs sont consacrés à "l’antiracisme" institutionnalisé et à l’influence de certaines organisations comme la LICRA et le CRIF dans la vie politique de notre pays. Il y a quelques semaines est sorti son nouveau livre : Shoah, la saga des réparations. Un sujet peu connu jusque là. Voici le texte de l’entretien qu’elle a eu avec le quotidien Présent sur ce livre.

SN

Entretien publié dans Présent cliquez ici du 21 avril 2015

- Quelle a été votre motivation pour écrire ce livre ?

Ce livre constitue la suite logique de ceux qui l’ont précédé. Au départ, en 2000, j’ai été amenée à m’intéresser aux agissements de la LICRA lorsque j’ai été, par ses bons soins, renvoyée en correctionnelle pour avoir tenu dans un tract des propos aussi évidents que ceux-ci : "Non seulement les violences urbaines progressent, mais elles changent de nature, devenant de plus en plus le fait de mineurs, ce qui est nouveau et inquiétant. Osons le dire: ces jeunes violents, dans une forte proportion, sont des Français issus de l'immigration maghrébine et africaine, culturellement mal assimilés et socialement mal intégrés. C'est une réalité, pas un fantasme". A l’époque, il était strictement interdit d’énoncer de telles vérités et la LICRA jouait avec zèle son rôle de chien de garde. Aujourd’hui, on a davantage le droit de le dire, pour certaines raisons liées à l’antisémitisme qui monterait, nous dit-on, dans les quartiers dits sensibles.

Toujours est-il qu’après m’être penchée sur les origines communistes de la LICRA, j’ai poursuivi avec les révolutionnaires juifs bolcheviques. De fil en aiguille, j’ai élargi mes recherches au CRIF, puis aux menteurs de la shoah. Ceux-ci m’ont conduite presque naturellement à me pencher sur  l’historique des sommes astronomiques déboursées par les contribuables européens depuis 70 ans au titre de l’inextinguible repentance.

- La page de couverture représente le fameux tonneau des Danaïdes. Cela veut-il signifier que nous sommes condamnés à une repentance et des réparations ad vitam aeternam ?

Ad vitam aeternam je ne sais pas, car qui peut prévoir l’avenir ? Mais en tout cas, pour le moment, le filon continue à être très largement exploité. Voyez les dernières exigences concernant la SNCF. Et cela fait 70 ans que ça dure. Dans mon livre, j’explique le contexte des premières restitutions et compensations intervenues dès la fin de la guerre. En 1952, les accords « historiques » avec l’Allemagne d’Adenauer ont semblé mettre un terme à la question. Et durant les premières décennies d’après-guerre, on ne parlait quasiment plus de ce qui sera appelé plus tard la shoah. Mais tout a changé en 1967, lorsque la guerre des Six Jours a démontré à la diaspora l’urgence de soutenir Israël. La shoah s’est révélée à ce moment-là un très puissant levier à la fois politique et financier. A partir des années 1980/90, sous la houlette du nouveau président du Congrès juif mondial, Edgar Bronfman, les réclamations auprès des pays européens ont atteint des niveaux inédits. Et sans cesse dépassés.

- Comment définiriez-vous cette "religion de la Shoah" ?

Disons d’emblée que cette « religion » n’a pas grand-chose à voir avec le spirituel, mais tout avec le matériel. Elle s’est développée après 1967, soit plus de vingt ans après la fin de la guerre. L’Etat hébreu, présenté comme entouré d’ennemis, a alors été dépeint comme peuplé essentiellement de rescapés des camps. Qui était à l’origine des malheurs de ces derniers ? Les pays européens, naturellement. Ceux-ci devaient donc soutenir Israël à fond pour tenter de se faire pardonner leurs errements passés. Au fil des ans, les médias aidant largement, les souffrances juives, sans cesse ressassées, sont passées de spécifiques à uniques. Puis à indicibles. Quoique indicibles, elles continuent pourtant à faire parler chaque jour que Dieu fait. Il est clair qu’Israël et la diaspora ont bel et bien réussi à installer la shoah au cœur du discours public du monde occidental. Cette « reconnaissance » s’est naturellement accompagnée des exigences  financières que nous ne connaissons que trop.

- Quel est l'intérêt pour les Etats-Unis d'un tel suivisme des organisations juives voulant imposer la shoah ?

Que les organisations juives américaines aient un intérêt évident à imposer obsessionnellement la shoah est facile à comprendre. Quoique n’ayant nullement souffert de la guerre, elles ont pris en main ce business car elles en ont mesuré toutes les opportunités. Elles n’ont en effet pas été longues à découvrir que cette évocation obsessionnelle leur procurait les trois biens sociaux primaires définis par la sociologie américaine, les fameux trois P : Power, Property, Prestige. Trois P faciles à traduire : Pouvoir, Pognon, Prestige.

S’agissant du suivisme observé par les Etats-Unis, on peut trouver quelques éléments de réponse dans le système électoral américain, passablement compliqué, pour ne pas dire pervers. Car fortement lié à l’argent. Or, sans entrer dans les détails, le vote juif apparaît, à tort ou à raison, de nature à faire basculer le scrutin dans certains Etats clés. Et donc au niveau national. De plus, et peut-être surtout, la communauté juive remplit très largement les caisses des deux grands partis. Il en résulte que le soutien à Israël est central aux Etats-Unis et ne se voit jamais remis en question par aucun candidat. Le gagnant, quel qu’il soit, aura soin ensuite de renvoyer l’ascenseur aux organisations si généreuses en favorisant autant qu’il le pourra leurs objectifs. Et ce, d’autant plus volontiers que l’addition sera payée par les Européens.

De toute façon, les dirigeants américains ont compris eux aussi tout l’intérêt qu’il y avait pour eux à entretenir la culpabilité obsessionnelle et l’auto-flagellation permanente des pays européens. C’est un excellent moyen de maintenir le vieux continent en état de vassalité. Une vassalité à laquelle souscrivent les « élites » européennes, trop heureuses de courber l’échine devant les diktats venus d’outre-Atlantique. Nous en avons des exemples innombrables. Il y a donc clairement convergence d’intérêts entre ces partners que sont organisations juives et dirigeants yankees.

- Comment faire pour que les peuples européens en finissent avec cette "prison" construite par ces organisations juives et les Etats-Unis ?

La saga des réparations juives est fortement révélatrice de la faiblesse des démocraties européennes face au rouleau compresseur américain. Et de la veulerie très généralisée du personnel politique européen, incapable de dire simplement une bonne fois : ça suffit. Nous avons assez payé pour des faits commis il y a deux générations. Tournons définitivement la page et occupons-nous en priorité des injustices présentes. Il y a largement de quoi faire et de quoi employer efficacement l’argent public. Voilà le discours que de plus en plus de citoyens excédés aimeraient entendre.

Mais quel responsable politique aura le cran de tenir un tel discours ? Le moins que l’on puisse dire est qu’aucun héros de ce type n’apparaît à l’horizon. Ce serait à la droite dite nationale de le faire, en France, mais elle s’est désormais embarquée dans de tels efforts effrénés de normalisation qu’il ne faut malheureusement plus rien en attendre. Car n’ayons garde d’oublier que la dédiabolisation tant vantée n’est en fait rien d’autre qu’une soumission au dogme dominant. La récompense en étant  le large accès aux médias que l’on peut constater.

Propos recueillis par Louis Pasquerel

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jeudi, 23 avril 2015

L’Italie submergée

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Xavier Eman Présent cliquez ici

Les drames liés à la pression migratoire chaque jour croissante ne cessent d’endeuiller les côtes italiennes. Les cadavres que charrie la Méditerranée sont le terrible et tragique révélateur d’une situation de plus en plus intenable : l’explosion ces derniers mois de l’arrivée, dans des conditions toujours plus précaires, d’immigrés clandestins en provenance d’Afrique. Plus de 11 000 pour la seule première quinzaine d’avril ! Une situation dont les Italiens rendent en partie responsables – non sans une certaine légitimité – la France et plus particulièrement l’ex-président Nicolas Sarkozy et son ministre des Affaires étrangères-bis Bernard-Henri Lévy qui, en déstabilisant la Libye et en faisant assassiner le président Kadhafi, ont fait sauter le dernier verrou contrôlant des flux migratoires de plus en plus massifs.

C’est désormais le plus grand désarroi qui règne dans une Italie déjà lourdement frappée par la crise économique et en cours de paupérisation. Le peuple italien, écartelé entre son émotion face aux drames du canal de Sicile et son exaspération devant le chaos suscité par l’afflux de clandestins, se sent abandonnée par l’Union européenne et par ses voisins. Dans les grandes villes, les couches populaires ont de plus en plus de difficultés à accepter de voir des établissements publics récemment fermés pour causes de restrictions budgétaires (maisons de retraite, centres sociaux, crèches…) rouvrir subitement pour accueillir des immigrés clandestins, et les incidents ne sont pas rares entre les communautés.

Des gouvernants sans réponses

Face à cette situation de plus en plus explosive, le gouvernement de Mateo Renzi semble totalement dépassé, se bornant à des discours larmoyants et des « appels à la solidarité » qui recoupent largement les déclarations des autorités de l’Eglise catholique. Celles-ci ne parviennent en effet pas à dépasser les imprécations sur « l’accueil » et la « charité », dans l’acception la plus étroite et la plus aveugle de ces deux termes, se refusant à considérer les drames innombrables que risque de provoquer dans l’avenir proche une « charité » inconséquente et déconnectée des réalités politiques et sociales.

Pour sa part, Matteo Salvini, le chef de file de la Ligue du Nord, parti identitaire et anti-immigration, a déclaré : « Qu’est-ce qui a changé en 18 mois à Lampedusa ? Faudra-t-il encore 700 morts pour se décider à bloquer les départs des bateaux de migrants ? Si les institutions de l’Union européenne ont un tant soit peu de bon sens, elles doivent organiser un blocus maritime et déterminer qui est un véritable réfugié et qui est un immigré clandestin. C’est l’hypocrisie de Renzi (ndlr : le président de centre gauche du Conseil italien) et d’Alfano (ndlr : le ministre de l’Intérieur de centre droit) qui provoque ces morts ! »

Une colère partagée par Simone Di Stefano, le vice-président du mouvement de la droite radicale Casapound Italia qui, de son côté, a affirmé : « L’Europe nous a abandonné. Il est temps de se rendre en Libye et d’occuper militairement la côte d’où partent les barges de clandestins, c’est la seule solution ! Sans cela, rien n’arrêtera une invasion qui a déjà franchi depuis longtemps le seuil de tolérance. Le peuple italien n’en peut plus, il faut agir. »

Une déclaration vigoureuse qui tranche avec l’impéritie du pouvoir italien et ses impuissantes jérémiades, le président de la région Toscane appelant même les Italiens, à « ouvrir leurs maisons aux réfugiés ».

Quant aux « responsables » de l’Union européenne, ils ont annoncé qu’ils allaient « se réunir très rapidement », sans doute jeudi, pour trouver les réponses qui s’imposent, mais, comme le dit avec justesse l’écrivain et militant de la droite radicale Gabriele Adinolfi, « comment ose-t-on ainsi nous avouer que l’on n’a pas encore réfléchi sérieusement à une question qui se pose depuis des années et met en cause, non seulement la sécurité des migrants, mais aussi l’identité des Européens » ? Une nouvelle démonstration, encore plus tragique que les autres car souillée de sang, de l’incapacité des institutions bruxelloises à gérer efficacement les dossiers les plus sensibles pour l’avenir des peuples européens qu’elles prétendent représenter.

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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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mardi, 21 avril 2015

Le nouveau numéro d'Eléments sort cette semaine

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N°155, 5,50 €, chez votre marchand de journaux

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